Incendies en Espagne: le Premier ministre veut un “pacte national face à l’urgence climatique”

Faire fi des “luttes partisanes et des questions idéologiques” et se “concentrer sur les preuves scientifiques”: devant l’ampleur de la dévastation causée par les incendies en Espagne, le Premier ministre Pedro Sánchez a annoncé dimanche “un pacte national face à l’urgence climatique”.Il s’agira d'”atténuer les effets du changement climatique et de s’y adapter”, a-t-il expliqué lors de sa visite du centre de coordination des incendies à Ourense, en Galice (pointe nord-ouest), une des régions les plus touchés par les feux de forêt cet été. Il a promis d’avoir les bases de ce “pacte” en septembre.”Avoir des incendies de cette ampleur, avoir des +Dana+ (nom du phénomène météorologique qui avait donné lieu aux inondations meurtrières qui ont touché la région de Valence fin octobre 2024, NDLR) comme nous en vivons en automne ou en hiver, montre que l’urgence climatique qui touche le monde s’accélère, s’aggrave, surtout dans la péninsule ibérique”.”Les incendies seront éteints, la reconstruction de toutes les zones touchées sera abordée, mais je crois que nous devons également mener une réflexion de fond, une stratégie qui anticipe une meilleure réponse”, assurant vouloir “faire tout ce qui est possible et encore davantage” pour que les victimes des incendies retrouvent “une vie normale”.”Face à l’aggravation et l’accélération des effets du changement climatique dans notre pays”, le dirigeant socialiste a considéré que ce pacte viendrait concerner “toutes les administrations publiques, mais pas seulement. Les groupes parlementaires, l’ensemble de la société civile, la science, les entreprises, les syndicats, en définitive, l’ensemble du pays”.Ce pacte fournirait les “ressources aux agents publics, aux fonctionnaires, non seulement lorsque l’incendie a lieu, mais aussi en amont, afin qu’ils puissent répondre de manière beaucoup plus efficace”.”La réponse aux incendies qui ravagent l’Espagne est là”, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse.- Incendies politiques -Les incendies ont été au coeur du débat politique de ces derniers jours dans un pays où leur gestion revient en premier lieu aux régions, mais où l’Etat central peut être sollicité et intervenir quand la situation s’aggrave.Les deux principaux partis n’ont cessé de se critiquer, estimant manquer de moyens et d’autres de ne pas les avoir réclamés.Les présidents régionaux de Galice, de Castille-et-León et d’Extrémadure – les trois régions les plus ravagées par le feu – tous du Parti Populaire (PP, conservateur), ont réclamé au gouvernement des renforts supplémentaires, avec l’envoi de plus de militaires.Une centaines de soldats de la Marine ont été appelés à la rescousse pour venir soutenir l’Unité militaire d’urgence dans le nord ouest du pays, a annoncé le ministère de la Défense dans un communiqué.Plus de 70.000 hectares ont brûlé en Espagne ces derniers jours et plus de 157.000 depuis le début de l’année, selon le Système européen d’information sur les incendies de forêt (EFFIS), des chiffres en hausse constante.Selon les derniers chiffres des autorités galiciennes, la région a vu 51.000 hectares partir en fumée.C’est dans cette zone que la Garde civile a secouru dimanche une personne qui tentait avec son tracteur de creuser une tranchée coupe-feu et s’était retrouvée encerclée par les flammes. Sur les images diffusées sur le réseau social X par le ministère de l’Intérieur, qui dit avoir “évité une tragédie”, on aperçoit un bombardier larguer de l’eau sur un engin émergeant à peine de la fumée.Pedro Sánchez doit ensuite se rendre en Castille-et-León, région endeuillée par le décès de deux jeunes volontaires trentenaires morts en tentant d’éteindre les incendies.Plusieurs milliers de personnes restent évacuées là-bas, selon les secours et les autorités de Castille-et-León ont mis en garde dimanche contre les “niveaux élevés de particules” dans l’air, “conséquence directe des émissions causées par les nombreux incendies”.L’agence météorologique Aemet a fait état de “températures extraordinairement élevées” et d’un “danger d’incendie extrême dans la majeure partie du pays”.Sur X, l’agence a posté des images satellites montrant la “fumée des incendies du nord-ouest de la Péninsule et la poussière en suspension provenant du désert (…) laissant une couleur blanchâtre dans le ciel”.

Ukraine: les dirigeants européens aux côtés de Zelensky lundi à la Maison Blanche

Tous à Washington: après le sommet Trump-Poutine en Alaska qui n’a débouché sur aucune annonce, les dirigeants européens font bloc autour du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qu’ils accompagneront lundi à la Maison Blanche.Cette décision a été annoncée dimanche peu avant une visioconférence de la “coalition des volontaires”, qui rassemble les soutiens de Kiev, visant à examiner ce que pourraient être les contours d’un éventuel accord de paix entre l’Ukraine et la Russie.La rencontre de Washington sera une première depuis le début de l’invasion russe, en février 2022. Le président français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, le président finlandais, Alexander Stubb, et le chef de l’Otan, Mark Rutte, ont confirmé leur présence.”Je suis très heureuse de pouvoir vous accompagner demain”, a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui sera également présente dans la capitale fédérale américaine, lors d’un point de presse à Bruxelles avec Volodymyr Zelensky.Le dirigeant ukrainien, qui s’est réjoui de cette “unité” européenne, a souligné qu’il ne savait “pas exactement” de quoi MM. Poutine et Trump avaient parlé en Alaska.”Ce que le président Trump nous a dit à propos des garanties de sécurité est bien plus important, pour moi, que les réflexions de Poutine”, a-t-il ajouté juste avant le début d’une réunion en visioconférence de la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.La question des garanties de sécurité devrait occuper une place centrale dans cette réunion. “Nous saluons la volonté du président Trump de fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, similaires à l’article 5”, a souligné Ursula von der Leyen.- Pas de cessez-le-feu en vue -Ces initiatives diplomatiques interviennent après un sommet à Anchorage (nord-ouest des Etats-Unis) entre le président américain, Donald Trump, et son homologue russe, Vladimir Poutine, n’ayant débouché, comme un temps espéré par le républicain américain, sur un accord de cessez-le-feu.Le président Zelensky et ses alliés européens étaient en faveur d’un cessez-le-feu préalable mais Donald Trump a dit préféré accord global, tout en restant très évasif sur son contenu.En rentrant d’Alaska, il a évoqué une garantie de sécurité pour Kiev similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.Le président américain soutient aussi une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques samedi entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.M. Zelensky a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la Constitution ukrainienne.Samedi, il s’est dit “reconnaissant de l’invitation” à la Maison Blanche, tout en prévenant que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Sommet tripartite? -Donald Trump a aussi laissé entrevoir un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président, JD Vance, dans le Bureau ovale, une scène télévisée qui avait stupéfié le monde.Une telle rencontre doit avoir lieu “aussi rapidement que possible”, a martelé Ursula von der Leyen dimanche.Mais le président ukrainien a fait part de son pessimisme: “A ce stade, il n’y a aucune indication de la part de la Russie que le sommet tripartite aura lieu”.Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien, notamment la quasi-totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.Sur le terrain, les hostilités continuent. Kiev et Moscou se sont mutuellement attaqués avec des drones dans la nuit de samedi à dimanche, faisant plusieurs morts.

Ukraine: les dirigeants européens aux côtés de Zelensky lundi à la Maison Blanche

Tous à Washington: après le sommet Trump-Poutine en Alaska qui n’a débouché sur aucune annonce, les dirigeants européens font bloc autour du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, qu’ils accompagneront lundi à la Maison Blanche.Cette décision a été annoncée dimanche peu avant une visioconférence de la “coalition des volontaires”, qui rassemble les soutiens de Kiev, visant à examiner ce que pourraient être les contours d’un éventuel accord de paix entre l’Ukraine et la Russie.La rencontre de Washington sera une première depuis le début de l’invasion russe, en février 2022. Le président français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand Friedrich Merz, la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, le président finlandais, Alexander Stubb, et le chef de l’Otan, Mark Rutte, ont confirmé leur présence.”Je suis très heureuse de pouvoir vous accompagner demain”, a déclaré la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, qui sera également présente dans la capitale fédérale américaine, lors d’un point de presse à Bruxelles avec Volodymyr Zelensky.Le dirigeant ukrainien, qui s’est réjoui de cette “unité” européenne, a souligné qu’il ne savait “pas exactement” de quoi MM. Poutine et Trump avaient parlé en Alaska.”Ce que le président Trump nous a dit à propos des garanties de sécurité est bien plus important, pour moi, que les réflexions de Poutine”, a-t-il ajouté juste avant le début d’une réunion en visioconférence de la “coalition des volontaires” alliés de Kiev, qui regroupe la plupart des grands pays européens, l’UE, l’Otan, et des pays non-européens comme le Canada.La question des garanties de sécurité devrait occuper une place centrale dans cette réunion. “Nous saluons la volonté du président Trump de fournir des garanties de sécurité à l’Ukraine, similaires à l’article 5”, a souligné Ursula von der Leyen.- Pas de cessez-le-feu en vue -Ces initiatives diplomatiques interviennent après un sommet à Anchorage (nord-ouest des Etats-Unis) entre le président américain, Donald Trump, et son homologue russe, Vladimir Poutine, n’ayant débouché, comme un temps espéré par le républicain américain, sur un accord de cessez-le-feu.Le président Zelensky et ses alliés européens étaient en faveur d’un cessez-le-feu préalable mais Donald Trump a dit préféré accord global, tout en restant très évasif sur son contenu.En rentrant d’Alaska, il a évoqué une garantie de sécurité pour Kiev similaire à celle de l’article 5 de l’Otan, en dehors toutefois du cadre de l’Alliance atlantique, considérée par Moscou comme une menace existentielle à ses frontières.D’après la Première ministre italienne, Giorgia Meloni, il s’agirait de définir “une clause de sécurité collective qui permettrait à l’Ukraine d’obtenir le soutien de tous ses partenaires, y compris des Etats-Unis, prêts à agir dans le cas où elle serait à nouveau attaquée”.Le président américain soutient aussi une proposition de la Russie renforçant sa présence dans l’est de l’Ukraine, a indiqué à l’AFP un responsable au courant d’échanges téléphoniques samedi entre Donald Trump et des dirigeants européens.Selon cette source anonyme, le président russe “demande dans les faits que l’Ukraine quitte le Donbass” et cède donc totalement ce territoire rassemblant les régions de Donetsk et Lougansk dans l’est de l’Ukraine. Il propose par ailleurs un gel du front dans les régions de Kherson et Zaporijjia (sud).Quelques mois après avoir lancé son invasion de l’Ukraine, la Russie avait proclamé en septembre 2022 l’annexion de ces quatre régions ukrainiennes, même si ses troupes n’en contrôlent toujours aucune en totalité.M. Zelensky a jusqu’ici rejeté toute concession territoriale, disant avoir les mains liées par la Constitution ukrainienne.Samedi, il s’est dit “reconnaissant de l’invitation” à la Maison Blanche, tout en prévenant que le refus d’un cessez-le-feu par Moscou “compliqu(ait) la situation”.- Sommet tripartite? -Donald Trump a aussi laissé entrevoir un sommet tripartite avec MM. Poutine et Zelensky si “tout marche bien” lorsqu’il recevra le président ukrainien, six mois après l’avoir humilié avec son vice-président, JD Vance, dans le Bureau ovale, une scène télévisée qui avait stupéfié le monde.Une telle rencontre doit avoir lieu “aussi rapidement que possible”, a martelé Ursula von der Leyen dimanche.Mais le président ukrainien a fait part de son pessimisme: “A ce stade, il n’y a aucune indication de la part de la Russie que le sommet tripartite aura lieu”.Après trois ans et demi du conflit le plus sanglant en Europe depuis la Seconde guerre mondiale, l’armée russe occupe environ 20% du territoire ukrainien, notamment la quasi-totalité de la région de Lougansk et une grande partie de la région de Donetsk, où sa progression s’est accélérée récemment.Ce n’est pas le cas des régions de Zaporijjia et Kherson, dont les principaux centres urbains sont toujours sous contrôle ukrainien.Sur le terrain, les hostilités continuent. Kiev et Moscou se sont mutuellement attaqués avec des drones dans la nuit de samedi à dimanche, faisant plusieurs morts.

Naissance exceptionnelle d’un bébé gibbon à mains blanches dans la Sarthe

Un bébé gibbon à mains blanches est né fin juillet au zoo de Spay, dans la Sarthe, la seule naissance enregistrée en France en 2025 pour cette espèce menacée par la déforestation, souligne son responsable animalier, Maxime Thué.Le bébé primate, dont on ne connaîtra le sexe que dans quelques mois lorsqu’il commencera à se détacher de sa mère, est né le 24 juillet dernier.”C’est le premier petit du couple formé par Fidji et Pépito” et cette naissance est la première depuis dix ans dans le parc zoologique du Spay, près du Mans, explique Maxime Thué à l’AFP.”Surtout, c’est une naissance essentielle pour la préservation des espèces menacées. Le gibbon à mains blanches est classé en danger sur la liste rouge des espèces menacées à cause de la déforestation et du braconnage en Indonésie, en Malaisie”, poursuit le vétérinaire.L’équipe du zoo s’inquiétait de savoir comment Fidji, la femelle dont c’est le premier petit, allait prendre soin de son bébé. “Finalement on s’est rendu compte que c’était une très bonne mère, un peu maladroite des fois avec son bébé, mais qui s’occupe vraiment bien de celui-ci”, sourit-il, soulignant également le rôle du papa, Pépito, “très délicat avec lui”. “Le petit va rester accroché jusqu’à l’âge de trois quatre mois au ventre de la mère. Donc pour nous, c’est impossible de déterminer si c’est un mâle ou une femelle. Il va se détacher vers l’âge de trois ou quatre mois” et ne sera vraiment sevré qu’à l’âge de deux ans, explique M. Thué.Outre ce bébé gibbon, le Spaycific’Zoo a vu naître cette année un scinque des Îles Salomon (espèce de lézard géant quasi menacée d’extinction) une première pour un zoo français, trois marabouts d’Afrique, deux pélicans gris et sept makis cattas. Quatre capybaras, une mangouste naine, cinq wallabys de Bennet et un zébu nain viennent compléter cet inventaire à la Prévert, qui ne comprend toutefois pas de raton-laveur.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Naissance exceptionnelle d’un bébé gibbon à mains blanches dans la Sarthe

Un bébé gibbon à mains blanches est né fin juillet au zoo de Spay, dans la Sarthe, la seule naissance enregistrée en France en 2025 pour cette espèce menacée par la déforestation, souligne son responsable animalier, Maxime Thué.Le bébé primate, dont on ne connaîtra le sexe que dans quelques mois lorsqu’il commencera à se détacher de sa mère, est né le 24 juillet dernier.”C’est le premier petit du couple formé par Fidji et Pépito” et cette naissance est la première depuis dix ans dans le parc zoologique du Spay, près du Mans, explique Maxime Thué à l’AFP.”Surtout, c’est une naissance essentielle pour la préservation des espèces menacées. Le gibbon à mains blanches est classé en danger sur la liste rouge des espèces menacées à cause de la déforestation et du braconnage en Indonésie, en Malaisie”, poursuit le vétérinaire.L’équipe du zoo s’inquiétait de savoir comment Fidji, la femelle dont c’est le premier petit, allait prendre soin de son bébé. “Finalement on s’est rendu compte que c’était une très bonne mère, un peu maladroite des fois avec son bébé, mais qui s’occupe vraiment bien de celui-ci”, sourit-il, soulignant également le rôle du papa, Pépito, “très délicat avec lui”. “Le petit va rester accroché jusqu’à l’âge de trois quatre mois au ventre de la mère. Donc pour nous, c’est impossible de déterminer si c’est un mâle ou une femelle. Il va se détacher vers l’âge de trois ou quatre mois” et ne sera vraiment sevré qu’à l’âge de deux ans, explique M. Thué.Outre ce bébé gibbon, le Spaycific’Zoo a vu naître cette année un scinque des Îles Salomon (espèce de lézard géant quasi menacée d’extinction) une première pour un zoo français, trois marabouts d’Afrique, deux pélicans gris et sept makis cattas. Quatre capybaras, une mangouste naine, cinq wallabys de Bennet et un zébu nain viennent compléter cet inventaire à la Prévert, qui ne comprend toutefois pas de raton-laveur.