S.Africa president backs Ukraine truce push at Zelensky meetingThu, 24 Apr 2025 16:14:34 GMT

President Cyril Ramaphosa praised Ukrainian President Volodymyr Zelensky during his first visit to South Africa on Thursday for agreeing to an unconditional ceasefire in the war with Russia so that peace talks could begin.Ramaphosa threw South Africa’s weight behind the push for an end to the more than three-year war, holding talks with Zelensky hours …

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Stocks rally rolls on in US, fizzles elsewhere

Wall Street stocks pushed higher for a third day on Thursday but the rally fizzled elsewhere as China poured cold water on US President Donald Trump’s comments talking up prospects of a deal to end their trade war.US stocks tanked on Monday after comments by Trump sparked fears he would try to remove Federal Reserve chief Jerome Powell.But global markets rebounded on Tuesday after Trump indicated he had no intention to oust Powell, also signalling that tariffs on China could be substantially lowered and that the United States would have a “fair deal” on trade with Beijing.China on Thursday said any claims of ongoing trade talks with Washington were “groundless”.Treasury Secretary Scott Bessent also tempered optimism, saying the two countries were “not yet” talking when it comes to lowering tariffs.Those comments led to a mostly lower session in Asia and early losses in Europe, which ended the day with small gains.However Wall Street pushed higher after a mixed open, with the Nasdaq briefly gaining two percent as tech stocks bounced higher.”Hopes of progress on trade deals were bolstered by reports that an agreement with India was near,” said Chris Beauchamp, chief market analyst at online trading platform IG.”The investing world is back to hanging onto every word out of the White House, but with such a confusing and often contradictory stance on tariffs, volatility is all we can really guarantee,” said Matt Britzman, senior equity analyst at Hargreaves Lansdown.City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada said:  “Until we see meaningful resolution on the tariff front, it may well be the case that markets remain in a choppy environment with larger-than-usual swings.”The dollar weakened as White House uncertainty boosted demand for the Swiss franc, the yen and gold, seen as safe-haven assets.Meanwhile investors were also looking to a series of company results for signs of how tariffs may weigh on the outlook for the year ahead.”Comments about tariffs from business leaders are omnipresent and investors want to know how companies plan to deal with potential cost pressures,” said Russ Mould, investment director at AJ Bell.Shares in consumer goods manufacturer Procter & Gamble slumped five percent after it cut its sales and profit forecasts, citing a pullback by consumers amid the tariff and economic uncertainty.Shares in its British rival Unilever shed 0.3 percent although it said the impact of US tariffs on its products would be “limited”, as it reported a dip in first-quarter revenue.Shares in Pepsi slid 3.8 percent after it too cut its 2025 sales and profit forecasts.Japanese auto giant Nissan predicted an enormous loss of around five billion dollars this year as US President Donald Trump’s tariffs on car imports hit the industry.In Paris, shares in luxury group Kering fell 1.6 percent after it reported a further sales slump at its flagship Gucci brand.In Frankfurt, German sportswear giant Adidas gained 2.9 percent as its profit almost doubled in the first quarter, beating expectations.Meanwhile Nintendo shares gained as much as 5.5 percent after the gaming giant boasted of higher-than-expected demand in Japan for pre-orders of its Switch 2 game console.- Key figures at 1530 GMT -New York – Dow: UP 0.5 percent at 39,810.39 pointsNew York – S&P 500: UP 1.2 percent at 5,439.39New York – Nasdaq Composite: UP 1.7 percent at 16,989.20London – FTSE 100: UP less than 0.1 percent at 8,407.44 (close)Paris – CAC 40: UP 0.3 percent at 7,502.78 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.5 percent at 22,064.51 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.5 percent at 35,039.15 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.7 percent at 21,909.76 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,297.29 (close)Euro/dollar: UP at $1.1361 from $1.1317 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3301 from $1.3257Dollar/yen: DOWN at 142.69 from 143.49 yenEuro/pound: UP at 85.41 from 85.34 penceWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $62.36 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $65.26 per barrelburs-rl/jj

Les Bourses mondiales prudentes face aux tensions commerciales, en pleine saison de résultats

Les Bourses mondiales restent sur leurs gardes en pleine période de résultats trimestriels d’entreprises, les investisseurs étant suspendus aux derniers développements entre la Chine et les Etats-Unis dans un contexte de bras de fer commercial.La Bourse de Paris a terminé en timide hausse de 0,27%, Francfort 0,47%, et Milan 0,96%. Londres a fini à l’équilibre (+0,05%).A Wall Street, Vers 15H45 GMT, le Dow Jones prenait 0,61%, l’indice Nasdaq progressait de 1,82% et l’indice élargi S&P 500 de 1,30%.”Les marchés boursiers semblent un peu perdus”, commente Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.Le marché “est en mode +wait and see+ (attendre de voir)”, résume Mabrouk Chetouane, responsable de la stratégie de marché de Natixis IM. “Il reprend ses esprits après le coup de massue des déclarations douanières de Donald Trump.”Les investisseurs avaient salué dans un premier temps mercredi le ton plus conciliant des Etats-Unis dans leur conflit commercial avec Pékin.Et des propos du secrétaire américain au Trésor Scott Bessent rapportés par la presse, selon lesquels un rééquilibrage sino-américain “pourrait prendre deux à trois ans”, contribuent “quelque peu à freiner l’optimisme des marchés”, avertit Lloyd Chan, de la banque MUFG.Jeudi, la Chine a fermement réfuté l’existence de négociations avec Washington, après des propos de Donald Trump la veille ayant suggéré l’éventualité “d’un accord équitable” entre les deux puissances.Le marché “souhaite avoir de la visibilité”, poursuit Mabrouk Chetouane. “Des règles qui changent du jour au lendemain”, les volte-face incessants de Donald Trump font que pour le moment, “l’incertitude n’est pas prête de disparaître”.Le dollar fléchitLes espoirs douchés d’une désescalade de la guerre commerciale –lorsque Pékin a démenti l’existence de négociations en cours avec Washington– ont emporté avec eux le billet vert, qui perdait du terrain face à l’euro.Vers 15H45 GMT, le dollar cédait 0,41% face à la monnaie unique, à 1,1363 dollar pour un euro.Depuis début avril, le dollar, fragilisé par la politique erratique du président américain et les craintes sur la croissance américaine, perd environ 5%.Côté obligataire, le taux d’emprunt à dix ans américain atteignait 4,33%, contre 4,38% la veille en clôture.Saison des résultatsLa saison des résultats trimestriels d’entreprises s’intensifie, la plupart sont mal reçus par les investisseurs.En France, le groupe Dassault Systèmes a perdu 5,11%, après avoir enregistré une chute de son bénéfice net de 8,8% au premier trimestre et revu à la baisse son objectif de marge opérationnelle pour 2025 en raison de la dégradation du contexte macroéconomique.Thales a reculé de 3,79% après la publication de résultats trimestriels indiquant des prises de commandes décevantes par rapport aux prévisions des analystes.En Suisse, le géant pharmaceutique Roche (+1,94%) a dévoilé jeudi des ventes meilleures qu’attendu, son patron profitant de la publication de ces chiffres pour assurer que le groupe se prépare à tous les scénarios pour protéger ses activités aux Etats-Unis.Nestlé (+0,05%) a publié jeudi un chiffre d’affaires trimestriel meilleur qu’attendu et laissé ses prévisions pour 2025 inchangées, son patron prévenant toutefois que l’impact indirect des droits de douane sur les prix des matières premières et les consommateurs est “incertain à ce stade”.Aux Etats-Unis enfin, le groupe américain Procter and Gamble (-5,35% à New York vers 15H45 GMT) a enregistré sur les trois premiers mois de l’année un tassement de ses ventes et revu à la baisse ses objectifs annuels, évoquant un contexte “volatil”.Le fabricant américain de jouets Hasbro s’envole quant à lui à la Bourse de New York (+16,25% vers 15H45 GMT) après avoir publié jeudi des résultats meilleurs que prévu au premier trimestre mais s’est abstenu, à ce stade, de réévaluer ses prévisions pour l’ensemble de l’année dans un contexte de guerre commerciale.Le pétrole atoneLes prix du pétrole restent stable jeudi, le marché se montrant plus pessimiste sur l’éventualité d’une trêve en Ukraine et l’avancée des négociations avec l’Iran, ce qui pèse sur les perspectives de l’offre.Vers 15H45 GMT, le prix du baril de Brent de la mer du Nord perdait quelque 0,01% à 66,11 dollars et son équivalent américain, le baril de West Texas Intermediate, gagnait 0,08% à 62,32 dollars.

Trump lance “Vladimir, ARRÊTE!” à Poutine après un nouveau carnage à Kiev

Donald Trump a lancé jeudi un lapidaire “Vladimir, ARRÊTE!” à son homologue russe, après une nouvelle vague de frappes massives sur l’Ukraine qui ont fait au moins 12 morts et des dizaines de blessés à Kiev au moment où les laborieuses négociations entreprises par le président américain se sont crispées sur la question de la Crimée.La salve de frappes lancée par la Russie dans la nuit – 70 missiles et 145 drones selon Kiev – a visé six régions ukrainiennes et plusieurs villes dont Kiev, où les témoins ont décrit des scènes apocalyptiques dans un quartier résidentiel, des immeubles éventrés et des corps sans vie dans les rues.Le bilan dans la seule capitale, un des plus lourds depuis des mois, est susceptible de s’alourdir au fur et à mesure que les corps sont retirés des décombres. Il y a 90 blessés, selon un dernier bilan des services de secours.”La Russie veut nous détruire”, a lâché sur les lieux de la frappe Olena Davydiouk, une avocate de 33 ans vivant tout près du point d’impact des missiles russes. Encore sous le choc, elle dit avoir été réveillée par la frappe, racontant que “les vitres ont volé en éclats, les portes ont été arrachées de leurs gonds”.Londres a dénoncé un “bain de sang perpétré par Poutine” et de nouvelles scènes “choquantes”, l’UE y a vu la preuve que le Kremlin était “le principal obstacle à la paix”, et le président ukrainien Volodymyr Zelensky a immédiatement écourté sa visite en Afrique du sud.”Vladimir, ARRÊTE!”, s’est quant à lui agacé Donald Trump dans une de ses formules lapidaires sur sa plateforme Truth Social, ajoutant n’être “pas content” de cette vague de frappes au “très mauvais timing”.La vague de missiles et de drones explosifs lancés par la Russie intervient en effet à un moment critique pour le processus de négociation que Donald Trump a promis de faire aboutir pour faire cesser la guerre lancée par Moscou en février 2022, dont le bilan se chiffre au moins en dizaines de milliers de morts de part et d’autres.Des négociations entre les Etats-Unis, l’Ukraine et ses alliés européens français et britanniques, prévues au niveau ministériel à Londres mercredi, ont été annulées à la dernière minute, après que des informations de presse ont fait état de discussions russo-américaines sur la reconnaissance de l’annexion par la Russie de la Crimée, péninsule ukrainienne dont Moscou a pris le contrôle en 2014.- Le Kremlin “complètement” d’accord avec Trump – “Il n’y a rien à discuter (…) C’est notre territoire”, avait tranché Volodymyr Zelensky mardi.Donald Trump s’en était alors pris violemment à lui, l’accusant de tenir des propos “incendiaires” au moment où un accord avec la Russie était selon lui “très proche”. Il avait souligné que pour l’Ukraine la Crimée était “perdue”, recevant jeudi un satisfecit du Kremlin qui a souligné être “complètement” d’accord avec ce constat.Le président ukrainien est revenu sur le sujet jeudi avant de quitter Pretoria précipitamment : “Nous faisons tout ce que nos partenaires ont proposé, sauf ce qui est contraire à notre législation et à la Constitution” ukrainienne sur l’intégrité territoriale du pays, Crimée comprise, a-t-il souligné, exigeant à l’inverse “plus de pression sur la Russie”.Kiev a reçu le soutien inconditionnel de l’Union européenne sur ce point : l’UE ne reconnaîtra jamais la péninsule comme russe, “la Crimée c’est l’Ukraine,” a martelé mercredi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.Le président français Emmanuel Macron s’est associé jeudi à ce refus de reconnaître l’annexion russe de la Crimée. Il y a une “situation de fait”, a-t-il dit. “Est-ce que pour autant il faut en donner quitus (à la Russie) ? Non”. La question du statut de la péninsule ne se pose “en tout cas pas maintenant, et ce n’est pas à nous de le faire”, a-t-il ajouté.”L’énervement des Américains ne doit porter que sur une seule personne: le président Poutine”, a-t-il encore déclaré, en marge d’une visite à Madagascar, estimant que le président russe devait arrêter de “mentir” en affirmant vouloir la paix.- “Il y avait des enfants, c’était terrible” -A Kiev jeudi matin, une femme au visage ensanglanté était prise en charge par les pompiers, serrant son petit chien tremblant dans ses bras. Une autre, sous le choc, se couvrait la bouche de ses mains. Sur l’herbe jonchée de décombres, des gens pleuraient un mort, déposé là par les secouristes. Anna Balamout, 36 ans, a raconté sa course “effrayante” en pleine nuit, avec ses deux enfants, au milieu des “vagues” d’explosions, pour rejoindre un abri anti-aérien.”Les gens couraient, couverts de sang. Ils criaient, il y avait des enfants, c’était terrible”, confie-t-elle à l’AFP.Les explosions se sont succédées dans la nuit, alors que les lumières des déflagrations de drones et des missiles éclairaient l’horizon de la capitale ukrainienne, selon des journalistes de l’AFP sur place.Les forces armées russes “ont mené une attaque massive avec des armes de précision à longue portée” contre plusieurs entreprises liées au complexe militaro-industriel ukrainien, a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

Trump lance “Vladimir, ARRÊTE!” à Poutine après un nouveau carnage à Kiev

Donald Trump a lancé jeudi un lapidaire “Vladimir, ARRÊTE!” à son homologue russe, après une nouvelle vague de frappes massives sur l’Ukraine qui ont fait au moins 12 morts et des dizaines de blessés à Kiev au moment où les laborieuses négociations entreprises par le président américain se sont crispées sur la question de la Crimée.La salve de frappes lancée par la Russie dans la nuit – 70 missiles et 145 drones selon Kiev – a visé six régions ukrainiennes et plusieurs villes dont Kiev, où les témoins ont décrit des scènes apocalyptiques dans un quartier résidentiel, des immeubles éventrés et des corps sans vie dans les rues.Le bilan dans la seule capitale, un des plus lourds depuis des mois, est susceptible de s’alourdir au fur et à mesure que les corps sont retirés des décombres. Il y a 90 blessés, selon un dernier bilan des services de secours.”La Russie veut nous détruire”, a lâché sur les lieux de la frappe Olena Davydiouk, une avocate de 33 ans vivant tout près du point d’impact des missiles russes. Encore sous le choc, elle dit avoir été réveillée par la frappe, racontant que “les vitres ont volé en éclats, les portes ont été arrachées de leurs gonds”.Londres a dénoncé un “bain de sang perpétré par Poutine” et de nouvelles scènes “choquantes”, l’UE y a vu la preuve que le Kremlin était “le principal obstacle à la paix”, et le président ukrainien Volodymyr Zelensky a immédiatement écourté sa visite en Afrique du sud.”Vladimir, ARRÊTE!”, s’est quant à lui agacé Donald Trump dans une de ses formules lapidaires sur sa plateforme Truth Social, ajoutant n’être “pas content” de cette vague de frappes au “très mauvais timing”.La vague de missiles et de drones explosifs lancés par la Russie intervient en effet à un moment critique pour le processus de négociation que Donald Trump a promis de faire aboutir pour faire cesser la guerre lancée par Moscou en février 2022, dont le bilan se chiffre au moins en dizaines de milliers de morts de part et d’autres.Des négociations entre les Etats-Unis, l’Ukraine et ses alliés européens français et britanniques, prévues au niveau ministériel à Londres mercredi, ont été annulées à la dernière minute, après que des informations de presse ont fait état de discussions russo-américaines sur la reconnaissance de l’annexion par la Russie de la Crimée, péninsule ukrainienne dont Moscou a pris le contrôle en 2014.- Le Kremlin “complètement” d’accord avec Trump – “Il n’y a rien à discuter (…) C’est notre territoire”, avait tranché Volodymyr Zelensky mardi.Donald Trump s’en était alors pris violemment à lui, l’accusant de tenir des propos “incendiaires” au moment où un accord avec la Russie était selon lui “très proche”. Il avait souligné que pour l’Ukraine la Crimée était “perdue”, recevant jeudi un satisfecit du Kremlin qui a souligné être “complètement” d’accord avec ce constat.Le président ukrainien est revenu sur le sujet jeudi avant de quitter Pretoria précipitamment : “Nous faisons tout ce que nos partenaires ont proposé, sauf ce qui est contraire à notre législation et à la Constitution” ukrainienne sur l’intégrité territoriale du pays, Crimée comprise, a-t-il souligné, exigeant à l’inverse “plus de pression sur la Russie”.Kiev a reçu le soutien inconditionnel de l’Union européenne sur ce point : l’UE ne reconnaîtra jamais la péninsule comme russe, “la Crimée c’est l’Ukraine,” a martelé mercredi la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.Le président français Emmanuel Macron s’est associé jeudi à ce refus de reconnaître l’annexion russe de la Crimée. Il y a une “situation de fait”, a-t-il dit. “Est-ce que pour autant il faut en donner quitus (à la Russie) ? Non”. La question du statut de la péninsule ne se pose “en tout cas pas maintenant, et ce n’est pas à nous de le faire”, a-t-il ajouté.”L’énervement des Américains ne doit porter que sur une seule personne: le président Poutine”, a-t-il encore déclaré, en marge d’une visite à Madagascar, estimant que le président russe devait arrêter de “mentir” en affirmant vouloir la paix.- “Il y avait des enfants, c’était terrible” -A Kiev jeudi matin, une femme au visage ensanglanté était prise en charge par les pompiers, serrant son petit chien tremblant dans ses bras. Une autre, sous le choc, se couvrait la bouche de ses mains. Sur l’herbe jonchée de décombres, des gens pleuraient un mort, déposé là par les secouristes. Anna Balamout, 36 ans, a raconté sa course “effrayante” en pleine nuit, avec ses deux enfants, au milieu des “vagues” d’explosions, pour rejoindre un abri anti-aérien.”Les gens couraient, couverts de sang. Ils criaient, il y avait des enfants, c’était terrible”, confie-t-elle à l’AFP.Les explosions se sont succédées dans la nuit, alors que les lumières des déflagrations de drones et des missiles éclairaient l’horizon de la capitale ukrainienne, selon des journalistes de l’AFP sur place.Les forces armées russes “ont mené une attaque massive avec des armes de précision à longue portée” contre plusieurs entreprises liées au complexe militaro-industriel ukrainien, a affirmé le ministère russe de la Défense dans un communiqué.

Israel president says ‘moral imperative’ to bring home Gaza hostages

Israel’s president said at a Holocaust remembrance ceremony on Thursday that the return of hostages held by Palestinian militants in Gaza was a “universal moral imperative” and called on the international community to help end “this horrific humanitarian crime”.Isaac Herzog spoke from the southern Polish city of Oswiecim, the site of the former Nazi German death camp Auschwitz-Birkenau, on the occasion of the annual March of the Living to commemorate its victims.Auschwitz was the largest of the extermination camps built by Nazi Germany and has become a symbol of the Holocaust of six million European Jews. One million Jews and more than 100,000 non-Jews died at the site between 1940 and 1945.”With a broken heart, I remind us all that even though after the Holocaust we swore ‘never again’, today — here and now — the souls of dozens of Jews are once again yearning within a cage, longing for water and freedom,” Herzog said at a ceremony.Nearly 60 “of our brothers and sisters remain held by terrorist murderers in Gaza, in a horrific crime against humanity”, he added.”The return of the hostages is a universal moral imperative, and I call from here — from this sacred place — for the entire international community to mobilise and end this horrific humanitarian crime.”Some 251 people, including women and children, were seized during Palestinian militant group Hamas’s October 7, 2023 attack on southern Israel, which left 1,218 Israelis dead according to an AFP tally based on official data, and sparked a deadly war in Gaza.Fifty-eight hostages are still being held there, including 34 the Israeli military says are dead.Israel’s military response in Gaza has unleashed a humanitarian crisis and killed at least 51,355 people, mainly civilians, according to the health ministry in Hamas-run Gaza.Herzog did not mention Israel’s military operations in Gaza at the ceremony on Thursday.But Polish President Andrzej Duda said they had talked about the situation in the Middle East.”We both expressed the hope that the war that is going on in the Gaza Strip — which began with the Hamas attack on Israel — will be brought to an end,” Duda said at the ceremony. – ‘I want my grandson home’ -Thousands of people, many draped in the Israeli flag and with tears in their eyes, took part in this year’s March of the Living, which began under the sun and ended in a heavy storm at Auschwitz-Birkenau.  Participants lit candles along the railway tracks of the site and left placards with the names of loved ones killed at the camp. Holocaust survivors and former Gaza hostages were among those present.Eli Sharabi, an Israeli who was held hostage by Hamas for 16 months, said: “All the representatives present here today… it is a victory of the spirit of the Jewish people.” It is also “a reminder that the Jewish people will exist forever”, he told reporters. Faina Kuperstein, the grandmother of a hostage still being held in Gaza, said: “I want my grandson home as soon as possible.”She told reporters she believed he was “going through almost the same thing that Holocaust survivors went through”. Qatar, with the United States and Egypt, brokered a truce in Gaza between Israel and Hamas which began on January 19 and enabled a surge in aid, alongside the exchange of hostages and prisoners.Israel resumed its intense air strikes and ground offensive across Gaza on March 18 amid disagreement over the next phase in the ceasefire that for two months had largely halted the fighting.Last month, Herzog said he was shocked that the hostage issue was no longer a top priority in the country and criticised the war policy of Prime Minister Benjamin Netanyahu’s government.Thousands of Israelis have been holding daily protests in Jerusalem, angry over the government’s policies including a return to war, which many see as forsaking the hostages still being held in Gaza.burs-amj/rlp

Narcobanditisme à Marseille: le ministre de l’Intérieur annonce 21 arrestations dans “le haut du spectre”

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a annoncé jeudi un coup de filet avec 21 interpellations de trafiquants appartenant au “haut du spectre” du narcobanditisme marseillais, lors d’un déplacement à Marseille.Une opération “a eu lieu très tôt ce matin avec 21 interpellations liées au narcobanditisme, dans le haut de spectre, qui doit nous permettre de démanteler un réseau important sur Marseille”, qui tenait la cité de la Castellane, dans les quartiers populaires du nord de la ville, a déclaré Bruno Retailleau lors d’une conférence de presse.Les personnes arrêtées sont de “hauts responsables qui tiennent un réseau à la Castellane”, “pas du menu fretin”, a-t-il insisté: ce “ne sont pas des petites mains, des charbonneurs, mais des responsables de haut niveau du narcobantitisme”, a insisté M. Retailleau.Selon une source policière, cette enquête portait notamment sur du blanchiment.Toutes ces interpellations jeudi matin n’ont cependant pas eu lieu à Marseille, pour ce réseau qui présente des “ramifications nationales mais avec des racines marseillaises”, a ajouté le ministre sans plus de détail. Au total, 170 enquêteurs ont été mobilisés pour ce coup de filet qui est, selon le ministre, “un coup dur”, “sinon mortel”, porté à ce réseau. La cité de la Castellane, vaste ensemble d’immeubles blancs en bordure d’autoroute, est connue pour être un haut lieu marseillais de ces trafics de stupéfiants qui empoisonnent le quotidien des habitants. En mars 2024, Emmanuel Macron s’y était rendu pour lancer des opérations “place nette XXL” contre les trafiquants et depuis la présence policière y était quasi constante, mais si le trafic était moins visible il se poursuivait notamment via les livraisons.Ce coup de filet n’a a priori “pas de lien” avec les récents faits visant des prisons en France, a également précisé le ministre.Le ministre était à Marseille pour dresser un premier bilan des plans départementaux de restauration de la sécurité du quotidien, lancés en février, avec par exemple mercredi 1.000 fonctionnaires mobilisés dans les Bouches-du-Rhône qui ont procédé à 10.000 contrôles d’identité.Au total, 106 personnes ont été interpellées, dont une trentaine d’étrangers en situation irrégulière, dans le cadre d’une opération “massive” et “visible”.

Narcobanditisme à Marseille: le ministre de l’Intérieur annonce 21 arrestations dans “le haut du spectre”

Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a annoncé jeudi un coup de filet avec 21 interpellations de trafiquants appartenant au “haut du spectre” du narcobanditisme marseillais, lors d’un déplacement à Marseille.Une opération “a eu lieu très tôt ce matin avec 21 interpellations liées au narcobanditisme, dans le haut de spectre, qui doit nous permettre de démanteler un réseau important sur Marseille”, qui tenait la cité de la Castellane, dans les quartiers populaires du nord de la ville, a déclaré Bruno Retailleau lors d’une conférence de presse.Les personnes arrêtées sont de “hauts responsables qui tiennent un réseau à la Castellane”, “pas du menu fretin”, a-t-il insisté: ce “ne sont pas des petites mains, des charbonneurs, mais des responsables de haut niveau du narcobantitisme”, a insisté M. Retailleau.Selon une source policière, cette enquête portait notamment sur du blanchiment.Toutes ces interpellations jeudi matin n’ont cependant pas eu lieu à Marseille, pour ce réseau qui présente des “ramifications nationales mais avec des racines marseillaises”, a ajouté le ministre sans plus de détail. Au total, 170 enquêteurs ont été mobilisés pour ce coup de filet qui est, selon le ministre, “un coup dur”, “sinon mortel”, porté à ce réseau. La cité de la Castellane, vaste ensemble d’immeubles blancs en bordure d’autoroute, est connue pour être un haut lieu marseillais de ces trafics de stupéfiants qui empoisonnent le quotidien des habitants. En mars 2024, Emmanuel Macron s’y était rendu pour lancer des opérations “place nette XXL” contre les trafiquants et depuis la présence policière y était quasi constante, mais si le trafic était moins visible il se poursuivait notamment via les livraisons.Ce coup de filet n’a a priori “pas de lien” avec les récents faits visant des prisons en France, a également précisé le ministre.Le ministre était à Marseille pour dresser un premier bilan des plans départementaux de restauration de la sécurité du quotidien, lancés en février, avec par exemple mercredi 1.000 fonctionnaires mobilisés dans les Bouches-du-Rhône qui ont procédé à 10.000 contrôles d’identité.Au total, 106 personnes ont été interpellées, dont une trentaine d’étrangers en situation irrégulière, dans le cadre d’une opération “massive” et “visible”.

European carmakers on China charm offensive as sales droop

Once blithely dominant in China, European automakers are now launching full-fledged charm offensives at consumers in the world’s largest car market, seeking to claw back sales lost to domestic rivals.At this week’s Auto Shanghai, the largest global industry show of its kind, foreign firms — in particular legacy German ones — pitched dozens of electric, high-tech models made “in China for China”. Volkswagen, the largest foreign automaker operating in the country, announced that by 2027 it would release more than 20 new cars for the local market. “There is still a huge opportunity for the German brands to make a comeback, but with each day without a truly tech-defined car (like Chinese rivals) it seems unlikely,” EV specialist Elliot Richards told AFP. Volkswagen entered the Chinese market through a joint venture when it first opened up, swiftly taking the lion’s share. Forty years later though, dozens of ultra-competitive homegrown car brands have blossomed. The Chinese government’s strategic support for the EV and hybrid sector has seen many domestic firms become world leaders in that area. BYD, Geely, Dongfeng and others took 65 percent of the local market in 2024, up 22.2 percent year-on-year, data from MarkLines shows. German brands’ share decreased by 10.8 percent in the same year. Other European brands like Renault still manufacture some cars in China, but have withdrawn from the local market. For those still in the game, holding ground in China is essential, as Europe’s market weakens and US President Donald Trump complicates access to the United States with his tariff policy.- ‘Turning a big ship’ -“Decades ago, it was very easy to develop, to produce one standard, and to provide it globally,” Volkswagen CEO Oliver Blume said at Auto Shanghai. “Today it’s impossible.”To adapt to an increasingly sophisticated and monied Chinese consumer base, firms have employed a variety of tactics. “German carmakers have invested heavily into their competitiveness in order to catch up with Chinese brands in the areas of electrification, intelligent vehicles and market responsiveness,” European Chamber Vice President Stefan Bernhart told AFP. Volkswagen works closely with domestic giants FAW, SAIC and JAC, and recently added Xpeng, a startup known for its tech proficiency, to its list of partners. Stellantis produces cars in China notably through its alliance with Leapmotor, another Chinese startup. Brands are also boosting local research and development staffing and investment, and increasing their output to what Volkswagen calls “China Speed”. Even as it considers layoffs in Europe, Volkswagen has reinforced its development capacity in China, planning to release its new models in 18 months and save 40 percent of the costs. “Turning a big ship around takes effort, commitment, and also some sacrifices,” Brian Gu, XPeng’s co-president, told AFP. “But I see they’re very committed to change.”- Mercedes versus Nio -Until 2023, luxury European behemoths like Mercedes and BMW could still count on the fact their cars were seen as status symbols, according to consultancy Inovev. Their sales slipped last year though, as the prestige of local brands like Nio and individual models like Xiaomi’s SU7 has risen. At Auto Shanghai, Mercedes presented a long version of its new electric star, the CLA, as well as a luxury minivan aimed at the rich Chinese leisure set. CEO Ola Kallenius was bullish about prospects in what he called the “world’s most competitive market”. He pointed to features targeted at local customers, including an advanced driver assistance system, as well as giant screens, as Chinese drivers “use (their car) as an entertainment space”. Porsche is also betting on its cachet — announcing this week it will concentrate on higher value sales rather than volume. However, with Chinese competitors slashing prices but not quality, consumers are no longer as willing to pay a premium for Western brands, according to Inovev.  “The name of the game is value,” said Tu Le, founder of Sino Auto Insights. “Chinese consumers between the age of 30 and 45 are going into showrooms, looking at Mercedes, looking at Nio, and buying that Nio instead.” But EV specialist Richards warned against complete gloom: “Nothing is certain in the automotive space, especially in China, and everything is still up for grabs.”Â