Lycéenne tuée à coups de couteau à Nantes: le profil de l’agresseur au centre de l’enquête

Au lendemain de l’attaque au couteau dans un collège-lycée privé de Nantes qui a fait un mort et trois blessés, les enquêteurs vont tenter vendredi de cerner les motivations de l’auteur présumé, un adolescent décrit comme dépressif qui a été hospitalisé jeudi soir après un examen psychiatrique.Pour quelle raison cet élève du collège-lycée privé Notre-Dame de Toutes-Aides, interpellé peu après les faits, a-t-il poignardé mortellement une de ses camarades, jeudi en milieu de journée, avant de s’attaquer à trois autres élèves, dont un était entre la vie et la mort jeudi soir ? Le procureur de la République de Nantes, Antoine Leroy, a annoncé qu’il donnerait une conférence de presse vendredi à 18h.”Le psychiatre ayant procédé à l’examen du mis en cause a conclu à l’incompatibilité de son état de santé avec la mesure de garde à vue en cours”, a-t-il indiqué à la presse dans la soirée. “L’intéressé va donc être désormais conduit à l’hôpital”.Quelques heures plus tôt, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et sa collègue de l’Education Elisabeth Borne s’étaient rendus sur place pour saluer le travail des forces de l’ordre, des secours ainsi que du personnel enseignant qui a permis de maîtriser l’agresseur et d’éviter un bilan plus lourd.Trois autres élèves ont été blessés par l’adolescent et pour l’un d’eux, il n’y a “pas de garantie” qu’il soit “totalement tiré d’affaire”, a indiqué Mme Borne.Pour la journée de vendredi, les cours sont maintenus pour l’école primaire mais suspendus pour les collégiens et les lycéens, la cellule psychologique restera ouverte au sein du groupe scolaire. Un appel à déposer des fleurs devant l’établissement à 15h30 a été lancé et partagé sur les réseaux sociaux.- Portiques -L’agresseur semble quant à lui présenter un profil singulier. “Le lycéen, les gens le connaissaient comme dépressif, il disait qu’il adorait Hitler. Il a envoyé un mail de 13 pages à tout le monde pour expliquer tous ses problèmes à midi”, a témoigné auprès de l’AFP une collégienne.Peu avant d’attaquer ses camarades au couteau, il a envoyé aux élèves un courriel sombre et confus consulté par l’AFP. Il y évoque notamment “la mondialisation (qui) a transformé notre système en une machine à décomposer l’humain”, revendiquant une “révolte biologique” afin que “l’équilibre naturel, même cruel” reprenne “sa place” contre “l’écocide globalisé”.Bruno Retailleau a estimé que “ce n’est pas un fait divers, ce drame, cette tragédie, c’est un fait de société”.”Nous sommes dans une société qui a encouragé le laxisme, qui a voulu déconstruire les interdits, l’autorité, l’ordre, les hiérarchies et qui a accouché finalement de toute cette violence”, a-t-il poursuivi.Rappelant le décès un mois auparavant d’un jeune poignardé devant un lycée en Essonne, Bruno Retailleau a indiqué que “comme tant de Français, on ne se résout pas à ce que ces lieux de vie, ces lieux d’enseignement deviennent parfois des lieux d’ensauvagement, des lieux de mort”.Le président Emmanuel Macron a salué le “courage” des professeurs qui “ont sans doute empêché d’autres drames”.François Bayrou a lui estimé que l’installation de portiques à l’entrée des établissements scolaires était “une piste” pour éviter de nouvelles attaques au couteau dans les écoles.  “Un couteau, une arme blanche potentiellement dangereuse et même létale (…) ces armes-là, elles doivent être bannies, donc elles doivent être pourchassées. Tout le monde doit savoir qu’elles sont interdites et les contrôles nécessaires doivent être conduits”, a déclaré le Premier ministre devant la presse.

Alphabet quarterly earnings lifted by cloud and AI

Google parent Alphabet on Thursday reported profit of $34.5 billion in the recently ended quarter, powered by its cloud computing and artificial intelligence operations.Overall revenue at Alphabet grew 12 percent to $90.2 billion compared to the same period a year earlier, while revenue for the cloud unit grew 28 percent to $12.3 billion, according to the tech giant.Alphabet chief executive Sundar Pichai said the strong quarterly results reflect healthy growth and momentum across the business.”Underpinning this growth is our unique full stack approach to AI,” Pichai said in an earnings release.He touted the latest Gemini software as Alphabet’s most intelligent AI model and an “extraordinary foundation” for the Silicon Valley company’s innovation.Alphabet shares were up more than three percent in after-market trades that followed the release of the earnings figures.”Cloud grew rapidly with significant demand for our solutions,” Pichai said of Alphabet’s services and tools hosted at data centers.Investors have been watching closely to see whether the tech giant may be pouring too much money into artificial intelligence.”Cloud’s growth indicates that Google AI product mix continues to thrive despite heightened competition,” said Emarketer principal analyst Yory Wurmser.Google and rivals are spending billions of dollars on data centers and more for AI, while the rise of lower-cost model DeepSeek from China raises questions about how much needs to be spent.- Antitrust battles -Meanwhile the online ad business that churns out the cash Google invests in its future could be neutered due to a defeat in a US antitrust case.US government attorneys are urging a federal judge to make Google spin off its Chrome browser, arguing artificial intelligence is poised to ramp up the company’s online search dominance.The Department of Justice (DOJ) is arguing its position before District Judge Amit Mehta, who is considering “remedies” after making a landmark decision last year that Google maintained an illegal monopoly in online search.”Nothing less than the future of the internet is at stake here,” Assistant Attorney General Gail Slater said prior to the start of the hearings this week in Washington.”If Google’s conduct is not remedied, it will control much of the internet for the next decade and not just in internet search, but in new technologies like artificial intelligence.”Google countered in the case that the United States has gone way beyond the scope of the suit by recommending a spinoff of its widely used Chrome, and holding open the option to force a sale of its Android mobile operating system.The legal case focused on Google’s agreements with partners such as Apple and Samsung to distribute its search tools, noted Google president of global affairs Kent Walker.”The DOJ chose to push a radical interventionist agenda that would harm Americans and America’s global technology leadership,” Walker wrote in a blog post.In another legal battle, a different US judge ruled this month that Google wielded monopoly power in the online ad technology market in a legal blow that could rattle the tech giant’s revenue engine.The federal government and more than a dozen US states filed the antitrust suit against Google, accusing it of acting illegally to dominate major sectors of digital advertising.District Court Judge Leonie Brinkema ruled that Google built an illegal monopoly over ad software and tools used by publishers.”Google has willfully engaged in a series of anticompetitive acts to acquire and maintain monopoly power in the publisher ad server and ad exchange markets for open-web display advertising,” Brinkema said in her ruling.Online advertising is the driving engine of Google’s fortune and pays for widely used online services like Maps, Gmail, and search offered free.Combined, the courtroom defeats have the potential to leave Google split up and its influence curbed.Google said it is appealing both rulings.

Ultimes préparatifs pour les funérailles du pape

Le Vatican met vendredi la dernière main aux préparatifs des funérailles du pape François, qui se tiendront samedi matin sur la place Saint-Pierre, à Rome, tandis que pour une dernière journée, fidèles et touristes peuvent défiler devant son cercueil ouvert.La plupart des 50 chefs d’Etat et des 10 monarques qui ont confirmé jusqu’ici leur présence aux obsèques du souverain pontife, dont le président américain Donald Trump et l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, doivent arriver à Rome ce vendredi.Au moins 130 délégations étrangères seront présentes, dont celles de l’Argentin Javier Milei et du Prince William.L’agence italienne de protection civile estime que “plusieurs centaines de milliers” de personnes se rendront dans la ville éternelle en ce week-end qui s’annonçait déjà très chargé en raison d’un jour férié.Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de forces de l’ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d’élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.Des dizaines de milliers de personnes ont déjà fait la queue pendant des heures pour rendre un dernier hommage à François, dont le cercueil sera fermé vendredi à 20 heures lors d’une cérémonie à laquelle assisteront les cardinaux.C’est le cardinal Kevin Farrell, le “camerlingue” qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu’à l’élection d’un nouveau pape, qui présidera le “rite du scellement du cercueil”.Le premier pape sud-américain de l’Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l’âge de 88 ans, moins d’un mois après sa sortie de l’hôpital romain où il était soigné pour une grave pneumonie.- “Un pape et son troupeau” -Véronique Montes-Coulomb, une touriste toulousaine qui attendait d’entrer à Saint-Pierre jeudi, a assisté à la messe du dimanche de Pâques, la dernière sortie publique du souverain pontife: “Nous avons vu passer le pape dans la +papamobile+, il semblait en bonne santé, et nous avons été surpris d’apprendre qu’il était mort lundi matin.”L’Argentin, dont la santé était défaillante depuis longtemps et auxquels ses médecins avaient ordonné un strict repos, a défié leurs préconisations pour se présenter aux fidèles à Pâques, la fête la plus importante du calendrier catholique.Les condoléances ont afflué du monde entier pour le défunt pape, un réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses 12 années à la tête des quelque 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.Le cercueil capitonné de rouge du jésuite argentin a été placé devant l’autel de la basilique Saint-Pierre. François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.Un par un, les fidèles se recueillent depuis mercredi devant le cercueil, ne disposant que de quelques secondes. “C’était un moment bref mais intense à côté de son corps”, a déclaré jeudi à l’AFP l’Italien Massimo Palo, 63 ans, après sa visite.”C’était un pape parmi son troupeau, parmi son peuple, et j’espère que les prochains papes seront un peu comme lui”, a-t-il ajouté.- Une sobre sépulture -Après les funérailles, le cercueil de François sera transporté pour être inhumé, selon sa volonté, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, à Rome, dédiée au culte de la Vierge.Un groupe de “pauvres et de nécessiteux” sera présent sur les marches de la basilique pour accueillir le cercueil du pontife, qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription “Franciscus”, François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin.Après les obsèques, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs – soit ceux âgés de moins de 80 ans – réunis en conclave pour choisir le successeur de François. La date du début du conclave n’est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s’ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.Les cardinaux, qui ont commencé à converger à Rome et se sont déjà vus à trois reprises, se réuniront dans la Chapelle Sixtine et procéderont à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l’après-midi.Le cardinal italien Pietro Parolin, qui était le numéro deux de François, est donné favori par le bookmaker britannique William Hill, devant le Philippin Luis Antonio Tagle, archevêque métropolitain émérite de Manille.

Ultimes préparatifs pour les funérailles du pape

Le Vatican met vendredi la dernière main aux préparatifs des funérailles du pape François, qui se tiendront samedi matin sur la place Saint-Pierre, à Rome, tandis que pour une dernière journée, fidèles et touristes peuvent défiler devant son cercueil ouvert.La plupart des 50 chefs d’Etat et des 10 monarques qui ont confirmé jusqu’ici leur présence aux obsèques du souverain pontife, dont le président américain Donald Trump et l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, doivent arriver à Rome ce vendredi.Au moins 130 délégations étrangères seront présentes, dont celles de l’Argentin Javier Milei et du Prince William.L’agence italienne de protection civile estime que “plusieurs centaines de milliers” de personnes se rendront dans la ville éternelle en ce week-end qui s’annonçait déjà très chargé en raison d’un jour férié.Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de forces de l’ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d’élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.Des dizaines de milliers de personnes ont déjà fait la queue pendant des heures pour rendre un dernier hommage à François, dont le cercueil sera fermé vendredi à 20 heures lors d’une cérémonie à laquelle assisteront les cardinaux.C’est le cardinal Kevin Farrell, le “camerlingue” qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu’à l’élection d’un nouveau pape, qui présidera le “rite du scellement du cercueil”.Le premier pape sud-américain de l’Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l’âge de 88 ans, moins d’un mois après sa sortie de l’hôpital romain où il était soigné pour une grave pneumonie.- “Un pape et son troupeau” -Véronique Montes-Coulomb, une touriste toulousaine qui attendait d’entrer à Saint-Pierre jeudi, a assisté à la messe du dimanche de Pâques, la dernière sortie publique du souverain pontife: “Nous avons vu passer le pape dans la +papamobile+, il semblait en bonne santé, et nous avons été surpris d’apprendre qu’il était mort lundi matin.”L’Argentin, dont la santé était défaillante depuis longtemps et auxquels ses médecins avaient ordonné un strict repos, a défié leurs préconisations pour se présenter aux fidèles à Pâques, la fête la plus importante du calendrier catholique.Les condoléances ont afflué du monde entier pour le défunt pape, un réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses 12 années à la tête des quelque 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.Le cercueil capitonné de rouge du jésuite argentin a été placé devant l’autel de la basilique Saint-Pierre. François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.Un par un, les fidèles se recueillent depuis mercredi devant le cercueil, ne disposant que de quelques secondes. “C’était un moment bref mais intense à côté de son corps”, a déclaré jeudi à l’AFP l’Italien Massimo Palo, 63 ans, après sa visite.”C’était un pape parmi son troupeau, parmi son peuple, et j’espère que les prochains papes seront un peu comme lui”, a-t-il ajouté.- Une sobre sépulture -Après les funérailles, le cercueil de François sera transporté pour être inhumé, selon sa volonté, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, à Rome, dédiée au culte de la Vierge.Un groupe de “pauvres et de nécessiteux” sera présent sur les marches de la basilique pour accueillir le cercueil du pontife, qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription “Franciscus”, François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin.Après les obsèques, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs – soit ceux âgés de moins de 80 ans – réunis en conclave pour choisir le successeur de François. La date du début du conclave n’est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s’ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.Les cardinaux, qui ont commencé à converger à Rome et se sont déjà vus à trois reprises, se réuniront dans la Chapelle Sixtine et procéderont à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l’après-midi.Le cardinal italien Pietro Parolin, qui était le numéro deux de François, est donné favori par le bookmaker britannique William Hill, devant le Philippin Luis Antonio Tagle, archevêque métropolitain émérite de Manille.

Rubio to host signing of agreement between Rwanda, DR CongoFri, 25 Apr 2025 01:09:48 GMT

US Secretary of State Marco Rubio on Friday will host the signing of an agreement between Rwanda and the Democratic Republic of Congo following a truce pledge, officials said.The State Department on its public schedule said that Rubio would sign a “declaration of principles” with DRC Foreign Minister Therese Kayikwamba Wagner and Rwandan Foreign Minister …

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‘Vladimir, STOP!’: Trump tells Putin after deadly Kyiv strike

Donald Trump called Thursday on Vladimir Putin to halt attacks on Ukraine, in a rare rebuke of the Russian leader after Moscow fired missiles and drones at Kyiv in the deadliest attack on the capital in months.The US president’s direct appeal to Putin came after Ukrainian President Volodymyr Zelensky urged his allies to put Russia under more pressure to halt its invasion.Zelensky cut short a trip to South Africa to deal with the aftermath of the strikes, the latest in a wave of Russian aerial attacks that have killed dozens of civilians.”I am not happy with the Russian strikes,” Trump said on social media. “Not necessary, and very bad timing. Vladimir, STOP!”Trump, who is accused of favoring Russia and has often vilified Zelensky, was asked by reporters what concessions Moscow had offered in negotiations to end the war.”Stopping taking the whole country — pretty big concession,” he replied.Russia invaded Ukraine in 2022, hoping to take the country in days, but has since been bogged down in a bloody war with huge casualties on both sides.Trump on Wednesday accused Zelensky of frustrating peace efforts by ruling out recognizing Russia’s claim over Crimea, a territory the US president said was “lost years ago.”In contrast, NATO Secretary-General Mark Rutte said Thursday it was Russia, not Ukraine, that needed to move forward in negotiations.”The balls are clearly in the Russian court now,” Rutte told reporters at the White House after meeting Trump.- Ceasefire deal -Trump’s envoy Steve Witkoff is due in Russia this week where he is expected to hold another round of ceasefire talks with Putin.Ukraine has been battered by aerial attacks throughout Russia’s three-year invasion but strikes on Kyiv, better protected by air defenses than other cities, are less common.Zelensky said Russia used a North Korean ballistic missile in the strikes, which killed at least 12.The assault threw more doubt on US efforts to push Russia and Ukraine to agree to a ceasefire, after Trump lashed out at Zelensky this week for not being willing to accept Russian occupation of Crimea, annexed by Moscow in 2014.”We do everything that our partners have proposed, only what contradicts our legislation and the Constitution we cannot do,” Zelensky said in response to a question about Crimea.Zelensky also questioned whether Kyiv’s allies were themselves doing enough to force Putin to agree to a full and unconditional ceasefire.”I don’t see any strong pressure on Russia or any new sanctions packages against Russia’s aggression,” Zelensky said, highlighting that Trump had previously warned of repercussions if Moscow did not agree to pause the fighting.- ‘Pulled out of the rubble’ -Loud blasts sounded over the Ukrainian capital around 1:00 am (2200 GMT) after air raid sirens rang out across Kyiv, AFP journalists said.Russia fired at least 70 missiles and 145 drones at Ukraine between late Wednesday and early Thursday, the main target being Kyiv, the Ukrainian air force said.”As of 5:30 pm, the death toll in Kyiv’s Sviatoshinsky district has risen to 12,” Ukraine’s state emergency services reported, with the number of wounded rising to 90.Russia said it had targeted Ukraine’s defense industry, including plants that produced “rocket fuel and gunpowder.”Olena Davydiuk, a 33-year-old lawyer in Kyiv, told AFP she saw windows breaking and doors “falling out of their hinges.””People were being pulled out of the rubble,” she added.In Sviatoshinsky, west of Kyiv, an AFP journalist saw a body bag containing one of the victims set on a strip of grass.A woman sat on a small folding chair stroking the arm of another victim, the body covered in a striped blue sheet.Moscow has launched some of its deadliest aerial strikes over the last month — defying Trump’s push to bring about a rapid end to the bloodshed.A ballistic missile strike on the center of northeastern city of Sumy killed at least 35 on April 13.