Ligue 1: Lyon revient dans le Top 4 et se projette sur Manchester

Lyon a repris la quatrième place de la Ligue 1 en obtenant une victoire tout à fait méritée sur le terrain d’Auxerre (3-1), dimanche au terme d’un match de clôture de la 29e journée plaisant à suivre et incertain jusqu’au bout.Le succès de l’OL à Auxerre laisse le club rhodanien dans une bonne dynamique avant de se rendre à Manchester, jeudi, en Ligue Europa (2-2 à l’aller). Seuls Monaco et Strasbourg, en championnat, et Dunkerque en Coupe de France, ont réussi jusqu’à présent cette saison à s’imposer au stade Abbé-Deschamps.L’Olympique lyonnais, qui enchaîne une deuxième victoire consécutive après celle acquise contre Lille (2-1), le 5 avril, compte 51 points, à une longueur de Marseille (3e) et une unité de mieux que Lille (4e) et Strasbourg (5e).C’est Georges Mikautadze qui a donné un avantage décisif à l’OL en transformant un penalty accordé pour une faute commise sur lui-même par le gardien Donovan Léon, sorti devant lui après une ouverture de Corentin Tolisso (54e). C’est le quinzième but toutes compétitions confondues pour l’international géorgien cette saison.Peu après, Rayan Cherki a porté le score à 2-0, là encore après une passe décisive de Tolisso sur une action dont il était à l’origine (62e). Cherki, qui avait égalisé au bout du temps additionnel le 10 avril contre Manchester, est impliqué sur seize buts (6 buts, 10 passes) depuis l’arrivée de Fonseca, le 31 janvier.En fin de partie, Lassine Sinayoko a réduit l’écart en marquant à bout portant après que Thiago Almada a tardé à dégager le ballon (77e) avant qu’Alexandre Lacazette, servi par Mikautadze, n’ajoute un troisième but pour Lyon (3-1, 84e).Dans une période avec quatre matches en dix jours et un match face à l’AJA intercalé entre les deux rencontres de quart de finale européen contre Manchester United, l’entraîneur Paulo Fonseca avait annoncé qu’il opérerait plusieurs changements.Après son déplacement européen, jeudi, l’OL ira jouer le derby à Saint-Etienne, dimanche.- Fonseca a fait tourner -Ainsi, Ainsley Maitland-Niles, Clinton Mata et Nicolas Tagliafico étaient remplaçants, suppléés par Saël Kumbedi, Duje Caleta-Car et Vinicius Abner en défense tout comme Paul Akouokou et Jordan Veretout, titulaires contre MU, ont été laissés sur le banc.Nemanja Matic, qui n’avait pas joué contre les Red devils, était cette fois-ci au coup d’envoi, associé dans l’entrejeu à Corentin Tolisso dans un 4-4-2 avec Cherki et Thiago Almada sur les côtés et Mikautadze et Lacazette en pointe.  Ces deux buts ont récompensé les Lyonnais qui ont eu les meilleures occasions de la première période. Léon est notamment intervenu sur un tir de Rayan Cherki dès la 9e minute.Le portier auxerrois s’est aussi interposé devant Lacazette qui, dans la même action a touché le poteau avant que Sinaly Diomandé et Jubal ne sauvent leur équipe sur la ligue (25e).Enfin, Lacazette a encore échoué face à Léon peu après (31). En fin de match, le gardien auxerrois a encore détourné un bon tir de Mikautadze (75).De leur côté, les Icaunais, qui restent au dixième rang du classement, assurés du maintien avec une belle marge de sécurité de onze points sur le barragiste (Le Havre), n’ont été menaçants, outre leur but, que sur une action de Sinayoko (4) et un tir d’Ado Onaiwu détourné par le gardien Lucas Perri (14) même s’ils n’ont jamais fermé le jeu.

Brésil: Bolsonaro opéré à l’abdomen pour une occlusion intestinale

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro subit dimanche à Brasilia une longue opération à l’abdomen en raison d’une occlusion intestinale, après avoir ressenti de fortes douleurs, séquelles d’un attentat à l’arme blanche en 2018.M. Bolsonaro, 70 ans, “est actuellement soumis à une laparotomie (intervention chirurgicale qui consiste en l’ouverture de l’abdomen du patient) pour défaire les adhérences intestinales et reconstituer la paroi abdominale”, a expliqué dans un communiqué l’hôpital DF Star de la capitale brésilienne.L’opération, qui a débuté dans la matinée, ne devrait pas terminer avant 18h00 (21h00 GMT), a indiqué une source de cette clinique privée huppée.Une dizaine de partisans de l’ancien dirigeant d’extrême droite (2019-2022) attendait des nouvelles devant l’entrée d’hôpital. Parmi eux, Maurilio Borges Bernardes, 84 ans, un crucifix pendu au cou, venu lui apporter son “soutien moral et spirituel”.”Il va s’en sortir, j’en suis sûr”, dit cet entrepreneur vêtu d’un t-shirt jaune et vert, les couleurs du Brésil, et coiffé d’un chapeau de cowboy avec un autocollant à l’effigie de Jair Bolsonaro.L’épouse de l’ex-président, Michelle Bolsonaro, a appelé sur Instagram les sympathisants de son mari à “continuer à prier” pour lui.”L’équipe médicale nous a dit que ce serait une longue opération, car il y a beaucoup d’adhérences” intestinales, a-t-elle décrit.Les adhérences sont des bandes de tissu cicatriciel qui collent l’intestin à la paroi abdominale, pouvant ainsi causer ainsi une obstruction qui bloque le transit intestinal.”Ces opérations sont délicates car il faut avoir la patience nécessaire pour défaire chaque adhérence”, a expliqué à l’AFP Camila Beltrao, chirurgienne spécialiste en opérations de l’appareil digestif.”À chaque fois qu’un patient est réopéré, la probabilité de formation de nouvelles adhérence augmente”, a-t-elle ajouté. M. Bolsonaro a déjà subi ces dernières années plusieurs opérations liées aux séquelles de l’attaque au couteau lors de la campagne présidentielle de 2018.L’ex-président a rejoint Brasilia samedi soir à bord d’un avion sanitaire en provenance de Natal (nord-est), où il avait été hospitalisé la veille après avoir ressenti de fortes douleurs à l’abdomen.Des “douleurs insupportables”, selon Rogerio Marinho, un sénateur de son parti, qui l’accompagnait au début de sa tournée dans plusieurs villes de l’Etat du Rio Grande do Norte, dont Natal est la capitale.Cette tournée, destinée à mobiliser ses sympathisants dans cette région pauvre et fief historique de la gauche, était organisée deux semaines après son renvoi en procès pour une tentative présumée de coup d’Etat.- “mes médecins ont été surpris” -Jair Bolsonaro a été poignardé en 2018 par un déséquilibré en plein bain de foule. Il a finalement été élu président quelques semaines plus tard.Il a déclaré samedi sur le réseau social X que son médecin lui avait dit qu’il s’agissait “de la situation la plus grave depuis l’attentat qui a failli (lui) coûter la vie”.”Après avoir vécu tant d’épisodes similaires tout au long de ces dernières années, je me suis habitué à la douleur. Mais cette fois, même les médecins ont été surpris”, a-t-il ajouté.Il y a deux semaines, la Cour suprême a décidé d’ouvrir un procès contre M. Bolsonaro.Le parquet l’accuse d’avoir ourdi un complot de longue date avec des proches collaborateurs, notamment des ministres et des militaires haut gradés, pour se maintenir au pouvoir après l’élection de 2022, perdue au second tour face à son grand rival Luiz Inacio Lula da Silva, actuel président de gauche.Déclaré inéligible jusqu’en 2030 pour ses attaques sans preuves sur la fiabilité du système d’urnes électroniques brésilien, M. Bolsonaro espère encore faire annuler ou réduire cette condamnation pour se présenter à la présidentielle de 2026.À gauche, Lula, 79 ans, laisse planer pour sa part le mystère sur une éventuelle candidature à la réélection. Sa popularité est en berne, plombée par l’inflation, et il a également connu des problèmes de santé récemment. En décembre, il a dû être opéré en urgence pour résorber un hématome causé par une hémorragie près du cerveau liée à une chute.

Brésil: Bolsonaro opéré à l’abdomen pour une occlusion intestinale

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro subit dimanche à Brasilia une longue opération à l’abdomen en raison d’une occlusion intestinale, après avoir ressenti de fortes douleurs, séquelles d’un attentat à l’arme blanche en 2018.M. Bolsonaro, 70 ans, “est actuellement soumis à une laparotomie (intervention chirurgicale qui consiste en l’ouverture de l’abdomen du patient) pour défaire les adhérences intestinales et reconstituer la paroi abdominale”, a expliqué dans un communiqué l’hôpital DF Star de la capitale brésilienne.L’opération, qui a débuté dans la matinée, ne devrait pas terminer avant 18h00 (21h00 GMT), a indiqué une source de cette clinique privée huppée.Une dizaine de partisans de l’ancien dirigeant d’extrême droite (2019-2022) attendait des nouvelles devant l’entrée d’hôpital. Parmi eux, Maurilio Borges Bernardes, 84 ans, un crucifix pendu au cou, venu lui apporter son “soutien moral et spirituel”.”Il va s’en sortir, j’en suis sûr”, dit cet entrepreneur vêtu d’un t-shirt jaune et vert, les couleurs du Brésil, et coiffé d’un chapeau de cowboy avec un autocollant à l’effigie de Jair Bolsonaro.L’épouse de l’ex-président, Michelle Bolsonaro, a appelé sur Instagram les sympathisants de son mari à “continuer à prier” pour lui.”L’équipe médicale nous a dit que ce serait une longue opération, car il y a beaucoup d’adhérences” intestinales, a-t-elle décrit.Les adhérences sont des bandes de tissu cicatriciel qui collent l’intestin à la paroi abdominale, pouvant ainsi causer ainsi une obstruction qui bloque le transit intestinal.”Ces opérations sont délicates car il faut avoir la patience nécessaire pour défaire chaque adhérence”, a expliqué à l’AFP Camila Beltrao, chirurgienne spécialiste en opérations de l’appareil digestif.”À chaque fois qu’un patient est réopéré, la probabilité de formation de nouvelles adhérence augmente”, a-t-elle ajouté. M. Bolsonaro a déjà subi ces dernières années plusieurs opérations liées aux séquelles de l’attaque au couteau lors de la campagne présidentielle de 2018.L’ex-président a rejoint Brasilia samedi soir à bord d’un avion sanitaire en provenance de Natal (nord-est), où il avait été hospitalisé la veille après avoir ressenti de fortes douleurs à l’abdomen.Des “douleurs insupportables”, selon Rogerio Marinho, un sénateur de son parti, qui l’accompagnait au début de sa tournée dans plusieurs villes de l’Etat du Rio Grande do Norte, dont Natal est la capitale.Cette tournée, destinée à mobiliser ses sympathisants dans cette région pauvre et fief historique de la gauche, était organisée deux semaines après son renvoi en procès pour une tentative présumée de coup d’Etat.- “mes médecins ont été surpris” -Jair Bolsonaro a été poignardé en 2018 par un déséquilibré en plein bain de foule. Il a finalement été élu président quelques semaines plus tard.Il a déclaré samedi sur le réseau social X que son médecin lui avait dit qu’il s’agissait “de la situation la plus grave depuis l’attentat qui a failli (lui) coûter la vie”.”Après avoir vécu tant d’épisodes similaires tout au long de ces dernières années, je me suis habitué à la douleur. Mais cette fois, même les médecins ont été surpris”, a-t-il ajouté.Il y a deux semaines, la Cour suprême a décidé d’ouvrir un procès contre M. Bolsonaro.Le parquet l’accuse d’avoir ourdi un complot de longue date avec des proches collaborateurs, notamment des ministres et des militaires haut gradés, pour se maintenir au pouvoir après l’élection de 2022, perdue au second tour face à son grand rival Luiz Inacio Lula da Silva, actuel président de gauche.Déclaré inéligible jusqu’en 2030 pour ses attaques sans preuves sur la fiabilité du système d’urnes électroniques brésilien, M. Bolsonaro espère encore faire annuler ou réduire cette condamnation pour se présenter à la présidentielle de 2026.À gauche, Lula, 79 ans, laisse planer pour sa part le mystère sur une éventuelle candidature à la réélection. Sa popularité est en berne, plombée par l’inflation, et il a également connu des problèmes de santé récemment. En décembre, il a dû être opéré en urgence pour résorber un hématome causé par une hémorragie près du cerveau liée à une chute.

Green Day, Charli XCX and… Bernie Sanders helm Coachella day two

Coachella fans rocked out on Saturday to pop-punk headliner Green Day following a blockbuster cameo from US senator Bernie Sanders, who had the massive crowd roaring as he urged against political apathy.Also among the A-list performances on day two of the California music festival was Charli XCX, whose club-ready ode to her sensational year included cameos from Billie Eilish, Lorde and Troye Sivan.She bathed the desert in her signature “brat” lime green to close out her electric set that sent her audience into exultations, especially when she brought out Eilish to perform their lip-biter of a song “Guess.”Green Day’s career-spanning performance filled more than 90 minutes with hits — including “Brain Stew,” “Minority,” “Basket Case” and “When I Come Around” — a reminder of the grip the rockers had on popular music throughout their 1990s and 2000s heyday.The band opened with “American Idiot,” the lead single off their smash album of the same name that took direct aim at the George W. Bush administration — and whose lyrics Billie Joe Armstrong adapted to the present day.”I’m not part of the MAGA agenda,” he sang to deafening cheers, referring to President Donald Trump’s “Make America Great Again” movement.That was the group’s most overtly political statement of the night, though Green Day’s music is already a political statement in itself.And in case that was unclear, Armstrong prefaced the song “Holiday” with the obvious: “This is an anti-war song.”But it was Sanders who truly brought politics to the desert, making an unbilled pit stop following his tens-of-thousands-strong Los Angeles “Fighting Oligarchy” rally earlier in the day.As he was introduced at the Outdoor Stage within minutes of Charli XCX’s closing song, festival-goers rushed over to see the self-described socialist.”You can turn away and you can ignore what goes on but if you do that, you do it at your own peril. We need you to stand up, to fight for justice. To fight for economic justice, social justice, and racial justice,” Sanders told the rapt crowd.- Dudamel takes the desert -Brazilian DJ Alok packed his massive tent for a show demanding to “Keep Art Human” as the arts are threatened by the rapid proliferation of artificial intelligence.”To create art, you need the soul,” he told AFP following the set.Gustavo Dudamel meanwhile led the Los Angeles Philharmonic in a sweeping sunset show that turned the concept of genre on its head, marrying orchestral arrangements with elements from just about every musical form.Country star Maren Morris, Icelandic jazz-inspired pop singer Laufey, Argentine rap duo Ca7riel & Paco Amoroso, LA’s own Becky G, DJ and producer Zedd — all joined Dudamel and the Phil onstage.And LL Cool J served as the rollicking performance’s exclamation point, as he, Dudamel and the orchestra melded “The Imperial March” from “Star Wars” with the superstar rapper’s “Rock the Bells.””Werk!” exclaimed one audience member as Dudamel’s kinetic movements were projected behind his orchestra.Other features on Saturday included Japanese Breakfast, The Original Misfits and rapper Travis Scott, whose late-night set left some fans exasperated after he began around 20 minutes behind schedule.On deck Sunday are headliner Post Malone, hip-hop superstar Megan Thee Stallion, Best New Artist Grammy nominee Shaboozey and German electronic pioneers Kraftwerk.Coachella’s second weekend — which features the same lineup, save for cameo shakeups and occasional special features — will take place April 18-20.

US says tech tariff exemptions may be short-lived

Recent exemptions to sweeping US import tariffs may be short-lived, top officials said Sunday, with Donald Trump warning that no one was “getting off the hook,” and China urging the US to simply abandon its aggressive trade levies policy altogether.The world’s two largest economies have been locked in a fast-moving, high-stakes game of brinkmanship since US President Trump launched a global tariff assault that particularly targeted Chinese imports.Tit-for-tat exchanges have seen US levies imposed on China rise to 145 percent, and Beijing setting a retaliatory 125 percent band on US imports.The US side had appeared to dial down the pressure slightly on Friday, listing tariff exemptions for smartphones, laptops, semiconductors and other electronic products for which China is a major source.But Trump asserted Sunday that there was “no Tariff ‘exception'” on those products, saying they remained subject to a 20 percent rate in “a different Tariff ‘bucket.'”In a post on his Truth Social platform, he said “Nobody is getting off the hook,” adding: “We will not be held hostage by other Countries, especially hostile trading Nations like China.”Earlier, Beijing’s Commerce Ministry had said Friday’s move only “represents a small step” and insisted that the Trump administration should “completely cancel” the whole tariff strategy.The new exemptions will benefit US tech companies like Nvidia and Dell as well as Apple, which makes iPhones and other premium products in China.- Short-lived relief? -The relief could, however, be short-lived with some of the exempted consumer electronics targeted for upcoming sector-specific tariffs on goods deemed key to US national defense networks.Trump has said he will give “very specific” details on Monday, and his commerce secretary, Howard Lutnick, said semiconductor tariffs would likely be in place “in a month or two.”He said pharmaceutical products would “also be outside the reciprocal tariffs,” using an administration term for tariffs aimed at bringing all US trade imbalances to zero.The US president sent financial markets into a tailspin earlier this month by announcing sweeping import taxes on dozens of trade partners, only to abruptly announce a 90-day pause for most of them.China was excluded from the reprieve.The White House says Trump remains optimistic about securing a deal with China, although administration officials have made it clear they expect Beijing to reach out first.Trump’s trade representative Jamieson Greer told CBS “Face the Nation” on Sunday that “we don’t have any plans” for talks between the US president and his Chinese counterpart Xi Jinping.- China looks elsewhere -China has sought to present itself as a stable alternative to an erratic Washington, courting countries spooked by the global economic storm.Xi on Monday kicks off a five-day Southeast Asia tour for talks with the leaders of Vietnam, a manufacturing powerhouse, as well as Malaysia and Cambodia.The fallout from Trump’s tariffs — and subsequent whiplash policy reversals — has sent particular shockwaves through the US economy, with investors dumping government bonds, the dollar tumbling and consumer confidence plunging.Adding to the pressure on Trump, Wall Street billionaires — including a number of his own supporters — have openly criticized the tariff strategy as damaging and counterproductive.The White House insists the aggressive policy is bearing fruit, saying dozens of countries have already opened trade negotiations to secure a deal before the 90-day pause ends.”We’re working around the clock, day and night, sharing paper, receiving offers and giving feedback to these countries,” Greer told CBS.