Espagne: l’incendie de Tarragone toujours actif mais le confinement partiellement levé

Les pompiers espagnols continuent mercredi de lutter contre l’incendie ayant ravagé quelque 3.200 hectares de forêt près de Tarragone (nord-est) mais les autorités ont levé une grande partie des mesures de confinement imposées aux habitants, l’incendie étant en passe d’être circonscrit. “Le confinement a pris fin dans les municipalités touchées par le feu de forêt”, à l’exception de Paüls, où il est “maintenu”, a annoncé dans un message sur X la Protection civile, qui avait appelé quelque 18.000 personnes au total à rester chez elles face à l’avancée des flammes.”Malgré le déconfinement, évitez les déplacements inutiles dans la zone où les opérations sont en cours”, a toutefois ajouté la Protection civile.Les pompiers ont assuré de leur côté avoir “travaillé intensément” durant la nuit “pour terminer de maîtriser l’incendie”, avec la mise en place de “manoeuvres techniques” pour tenter de contenir les flammes. “Pour l’heure”, le feu “est toujours actif”, ont-ils toutefois précisé.Selon les agents forestiers de Catalogne, la superficie brûlée à cause de cet incendie, qui s’est déclenché lundi près de Tarragone, dans le nord-est de l’Espagne, atteint désormais 3.200 hectares, dont 1.125 dans le parc naturel d’Els Ports à Paüls.L’Espagne a affronté ces derniers jours des températures caniculaires, qui ont asséché les sols et accru les risques d’incendies.Selon l’agence météorologique espagnole (Aemet), le pays a connu son mois de juin le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne de 23,6°C. L’agence souligne que la fréquence des épisodes de chaleur a triplé depuis dix ans en Espagne.En 2022, 300.000 hectares avaient été détruits par plus de 500 incendies dans le pays, un record en Europe, selon le Système européen d’information sur les feux de forêt (Effis). En 2024, ce chiffre a nettement baissé à environ 42.000 hectares.Il y a quelques jours, la ministre de la Transition écologique Sara Aagesen avait dit s’attendre à un été “très compliqué” sur le front des feux de forêt.

Espagne: l’incendie de Tarragone toujours actif mais le confinement partiellement levé

Les pompiers espagnols continuent mercredi de lutter contre l’incendie ayant ravagé quelque 3.200 hectares de forêt près de Tarragone (nord-est) mais les autorités ont levé une grande partie des mesures de confinement imposées aux habitants, l’incendie étant en passe d’être circonscrit. “Le confinement a pris fin dans les municipalités touchées par le feu de forêt”, à l’exception de Paüls, où il est “maintenu”, a annoncé dans un message sur X la Protection civile, qui avait appelé quelque 18.000 personnes au total à rester chez elles face à l’avancée des flammes.”Malgré le déconfinement, évitez les déplacements inutiles dans la zone où les opérations sont en cours”, a toutefois ajouté la Protection civile.Les pompiers ont assuré de leur côté avoir “travaillé intensément” durant la nuit “pour terminer de maîtriser l’incendie”, avec la mise en place de “manoeuvres techniques” pour tenter de contenir les flammes. “Pour l’heure”, le feu “est toujours actif”, ont-ils toutefois précisé.Selon les agents forestiers de Catalogne, la superficie brûlée à cause de cet incendie, qui s’est déclenché lundi près de Tarragone, dans le nord-est de l’Espagne, atteint désormais 3.200 hectares, dont 1.125 dans le parc naturel d’Els Ports à Paüls.L’Espagne a affronté ces derniers jours des températures caniculaires, qui ont asséché les sols et accru les risques d’incendies.Selon l’agence météorologique espagnole (Aemet), le pays a connu son mois de juin le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne de 23,6°C. L’agence souligne que la fréquence des épisodes de chaleur a triplé depuis dix ans en Espagne.En 2022, 300.000 hectares avaient été détruits par plus de 500 incendies dans le pays, un record en Europe, selon le Système européen d’information sur les feux de forêt (Effis). En 2024, ce chiffre a nettement baissé à environ 42.000 hectares.Il y a quelques jours, la ministre de la Transition écologique Sara Aagesen avait dit s’attendre à un été “très compliqué” sur le front des feux de forêt.

Lidl condamné à verser 43 millions d’euros à Intermarché pour des publicités “trompeuses”

La cour d’appel de Paris a condamné la chaîne de supermarchés Lidl à verser 43 millions d’euros à Intermarché pour des publicités illicites diffusées pendant près de sept ans à la télévision les produits vantés n’étant pas suffisamment disponibles en magasins, d’après un arrêt consulté mercredi par l’AFP.Le distributeur allemand est déclaré “responsable de pratiques commerciales trompeuses” en raison de la diffusion, pendant plusieurs années, de spots publicitaires à la télévision présentant des promotions pour des produits “sans assurer leur disponibilité pendant une durée de 15 semaines dans l’ensemble de ses magasins”, ce qu’exige la loi, indique la décision datée du 4 juillet, relevée mercredi matin par le média La Lettre.Cela revient à “des agissements de concurrence déloyale” envers son concurrent Intermarché “ouvrant droit à réparation”, indique la décision.Les spots publicitaires décriés – 374 entre 2017 et 2023 pour un montant de 584 millions d’euros, selon la décision – “font la promotion de produits présentés à un prix attractif, à travers une utilisation du produit en situation et d’un affichage en gros du prix”, décrit la cour. Mais face à la difficulté d’achalander la totalité de ses plus de 1.500 magasins français pendant au moins quinze semaines – ce que prévoit la loi – Lidl avait adopté une autre méthode, pour laquelle elle a été condamnée : afficher une mention “Supermarchés concernés sur LIDL.FR” à la fin de chaque spot télévisé, d’abord à l’écrit, puis dès 2021 en voix off.  Mais “la Cour constate que cette mention ne figure pas dans les publicités de façon très apparente, dans la mesure où elle n’apparaît sur l’écran que l’espace de quelques secondes, en petits caractères, et tout en bas, à droite”, étant ainsi “susceptible de passer inaperçue aux yeux du consommateur ou à tout le moins d’être mal comprise”, explique l’institution judiciaire. De plus, “en diffusant ces publicités, la société Lidl avait également conscience qu’elle ne garantissait pas la disponibilité des produits, pour une durée suffisante, dans l’ensemble des magasins, ce qui suffit à caractériser l’élément intentionnel des infractions”.- Pas les mêmes armes -Ces 43 millions d’euros d’indemnisation viennent ainsi réparer le préjudice subi par la société Intermarché, la cour reconnaissant que “du fait du caractère illicite des publicités, elle ne pourra utiliser les mêmes armes que la société Lidl avec des moyens légaux, et que ces publicités télévisuelles conjuguées aux publicités institutionnelles classiques ont un effet fortement fidélisant, augmentant, de ce fait, le coût des campagnes de publicité de reconquête” des clients. Le tribunal interdit également à Lidl de diffuser de nouveau des publicités télévisées pour des produits en promotion qui ne seraient pas disponibles pour une durée de quinze jours dans l’ensemble des magasins, et prévoit une astreinte de 10.000 euros par infraction constatée si cela n’était pas respecté. La société ITM (chargée de la politique commerciale du Groupement des Mousquetaires qui comprend Intermarché et Netto) avait assigné Lidl en justice en 2019 et avait été déboutée en première instance le 30 mai 2022, avant de faire appel. Contacté par l’AFP, Intermarché n’a pas souhaité faire de commentaire. Lidl n’a pour l’heure pas répondu aux sollicitations. Le discounter va-t-il décider de se pourvoir en cassation ? En 2020, cette stratégie ne lui avait pas réussi: la Cour de Cassation l’avait condamné à verser 4 millions d’euros à Carrefour et 3,7 millions à Intermarché, qui l’avaient conjointement poursuivi en justice, déjà pour non-respect de la loi en matière de publicités à la télévision.  Le versement des 43 millions d’euros est bienvenu pour Intermarché, en pleine digestion de ses rachats de Casino et plus récemment du belge Colruyt. Pour Lidl, l’opération risque d’être plus douloureuse. D’après le média spécialisé LSA, Lidl France a perdu de l’argent en France au cours de ses deux derniers exercices, 72 millions d’euros en 2023-2024 et 9 millions en 2024-2025.Les deux distributeurs se renvoient la balle sur le terrain judiciaire.Selon le média L’Informé “Lidl bataille depuis deux ans, au Tribunal de commerce de Paris, pour contester le slogan” d’Intermarché “producteurs et commerçants” estimant qu’il “induit les consommateurs en erreur” en pouvant laisser croire “qu’Intermarché travaille sans intermédiaire”. 

L’Acropole d’Athènes ferme à nouveau partiellement en raison d’une vague de chaleur

L’Acropole d’Athènes va de nouveau fermer ses portes mercredi aux heures les plus chaudes de la journée, a annoncé le ministère grec de la Culture, en raison d’une vague de canicule qui frappe la Grèce avec plus de 41°C enregistrés mardi dans certaines régions.Comme mardi, les touristes ne pourront pas visiter le Parthénon et autres chefs-d’œuvre antiques au sommet de l’Acropole entre 13H00 et 17H00 locales (10H00 à 14H00 GMT), a précisé le ministère.Le site Meteo.gr de l’Observatoire national d’Athènes a enregistré mardi des températures dépassant légèrement les 41°C localement dans l’est continental du pays. Pour mercredi, les services météorologiques nationaux EMY ont prévenu que les températures pourraient à nouveau grimper à 41°C localement en Grèce centrale et orientale et dans l’est du Péloponnèse (sud).A Athènes, le thermomètre affichait déjà 35°C à 11H00 locales (08H00 GMT), avec des pointes souvent plus élevées encore dans le centre-ville très bétonné.Face au risque “extrêmement élevé” d’incendies, la Protection civile grecque a en outre placé en état d’alerte pour mercredi une grande partie de la région autour d’Athènes, l’Attique, du centre et du Péloponnèse (sud).Cette vague de chaleur a été qualifiée de “canicule” par plusieurs météorologues même si les températures actuelles ne sont pas exceptionnelles en Grèce. Elle devrait marquer le pas dès jeudi avec des températures dans la capitale grecque qui devraient redescendre à 30°C.L’Acropole d’Athènes, chef d’oeuvre de la Grèce antique, abrite principalement le Parthénon, le temple dédié à la déesse Athéna datant du Ve siècle avant J-C.Ce site emblématique grec avait déjà dû fermer ses portes à plusieurs reprises durant les étés 2024 et 2023, notamment lors d’un épisode caniculaire de deux semaines, inédit dans sa durée, en juillet 2023. L’an dernier le site avait enregistré un nouveau record de visiteurs, près de 4,5 millions, une hausse de 15,1% sur un an.Pays méditerranéen coutumier des canicules, la Grèce a depuis le début de l’été été plutôt épargnée par les canicules qui se sont pourtant répétées ces dernières années.Juin 2025 a été le mois de juin le plus chaud jamais enregistré en Europe de l’Ouest, alors que des températures “extrêmes” ont frappé le continent lors de deux vagues de chaleur consécutives précoces, a par ailleurs annoncé mercredi le service européen Copernicus.

Iraq’s Kurdistan enjoys all-day state electricity

More than 30 percent of Iraq’s autonomous Kurdistan region now has 24-hour state electricity, authorities said Thursday, with plans to extend full coverage by the end of 2026.The northern region of Kurdistan has long promoted itself as a haven of relative stability in an otherwise volatile country.Despite Iraq’s vast oil wealth, the national grid struggles to meet demand, leaving most areas reliant on imported energy and subject to frequent power cuts.”Today, two million people across the Kurdistan region enjoy 24-hour electricity… that’s 30 percent of the population,” including the cities of Arbil, Duhok and Sulaimaniyah, said regional prime minister Masrour Barzani.In 2024, the Kurdistan Regional Government launched “Project Runaki” to deliver round-the-clock power in a region where, like much of Iraq, residents often turn to costly and polluting private generators.The region’s electricity minister, Kamal Mohammed, said residents were now enjoying “uninterrupted, cleaner, and more affordable electricity”.”Rollout to other areas is expected to be completed by the end of 2026,” he told AFP.As part of the transition, roughly 30 percent of the 7,000 private generators operating across Kurdistan have already been decommissioned, he said, a move that has contributed to an estimated annual reduction of nearly 400,000 tonnes of CO2 emissions.The project also aims to lower household electricity bills, offering a cheaper alternative to the combined cost of grid power and private generator fees.However, bills will still depend on consumption and are likely to increase during peak summer and winter months.Mohammed said the project’s success hinges on the introduction of “smart” meters to curb electricity theft, as well as a new tariff system to promote responsible usage.”More power has been added to the grid to support 24/7 access,” he said.Kurdistan has doubled its gas production in the past five years, and most of the power supply comes from local gas production, Mohammed said.Despite Iraq’s abundant oil and gas reserves, years of conflict have devastated its infrastructure.The country remains heavily reliant on imports, particularly from neighbouring Iran, which frequently interrupts supply. It also imports electricity from Jordan and Turkey, while seeking to boost its own gas output.”We stand ready to offer our technical support and assistance” to the federal government, Mohammed said.In Arbil, resident Bishdar Attar, 38, said the biggest change was the absence of noisy and polluting generators.”The air is now clear,” he said. “We can now use home appliances freely… as needed.”

Médicaments anti-obésité: une offensive des laboratoires jusque dans l’espace public

Les fabricants des injections à succès pour traiter l’obésité multiplient les “campagnes de sensibilisation” sur cette pathologie, une communication qui diffuse l’idée d’une prise en charge globale en attendant un éventuel remboursement de leurs médicaments.Depuis juin, des affiches mettant en scène une personne en surpoids déterminée à “agir” pour sa santé sont placardées dans plusieurs stations du métro parisien.Ces visuels signés du laboratoire danois Novo Nordisk renvoient à un site internet () comprenant des informations sur l’obésité et ses traitements, ainsi qu’à une plateforme d’orientation vers des spécialistes ().”Les personnes en situation d’obésité ne sont pas toujours disposées à demander l’aide dont elles ont besoin. Nous les encourageons à en parler avec leur médecin”, justifie le groupe à l’AFP, précisant que sa campagne est également diffusée cet été à la télévision et sur les réseaux sociaux.Si cette nouvelle campagne d’affichage de Novo Nordisk, fabricant de l’anti-obésité Wegovy, passe relativement inaperçue en France, une action similaire a fait des remous en Espagne.Le ministère espagnol de la Santé a demandé le 19 juin des éclaircissements au champion de l’insuline, estimant que certains contenus en ligne pourraient enfreindre l’interdiction de promotion des médicaments soumis à prescription.Déjà au printemps, le laboratoire américain Eli Lilly, fabricant du Mounjaro – autre médicament de la classe des analogues GLP-1 -, a lancé une campagne d’affichage intitulée “L’obésité, c’est un truc de malades” dans plusieurs grandes villes françaises.L’objectif, a affirmé le groupe à l’AFP, est de faire reconnaître l’obésité comme une maladie chronique et de rappeler les bons usages de ces traitements favorisant la perte de poids en imitant une hormone digestive.Aucune de ces campagnes ne fait référence aux médicaments commercialisés.- “Responsabilité de l’annonceur” -“Une communication institutionnelle à l’initiative d’un laboratoire, portant par exemple un message de prévention ou d’information sur les maladies, en l’absence de toute référence à un produit vendu qu’il commercialise, n’apparaît pas contraire aux règles en vigueur”, explique à l’AFP Stéphane Martin, le directeur général de l’autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP).”Il relève ensuite de la responsabilité de l’annonceur de l’opportunité de diffusion d’une telle communication au regard du contexte”, a-t-il ajouté.Ce contexte est sensible. Ces nouveaux médicaments, qui peuvent diminuer en moyenne de 15% à 20% le poids des patients, suscitent un fort intérêt et, depuis le 23 juin, tout médecin en France peut en prescrire dans un cadre strict. En parallèle, les industriels ont entamé des démarches pour obtenir leur remboursement par l’Assurance maladie.”Un certain nombre de manœuvres ont déjà été engagées bien avant cette campagne de publicité” de Novo Nordisk, déclare Christian Guy-Coichard, président du Formindep, association luttant contre les conflits d’intérêts dans la santé.Il évoque notamment plusieurs visites gouvernementales sur le site du groupe danois à Chartres, la dernière fin mai, lors de laquelle le patron du laboratoire pour la France a plaidé, en présence des ministres Catherine Vautrin, Yannick Neuder et Marc Ferracci, pour l’élargissement du droit de prescription aux généralistes.Interrogé par l’AFP, le ministère de la Santé n’a pas réagi à cette campagne.- “Campagne problématique” -“Ce qui rend cette campagne encore plus problématique”, selon M. Guy-Coichard, “c’est que la seule réponse proposée aux problèmes de l’obésité (hors chirurgie, ndlr), c’est le médicament. Il n’y a aucune réponse de prévention”, alors que le plan obésité gouvernemental est attendu en septembre.”Le laboratoire force progressivement l’ampleur de la prescription par tous les moyens possibles”, juge ce praticien hospitalier retraité.”Ils incitent clairement à la prise en charge, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici”, renchérit Audrey Vaugrente, journaliste santé chez UFC-Que Choisir.”Ce n’est pas anodin non plus d’aller voir des villes identifiées comme très actives sur la prévention de l’obésité”, pour des partenariats sur des actions de prévention comme l’a fait Novo Nordisk par exemple avec Strasbourg, selon elle.Devenue l’une des entreprises les plus valorisées au monde, Novo Nordisk a récemment dévoilé une étude évaluant le coût médico-économique de l’obésité “à près de 20 milliards d’euros par an”.”S’ils arrivent à démontrer que leur traitement arrive à réduire les coûts de prise en charge associés à l’obésité, c’est un peu le jackpot pour eux”, conclut Mme Vaugrente.

Israel, Hamas defiant as US presses for ceasefire

Israel’s bid to crush Hamas’s capabilities and bring the hostages home dominated talks between Benjamin Netanyahu and Donald Trump, the Israeli prime minister said, even as the Palestinian militants vowed no surrender in Gaza.Netanyahu’s visit to Washington — his third since Trump returned as US president in January — came as Doha hosted discussions between the two sides on a possible halt to 21 months of fighting and a hostage release deal.The indirect talks began on Sunday and have not yet seen any agreement but Trump’s special envoy Steve Witkoff said he was still hopeful of a ceasefire deal.”The release of all of our hostages — the living and the deceased, and the elimination of Hamas’s military and governing capabilities, thereby ensuring that Gaza will never again constitute a threat to Israel,” Netanyahu said after meeting Trump for a second time in 24 hours.”We focused on the efforts to release our hostages,” he said.”We are not relenting, even for a moment, and this is made possible due to the military pressure by our heroic soldiers.”Hamas, whose October 7, 2023 attack on Israel sparked the war in Gaza, said in a statement it would never give up.”Gaza will not surrender… and the resistance will impose the conditions, just as it imposed the equations,” it added.- ‘Mostly listening’ -A Palestinian official close to the talks blamed Israel for a lack of progress after the latest round of discussions broke up late Tuesday with no breakthrough.”The current round of negotiations in Doha between Hamas and Israel is still stalling due to the Israeli delegation’s refusal to accept the free entry of aid into the Gaza Strip,” he said.Another Palestinian source familiar with the negotiations said the Israeli delegation was “mostly listening rather than negotiating, which reflects Netanyahu’s ongoing policy of obstruction and sabotaging any potential agreement”.Witkoff, however, was more upbeat, in line with the US leader who has pushed for a ceasefire deal.”We are hopeful that by end of this week we will have an agreement that will bring us into a 60-day ceasefire,” Witkoff said.The deal would include the return of 10 live hostages held by Palestinian militant groups since Hamas’s October 2023 attack on Israel, and nine dead hostages, Witkoff added.Of 251 hostages seized during attack, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.Hamas has refused pushes to release all the hostages, demanding an end to the war and a full Israeli withdrawal from Gaza, while Israel wants to ensure militants in Gaza never again pose a threat to its security.Qatari mediators had warned on Monday that it would take time to seal a deal, though Trump kept up his push to reach an agreement.”It’s a tragedy, and he wants to get it solved, and I want to get it solved, and I think the other side wants to,” Trump told reporters, in reference to Netanyahu and Hamas.Asked earlier as he met US House speaker Mike Johnson if a ceasefire announcement was imminent, Netanyahu replied: “We’re certainly working on it.”- ‘Like an earthquake’ -On the ground, Gaza’s civil defence agency on Wednesday said 20 people, including at least six children, were killed in two Israeli air strikes overnight.The Israeli military said it was looking into the report when contacted by AFP.”The explosion was massive, like an earthquake,” said Zuhair Judeh, 40, who witnessed one of the strikes.”It destroyed the house and several nearby homes. The bodies and remains of the martyrs were scattered,” he added, calling it “a horrific massacre”.Due to restrictions imposed on media in the Gaza Strip and difficulties accessing the area, AFP is unable to independently verify the death tolls and details shared by the parties involved.Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli official figures.Israel’s retaliatory campaign has killed at least 57,575 people in Gaza, also mostly civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The UN considers the figures reliable.An Israeli group of legal experts on Tuesday accused Hamas of using sexual violence as “part of a genocidal scheme” during its 2023 attack.Hamas, it said, “used sexual violence as a tactical weapon, as part of a genocidal scheme and with the goal of terrorising and dehumanising Israeli society”.The militant group has categorically denied allegations of using sexual violence, without providing evidence to support its claims.