Macron à Mayotte pour donner “un coup d’accélérateur” à la reconstruction
Emmanuel Macron multiplie les rencontres lundi à Mayotte pour donner “un coup d’accélérateur” à la reconstruction de l’archipel meurtri en décembre par le cyclone Chido, avant de présenter un plan de “refondation” du département, le plus pauvre de France.Quatre mois après le passage du cyclone qui a fait quelque 40 morts et causé 3,5 milliards d’euros de dommages, le chef de l’Etat est venu faire “le constat de ce qui est bien fait, ce qui n’est pas assez bien fait” et “donner le cap”, a-t-il dit à sa descente d’avion, accompagné de son épouse Brigitte, des ministres Manuel Valls (Outre-mer), Annie Genevard (Agriculture), Yannick Neuder (Santé) et Thani Mohamed-Soilihi (Francophonie).Il s’est ensuite rendu à Tsingoni (ouest) où il était déjà venu en décembre échanger avec des habitants toujours en détresse. Les réseaux d’eau, d’électricité et de télécommunications ont été rétablis dans la commune, mais le reste se fait attendre.”Le moral n’est pas tellement bon”, lui lance une femme alors que des chants traditionnels retentissent. Une autre se plaint du retard des assureurs. “On a toujours pas été relogé, pourtant je leur ai envoyé tous les papiers.””On est à la traîne par rapport à ce que vous avez fait pour La Réunion”, frappée en février par le cyclone Garance, déplore un travailleur du BTP.Au centre hospitalier de Mamoudzou, l’inquiétude est aussi palpable. Il nous faut “plus de moyens, plus de personnel, et dans la durée”, dit une infirmière au chef de l’Etat. Le personnel s’inquiète de la progression du chikungunya, qui frappe déjà durement La Réunion (6 morts).”On va y arriver. On essaie de trouver des solutions”, commente la cheffe adjointe des urgences avant qu’Emmanuel Macron remercie le personnel pour sa “mobilisation”.Alors que Mayotte est confronté à un défi migratoire, notamment en provenance des Comores voisines, le président a aussi rencontré des agents engagés dans la lutte contre l’immigration clandestine et est monté à bord d’une vedette d’interception sur le canal du Mozambique.- “Je suis lucide” -Il est arrivé avec, dans ses cartons, un projet de loi de programmation pour “la refondation” de l’archipel, qui vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, l’habitat illégal, l’insécurité et à soutenir l’économie locale.Il va présenter ce texte, attendu depuis des années, à des élus mahorais, avant de l’entériner dans la soirée par un Conseil des ministres spécial qu’il présidera en visioconférence depuis l’avion qui le mènera de Mayotte à La Réunion, deuxième étape de sa tournée de cinq jours dans l’océan Indien.”Je suis lucide, ce n’est pas un texte de loi qui réglera la situation”, a-t-il expliqué lundi. “C’est une volonté de chaque instant (…) pour régler les problèmes de fond”, auxquels est confronté l’archipel. “Nous avons de grandes entreprises françaises qui vont se déployer” à Mayotte, a-t-il promis.En attendant, les Mahorais attendent toujours le début des grands chantiers.Le Parlement a certes adopté en février une loi d’urgence qui prévoit des assouplissements aux règles d’urbanisme et des facilités fiscales pour booster la reconstruction.Mais entre manque de financements, coordination laborieuse et pénurie de matériaux, le processus patine. Et les habitations de fortune en tôle sont réapparues aussi vite qu’elles avaient été soufflées.Environ un tiers de la population, soit plus de 100.000 habitants, notamment les personnes en situation irrégulière venant des Comores, vivent dans des logements précaires.- “Convergence sociale” -Mayotte, où Marine Le Pen a réalisé un de ses meilleurs scores à la présidentielle de 2022 (59% au second tour), reste aussi un enjeu politique majeur.”Les Mahorais ne peuvent plus attendre: l’Etat doit urgemment venir en aide à ce territoire français !”, a martelé sur X le RN avant la visite présidentielle. Le projet de loi prévoit de durcir les conditions d’obtention du titre de séjour dans l’archipel ainsi qu’une extension de l’aide au retour volontaire.Il entend aussi faciliter les évacuations d’habitats insalubres dans les bidonvilles et les saisies d’armes dans un département à l’insécurité rampante.Mayotte, où le taux de chômage atteignait 37% et le niveau de vie restait sept fois plus faible qu’ailleurs en France avant le passage de Chido, doit devenir une zone franche globale, avec des abattements fiscaux à 100%.Le projet de loi prévoit aussi une “convergence sociale” entre la métropole et l’archipel où les minima sociaux, comme le RSA, sont aujourd’hui 50% inférieurs.
Macron à Mayotte pour donner “un coup d’accélérateur” à la reconstruction
Emmanuel Macron multiplie les rencontres lundi à Mayotte pour donner “un coup d’accélérateur” à la reconstruction de l’archipel meurtri en décembre par le cyclone Chido, avant de présenter un plan de “refondation” du département, le plus pauvre de France.Quatre mois après le passage du cyclone qui a fait quelque 40 morts et causé 3,5 milliards d’euros de dommages, le chef de l’Etat est venu faire “le constat de ce qui est bien fait, ce qui n’est pas assez bien fait” et “donner le cap”, a-t-il dit à sa descente d’avion, accompagné de son épouse Brigitte, des ministres Manuel Valls (Outre-mer), Annie Genevard (Agriculture), Yannick Neuder (Santé) et Thani Mohamed-Soilihi (Francophonie).Il s’est ensuite rendu à Tsingoni (ouest) où il était déjà venu en décembre échanger avec des habitants toujours en détresse. Les réseaux d’eau, d’électricité et de télécommunications ont été rétablis dans la commune, mais le reste se fait attendre.”Le moral n’est pas tellement bon”, lui lance une femme alors que des chants traditionnels retentissent. Une autre se plaint du retard des assureurs. “On a toujours pas été relogé, pourtant je leur ai envoyé tous les papiers.””On est à la traîne par rapport à ce que vous avez fait pour La Réunion”, frappée en février par le cyclone Garance, déplore un travailleur du BTP.Au centre hospitalier de Mamoudzou, l’inquiétude est aussi palpable. Il nous faut “plus de moyens, plus de personnel, et dans la durée”, dit une infirmière au chef de l’Etat. Le personnel s’inquiète de la progression du chikungunya, qui frappe déjà durement La Réunion (6 morts).”On va y arriver. On essaie de trouver des solutions”, commente la cheffe adjointe des urgences avant qu’Emmanuel Macron remercie le personnel pour sa “mobilisation”.Alors que Mayotte est confronté à un défi migratoire, notamment en provenance des Comores voisines, le président a aussi rencontré des agents engagés dans la lutte contre l’immigration clandestine et est monté à bord d’une vedette d’interception sur le canal du Mozambique.- “Je suis lucide” -Il est arrivé avec, dans ses cartons, un projet de loi de programmation pour “la refondation” de l’archipel, qui vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, l’habitat illégal, l’insécurité et à soutenir l’économie locale.Il va présenter ce texte, attendu depuis des années, à des élus mahorais, avant de l’entériner dans la soirée par un Conseil des ministres spécial qu’il présidera en visioconférence depuis l’avion qui le mènera de Mayotte à La Réunion, deuxième étape de sa tournée de cinq jours dans l’océan Indien.”Je suis lucide, ce n’est pas un texte de loi qui réglera la situation”, a-t-il expliqué lundi. “C’est une volonté de chaque instant (…) pour régler les problèmes de fond”, auxquels est confronté l’archipel. “Nous avons de grandes entreprises françaises qui vont se déployer” à Mayotte, a-t-il promis.En attendant, les Mahorais attendent toujours le début des grands chantiers.Le Parlement a certes adopté en février une loi d’urgence qui prévoit des assouplissements aux règles d’urbanisme et des facilités fiscales pour booster la reconstruction.Mais entre manque de financements, coordination laborieuse et pénurie de matériaux, le processus patine. Et les habitations de fortune en tôle sont réapparues aussi vite qu’elles avaient été soufflées.Environ un tiers de la population, soit plus de 100.000 habitants, notamment les personnes en situation irrégulière venant des Comores, vivent dans des logements précaires.- “Convergence sociale” -Mayotte, où Marine Le Pen a réalisé un de ses meilleurs scores à la présidentielle de 2022 (59% au second tour), reste aussi un enjeu politique majeur.”Les Mahorais ne peuvent plus attendre: l’Etat doit urgemment venir en aide à ce territoire français !”, a martelé sur X le RN avant la visite présidentielle. Le projet de loi prévoit de durcir les conditions d’obtention du titre de séjour dans l’archipel ainsi qu’une extension de l’aide au retour volontaire.Il entend aussi faciliter les évacuations d’habitats insalubres dans les bidonvilles et les saisies d’armes dans un département à l’insécurité rampante.Mayotte, où le taux de chômage atteignait 37% et le niveau de vie restait sept fois plus faible qu’ailleurs en France avant le passage de Chido, doit devenir une zone franche globale, avec des abattements fiscaux à 100%.Le projet de loi prévoit aussi une “convergence sociale” entre la métropole et l’archipel où les minima sociaux, comme le RSA, sont aujourd’hui 50% inférieurs.
Mort du pape: A Notre-Dame de Paris, croyants et touristes choqués et attristés
REVOICI pour clients multimédia”Difficile de trouver quelqu’un d’autre aussi humain”: sur le parvis de Notre-Dame, touristes et fidèles disaient leur tristesse, en ce lundi de Pâques, à l’annonce de la mort du pape François.Sur le parvis bondé de touristes faisant la queue, vers 11H00, pour entrer dans la cathédrale récemment rouverte au public après son terrible incendie d’avril 2019, beaucoup ne sont pas encore au courant de la mort de François. D’autres apprennent la mort du pape sur leur smartphone.  Croyants ou non, ils se disent “tristes et choqués”, à l’instar de Patricia, qui ne souhaite pas donner son nom de famille, compatriote argentine de Jorge Mario Bergoglio.”Il représentait la paix”, affirme Martin, un jeune Français de 15 ans. “Il était un exemple à suivre”, rend hommage Thomas Presley, Américain venu de Caroline du Nord.”Ca va être dur de travailler aujourd’hui!” affirme Renato Bustamente, guide colombien, qui soupire: “ça faisait longtemps qu’on n’avait pas eu un pape latino-américain, qui parle espagnol”. Très ému, ce catholique ne parvient à retenir ses larmes en évoquant un homme qui “a fait beaucoup pour intégrer tout le monde a l’Eglise, les pauvres, les discriminés”.”Ca me touche, il avait proposé des choses intéressantes. J’espère que ce sera suivi et qu’on gardera certaines valeurs. Je l’ai trouvé moderne parce qu’il a parlé à tout le monde”, témoigne Guillaume Georget, chef d’entreprise. Johanne Turgeon, Canadienne aux cheveux blancs, se dit “triste” et estime “difficile de trouver quelqu’un d’autre aussi humain”. – Messes et veillée -A 11H00 précises, les cloches de la cathédrale sonnent 88 coups en hommage au pape décédé à l’âge de 88 ans. La série est conclue par une grande volée sous un ciel d’épais nuages gris.”Je demande aux curés de Paris de faire sonner à 12h les cloches des églises paroissiales de tout notre diocèse”, a affirmé dans un communiqué l’archevêque de Paris Laurent Ulrich, en rendant hommage à un pape “aussi libre dans sa parole que dans ses décisions”.A l’intérieur de l’édifice religieux emblématique de Paris, un grand portrait de François trône déjà à côté du cierge pascal allumé samedi soir pendant la vigie. Une messe à l’intention du pape a commencé à midi. “Aujourd’hui cette action de grâce prend un caractère particulier”, lance l’abbé Bertrand Dufour, chapelain de la cathédrale, en rappelant l'”espérance prônée par le pape François qui a fait le thème du jubilé”, une célébration ayant lieu tous les 25 ans dans l’Eglise catholique.Une autre messe est prévue à 18H00 en présence d’officiels. A ce titre, la cathédrale sera fermée dès 16H00. Vers 19H00 lundi, un chapelet, série de prières, sera dit à Notre-Dame puis à 20H00 une veillée sera organisée sans durée fixée.La messe de 8H30 mardi sera également dite à l’intention du souverain pontife.La mort de François, survenue au lendemain du dimanche de Pâques qui marque pour les catholiques la résurrection de Jésus, prend une résonance particulière pour les fidèles sur le parvis.”Je regardais encore hier la messe qui aurait dû être dite par le pape. Il n’avait pas l’air en grande forme!”, commente Myriam Dupuis, guide conférencière. “Il a essayé de faire avancer certaines choses au niveau de l’Eglise, c’est plus difficile qu’on ne le pense. Il y avait une tentative d’évolution pour aller vers un monde plus moderne” mais “on ne sait pas ce qui va se passer, il va y avoir une lutte pour le pouvoir…”, pronostique-t-elle avant d’ajouter: “Ca se passe un jour de Pâques, c’est peut-être un message divin !”Franck Sauvaget-Sidon écoute les 88 coups de cloches. “La fête de Pâques c’est la résurrection, il a tenu péniblement jusqu’à cette date. (…) Il savait ses jours comptés, pour lui la pression est retombée” après le dimanche de Pâques, observe le Mayennais.
African leaders praise Pope Francis’s ‘legacy of compassion’Mon, 21 Apr 2025 12:56:43 GMT
African leaders praised the “legacy of compassion” and “commitment to inclusivity” of Pope Francis as they joined global mourning over his death on Monday. Francis, an energetic reformer who inspired widespread devotion from Catholics but riled traditionalists, died aged 88.The chairman of the African Union Commission, Mahmoud Ali Youssouf, praised “the Pope’s courageous engagement with the …
Mehidy’s five wickets help Bangladesh fight back in first Zimbabwe Test
Bangladesh ended the second day of the first Test against Zimbabwe on Monday trailing by only 25 runs after spinner Mehidy Hasan Miraz took five wickets to restrict the visitors to 273 in their first innings.It was a comeback for Bangladesh after a disappointing first day when skipper Najmul Hossain Shanto won the toss in Sylhet and decided to bat first.However, his batters failed to capitalise and were bowled out by an impressive Zimbabwe attack for a modest 191.Zimbabwe then piled on the misery by racing to 67-0 by the end of play on the first day.Starting from a commanding position, both Zimbabwe openers fell early on the second day to aggressive pace bowling by Nahid Rana.Ben Curran was the first to go on 18 and his partner Brian Bennett, who hit an aggressive 64-ball 57, was removed soon after with the score on 88-2.Sean Williams (59) was the only other Zimbabwe batter to reach fifty.Wessly Madhevere (24), Nyasha Mayavo (35) and Richard Ngarava (28) all failed to build bigger scores.Off-spinner Mehidy took the key wickets of Williams, Mayavo and Ngarava to finish with 5-52 on a wicket that was expected to help the pace bowlers.Nahid took 3-74 with aggressive bowling in support of Mehidy.Starting the second innings with an 82-run deficit, Bangladesh lost Shadman Islam on 4 to Blessing Muzarabani with the score on 13. His opening partner Mahmudul Hasan Joy soldiered on to 28 in an unbeaten 44-run partnership with Mominul Haque, on 15, to end the day at 57-1.Shanto must now hope that they can make the most of the friendly home conditions to set an imposing target for the visitors.Bangladesh have been formidable on the slow and spin-friendly home pitches but have several veterans missing.They have won eight of the 18 Tests against Zimbabwe, their highest total against any Test side, including four of the past five.The second and final Test will be played in Chattogram from April 28.Day 2 scores:1st innings: Bangladesh 191 all out (Mominul Haque 56, Najmul Hossain Shanto 40; Blessing Muzarabani 3-50, Wellington Masakadza 3-21)1st innings: Zimbabwe 273 all out (Brian Bennett 57, Sean Williams 59; Mehidy Hasan Miraz 5-52, Nahid Rana 3-74)2nd innings: Bangladesh 57-1 (Mahmudul Hasan Joy 28 not out, Mominul Haque 15 not out; Blessing Muzarabani 1-21)
Prayers, disbelief in East Timor after Pope Francis death
Locals in Catholic-majority East Timor held prayers after the death of Pope Francis on Monday, while others refused to accept the news of the late pontiff’s passing.In capital Dili, Catholic worshippers took a moment to remember the pope, who died aged 88 months after he received a rockstar welcome in the city as part of a marathon four-nation tour.”When I hear and see (the news) on social media, I was… very, very sad because of the loss of a Pope that was known in the world, particularly in East Timor,” said 40-year-old Maria at a Catholic church, declining to give her last name.”He was a simple man, a very humble man, a figure that gets close with the common people. We really miss Pope Francis.”East Timor President Jose Ramos-Horta, who hosted Pope Francis, mourned his death but hailed his “very brave” fight for peace and the world’s poorest people.Cardinal Virgilio do Carmo da Silva, the archbishop of Dili, said the Vatican flag would be flown at half mast at his residence, while a mass would be held across the country’s churches in the coming days.The Argentine pontiff visited East Timor — one of the world’s poorest countries — in September on a trip that included Indonesia, Papua New Guinea and Singapore in between bouts of ill health.He held a mass on the outskirts of Dili that authorities said attracted almost half of the country’s 1.3 million people.”I am very shocked and sad to hear this news. I enjoyed seeing so many enthusiastic people who wanted to see the Pope,” said student Glenn Bawakana Soares, 22.On that visit the first Latin American pontiff made a pointed call to East Timor’s leaders to do more on all forms of abuse, after several high-profile child abuse scandals involving members of the nation’s clergy.”We are all called to do everything possible to prevent every kind of abuse and guarantee a healthy and peaceful childhood for all young people,” he said in a speech in Dili.- ‘Don’t accept’ -Recent abuse cases in East Timor include Nobel-winning Bishop Carlos Ximenes Belo, who the Vatican secretly punished over allegations he sexually abused young children for decades.In another case, defrocked American priest Richard Daschbach was found guilty in 2021 of abusing orphaned, disadvantaged girls and sentenced to 12 years in prison.Pope Francis did not mention a specific case or acknowledge any Vatican responsibility. Meanwhile some Timorese were refusing to accept that the energetic reformer had died, especially on Easter Monday.”There are those who believe it and also think this is a lie. They think this is fake news,” student Soares said. “They don’t accept reality.”Others saw his legacy as one paving a path for future pontiffs to speak out for the most underprivileged in society.”A revolutionary pope, he is the hope of marginalised people but his health did not let him live long enough to defend his work,” Ato Lekinawa Costa, chief editor of Timorese news site Neon Metin, told AFP.”The wave of goodbye in his visit last year means forever now, but hopefully next Pope will carry on Pope Francis good work and commitment.”