Pollution aux PFAS: le gouvernement met en ligne des résultats d’analyses de l’eau

Des analyses portant sur la présence des PFAS ou “polluants éternels” dans l’eau sont désormais librement consultables sur une carte en ligne, a annoncé jeudi soir le ministère de la Transition écologique.”2,3 millions d’analyses portant sur les rejets de PFAS dans l’eau sont aujourd’hui mises en ligne et rassemblées sur une seule plateforme. En totale transparence, cette publication en open data est un geste inédit en France et en Europe”, indique le ministère dans un communiqué.La permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels. Cette publication fait suite à un plan d’action annoncé par le gouvernement en avril 2024.Les PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées, dits “polluants éternels”, peuvent avoir des effets délétères sur la santé humaine: augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fÅ“tus, etc.Massivement utilisés dans l’industrie depuis le milieu du 20e siècle, par exemple pour fabriquer des poêles antiadhésives, des vêtements imperméables ou des cosmétiques, ils sont extrêmement difficiles à éliminer une fois présents dans l’eau ou les sols.Leur présence conduit parfois à interdire la consommation d’eau du robinet, comme récemment dans certaines communes de la Meuse et des Ardennes après la détection de taux anormaux.Le gouvernement a aussi annoncé “le lancement à venir d’une consultation du public sur deux projets de décrets”. L’un concerne l’interdiction des PFAS dans des objets de la vie courante (farts pour ski, textiles et cosmétiques) et l’autre l’adoption d’une trajectoire de réduction des émissions industrielles de PFAS. Ces textes feront suite à la loi promulgué en février 2025.”Ces projets de décrets précisent le champ de l’interdiction de ces produits à partir du 1er janvier 2026, ainsi que la trajectoire de réduction des rejets industriels de PFAS d’ici 2030″, a souligné la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, citée dans le communiqué.”L’objectif est de réduire la présence des PFAS dans l’environnement et de réduire notre exposition directe à ces produits dans notre quotidien”, assure-t-elle.

Pollution aux PFAS: le gouvernement met en ligne des résultats d’analyses de l’eau

Des analyses portant sur la présence des PFAS ou “polluants éternels” dans l’eau sont désormais librement consultables sur une carte en ligne, a annoncé jeudi soir le ministère de la Transition écologique.”2,3 millions d’analyses portant sur les rejets de PFAS dans l’eau sont aujourd’hui mises en ligne et rassemblées sur une seule plateforme. En totale transparence, cette publication en open data est un geste inédit en France et en Europe”, indique le ministère dans un communiqué.La permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels. Cette publication fait suite à un plan d’action annoncé par le gouvernement en avril 2024.Les PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées, dits “polluants éternels”, peuvent avoir des effets délétères sur la santé humaine: augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fÅ“tus, etc.Massivement utilisés dans l’industrie depuis le milieu du 20e siècle, par exemple pour fabriquer des poêles antiadhésives, des vêtements imperméables ou des cosmétiques, ils sont extrêmement difficiles à éliminer une fois présents dans l’eau ou les sols.Leur présence conduit parfois à interdire la consommation d’eau du robinet, comme récemment dans certaines communes de la Meuse et des Ardennes après la détection de taux anormaux.Le gouvernement a aussi annoncé “le lancement à venir d’une consultation du public sur deux projets de décrets”. L’un concerne l’interdiction des PFAS dans des objets de la vie courante (farts pour ski, textiles et cosmétiques) et l’autre l’adoption d’une trajectoire de réduction des émissions industrielles de PFAS. Ces textes feront suite à la loi promulgué en février 2025.”Ces projets de décrets précisent le champ de l’interdiction de ces produits à partir du 1er janvier 2026, ainsi que la trajectoire de réduction des rejets industriels de PFAS d’ici 2030″, a souligné la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, citée dans le communiqué.”L’objectif est de réduire la présence des PFAS dans l’environnement et de réduire notre exposition directe à ces produits dans notre quotidien”, assure-t-elle.

Pollution aux PFAS: le gouvernement met en ligne des résultats d’analyses de l’eau

Des analyses portant sur la présence des PFAS ou “polluants éternels” dans l’eau sont désormais librement consultables sur une carte en ligne, a annoncé jeudi soir le ministère de la Transition écologique.”2,3 millions d’analyses portant sur les rejets de PFAS dans l’eau sont aujourd’hui mises en ligne et rassemblées sur une seule plateforme. En totale transparence, cette publication en open data est un geste inédit en France et en Europe”, indique le ministère dans un communiqué.La permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels. Cette publication fait suite à un plan d’action annoncé par le gouvernement en avril 2024.Les PFAS, pour substances per- et polyfluoroalkylées, dits “polluants éternels”, peuvent avoir des effets délétères sur la santé humaine: augmentation du taux de cholestérol, cancers, effets sur la fertilité et le développement du fÅ“tus, etc.Massivement utilisés dans l’industrie depuis le milieu du 20e siècle, par exemple pour fabriquer des poêles antiadhésives, des vêtements imperméables ou des cosmétiques, ils sont extrêmement difficiles à éliminer une fois présents dans l’eau ou les sols.Leur présence conduit parfois à interdire la consommation d’eau du robinet, comme récemment dans certaines communes de la Meuse et des Ardennes après la détection de taux anormaux.Le gouvernement a aussi annoncé “le lancement à venir d’une consultation du public sur deux projets de décrets”. L’un concerne l’interdiction des PFAS dans des objets de la vie courante (farts pour ski, textiles et cosmétiques) et l’autre l’adoption d’une trajectoire de réduction des émissions industrielles de PFAS. Ces textes feront suite à la loi promulgué en février 2025.”Ces projets de décrets précisent le champ de l’interdiction de ces produits à partir du 1er janvier 2026, ainsi que la trajectoire de réduction des rejets industriels de PFAS d’ici 2030″, a souligné la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, citée dans le communiqué.”L’objectif est de réduire la présence des PFAS dans l’environnement et de réduire notre exposition directe à ces produits dans notre quotidien”, assure-t-elle.

“Mécontentement” de Trump face aux projets de reconnaissance d’un Etat palestinien

Donald Trump “a exprimé son mécontentement et son désaccord avec les dirigeants de France, du Royaume-Uni et du Canada” à propos de la reconnaissance d’un Etat palestinien, a déclaré sa porte-parole Kaorline Leavitt jeudi.Le président américain a donc durci quelque peu sa position en la matière.S’il avait déjà vivement critiqué l’annonce par le Premier ministre canadien Mark Carney de son intention de reconnaître un Etat palestinien, Donald Trump n’avait pas été aussi virulent pour les décisions semblables du président français Emmanuel Macron et du Premier ministre Keir Starmer.Il avait surtout jugé que les déclarations de son homologue français sur la reconnaissance d’un Etat palestinien n’avaient guère “de poids” et “ne changeraient rien”.S’agissant du Royaume-Uni, qui entend reconnaître un Etat palestinien en septembre si Israël ne prend pas une série d’engagements, Donald Trump avait seulement indiqué qu’il n’était “pas dans ce camp”.Selon Karoline Leavitt, il est désormais davantage critique et estime qu’un tel projet équivaut à “récompenser le Hamas à un moment où le Hamas est le réel obstacle à un cessez-le-feu et à une libération de tous les otages” dans la bande de Gaza.

Jeux vidéo: Battlefield sort l’artillerie lourde en octobre pour contrer Call of Duty

Champs de bataille immenses et action survitaminée: “Battlefield 6″, nouvel opus des jeux vidéo de guerre d’Electronic Arts (EA), revient en octobre avec un titre aux allures de blockbuster hollywoodien et son éternel rival Call of Duty dans le viseur.Pour annoncer sa date de sortie – le 10 octobre – et présenter les principales nouveautés de cet épisode, l’éditeur américain avait prévu les choses en grand avec plusieurs événements réunissant journalistes et créateurs de contenu à Paris, Londres ou encore Los Angeles.”C’est un nouveau point de départ” pour cette série lancée en 2002, a assuré à l’AFP Damien Kieken, responsable de la conception du jeu au studio suédois DICE, à l’origine de la saga.Car cette simulation d’affrontements militaires, qui revendique plus de 100 millions de joueurs depuis ses débuts, s’est fait distancer au fil des années par son petit frère Call of Duty, d’un an son cadet.Fort de son rythme de sortie annuelle, il en totalise cinq fois plus.D’autant que “Battlefield 2042”, dernier épisode en date sorti en 2021, n’a pas rencontré le succès escompté au lancement selon EA, qui n’a pas fourni de chiffres de ventes.- “Force de frappe” -La pression est donc forte sur cet opus, qui a mobilisé pendant quatre ans plusieurs centaines de développeurs de quatre studios de l’éditeur américain à travers le monde. Une première pour un Battlefield.”Il fallait cette force de frappe pour recréer cette sensation de guerre totale”, a expliqué Roman Campos-Oriola, directeur créatif au studio montréalais Motive, notamment en charge de la campagne du jeu, c’est-à-dire la partie jouable en solo.Celle-ci raconte un conflit moderne en 2027 où les Etats-Unis et leurs alliés entrent en guerre avec une milice privée surarmée, Pax Armata, soutenue par des pays européens ayant quitté l’OTAN.”On a créé tout ça il y a quelques années, donc s’il y a des choses qui sont très proches (de la réalité) aujourd’hui, c’est de la coïncidence”, affirme Damien Kieken.  “On voulait un contexte authentique pour une meilleure immersion des joueurs”, a-t-il poursuivi. Mais c’est le jeu en ligne, face à des adversaires, qui a fait le succès de la série.A Paris, plus d’une trentaine de médias ont pu essayer “Battlefield 6” dans une grande salle remplie d’ordinateurs, devant laquelle de faux soldats vêtus de treillis militaires montaient la garde.Prévu sur PC, Xbox Series et PlayStation 5, le jeu présente des graphismes hyper-réalistes et des décors entièrement destructibles, permettant de mettre à terre des immeubles à coups de lance-roquette.Réunissant en ligne plusieurs dizaines de joueurs par partie, ceux-ci peuvent aussi piloter des tanks et des avions de combat pour éliminer un maximum d’adversaires ou prendre le contrôle de la base ennemie.A son lancement, cet opus comptera neuf environnements jouables reproduisant les rues du Caire, de Gibraltar, de Brooklyn et les montagnes du Tadjikistan. D’autres lieux et modes de jeu s’y ajouteront par la suite, ont promis les développeurs.- Guerre moderne -Contrairement à la série Call of Duty, qui se focalise davantage sur des affrontements de taille moyenne, Battlefield plonge les joueurs dans des environnements immenses où deux camps s’affrontent.C’est “ce mélange de bataille à grande échelle, de véhicules et de jeux en escouade” qui est “unique” à la série, affirme Roman Campos-Oriola.Si, dans ses premiers épisodes, Battlefield s’est concentré sur la reproduction de batailles historiques des deux guerres mondiales et celle du Vietnam, il a ensuite évolué vers des terrains de guerre fictifs.En revenant aux théâtres de guerre moderne qui ont fait le succès des épisodes 3 et 4 au début des années 2010, l’éditeur américain espère remettre la série aux ventes déclinantes sur de bons rails.Mais la bataille est loin d’être gagnée puisqu’il fera face cet automne à “Call of Duty: Black Ops 7”, son concurrent direct dans l’univers de jeux de guerre de l’américain Activision Blizzard, attendu d’ici la fin de l’année. 

Justin Timberlake says he has Lyme disease

Pop star Justin Timberlake told fans Thursday he has Lyme disease, a condition he described as “relentlessly debilitating.”The 44-year-old former NSYNC frontman, whose world tour has just wrapped up, took to Instagram in reflective mood.”This has been the most fun, emotional, gratifying, physically demanding, and, at times, grueling experience,” he said of a tour that was criticized by some fans as lackluster.”Among other things, I’ve been battling some health issues, and was diagnosed with Lyme disease -— which I don’t say so you feel bad for me –– but to shed some light on what I’ve been up against behind the scenes.”Living with this can be relentlessly debilitating, both mentally and physically. When I first got the diagnosis I was shocked for sure. But, at least I could understand why I would be onstage and in a massive amount of nerve pain or just feeling crazy fatigue or sickness.”Lyme disease is caused by a bacteria often carried by ticks that live in woodlands throughout North America and Europe.Symptoms can include widespread pain, fatigue, and muscle weakness. In serious cases, patients could experience damage to the tissues, joints and immune system.The “Can’t Stop The Feeling” singer was in legal hot water last year after being arrested for drunk driving in a small town near New York.Timberlake, whose tumultuous relationship with Britney Spears was the inspiration for his 2002 smash “Cry Me A River” later pleaded guilty to a lesser charge and was ordered to do community service.

Nicaragua : un sandiniste historique incarcéré pour corruption

Le commandant sandiniste Bayardo Arce, conseiller économique du président Daniel Ortega, a été incarcéré jeudi après que le gouvernement eut annoncé qu’il faisait l’objet d’une enquête pour corruption, ont rapporté les médias nicaraguayens en exil. Cet homme âgé de 76 ans est tombé en disgrâce à l’occasion d’une purge interne dans les cercles du pouvoir, selon des opposants nicaraguayens vivant à l’étranger. Cette purge est effectuée sous la direction de Rosario Murillo, la puissante coprésidente et épouse de Daniel Ortega, avec l’aval de ce dernier, ont dit les mêmes sources.Le commandant sandiniste a été arrêté à l’aube après que “des dizaines de policiers” eurent fait irruption dans sa résidence à Managua, la capitale, a raconté le journal en ligne Confidencial.Le média Divergentes, qui cite “des sources policières et proches” d’Arce, ajoute qu’il a été arrêté après la perquisition de sa résidence, où il était assigné à résidence depuis dimanche. Le bureau du procureur général de la République (PGR), contrôlé par le gouvernement, l’a accusé jeudi de “transactions et négociations” illégales. La PGR a déclaré avoir ouvert “des enquêtes sur des propriétés et des sociétés liées aux intérêts de l’État”, sans donner plus de détails. Selon cette entité, Bayardo Arce n’a pas voulu s’expliquer à ce sujet ni présenter de documents sur des transactions immobilières. Ricardo Bonilla, un assistant du commandant, a été arrêté mercredi pour avoir refusé de “rendre des comptes”. Bayardo Arce est le troisième membre de la vieille garde de l’ancienne guérilla du Front sandiniste de libération nationale (FSLN, au pouvoir) à être assigné à résidence.Henry Ruiz l’est depuis mars et Humberto Ortega, un ancien chef de l’armée et frère du président, l’était également lorsqu’il est mort en septembre 2024.Bayardo Arce et Daniel Ortega ont été compagnons d’armes dans la lutte armée contre le dictateur Anastasio Somoza, renversé en 1979 par la révolution sandiniste. Daniel Ortega, âgé de 79 ans, est au pouvoir depuis 2007 après des réélections contestées par la communauté internationale. Ces derniers mois, il a été vu pendant des événements publics éprouvant des difficultés à marcher et le teint pâle – il souffre d’un lupus et d’insuffisance rénale -, ce qui a conduit les analystes de l’opposition à affirmer que Rosario Murillo prépare le terrain pour la succession. 

Accord EU-USA: Bayrou juge que la France a été “un peu seule”

Le Premier ministre, François Bayrou, a jugé jeudi que la France avait été “un peu seule” dans la bataille commerciale face aux Etats-unis, en marge d’un déplacement dans les locaux de Tracfin, organisme de lutte contre la criminalité financière, à Montreuil (93).Le chef du gouvernement, qui avait vivement critiqué lundi l’accord commercial conclu entre l’Union européenne et les Etats-Unis, déplorant une “soumission” de l’Europe, a estimé que ce n’était “pas la fin de l’histoire”, et qu’il fallait “un processus encore pas totalement élucidé de ratification” de cet accord.”Il y a à vérifier quelle est la portée exacte de ces accords, et les Etats auront d’une manière ou d’une autre leur mot à dire”, a-t-il ajouté. “Je sais que toutes les autorités françaises, et en particulier le président de la République (Emmanuel Macron), ont été ceux qui se sont battus le plus contre des concessions qu’on considérait comme excessives”, a-t-il affirmé avant de s’interroger: “Est-ce que nous avons été un peu seuls? Oui”. “Est-ce qu’on a le sentiment qu’à l’intérieur de l’Union européenne, des forces politiques et économiques étaient plutôt sur une ligne de trouver des accommodements? Oui”, a-t-il ajouté, en estimant que de son point de vue, “la voie pour l’Europe est une voie d’affirmation et de résistance quand il faut et de fierté le plus souvent possible”.La classe politique française a été unanime à dénoncer l’accord conclu entre le président américain, Donald Trump, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui prévoit notamment une hausse de 15% des droits de douane sur les exportations européennes. Le président Emmanuel Macron a déploré mercredi en Conseil des ministres que l’Union européenne n’ait pas été assez “crainte” dans ses négociations commerciales avec les Etats-Unis, affirmant que la France continuerait de faire montre “d’exigence et de fermeté” dans la suite des discussions.