Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts à Gaza selon la Défense civile

Le Hamas a annoncé vendredi mener des discussions avec d’autres mouvements palestiniens sur une proposition de trêve avec Israël dans la bande de Gaza, où la Défense civile a fait état de 52 morts dans l’offensive israélienne.L’annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre.”Nous menons des consultations avec les chefs des factions palestiniennes au sujet de la proposition envoyée par les médiateurs”, a dit dans un communiqué le mouvement islamiste Hamas, dont l’attaque sans précédent le 7 octobre 2023 contre Israël a déclenché la guerre. Selon une source palestinienne, la proposition “comprend une trêve de 60 jours” pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Dans le même temps, l’armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d’aide humanitaire.A l’hôpital Nasser de Khan Younès (sud), où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts.A côté, des femmes en pleurs entourent le corps d’un proche.”Mon fils est allé chercher de la farine! Ils nous disent ‘venez chercher les aides’, nous y allons et ils nous tirent dessus”, se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d’un site de distribution d’aide.- “Jusqu’à la racine” -La distribution de l’aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.L’ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près des sites de la GHF. La fondation nie tout incident “à proximité” de ses sites.Interrogé sur les bombardements rapportés par la Défense civile, l’armée israélienne a déclaré “mener des opérations pour démanteler les capacités militaires du Hamas”. Elle a fait état de “la mort au combat” d’un soldat à Gaza.L’ONG Médecins sans frontières a affirmé de son côté qu’un de ses anciens collaborateurs, Abdallah Hammad, figurait parmi les Palestiniens tués jeudi alors qu’ils attendaient des camions d’aide près de Khan Younès. “Nous sommes révoltés et attristés par sa mort”, a dénoncé MSF.Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile à Gaza.Cette semaine, M. Netanyahu a redit vouloir éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas, l’un des buts affichés de la guerre, avec le retour des otages et le contrôle de Gaza.Il a aussi promis de ramener “tous” les otages, “sans exception”.Sur les 251 personnes enlevées durant l’attaque du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- “Un grand et bel accord” -A Tel-Aviv, les familles des otages ont manifesté devant une annexe de l’ambassade des Etats-Unis pour réclamer un “grand et bel accord pour les otages” et un cessez-le-feu, en allusion à la “grande et belle” loi budgétaire de Donald Trump.M. Trump a assuré mardi que Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, évoquant un accord proche.Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu “permanent” et un retrait israélien de Gaza.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, négociées via le Qatar, les Etats-Unis et l’Egypte, ont permis le retour de nombreux otages israéliens et la libération de prisonniers palestiniens.Faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a repris le 18 mars son offensive contre Gaza, où les quelque deux millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l’ONU et des ONG.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués à Gaza dans l’offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Le Hamas étudie une offre de trêve, 52 morts à Gaza selon la Défense civile

Le Hamas a annoncé vendredi mener des discussions avec d’autres mouvements palestiniens sur une proposition de trêve avec Israël dans la bande de Gaza, où la Défense civile a fait état de 52 morts dans l’offensive israélienne.L’annonce du Hamas intervient avant un déplacement lundi à Washington du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu pour rencontrer le président Donald Trump, lequel fait pression pour un cessez-le-feu à Gaza, dévastée par près de 21 mois de guerre.”Nous menons des consultations avec les chefs des factions palestiniennes au sujet de la proposition envoyée par les médiateurs”, a dit dans un communiqué le mouvement islamiste Hamas, dont l’attaque sans précédent le 7 octobre 2023 contre Israël a déclenché la guerre. Selon une source palestinienne, la proposition “comprend une trêve de 60 jours” pendant laquelle le Hamas relâcherait la moitié des otages israéliens encore en vie en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël.Dans le même temps, l’armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile faisant état de 52 Palestiniens tués dans les raids aériens, bombardements et tirs, dont 11 près de sites d’aide humanitaire.A l’hôpital Nasser de Khan Younès (sud), où ont été transportés des corps de Palestiniens enveloppés dans des linceuls en plastique, des hommes récitent la prière des morts.A côté, des femmes en pleurs entourent le corps d’un proche.”Mon fils est allé chercher de la farine! Ils nous disent ‘venez chercher les aides’, nous y allons et ils nous tirent dessus”, se lamente Nidaa al-Farra, qui a perdu son fils de 19 ans près d’un site de distribution d’aide.- “Jusqu’à la racine” -La distribution de l’aide est gérée depuis fin mai par la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), une entreprise au financement opaque soutenue par Israël et les Etats-Unis.L’ONU a affirmé que plus de 500 personnes avaient été tuées depuis fin mai près des sites de la GHF. La fondation nie tout incident “à proximité” de ses sites.Interrogé sur les bombardements rapportés par la Défense civile, l’armée israélienne a déclaré “mener des opérations pour démanteler les capacités militaires du Hamas”. Elle a fait état de “la mort au combat” d’un soldat à Gaza.L’ONG Médecins sans frontières a affirmé de son côté qu’un de ses anciens collaborateurs, Abdallah Hammad, figurait parmi les Palestiniens tués jeudi alors qu’ils attendaient des camions d’aide près de Khan Younès. “Nous sommes révoltés et attristés par sa mort”, a dénoncé MSF.Compte tenu des restrictions imposées par Israël aux médias et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les affirmations de la Défense civile à Gaza.Cette semaine, M. Netanyahu a redit vouloir éliminer “jusqu’à la racine” le Hamas, l’un des buts affichés de la guerre, avec le retour des otages et le contrôle de Gaza.Il a aussi promis de ramener “tous” les otages, “sans exception”.Sur les 251 personnes enlevées durant l’attaque du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- “Un grand et bel accord” -A Tel-Aviv, les familles des otages ont manifesté devant une annexe de l’ambassade des Etats-Unis pour réclamer un “grand et bel accord pour les otages” et un cessez-le-feu, en allusion à la “grande et belle” loi budgétaire de Donald Trump.M. Trump a assuré mardi que Israël avait accepté de finaliser les termes d’un cessez-le-feu et exhorté le Hamas à l’accepter, évoquant un accord proche.Le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, réclame publiquement un cessez-le-feu “permanent” et un retrait israélien de Gaza.Une première trêve d’une semaine en novembre 2023 puis une seconde de deux mois début 2025 à Gaza, négociées via le Qatar, les Etats-Unis et l’Egypte, ont permis le retour de nombreux otages israéliens et la libération de prisonniers palestiniens.Faute d’accord sur la suite du cessez-le-feu, Israël a repris le 18 mars son offensive contre Gaza, où les quelque deux millions de Palestiniens vivent dans conditions terribles selon l’ONU et des ONG.L’attaque du 7-Octobre a fait 1.219 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles.Au moins 57.268 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués à Gaza dans l’offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Hamas says holding consultations on Gaza truce proposal

Hamas said Friday it was holding consultations with other Palestinian factions on a proposal for a ceasefire in Gaza, where the civil defence agency said Israel’s ongoing offensive killed more than 50 people.The statement came ahead of a visit on Monday by Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu to Washington, where President Donald Trump is pushing for an end to the war now in its 21st month.The conflict in Gaza began with Hamas’s unprecedented attack on Israel on October 7, 2023, which sparked a massive Israeli offensive aimed at destroying Hamas and bringing home all the hostages seized by militants.Two previous ceasefires brokered by Qatar, Egypt and the United States have seen temporary halts in fighting, coupled with the return of Israeli hostages in exchange for Palestinian prisoners.Hamas said in a statement early Friday it was “conducting consultations with leaders of Palestinian forces and factions regarding the proposal received… from the mediators”.Hours earlier, Netanyahu vowed to bring home all the hostages held by militants in Gaza, after coming under massive domestic pressure over their fate.”I feel a deep commitment, first and foremost, to ensure the return of all our abductees, all of them,” Netanyahu said.Trump said on Thursday he wanted “safety for the people of Gaza”.”They’ve gone through hell,” he said.- 60-day truce proposal -A Palestinian source familiar with the negotiations told AFP earlier this week that the latest proposals included “a 60-day truce, during which Hamas would release half of the living Israeli captives in the Gaza Strip” — thought to number 22 — “in exchange for Israel releasing a number of Palestinian prisoners and detainees”.Out of 251 hostages seized by Palestinian militants during the October 2023 attack, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.Nearly 21 months of war have created dire humanitarian conditions for the more than two million people in the Gaza Strip, where Israel has recently expanded its military operations.The military said in a statement it had been striking suspected Hamas targets across the territory, including around Gaza City in the north and Khan Yunis and Rafah in the south.- Civil defence says aid-seekers killed -Gaza civil defence official Mohammad al-Mughayyir said Israeli strikes and gunfire killed at least 52 people on Friday.The Israeli military said it was looking into reports, except a handful of incidents for which it requested coordinates and timeframes.In a separate statement, it said a 19-year-old sergeant “fell during combat in the southern Gaza Strip”.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency.Mughayyir said the Palestinians killed included five who were shot while waiting for aid near a US-run site near Rafah in southern Gaza and several who were waiting for aid near the Wadi Gaza Bridge in the centre of the territory.They were the latest in a spate of deaths near aid distribution centres in the devastated territory, which UN agencies have warned is on the brink of famine.At Nasser hospital in Khan Yunis, crowds mourned 16 people killed on Thursday by what the civil defence agency said was shooting close to a nearby aid centre.”I lost my brother in the American distribution centre that they set up to feed people,” cried one mourner, Narmin Abu Muammar.”They are killing people, not feeding them.”Medical aid charity Doctors Without Borders said Abdullah Hammad, who recently finished a contract working for it, was among those killed in Thursday’s shooting.It said he was the 12th colleague the group had lost in the Gaza war.”We demand an end to this bloodshed,” MSF said in a statement.The US- and Israeli-run Gaza Humanitarian Foundation has distanced itself from reports of deadly incidents near its sites.- Displaced civilians -The civil defence official told AFP that eight people, including a child, were killed in an Israeli air strike on the tents of displaced civilians near Khan Yunis.Mughayyir said eight more people were killed in two other strikes on camps on the coast, including one that killed two children early Friday.The Israeli military said it was operating throughout Gaza “to dismantle Hamas military capabilities”.The Hamas attack of October 2023 resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli official figures.Israel’s retaliatory military campaign has killed at least 57,268 people in Gaza, also mostly civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The United Nations considers the figures reliable.

Search on for survivors of Pakistan building collapse

A five-storey building collapsed in Pakistan on Friday, killing at least eight people and injuring nine others, officials said, with rescuers searching through the rubble for more trapped victims.The incident happened shortly after 10:00 am (0500 GMT) in the impoverished Lyari neighbourhood of Karachi, which was once plagued by gang violence and considered one of the most dangerous areas in Pakistan. Up to 100 people had been living in the building, senior police officer Arif Aziz told AFP. Shankar Kamho, 30, a resident of the building who was out at the time, said around 20 families were living inside.”I got a call from my wife saying the building was cracking and I told her to get out immediately,” he told AFP at the scene.”She went to warn the neighbours, but one woman told her ‘this building will stand for at least 10 more years’. Still, my wife took our daughter and left. About 20 minutes later, the building collapsed.” The Sindh provincial health department said the death toll had risen to eight killed and nine injured late Friday.The search for survivors continued into the night, with relatives gathered near the site waiting for news. Saad Edhi, of the Edhi welfare foundation that is part of the rescue operation, told AFP there could be “at least eight to 10 more people still trapped”, describing it as a “worn-out building”.- Race against time -Nearby residents rushed to save their neighbours before rescuers took over to remove the rubble, along with at least five excavators.The heavy machinery struggled to access the narrow alleys, and police baton-charged residents to clear the way.All six family members of 70-year-old Jumho Maheshwari were at his flat on the first floor when he left for work early in the morning.”Nothing is left for me now — my family is all trapped and all I can do is pray for their safe recovery,” he told AFP.Another resident, Maya Sham Jee, said her brother’s family was also trapped under the rubble.”It’s a tragedy for us. The world has been changed for our family,” she told AFP.”We are helpless and just looking at the rescue workers to bring our loved ones back safely.”In June 2020, at least 18 people were killed when a residential building housing about 40 apartments collapsed in the same area of the city.Roof and building collapses are common across Pakistan, mainly because of poor safety standards and shoddy construction materials in the South Asian country of more than 240 million people.But Karachi, home to more than 20 million, is especially notorious for poor construction, illegal extensions, ageing infrastructure, overcrowding, and lax enforcement of building regulations.

India on top despite Smith and Brook’s hundred heroics in 2nd Test

Jamie Smith made the highest Test score by an England wicketkeeper of 184 not out and Harry Brook passed 150 again but India still ended Friday’s third day of the second Test at Edgbaston with a lead of over 200 runs.England were in dire straits at 84-5, more than 500 runs behind, when Smith joined forces with Brook in just the second over of the day’s play.They came together after Mohammed Siraj had taken two wickets in two balls, including removing Ben Stokes for the first golden duck of the England captain’s Test career.  But England’s sixth-wicket duo went on to add 303 runs before Brook fell for 158.And by the time England were dismissed for 407, Smith had surpassed Surrey mentor Alec Stewart’s previous highest Test score by an England wicketkeeper of 173 against New Zealand at Auckland in 1997.But the new ball proved England’s undoing for the second time in the match as they lost their last five wickets for 20 runs. Siraj (6-70) and fellow paceman Akash Deep (4-88), in for the rested Jasprit Bumrah, did the damage between them in an England innings featuring six ducks. India, looking to level the series after last week’s five-wicket loss in the first Test at Headingley, led by 180 runs on first innings, with captain Shubman Gill’s superb 269 the cornerstone of their 587 all out.And they had extended that advantage to 244 runs at the close, with India 64-1 in their second innings after gifted left-hander Yashasvi Jaiswal, whose 28 featured six fours, was lbw to fast bowler Josh Tongue.A rueful Brook told Sky Sports: “Up until I got out I felt like we were almost clawing it back, but our tail had a collapse, as we saw with them (India).”Smith’s hundred was just the second of his 12-Test career following the 24-year-old’s 111 against Sri Lanka at Old Trafford last year and Brook forecast a glittering future for his team-mate.- ‘Phenomenal’ -“It was good to spend some time out there with Smudge (Smith), he’s got a long career ahead with England and he’s a phenomenal player,” said Brook.England resumed on 77-3, with Joe Root and Brook — the world’s two top-ranked Test batsmen — 18 not out and 30 not out.But Root soon glanced fast bowler Siraj to wicketkeeper Rishabh Pant.Next ball, Stokes was undone by a superb rising delivery from Siraj that he edged behind, reducing England to 84-5.Smith, however, survived the hat-trick by straight-driving Siraj for four.It was the start of a blistering 80-ball hundred that included 14 fours and three sixes as Smith joined a select group of batsmen to have made 100 runs before lunch in a session of Test cricket.India had rested Bumrah, the world’s number one ranked Test bowler, in order to protect the fast bowler’s fitness in a series where he is expected to feature in just three out of five matches.But in his absence, Smith smashed 22 runs in a single over from paceman Prasidh Krishna, including a six and four fours.Smith, showing no obvious ill effects from the strain of keeping wicket for 151 overs struck consecutive fours off experienced left-arm spinner Ravindra Jadeja in the last over before lunch to complete an astounding century.Brook, 91 not out at the interval went to a hundred after giving his wicket away on 99 in the first Test and went on to exceed 150 for the fifth time in his nine hundreds at this level.But Deep eventually broke through with the new ball by bowling Brook with a fine delivery that darted back off the seam. Deep also removed Chris Woakes for five on the Warwickshire all-rounder’s home ground. He had previously reduced England to 13-2 by dismissing Ben Duckett and Ollie Pope for ducks.Smith smashed Deep for six over long-on to raise England’s 400 but Siraj cleaned up the tail as Brydon Carse, Tongue and Shoaib Bashir failed to manage a run between them.

Grève de contrôleurs aériens: nouvelle journée de galère pour les vacanciers, 1.125 vols annulés

Une deuxième journée de grève des contrôleurs aériens a bousculé l’organisation du tout début des vacances pour de nombreux voyageurs, 1.125 vols ayant été annulés vendredi en France, en particulier dans les aéroports parisiens et à Nice.”Il faut se rendre compte qu’hier et aujourd’hui, 272 personnes dans notre pays vont impacter le bien-être de plus de 500.000 personnes. C’est inacceptable”, a déclaré vendredi sur CNews le ministre des Transports Philippe Tabarot. Des centaines de milliers de personnes ont déjà été affectées jeudi en France et en Europe par ce mouvement social, déclenché par deux syndicats minoritaires qui réclament une amélioration de leurs conditions de travail et des effectifs plus importants.Les préavis de grève couraient jusqu’à vendredi soir et aucune perturbation n’est donc prévue samedi.Parmi les voyageurs: Hugo Alvarez, qui devait rentrer à Paris vendredi d’une mission humanitaire en Afghanistan. Il devrait finalement arriver samedi dans la matinée. “C’est pénible, je suis bien épuisé après trois semaines de mission en Afghanistan, ma femme et ma fille m’attendaient de pied ferme aujourd’hui”, raconte-t-il à l’AFP. “Après il n’y a pas mort d’hommes, je soutiens les grèves de manière générale.”A l’aéroport d’Orly vendredi matin, d’autres voyageurs étaient désemparés.Sabrina Taristas, 42 ans, cherchait à partir à Toulouse. “Si je reste jusqu’à dimanche pour un départ, est-ce qu’il y aura un hôtel de prévu ? Ou est-ce que tout sera à ma charge ? (…) On ne peut pas aller à l’encontre de la grève, mais après c’est vrai que c’est pénalisant pour nous les voyageurs”, a-t-elle déclaré à l’AFP.Au total, 1.125 vols ont été annulés vendredi, au départ de la France ou à l’arrivée, selon la direction générale de l’Aviation civile (DGAC), après 933 jeudi. Lara, 30 ans, devait prendre un vol Paris-Berlin avec son conjoint. “Le vol était prévu jeudi soir, mais nous avons été informés mercredi qu’il avait été annulé. Nous avions pu prendre un autre billet gratuitement, pour vendredi soir, mais il a été supprimé à son tour”, a-t-elle expliqué.”Il a fallu prendre en urgence des billets de train. Résultat, un surcoût de 100 euros et plusieurs heures de trajet en plus”, témoigne-t-elle.De nombreux voyageurs ont annulé des nuitées dans des hôtels, “particulièrement dans les villes avec de gros aéroports comme Nice ou Paris”, selon l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih).”C’est un peu la panique entre ceux qui arrivent et ceux qui partent, les compagnies aériennes cherchent à reloger leurs clients, c’est compliqué à gérer et ça va leur coûter cher”, a déclaré à l’AFP Véronique Siegel, responsable de la branche hôtellerie de l’Umih. A Nice, deuxième aéroport d’affaires en Europe, la moitié des vols commerciaux ont été annulés (près de 220 vendredi) ainsi que la quasi-totalité des vols de jets privés.- “Stratégie de blocage” -Les effets du mouvement se font sentir au-delà des frontières nationales, la principale association européenne de compagnies aériennes, Airlines for Europe (A4E) ayant estimé qu’en Europe, 1.500 vols seraient annulés jeudi et vendredi, “affectant presque 300.000 passagers” sur le Vieux continent.L’Union des aéroports français a dénoncé dans un communiqué une “stratégie de blocage systématique, qui sacrifie l’intérêt général sur l’autel de revendications difficilement justifiables”.Le deuxième syndicat d’aiguilleurs du ciel, l’Unsa-Icna (17% des voix aux dernières élections professionnelles), a lancé ce mouvement et a été rejoint par la troisième force syndicale de la profession, l’Usac-CGT (16%).Selon la DGAC, 251 grévistes ont été recensés vendredi sur le millier de personnels de service.Une réforme contestée est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, après un “incident grave” à l’aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions avaient failli entrer en collision. Une enquête en avait fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail des aiguilleurs, en dehors du cadre légal et sans respect du tableau de service.Parmi les griefs de l’Unsa-Icna: “un sous-effectif entretenu et responsable des retards une bonne partie de l’été”, des outils obsolètes et “un management toxique, incompatible avec les impératifs de sérénité et de sécurité exigés”.Le premier syndicat d’aiguilleurs du ciel, le SNCTA (60% des voix), n’a pas appelé à la grève.tq-max-neo-tsz-sr-fcc-cho/jum/eb

Grève de contrôleurs aériens: nouvelle journée de galère pour les vacanciers, 1.125 vols annulés

Une deuxième journée de grève des contrôleurs aériens a bousculé l’organisation du tout début des vacances pour de nombreux voyageurs, 1.125 vols ayant été annulés vendredi en France, en particulier dans les aéroports parisiens et à Nice.”Il faut se rendre compte qu’hier et aujourd’hui, 272 personnes dans notre pays vont impacter le bien-être de plus de 500.000 personnes. C’est inacceptable”, a déclaré vendredi sur CNews le ministre des Transports Philippe Tabarot. Des centaines de milliers de personnes ont déjà été affectées jeudi en France et en Europe par ce mouvement social, déclenché par deux syndicats minoritaires qui réclament une amélioration de leurs conditions de travail et des effectifs plus importants.Les préavis de grève couraient jusqu’à vendredi soir et aucune perturbation n’est donc prévue samedi.Parmi les voyageurs: Hugo Alvarez, qui devait rentrer à Paris vendredi d’une mission humanitaire en Afghanistan. Il devrait finalement arriver samedi dans la matinée. “C’est pénible, je suis bien épuisé après trois semaines de mission en Afghanistan, ma femme et ma fille m’attendaient de pied ferme aujourd’hui”, raconte-t-il à l’AFP. “Après il n’y a pas mort d’hommes, je soutiens les grèves de manière générale.”A l’aéroport d’Orly vendredi matin, d’autres voyageurs étaient désemparés.Sabrina Taristas, 42 ans, cherchait à partir à Toulouse. “Si je reste jusqu’à dimanche pour un départ, est-ce qu’il y aura un hôtel de prévu ? Ou est-ce que tout sera à ma charge ? (…) On ne peut pas aller à l’encontre de la grève, mais après c’est vrai que c’est pénalisant pour nous les voyageurs”, a-t-elle déclaré à l’AFP.Au total, 1.125 vols ont été annulés vendredi, au départ de la France ou à l’arrivée, selon la direction générale de l’Aviation civile (DGAC), après 933 jeudi. Lara, 30 ans, devait prendre un vol Paris-Berlin avec son conjoint. “Le vol était prévu jeudi soir, mais nous avons été informés mercredi qu’il avait été annulé. Nous avions pu prendre un autre billet gratuitement, pour vendredi soir, mais il a été supprimé à son tour”, a-t-elle expliqué.”Il a fallu prendre en urgence des billets de train. Résultat, un surcoût de 100 euros et plusieurs heures de trajet en plus”, témoigne-t-elle.De nombreux voyageurs ont annulé des nuitées dans des hôtels, “particulièrement dans les villes avec de gros aéroports comme Nice ou Paris”, selon l’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih).”C’est un peu la panique entre ceux qui arrivent et ceux qui partent, les compagnies aériennes cherchent à reloger leurs clients, c’est compliqué à gérer et ça va leur coûter cher”, a déclaré à l’AFP Véronique Siegel, responsable de la branche hôtellerie de l’Umih. A Nice, deuxième aéroport d’affaires en Europe, la moitié des vols commerciaux ont été annulés (près de 220 vendredi) ainsi que la quasi-totalité des vols de jets privés.- “Stratégie de blocage” -Les effets du mouvement se font sentir au-delà des frontières nationales, la principale association européenne de compagnies aériennes, Airlines for Europe (A4E) ayant estimé qu’en Europe, 1.500 vols seraient annulés jeudi et vendredi, “affectant presque 300.000 passagers” sur le Vieux continent.L’Union des aéroports français a dénoncé dans un communiqué une “stratégie de blocage systématique, qui sacrifie l’intérêt général sur l’autel de revendications difficilement justifiables”.Le deuxième syndicat d’aiguilleurs du ciel, l’Unsa-Icna (17% des voix aux dernières élections professionnelles), a lancé ce mouvement et a été rejoint par la troisième force syndicale de la profession, l’Usac-CGT (16%).Selon la DGAC, 251 grévistes ont été recensés vendredi sur le millier de personnels de service.Une réforme contestée est en cours pour établir un pointage des contrôleurs à la prise de poste, après un “incident grave” à l’aéroport de Bordeaux fin 2022, quand deux avions avaient failli entrer en collision. Une enquête en avait fait peser la responsabilité sur une organisation défaillante du travail des aiguilleurs, en dehors du cadre légal et sans respect du tableau de service.Parmi les griefs de l’Unsa-Icna: “un sous-effectif entretenu et responsable des retards une bonne partie de l’été”, des outils obsolètes et “un management toxique, incompatible avec les impératifs de sérénité et de sécurité exigés”.Le premier syndicat d’aiguilleurs du ciel, le SNCTA (60% des voix), n’a pas appelé à la grève.tq-max-neo-tsz-sr-fcc-cho/jum/eb

E.Guinea launches ICJ case against France over Paris mansionFri, 04 Jul 2025 17:47:14 GMT

Equatorial Guinea launched a case against France at the top United Nations court on Friday, the latest salvo in a long-running legal battle over a swanky Paris mansion confiscated by French authorities.The west African nation asked the International Court of Justice to issue emergency orders against France over a building seized after the conviction of …

E.Guinea launches ICJ case against France over Paris mansionFri, 04 Jul 2025 17:47:14 GMT Read More »