CÅ“ur “brisé”: la Birmanie pleure son patrimoine détruit par le séisme
 Quand un séisme meurtrier a frappé la Birmanie, des siècles de patrimoine religieux sont partis en poussière: des statues de Bouddha, des stupas, et la pagode blanche immaculée où venait prier Khin Sein, 83 ans.Le 28 mars dernier, un tremblement de terre de magnitude 7,7 a détruit le temple Nagayon à Mandalay (centre), à l’instar d’autres sites historiques qui parsèment les rues de la dernière capitale royale birmane.La secousse a décapité la sculpture du serpent sacré, symbole de protection dans la mythologie bouddhique.”J’ai crié en priant pour que la pagode Nagayon me sauve lorsque le tremblement de terre a commencé”, a déclaré Khin Sein. “Mais mon fils m’a dit que la pagode s’était déjà écroulée”.”Je ne pense pas qu’un maçon ou un architecte puisse la reconstruire à l’identique”, concède-t-elle auprès de l’AFP, les larmes aux yeux, en arpentant le site où elle prie depuis plus d’un demi-siècle.”Je veux retrouver l’original mais je sais que ce n’est pas possible”, estime-t-elle.Le tremblement de terre, d’une puissance inégalée en Birmanie depuis plusieurs décennies, a tué plus de 3.700 personnes, et laissé plus de deux millions d’autres dans un état de “besoin critique” selon les Nations unies, dans un pays déjà exsangue en raison du conflit civil ravivé par le coup d’Etat de février 2021.Le glissement de la faille de Sagaing, qui traverse la Birmanie du nord au sud, a détruit plus de 3.000 monastères et couvents, ainsi qu’au moins 5.000 pagodes, selon la junte. Beaucoup de sites étant des constructions modernes, il est difficile de mesurer l’ampleur du patrimoine perdu dans les décombres.- CÅ“ur “brisé” -Mandalay, capitale culturelle du pays, et les villes voisines de Sagaing et Inwa, toutes proches de l’épicentre, sont d’anciens lieux de pouvoir qui témoignent du prestige de la monarchie birmane.Le dernier roi de Birmanie régnait depuis Mandalay, jusqu’à l’annexion par les Britanniques en 1885. Les crénelages de l’ancien palais royal sont tombés par endroits, de même que certains ornements.A un kilomètre de là , un pont de l’époque coloniale s’est effondré dans le fleuve Irrawaddy.Inwa, anciennement appelée Ava, a servi de capitale pendant presque 360 ans jusqu’à ce qu’un séisme en 1839 de magnitude 8,2 décide la cour à s’installer ailleurs.Trois quarts des bâtiments historiques répertoriés au sein d’une “zone d’héritage culturel ancien” ont été endommagés par les secousses de 2025, ont constaté les autorités.Thu Nanda est venu visiter ce qu’il reste du monastère en briques Me Nu, construit en 1818.Des parties entières des ailes nord et ouest ont été dévastées, englouties sous une masse désordonnée de briques de couleur terre cuite.”Les vieilles choses possèdent le plus de valeur”, explique le moine âgé de 49 ans. “La perte de patrimoine historique nous brise le cÅ“ur”.”Même si nous pouvions le réparer, les gens ne pourront pas ressentir la même chose que si c’était l’original. On ne peut pas restaurer” le cachet ancien du site, poursuit-il.- Bouddha indemne -“Je pense que la perte de notre patrimoine ne va pas seulement affecter notre pays, mais aussi le monde entier”, estime-t-il.Les pluies attendues prochainement, marquant le début de la mousson, vont compliquer le travail de recherche de restes humains sous les décombres, qui demeurent la priorité des autorités. La reconstruction du patrimoine détruit reste encore à débattre.Les Birmans sont habitués aux destructions de grande échelle, entre frappes aériennes et sièges d’espaces urbains, rythmant la guerre civile qui a tué des milliers de civils, et déplacé plus de 3,5 millions de personnes.Pour autant, Thein Myint Ko assure “n’avoir jamais vu une telle tragédie en 65 ans de vie”, en examinant ce qu’il reste de la pagode Lawka Tharaphu, vieille de trois siècles.Des fissures lézardent la stupa dorée, alors que des travailleurs creusent dans les montagnes de débris. “Je suis dévasté”, dit-il.Pour autant, une statue monumentale de marbre de huit mètres représentant le Bouddha est en grande partie indemne: son halo d’or a été brisé et sa base craquelée, mais son expression sereine n’a pas été affectée.”Personne n’a été blessé et l’image du Bouddha a survécu”, remarque un homme qui nettoie les débris au pied de la statue. “Cette pagode est tellement bénie”.
Installation régulée: médecins mobilisés, entre grève et manifestation
Après les annonces de François Bayrou sur les déserts médicaux, nouvelle montée de température dans la Santé: les médecins se mobilisent, entre grève dès lundi et manifestation mardi, contre une proposition de loi de régulation d’installation de leur profession.Le mécontentement vient d’une proposition de loi transpartisane, à l’initiative de Guillaume Garot (PS), dont l’article-phare a été adopté début avril par l’Assemblée nationale, l’examen du reste du texte étant prévu début mai.Le texte, qui prône une régulation des installations en faveur des déserts médicaux, provoque la colère des médecins libéraux, étudiants en médecine, internes et jeunes médecins, pour qui le projet “mettra à mal l’attractivité de la médecine libérale, aujourd’hui le premier rempart du système de santé”.Lucas Poittevin, président de l’Association nationale des étudiants en médecine de France (Anemf), a lancé le 16 avril un appel à “une grève nationale intersyndicale illimitée à partir du 28 avril”.Le gouvernement, hostile au projet Garot, a allumé un contre-feu vendredi, en présentant comme une alternative à la “fin de la liberté d’installation” un plan de lutte contre les déserts médicaux.Mais la mesure-phare mise en avant par le Premier ministre, François Bayrou, imposer jusqu’à deux jours par mois de temps de consultation aux médecins dans les zones prioritaires du territoire, a aussi braqué certains praticiens.”Nous sommes en train de déterminer (l)es modalités et c’est la raison pour laquelle, d’ici la fin du mois de mai (…) la cartographie” permettant de déployer cette mesure, ainsi que ses “conditions financières” notamment, seront fixés, a déclaré lundi matin la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, sur TF1. “L’objectif est que nous soyons totalement opérationnels au plus tard début septembre”, a-t-elle précisé.- “Ça va renforcer la grève” -Pour Sophie Bauer, présidente du Syndicat des médecins libéraux (SML), “si c’est une obligation individuelle (…) ça va renforcer la grève”. “Les politiques n’entendent pas”, déplore auprès de l’AFP Philippe Cuq, coprésident de l’Union Avenir Spé Le Bloc (syndicat des spécialités médicales et médico-chirurgicales), chagriné par le projet Garot et le plan Bayrou. “La semaine dernière, j’ai fait plusieurs réunions pour leur expliquer. On a été reçu au cabinet (du ministre de la Santé, NDLR). Et ils n’arrivent pas à écrire ça correctement (dans le plan Bayrou, NDLR)”, se lasse-t-il.Pour le député Garot, le principe de consultation avancée deux jours par mois ne répondra pas “à l’ampleur du problème : les zones les moins bien dotées sont rarement à proximité géographique des zones les mieux dotées”. “Bien que le plan d’annonces du gouvernement ait prévu pas mal d’actions pour essayer de lutter contre les déserts médicaux, on va dire que si le Parlement décide de voter cette proposition de loi Garot, la régulation s’appliquera quand même”, synthétise pour l’AFP Lucas Poittevin.Les jeunes médecins, dont il est une des voix, appellent à une grève dure dès lundi, avec fermeture des cabinets. La plupart des syndicats de libéraux installés ne sont pas sur cette ligne, sauf la Fédération des médecins de France (FMF). “Mon cabinet est fermé lundi, mardi, que ce soit moi, mon remplaçant, mes internes”, rapporte à l’AFP sa présidente Patricia Lefébure.- “Faire bouger les politiques” -Le Syndicat des Médecins Généralistes (MG France, majoritaire chez les libéraux) recommande juste d’aller “manifester auprès des jeunes médecins, parce que c’est eux qui sont visés par le projet Garot”, comme le dit à l’AFP sa présidente Agnès Giannotti.”Nous, on a donné comme consigne lundi, mardi, mercredi d’arrêter les activités. Dans la mesure du possible. Parce qu’on a quand même des contraintes majeures avec des chirurgies programmées”, relève Philippe Cuq. “Je crois qu’il faut, pour faire bouger les politiques, créer un risque. Un risque sanitaire. Il n’y a que ça qui va faire écouter les politiques”, avance-t-il.”Fermer pendant dix jours, jusqu’à l’examen du texte, c’est hors de question, j’ai des patients à prendre en charge”, expose pour l’AFP Franck Devulder, président de la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF), pour qui c’est en revanche “une évidence” de soutenir les “plus jeunes” et les internes. Comme beaucoup chez les libéraux installés, il appelle “à la grève de la permanence des soins et du service d’accès aux soins jusqu’au retrait de cette proposition”. C’est-à -dire une grève des permanences mutualisées la nuit, les week-ends et jours fériés.
Installation régulée: médecins mobilisés, entre grève et manifestation
Après les annonces de François Bayrou sur les déserts médicaux, nouvelle montée de température dans la Santé: les médecins se mobilisent, entre grève dès lundi et manifestation mardi, contre une proposition de loi de régulation d’installation de leur profession.Le mécontentement vient d’une proposition de loi transpartisane, à l’initiative de Guillaume Garot (PS), dont l’article-phare a été adopté début avril par l’Assemblée nationale, l’examen du reste du texte étant prévu début mai.Le texte, qui prône une régulation des installations en faveur des déserts médicaux, provoque la colère des médecins libéraux, étudiants en médecine, internes et jeunes médecins, pour qui le projet “mettra à mal l’attractivité de la médecine libérale, aujourd’hui le premier rempart du système de santé”.Lucas Poittevin, président de l’Association nationale des étudiants en médecine de France (Anemf), a lancé le 16 avril un appel à “une grève nationale intersyndicale illimitée à partir du 28 avril”.Le gouvernement, hostile au projet Garot, a allumé un contre-feu vendredi, en présentant comme une alternative à la “fin de la liberté d’installation” un plan de lutte contre les déserts médicaux.Mais la mesure-phare mise en avant par le Premier ministre, François Bayrou, imposer jusqu’à deux jours par mois de temps de consultation aux médecins dans les zones prioritaires du territoire, a aussi braqué certains praticiens.”Nous sommes en train de déterminer (l)es modalités et c’est la raison pour laquelle, d’ici la fin du mois de mai (…) la cartographie” permettant de déployer cette mesure, ainsi que ses “conditions financières” notamment, seront fixés, a déclaré lundi matin la ministre de la Santé, Catherine Vautrin, sur TF1. “L’objectif est que nous soyons totalement opérationnels au plus tard début septembre”, a-t-elle précisé.- “Ça va renforcer la grève” -Pour Sophie Bauer, présidente du Syndicat des médecins libéraux (SML), “si c’est une obligation individuelle (…) ça va renforcer la grève”. “Les politiques n’entendent pas”, déplore auprès de l’AFP Philippe Cuq, coprésident de l’Union Avenir Spé Le Bloc (syndicat des spécialités médicales et médico-chirurgicales), chagriné par le projet Garot et le plan Bayrou. “La semaine dernière, j’ai fait plusieurs réunions pour leur expliquer. On a été reçu au cabinet (du ministre de la Santé, NDLR). Et ils n’arrivent pas à écrire ça correctement (dans le plan Bayrou, NDLR)”, se lasse-t-il.Pour le député Garot, le principe de consultation avancée deux jours par mois ne répondra pas “à l’ampleur du problème : les zones les moins bien dotées sont rarement à proximité géographique des zones les mieux dotées”. “Bien que le plan d’annonces du gouvernement ait prévu pas mal d’actions pour essayer de lutter contre les déserts médicaux, on va dire que si le Parlement décide de voter cette proposition de loi Garot, la régulation s’appliquera quand même”, synthétise pour l’AFP Lucas Poittevin.Les jeunes médecins, dont il est une des voix, appellent à une grève dure dès lundi, avec fermeture des cabinets. La plupart des syndicats de libéraux installés ne sont pas sur cette ligne, sauf la Fédération des médecins de France (FMF). “Mon cabinet est fermé lundi, mardi, que ce soit moi, mon remplaçant, mes internes”, rapporte à l’AFP sa présidente Patricia Lefébure.- “Faire bouger les politiques” -Le Syndicat des Médecins Généralistes (MG France, majoritaire chez les libéraux) recommande juste d’aller “manifester auprès des jeunes médecins, parce que c’est eux qui sont visés par le projet Garot”, comme le dit à l’AFP sa présidente Agnès Giannotti.”Nous, on a donné comme consigne lundi, mardi, mercredi d’arrêter les activités. Dans la mesure du possible. Parce qu’on a quand même des contraintes majeures avec des chirurgies programmées”, relève Philippe Cuq. “Je crois qu’il faut, pour faire bouger les politiques, créer un risque. Un risque sanitaire. Il n’y a que ça qui va faire écouter les politiques”, avance-t-il.”Fermer pendant dix jours, jusqu’à l’examen du texte, c’est hors de question, j’ai des patients à prendre en charge”, expose pour l’AFP Franck Devulder, président de la Confédération des syndicats médicaux français (CSMF), pour qui c’est en revanche “une évidence” de soutenir les “plus jeunes” et les internes. Comme beaucoup chez les libéraux installés, il appelle “à la grève de la permanence des soins et du service d’accès aux soins jusqu’au retrait de cette proposition”. C’est-à -dire une grève des permanences mutualisées la nuit, les week-ends et jours fériés.
Attaques de prisons: vaste opération d’interpellations dans toute la France
Plus d’une vingtaine d’interpellations ont eu lieu lundi partout en France dans le cadre des attaques commises depuis le 13 avril contre des prisons et des agents pénitentiaires, a-t-on appris de source proche du dossier, confirmant une information de Paris-Match.A ce stade, 22 interpellations ont au lieu, a indiqué dans un communiqué le parquet national antiterroriste (Pnat). Elles ont été effectuées en région parisienne, à Marseille, Lyon et Bordeaux, a-t-on précisé de source proche du dossier.Des perquisitions sont également en cours, selon le Pnat, qui recense une quinzaine de faits entre le 13 et le 21 avril.D’autres faits ont visé d’autres établissements pénitentiaires, sans que des “liens” puissent “nécessairement” être établis “à ce stade” avec cette enquête, précise le Pnat qui a été néanmoins avisé par les parquets locaux.”Merci aux magistrats et aux forces de l’ordre d’avoir procédé tôt ce matin à l’interpellation des auteurs présumés des attaques contre les agents pénitentiaires et les prisons de notre pays”, a posté sur le réseau social X le ministre de la Justice Gérald Darmanin. Son collègue de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a également félicité “chaleureusement” les magistrats et enquêteurs, saluant leur “grande détermination” et leur “grand professionnalisme” ayant “permis d’obtenir des résultats dans des temps très courts”. Depuis 15 jours, un groupe revendiquant la “défense des droits des prisonniers français”, ou DDPF, sigle retrouvé aux abords des prisons prises pour cibles, vise les établissements ou agents pénitentiaires, publiant vidéo et menaces sur la messagerie cryptée Telegram. Si le mode opératoire de certains faits porte les marques de la criminalité organisée, d’autres actions faisaient davantage penser à l’ultragauche, avait relevé une source policière, pour qui certains militants ont pu se greffer sur la campagne initiale.
C1: Arsenal-PSG, des duels aux quatre coins de l’affiche
Devant, au milieu et derrière, il y aura de sacrés face-à -face à chaque coin du terrain, mardi (21h00) à Londres entre Arsenal et le Paris SG, adversaires d’une demi-finale aller de Ligue des champions durant laquelle chaque erreur pourrait se payer très cher.. Nuno Mendes vs Bukayo SakaLe premier a 22 ans, le second 23. Ils sont gauchers et leurs trajectoires vont de nouveau se télescoper, sept mois après une première manche remportée par l’ailier droit anglais (2-0 en phase de ligue), avec un but à la clé.Mais depuis octobre, Nuno Mendes, le latéral gauche du PSG, a franchi un cap en C1, en témoigne sa performance remarquable contre Liverpool face à Mohamed Salah, parfaitement muselé. Défensivement, il a donc progressé malgré encore quelques sautes de concentration, tout en étant toujours aussi efficace offensivement. Il en est à quatre buts et deux passes décisives sur la scène européenne, notamment deux fois contre Aston Villa en quarts.Chouchou du public londonien, Saka est revenu à la compétition au meilleur moment, après trois mois à l’infirmerie pour une blessure à l’ischio. Il a été décisif pour terrasser le Real Madrid au tour précédent grâce à ses fautes provoquées qui ont amené les coups francs marqués par Declan Rice à l’aller, puis au retour avec son but.L’expérience du dribbleur en Ligue des champions se limite à deux saisons, mais il compte déjà deux finales d’Euro et un quart de Coupe du monde à son actif.. Ousmane Dembélé vs William SalibaLes deux vice-champions du monde français sont dans le doute avant leurs retrouvailles. Après avoir été d’une efficacité redoutable au premier trimestre, Dembélé a enchaîné un 5e match sans marquer, une disette au plus mauvais moment pour le PSG, vainqueur d’un seul de ses quatre derniers matches.Il a une occasion rêvée d’extérioriser sa frustration mardi à Londres, où il avait été écarté en octobre pour un problème de comportement. Cette fois, à l’Emirates, il devra retrouver tout son relâchement devant le but.”Dembouz” va se frotter à Saliba, arrière central élégant et puissant, un des piliers de l’actuelle meilleure défense d’Angleterre, mais parfois encore fébrile.Si le Gunner a contenu la menace Kylian Mbappé en quarts à Madrid, il a aussi commis une erreur qui a amené la réduction du score de Vinicius avant de récidiver mercredi contre Crystal Palace en offrant un but à Mateta (2-2). . Vitinha vs Declan RiceLa bataille du milieu s’annonce passionnante.Rice, auteur des deux coups francs sublimes contre le Real, symbolise les ambitions nouvelles d’Arsenal. En face, Vitinha est le chef d’orchestre parisien. Mais, à l’image de l’équipe, il traverse une période un peu délicate.Depuis quelques matches, il est moins juste dans ses choix, en fait parfois trop, comme en quart retour face à Aston Villa (2-3), où il a été méconnaissable, comme déconnecté.Pourront-ils résister, lui et ses partenaires Joao Neves et Fabian Ruiz, à la puissance de l’entre-jeu anglais, guidé par Rice, si brillant face au Real Madrid? . “Gigio” Donnarumma vs David RayaLongtemps pointé pour ses défaillances lors des grosses affiches, Donnarumma a porté le costume du sauveur face à Liverpool et Aston Villa. Sans ses interventions décisives, le PSG ne serait certainement pas de nouveau dans le dernier carré. Trop souvent maladroit dans ses sorties aériennes ou loin de son but, il a fait des progrès flagrants, tout en continuant à être un des meilleurs au monde sur sa ligne.En face, Raya est régulier mais il est aussi capable de se mettre à la faute, comme mercredi contre Crystal Palace: mauvaise sortie aérienne, jeu au pied dangereux et placement hasardeux. En voulant participer au jeu, il s’aventure souvent loin de sa ligne de but. De quoi donner des idées aux hommes de Luis Enrique. . Marquinhos vs Martin OdegaardLes deux capitaines sont à deux matches de ramener leur club respectif en finale de C1 pour la seconde fois de leur histoire.Odegaard est le régulateur et le distributeur d’Arsenal mais sa saison est moins complète que l’an dernier, au regard de ses statistiques et de son influence légèrement en baisse. Pour l’ancien Gunner Theo Walcott, il est trop dans le “confort” et pas assez “poussé” par la concurrence.A bientôt 31 ans, Marquinhos est le joueur le plus âgé du 11 type de Luis Enrique. Cette saison, il est apparu solide… jusqu’à ces dernières semaines. D’abord à Aston Villa puis vendredi face à Nice (3-1), première défaite de la saison en Ligue 1. Ces doutes au mauvais moment devront être chassés mardi.
Rwanda feels the impact of cutting ties with BelgiumMon, 28 Apr 2025 05:58:38 GMT
Rwanda last month severed relations with Belgium following criticism of its actions in neighbouring Democratic Republic of Congo (DRC) — a move that is already having unexpected consequences. Rwanda’s support for the M23 armed group, which has seized large areas of the mineral-rich eastern DRC, has attracted international condemnation and sanctions.In March, Kigali cut diplomatic ties …
Rwanda feels the impact of cutting ties with BelgiumMon, 28 Apr 2025 05:58:38 GMT Read More »