Trump inaugurates golf course to end eventful Scottish stay

Donald Trump inaugurated his new golf course in eastern Scotland on Tuesday, ending a five-day trip in which the US president signed a major trade deal and weighed in on several key issues.Secret agents and golfers criss-crossed the sprawling complex on the Aberdeenshire coast, waiting for the president to tee off.But the Republican president, a keen golfer, let his son Eric officially open the course, having transferred his real estate and assets to a family holding company.The new course features the world’s largest natural bunker, dunes and greens overlooking the sea, with a “focus on environmental sensitivity”, said a press release.Visible out to sea were the offshore wind turbines that Trump unsuccessfully tried to block.The president once again spoke out against wind power as he hosted European Union President Ursula von der Leyen on Sunday and UK Prime Minister Keir Starmer on Monday.It was one of the many issues Trump addressed during the free-wheeling press conferences at his other golf complex in Turnberry, western Scotland over the past days.With Von der Leyen, he announced a trade agreement in which the EU resigned itself to 15 percent tariffs on goods entering the US, a deal heavily criticised across the continent. During Monday’s press conference with Starmer, Trump promised more aid for Gaza, gave Russian President Vladimir Putin a “10 or 12 day” ultimatum to cease hostilities in Ukraine and criticised London mayor Sadiq Khan.The US leader further waded into UK politics on Tuesday morning when he took to his Truth Social platform to urge the government to cut taxes and incentivise drilling in the North Sea oilfield.”Incentivize the drillers, FAST. A VAST FORTUNE TO BE MADE for the UK, and far lower energy costs for the people,” he wrote.Trump played golf at Turnberry on Saturday and Sunday on a visit that mixed leisure with diplomacy, further blurring the lines between the presidency and his business interests.

Un tireur tue au moins quatre personnes à New York avant d’être retrouvé mort

Un homme armé a semé la terreur lundi soir dans un gratte-ciel du centre de New York, tuant au moins quatre personnes dont un policier avant de vraisemblablement se donner la mort, a indiqué le maire de la ville.”Nous avons perdu quatre âmes dans un nouvel acte de violence insensée”, a regretté Eric Adams lors d’une conférence de presse tard dans la soirée, ne comptant pas le tireur qui a apparemment retourné son arme contre lui.Trois hommes dont un policier, ainsi qu’une femme, ont été tués, tandis qu’un autre individu se trouve dans un état critique, ont précisé des responsables, sans évoquer un possible mobile à ce stade.Les secours ont été appelés lundi vers 18H00 (22H00 GMT) dans le quartier d’affaires de Midtown Manhattan.Les caméras de surveillance ont filmé un homme descendant d’une voiture noire, armé d’un fusil d’assaut M-4. Il est ensuite entré dans le bâtiment et a immédiatement tiré sur le policier avant d'”arroser le hall” de balles, a relaté la cheffe de la police new-yorkaise, Jessica Tisch.L’assaillant avait visiblement décidé de prendre pour cible le 345, Park Avenue, grand immeuble de bureaux qui abrite des locaux de la Ligue professionnelle de football américain (NFL), du géant de la finance Blackstone et du cabinet de conseil et d’audit KPMG, selon Mme Tisch.Elle a dit penser que le suspect, originaire de Las Vegas et qui présentait des antécédents de problèmes psychiatriques, avait agi seul.Plusieurs médias, dont CNN et le New York Post, montrent une photographie d’un homme moustachu marchant seul dans la rue avec un long fusil dans la main droite, vêtu de lunettes de soleil et d’une veste sombre.Rapidement, des centaines de policiers, certains portant gilets pare-balles et armes lourdes, et de très nombreuses ambulances, sont arrivés sur les lieux, a constaté un journaliste de l’AFP.- “D’un étage à l’autre” -“J’étais dans le bâtiment, il allait d’un étage à l’autre”, a confié à l’AFP, près de là, une témoin qui a refusé de donner son nom.Selon le New York Times, le tireur est mort au 33e étage.Shad Sakib travaillait dans un bâtiment à proximité quand il lui a été ordonné de se confiner à l’intérieur.”Tout le monde se demandait ce qu’il se passait, jusqu’à ce que quelqu’un dise que c’est en ligne, que quelqu’un est rentré avec une mitraillette”, a-t-il dit à l’AFP. “Il est rentré dans le bâtiment juste à côté. On a vu une photo de lui marchant là même où je passe pour aller chercher à déjeuner”, a ajouté ce témoin.Des hélicoptères survolaient ce quartier d’hôtels luxueux et de sièges de grandes entreprises situé à quelques encablures de Central Park.Le candidat de gauche à la mairie de New York, Zohran Mamdani, s’est dit “déchiré” par la nouvelle.- Un assassinat en décembre -Avec plus d’armes à feu en circulation que d’habitants, les Etats-Unis affichent le taux de mortalité par arme à feu le plus élevé de tous les pays développés.Les fusillades sont un fléau récurrent que les gouvernements successifs n’ont jusqu’à présent pas réussi à endiguer, de nombreux Américains restant très attachés à leurs armes.En 2024, plus de 16.000 personnes, sans compter les suicides, ont été tuées par arme à feu, selon l’ONG Gun Violence Archive.En décembre dernier, Brian Thompson, le patron du plus gros assureur santé du pays, UnitedHealthcare, a été assassiné en pleine rue dans ce même quartier de Midtown Manhattan. Luigi Mangione, un jeune ingénieur informatique, a été arrêté et inculpé dans cette affaire. En avril, il a plaidé non coupable d’homicide devant un tribunal fédéral de Manhattan.

Les Bourses européennes ouvrent dans le vert

Les Bourses européennes ont ouvert en terrain positif mardi, mais sans grand entrain, l’enthousiasme suscité par l’accord commercial entre l’Union européenne et les Etats-Unis s’estompant face aux incertitudes persistantes.Dans les premiers échanges, la Bourse de Paris prenait 0,47%, Francfort 0,48%, Londres 0,07% et Milan 0,27%.

Commerce: Chinois et Américains se retrouvent pour une 2e journée de négociations à Stockholm

Responsables chinois et américains se sont retrouvés mardi à Stockholm pour une deuxième journée de négociations sur les droits de douane réciproques entre les deux pays, avec pour objectif phare une prolongation de la trêve tarifaire obtenue à Genève en mai.Des journalistes de l’AFP ont vu les délégations américaine et chinoise, menées respectivement par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le vice-premier ministre He Lifeng, entrer sous un ciel gris dans le lieu où se déroulent les pourparlers: le bâtiment de Rosenbad qui abrite le cabinet du Premier ministre suédois.Aucune information n’a été communiquée sur le contenu des discussions qui se tiennent depuis lundi dans la capitale suédoise.Pékin a dit espérer qu’elles se tiendront dans un esprit “de respect mutuel et de réciprocité”.La Chine entend “réduire les malentendus, renforcer la coopération et promouvoir un développement stable, sain et durable des relations sino-américaines”, a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, lundi lors d’une conférence de presse à Pékin.Les discussions à Stockholm visent à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants, sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, fin janvier.Les pourparlers en Suède ont lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington. Dimanche, le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord douanier prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.A Paris, si on concède que cet accord va apporter de la “stabilité” aux entreprises, on insiste surtout sur son caractère “déséquilibré”, selon les termes utilisés par plusieurs membres du gouvernement. 

Commerce: Chinois et Américains se retrouvent pour une 2e journée de négociations à Stockholm

Responsables chinois et américains se sont retrouvés mardi à Stockholm pour une deuxième journée de négociations sur les droits de douane réciproques entre les deux pays, avec pour objectif phare une prolongation de la trêve tarifaire obtenue à Genève en mai.Des journalistes de l’AFP ont vu les délégations américaine et chinoise, menées respectivement par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le vice-premier ministre He Lifeng, entrer sous un ciel gris dans le lieu où se déroulent les pourparlers: le bâtiment de Rosenbad qui abrite le cabinet du Premier ministre suédois.Aucune information n’a été communiquée sur le contenu des discussions qui se tiennent depuis lundi dans la capitale suédoise.Pékin a dit espérer qu’elles se tiendront dans un esprit “de respect mutuel et de réciprocité”.La Chine entend “réduire les malentendus, renforcer la coopération et promouvoir un développement stable, sain et durable des relations sino-américaines”, a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, lundi lors d’une conférence de presse à Pékin.Les discussions à Stockholm visent à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants, sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, fin janvier.Les pourparlers en Suède ont lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington. Dimanche, le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord douanier prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.A Paris, si on concède que cet accord va apporter de la “stabilité” aux entreprises, on insiste surtout sur son caractère “déséquilibré”, selon les termes utilisés par plusieurs membres du gouvernement. 

Commerce: Chinois et Américains se retrouvent pour une 2e journée de négociations à Stockholm

Responsables chinois et américains se sont retrouvés mardi à Stockholm pour une deuxième journée de négociations sur les droits de douane réciproques entre les deux pays, avec pour objectif phare une prolongation de la trêve tarifaire obtenue à Genève en mai.Des journalistes de l’AFP ont vu les délégations américaine et chinoise, menées respectivement par le secrétaire au Trésor Scott Bessent et le vice-premier ministre He Lifeng, entrer sous un ciel gris dans le lieu où se déroulent les pourparlers: le bâtiment de Rosenbad qui abrite le cabinet du Premier ministre suédois.Aucune information n’a été communiquée sur le contenu des discussions qui se tiennent depuis lundi dans la capitale suédoise.Pékin a dit espérer qu’elles se tiendront dans un esprit “de respect mutuel et de réciprocité”.La Chine entend “réduire les malentendus, renforcer la coopération et promouvoir un développement stable, sain et durable des relations sino-américaines”, a déclaré un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Guo Jiakun, lundi lors d’une conférence de presse à Pékin.Les discussions à Stockholm visent à prolonger la pause de 90 jours négociée en mai à Genève, qui avait mis fin aux représailles des deux côtés du Pacifique à l’origine de surtaxes prohibitives.Cela avait permis de ramener les droits de douane sur les produits américains et chinois, respectivement à 125% et 145%, à un niveau plus modeste de 10% et 30%, qui viennent s’ajouter à ceux déjà existants, sur un certain nombre de produits, avant le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, fin janvier.Les pourparlers en Suède ont lieu au début d’une semaine décisive pour la politique commerciale du président Donald Trump, les droits de douane appliqués à la plupart des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis devant connaître une brusque hausse le 1er août.Face à cette échéance imminente, plusieurs pays se précipitent pour conclure un accord avec Washington. Dimanche, le président américain Donald Trump et la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen ont annoncé en Ecosse un accord douanier prévoyant que les produits européens exportés aux Etats-Unis soient taxés à 15%.A Paris, si on concède que cet accord va apporter de la “stabilité” aux entreprises, on insiste surtout sur son caractère “déséquilibré”, selon les termes utilisés par plusieurs membres du gouvernement. 

Stock fluctuate as trade relief fades, eyes on data and earnings

Stocks were mixed Tuesday as the positivity sparked by recent US trade deals dissipated, with investors now focused on the release of key data and earnings, and the Federal Reserve’s next policy meeting.While Donald Trump’s agreement with the European Union on Sunday was seen as better than a tariff standoff, observers pointed out that the US president’s 15 percent levies — with none on American goods — were still much higher than before.The pact, which followed a similar one with Japan last week, still left many concerned about the economic consequences, with auto companies particularly worried.”The 15 percent blanket levy on EU and Japanese imports may have helped markets sidestep a cliff, but it’s no free pass,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.”With the average effective US tariff rate now sitting at 18.2 percent… the barrier to global trade remains significant. The higher tail risk didn’t detonate, but its potential impact on the global economy hasn’t disappeared either.”And National Australia Bank’s Ray Attrill added: “It hasn’t taken long for markets to conclude that this relatively good news is still, in absolute terms, bad news as far as the near term (through 2025) implications for eurozone growth are concerned.”Traders are also keeping an eye on US talks with other major economies, including India and South Korea.After a tepid day on Wall Street — which still saw the S&P and Nasdaq hit records — Asia was mixed.Tokyo, Hong Kong, Singapore, Manila and Taipei were all in the red, while Shanghai, Sydney, Seoul, Wellington, Mumbai, Bangkok and Jakarta rose.Europe a enjoyed a healthy start to the day, with London, Paris and Frankfurt all up in the morning.The euro held its losses from Monday, having taken a hit from worries about the effects of the trade deal on the eurozone.The first of two days of negotiations between top US and Chinese officials in Stockholm concluded Monday with no details released, though there are hopes they will agree to extend a 90-day truce that ends on August 12.The two imposed triple-digit tariffs on each other earlier this year in a tit-for-tat escalation, but then walked them back under the temporary agreement reached in May.Investors are also looking ahead to a busy few days that includes earnings from tech titans Apple, Microsoft, Meta and Amazon, as well as data on US economic growth and jobs creation.That all comes as the Fed concludes its policy meeting amid increasing pressure from Trump to slash rates, even with inflation staying stubbornly high.While it is expected to stand pat on borrowing costs, its post-meeting statement and comments from boss Jerome Powell will be pored over for clues about its plans for the second half of the year in light of the tariffs.Oil prices extended Monday’s rally after Trump shortened a deadline for Russia to end its war in Ukraine to August 7 or 9, following which he vowed to sanction countries buying its crude.- Key figures at around 0715 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.8 percent at 40,674.55 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 25,524.45 (close)Shanghai – Composite: UP 0.3 percent at 3,609.71 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,092.87Euro/dollar: DOWN at $1.1550 from $1.1597 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.3325 from $1.3356Dollar/yen: UP at 148.61 yen from 148.52 yenEuro/pound: DOWN at 86.68 pence from 86.80 penceWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $66.77 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $70.09 per barrelNew York – Dow: DOWN 0.1 percent at 44,837.56 (close)

Gunmen involved in Indian Kashmir tourist attack killed: minister

Indian security forces have killed three Pakistani gunmen who were involved in an April attack on Hindu tourists in Indian Kashmir that led to an intense military conflict between the two countries, home minister Amit Shah said on Tuesday.The heavily-armed men were killed in a military operation on Monday, more than three months after 26 people were gunned down in a popular resort town of Indian Kashmir on April 22.”I want to tell the parliament (that) those who attacked in Baisaran were three terrorists and all three have been killed,” he said.Shah said all three were Pakistani nationals and identified two of them as members of Lashkar-e-Taiba, a UN-designated terrorist group based in Pakistan.”Indian security agencies have detailed evidence of their involvement in the attack,” he said in a speech in the lower house of parliament.Monday’s operation took place in the mountains of Dachigam, around 30 kilometres (18 miles) from the disputed region’s main city of Srinagar, the army said in a statement.The attack in April saw gunmen burst out of forests near Pahalgam and rake crowds of visitors with automatic weapons.All those killed were listed as residents of India except one man from Nepal. Survivors said gunmen had separated the men from the women and children and ordered some of the men to recite the Muslim declaration of faith.India accused Pakistan of backing the attackers, a charge Islamabad denied, sparking an intense four-day conflict between the nuclear-armed rivals in May that killed more than 70 people on both sides.Muslim-majority Kashmir has been divided between India and Pakistan since their independence from British rule in 1947, and the neighbours — who both claim the region in full — have fought two wars and several conflicts over its control.Shah said a security meeting was held immediately after the attack and it was decided that the attackers should not be “allowed to leave the country and return to Pakistan”.Investigators relied on eyewitness accounts and forensic evidence to establish that the rifles found on the men were the same that were used in the April attack, he said.”It was confirmed that these three rifles were involved in killing of our innocent civilians,” said Shah.A shadowy group called The Resistance Front (TRF) initially claimed responsibility for the April attack.But as public criticism mounted over the killings, the group retracted its claim. Earlier this month, the United States described the TRF as a “front and proxy” of Lashkar-e-Taiba.