Zelensky and Trump to hold second meeting after ‘constructive’ exchange
Ukrainian President Volodymyr Zelensky and US President Donald Trump will hold a second meeting on Saturday on the sidelines of Pope Francis’ funeral in Rome, after a first 15-minute exchange described as “constructive” by Kyiv.”The leaders agreed to continue their discussions today. Teams are working on organising the continuation of the meeting,” Ukrainian presidential spokesman Serhiy Nykyforov told reporters. The Ukrainian presidency released photos of the two men sitting face to face, and also in a four-way exchange with French President Emmanuel Macron and British Prime Minister Keir Starmer.
Jihadistes français détenus en Irak: Darmanin n’a pas annoncé leur rapatriement, selon son entourage
“Il n’y a pas d’annonce de rapatriement” de jihadistes français détenus en Irak, précise samedi à l’AFP l’entourage de Gérald Darmanin, revenant sur des propos du ministre de la Justice publiés vendredi soir dans la Voix du Nord.Lors d’un entretien organisé entre M. Darmanin et des lecteurs du quotidien régional, l’un d’entre eux avait demandé au ministre si l’Etat allait rapatrier trois Nordistes détenus en Irak, condamnés à mort puis à la prison à vie.”Oui, comme c’est le cas pour beaucoup de détenus français dans le monde, en Iran ou ailleurs. Les nationaux doivent terminer leur peine de prison en France”, avait répondu le garde des Sceaux.M. Darmanin ne voulait pas s’exprimer sur des “cas particuliers” et “il n’y a pas d’annonce de rapatriement”, nuance samedi son entourage à l’AFP.”Le ministre a uniquement précisé que de manière générale, les détenus français à l’étranger ont vocation à revenir purger leur peine en France et que les étrangers détenus en France ont vocation à purger leur peine à l’étranger, sans préciser de modalité de délai”.”Il est de la compétence du Quai d’Orsay de gérer ces dossiers”, rappelle la même source. Sollicité dès vendredi soir par l’AFP, le ministère des Affaires étrangères n’a pas réagi aux propos de M. Darmanin.Les déclarations du ministre avaient suscité un vent d’espoir prudent chez des avocats de jihadistes français détenus en Irak.”Les propos du garde des Sceaux vont dans le bon sens mais il reste à les transformer en actes, et vite”, avait ainsi commenté vendredi soir Me Marie Dosé, l’avocate de Djamila Boutoutaou, une Lilloise condamnée à 20 ans de réclusion criminelle en Irak en 2018 et qui serait “gravement malade” en détention.
Effort budgétaire: le gouvernement annule 3 milliards d’euros de crédits
Le gouvernement a acté samedi dans le Journal officiel des annulations de crédits à hauteur de 3,1 milliards dans le cadre de l’effort supplémentaire de 5 milliards d’euros pour 2025 déjà annoncé par Bercy début avril.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin avait expliqué alors que ces 5 milliards d’euros devaient permettre de tenir les objectifs de déficit public pour cette année dans un contexte de croissance moindre.”Ces 5 milliards d’euros que nous allons soit annuler, soit repousser, soit réorienter, c’est notre réponse à un monde instable. C’est la manière de faire face quoi qu’il arrive à ce monde instable”, avait-elle déclaré.Une partie de cette somme s’est concrétisée à travers le décret publié au Journal officiel.”Afin de prévenir une détérioration de l’équilibre budgétaire sur le budget de l’Etat”, “le présent décret porte des annulations de crédits à hauteur de 3,1 milliards d’euros en autorisations d’engagement”, selon le Journal officiel.”Cet effort porte essentiellement sur les crédits hors masse salariale mis en réserve en début d’année”, est-il précisé, “ces annulations ne devraient ainsi pas remettre en cause de façon significative la capacité d’exécution des politiques publiques, selon les termes convenus dans la loi de finances initiale pour 2025”.Parmi les annulations de crédits, sont concernés la mission “écologie, développement et mobilité durable” (549,6 millions d’euros), la mission “économie” (517,7 millions d’euros), la mission “recherche et enseignement supérieur” (493,3 millions d’euros) ou encore la mission “agriculture, alimentation et affaires rurales” (140 millions d’euros)”La dégradation récente des perspectives macroéconomiques conduit à anticiper de moindres recettes publiques, en lien notamment avec une révision de la prévision de croissance à 0,7%. Ces risques sont également renforcés par le contexte géopolitique incertain”, souligne le décret.”Dans ce cadre, un effort supplémentaire de maîtrise de la dépense est nécessaire pour respecter la trajectoire de redressement des comptes publics sur laquelle le gouvernement s’est engagé”, est-il ajouté.
Effort budgétaire: le gouvernement annule 3 milliards d’euros de crédits
Le gouvernement a acté samedi dans le Journal officiel des annulations de crédits à hauteur de 3,1 milliards dans le cadre de l’effort supplémentaire de 5 milliards d’euros pour 2025 déjà annoncé par Bercy début avril.La ministre des Comptes publics Amélie de Montchalin avait expliqué alors que ces 5 milliards d’euros devaient permettre de tenir les objectifs de déficit public pour cette année dans un contexte de croissance moindre.”Ces 5 milliards d’euros que nous allons soit annuler, soit repousser, soit réorienter, c’est notre réponse à un monde instable. C’est la manière de faire face quoi qu’il arrive à ce monde instable”, avait-elle déclaré.Une partie de cette somme s’est concrétisée à travers le décret publié au Journal officiel.”Afin de prévenir une détérioration de l’équilibre budgétaire sur le budget de l’Etat”, “le présent décret porte des annulations de crédits à hauteur de 3,1 milliards d’euros en autorisations d’engagement”, selon le Journal officiel.”Cet effort porte essentiellement sur les crédits hors masse salariale mis en réserve en début d’année”, est-il précisé, “ces annulations ne devraient ainsi pas remettre en cause de façon significative la capacité d’exécution des politiques publiques, selon les termes convenus dans la loi de finances initiale pour 2025”.Parmi les annulations de crédits, sont concernés la mission “écologie, développement et mobilité durable” (549,6 millions d’euros), la mission “économie” (517,7 millions d’euros), la mission “recherche et enseignement supérieur” (493,3 millions d’euros) ou encore la mission “agriculture, alimentation et affaires rurales” (140 millions d’euros)”La dégradation récente des perspectives macroéconomiques conduit à anticiper de moindres recettes publiques, en lien notamment avec une révision de la prévision de croissance à 0,7%. Ces risques sont également renforcés par le contexte géopolitique incertain”, souligne le décret.”Dans ce cadre, un effort supplémentaire de maîtrise de la dépense est nécessaire pour respecter la trajectoire de redressement des comptes publics sur laquelle le gouvernement s’est engagé”, est-il ajouté.
Pakistan ready to ‘defend sovereignty’ after India threats
Pakistan’s leader announced his readiness to defend the country on Saturday, after New Delhi blamed a deadly attack in Indian-run Kashmir on Islamabad, sending already fraught relations into a tailspin with soldiers exchanging gunfire across their contested frontier.Prime Minister Shehbaz Sharif also called for a “neutral investigation”, with India accusing Pakistan of supporting “cross-border terrorism” after gunmen carried out the worst attack on civilians in Kashmir for a quarter of a century.Islamabad denies involvement in the April 22 attack on tourists in Pahalgam, where a gang of gunmen killed 26 men.”Our valiant armed forces remain fully capable and prepared to defend the country’s sovereignty,” Sharif said at a military ceremony in Abbottabad.Both sides have imposed a slew of diplomatic measures, and exchanged gunfire in Kashmir two times in as many days.India’s army said “unprovoked” small arms firing was carried out by “multiple” Pakistan army posts overnight.”Indian troops responded appropriately with small arms,” it said in a statement, adding that no casualties were reported.There was no immediate confirmation from Pakistan, but both sides had confirmed gunfire between their respective forces the previous night.The United Nations has urged the neighbours, which have fought multiple wars, to show “maximum restraint”.Iran’s foreign ministry said Saturday that Tehran has offered to play mediator, a day after a senior Saudi official said Riyadh was trying to “prevent an escalation”.US President Donald Trump has downplayed the tensions, saying that the dispute will get “figured out, one way or another”.- ‘Track and punish’ -Kashmir has been divided between India and Pakistan since their independence in 1947. Both claim the territory in full but govern separate portions of it.Rebel groups have waged an insurgency in Indian-controlled Kashmir since 1989, demanding independence or a merger with Pakistan.Indian security forces have launched a giant manhunt for those responsible for the attack in Pahalgam, with police naming two Pakistani nationals among the fugitives.Indian police say three of the gunmen are members of the Pakistan-based Lashkar-e-Taiba group, a UN-designated terrorist organisation, and issued a bounty for their arrest.Indian troops blew up homes in Kashmir in their search and issued wanted posters with sketches of three men.Indian Prime Minister Narendra Modi on Thursday said his country would “track and punish every terrorist and their backer”, vowing to “pursue them to the ends of the Earth”.Pakistan’s Sharif said the country was “open to participating in any neutral, transparent and credible investigation” in the attack.A day after the attack, New Delhi suspended a water-sharing treaty, announced the closure of the main land border crossing with Pakistan, downgraded diplomatic ties, and withdrew visas for Pakistanis.Islamabad in response ordered the expulsion of Indian diplomats and military advisers, cancelling visas for Indian nationals — with the exception of Sikh pilgrims — and closing the main border crossing from its side.Pakistan also warned that any attempt by India to stop water supplies from the Indus River would be an “act of war”.At the frontier, created at the end of British rule when the sub-continent was partitioned into Hindu-majority India and Muslim-majority Pakistan, distraught citizens crossed.The measures have abruptly ended rare visits to see relatives separated for generations by the border.Among those at the Wagah border leaving Pakistan was 39-year-old Ghaffar Musafir, who was returning to his home in Indian-administered Kashmir.”I’m Indian. I love India, but my family is here,” he said. “And it’s not like I hate Pakistan. I love Pakistan too.”Pahalgam marks a dramatic shift in recent Kashmiri rebel attacks, which typically target Indian security forces.Experts say that an Indian military response may still be in the pipeline.In 2019, a suicide attack killed 41 Indian troops in Kashmir and triggered Indian air strikes inside Pakistan, bringing the countries to the brink of all-out war.