Pékin espère de la “réciprocité” lors des pourparlers commerciaux avec Washington à Stockholm

La Chine a déclaré lundi espérer de la “réciprocité” dans les négociations commerciales avec les Etats-Unis, au moment où les délégations des deux pays se préparent à débuter une nouvelle série de pourparlers à Stockholm.Lundi, les drapeaux chinois et américain avaient été hissés devant Rosenbad, qui abrite le cabinet du Premier ministre dans la capitale suédoise.Les négociations devraient durer deux jours, et pourraient aboutir à une prolongation de la trêve tarifaire.Pékin a dit lundi espérer qu’elles se tiendront dans un esprit “de respect mutuel et de réciprocité”.La Chine entend “réduire les malentendus, renforcer la coopération et promouvoir un développement stable, sain et durable des relations sino-américaines”, a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, lors d’une conférence de presse régulière.Ces pourparlers ont lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.En l’état, les produits entrant aux Etats-Unis pourraient être taxés entre 10% et 50% – le taux le plus élevés viserait le Brésil, tandis que les voisins canadiens et mexicains écoperaient d’une surtaxe de 35% et 30%, respectivement.De quoi augmenter la moyenne des droits de douane appliqués aux produits importés, déjà à son niveau le plus élevé depuis le début des années 1930, selon les données du centre de recherche Budget Lab de l’Université de Yale.Pékin pourrait se sentir privilégié: certes, ses produits encaissent 30% de surtaxe en plus des droits de douane en place avant le 1er janvier, mais la trêve leur permet d’échapper pour l’heure à de nouvelles surtaxes. Les discussions à Stockholm lundi visent à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.L’objectif devrait être atteint, selon le quotidien chinois South China Morning Post, qui révélait dimanche que la trêve devrait être étendue de 90 jours supplémentaires.La détente semble amorcée et “une évolution significative semble apparaître dans l’approche du gouvernement (américain) à l’égard de la Chine”, souligne pour l’AFP la responsable de la stratégie de Minerva, Emily Benson.Les responsables américains sont désormais “concentrés sur ce qui est atteignable, à mettre de l’huile dans les rouages et éviter de nouveaux sujets de tension”, ajoute-t-elle.- 15% pour l’UE -Pour l’heure, aucun accord sur le fond n’a été trouvé entre les deux capitales, mais des progrès ont été réalisés sur des sujets jugés essentiels de part et d’autre.Washington a ainsi obtenu un relâchement des restrictions d’exportation des terres rares chinoises quand Pékin a vu son accès aux semi-conducteurs américains les plus performants être en partie rétabli.Un prolongement de la trêve indiquerait une “volonté de continuer à discuter de part et d’autre”, selon Thibault Denamiel, chercheur pour le CSIS à Washington.En attendant l’étape suivante: une rencontre entre Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping.Dans l’immédiat, les marchés réagissaient lundi positivement, après la conclusion des négociations commerciales entre les Etats-Unis et l’Union européenne (UE).A l’issue d’une rencontre entre Donald Trump et la présidente de la Commission européenne en Ecosse, le président américain a annoncé dimanche que l’UE avait accepté de se voir imposer 15% de droits de douane et s’engageait à investir 600 milliards de dollars supplémentaires aux Etats-Unis, sans précisions sur l’échéance.Un “bon accord, qui apportera de la stabilité et de la prévisibilité” des deux côtés de l’Atlantique, a assuré Mme von der Leyen.Néanmoins, Washington n’est pour l’heure parvenu à décrocher que cinq autres accords commerciaux – et plus souvent des déclarations d’intention que des accords formels.L’Indonésie, le Japon, les Philippines, le Royaume-Uni et le Vietnam ont jusqu’ici pu s’entendre avec Washington et vu leurs droits de douane potentiels réduits, à priori entre 15 et 20% pour la plupart d’entre eux.Pour les autres pays, le 1er août devra bien marquer l’entrée en vigueur des surtaxes annoncées par Donald Trump.

CK Hutchison eyes ‘major’ Chinese investor for Panama ports deal

Hong Kong conglomerate CK Hutchison said Monday it was considering inviting a Chinese “major strategic investor” to join a US-led consortium negotiating the sale of its global ports business outside China, including operations at the Panama Canal.The firm said in March it was offloading the ports — including operations in the vital Central American waterway — to a group led by asset manager BlackRock for $19 billion in cash.The sale was seen as a political victory for US President Donald Trump, who had vowed to “take back” the Panama Canal from alleged Chinese control, prompting Beijing’s ire.China’s market regulator said in March it was reviewing the deal.”(CK Hutchison) remains in discussions with members of the consortium with a view to inviting (a) major strategic investor from (China) to join as a significant member of the consortium,” CK Hutchison said in a stock exchange filing Monday.The firm added that changes to the consortium’s membership and deal structure will be needed for the deal “to be capable of being approved by all relevant authorities”.It said the “period for exclusive negotiations” mentioned in the March announcement had expired, but discussions will continue.It did not name the major investor.China’s biggest shipping company Cosco was set to join the consortium and was requesting veto rights or equivalent powers, Bloomberg News reported.Bloomberg Intelligence analyst Denise Wong told the outlet that “ongoing negotiations and the reported inclusion of Cosco Shipping in the consortium have likely eased concerns over Chinese regulatory hurdles, strengthening investor confidence in the deal’s viability”.- ‘Keeping everyone happy’ -Gary Ng, senior economist for Asia Pacific at Natixis, said Monday’s developments show that “business deals can be increasingly subject to politics in the new economic and geopolitical reality” as the Hong Kong conglomerate seeks to “keep everyone happy”.CK Hutchison said it “intends to allow such time as is required for such discussions to achieve” a workable arrangement. It said it had stated on several occasions that it “will not proceed with any transaction that does not have the approval of all relevant authorities”.Chinese foreign ministry spokesman Guo Jiakun said Beijing will “carry out supervision in accordance with the law, firmly safeguard national sovereignty, security and development interests, and maintain a fair and just market”.CK Hutchison’s Hong Kong-listed shares fell 0.84 percent on Monday, while Cosco dropped 2.85 percent.The consortium’s original structure was designed to pass control of CK Hutchison’s two Panama ports to BlackRock’s Global Infrastructure Partners unit, while the remaining ports will go to Italian billionaire Gianluigi Aponte’s Terminal Investment Limited.AFP has contacted Cosco for comment.The Panama Ports Company, a CK Hutchison subsidiary, has managed the port of Cristobal on the canal’s Atlantic side and Balboa on the Pacific side since 1997, via a concession from the Panama government.

Euro-2025: les Anglaises restent reines d’Europe en battant les Espagnoles

Encore une fois menées, les Anglaises, insubmersibles, ont réussi l’exploit de renverser dimanche en finale de l’Euro les Espagnoles, championnes du monde en titre, et de conserver leur couronne de reines d’Europe grâce à leur héroïne Chloe Kelly (1-1, tab 3-1), autrice du tir au but vainqueur.A Bâle vers 21h00, le bonheur et l’émotion des Lionesses étaient immenses, à l’image des larmes de la jeune Michelle Agyemang (19 ans) ou celles de l’ancienne Lucy Bronze (33 ans), et de la danse de Sarina Wiegman.Portées par un esprit collectif et une solidarité pleine de hargne, les joueuses de la Néerlandaises de 55 ans, -qui fait elle l’exploit de remporter son troisième Euro-, sont rentrées dans les têtes du meilleur collectif du monde pour l’achever aux tirs au but.Comme chez elles à Wembley en 2022 et comme en quart et en demi-finale cette année, elles ont attendu la fin du temps réglementaire pour rester sur le toit de l’Europe, au terme d’un match intense de bout en bout.Et les statistiques sont parlantes: les Anglaises ont gagné cette édition en ne menant que pendant quatre minutes et 52 secondes sur l’ensemble des phases à élimination directe (temps additionnel inclus), selon le statisticien Opta. En face, l’Espagne a été menée seulement pendant 4 minutes sur l’ensemble du tournoi, montrant encore une fois l’exploit des Lionesses.Grâce à leur gardienne Hannah Hampton, qui a arrêté deux tirs (ceux de Bonmati et de Caldentey), et aux buteuses Alex Greenwood, Niamh Charles, et bien sûr Chloe Kelly, elles restent championnes d’Europe, malgré deux arrêts de Cata Coll sur Beth Mead et Leah Williamson.Cette finale a été à l’image du tournoi des Anglaises: elles ont attendu d’être menées pour montrer leur visage de combattantes.”Cette équipe montre exactement ce que signifie être Anglaise. Je suis tellement fière en ce moment”, a réagi Chloe Kelly.”Nous n’abandonnons jamais, nous continuons simplement à nous battre, et c’est ce que nous avons fait aujourd’hui”, a poursuivi Hannah Hampton.Le meilleur exemple de ce combat acharné est la solidité du milieu qui a tenu le choc face à l’entre-jeu espagnol composé de stars, Aitana Bonmati, Alexia Putellas et Patri Guijarro.- Russo, tête rageuse -Battues par les Bleues (2-1) pour leur premier match, elles se sont réveillées et ont fait preuve de résilience, réussissant à revenir au score dans les dernières minutes en quart (2-2, tab 3-2) et en demi-finale (2-1, a-p), et ont réussi à pousser les Espagnoles en prolongation.Mais avant cela, le premier but espagnol, une œuvre collective, confirmait la domination de la Roja depuis le début du match.Tout est venu de la double Ballon d’or (2023, 2024) et cheffe d’orchestre, Aitana Bonmati, qui s’est battue pour conserver le ballon côté droit et l’action s’est conclue par une tête de Mariona Caldentey (1-0, 24e).Sous les yeux de plus de 34.000 personnes dont ceux du prince William et de la princesse espagnole Leonor, et au milieu le président de l’UEFA Aleksander Ceferin, qui assistait seulement à son deuxième match de l’Euro, les joueuses de Montse Tomé ont enchaîné les jolis mouvements, les circulations de balles fluides et les grosses occasions (9e, 20e, 41e), mais les Anglaises ont tenu par leur solidarité exemplaire.Les Espagnoles ont été gênées parfois par la hargne des championnes d’Europe en titre, qui les ont même privées de ballons par moments. C’est d’ailleurs l’Angleterre qui a eu la première grosse occasion sur une frappe d’Alessia Russo (3e) repoussée par Cata Coll dans les pieds de Lauren James, qui n’a pas eu assez de réflexe pour reprendre le ballon. Incertaine à cause d’une gêne à une cheville, la pépite de Chelsea a été remplacée par l’héroïne du quart et de la demi-finale, Chloe Kelly, qui a réitéré dimanche soir.Son entrée a tout changé, encore par son attitude et sa percussion côté gauche. L’attaquante d’Arsenal, remplaçante depuis le début du tournoi, est le facteur X de Sarina Wiegman, toujours aussi sereine dans sa zone technique pour sa cinquième finale consécutive (Coupe du monde/Euro).Et quasiment à l’heure de jeu, elle a servi d’un centre tendu Alessia Russo, qui a égalisé d’une tête rageuse (1-1, 57e). Galvanisées, les Anglaises sont rentrées dans les têtes espagnoles et en particulier dans celle d’Alexia Putellas, une des meilleures joueuses du monde, mais qui a été trop discrète et a été remplacée par Claudia Pina à l’heure de jeu, ou celle de l’autre milieu Patri Guijarro.

Euro-2025: Kelly, Bonmati, Girelli.. les joueuses du tournoi

De Chloe Kelly, remplaçante anglaise décisive à chaque entrée avant d’offrir un deuxième titre continental d’affilée aux Lionesses, en passant par Aitana Bonmati, Jule Brand ou Cristiana Girelli, voici les joueuses qui se sont le plus montrées lors de l’Euro-2025.. Chloe Kelly, l’héroïneEnsevelie par ses coéquipières après son tir au but vainqueur en finale (une frappe mesurée à 110km/h, la plus puissante du tournoi), Chloe Kelly a encore une fois tout changé en entrant juste avant la mi-temps dimanche soir. Elle a donné de la vitalité et de la percussion à une équipe qui en manquait et a centré pour Alessia Russo qui a égalisé d’une tête rageuse. En quart (2-2, victoire aux t.a.b. 3-2) et en demi-finale (2-1, a.p.), la joueuse d’Arsenal avait déjà emmené son équipe pour renverser des matches mal embarqués, grâce à sa hargne et son envie.. Aitana Bonmati, la cheffe d’orchestreBrièvement hospitalisée juste avant le tournoi pour une méningite virale, la double Ballon d’Or (2023, 2024) a bataillé pour tenir sa place à l’Euro. Mais grâce à sa forte personnalité et à son talent hors norme, elle est revenue en pleine forme dès les quarts de finale.Véritable cheffe d’orchestre grâce à sa vision du jeu, son intelligence et sa technique, elle dirige tout, même quand elle n’a pas le ballon. Autrice d’un but superbe en demi-finale en prolongation (113e) contre l’Allemagne, elle est impliquée dans le premier but de la finale contre l’Angleterre. Nommée joueuse du tournoi, Aitana Bonmati l’a cependant terminé sur une note amère avec son tir au but raté en finale, arrêté par Hannah Hampton.. Kosovare Asllani, l’accélératriceReverra-t-on la capitaine suédoise dans un tournoi international, elle qui compte 203 sélections à bientôt 36 ans, a collectionné les places d’honneur (argent des JO-2016 et 2021, bronze des Mondiaux-2019 et 2023) et rêvait d’un premier titre pour son cinquième Euro ?”On avait l’équipe pour remporter ce tournoi”, constatait la N.9 la semaine dernière, encore abasourdie d’avoir vu depuis le banc les Blagult dilapider deux buts d’avance face à l’Angleterre en quart (2-2, défaite aux t.a.b. 3-2), alors qu’elle avait ouvert le score, portant à 50 son nombre de buts en sélection.Mais avant cette triste sortie, “Kossé” a été l’une des grandes figures de l’Euro, avec deux buts et trois passes décisives, et l’a illuminé de son jeu en une touche, parfait liant entre une défense suédoise de fer et une attaque rapide et puissante.. Cristiana Girelli, forte têteImpossible d’imaginer le beau parcours des Azzurre, dans le dernier carré de l’Euro pour la première fois depuis 28 ans et passées tout près de s’offrir l’Angleterre en demi-finale, sans leur capitaine de 35 ans.Le plus beau palmarès féminin du football italien, dix fois championne d’Italie avec Vérone, Brescia puis la Juventus, a ajouté en Suisse trois buts à sa collection internationale (61 en 123 sélections).Particulièrement efficace de la tête, grâce à un gros travail physique, elle n’hésite pas à donner de la voix hors du terrain pour promouvoir le football féminin. “Chaque terrain où une fille peut se sentir libre de rêver (…) est un pas de plus vers une nation meilleure”, déclarait-elle jeudi, reçue avec ses coéquipières par le président italien.. Jule Brand, déjà une taulièreÉclaircie dans leur été tourmenté, les dirigeants de l’OL ont dû se frotter les mains d’avoir recruté jusqu’en 2028 l’Allemande Jule Brand, 22 ans, en fin de contrat avec Wolfsburg.Le talent de celle qui compte déjà 65 sélections – pour 11 buts – était connu de longue date, et s’est confirmé avec ses deux réalisations – du gauche puis du droit – et ses deux passes décisives lors de la phase de poules.Surtout, alors que sa constance demeurait un point d’interrogation, elle s’est battue tout au long de l’interminable quart de finale à dix contre onze face à la France (1-1, victoire aux t.a.b. 6-5), puis en demie, à nouveau poussée en prolongation face à l’Espagne (1-0 a.p.), incarnant une menace à chaque prise de balle et s’arrachant tout autant à la récupération.

La Bourse de Paris salue la fin de l’incertitude douanière

La Bourse de Paris évoluait en hausse lundi, poussée par l’annonce d’un accord commercial entre les Etats-Unis et l’Union européenne, désamorçant ainsi des mois d’incertitudes pour les marchés.L’indice vedette CAC 40 gagnait 0,84%, soit un gain de 65,55 points, pour s’établir à 7.900,13 points vers 10H00 heure de Paris. Vendredi, la Bourse de Paris avait terminé en hausse de 0,21% à 7.834,58 points.Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont conclu dimanche en Ecosse un accord douanier prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis seront taxés à 15%.Les Européens espèrent à ce prix éviter une escalade commerciale.Sur les marchés, l’annonce de l’accord a “apaisé les craintes d’un conflit commercial dévastateur”, indique Patrick Munnelly, analyste chez Tickmill Group.”Les investisseurs aiment la certitude, et ils viennent d’en recevoir une bonne dose”, l’accord commercial tant attendu “désamorçant ainsi des mois de menaces croissantes”, commente John Plassard, responsable de la stratégie d’investissement chez Cité Gestion Private Bank.”Cet accord élimine la plus grande menace à court terme qui pesait sur les marchés. Et dans le contexte actuel cela suffit amplement pour faire progresser les indices” boursiers, estime-t-il.Pour Patrick Munnelly, l’accord “difficilement obtenu” a en effet permis “d’éviter une guerre commerciale qui aurait pu gravement affecter l’économie mondiale”.- Forvia rassuré -Les constructeurs automobiles, pour lesquels les États-Unis sont un marché important, évoluent dans le vert.A Paris, Stellantis prenait 0,81% à 8,57 euros vers 10H25 heure de Paris. Renault, moins exposé au marché américain, s’inscrivait tout de même en hausse de 0,46% à 34,58 euros. L’équipementier automobile Forvia brille tout particulièrement, porté par l’annonce de l’accord commercial et par la confirmation lundi de ses objectifs pour l’année 2025, prévoyant toujours une amélioration de sa marge d’exploitation, entre 5,2 et 6%, et un chiffre d’affaires plutôt stable, compris entre 26,3 et 27,5 milliards d’euros.Vers 10H25, l’action Forvia s’envolait de 11,82% à 11,49 euros.Il “a deux avantages”, a commenté le directeur financier de Forvia. “Ces droits de douane (sont) inférieurs à ce qui est exercé depuis quelques mois par l’administration américaine” et “si ça permet de réduire la volatilité, l’incertitude, c’est meilleur pour l’ensemble des acteurs économiques”, a-t-il estimé.Dans le même temps, Forvia a annoncé pour le premier semestre 2025 une perte nette de 269 millions d’euros notamment liée à la dépréciation de ses activités dans l’hydrogène, à la suite du retrait de Stellantis, et à des frais de restructuration.