Ligue des champions: Barcelone, en souffrance, accroché à Bruges

Le FC Barcelone, puni à trois reprises sur des contre-attaques brugeoises, a souffert mercredi dans la Venise du nord (3-3) pour s’éviter une deuxième défaite en quatre matches de Ligue des champions cette saison.Mené à trois reprises et 2-1 à la pause, victime du réalisme brugeois (cinq tirs, quatre cadrés dont deux buts en première période), les hommes d’Hansi Flick, déjà battu par le PSG, ont trouvé les ressources pour arracher un point au terme d’un match un peu fou que les deux équipes ont eu l’occasion de remporter.Pris à froid par des Brugeois bien décidés à jouer sans complexe, les Blaugrana ont concédé un but dès la sixième minute sur un contre rapidement mené, conclu par Nicolo Tresoldi à la réception d’un centre de Carlos Forbs Borges.Vexés, les Catalans ont mis deux minutes pour égaliser grâce à Ferran Torres, servi par Fermin Lopez.Surpris une première fois en contre, les Barcelonais n’ont pourtant pas retenu la leçon: à la 17e minute, après un corner mal tiré de Lamine Yamal, les Brugeois remontaient le terrain en cinq passes tranchantes pour permettre à Forbs Borges de mener 2-1.Largement dominateur (75% de possession en première période) le Barça est passé à deux reprises tout près de l’égalisation avant la pause, avec une frappe de Jules Koundé sur la transversale (28e) et une reprise de Ferran Torres de peu à côté du but (42e) défendu par Nordin Jackers.- Yamal délivre les siens -Toujours privé de plusieurs cadres (Gavi, Pedri et Raphinha), Flick avait reconduit l’équipe qui lui avait donné satisfaction le week-end dernier en Liga face à Leche (3-1), laissant une nouvelle fois le Polonais Robert Lewandowski sur le banc, au profit de Torres.Mais les Belges ont imposé un défi physique à leurs adversaires dont certains sont apparus émoussés. Mais pas Yamal. Car après avoir loupé l’immanquable seul face à Jackers (51e), la pépite espagnole concluait en finesse un mouvement initié par Lopez (61e).Le Barça est toutefois retombé dans ses travers de début de match, une nouvelle fois surpris sur un contre tranchant conclu par Forbs Borges deux minutes à peine après l’égalisation de Yamal. Flick a alors joué son va-tout en faisant entrer Lewandowski, de retour de blessure.”Ma saison débute vraiment ce mercredi à Bruges”, avait annoncé le Polonais la veille en conférence de presse.Mais l’ancien Munichois n’a pas pesé. Et c’est de nouveau des pieds de Yamal qu’est venu le soulagement. Un centre d’apparence anodine du jeune prodige étant détourné dans son propre but par Christos Tzolis (77e).Les Catalans se sont fait une ultime frayeur dans les arrêts de jeu, un but de Romeo Vermant étant annulé par la VAR pour une faute préalable sur le gardien barcelonais Wojciech Szczesny.Barcelone est 11e avec sept points, alors que se profile un déplacement périlleux à Chelsea à la fin du mois. Bruges est 22e avec quatre points.

Embracing heritage, Mamdani marks watershed for South Asian Americans

In a victory speech capping his meteoric rise, New York’s mayor-elect Zohran Mamdani quoted at length from the famous “Tryst with Destiny” address by independent India’s first prime minister Jawaharlal Nehru. As he left the stage to a cheering cross-section of the metropolis, the song on the speaker was not one of the many well-worn tunes about New York but the beats from a Bollywood blockbuster, “Dhoom.”Mamdani, winning a mandate with a left-wing agenda focused on making New York more affordable, has made history in many ways — as the first Muslim and first South Asian to lead America’s largest city, and, at 34, its youngest mayor in a century.But Mamdani’s victory is a watershed not just for his identity but how he embraces it — fully.”I am young, despite my best efforts to grow older, I am Muslim, I am a democratic socialist and — most damning of all — I refuse to apologize for any of this,” Mamdani told supporters inside a Brooklyn music venue.South Asians constitute one of the fastest-growing communities in the United States, totalling more than five million people, and have made major inroads into politics — notably former vice president Kamala Harris, whose mother was from India.But candidates have handled their identity in sharply different ways. Two once-prominent Indian Americans, Nikki Haley and Bobby Jindal, both Republican governors of conservative Southern states, took pains to describe how they had become Christians.”The comfort level expressing and embracing outwardly your identity has varied from candidate to candidate over the years,” said Kishan Putta, an elected commissioner in Washington DC who serves on a Democratic Party advisory committee on Asian Americans.Putta, who has followed South Asian candidates for years, also pointed to the victory in Virginia of Ghazala Hashimi as lieutenant governor, noting that the very first line on her website’s online biography is how she was the first Muslim and first South Asian American to serve in the Virginia Senate.”So it’s not just candidates in cities or places with huge South Asian and immigrant communities,” Putta added. “Candidates are getting much more comfortable in talking about their identity.”- ‘Symbolic moment of acceptance’ -For Mamdani, like many South Asians, that identity is not always concise to explain. He was born in Uganda to two prominent Indian-born parents — the academic Mahmood Mamdani and filmmaker Mira Nair, who is Hindu.Mamdani has spoken passionately about Islamophobia following the September 11, 2001 attacks, counts a kebab counter in diverse Jackson Heights as his favorite restaurant and days before the election campaigned car to car at LaGuardia Airport among taxi drivers, who are often South Asian.Mamdani’s openness on his background “certainly is a break from what we have seen in the past,” said Sara Sadhwani, a political scientist at Pomona College who has studied South Asian Americans.”But that very much goes along with Mamdani’s brand of authenticity and embracing difference — fully accepting the nuance of those differences,” she said.”Even if all Indian Americans don’t completely embrace his politics, it is nonetheless a symbolic moment of acceptance of Indian Americans.”- Trump base attacks -President Donald Trump has furiously attacked Mamdani but has earlier courted Indian Americans, making gains in last year’s election in a community that has historically voted Democratic and by some measures has the highest household income in the United States.Trump’s stance is not shared by all his base, with online far-right campaigners in recent months writing hateful comments against Indian Americans.Trump in September yanked up the fee for a visa used by Indian tech workers as part of a broader crackdown on immigration.Vice President JD Vance is married to an Indian American, Usha Vance, but recently raised eyebrows by saying he would be happy if she converts from Hinduism to Christianity. Vance accused critics of anti-Christian bias.Vivek Ramaswamy, the pro-Trump Indian American tech entrepreneur running for governor of Ohio, said one lesson from Tuesday’s losses was: “Cut out the identity politics. It doesn’t suit Republicans.”Dinesh D’Souza, a longtime Republican militant born in India, wrote on X: “A very loud group on the Right said, ‘Indians go home,’ and so many of them did — to the Democratic Party.”

Ligue des champions: l’Inter souffre face au Kairat mais poursuit son sans-faute

L’Inter Milan s’est fait peur face au Kairat Almaty, mais a assuré l’essentiel avec son quatrième succès (2-1) en autant de matches de Ligue des champions cette saison, mercredi à San Siro.Le jour où ils sont devenus officiellement copropriétaires de leur stade, avec leurs rivaux et voisins de l’AC Milan, pour le détruire et en construire un nouveau, les Nerazzurri n’ont pas cassé la baraque.Ils se sont contentés du minimum face à leur adversaire kazakh qui découvre la compétition-reine du football européen mais qui leur a fait quelques frayeurs. Comme attendu, l’Inter a dominé et monopolisé le ballon, mais les joueurs de Cristian Chivu, sombrant parfois dans la facilité, ont manqué de précision et se sont heurtés à une équipe bien organisée qui leur a longtemps tenu tête.A la 10e minute, le gardien de but du Kairat Temirlan Anarbeko a sauvé son équipe d’abord sur un tir de Federico Dimarco, puis sur la reprise consécutive de Lautaro Martinez.Si l’Argentin s’est créé encore plusieurs occasions (12e, 14e), et si Yann-Aurel Bisseck a cru avoir obtenu un penalty (20e) avant qu’il soit annulé par l’arbitrage vidéo, les tifosi intéristes ont commencé à gronder devant l’inefficacité de leur équipe.- Retour de Thuram -D’autant que le Kairat a bien failli prendre l’avantage d’un tir d’Edmilson (41e) qui a effleuré la transversale de Yann Sommer.Piqué au vif, l’Inter a repris ses esprits dans le final de la première période et Martinez, en puissance et malgré deux défenseurs, a libéré son équipe et San Siro (45e).Au retour des vestiaires, l’Inter, désormais sans Lautaro Martinez, s’est fait surprendre lors d’un corner repris de la tête par Ofrid Arad devant des défenseurs milanais bien statiques (55e, 1-1).Passé quelques minutes de sidération, le vice-champion d’Italie a repris l’avantage à la 67e minute d’un tir de Carlos Augusto.Après plus d’un mois d’arrêt à cause d’une blessure au biceps fémoral de la cuisse gauche, Marcus Thuram a pu faire son retour à la 70e minute.Mais l’international français, à part un tir de loin à la 90e minute, comme ses coéquipiers, n’a pas réussi à alourdir l’addition.”On a peut-être sous-estimé notre adversaire, car on a raté des choses simples, mais le plus important, ce sont les trois points qu’il fallait empocher, avant la partie la plus rude de notre programme avec l’Atletico, Liverpool, Arsenal et Dortmund”, a déclaré Dimarco sur le diffuseur Prime.Même si l’Inter n’a pas convaincu, son bilan reste positif avec son carton plein de douze points et une 3e place au classement qui le rapproche d’une qualification directe pour les huitièmes de finale. La saison dernière, Aston Villa avait décroché la 8e et dernière place directe pour la phase suivante avec 16 points.

Ligue des champions: Manchester City et Foden déroulent contre Dortmund

Manchester City a effrité le mur jaune défensif du Borussia Dortmund (4-1) grâce à l’irrésistible Erling Haaland, encore buteur, et à un doublé de Phil Foden, mercredi à domicile en Ligue des champions.L’attaquant français Rayan Cherki, sorti du banc en bondissant, est venu se joindre à la fête en marquant au bout d’un déboulé en solo au début du temps additionnel (90e+1, 4-1).Les champions d’Europe 2023 ont prouvé qu’ils étaient une force sur laquelle il faudrait compter cette année, et le classement est là pour le prouver: ils sont 4es de la phase de ligue, invaincus après 4 journées.Chez eux, ils ont concassé une équipe du BVB qui n’avait subi qu’une défaite jusqu’ici depuis le début de saison, sur la pelouse du roi de la Bundesliga, le Bayern Munich (2-1).La réduction du score de Waldemar Anton (72e, 3-1) a été le seul nuage pour les Skyblues de Pep Guardiola, en maîtrise durant la grande majorité de la partie.Les visiteurs n’ont fait douter les Anglais que durant les vingt premiers minutes avec un pressing haut qui a contraint les ailiers à se replier vers la ligne médiane, laissant Haaland isolé tout devant. Las, la tactique de Niko Kovac et ses hommes a volé en éclat deux fois dans les dix minutes suivantes, par Foden (22e, 1-0) et Haaland (29e, 2-0), cliniques dans leur finition.”Vous ne pouvez faire aucune erreur devant de tels joueurs et nous en avons commis trop. De manière générale, nous devons faire mieux mais nous sommes aussi là pour apprendre”, a réagi l’entraîneur sur TNT Sports.- “Erling the Great” -Désigné capitaine, Haaland a ajouté un nouveau pion à sa vertigineuse collection, mais il l’a célébré avec retenue face à son ancien club.”Erling the Great”, comme le proclamait une bannière en tribunes, le représentant avec une cape et un casque de viking, a repris tout en puissance et équilibre un centre en retrait de Jérémy Doku, électrique mercredi.Cela fait désormais 18 buts en 14 matches (dont 5 en coupe d’Europe) pour le Norvégien depuis le début de saison, et 142 en 160 matches disputés avec Manchester City, son club depuis 2022.Malgré ces statistiques de haute volée, Phil Foden lui a piqué la vedette avec un doublé que peu auraient pu prédire.Le milieu offensif remonte la pente progressivement après une dernière saison où il avait coulé à pic, et sa prestation du soir pourrait convaincre le sélectionneur Thomas Tuchel de le rappeler, vendredi.”Il est évident que l’année dernière a été difficile, non seulement pour moi, mais pour tout le monde. Il y a une nouvelle cohésion cette saison”, a réagi le joueur de 25 ans, heureux de rejouer “avec le sourire”.Le N.47 a débloqué la partie d’un tir enroulé à ras de terre depuis l’extérieur de la surface, avec plus de précision que de force. Il a célébré son bijou avec un doigt devant la bouche et des selfies avec ses supporters.En seconde période, il a fait un copier-coller, en mieux peut-être, car il a décroché une frappe très vite et malgré trois défenseurs autour de lui (57e, 3-0).Le score était acquis à ce moment-là et Manchester City a légèrement relâché son emprise et sa vigilance, ce qui a conduit au but d’Anton venu couper au premier poteau un coup franc joué rapidement à deux (72e, 3-1).Cherki a redonné plus de marge aux Mancuniens en fin de match en marquant son premier but dans la plus prestigieuse des compétitions de clubs.Il reste encore du travail mais l’aventure européenne est bien lancée pour les Citizens avant d’affronter Leverkusen et le Real Madrid, entre autres.Avant cela, il y aura la réception de Liverpool, dimanche en Premier League.

Trump blasts Democrats as government shutdown becomes longest ever

US President Donald Trump accused “kamikaze” Democrats of being prepared to destroy the country as the government shutdown became the longest in history on Wednesday, eclipsing the 35-day record set during the Republican leader’s first term.Federal agencies have been grinding to a halt since Congress failed to approve funding past September 30, and the pain has been mounting as welfare programs — including aid that helps millions of Americans afford groceries — hang in the balance.Some 1.4 million federal workers, from air traffic controllers to park wardens, remain on enforced leave or are working without pay. Some courts are using emergency funds to stay open, warning that operations could slow if the shutdown drags on.”I just got back from Japan,” the 79-year-old president told a breakfast meeting with Republican senators at the White House as the shutdown entered its sixth week. “I talked about the kamikaze pilots. I think these guys are kamikaze,” he said, referencing Democrats. “They’ll take down the country if they have to.”Before the shutdown record toppled at midnight, the Trump administration sounded the alarm over turmoil at airports nationwide if the crisis drags further into November, with worsening staff shortages snarling flights and closing down sections of airspace.Transportation Secretary Sean Duffy told a news conference Wednesday that the scheduled capacity for flights was being cut by 10 percent starting Friday in 40 busy air traffic areas.The American Automobile Association (AAA) says 5.3 million passengers flew domestically over the Thanksgiving weekend in 2023, and gave a projected figure of 5.7 million for last year’s holiday, which it is due to update later this month. More than 60,000 air traffic controllers and Transportation Security Administration (TSA) officers are working without pay, and the White House has warned that increased absenteeism could mean chaos at check-in lines.  Airport workers calling in sick rather than working without pay — leading to significant delays — was a major factor in Trump bringing an end to the 2019 shutdown.Both Democrats and Republicans remain unwavering, however, over the main sticking point in the current stoppage — health care spending.- ‘Defiance’ -Democrats say they will only provide votes to end the funding lapse after a deal has been struck to extend expiring insurance subsidies that make health care affordable for millions of Americans.But Republicans insist they will only address health care once Democrats have voted to switch the lights back on in Washington.While both sides’ leadership have shown little appetite for compromise, there have been signs of life on the back benches, with a handful of moderate Democrats working to find an escape hatch.A separate bipartisan group of four centrist House members unveiled a compromise framework Monday for lowering health insurance costs.Democrats believe that millions of Americans seeing skyrocketing premiums as they enroll in health insurance programs for next year will pressure Republicans into seeking compromise.But Trump has held firm on refusing to negotiate, telling CBS News in an interview broadcast Sunday that he would “not be extorted.” The president has sought to apply his own pressure to force Democrats to cave by threatening mass layoffs of federal workers and using the shutdown to target progressive priorities.Trump on Tuesday repeated his administration’s threat to cut off a vital aid program that helps 42 million Americans pay for groceries for the first time in its more than 60-year history, even though the move was blocked by two courts.The White House later clarified, however, that it was “fully complying” with its legal obligations and was working to get partial SNAP payments “out the door as much as we can and as quickly as we can.”

Ligue des champions – Marseille s’enfonce, l’Inter tient le rythme des leaders

L’Olympique de Marseille sans punch s’est incliné à domicile contre l’Atalanta Bergame (1-0) sur un but controversé mercredi pour la 4e journée de Ligue des champions où l’Inter Milan, vainqueur du Kairat Almaty (2-1), a réussi le carton plein comme le Bayern et Arsenal.En petite forme depuis quelques matches, les Marseillais ne se sont pas réveillés contre la Dea et ont fini par s’incliner en fin de match sur un but qui les a rendus furieux: ils réclamaient au début de l’action un penalty pour une main évidente dans la surface, visiblement jugée involontaire.Si la fin est cruelle, l’OM a subi dans le jeu la loi de l’Atalanta, qui a eu de nombreuses occasions dont un penalty détourné par Geronimo Rulli.Les joueurs de Roberto De Zerbi chutent à la 25e place, juste au-delà de la ligne de qualification pour la suite de la compétition. Avec trois points, ils n’ont battu que l’Ajax Amsterdam (4-0), dernier de la phase de ligue.L’OM est doublé par exemple par le club chypriote de Paphos (20e), qui a remporté son tout premier succès en C1 contre Villarreal (1-0). Le héros s’appelle Derrick Luckassen, l’attaquant néerlandais a marqué le but de cette victoire historique.- Bruges a cru battre le Barça -La soirée a été mauvaise pour les clubs espagnols. Si le sous-marin jaune a coulé à Chypre, le Barça a failli s’incliner au FC Bruges (3-3), qui s’est vu refuser le but du 4-3 dans les dernières minutes. Le Portugais Carlos Forbs, qui a amené le premier but et marqué les deux suivants, a fait de l’ombre à Lamine Yamal, auteur d’un but.Enfin l’Athletic Bilbao s’est incliné à Newcastle (2-0), qui en profite pour grimper à la 6e place, dans la zone qui envoie directement en 8e de finale (jusqu’à la 8e place).Si le Barça a été freiné, les autres favoris engagés mercredi se sont imposés.L’Inter a souffert pour faire plier Almaty, qui avait égalisé, et Manchester City a dominé le Borussia Dortmund (4-1) avec le 18e but d’Erling Haaland en 14 matches cette saison, un doublé de Phil Foden, qui a marqué autant en une soirée que depuis le début de la saison, et un but de Rayan Cherki, à la veille de la liste de Didier Deschamps pour les matches de l’équipe de France en novembre.Les Citizens grimpent à la 4e place et doublent le Paris Saint-Germain (5e), battu mardi par le Bayern Munich (2-1).Le champion du monde Chelsea (12e) a souffert chez le club azéri de Qarabag (2-2), qui continue de surprendre en restant à la hauteur des Blues au classement (15e) avec 7 points.Enfin deux grands d’Europe, le Benfica et l’Ajax, croupissent toujours aux deux dernières places de la poule unique avec zéro points.Les Lisboètes de José Mourinho ont perdu à la Luz contre le Bayer Leverkusen (1-0) et les rouges et blancs d’Amsterdam ont été corrigé par le Galatasaray (3-0) du Nigérian Victor Osimhen, auteur d’un triplé, dont deux penalties.

Ligue des champions – Marseille s’enfonce, l’Inter tient le rythme des leaders

L’Olympique de Marseille sans punch s’est incliné à domicile contre l’Atalanta Bergame (1-0) sur un but controversé mercredi pour la 4e journée de Ligue des champions où l’Inter Milan, vainqueur du Kairat Almaty (2-1), a réussi le carton plein comme le Bayern et Arsenal.En petite forme depuis quelques matches, les Marseillais ne se sont pas réveillés contre la Dea et ont fini par s’incliner en fin de match sur un but qui les a rendus furieux: ils réclamaient au début de l’action un penalty pour une main évidente dans la surface, visiblement jugée involontaire.Si la fin est cruelle, l’OM a subi dans le jeu la loi de l’Atalanta, qui a eu de nombreuses occasions dont un penalty détourné par Geronimo Rulli.Les joueurs de Roberto De Zerbi chutent à la 25e place, juste au-delà de la ligne de qualification pour la suite de la compétition. Avec trois points, ils n’ont battu que l’Ajax Amsterdam (4-0), dernier de la phase de ligue.L’OM est doublé par exemple par le club chypriote de Paphos (20e), qui a remporté son tout premier succès en C1 contre Villarreal (1-0). Le héros s’appelle Derrick Luckassen, l’attaquant néerlandais a marqué le but de cette victoire historique.- Bruges a cru battre le Barça -La soirée a été mauvaise pour les clubs espagnols. Si le sous-marin jaune a coulé à Chypre, le Barça a failli s’incliner au FC Bruges (3-3), qui s’est vu refuser le but du 4-3 dans les dernières minutes. Le Portugais Carlos Forbs, qui a amené le premier but et marqué les deux suivants, a fait de l’ombre à Lamine Yamal, auteur d’un but.Enfin l’Athletic Bilbao s’est incliné à Newcastle (2-0), qui en profite pour grimper à la 6e place, dans la zone qui envoie directement en 8e de finale (jusqu’à la 8e place).Si le Barça a été freiné, les autres favoris engagés mercredi se sont imposés.L’Inter a souffert pour faire plier Almaty, qui avait égalisé, et Manchester City a dominé le Borussia Dortmund (4-1) avec le 18e but d’Erling Haaland en 14 matches cette saison, un doublé de Phil Foden, qui a marqué autant en une soirée que depuis le début de la saison, et un but de Rayan Cherki, à la veille de la liste de Didier Deschamps pour les matches de l’équipe de France en novembre.Les Citizens grimpent à la 4e place et doublent le Paris Saint-Germain (5e), battu mardi par le Bayern Munich (2-1).Le champion du monde Chelsea (12e) a souffert chez le club azéri de Qarabag (2-2), qui continue de surprendre en restant à la hauteur des Blues au classement (15e) avec 7 points.Enfin deux grands d’Europe, le Benfica et l’Ajax, croupissent toujours aux deux dernières places de la poule unique avec zéro points.Les Lisboètes de José Mourinho ont perdu à la Luz contre le Bayer Leverkusen (1-0) et les rouges et blancs d’Amsterdam ont été corrigé par le Galatasaray (3-0) du Nigérian Victor Osimhen, auteur d’un triplé, dont deux penalties.

Ligue des champions: L’OM, affaibli et malheureux, tombe encore face à l’Atalanta

L’OM n’y arrive décidément pas en Ligue des champions: toujours en toute petite forme mais aussi assez malchanceux, les Marseillais ont été battus 1-0 mercredi au Stade Vélodrome par l’Atalanta Bergame, qui a marqué au bout d’une action litigieuse.Le pire est donc venu à la fin, dans la dernière minute du temps réglementaire, quand Lazar Samardzic a envoyé une frappe superbe dans la lucarne de Geronimo Rulli (1-0, 90e). Problème: quelques secondes plus tôt, l’action avait débuté par une main assez claire et en pleine surface de son équipier Ederson.Le public marseillais a alors sifflé très fort, puis hurlé son plaisir quand il a vu l’arbitre espagnol José Maria Sanchez s’approcher du bord du terrain. Mais il n’allait pas consulter l’écran-vidéo, simplement adresser un carton jaune à l’entraîneur phocéen Roberto De Zerbi.Derrière, les Marseillais, médusés, ont encore essayé d’obtenir un point, qui serait venu récompenser leur bonne deuxième période plutôt que leurs affreuses 45 premières minutes. Mais il n’est pas venu et avec trois points seulement en quatre matches, le bilan de l’OM est très insuffisant.Lors de ses deux premières défaites, sur les pelouses du Real Madrid et du Sporting Lisbonne, l’OM avait été séduisant mais cela ne s’était pas vu au classement. Mercredi, il ne l’a pas vraiment été et sa situation devient critique.- Rulli sort un penalty -Toujours pénalisé par une avalanche de blessures, même si Nayef Aguerd était finalement bien là, l’OM a tout de même encore livré une première période très pauvre, parfois même assez peureuse, alors que De Zerbi ne cesse de demander à ses joueurs courage et personnalité.Très vite, l’Atalanta a ainsi pris le contrôle du match et de son tempo, profitant des hésitations des défenseurs de l’OM, des imprécisions de ses milieux et des incompréhensions de ses attaquants.Les Marseillais en ont rapidement été punis, avec un penalty concédé par Geronimo Rulli devant le costaud avant-centre de la “Dea”, Nikola Krstovic. Heureusement, le gardien argentin maintient lui un niveau constant et il a sorti d’une superbe horizontale la frappe de Charles De Ketelaere.L’exploit de Rulli a un peu réveillé ses dix équipiers et Pierre-Emerick Aubameyang a enfin obtenu la première occasion marseillaise, après une belle passe verticale de Pierre-Emile Hojbjerg (23e).Plus incertain, le match n’est pas pour autant devenu brillant ou palpitant, avec toujours quelques séquences techniques assez douloureuses côté marseillais.- Coup de théâtre -Après la pause, tout de même, Hojbjerg et les siens ont été un peu meilleurs et ont enfin bousculé cette Atalanta qui restait sur six matches sans victoire (cinq nuls et une défaite) et qui ne ressemble que de loin à l’irrésistible machine qui avait gagné la Ligue Europa il y a un an et demi, en éliminant Marseille au passage.”A nous de réussir à faire jouer aussi le stade”, avait joliment invité De Zerbi mardi. Pendant quelques minutes, ça a été le cas. Sur la pelouse, les Marseillais ont ainsi enfin mis un peu de vitesse dans leurs actions, à l’image du magnifique mouvement conclu par une frappe contrée de Greenwwod (53e).Et dans les tribunes, les supporters ont poussé et chanté pour faire venir ce but et ces trois points dont l’OM avait tant besoin. Alors que les Italiens ne proposaient plus grand-chose, l’OM a tout de même connu une deuxième grosse frayeur avec un but d’Ademola Lookman annulé pour un tout petit hors-jeu (69e).Le Nigérian est ensuite sorti et a failli se battre avec son coach Ivan Juric. Mais pour l’OM, le danger semblait passé, ce qu’ont confirmé des occasions obtenues par Greenwood (77e) et Aubameyang (87e). Mais il y a donc eu le coup de théâtre cruel de la dernière minute. Il laisse cet OM fatigué – 25e sur 36 au classement et donc virtuellement éliminé – dans l’obligation de prendre beaucoup de points lors des quatre dernières journées, avec les réceptions de Newcastle et Liverpool et deux déplacements en Belgique, face à l’Union Saint-Gilloise et à Bruges.