Gaza: la Défense civile annonce la mort de 30 Palestiniens tués par des tirs israéliens

La Défense civile a annoncé mercredi la mort de 30 Palestiniens tués par des tirs israéliens en attendant de l’aide humanitaire dans le nord de la bande de Gaza, à la veille de l’arrivée en Israël de l’émissaire américain Steve Witkoff.Au total, le bilan de la journée atteint au moins 40 morts, d’après cette organisation, dans le territoire palestinien menacé d’une “famine généralisée” selon l’ONU, après près de 22 mois de guerre entre Israël et le Hamas.”Au moins trente martyrs ont été tués dans un massacre perpétré par l’occupant contre des personnes attendant de l’aide dans le nord de Gaza”, a déclaré à l’AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.Interrogée par l’AFP, l’armée israélienne a rejeté cette version des faits, assurant “n’avoir connaissance d’aucune victime résultant des tirs de l’armée”.”Plus tôt dans la journée (mercredi), des dizaines de Gazaouis ont été aperçus rassemblés autour de camions d’aide humanitaire dans le nord de Gaza, à proximité immédiate des troupes de l’armée israélienne opérant dans la zone”, a détaillé l’armée.”Les soldats ont tiré des coups de semonce dans la zone, sans viser le rassemblement, en réponse à la menace qui pesait sur eux”, ajoute Tsahal, qui précise que “les détails de l’incident sont toujours en cours d’examen” et affirme que “l’armée israélienne ne vise certainement pas intentionnellement les camions d’aide humanitaire”.Alors que les pourparlers en vue d’un cessez-le-feu sont à l’arrêt, l’émissaire de la Maison Blanche pour le Moyen-Orient est attendu en Israël jeudi pour “discuter des prochaines étapes” concernant Gaza, selon un responsable américain.M. Witkoff a été impliqué dans les négociations indirectes au Qatar, en vue d’un cessez-le-feu, qui ont été interrompues la semaine dernière quand Israël et les Etats-Unis ont rappelé leurs délégations.- “Les hôpitaux remplis” -A la faveur d’une pause partielle dans les bombardements annoncée dimanche par Israël, l’aide humanitaire a recommencé à entrer par la route dans le territoire assiégé, en quantité toutefois jugée insuffisante par les organisations internationales. Parallèlement, les parachutages de vivres se multiplient au-dessus de Gaza.Mercredi, selon des témoins, des Palestiniens s’étaient rassemblés à moins de trois kilomètres de la frontière avec Israël, près de l’ancien complexe hôtelier Bianco Resort, sur la côte, pour attendre une distribution d’aide.Selon M. Bassal, les forces israéliennes ont “tiré délibérément” sur cette foule rassemblée dans le secteur de Zikim, par où transitent des camions venant d’Israël qui entrent dans le nord de Gaza.”Nous n’arrivons pas à atteindre un grand nombre des victimes. Les hôpitaux sont remplis de martyrs et de blessés”, a-t-il affirmé.Le directeur de l’hôpital Al-Shifa à Gaza-ville a fait état de 35 tués et plus de 200 blessés. “Les chiffres augmentent et la morgue est surpeuplée”, a-t-il ajouté.La Défense civile avait annoncé auparavant la mort de six personnes “près d’un centre de distribution d’aide humanitaire” dans le sud de Gaza et de quatre autres personnes tuées dans les mêmes circonstances dans le centre du territoire.L’armée israélienne a reconnu dans les deux cas avoir tiré mais sans faire de victime.- Conditions “insuffisantes” -La guerre a été déclenchée par l’attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, qui a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 49 restent otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée.Les représailles d’Israël ont fait au moins 60.138 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.Israël a annoncé dimanche une pause limitée des combats afin de permettre l’acheminement de l’aide dans le territoire, où il avait imposé le 2 mars un blocus hermétique, partiellement assoupli fin mai.Les autorités israéliennes ont indiqué que plus de 200 camions d’aide ont été distribués mardi à Gaza par l’ONU et des organisations internationales. “Le Hamas a volé la nourriture de son propre peuple. Israël a agi”, a affirmé le bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu, mercredi sur X.”Nous avons largué de l’aide aux civils de Gaza et avons appelé d’autres nations à se joindre à nous. Certaines l’ont déjà fait”, a ajouté ce tweet, illustré d’une photo d’un largage de vivres.Le mouvement islamiste a de son côté une nouvelle fois accusé Israël “d’organiser la famine” en “transformant la nourriture en une arme de mort lente et l’aide humanitaire en un outil de chaos et de pillage”.Selon l’ONU, Gaza a besoin de 500 à 600 camions d’aide chaque jour pour répondre aux besoins immenses de ses 2,4 millions d’habitants.Le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha) a estimé que “les conditions pour la livraison de l’aide sont loin d’être suffisantes”.”Quatre jours après le début des pauses tactiques déclarées par les autorités israéliennes, nous continuons à déplorer des victimes parmi les personnes qui cherchent de l’aide ainsi que davantage de décès dus à la faim et à la malnutrition”, a souligné l’Ocha.

Microsoft quarterly profits soar on AI and cloud growth

Technology giant Microsoft on Wednesday said its profit soared above expectations in the recently ended quarter, driven by its cloud computing and artificial intelligence (AI) units.Microsoft reported profit of $27.2 billion on revenue of $76.4 billion, some $29.9 billion of which was brought in by its Intelligent Cloud business.”Cloud and AI is the driving force of business transformation across every industry and sector,” Microsoft chief executive Satya Nadella said in an earnings release.”We’re innovating across the tech stack to help customers adapt and grow in this new era.”Microsoft’s Azure cloud computing offerings brought in more than $75 billion for the company’s fiscal year, which ended on June 30, in an increase of 34 percent from the prior year, according to Nadella.Microsoft shares jumped about 7 percent in after-market trades that followed release of the earnings figures.”This was a slam-dunk quarter for Microsoft with cloud and AI driving significant business transformation across every sector and industry,” Wedbush Securities analyst Dan Ives said in a note to investors.”The company continues to capitalize on the AI Revolution.”Microsoft is well-positioned to make money as increasing numbers of companies ramp up efforts to take advantage of artificial intelligence in their businesses, according to Ives.Microsoft was one of the first tech giants to double down on artificial intelligence when the launch of ChatGPT in 2022 rocked the tech industry.Like its rivals, it has spent massively on building the infrastructure necessary to power the AI revolution, with analysts keeping a close eye on the return on investment.The company in January said it was on track to pump about $80 billion into capital and infrastructure in the fiscal year.Nadella has said finding enough power sources for its AI data center needs was a priority.Microsoft in early July slashed a little less than four percent of its global workforce as it seeks to cut layers of middle management and leverage new technologies.”We continue to implement organizational changes necessary to best position the company and teams for success in a dynamic marketplace,” a Microsoft spokesperson said in an email.The job cuts follow a round in May that saw about 6,000 positions culled from its global workforce.The company, which is advancing in its plans to deploy AI across all its products, said it was working to “empower employees to spend more time focusing on meaningful work by leveraging new technologies and capabilities.”

Microsoft quarterly profits soar on AI and cloud growth

Technology giant Microsoft on Wednesday said its profit soared above expectations in the recently ended quarter, driven by its cloud computing and artificial intelligence (AI) units.Microsoft reported profit of $27.2 billion on revenue of $76.4 billion, some $29.9 billion of which was brought in by its Intelligent Cloud business.”Cloud and AI is the driving force of business transformation across every industry and sector,” Microsoft chief executive Satya Nadella said in an earnings release.”We’re innovating across the tech stack to help customers adapt and grow in this new era.”Microsoft’s Azure cloud computing offerings brought in more than $75 billion for the company’s fiscal year, which ended on June 30, in an increase of 34 percent from the prior year, according to Nadella.Microsoft shares jumped about 7 percent in after-market trades that followed release of the earnings figures.”This was a slam-dunk quarter for Microsoft with cloud and AI driving significant business transformation across every sector and industry,” Wedbush Securities analyst Dan Ives said in a note to investors.”The company continues to capitalize on the AI Revolution.”Microsoft is well-positioned to make money as increasing numbers of companies ramp up efforts to take advantage of artificial intelligence in their businesses, according to Ives.Microsoft was one of the first tech giants to double down on artificial intelligence when the launch of ChatGPT in 2022 rocked the tech industry.Like its rivals, it has spent massively on building the infrastructure necessary to power the AI revolution, with analysts keeping a close eye on the return on investment.The company in January said it was on track to pump about $80 billion into capital and infrastructure in the fiscal year.Nadella has said finding enough power sources for its AI data center needs was a priority.Microsoft in early July slashed a little less than four percent of its global workforce as it seeks to cut layers of middle management and leverage new technologies.”We continue to implement organizational changes necessary to best position the company and teams for success in a dynamic marketplace,” a Microsoft spokesperson said in an email.The job cuts follow a round in May that saw about 6,000 positions culled from its global workforce.The company, which is advancing in its plans to deploy AI across all its products, said it was working to “empower employees to spend more time focusing on meaningful work by leveraging new technologies and capabilities.”

“A nous pour toujours!” Des colons israéliens marchent pour un retour à Gaza

A moins de 500 mètres de la bande de Gaza, des adolescentes en jupes longues poussent des cris de joie: “Gaza est à nous pour toujours!”, assure la pancarte en carton tendue par ces Israéliennes, arrivées a destination mercredi soir après une marche de plusieurs heures.Par petits groupes, alors que le soleil décline, des centaines de familles et de militants sionistes religieux partis de la ville de Sderot (au sud-ouest d’Israël) s’approchent du point d’observation d’Asaf Siboni, d’où l’on peut clairement distinguer, dans un paysage apocalyptique, les ruines de la ville palestinienne de Beit Hanoun.”C’est dans cette zone que se situait l’implantation juive de Nissanit avant le désengagement”, explique un jeune, sur un ton nostalgique, à la foule qui contemple la frontière. “Il suffit de traverser la route”, souligne-t-il.Parmi les marcheurs, les drapeaux israéliens frappés de l’étoile de David se mêlent à ceux orange du Gush Katif, un ensemble de 21 colonies israéliennes (abritant environ 8.000 personnes) installées dans la bande de Gaza et qui ont été démantelées en 2005 avec le retrait unilatéral décidé par le Premier ministre d’alors Ariel Sharon, après 38 ans d’occupation.- “Plus proche que jamais” -Depuis, une frange de la société israélienne, petite mais très active, réclame la réinstallation de colonies juives sur le territoire palestinien ravagé par 21 mois de guerre après l’offensive israélienne lancée en réponse aux attaques du Hamas du 7 octobre 2023, qui ont fait 1.200 morts et plus de 250 otages côté israélien.Selon le ministère de la Santé du territoire contrôlé par le mouvement islamiste Hamas, plus de 60.000 Palestiniens ont été tués depuis lors.Pour le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’opération à Gaza a été lancée pour détruire le Hamas et sauver les otages israéliens, et non pour rétablir les colonies.D’un projet marginal, la réoccupation de la bande de Gaza par des colons est cependant revenue sur la table, après un énième échec des négociations indirectes entre Israël et le Hamas pour parvenir à un cessez-le-feu.Les potentiels colons affirment ainsi avoir eu des discussions avec des membres radicaux de la coalition au pouvoir et croient désormais en une opportunité politique, même si la réoccupation est considérée comme illégale au regard du droit international.Le ministre des Finances d’extrême-droite Bezalel Smotrich a notamment promis mardi: “C’est plus proche que jamais. C’est un plan de travail réaliste. Nous n’avons pas sacrifié tout cela pour transférer Gaza d’un Arabe à un autre Arabe. Gaza est une partie indissociable de la terre d’Israël. Je ne veux pas retourner à Gush Katif, c’est trop petit. Il faut que ce soit beaucoup plus grand. Gaza nous permet aujourd’hui de voir un peu plus grand”, a-t-il lancé.- Grand-mère colon -Parmi les marcheurs ce mercredi, les anciens habitants du territoire côtier, le coeur encore gros d’une éviction jamais digérée, côtoient de nouveaux convertis.Comme d’autres, qui filment la frontière, la militante Daniella Weiss, cheffe du mouvement pro-colonie Nahala, est venue ici en repérage.Elle décrit au député Likoud Shlomo Karhi, qui a fait le déplacement, les plans pour l’établissement d’une nouvelle colonie à Gaza.Avec une dizaine de députés de droite, des familles d’otages et des familles endeuillées, tous deux ont signé une lettre envoyée au ministre de la Défense, réclamant une visite immédiate de “préparation” pour l’établissement de cette colonie juive.Le ministre “Israel Katz ne nous a pas répondu par écrit, mais il a dit oralement que c’est l’armée israélienne qui devait être a cet endroit”, affirme celle souvent surnommée la “marraine” ou la “grand-mère” des colons.”Nous sommes prêts à nous installer immédiatement dans la bande de Gaza”, martèle Mme Weiss: “les 1.000 familles que vous voyez aujourd’hui défiler sont prêtes à partir des maintenant, ici, sans attendre, et à vivre dans des tentes.”Plusieurs mères de famille se disent elles aussi prêtes à migrer côté gazaoui, avec leurs enfants, dès l’aval du gouvernement obtenu. Ceci en dépit des nuages de fumée et des lourdes explosions d’artillerie dans le lointain.Plusieurs groupes d’extrême droite ont appelé à ce rassemblement, sous le mot d’ordre: “Vingt ans après, on revient dans la bande de Gaza!””Je fais confiance à Dieu et au gouvernement”, clame Sharon Emouna, 58 ans, venue de Cisjordanie, territoire palestinien où vivent près d’un demi-million d’Israéliens dans des colonies considérées comme illégales par le droit international.”Je viens juste pour soutenir et dire que la terre d’Israël est destinée au peuple juif. C’est notre droit de s’y installer”, ajoute-t-elle, assurant que les Palestiniens locaux “n’en tireront que des bénéfices”.”La victoire sur le Hamas, c’est reprendre notre terre”, crient des haut-parleurs.avm-vid-crb-hba/liu

Trump hits India with 25% tariff and ‘penalty’ over Russia ties

US President Donald Trump said Wednesday that imports from India will face 25 percent tariffs, while also announcing an unspecified “penalty” over New Delhi’s purchases of Russian weapons and energy.The measures will kick in on Friday, Trump posted on his Truth Social platform, adding to a bevy of other tariff hikes — some up to 50 percent — set to take effect the same day.In a separate post, Trump said the August 1 deadline “stands strong, and will not be extended.” He had previously issued multiple delays to his so-called “reciprocal” tariffs since first announcing them in early April, while instituting an interim 10 percent baseline.The 25 percent tariff on India would be marginally lower than the rate announced in April, but is higher than those of other Asian countries that have struck preliminary trade agreements with Washington.India, the world’s most populous country, was one of the first major economies to engage the Trump administration in broader trade talks.But six months later, Trump’s sweeping demands and India’s reluctance to fully open its agricultural and other sectors have so far prevented New Delhi from sealing a deal.”Remember, while India is our friend, we have, over the years, done relatively little business with them because their Tariffs are far too high, among the highest in the World, and they have the most strenuous and obnoxious non-monetary Trade Barriers of any Country,” Trump said Wednesday morning.He added that India has “always bought a vast majority of their military equipment from Russia, and are Russia’s largest buyer of ENERGY, along with China, at a time when everyone wants Russia to STOP THE KILLING IN UKRAINE.”In addition to the 25 percent tariff, India will face “a penalty for the above,” Trump said, without any specification.Later Wednesday he told reporters that talks on the tariffs were ongoing and “we’ll see what happens,” but he did not elaborate on the penalty.The measure comes as the 79-year-old Republican has signaled he intends to tighten US pressure on Moscow to halt fighting in Ukraine and negotiate a peace deal.On Tuesday, Trump said he was giving Russian President Vladimir Putin 10 days — which would mean the end of next week — to change course in Ukraine or face new tariffs.He had previously threatened to impose “secondary tariffs” that would target Russia’s remaining trade partners — such as China and India — seeking to impede Moscow’s ability to survive already sweeping Western sanctions.Despite the tariff threat, New Delhi said it was committed to continuing negotiations on “a fair, balanced and mutually beneficial bilateral trade agreement.”- China trade talks -Shortly after announcing the tariffs on New Delhi, Trump said he had struck a deal with India’s archrival Pakistan to jointly develop its oil reserves.”Who knows, maybe they’ll be selling oil to India some day!” he posted on Truth Social.Trump has set out to upend the global economy by trying to leverage US economic power to squeeze trading partners with tariffs and force foreign companies to move to the United States.He has already announced deal outlines with five countries — Britain, Vietnam, Japan, Indonesia and the Philippines — as well as the one with the 27-nation EU.US and Chinese officials held talks this week in Stockholm on extending a trade truce that has temporarily lowered tariffs from soaring triple-digits.While no deal was announced at the meetings, both sides are eyeing an extension ahead of the August 12 deadline.Meanwhile Trump announced 50 percent tariffs on Brazil — in part to pressure the South American ally to shut down the trial of far-right former president Jair Bolsonaro on coup charges.He has also instituted separate levies targeting specific sectors, including steel, copper and automobiles.Trump has imposed many of his sweeping tariffs citing emergency authorities, which are being challenged in US court.

Trump hits India with 25% tariff and ‘penalty’ over Russia ties

US President Donald Trump said Wednesday that imports from India will face 25 percent tariffs, while also announcing an unspecified “penalty” over New Delhi’s purchases of Russian weapons and energy.The measures will kick in on Friday, Trump posted on his Truth Social platform, adding to a bevy of other tariff hikes — some up to 50 percent — set to take effect the same day.In a separate post, Trump said the August 1 deadline “stands strong, and will not be extended.” He had previously issued multiple delays to his so-called “reciprocal” tariffs since first announcing them in early April, while instituting an interim 10 percent baseline.The 25 percent tariff on India would be marginally lower than the rate announced in April, but is higher than those of other Asian countries that have struck preliminary trade agreements with Washington.India, the world’s most populous country, was one of the first major economies to engage the Trump administration in broader trade talks.But six months later, Trump’s sweeping demands and India’s reluctance to fully open its agricultural and other sectors have so far prevented New Delhi from sealing a deal.”Remember, while India is our friend, we have, over the years, done relatively little business with them because their Tariffs are far too high, among the highest in the World, and they have the most strenuous and obnoxious non-monetary Trade Barriers of any Country,” Trump said Wednesday morning.He added that India has “always bought a vast majority of their military equipment from Russia, and are Russia’s largest buyer of ENERGY, along with China, at a time when everyone wants Russia to STOP THE KILLING IN UKRAINE.”In addition to the 25 percent tariff, India will face “a penalty for the above,” Trump said, without any specification.Later Wednesday he told reporters that talks on the tariffs were ongoing and “we’ll see what happens,” but he did not elaborate on the penalty.The measure comes as the 79-year-old Republican has signaled he intends to tighten US pressure on Moscow to halt fighting in Ukraine and negotiate a peace deal.On Tuesday, Trump said he was giving Russian President Vladimir Putin 10 days — which would mean the end of next week — to change course in Ukraine or face new tariffs.He had previously threatened to impose “secondary tariffs” that would target Russia’s remaining trade partners — such as China and India — seeking to impede Moscow’s ability to survive already sweeping Western sanctions.Despite the tariff threat, New Delhi said it was committed to continuing negotiations on “a fair, balanced and mutually beneficial bilateral trade agreement.”- China trade talks -Shortly after announcing the tariffs on New Delhi, Trump said he had struck a deal with India’s archrival Pakistan to jointly develop its oil reserves.”Who knows, maybe they’ll be selling oil to India some day!” he posted on Truth Social.Trump has set out to upend the global economy by trying to leverage US economic power to squeeze trading partners with tariffs and force foreign companies to move to the United States.He has already announced deal outlines with five countries — Britain, Vietnam, Japan, Indonesia and the Philippines — as well as the one with the 27-nation EU.US and Chinese officials held talks this week in Stockholm on extending a trade truce that has temporarily lowered tariffs from soaring triple-digits.While no deal was announced at the meetings, both sides are eyeing an extension ahead of the August 12 deadline.Meanwhile Trump announced 50 percent tariffs on Brazil — in part to pressure the South American ally to shut down the trial of far-right former president Jair Bolsonaro on coup charges.He has also instituted separate levies targeting specific sectors, including steel, copper and automobiles.Trump has imposed many of his sweeping tariffs citing emergency authorities, which are being challenged in US court.

Meurtre de Louise: les parents du suspect mis en examen pour non-dénonciation de crime

Les deux parents de l’homme suspecté d’avoir poignardé à mort Louise, onze ans, début février à Epinay-sur-Orge (Essonne), ont été mis en examen mercredi pour non-dénonciation de crime, destruction de document ou objet et subornation de témoin, a indiqué dans un communiqué le procureur de la République d’Évry Grégoire Dulin. “Les deux magistrats instructeurs ont procédé ce jour à la mise en examen des parents âgés de 49 et 48 ans de l’auteur présumé des faits”, a indiqué M. Dulin, précisant que “les intéressés, qui ont choisi de garder le silence lors de leur interrogatoire de première comparution, ont été placés sous contrôle judiciaire”. Disparue à la sortie de ses cours le 7 février, Louise avait été retrouvée assassinée dans un bois à Longjumeau, à quelques centaines de mètres de son collège d’Epinay-sur-Orge. Le principal suspect, un homme de 23 ans, avait été mis en examen pour meurtre sur mineure de moins de 15 ans et placé en détention provisoire.Les deux parents, qui avaient été placés en garde à vue en février pour non-dénonciation de crime, avaient alors assuré ne jamais avoir eu connaissance de l’implication de leur fils dans la mort de Louise. Leur fils avait lui reconnu les faits lors de sa garde à vue, après avoir nié pendant les 24 premières heures. Le suspect avait expliqué avoir croisé en début d’après-midi Louise, élève au collège d’Epinay-sur-Orge qui portait son portable autour du cou, et avoir décidé de la suivre. Il l’avait attirée dans le bois des Templiers, en prétextant avoir perdu un objet.”Arrivé dans un coin tranquille”, il lui avait dit qu’il allait “fouiller ses affaires pour lui voler de l’argent en la menaçant avec un couteau”, avait détaillé M. Dulin lors d’une conférence de presse. Elle s’était mise “à crier” alors qu’il voulait fouiller son sac, avait poursuivi le magistrat. “Paniqué par ses cris”, le jeune homme l’a fait “tomber à terre” et lui a porté “plusieurs coups de couteau”.Le 4 février, le suspect, étudiant en BTS informatique, avait déjà abordé une collégienne dans le même secteur, tentant de “se calmer” après une altercation lors d’une partie du jeu vidéo en ligne “Fortnite”. Sa petite amie, également âgée de 23 ans, a également été mise en examen pour non-dénonciation de crime et placée sous contrôle judiciaire. 

Wall Street marque le pas après les propos prudents du président de la Fed

La Bourse de New York a marqué le pas mercredi, plombée par des propos mesurés du président de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell, qui font reculer les anticipations d’une baisse de taux lors de la prochaine réunion de l’institution en septembre.Après une session globalement dans le vert, le Dow Jones a terminé en recul de 0,38% et l’indice élargi S&P 500 a perdu 0,12%. Seul l’indice Nasdaq est parvenu à clôturer en petite hausse (+0,15%).”M. Powell s’est montré plus ferme que ce que les marchés espéraient”, a résumé auprès de l’AFP Angelo Kourkafas, analyste d’Edward Jones.Selon le patron de la banque centrale américaine (Fed), il reste “beaucoup, beaucoup d’incertitudes à lever” concernant les répercussions de la volée de nouveaux droits de douane imposés sur les produits entrant aux Etats-Unis par le gouvernement Trump.Concernant les négociations commerciales, “nous sommes encore loin de voir où les choses vont aboutir”, malgré une “période très dynamique”, a jugé M. Powell, qui s’exprimait à l’issue de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) de la la Fed.L’institution a sans surprise laissé ses taux d’intérêt inchangés mercredi, au niveau qui est le leur depuis décembre, entre 4,25% et 4,50%. “Le marché n’a pas reçu les indices selon lesquels une baisse en septembre était très probable”, ce qui explique sa réaction à la baisse, selon M. Kourkafas.Alors qu’une majorité d’analystes anticipait une baisse des taux lors de la prochaine réunion du FOMC en septembre, ils sont désormais plus circonspects, d’après l’outil de veille de CME.Sur douze membres du FOMC, deux ont voté contre le maintien des taux. Une telle opposition ne s’était pas vue depuis plus de 30 ans.”Mais la majorité du comité revient toujours à l’approche attentiste à laquelle nous sommes désormais habitués”, a relevé M. Koukafas.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt américain à deux ans, l’échéance la plus sensible aux changements de politique monétaire, baissait à 3,87% contre 3,93% à la clôture mardi.L’échéance à dix ans se tendait elle à 4,37%, contre 4,32%.En début de session, Wall Street s’était montrée enthousiaste par la publication de données montrant une économie américaine en meilleure forme qu’attendu.L’activité économique a progressé de 3% au deuxième trimestre aux Etats-Unis en rythme annualisé là où les analystes de MarketWatch tablaient sur 2,3% de hausse du produit intérieur brut (PIB).Une différence marquée alors que le PIB s’était contracté de 0,5% au premier trimestre, en rythme annualisé, en raison d’une ruée vers les importations pour retarder au maximum l’effet des droits de douane mis en place par Donald Trump, investi pour un second mandat en janvier.Publié aussi mercredi, le rapport mensuel du cabinet ADP et de Stanford Lab a fait état de 104.000 postes créés en juillet dans le secteur privé aux Etats-Unis, davantage que les 76.000 attendus par les analystes.A la cote, le loueur de véhicules Avis (-15,41% à 172,46 dollars) a souffert de résultats nettement inférieurs aux attentes pour le deuxième trimestre, notamment un bénéfice net par action de 10 cents, tandis que les analystes l’anticipaient autour de 2 dollars.Le géant pharmaceutique Novo Nordisk (-7,25% à 50,03 dollars) a poursuivi son plongeon, au lendemain de la deuxième révision en baisse de ses prévisions de résultats, plombés par les mauvaises ventes aux Etats-Unis de ses traitements vedette contre l’obésité et le diabète, Wegovy et Ozempic.Le fabricant de motos Harley Davidson (+13,38% à 26,02 dollars) a surfé sur l’annonce d’un partenariat entre sa branche financière et les fonds d’investissement KKR et Pimco.Le groupe agroalimentaire Mondelez International (biscuits Lu et Oreo, chocolats Milka et Côte d’Or) a perdu 6,61% à 65,10 dollars, malgré un chiffre d’affaires en nette progression au deuxième trimestre, soutenu par les hausses de prix appliquées à ses produits chocolatés.Après la clôture de Wall Street, l’action de Meta a bondi de plus de 10% lors des échanges électroniques.Le groupe (Facebook, Instagram…) a largement dépassé les attentes au deuxième trimestre, avec 47,5 milliards de dollars de chiffre d’affaires, en croissance de 22% sur un an, dont le groupe a dégagé 18,34 milliards de dollars de bénéfice net (+36%), grâce notamment à la hausse des prix publicitaires