Pour produire plus, il y a “d’autres manières” que supprimer des jours fériés, selon de Montchalin

La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé mercredi qu’il y avait “évidemment plein d’autres manières” que la suppression de deux jours fériés pour “encourager à produire plus” en France, souhaitant notamment une répartition élargie des cotisations sociales. “Les jours fériés, c’était quoi l’intention politique ? C’est de dire +dans notre pays, si on produit pas plus, (…), s’il n’y a pas plus de croissance, nous n’arriverons pas dans le temps à financer notre modèle social, nos services publics+”, a déclaré Mme de Montchalin sur la radio franceinfo. “Il y a évidemment plein d’autres manières d’encourager à produire plus. Il y a évidemment plein d’autres manières de s’assurer que si on travaille plus, on gagne plus”, a-t-elle ajouté. Elle était interrogée sur des propos du Premier ministre François Bayrou, qui s’est dit mercredi sur BFMTV “ouvert” à réexaminer la suppression de deux jours fériés en cas de solution alternative pouvant rapporter 4,2 milliards d’euros. “Pour moi, la plus grande conviction, c’est qu’il faut que les actifs ne soient pas les seuls à financer la solidarité nationale, la santé et tous les enjeux de modèle social”, a déclaré Amélie de Montchalin: “dans un pays où on est 70 millions, on ne peut pas dire aux 30 millions d’actifs +vous payez pour tout le monde+”. “Et donc je propose qu’une partie des cotisations sur le travail payées par les entreprises, payées par les salariés, payées par les fonctionnaires, payées par nous, actifs qui travaillons, soient re-réparties sur toutes les richesses”, a-t-elle développé, citant le capital, l’épargne, le foncier, l’héritage ou la consommation. Une augmentation de la TVA? “Ca peut être, mais ce n’est pas obligé”, a-t-elle dit. “Concrètement, je prends votre feuille de paie et on pourrait dire: on retire des charges qui pèsent sur les entreprises pour qu’elles puissent investir et vous augmenter; et je retire des charges qui pèsent sur les salariés pour que, directement sur votre feuille de paie, il y ait plus d’argent.”Concernant la taxation des plus aisés, la ministre des Comptes publics a indiqué qu’il y avait “plusieurs options” sur la table pour s’assurer que ceux-ci paient l’impôt “que tous les Français paient” ou viser des holdings permettant de contourner l’impôt. 

Pour produire plus, il y a “d’autres manières” que supprimer des jours fériés, selon de Montchalin

La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé mercredi qu’il y avait “évidemment plein d’autres manières” que la suppression de deux jours fériés pour “encourager à produire plus” en France, souhaitant notamment une répartition élargie des cotisations sociales. “Les jours fériés, c’était quoi l’intention politique ? C’est de dire +dans notre pays, si on produit pas plus, (…), s’il n’y a pas plus de croissance, nous n’arriverons pas dans le temps à financer notre modèle social, nos services publics+”, a déclaré Mme de Montchalin sur la radio franceinfo. “Il y a évidemment plein d’autres manières d’encourager à produire plus. Il y a évidemment plein d’autres manières de s’assurer que si on travaille plus, on gagne plus”, a-t-elle ajouté. Elle était interrogée sur des propos du Premier ministre François Bayrou, qui s’est dit mercredi sur BFMTV “ouvert” à réexaminer la suppression de deux jours fériés en cas de solution alternative pouvant rapporter 4,2 milliards d’euros. “Pour moi, la plus grande conviction, c’est qu’il faut que les actifs ne soient pas les seuls à financer la solidarité nationale, la santé et tous les enjeux de modèle social”, a déclaré Amélie de Montchalin: “dans un pays où on est 70 millions, on ne peut pas dire aux 30 millions d’actifs +vous payez pour tout le monde+”. “Et donc je propose qu’une partie des cotisations sur le travail payées par les entreprises, payées par les salariés, payées par les fonctionnaires, payées par nous, actifs qui travaillons, soient re-réparties sur toutes les richesses”, a-t-elle développé, citant le capital, l’épargne, le foncier, l’héritage ou la consommation. Une augmentation de la TVA? “Ca peut être, mais ce n’est pas obligé”, a-t-elle dit. “Concrètement, je prends votre feuille de paie et on pourrait dire: on retire des charges qui pèsent sur les entreprises pour qu’elles puissent investir et vous augmenter; et je retire des charges qui pèsent sur les salariés pour que, directement sur votre feuille de paie, il y ait plus d’argent.”Concernant la taxation des plus aisés, la ministre des Comptes publics a indiqué qu’il y avait “plusieurs options” sur la table pour s’assurer que ceux-ci paient l’impôt “que tous les Français paient” ou viser des holdings permettant de contourner l’impôt. 

Pour produire plus, il y a “d’autres manières” que supprimer des jours fériés, selon de Montchalin

La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a estimé mercredi qu’il y avait “évidemment plein d’autres manières” que la suppression de deux jours fériés pour “encourager à produire plus” en France, souhaitant notamment une répartition élargie des cotisations sociales. “Les jours fériés, c’était quoi l’intention politique ? C’est de dire +dans notre pays, si on produit pas plus, (…), s’il n’y a pas plus de croissance, nous n’arriverons pas dans le temps à financer notre modèle social, nos services publics+”, a déclaré Mme de Montchalin sur la radio franceinfo. “Il y a évidemment plein d’autres manières d’encourager à produire plus. Il y a évidemment plein d’autres manières de s’assurer que si on travaille plus, on gagne plus”, a-t-elle ajouté. Elle était interrogée sur des propos du Premier ministre François Bayrou, qui s’est dit mercredi sur BFMTV “ouvert” à réexaminer la suppression de deux jours fériés en cas de solution alternative pouvant rapporter 4,2 milliards d’euros. “Pour moi, la plus grande conviction, c’est qu’il faut que les actifs ne soient pas les seuls à financer la solidarité nationale, la santé et tous les enjeux de modèle social”, a déclaré Amélie de Montchalin: “dans un pays où on est 70 millions, on ne peut pas dire aux 30 millions d’actifs +vous payez pour tout le monde+”. “Et donc je propose qu’une partie des cotisations sur le travail payées par les entreprises, payées par les salariés, payées par les fonctionnaires, payées par nous, actifs qui travaillons, soient re-réparties sur toutes les richesses”, a-t-elle développé, citant le capital, l’épargne, le foncier, l’héritage ou la consommation. Une augmentation de la TVA? “Ca peut être, mais ce n’est pas obligé”, a-t-elle dit. “Concrètement, je prends votre feuille de paie et on pourrait dire: on retire des charges qui pèsent sur les entreprises pour qu’elles puissent investir et vous augmenter; et je retire des charges qui pèsent sur les salariés pour que, directement sur votre feuille de paie, il y ait plus d’argent.”Concernant la taxation des plus aisés, la ministre des Comptes publics a indiqué qu’il y avait “plusieurs options” sur la table pour s’assurer que ceux-ci paient l’impôt “que tous les Français paient” ou viser des holdings permettant de contourner l’impôt. 

Hope dwindles for survivors days after deadly Afghan quake

Hope was quickly fading of finding survivors in the rubble of homes devastated by the weekend’s powerful earthquake in eastern Afghanistan, as emergency services struggled to reach remote villages on Wednesday.A shallow magnitude-6.0 earthquake hit the mountainous region bordering Pakistan late on Sunday, collapsing mud-brick homes on families as they slept.Fearful of the near-constant aftershocks rattling the area, people huddled in the open air while rescuers struggled to unearth those trapped under the heaps of flattened buildings.The earthquake killed more than 1,400 people and injured over 3,300, Taliban authorities said, making it one of the deadliest in decades to hit the impoverished country.The vast majority of the casualties were in Kunar province, with a dozen dead and hundreds hurt in nearby Nangarhar and Laghman provinces.In Kunar’s Nurgal district, victims remained trapped under the rubble and were difficult to rescue, local official Ijaz Ulhaq Yaad told AFP on Wednesday.”There are some villages which have still not received aid,” he said.Landslides caused by the earthquake stymied access to already isolated villages.The non-governmental group Save the Children said one of its aid teams “had to walk for 20 kilometres (12 miles) to reach villages cut off by rock falls, carrying medical equipment on their backs with the help of community members”.The World Health Organization warned the number of casualties from the earthquake was expected to rise, “as many remain trapped in destroyed buildings”.More than 12,000 people have been directly affected by the earthquake, according to ActionAid, noting women and girls were particularly vulnerable in emergencies as they face steep restrictions under the Taliban authorities.An AFP journalist in Mazar Dara village in Kunar said a small mobile clinic was deployed to provide emergency care but people were still in desperate need of emergency food, water and shelter.One family of 10 shared a meagre meal of just two pieces of bread, he said.The World Food Programme said its teams were working to provide provisions but “the reality is brutal” in a country where many already go hungry.- Deepening crisis -This is the third major earthquake since the Taliban took power in 2021, but there are even fewer resources for the cash-strapped government’s response after the United States slashed assistance to the country when President Donald Trump took office in January.Even before the earthquake, the United Nations estimated it had obtained less than a third of the funding required for operations countrywide.Multiple countries have pledged assistance but NGOs and the UN have voiced alarm that dwindling aid could hamper relief efforts in one of the poorest countries in the world. In two days, the Taliban government’s defence ministry said it organised 155 helicopter flights to evacuate around 2,000 injured and their relatives to regional hospitals.On Tuesday, a defence ministry commission said it had instructed “the relevant institutions to take measures in all areas to normalise the lives of the earthquake victims”, without providing further details on the plans to do so. Deputy government spokesman Hamdullah Fitrat said a camp had been set up in Khas Kunar district to coordinate emergency aid, while two other sites were opened near the epicentre “to oversee the transfer of the injured, the burial of the dead, and the rescue of survivors”.After decades of conflict, Afghanistan is facing endemic poverty, severe drought and the influx of millions of Afghans forced back to the country by neighbours Pakistan and Iran in the years since the Taliban takeover.”This earthquake could not have come at a worse time,” Jagan Chapagain, secretary general of the International Federation of Red Cross and Red Crescent Societies, said in a statement late Tuesday.”The disaster not only brings immediate suffering but also deepens Afghanistan’s already fragile humanitarian crisis.”Afghanistan is frequently hit by earthquakes, with the country still recovering from previous disasters. Western Herat province was devastated in October 2023 by a 6.3-magnitude earthquake, which killed more than 1,500 people and damaged or destroyed more than 63,000 homes.And a 5.9-magnitude quake struck the eastern province of Paktika in June 2022, killing more than 1,000 people and leaving tens of thousands homeless.

Qui est Kim Ju Ae, la fille de Kim Jong Un pressentie pour lui succéder ?

Visites d’usines ou cérémonie d’hommage aux soldats: Ju Ae, la discrète fille de Kim Jong Un pressentie pour sa succession, accompagne son père dans tous ses déplacements, y compris à Pékin où il assistait mercredi à un défilé militaire.L’AFP dresse le portrait de l’adolescente dont on sait peu de choses mais qui pourrait devenir la prochaine dirigeante de la Corée du Nord.- Qui est-elle ?Ju Ae a été aperçue pour la première fois en 2022, accompagnant son père à un lancement de missile.Mais c’est l’ancienne star de la NBA Dennis Rodman qui a révélé que Kim Jong Un avait une fille.Kim Jong Un lui a présenté sa femme et une enfant, en lui disant “voici ma fille”, lors d’une visite à Pyongyang en 2013.Les médias d’Etat nord-coréens n’ont jamais révélé son nom, mais l’ont qualifiée d'”enfant bien-aimée” et “estimée”.Les services de renseignement sud-coréens affirment qu’il s’agit de Ju Ae, la fille de Kim Jong Un et de son épouse, l’ancienne chanteuse vedette et première dame Ri Sol Ju, avec qui il s’est marié en 2009.- Comment apparaît-elle en public ?Les médias d’Etat nord-coréens ont publié des images montrant des adultes s’inclinant profondément lors de son passage.Lors de ses récentes apparitions, on la voit marcher au bras de son père, devant sa tante, Kim Yo Jong, et sa mère.Ju Ae attire l’attention par son style: elle arbore des lunettes de soleil Gucci, s’affiche avec des montres Cartier, tout en imitant le look de son père avec des vestes en cuir.- Un premier déplacement à l’étranger ?En accompagnant son père à Pékin, Ju Ae “fait en quelque sorte ses débuts officiels à l’étranger”, souligne Yang Moo-jin, ancien président de l’Université des études nord-coréennes de Séoul.Mais l’universitaire rappelle qu’elle a déjà “participé à plusieurs événements militaires et diplomatiques, notamment une réception à l’ambassade de Russie”.Cette transition de la scène nationale à la scène internationale, pourrait marquer “la dernière étape vers la succession”, a-t-il ajouté.Si Ju Ae succédait à Kim Jung Un, elle serait la première femme à diriger le pays reclus depuis sa fondation, en 1948.Les experts considèrent qu’il s’agit d’une manœuvre calculée de la famille Kim, principalement dans le but de mettre Ju Ae en avant.”Il ne s’agit pas d’un simple voyage en famille, mais en réalité d’une +entrée en scène en tant que successeure+”, selon Lim Eul-chul, professeur à l’Institut d’études extrême-orientales de l’université Kyungnam.Par le passé, a-t-il indiqué à l’AFP, “on a pu voir que les héritiers consolident généralement leur statut en se rendant en Chine, ou en participant à des événements internationaux afin d’obtenir la légitimité des puissances socialistes”.Le professeur prend comme exemple la rencontre entre Kim Jong Il, successeur désigné de Kim Il Sung, et Xi Zhongxun, père de Xi Jinping, en 1983 à Pékin.”Le cas de Ju Ae s’inscrit dans cette trajectoire”, ajoute-t-il.- Peut-elle vraiment succéder à son père ?Le Service de Renseignement National sud-coréen (NIS) a reconnu en 2024 pour la première fois que Ju Ae pouvait être l’héritière du régime.”D’après une analyse des apparitions publiques de Kim Ju Ae et du niveau de protocole qui lui est accordé, elle semble actuellement être la successeure la plus probable”, avait déclaré Cho Tae-yong, alors à la tête du service.Cheong Seong-chang, de l’Institut Sejong de Séoul, raconte que “lors d’un défilé militaire, le cheval blanc de Ju Ae est apparu en deuxième position après celui de Kim Jong Un”.”Une preuve” qu’elle lui succédera, selon lui, tout comme le fait que Pyongyang ait “émis des timbres à l’effigie du couple” père-fille.