Moose meat and antlers caused Alaska plane crash: report

Too much moose meat and a set of antlers strapped to a wing brought a small plane down in Alaska, killing its pilot, according to a crash report published this week.Eugene Peltola died hours after his aircraft — carrying over 500 pounds (225 kilograms) of moose meat — plunged into mountains near St Mary’s in southwest Alaska in September 2023.A report released Tuesday by the US National Transportation Safety Board found the hefty meat cargo meant the plane was more than 100 pounds over its takeoff weight when it left a remote airstrip in the Yukon Delta National Wildlife Refuge. The presence of a pair of moose antlers on the right wing strut of the plane — a common practice in Alaska — would likely have made flight even trickier, the report said, because of their effect on aerodynamics.Clint Johnson, the Alaska Region Chief for NTSB, was cited by local media as saying there were three main factors that contributed to the crash of the Piper PA 18-150 Super Cub.”Number one was, obviously, the overweight condition — no ifs, ands, or buts there,” he said, according to the website Alaskanewssource.com.”The parasitic drag from the antlers that were attached to the right wing, and then also the last thing would be the wind, the mechanical wind turbulence at the end of the takeoff area, which unfortunately, led to this accident.”If you would have been able to take one of those items out, we probably wouldn’t be having this conversation. But those things all in combination led to this tragic accident.”Peltola was the husband of former US Representative Mary Peltola, the first Alaska Native to sit in Congress.The Democrat beat former Alaska Governor Sarah Palin in a 2022 special election, but lost her re-election bid in November last year.

Les résultats de Tesla en recul au 2e trimestre après une baisse de ses ventes

Le spécialiste des véhicules électriques Tesla a annoncé mercredi une baisse de 16% de son bénéfice net au deuxième trimestre, affecté par un repli des ventes de véhicules dans un contexte de concurrence accrue et de conséquences de l’implication de son patron Elon Musk dans la sphère politique américaine.Entre avril et juin, le groupe automobile américain a engrangé un chiffre d’affaires de 22,50 milliards de dollars (-12% sur un an) et un bénéfice net de 1,17 milliard, inférieur aux attentes du consensus des analystes de FactSet (1,40 milliard).Rapporté par action et hors éléments exceptionnels – valeur de référence pour les marchés -, le bénéfice net ressort à 40 cents, soit un recul de 23% sur un an. Mais il correspond exactement au consensus.Dans son communiqué, le groupe d’Austin (Texas) précise avoir commencé en juin à fabriquer les premiers exemplaires d’un modèle à bas coût – très attendu, mais dont aucun détail n’a filtré -, et dont la production à grande échelle devrait débuter au second semestre de l’année.Son semi-remorque – baptisé Semi – et son robotaxi Cybercab – véhicule sans conducteur destiné à des services de taxi – devraient, eux, commencer à sortir des chaînes de production en 2026, a précisé Tesla, qui a lancé un service de robotaxi à Austin en juin avec quelques Model Y.Le groupe, et surtout Elon Musk, étaient attendus au tournant car Tesla doit négocier un virage crucial pour son existence lié à la conduite autonome et à l’intelligence artificielle.Sur ce point, Tesla évoque mercredi une “accélération au fil du temps des revenus générés par l’IA, les logiciels et liés aux flottes”.Dans les échanges électroniques après la fermeture de la Bourse de New York, l’action Tesla cédait 0,20%.- Pressions -“Musk a bien évidemment conscience des prix et des pressions sur la marge” des ventes automobiles “et pivote vers des technologies croissantes comme la robotique et l’intelligence artificielle”, notait Nancy Tegler, directrice générale de Laffer Tengler Investments, en amont de l’annonce des résultats.”Pour les investisseurs, la grande priorité, ce sont les initiatives en matière d’IA (…) et les marchés sont fermement à l’affût de toute indication concernant l’investissement de Tesla dans xAi”, relevaient de leur côté les analystes de Wedbush.Le start-up xAI est l’une des autres sociétés contrôlées par l’homme le plus riche de la planète, spécialisée dans l’intelligence artificielle et qui a récemment absorbé le réseau social X, qui lui appartient également.Elon Musk a indiqué mi-juillet que Tesla allait soumettre à ses actionnaires, réunis en Assemblée générale le 6 novembre, un projet d’investissement au capital de xAI.Selon le Wall Street Journal, une autre entreprise contrôlée par Elon Musk, SpaceX, va injecter 2 milliards de dollars dans xAI, dans le cadre d’une augmentation de capital de 5 milliards.Pour Wedbush – qui estime depuis plusieurs mois que l’autonomie à elle seule représente environ 1.000 milliards de dollars de valorisation pour Tesla -, le groupe doit mener “un certain nombre d’autres missions cruciales” comme, notamment, son robot humanoïde Optimus.Le milliardaire affirmait en avril qu’une production pilote d’Optimus allait commencer courant 2025, avec l’objectif d’en produire un million par an d’ici cinq ans. Le robot devrait travailler sur les chaînes d’assemblage de Tesla dès cet automne.- Croisée des chemins -Le groupe automobile arrive à ce carrefour de son  développement au moment où ses ventes de véhicules sont à la peine.Il souffre notamment d’un manque de renouvellement de sa gamme, d’une concurrence accrue notamment en Chine – un marché très important pour Tesla -, des conséquences de la proximité d’Elon Musk avec le président Donald Trump ou encore d’un ralentissement sur le marché des véhicules électriques.La suppression du crédit d’impôt de 7.500 dollars aux Etats-Unis prévue au 30 septembre, en parallèle de la disparition progressive d’autres mesures de l’ère du précédent président Joe Biden pour faciliter la transition électrique, devrait stimuler un peu les ventes d’ici là, mais leur asséner ensuite un coup de frein, anticipent des experts.Plusieurs d’entre eux ont souligné un “rebond” des ventes, en particulier en Chine, en juin grâce au lancement d’une version modernisée de la Model Y, dernier modèle grand public du groupe commercialisé en 2020.Depuis, seul le pick-up futuriste Cybertruck a fait son entrée dans le catalogue de Tesla, qui ne communique pas de chiffre de ventes spécifiques mais il ne semble pas séduire autant qu’escompté. Bien moins de 10.000 exemplaires seraient écoulés chaque mois, selon les estimations.Tesla a connu, au deuxième trimestre, une baisse de ses ventes mondiales pour le second trimestre consécutif: il a livré 384.122 véhicules (-13,5% sur un an, -13% par rapport au premier trimestre), selon des chiffres publiés début juillet.Côté production, les usines Tesla ont maintenu le même niveau qu’un an plus tôt avec 410.244 véhicules sortis des chaînes d’assemblage.

Les résultats de Tesla en recul au 2e trimestre après une baisse de ses ventes

Le spécialiste des véhicules électriques Tesla a annoncé mercredi une baisse de 16% de son bénéfice net au deuxième trimestre, affecté par un repli des ventes de véhicules dans un contexte de concurrence accrue et de conséquences de l’implication de son patron Elon Musk dans la sphère politique américaine.Entre avril et juin, le groupe automobile américain a engrangé un chiffre d’affaires de 22,50 milliards de dollars (-12% sur un an) et un bénéfice net de 1,17 milliard, inférieur aux attentes du consensus des analystes de FactSet (1,40 milliard).Rapporté par action et hors éléments exceptionnels – valeur de référence pour les marchés -, le bénéfice net ressort à 40 cents, soit un recul de 23% sur un an. Mais il correspond exactement au consensus.Dans son communiqué, le groupe d’Austin (Texas) précise avoir commencé en juin à fabriquer les premiers exemplaires d’un modèle à bas coût – très attendu, mais dont aucun détail n’a filtré -, et dont la production à grande échelle devrait débuter au second semestre de l’année.Son semi-remorque – baptisé Semi – et son robotaxi Cybercab – véhicule sans conducteur destiné à des services de taxi – devraient, eux, commencer à sortir des chaînes de production en 2026, a précisé Tesla, qui a lancé un service de robotaxi à Austin en juin avec quelques Model Y.Le groupe, et surtout Elon Musk, étaient attendus au tournant car Tesla doit négocier un virage crucial pour son existence lié à la conduite autonome et à l’intelligence artificielle.Sur ce point, Tesla évoque mercredi une “accélération au fil du temps des revenus générés par l’IA, les logiciels et liés aux flottes”.Dans les échanges électroniques après la fermeture de la Bourse de New York, l’action Tesla cédait 0,20%.- Pressions -“Musk a bien évidemment conscience des prix et des pressions sur la marge” des ventes automobiles “et pivote vers des technologies croissantes comme la robotique et l’intelligence artificielle”, notait Nancy Tegler, directrice générale de Laffer Tengler Investments, en amont de l’annonce des résultats.”Pour les investisseurs, la grande priorité, ce sont les initiatives en matière d’IA (…) et les marchés sont fermement à l’affût de toute indication concernant l’investissement de Tesla dans xAi”, relevaient de leur côté les analystes de Wedbush.Le start-up xAI est l’une des autres sociétés contrôlées par l’homme le plus riche de la planète, spécialisée dans l’intelligence artificielle et qui a récemment absorbé le réseau social X, qui lui appartient également.Elon Musk a indiqué mi-juillet que Tesla allait soumettre à ses actionnaires, réunis en Assemblée générale le 6 novembre, un projet d’investissement au capital de xAI.Selon le Wall Street Journal, une autre entreprise contrôlée par Elon Musk, SpaceX, va injecter 2 milliards de dollars dans xAI, dans le cadre d’une augmentation de capital de 5 milliards.Pour Wedbush – qui estime depuis plusieurs mois que l’autonomie à elle seule représente environ 1.000 milliards de dollars de valorisation pour Tesla -, le groupe doit mener “un certain nombre d’autres missions cruciales” comme, notamment, son robot humanoïde Optimus.Le milliardaire affirmait en avril qu’une production pilote d’Optimus allait commencer courant 2025, avec l’objectif d’en produire un million par an d’ici cinq ans. Le robot devrait travailler sur les chaînes d’assemblage de Tesla dès cet automne.- Croisée des chemins -Le groupe automobile arrive à ce carrefour de son  développement au moment où ses ventes de véhicules sont à la peine.Il souffre notamment d’un manque de renouvellement de sa gamme, d’une concurrence accrue notamment en Chine – un marché très important pour Tesla -, des conséquences de la proximité d’Elon Musk avec le président Donald Trump ou encore d’un ralentissement sur le marché des véhicules électriques.La suppression du crédit d’impôt de 7.500 dollars aux Etats-Unis prévue au 30 septembre, en parallèle de la disparition progressive d’autres mesures de l’ère du précédent président Joe Biden pour faciliter la transition électrique, devrait stimuler un peu les ventes d’ici là, mais leur asséner ensuite un coup de frein, anticipent des experts.Plusieurs d’entre eux ont souligné un “rebond” des ventes, en particulier en Chine, en juin grâce au lancement d’une version modernisée de la Model Y, dernier modèle grand public du groupe commercialisé en 2020.Depuis, seul le pick-up futuriste Cybertruck a fait son entrée dans le catalogue de Tesla, qui ne communique pas de chiffre de ventes spécifiques mais il ne semble pas séduire autant qu’escompté. Bien moins de 10.000 exemplaires seraient écoulés chaque mois, selon les estimations.Tesla a connu, au deuxième trimestre, une baisse de ses ventes mondiales pour le second trimestre consécutif: il a livré 384.122 véhicules (-13,5% sur un an, -13% par rapport au premier trimestre), selon des chiffres publiés début juillet.Côté production, les usines Tesla ont maintenu le même niveau qu’un an plus tôt avec 410.244 véhicules sortis des chaînes d’assemblage.

Stigma haunts Gambians accused in state witch purge: studyWed, 23 Jul 2025 21:41:12 GMT

The years have passed but the stigma remains for Gambians accused of being witches, who were detained more than a decade ago under the abusive dictatorship of Yahya Jammeh, research published Wednesday revealed.Hundreds of people, many of them elderly women, were targeted under the eccentric west African dictator’s 2008-2009 purge on witchcraft.The victims were taken …

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Russes et Ukrainiens s’accordent sur un échange de prisonniers et constatent l'”éloignement” de leurs positions

Russes et Ukrainiens ont conclu mercredi soir une troisième session de négociations directes à Istanbul en constatant l'”éloignement” de leurs positions pour mettre fin à la guerre déclenchée en 2022 et ne s’accordant au final que sur un nouvel échange de prisonniers.Après à peine une heure de discussions au palais de Çiragan, les négociateurs ont constaté que leurs “positions” respectives étaient “assez éloignées les unes des autres,” a dit Vladimir Medinski, le chef de la délégation russe, lors d’une déclaration à la presse.Dans la journée, le Kremlin avait déjà douché les espoirs d’avancées pour mettre fin au conflit lancé en février 2022 par Moscou chez son voisin et qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés. “Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, avait ainsi indiqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Seule mesure concrète: les négociateurs se sont mis d’accord pour un nouvel échange de 1.200 prisonniers de chaque côté, selon Vladimir Medinski, comme cela a déjà été le cas à plusieurs reprises.Moscou a également proposé à Kiev de lui remettre 3.000 corps de soldats ukrainiens, ainsi que des trêves de “24 à 48 heures” sur le front pour que les deux armées puissent récupérer leurs tués et leurs blessés, a poursuivi M. Medinski.L’Ukraine a de son côté suggéré une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky d’ici la fin du mois d’août, potentiellement en présence des présidents américain et turc, selon le négociateur de Kiev Roustem Oumerov.- “Mémorandums” et échanges de prisonniers -En préambule à ces négociations, une source au sein de la délégation envoyée par Kiev avait dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.Ces pourparlers directs intervenaient une nouvelle fois à la suite de pressions exercées par le président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est) où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Comme mercredi soir, les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers devaient porter principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Kiev voulait de son côté se focaliser sur un nouvel échange de prisonniers, le rapatriement des enfants ukrainiens emmenés en Russie et la préparation d’une rencontre Poutine-Zelensky.Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.- Pression de Trump -L’Ukraine réclame aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent.Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air. Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens et plusieurs dizaines au cours de la journée, lancés contre la Russie. Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter, sans grands résultats, d’arrêter la guerre.Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie et a affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.Washington a justement annoncé mercredi soir (en Europe) avoir approuvé une vente d’armements à l’Ukraine visant notamment à renforcer sa défense antiaérienne, pour un montant de 322 millions de dollars.au de

Russes et Ukrainiens s’accordent sur un échange de prisonniers et constatent l'”éloignement” de leurs positions

Russes et Ukrainiens ont conclu mercredi soir une troisième session de négociations directes à Istanbul en constatant l'”éloignement” de leurs positions pour mettre fin à la guerre déclenchée en 2022 et ne s’accordant au final que sur un nouvel échange de prisonniers.Après à peine une heure de discussions au palais de Çiragan, les négociateurs ont constaté que leurs “positions” respectives étaient “assez éloignées les unes des autres,” a dit Vladimir Medinski, le chef de la délégation russe, lors d’une déclaration à la presse.Dans la journée, le Kremlin avait déjà douché les espoirs d’avancées pour mettre fin au conflit lancé en février 2022 par Moscou chez son voisin et qui a fait des dizaines de milliers de morts et de blessés. “Personne ne s’attend à un chemin facile. Bien entendu, ce sera une discussion très compliquée”, avait ainsi indiqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, répétant que les propositions des belligérants pour arrêter le conflit étaient “diamétralement opposées”.Seule mesure concrète: les négociateurs se sont mis d’accord pour un nouvel échange de 1.200 prisonniers de chaque côté, selon Vladimir Medinski, comme cela a déjà été le cas à plusieurs reprises.Moscou a également proposé à Kiev de lui remettre 3.000 corps de soldats ukrainiens, ainsi que des trêves de “24 à 48 heures” sur le front pour que les deux armées puissent récupérer leurs tués et leurs blessés, a poursuivi M. Medinski.L’Ukraine a de son côté suggéré une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky d’ici la fin du mois d’août, potentiellement en présence des présidents américain et turc, selon le négociateur de Kiev Roustem Oumerov.- “Mémorandums” et échanges de prisonniers -En préambule à ces négociations, une source au sein de la délégation envoyée par Kiev avait dit à l’AFP espérer une “position constructive” de la Russie et qu’elle renonce à “ses ultimatums”.Ces pourparlers directs intervenaient une nouvelle fois à la suite de pressions exercées par le président américain Donald Trump qui a donné à Moscou, mi-juillet, 50 jours pour parvenir à un accord avec l’Ukraine, sous peine de sanctions sévères.Kiev et ses alliés occidentaux accusent le Kremlin de bloquer les négociations en maintenant des demandes maximalistes, tandis que l’armée russe, plus nombreuse et mieux équipée, poursuit ses attaques sur le front, où elle grignote chaque jour du terrain.Mercredi, le ministère russe de la Défense a ainsi revendiqué la conquête d’un nouveau village, Varatchyné, dans la région ukrainienne de Soumy (nord-est) où, au cours de la nuit, des frappes de drones russes ont entraîné des coupures d’électricité chez plus de 220.000 clients, selon M. Zelensky.  Les positions des deux camps semblent actuellement irréconciliables. Comme mercredi soir, les discussions à Istanbul de mai et juin n’avaient débouché que sur des accords d’échanges de prisonniers et de corps de soldats tués.Selon le porte-parole de la présidence russe Dmitri Peskov, les pourparlers devaient porter principalement sur les “mémorandums” échangés en juin par les deux camps et comprenant leurs propositions de paix.Kiev voulait de son côté se focaliser sur un nouvel échange de prisonniers, le rapatriement des enfants ukrainiens emmenés en Russie et la préparation d’une rencontre Poutine-Zelensky.Moscou réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées de l’est et du sud de son territoire, en plus de la Crimée annexée en 2014, renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.Des conditions inacceptables pour Kiev, qui veut le retrait des troupes russes et des garanties de sécurité occidentales dont la poursuite des livraisons d’armes et le déploiement d’un contingent européen, ce à quoi s’oppose la Russie.- Pression de Trump -L’Ukraine réclame aussi, de concert avec ses alliés européens, un cessez-le-feu de 30 jours, auquel se refusent les Russes, dont les forces ont l’avantage sur le terrain.Sur le terrain, les opérations militaires se poursuivent.Dans la nuit, 71 drones russes ont visé l’Ukraine, selon l’armée de l’air. Trois personnes ont été tuées dans la région de Kherson (sud), d’après les autorités locales qui ont également fait état de neuf blessés.Pour sa part, l’armée russe a affirmé avoir neutralisé pendant la nuit 33 drones ukrainiens et plusieurs dizaines au cours de la journée, lancés contre la Russie. Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a quant à lui repris le contact avec Moscou pour tenter, sans grands résultats, d’arrêter la guerre.Ces dernières semaines, le président américain a exprimé sa frustration à l’égard de la Russie et a affirmé que des équipements militaires américains, payés par des Etats européens membres de l’Otan, seraient envoyés à l’Ukraine.Washington a justement annoncé mercredi soir (en Europe) avoir approuvé une vente d’armements à l’Ukraine visant notamment à renforcer sa défense antiaérienne, pour un montant de 322 millions de dollars.au de

US judges order Abrego Garcia release, block immediate deportation

A Salvadoran man who was wrongly deported and then returned to the United States to face human smuggling charges should be released pending trial and not be immediately taken into immigration custody, federal judges said Wednesday.Kilmar Armando Abrego Garcia was summarily deported in March along with more than 200 other people to a prison in El Salvador as part of US President Donald Trump’s crackdown on migrants.His case has become a key test of Trump’s hardline immigration policies.Most of those sent to El Salvador were alleged members of the Venezuelan gang Tren de Aragua, which the Trump administration has designated a foreign terrorist organization.Justice Department lawyers later admitted that Abrego Garcia — a resident of Maryland who is married to a US citizen — was wrongly deported due to an “administrative error.”Abrego Garcia had been living in the United States under protected legal status since 2019, when a judge ruled he should not be deported because he could be harmed in his home country.He was returned to the United States in June and immediately arrested on human smuggling charges in the southern state of Tennessee.Abrego Garcia’s release pending trial has been repeatedly delayed at the request of his lawyers amid fears he would be picked up by US Immigration and Customs Enforcement (ICE) and deported again.District Judge Waverly Crenshaw in Tennessee ordered Abrego Garcia’s release on bail on Wednesday ahead of his January 27 trial date, and a district judge in Maryland simultaneously blocked ICE from immediately taking him into custody.District Judge Paula Xinis said Abrego Garcia should be brought back to Maryland and ordered the administration to provide at least three days notice before attempting to deport him again.Tricia McLaughlin, a spokeswoman for the Department of Homeland Security, criticized the ruling.”The fact this unhinged judge is trying to tell ICE they can’t arrest (Abrego Garcia)… under federal law is LAWLESS AND INSANE,” McLaughlin said on X.It was not immediately clear when Abrego Garcia would be released.Federal prosecutors have opposed his release and warned that he may be deported once again if he is released from custody.Abrego Garcia is charged in Nashville, Tennessee, with smuggling undocumented migrants around the United States between 2016 and 2025. He has pleaded not guilty.

Stock markets advance after Japan-US trade deal

Stock markets rose on Wednesday after Japan and the United States hammered out a trade deal that included lowering President Donald Trump’s tariffs on Japan’s crucial car sector.Investors were also cheered by news that Washington had reached agreements with Indonesia and the Philippines, stoking optimism that more countries will follow suit before Trump’s August 1 deadline.”News of a trade agreement between the US and Japan is fostering optimism among investors that further deals might be reached before punishing tariffs come into force,” said AJ Bell investment director Russ Mould.Wall Street pushed higher, with the Dow rising more than one percent and the S&P 500 and Nasdaq both powering to fresh all-time closing records.In Europe, London’s FTSE 100 ended the day up 0.4 percent, after hitting another record high at the open.Paris piled on 1.4 percent and Frankfurt also advanced, tracking gains in Asia.Tokyo surged over three percent after the US president announced a deal lowering tariffs on some Japanese goods to 15 percent, down from the threatened 25 percent.The deal will also reduce tolls on autos — a sector accounting for eight percent of Japanese jobs — to 15 percent, compared with 25 percent for other countries.In return, Japan pledged to invest $550 billion in the United States, Trump said on social media.Shares in carmaker Toyota rocketed higher by more than 14 percent, Mitsubishi 13 percent and Nissan eight percent. European carmakers also rallied, Stellantis jumping around nine percent in Paris.Shares in German automakers BMW, Mercedes Benz, Porsche and Volkswagen all rose more than four percent.The deal is providing optimism that other countries can “seal good deals if they pledge investment into the US”, said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.Trump also hailed an agreement with Manila to lower levies on Philippine goods by one percentage point to 19 percent, while tariffs on Indonesia were slashed from 32 percent to 19 percent.Shares in Manila and Jakarta rallied.The announcements boosted hopes of other deals before next Friday’s deadline, though talks with the European Union and South Korea remain unresolved.US Treasury Secretary Scott Bessent said Wednesday that Washington was making progress on tariff negotiations with the European Union, with talks planned later in the day between the bloc’s top trade negotiator and his American counterpart.Japan’s 10-year government bond yield soared to the highest since 2008 after media speculation that Prime Minister Shigeru Ishiba would resign after a weekend election debacle. He denied the reports.Elsewhere in Asia, Hong Kong hit its highest level since late 2021, while Shanghai was flat.- Key figures at around 2055 GMT -New York – Dow: UP 1.1 percent at 45,010.29 (close)New York – S&P 500: UP 0.8 percent at 6,358.91 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.6 percent at 21,020.02 (close)London – FTSE 100: UP 0.4 percent at 9,061.49 (close)Paris – CAC 40: UP 1.4 percent at 7,850.43 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.8 percent at 24,240.82 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 3.5 percent at 41,171.32 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 25,538.07 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,582.30 (close)Dollar/yen: DOWN at 146.47 yen from 146.63 yen on TuesdayEuro/dollar: UP at $1.1777 from $1.1754Pound/dollar: UP at $1.3579 from $1.3533Euro/pound: DOWN at 86.68 pence from 86.85 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.1 percent at $65.25 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.1 percent at $68.61 per barrelburs-jmb/des

Tesla reports 16% profit drop to $1.2 bn on lower auto sales

Tesla reported another drop in quarterly profits Wednesday on lower auto sales amid intensifying electric vehicle competition and lingering backlash over CEO Elon Musk’s involvement in US politics.Tesla reported second-quarter profits of $1.2 billion, down 16 percent from the year-ago level. The company in a press release emphasized ongoing efforts to lead in artificial intelligence and robotics.Revenues fell 12 percent to $22.5 billion.Lower profits had been expected after Tesla earlier this month disclosed a decline in auto deliveries. Results were also impacted by a fall in average vehicle selling prices and higher operating expenses driven by AI and other research and development projects.Tesla did not offer an outlook on full-year vehicle production, citing shifting global trade and fiscal policies.”While we are making prudent investments that will set up both our vehicle and energy businesses for growth, the actual results will depend on a variety of factors, including the broader macroeconomic environment, the rate of acceleration of our autonomy efforts and production ramp at our factories,” Tesla said.The results come on the heels of Tesla’s launch last month of a robotaxi service in the Texas capital Austin, Musk’s first fully autonomous offering after pushing back the timeframe many times.Musk has heavily touted Tesla’s autonomous driving program, as well as the company’s “Optimus” humanoid robot, which employs artificial intelligence technology.But analysts have criticized Tesla’s sluggishness in unveiling new autos, while questioning Musk’s commitment to an earlier goal of launching a state-of-the-art electric vehicle priced at around $25,000 to bolster the odds of mass deployment.In Wednesday’s press release, Tesla said “we continue to expand our vehicle offering, including first builds of a more affordable model in June, with volume production planned for the second half of 2025.”Tesla has revamped its Model Y auto. That vehicle currently starts at $37,490, although the price will rise after a $7,500 federal tax credit goes away following passage of President Donald Trump’s massive tax and fiscal package earlier this month.The worsening near-term outlook for EV sales is one reason analysts at JPMorgan Chase call Tesla’s stock price “completely divorced from increasingly deteriorating fundamentals.”But analysts at Morgan Stanley rate the company a “top pick” in light of its leadership in robotics and artificial intelligence, although a recent note warned Musk’s political activity “may add further near-term pressure” to shares.- Political controversies -Disagreements over Trump’s fiscal package has been a factor in Musk’s recurring feud with the president.The billionaire donated huge sums to Trump’s successful 2024 presidential campaign and then joined the administration to lead the “Department of Government Efficiency,” which cut thousands of government jobs, sparking boycotts and vandalism that tarnished the Tesla brand.After their bitter falling out, Musk warned Trump’s legislation would bankrupt the country. On July 5 the tech mogul announced he was launching a new political party in the United States, the “America Party.”Trump dismissed the launch as “ridiculous,” and has also threatened to look at deporting Musk and to revoking his government contracts.Shares of Tesla dipped 0.4 percent in after-hours trading.