Stocks diverge ahead of Trump-Zelensky talks

Stock markets diverged Monday ahead of talks between US President Donald Trump, Ukrainian counterpart Volodymyr Zelensky and European leaders aimed at ending Russia’s war in Ukraine.The talks are a follow-up summit to Trump’s meeting with Russian President Vladimir Putin in Alaska, which failed to produce a ceasefire.Zelensky, who is under pressure from Trump to give up Crimea and abandon its NATO ambitions, said ahead of the gathering in Washington that Russia “should not be rewarded” for its war.London, Paris and Frankfurt stock markets were all lower in midday trading on Monday.”The focus is still on Ukraine this morning, as the world reacts to the Trump-Putin summit in Alaska last Friday,” said Jim Reid, managing director at Deutsche Bank. Oil prices fluctuated as investors weighed the impact of talks between Trump and Zelensky on Russia, a major crude producer.”With less talk of tougher sanctions on Russia, oil prices dropped back as supply concerns faded,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.”But amid the ongoing uncertainty Brent crude has begun creeping higher,” she added.This week, investor eyes will also be on any clues on US interest rates at the Federal Reserve’s annual retreat at Jackson Hole, Wyoming.The Fed chair’s speech at the retreat has “often been used to send important policy signals”, Reid noted.In Asia, Shanghai, Sydney and Taipei were higher Monday, while Hong Kong, Seoul and Jakarta fell back.Japan’s Nikkei ended up, posting a new record high and adding to gains on Friday after better-than-expected economic growth data.Thailand’s economy also grew by 2.8 percent in the second quarter, the country’s economic planning agency said on Monday, boosted by strong exports ahead of US tariffs taking full effect.Before the Alaska talks, US stocks wavered on Friday after mixed economic data, with retail sales up but an industrial production index and a consumer survey both down.- Key figures at around 1045 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 9,130.31 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.8 percent at 7,860.63Frankfurt – DAX: DOWN 0.3 percent at 24,276.28Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 43,714.31 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.4 percent at 25,176.85 (close)Shanghai – Composite: UP 0.9 percent at 3,728.03 (close)New York – Dow: UP 0.1 percent at 44,946.12 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1683 from $1.1704 on FridayPound/dollar: DOWN $1.3545 at from $1.3557Dollar/yen: UP at 147.41 yen from 146.85 yen Euro/pound: DOWN at 86.24 pence from 86.34 pence West Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $63.07 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $66.33 per barrelburs-ajb/lth

Hong Kong: début des plaidoiries finales au procès de l’homme d’affaires Jimmy Lai

La justice hongkongaise a entamé lundi les plaidoiries dans le procès de l’homme d’affaires Jimmy Lai, militant prodémocratie, affirmant que le septuagénaire était apte à assister aux audiences, malgré une suspension la semaine dernière pour un problème cardiaque.Des pays occidentaux et organisations de défense des droits humains appellent à la libération du magnat des médias de 77 ans, fondateur du journal Apple Daily, qui avait dû fermer en raison de son soutien aux grandes manifestations prodémocratie de 2019 à Hong Kong, parfois violentes.Jimmy Lai, de nationalité britannique, est jugé depuis décembre 2023 pour collusion avec des forces étrangères et encourt l’emprisonnement à vie. Il est également accusé d’avoir écrit des textes séditieux dans son journal.Il s’est présenté devant les magistrats vêtu d’une chemise blanche et d’un coupe-vent clair, et a pu écouter les débats grâce à un casque audio. Il a même souri et salué ses soutiens dans le prétoire, ainsi que les membres de sa famille.Lundi, les procureurs ont affirmé que Jimmy Lai avait “l’intention inébranlable de solliciter des sanctions, blocus ou autres activités hostiles” contre la Chine et Hong Kong, citant ses “nombreuses relations à l’étranger”.Le procureur Anthony Chau a mentionné les voyages de Jimmy Lai aux Etats-Unis en 2019, notamment une rencontre avec le vice-président américain de l’époque, Mike Pence.Le magnat a déjà reconnu à son procès avoir demandé à M. Pence de “soutenir” le mouvement prodémocratie à Hong Kong, mais sans l’appeler à agir.Il a nié avoir appelé à des sanctions contre la Chine et Hong Kong dans leur ensemble, et a déclaré qu’il n’avait jamais préconisé le séparatisme ni la violence.Selon le procureur Anthony Chau, le ministère public devrait prendre deux jours pour présenter leurs conclusions finales.Le septuagénaire est incarcéré depuis fin 2020 et se trouverait à l’isolement, ce qui suscite des inquiétudes pour sa santé.Outre le délit de collusion, qui pourrait lui valoir une peine d’emprisonnement à perpétuité, Jimmy Lai est également accusé de “publication séditieuse” pour 161 articles, dont des éditoriaux signés de son nom.Pékin a imposé la même année à l’ancienne colonie britannique – rétrocédée à la Chine en 1997 – une loi sur la sécurité nationale réprimant les dissidents à la suite des manifestations de 2019.M. Chau a déclaré lundi que M. Lai s’était vu prescrire des médicaments et portait un appareil de surveillance cardiaque, qui lui avait été remis vendredi.Il “ne s’est plaint ni de son état cardiaque ni de son état de santé général et est apte à comparaître devant la cour”, a-t-il précisé.  – “Le sauver” -La juge Esther Toh a également lu une note rédigée par un médecin-chef indiquant que Jimmy Lai était “physiquement et mentalement apte à comparaître” devant la justice.Vendredi, l’avocat de la défense Robert Pang avait déclaré à la cour que M. Lai avait souffert de “palpitations” cardiaques et eu l’impression de “s’évanouir”.Le gouvernement de Hong Kong a pour sa part déclaré le même jour dans un communiqué que “les soins médicaux” qui lui sont prodigués “pendant sa détention sont adéquats et complets”.”Le monde surveille la manière avec laquelle Hong Kong traite ses journalistes”, a lancé le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) jeudi. “La détention prolongée de Jimmy Lai détruit non seulement la réputation ancienne de Hong Kong en tant que société libre et ouverte, mais aussi en tant que centre d’affaires”, a déclaré la directrice régionale du CPJ, Beh Lih Yi.Le président américain Donald Trump a pour sa part affirmé jeudi à Fox News avoir mentionné l’affaire Jimmy Lai auprès du numéro un chinois Xi Jinping. “Je vais faire tout ce que je peux pour le sauver”, a promis M. Trump, selon cette station de radio.Le gouvernement de Hong Kong a, lui, “fermement (…) rejeté” mercredi “les remarques calomnieuses formulées par des forces extérieures” quant au procès.Le parquet affirme qu’il a exercé une influence aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à Taïwan, à travers des “relations politiques”. Apple Daily a été contraint de fermer en 2021 après des descentes de police et l’arrestation de ses rédacteurs en chef.

Hong Kong: début des plaidoiries finales au procès de l’homme d’affaires Jimmy Lai

La justice hongkongaise a entamé lundi les plaidoiries dans le procès de l’homme d’affaires Jimmy Lai, militant prodémocratie, affirmant que le septuagénaire était apte à assister aux audiences, malgré une suspension la semaine dernière pour un problème cardiaque.Des pays occidentaux et organisations de défense des droits humains appellent à la libération du magnat des médias de 77 ans, fondateur du journal Apple Daily, qui avait dû fermer en raison de son soutien aux grandes manifestations prodémocratie de 2019 à Hong Kong, parfois violentes.Jimmy Lai, de nationalité britannique, est jugé depuis décembre 2023 pour collusion avec des forces étrangères et encourt l’emprisonnement à vie. Il est également accusé d’avoir écrit des textes séditieux dans son journal.Il s’est présenté devant les magistrats vêtu d’une chemise blanche et d’un coupe-vent clair, et a pu écouter les débats grâce à un casque audio. Il a même souri et salué ses soutiens dans le prétoire, ainsi que les membres de sa famille.Lundi, les procureurs ont affirmé que Jimmy Lai avait “l’intention inébranlable de solliciter des sanctions, blocus ou autres activités hostiles” contre la Chine et Hong Kong, citant ses “nombreuses relations à l’étranger”.Le procureur Anthony Chau a mentionné les voyages de Jimmy Lai aux Etats-Unis en 2019, notamment une rencontre avec le vice-président américain de l’époque, Mike Pence.Le magnat a déjà reconnu à son procès avoir demandé à M. Pence de “soutenir” le mouvement prodémocratie à Hong Kong, mais sans l’appeler à agir.Il a nié avoir appelé à des sanctions contre la Chine et Hong Kong dans leur ensemble, et a déclaré qu’il n’avait jamais préconisé le séparatisme ni la violence.Selon le procureur Anthony Chau, le ministère public devrait prendre deux jours pour présenter leurs conclusions finales.Le septuagénaire est incarcéré depuis fin 2020 et se trouverait à l’isolement, ce qui suscite des inquiétudes pour sa santé.Outre le délit de collusion, qui pourrait lui valoir une peine d’emprisonnement à perpétuité, Jimmy Lai est également accusé de “publication séditieuse” pour 161 articles, dont des éditoriaux signés de son nom.Pékin a imposé la même année à l’ancienne colonie britannique – rétrocédée à la Chine en 1997 – une loi sur la sécurité nationale réprimant les dissidents à la suite des manifestations de 2019.M. Chau a déclaré lundi que M. Lai s’était vu prescrire des médicaments et portait un appareil de surveillance cardiaque, qui lui avait été remis vendredi.Il “ne s’est plaint ni de son état cardiaque ni de son état de santé général et est apte à comparaître devant la cour”, a-t-il précisé.  – “Le sauver” -La juge Esther Toh a également lu une note rédigée par un médecin-chef indiquant que Jimmy Lai était “physiquement et mentalement apte à comparaître” devant la justice.Vendredi, l’avocat de la défense Robert Pang avait déclaré à la cour que M. Lai avait souffert de “palpitations” cardiaques et eu l’impression de “s’évanouir”.Le gouvernement de Hong Kong a pour sa part déclaré le même jour dans un communiqué que “les soins médicaux” qui lui sont prodigués “pendant sa détention sont adéquats et complets”.”Le monde surveille la manière avec laquelle Hong Kong traite ses journalistes”, a lancé le Comité pour la protection des journalistes (CPJ) jeudi. “La détention prolongée de Jimmy Lai détruit non seulement la réputation ancienne de Hong Kong en tant que société libre et ouverte, mais aussi en tant que centre d’affaires”, a déclaré la directrice régionale du CPJ, Beh Lih Yi.Le président américain Donald Trump a pour sa part affirmé jeudi à Fox News avoir mentionné l’affaire Jimmy Lai auprès du numéro un chinois Xi Jinping. “Je vais faire tout ce que je peux pour le sauver”, a promis M. Trump, selon cette station de radio.Le gouvernement de Hong Kong a, lui, “fermement (…) rejeté” mercredi “les remarques calomnieuses formulées par des forces extérieures” quant au procès.Le parquet affirme qu’il a exercé une influence aux Etats-Unis, au Royaume-Uni et à Taïwan, à travers des “relations politiques”. Apple Daily a été contraint de fermer en 2021 après des descentes de police et l’arrestation de ses rédacteurs en chef.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Lutte sans répit contre les incendies en Espagne et au Portugal, déjà six morts

Des milliers de pompiers, appuyés par des militaires, des hélicoptères et des avions prêtés par les pays voisins mènent toujours lundi une lutte inlassable contre les flammes qui dévorent l’ouest de l’Espagne et le Portugal et qui ont tué six personnes dans la péninsule.Seule petite note d’espoir: la vague de chaleur, carburant des incendies, touche à sa fin après plus de deux semaines de températures extrêmes, selon l’Agence météorologique espagnole (Aemet).”Nous avons actuellement 23 incendies actifs de niveau 2″ sur 4, ce qui désigne des feux représentant une menace grave et directe pour la population, a résumé lundi matin à la télévision publique TVE Virginia Barcones, directrice générale de la Protection civile et des Urgences en Espagne.Ces dernières heures, un pompier est mort en Espagne, et un autre au Portugal, faisant grimper le bilan à quatre décès dans le premier pays et deux dans le second.Les incendies qui frappent l’Espagne sont entrés dans une phase plus intense depuis le 10 août et se concentrent dans les régions de la Galice (nord-ouest), de Castille-et-León (nord-ouest) et d’Extrémadure (ouest).Ils ont entraîné l’évacuation de milliers de personnes et des dizaines de milliers d’hectares ont été dévastés.- Visible depuis l’espace -“Nous espérons que la météo du jour commence à être enfin moins défavorable, et qu’au lieu d’empêcher d’éteindre les incendies, elle commence à accorder un peu de répit”, a souligne lundi Virginia Barcones.Selon l’Aemet, lundi sera le “dernier jour” de la vague de chaleur qui a duré deux semaines et fait grimper les températures jusqu’à 45ºC dans certaines régions du sud du pays et 40ºC dans de nombreux autres endroits.Des moyens aériens de France, d’Italie, de Slovaquie et des Pays-Bas sont venus en renfort en Espagne, tandis que le Portugal a reçu un soutien aérien de la Suède et du Maroc.”C’est une situation très difficile, très compliquée”, a expliqué à TVE la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, évoquant la “virulence” et l'”ampleur” des incendies, ainsi que la fumée, visible depuis l’espace qui complique “les interventions par voie aérienne”. – Deux accidents -En Espagne, un pompier est mort dans la nuit de dimanche à lundi lorsque son véhicule, chargé d’eau, s’est renversé dans la province de León, a informé le gouvernement de Castille-et-León sur le réseau social X. Le véhicule faisait partie d’un convoi qui quittait les lieux de l’incendie pour se reposer en empruntant une piste forestière très pentue et a fini par tomber dans un ravin. Deux autres jeunes hommes, volontaires, sont morts en Castille-et-León en combattant les flammes, et auparavant, un employé roumain d’un haras du nord de Madrid avait trouvé la mort en tentant de protéger les chevaux du feu.Au Portugal également, un pompier est décédé dimanche dans un accident de la route qui a fait deux blessés graves parmi ses collègues, a indiqué le président de la République, Marcelo Rebelo de Sousa.Il s’agit du deuxième décès dû aux incendies dans le pays, après celui d’un ancien maire luttant contre les flammes vendredi à Guarda, dans l’est du pays.Le Portugal combat principalement un grand incendie près d’Arganil, dans le centre du pays, où sont mobilisés la moitié des 2.000 pompiers sur le terrain à l’heure actuelle.Ces derniers jours, plus de 70.000 hectares ont brûlé rien qu’en Espagne, et plus de 157.000 depuis le début de l’année, selon le Système Européen d’Information sur les Incendies de Forêt (EFFIS), des chiffres qui ne cessent d’augmenter.La situation s’est en revanche nettement améliorée dans le Balkans,où la baisse de températures et l’arrivée de la pluie ont aidé les secours à éteindre ou contrôler des dizaines d’incendies, qui avaient fait deux morts depuis une semaine.En Turquie également, deux importants incendies sont désormais sous contrôle, selon les autorités, dont l’un, avait entraîné dans la nuit de samedi à dimanche l’évacuation de centaines de personnes de sept villages de la province touristique de Çanakkale, au nord-ouest du pays.

Lutte sans répit contre les incendies en Espagne et au Portugal, déjà six morts

Des milliers de pompiers, appuyés par des militaires, des hélicoptères et des avions prêtés par les pays voisins mènent toujours lundi une lutte inlassable contre les flammes qui dévorent l’ouest de l’Espagne et le Portugal et qui ont tué six personnes dans la péninsule.Seule petite note d’espoir: la vague de chaleur, carburant des incendies, touche à sa fin après plus de deux semaines de températures extrêmes, selon l’Agence météorologique espagnole (Aemet).”Nous avons actuellement 23 incendies actifs de niveau 2″ sur 4, ce qui désigne des feux représentant une menace grave et directe pour la population, a résumé lundi matin à la télévision publique TVE Virginia Barcones, directrice générale de la Protection civile et des Urgences en Espagne.Ces dernières heures, un pompier est mort en Espagne, et un autre au Portugal, faisant grimper le bilan à quatre décès dans le premier pays et deux dans le second.Les incendies qui frappent l’Espagne sont entrés dans une phase plus intense depuis le 10 août et se concentrent dans les régions de la Galice (nord-ouest), de Castille-et-León (nord-ouest) et d’Extrémadure (ouest).Ils ont entraîné l’évacuation de milliers de personnes et des dizaines de milliers d’hectares ont été dévastés.- Visible depuis l’espace -“Nous espérons que la météo du jour commence à être enfin moins défavorable, et qu’au lieu d’empêcher d’éteindre les incendies, elle commence à accorder un peu de répit”, a souligne lundi Virginia Barcones.Selon l’Aemet, lundi sera le “dernier jour” de la vague de chaleur qui a duré deux semaines et fait grimper les températures jusqu’à 45ºC dans certaines régions du sud du pays et 40ºC dans de nombreux autres endroits.Des moyens aériens de France, d’Italie, de Slovaquie et des Pays-Bas sont venus en renfort en Espagne, tandis que le Portugal a reçu un soutien aérien de la Suède et du Maroc.”C’est une situation très difficile, très compliquée”, a expliqué à TVE la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, évoquant la “virulence” et l'”ampleur” des incendies, ainsi que la fumée, visible depuis l’espace qui complique “les interventions par voie aérienne”. – Deux accidents -En Espagne, un pompier est mort dans la nuit de dimanche à lundi lorsque son véhicule, chargé d’eau, s’est renversé dans la province de León, a informé le gouvernement de Castille-et-León sur le réseau social X. Le véhicule faisait partie d’un convoi qui quittait les lieux de l’incendie pour se reposer en empruntant une piste forestière très pentue et a fini par tomber dans un ravin. Deux autres jeunes hommes, volontaires, sont morts en Castille-et-León en combattant les flammes, et auparavant, un employé roumain d’un haras du nord de Madrid avait trouvé la mort en tentant de protéger les chevaux du feu.Au Portugal également, un pompier est décédé dimanche dans un accident de la route qui a fait deux blessés graves parmi ses collègues, a indiqué le président de la République, Marcelo Rebelo de Sousa.Il s’agit du deuxième décès dû aux incendies dans le pays, après celui d’un ancien maire luttant contre les flammes vendredi à Guarda, dans l’est du pays.Le Portugal combat principalement un grand incendie près d’Arganil, dans le centre du pays, où sont mobilisés la moitié des 2.000 pompiers sur le terrain à l’heure actuelle.Ces derniers jours, plus de 70.000 hectares ont brûlé rien qu’en Espagne, et plus de 157.000 depuis le début de l’année, selon le Système Européen d’Information sur les Incendies de Forêt (EFFIS), des chiffres qui ne cessent d’augmenter.La situation s’est en revanche nettement améliorée dans le Balkans,où la baisse de températures et l’arrivée de la pluie ont aidé les secours à éteindre ou contrôler des dizaines d’incendies, qui avaient fait deux morts depuis une semaine.En Turquie également, deux importants incendies sont désormais sous contrôle, selon les autorités, dont l’un, avait entraîné dans la nuit de samedi à dimanche l’évacuation de centaines de personnes de sept villages de la province touristique de Çanakkale, au nord-ouest du pays.

Lutte sans répit contre les incendies en Espagne et au Portugal, déjà six morts

Des milliers de pompiers, appuyés par des militaires, des hélicoptères et des avions prêtés par les pays voisins mènent toujours lundi une lutte inlassable contre les flammes qui dévorent l’ouest de l’Espagne et le Portugal et qui ont tué six personnes dans la péninsule.Seule petite note d’espoir: la vague de chaleur, carburant des incendies, touche à sa fin après plus de deux semaines de températures extrêmes, selon l’Agence météorologique espagnole (Aemet).”Nous avons actuellement 23 incendies actifs de niveau 2″ sur 4, ce qui désigne des feux représentant une menace grave et directe pour la population, a résumé lundi matin à la télévision publique TVE Virginia Barcones, directrice générale de la Protection civile et des Urgences en Espagne.Ces dernières heures, un pompier est mort en Espagne, et un autre au Portugal, faisant grimper le bilan à quatre décès dans le premier pays et deux dans le second.Les incendies qui frappent l’Espagne sont entrés dans une phase plus intense depuis le 10 août et se concentrent dans les régions de la Galice (nord-ouest), de Castille-et-León (nord-ouest) et d’Extrémadure (ouest).Ils ont entraîné l’évacuation de milliers de personnes et des dizaines de milliers d’hectares ont été dévastés.- Visible depuis l’espace -“Nous espérons que la météo du jour commence à être enfin moins défavorable, et qu’au lieu d’empêcher d’éteindre les incendies, elle commence à accorder un peu de répit”, a souligne lundi Virginia Barcones.Selon l’Aemet, lundi sera le “dernier jour” de la vague de chaleur qui a duré deux semaines et fait grimper les températures jusqu’à 45ºC dans certaines régions du sud du pays et 40ºC dans de nombreux autres endroits.Des moyens aériens de France, d’Italie, de Slovaquie et des Pays-Bas sont venus en renfort en Espagne, tandis que le Portugal a reçu un soutien aérien de la Suède et du Maroc.”C’est une situation très difficile, très compliquée”, a expliqué à TVE la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, évoquant la “virulence” et l'”ampleur” des incendies, ainsi que la fumée, visible depuis l’espace qui complique “les interventions par voie aérienne”. – Deux accidents -En Espagne, un pompier est mort dans la nuit de dimanche à lundi lorsque son véhicule, chargé d’eau, s’est renversé dans la province de León, a informé le gouvernement de Castille-et-León sur le réseau social X. Le véhicule faisait partie d’un convoi qui quittait les lieux de l’incendie pour se reposer en empruntant une piste forestière très pentue et a fini par tomber dans un ravin. Deux autres jeunes hommes, volontaires, sont morts en Castille-et-León en combattant les flammes, et auparavant, un employé roumain d’un haras du nord de Madrid avait trouvé la mort en tentant de protéger les chevaux du feu.Au Portugal également, un pompier est décédé dimanche dans un accident de la route qui a fait deux blessés graves parmi ses collègues, a indiqué le président de la République, Marcelo Rebelo de Sousa.Il s’agit du deuxième décès dû aux incendies dans le pays, après celui d’un ancien maire luttant contre les flammes vendredi à Guarda, dans l’est du pays.Le Portugal combat principalement un grand incendie près d’Arganil, dans le centre du pays, où sont mobilisés la moitié des 2.000 pompiers sur le terrain à l’heure actuelle.Ces derniers jours, plus de 70.000 hectares ont brûlé rien qu’en Espagne, et plus de 157.000 depuis le début de l’année, selon le Système Européen d’Information sur les Incendies de Forêt (EFFIS), des chiffres qui ne cessent d’augmenter.La situation s’est en revanche nettement améliorée dans le Balkans,où la baisse de températures et l’arrivée de la pluie ont aidé les secours à éteindre ou contrôler des dizaines d’incendies, qui avaient fait deux morts depuis une semaine.En Turquie également, deux importants incendies sont désormais sous contrôle, selon les autorités, dont l’un, avait entraîné dans la nuit de samedi à dimanche l’évacuation de centaines de personnes de sept villages de la province touristique de Çanakkale, au nord-ouest du pays.

Watchdog demands I. Coast probe journalist’s handover to BeninMon, 18 Aug 2025 10:14:57 GMT

Reporters Without Borders on Monday urged Ivory Coast to launch an investigation into the “manifestly illegal extradition” of a refugee journalist from Benin critical of his home country’s president.The press freedom watchdog, known by its French acronym RSF, called the circumstances of Hugues Comlan Sossoukpe’s arrest “murky”, and raised the possibility that the Ivorian authorities …

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