Skidding Nissan to halt production at Japanese plant

Struggling auto giant Nissan said Tuesday it will stop production at its plant at Oppama in Japan at the end of its 2027 fiscal year.Nissan posted a net loss of 671 billion yen ($4.5 billion) last year and it has said it will cut 15 percent of its global workforce.”The company will cease vehicle production at the Oppama plant at the end of fiscal year 2027,” Nissan said in a statement.Production of the plant outside of Yokahama will be shifted to another existing factory on the southern Japanese island of Kyushu, it said.One of Nissan’s six domestic plants, Oppama exmployed around 3,900 people as of October 2024 and began operations in 1961, according to the company’s website.It was a “pioneer in the production of advanced vehicles, such as the Nissan LEAF, the world’s first mass-market electric vehicle,” it said.The heavily indebted carmaker, whose mooted merger with Japanese rival Honda collapsed this year, is slashing production as part of its expensive business turnaround plan.Nissan said in May it would “consolidate its vehicle production plants from 17 to 10 by fiscal year 2027”.Like many peers, Nissan is finding it difficult to compete against Chinese electric vehicle brands.The merger with Honda had been seen as a potential lifeline but talks collapsed in February when the latter proposed making Nissan a subsidiary.Nissan has faced numerous speed bumps in recent years — including the 2018 arrest of former boss Carlos Ghosn, who later fled Japan concealed in an audio equipment box.Ratings agencies have downgraded the firm to junk, with Moody’s citing its “weak profitability” and “ageing model portfolio”.This year Nissan shelved plans, only recently agreed, to build a $1-billion battery plant in southern Japan owing to the tough “business environment”.Of Japan’s major automakers, Nissan is seen as the most exposed to US President Donald Trump’s 25-percent tariff imposed on imported Japanese vehicles earlier this year.This is because its clientele has historically been more price-sensitive than that of its rivals, according to experts.One potential solution for Nissan could be Taiwanese electronics behemoth Hon Hai, better known as Foxconn, which assembles iPhones and is expanding into cars.Foxconn said in February it was open to buying Renault’s stake in Nissan.

Aux Etats-Unis, data center cherche électricité désespérément

“La centrale serait là”, pointe sur une carte Al Tomson, le maire de Davis, dans l’est des Etats-Unis. Cet ancien militaire se bat contre l’implantation, à la sortie de son village, de turbines à gaz destinées à alimenter en électricité un vaste centre de données.Ce projet, que l’Etat de Virginie-Occidentale essaye de “faire avaler de force” aux 600 habitants du village selon l’édile, n’est qu’un exemple de plus dans la course de vitesse que mène l’industrie de la tech pour alimenter en énergie ses serveurs, rendus plus gourmands que jamais par le boom de l’intelligence artificielle.Pour brancher à la hâte leurs milliers de data centers, les géants américains de l’informatique à distance (cloud) s’impliquent directement dans la production d’énergie. Et s’ils se tournent vers les énergies renouvelables et tentent de relancer le nucléaire, ils appellent aussi à la rescousse les énergies fossiles comme le gaz, peu cher.En Pennsylvanie, une ancienne centrale à charbon va désormais tourner au gaz pour alimenter un centre de données.En Géorgie, xAI, l’entreprise d’Elon Musk derrière le chatbot Grok, a directement branché à ses serveurs 35 turbines à méthane, le tout sans permis selon l’ONG Southern Environmental Law Center.L’avantage: un accès rapide et fiable à une grande quantité d’électricité. Car la part des centres de données dans la demande électrique aux Etats-Unis devrait passer de 4 à 5% actuellement à entre 6,7% et 12% d’ici 2028, selon une estimation gouvernementale.- Impuissance – Le réseau électrique américain “fait face à une croissance de la demande que nous n’avons pas vue depuis plus d’une génération”, alerte Todd Snitchler, patron de l’EPSA, qui représente un grand nombre de producteurs d’électricité.Pour y répondre, ils agissent sur tous les fronts. Un peu partout, la fin de vie des vieilles centrales est repoussée, des turbines additionnelles sont ajoutées en attendant que de nouvelles installations sortent de terre.Mais la soif liée à l’IA est telle que de plus en plus de géants de la tech en viennent à construire leurs propres centrales, en dehors du réseau. Quitte à le faire contre le souhait des habitants.A Davis, le maire et des centaines de ses administrés luttent depuis avril contre le projet de centrale de Fundamental Data. Pour Al Tomson, cette entreprise n’est qu’une “société écran” qui travaille “pour le compte d’une grande entreprise de la tech non identifiée.” Fundamental Data n’a pas répondu aux multiples sollicitations de l’AFP.Dans le bureau du maire est imprimée une carte sur laquelle on peut lire que les turbines à gaz, avec leurs rejets toxiques, seraient situées à “1,1 km d’habitants” du village touristique entouré de nature à trois heures de Washington. Mais Al Tomson se dit démuni. L’Etat de Virginie-Occidentale a récemment adopté une loi qui, pour attirer les milliards de dollars d’investissement dans les data centers, interdit aux élus locaux de prendre des mesures s’y opposant.  – Compétition mondiale – La frustration des habitants de Davis a débordé lors d’une réunion publique particulièrement tendue, fin juin. Pendant cinq heures, quelque 300 personnes ont interpellé des régulateurs chargés d’approuver un premier permis concernant la qualité de l’air, bien parti pour être accordé selon eux.A la sortie, des bénévoles distribuaient des panneaux “Non au complexe de data center” à installer dans son jardin – certains sont déjà placardés sur les vitrines des commerces. Mais ces opposants font face à un problème qui les dépasse.”Ne pas réussir à alimenter les centres de données nécessaires pour l’emporter dans la course à l’IA (…) permettrait à des nations concurrentes de décider des règles du monde numérique et de contrôler son infrastructure”, alerte un récent rapport du ministère américain de l’Energie.Certains, à Davis et en Virginie-Occidentale, sont favorables à ces projets, y voyant l’occasion de réindustrialiser une région sinistrée – la centrale proposée s’installerait sur le site même d’une ancienne mine de charbon.Car depuis que les emplois miniers sont partis, “nous avons besoin de quelque chose ici pour garder nos jeunes,” estime Charles Davis, chemise à carreaux et bottes de cuir, qui habite Thomas, un village proche.Jojo Pregley, elle, ne veut pas en entendre parler. “Beaucoup de monde a eu le cancer ici”, dit-elle, assise sur un banc devant sa maison, en compagnie de son mari Pat, 40 ans au fond de la mine. “On ne veut pas plus de pollution, de data center ou de quoi que ce soit d’autre.” 

Aux Etats-Unis, data center cherche électricité désespérément

“La centrale serait là”, pointe sur une carte Al Tomson, le maire de Davis, dans l’est des Etats-Unis. Cet ancien militaire se bat contre l’implantation, à la sortie de son village, de turbines à gaz destinées à alimenter en électricité un vaste centre de données.Ce projet, que l’Etat de Virginie-Occidentale essaye de “faire avaler de force” aux 600 habitants du village selon l’édile, n’est qu’un exemple de plus dans la course de vitesse que mène l’industrie de la tech pour alimenter en énergie ses serveurs, rendus plus gourmands que jamais par le boom de l’intelligence artificielle.Pour brancher à la hâte leurs milliers de data centers, les géants américains de l’informatique à distance (cloud) s’impliquent directement dans la production d’énergie. Et s’ils se tournent vers les énergies renouvelables et tentent de relancer le nucléaire, ils appellent aussi à la rescousse les énergies fossiles comme le gaz, peu cher.En Pennsylvanie, une ancienne centrale à charbon va désormais tourner au gaz pour alimenter un centre de données.En Géorgie, xAI, l’entreprise d’Elon Musk derrière le chatbot Grok, a directement branché à ses serveurs 35 turbines à méthane, le tout sans permis selon l’ONG Southern Environmental Law Center.L’avantage: un accès rapide et fiable à une grande quantité d’électricité. Car la part des centres de données dans la demande électrique aux Etats-Unis devrait passer de 4 à 5% actuellement à entre 6,7% et 12% d’ici 2028, selon une estimation gouvernementale.- Impuissance – Le réseau électrique américain “fait face à une croissance de la demande que nous n’avons pas vue depuis plus d’une génération”, alerte Todd Snitchler, patron de l’EPSA, qui représente un grand nombre de producteurs d’électricité.Pour y répondre, ils agissent sur tous les fronts. Un peu partout, la fin de vie des vieilles centrales est repoussée, des turbines additionnelles sont ajoutées en attendant que de nouvelles installations sortent de terre.Mais la soif liée à l’IA est telle que de plus en plus de géants de la tech en viennent à construire leurs propres centrales, en dehors du réseau. Quitte à le faire contre le souhait des habitants.A Davis, le maire et des centaines de ses administrés luttent depuis avril contre le projet de centrale de Fundamental Data. Pour Al Tomson, cette entreprise n’est qu’une “société écran” qui travaille “pour le compte d’une grande entreprise de la tech non identifiée.” Fundamental Data n’a pas répondu aux multiples sollicitations de l’AFP.Dans le bureau du maire est imprimée une carte sur laquelle on peut lire que les turbines à gaz, avec leurs rejets toxiques, seraient situées à “1,1 km d’habitants” du village touristique entouré de nature à trois heures de Washington. Mais Al Tomson se dit démuni. L’Etat de Virginie-Occidentale a récemment adopté une loi qui, pour attirer les milliards de dollars d’investissement dans les data centers, interdit aux élus locaux de prendre des mesures s’y opposant.  – Compétition mondiale – La frustration des habitants de Davis a débordé lors d’une réunion publique particulièrement tendue, fin juin. Pendant cinq heures, quelque 300 personnes ont interpellé des régulateurs chargés d’approuver un premier permis concernant la qualité de l’air, bien parti pour être accordé selon eux.A la sortie, des bénévoles distribuaient des panneaux “Non au complexe de data center” à installer dans son jardin – certains sont déjà placardés sur les vitrines des commerces. Mais ces opposants font face à un problème qui les dépasse.”Ne pas réussir à alimenter les centres de données nécessaires pour l’emporter dans la course à l’IA (…) permettrait à des nations concurrentes de décider des règles du monde numérique et de contrôler son infrastructure”, alerte un récent rapport du ministère américain de l’Energie.Certains, à Davis et en Virginie-Occidentale, sont favorables à ces projets, y voyant l’occasion de réindustrialiser une région sinistrée – la centrale proposée s’installerait sur le site même d’une ancienne mine de charbon.Car depuis que les emplois miniers sont partis, “nous avons besoin de quelque chose ici pour garder nos jeunes,” estime Charles Davis, chemise à carreaux et bottes de cuir, qui habite Thomas, un village proche.Jojo Pregley, elle, ne veut pas en entendre parler. “Beaucoup de monde a eu le cancer ici”, dit-elle, assise sur un banc devant sa maison, en compagnie de son mari Pat, 40 ans au fond de la mine. “On ne veut pas plus de pollution, de data center ou de quoi que ce soit d’autre.” 

Jadeja hailed for taking India close but Gavaskar rues lack of risk

Ravindra Jadeja was praised Tuesday for almost taking India to an unlikely Test win at Lord’s, but former greats said a little more risk-taking with the bat might have got his side over the line.Jadeja, batting at number seven, hit a painstaking unbeaten 61 as he shepherded the tail from 112-8 at lunch chasing 193 for victory against England in the third Test. But he eventually ran out of partners after more than four hours at the crease as India were all out for 170 after tea on a nerve-shredding final day.Jadeja, who came in at 71-5 and saw India slump to 112-8 at lunch, chose to protect Jasprit Bumrah and Mohammed Siraj from England’s attack by scoring singles to keep the strike and controlling his attacking instincts.Former batting great Sunil Gavaskar said on Sony Sports that scoring quicker and putting pressure back on England’s bowlers might have resulted in “a partnership of 60-70 would have made a difference”.”India never got that (partnership),” he said.”You could say that Jadeja could have taken the odd chance and not necessarily the aerial route when Joe Root and Shoaib Bashir were bowling. But full marks to him (Jadeja).”Jadeja hit just four fours and one six in his 181-ball stay before Bashir bowled number 11 Siraj to trigger jubilant England celebrations.”I’d like to look a little deeper into that whole innings,” former batsman Sanjay Manjrekar said on ESPNcricinfo.”There was one attempt at playing a shot that went for six. “But I don’t think there were too many attempted attacking shots.”For me, one telling moment was when he got to his fifty and India were still a few runs short. “You saw the reaction of the dressing room there were people applauding but I don’t think there was excitement around and belief that Jadeja would take them through.”India’s greatest batsman Sachin Tendulkar lamented: “So near, yet so far.””Jadeja, Bumrah, & Siraj fought all the way till the end,” he posted on X.”Well tried, Team India. England played well to keep the pressure on and produced the result they desired. Congratulations on a hard-fought win.”England lead the series 2-1 with two to play.The fourth Test starts at Manchester’s Old Trafford on July 23.

Ivory Coast farmers hope tech tempts jaded youth back to fieldsTue, 15 Jul 2025 04:56:49 GMT

Stopwatch in hand, dozens of Ivory Coast students raced against the clock to design robots for the farms of the future in the world’s top cocoa-producing nation.With each team facing off to draw up the best bot blueprint, the competition is part of a broader push to tempt the west African nation’s large population of …

Ivory Coast farmers hope tech tempts jaded youth back to fieldsTue, 15 Jul 2025 04:56:49 GMT Read More »

Unreleased Beyonce music stolen from car in Atlanta

Computer drives containing unreleased music by US superstar Beyonce and plans related to her concerts were stolen last week in Atlanta, police said Monday, with a suspect still at large.The items were stolen from a rental car used by Beyonce’s choreographer and a dancer on July 8, two days before the pop icon kicked off the Atlanta leg of her “Cowboy Carter” tour, a police incident report said.Choreographer Christopher Grant, 37, told police that he returned to the car to find its rear-window smashed and their luggage stolen.Inside were multiple jump drives that “contained water marked music, some un-released music, footage plans for the show, and past and future set list (sic),” the report said.Also missing were an Apple MacBook, headphones and several items of luxury clothing.Police investigated an area where the MacBook and headphones had pinged their location, but the report did not mention any items being recovered.Atlanta Police said in an online statement that a warrant had been issued for an unnamed suspect’s arrest, but that the suspect remained at large.The “Cowboy Carter” tour kicked off in April after the global superstar took home her first “Album of the Year” Grammy for the 2024 album.The sweeping country-themed work saw Beyonce stake out musical territory in a different genre from much of her previous discography.The ambitious, historically rooted album also aimed to elevate and showcase the work of other Black artists in country music, whose rich contributions the industry has repeatedly sidelined.As her stadium tour to promote the album winds down, Beyonce ended her four-night stint in Atlanta on Monday, with two final performances set for late July in Las Vegas.