Trump tells Putin to ‘stop shooting’ and make a deal

US President Donald Trump said Sunday he wanted Russia’s Vladimir Putin to “stop shooting” in Ukraine and sign a peace deal, one day after the US leader met Ukraine’s president at the Vatican.Trump, who boasted before his inauguration that he could halt Russia’s invasion of Ukraine within one day, has launched a diplomatic offensive since taking office to halt the fighting.Those efforts have so far failed to yield any results.”Well, I want him to stop shooting, sit down, and sign a deal,” Trump said in response to a question on what he wanted from Putin.Trump was speaking on the tarmac at Morristown airport before boarding Air Force One bound for Washington, having attended the funeral of Pope Francis in Rome on Saturday.”We have the confines of a deal, I believe, and I want him to sign it,” Trump added, likely referring to a US-proposed peace plan for the more-than-three-year-long conflict in Ukraine.Trump had met with Ukrainian President Volodymyr Zelensky at the funeral, where the two leaders spoke face-to-face for the first time since a disastrous televised meeting in the White House in February.After their brief talk in St Peter’s Basilica, Trump cast doubt over whether Putin wanted an end to the war, which has devastated swaths of eastern Ukraine and killed tens of thousands of people.Trump also said on Sunday that he thought Zelensky was ready to give up Crimea, the Black Sea peninsula captured by Russia in 2014, as part of efforts to agree a peace deal.”Oh, I think so,” said Trump in response to a question on whether he thought Zelensky was ready to “give up” the territory.Russia, which launched its full-scale invasion of Ukraine in 2022, claimed to have annexed four eastern and southern territories of the war-battered country despite not having full military control over them.

Italie: Naples passe en tête, l’Inter craque encore

Naples a pris les commandes du Championnat d’Italie en surclassant le Torino (2-0) dimanche, quelques heures après la chute à domicile de l’Inter Milan face à l’AS Rome (1-0).La 34e journée a peut-être scellé le sort d’une Serie A indécise comme rarement: à quatre journées du terme de la saison, le Napoli (74 pts) est le nouveau leader avec trois points d’avance sur l’Inter (71 pts).L’équipe d’Antonio Conte, déjà en tête de la 6e à la 14e journées, puis de la 19e à la 25e journées, a repris son destin en main grâce à un doublé de Scott McTominay (7e, 41e).”Il faut rester calme et relax, prendre les matches les uns après les autres. Pour valider ce qu’on a fait aujourd’hui, il faudra gagner le prochain match et celui d’après, on verra alors où on en est”, a temporisé l’Ecossais.Pour empocher le quatrième scudetto de son histoire, deux ans après le dernier et un an après une saison 2023-24 catastrophique (10e), Naples devra prendre le meilleur sur quatre derniers adversaires nettement à sa portée, dont trois (Lecce, Parme et Cagliari) doivent encore assurer leur maintien.Les Napolitains n’auront peut-être même pas à réussir un sans-faute, tant leurs rivaux milanais semblent au bout du rouleau. – Troisième défaite de suite pour l’Inter -Rien ne va plus en effet pour l’Inter qui a concédé face à la Roma une troisième défaite consécutive, du jamais-vu depuis que Simone Inzaghi en est l’entraîneur.Battue à Bologne (1-0) le week-end dernier en Serie A, humiliée par l’AC Milan en demi-finale de la Coupe d’Italie (3-0) mercredi, son équipe n’a pas réussi à répondre au but de Matias Soulé (22).L’absence sur blessure de Marcus Thuram et l’inefficacité de ses doublures, Marko Arnautovic ce dimanche, n’expliquentpas tous les maux actuels de l’Inter. Sa défense, son habituel point fort, a concédé au moins un but lors des neuf derniers matches. Autre mauvaise nouvelle pour l’Inter, Benjamin Pavard s’est blessé à la cheville gauche et est incertain pour le choc contre le Barça en demi-finale aller de la Ligue des champions.”Trois défaites en une semaine, cela fait mal, nous ne sommes pas habitués à une telle série. C’était un match très important, mais on a manqué de lucidité. Il faut tenter de retrouver de l’énergie, on ira à Barcelone avec beaucoup de respect pour cette équipe, mais sans peur”, a analysé Simone Inzaghi.Si la course pour le titre s’est décantée, celle pour l’Europe reste très indécise.- Kolo Muani marque -Pas moins de cinq équipes, se tenant dans un mouchoir de trois points, peuvent encore décrocher la 4e place, la dernière qualificative pour la Ligue des champions.Après son 18e match consécutif sans défaite en championnat, l’AS Rome est 6e (60 pts), avec deux points de retard sur la Juventus Turin qui est repassée 4e en battant Monza (2-0).La Juve, réduite à dix juste avant la pause après l’exclusion de Kenan Yildiz pour avoir donné un coup de coude à un adversaire, s’est imposée grâce à Nico Gonzalez (11e) et Randal Kolo Muani (33e), son premier but depuis deux mois et demi.La Fiorentina est encore dans le coup (8e, 59 pts) après son succès face à Empoli (2-1).Monza est virtuellement en Serie B après le nul de Lecce (1-1) sur le terrain de l’Atalanta. La lanterne rouge qui n’a empoché que 15 points depuis août, accuse douze points de retard sur Lecce, premier non-relégable (17e).À Bergame, les joueurs de Lecce portaient un maillot blanc frappé d’un ruban noir et du message “Aucune valeur, aucune couleur” destiné à la Ligue italienne qui a refusé d’accéder à la demande de report formulé par le club des Pouilles, endeuillé par le décès brutal d’un membre de son staff jeudi.

Ligue 1: Rome réussit à l’OM, toujours deuxième

L’air romain a fait du bien à l’OM: après une semaine de stage en Italie, Marseille a nettement battu Brest dimanche au Stade Vélodrome (4-1), grâce notamment à un magnifique triplé d’Amine Gouiri, et a ainsi repris et même consolidé sa deuxième place de Ligue 1.Beaucoup de candidats à la Ligue des champions ont gagné ce week-end, de Marseille à Strasbourg en passant par Lille, Lyon et Nice, et personne n’a donc vraiment fait la bonne affaire.Mais Monaco, tenu en échec au Havre, a fait la mauvaise et c’est déjà ça de pris pour l’OM et les autres. A trois journées du but, Marseille est en tous cas toujours deuxième, avec deux longueurs d’avance sur Lille, son prochain adversaire, et trois sur Monaco.Pour autant, le haut du classement est beaucoup trop serré pour dire que Marseille a un pied en Europe. Mais les hommes de Roberto De Zerbi, toujours en quête de sérénité, sont mieux là que quelques crans plus bas.Et après voir corrigé Montpellier 5-1, les quatre buts infligés dimanche à des Brestois d’abord coriaces puis résignés, ont confirmé que l’OM avait retrouvé un peu de brillant offensif.Côté marseillais, après une petite semaine de stage à Rome, c’était la soirée des retours, à commencer par celui du propriétaire Frank McCourt, déjà passé par le Vélodrome il y a quelques semaines lors de la venue de Toulouse. Mais il y a surtout eu celui, espéré mais précoce, du capitaine Leonardo Balerdi et, beaucoup plus inattendu, celui de la défense à quatre, un système abandonné il y a plusieurs mois déjà par De Zerbi.Dans un tout premier temps, ce choix n’a pas paru très convaincant, car l’OM a d’abord souffert, avec un double miracle signé Balerdi et Geronimo Rulli devant Abdallah Sima (2e).- Ovation pour Gouiri -Très vite pourtant, Marseille est passé en tête grâce à Amine Gouiri, déjà, buteur d’une jolie frappe croisée après un long et bon ballon de Luis Henrique (1-0, 8e).Incapables depuis sept matches de ne pas prendre de but, les Marseillais ont ensuite été rejoints, avec un but de Sima sur le deuxième temps d’un corner très mal défendu (1-1, 26e).La suite, qui a permis à l’OM de rentrer aux vestiaires avec deux buts d’avance, a été successivement chanceuse et magnifique. Les Marseillais sont d’abord repassés devant sur un but heureux, avec une frappe de Mason Greenwood déviée par la cuisse du capitaine Brendan Chardonnet (2-1, 37e).Puis il y a eu l’exceptionnel, avec le somptueux doublé de Gouiri qui, sur un centre de Greenwood, a enchaîné amorti poitrine et retourné pied droit pour un but qui a fait trembler le Vélodrome (3-1, 45e).Logiquement, la deuxième période a été moins enlevée. Plus tranquille et sûr de lui que ces dernières semaines, l’OM a facilement contrôlé les débats. Brest, dont la fin de saison semble désormais assez dénuée d’enjeux, n’a d’ailleurs pas insisté plus que cela.Mais les 45 dernières minutes ont tout de même été animées par le triplé de Gouiri, dont l’arrivée cet hiver a vraiment été une réussite de la direction marseillaise. Lancé dans le bon tempo et à la limite du hors-jeu par Rabiot, l’Algérien a facilement trompé Grégoire Coudert (4-1, 63e) et a eu droit à un triomphe (romain) lors de sa sortie quelques minutes plus tard.Après ces deux succès à domicile, l’OM va probablement repartir à Rome mardi. Il aura ensuite deux déplacements consécutifs, à Lille puis au Havre. S’il en ramène quelques points, l’Europe, cette fois, ne sera vraiment plus très loin.