Trump signs order aimed at lowering drug prices

US President Donald Trump signed an executive order Tuesday aiming to lower crippling drug prices by giving states more leeway to bargain-hunt abroad and improving the process for price negotiations.Americans face the highest prescription drug prices in the world, leaving many people to pay partially out of their own pockets despite already exorbitant insurance premiums.”This (order) will provide meaningful relief to seniors and low income individuals who depend on insulin and many, many more,” a White House official told reporters.”Furthermore, it will foster a more competitive prescription drug market to ensure the prices being charged to patients and the government are more aligned with the value they provide, rather than some quirk in the way that the government pays for them.”The order directs the Food and Drug Administration (FDA), which regulates prescription and over-the-counter pharmaceuticals, to allow more states to import medicines directly from countries with lower prices.The administration of Trump’s predecessor Joe Biden approved Florida’s application to import from Canada last year but no other states were given the green light for their own deals. The order also tweaks the Inflation Reduction Act (IRA) passed under Biden, which allowed the Medicare health insurance plan for seniors to negotiate the prices of certain drugs for the first time.The aim of the changes is to eliminate the difference between price negotiation rules for pills and those for injectable drugs — a disparity that critics argue could harm investment in the orally-administered products.Under the IRA, Medicare could negotiate on prices for “small molecule” drugs that patients swallow, such as ibuprofen, nine years after FDA approval.”Large molecule” biologics such as gene-based therapies and hormonal regulators could only be subject to negotiations after 13 years.The order did not specify how the disparity would be addressed.Officials said the edict also did not make use of a “most favored nation” status that would force pharmaceutical companies to offer their lowest prices in America.Biden’s IRA reforms led to the costs of 10 key medicines being cut in landmark negotiations with pharmaceutical firms.Days before leaving office, the Democrat announced a further 15 drugs for which the government would negotiate lower prices with pharmaceutical companies, with the resulting prices taking effect in 2027.

Paramilitaries declare rival government as Sudan war enters third yearTue, 15 Apr 2025 23:04:51 GMT

Two years into a war that has left tens of thousands dead, Sudan’s paramilitary force on announced its own government to rival the army-backed administration it is battling.The United Nations has said that the conflict that erupted on April 15, 2023 is the world’s worst humanitarian crisis, with 13 million people displaced — including more …

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Foot/Droits TV: la Ligue rompt avec DAZN, ouvrant un abîme d’incertitudes

Les dirigeants de la Ligue de football professionnel (LFP) ont opté mardi pour une rupture avec le diffuseur de la Ligue 1 DAZN dès la fin de cette saison, refusée dans la foulée par le diffuseur, ouvrant un abîme d’incertitudes pour l’avenir.La médiation entre les deux parties initiée début mars n’a donc pas abouti à une solution à l’amiable, plongeant de nouveau le football français dans une crise qui pourrait se régler devant les tribunaux.A la suite du refus de rupture par DAZN, le contrat, entré en vigueur en début de saison, “se poursuit avec les poursuites contentieuses à la clé”, selon une source proche de la Ligue.Les deux parties sont liées par un contrat portant sur 400 millions d’euros annuels pour la diffusion de 8 matches par journée de Ligue 1 jusqu’en 2029 depuis le début de la saison, mais en l’état, le contrat initial permettait à l’une ou l’autre des parties d’en sortir à la fin de la saison 2025-26.  La chaîne qatarie BeIn verse de son côté quelque 100 M EUR pour la diffusion d’un match de chaque journée.La Ligue “prend acte de l’échec de la médiation initiée début mars 2025”, a indiqué dans un communiqué la LFP, qui “attend de son partenaire qu’il exécute pleinement l’ensemble de ses obligations à ce titre”.- “Manque de coopération” -“La médiation n’a malheureusement pas permis de suffisamment rapprocher les points de vue. Il a donc été impossible de trouver – à ce stade – un accord pour une résolution amiable de la situation”, a déclaré de son côté DAZN.Le Conseil d’administration de la LFP a accéléré le divorce avec la plateforme de streaming britannique, commencé avec un retard de paiement (35 millions d’euros) en début d’année, finalement honoré.DAZN doit encore payer deux échéances les 30 avril et 30 juin prochains pour un total de 140 millions d’euros. La fin mardi de la médiation du tribunal de commerce de Paris appelait une décision. Sur proposition du médiateur, le CA de la LFP a voté pour rompre le contrat dès la fin de saison en envoyant une proposition financière à DAZN, selon des sources concordantes.Il s’agit d’un paiement de 140 millions d’euros pour la fin de saison et une indemnité comprise entre 110 et 125 millions d’euros pour la suivante, demandés au diffuseur de la L1, selon une des sources.Mais cette proposition financière a été refusée dans la foulée par le diffuseur, qui réclamait en justice pas moins de 573 millions d’euros “pour manquement observé” et “tromperie sur la marchandise”.DAZN, longtemps bloqué autour de 500.000 abonnés, avant une légère hausse ces dernières semaines grâce à de très nombreuses promotions, se plaignait notamment des conditions d’exploitation difficiles liées au piratage et du manque de coopération de certains clubs pour mettre en valeur le “produit Ligue 1”.- Vertigineuse déflation -L’incertitude est aussi énorme pour les clubs, dont la santé financière dépend directement du montant des droits TV versés par le diffuseur. Ils vont devoir naviguer à vue sur leurs recettes en cas de long conflit juridique.Mais la plus grande des inquiétudes concerne la diffusion du championnat: où le fan de foot français va-t-il pouvoir regarder la Ligue 1 la saison prochaine? Quel montant la LFP va-t-elle pouvoir négocier auprès d’un futur diffuseur ? Les difficiles négociations pour conclure le contrat actuel, l’énorme couac de la collaboration avec DAZN, le déjà gigantesque échec avec Mediapro en pleine pandémie, les mauvaises relations avec l’ancien diffuseur historique Canal+: tout semble indiquer que trouver un acquéreur à un prix correct relèvera du miracle.Le foot français risque une vertigineuse déflation, avec ce que cela suppose de départs de bons joueurs pour renflouer les caisses des clubs et des acquisitions beaucoup moins onéreuses et régulières.Le montant des droits TV perçus par les clubs français est largement inférieur aux Championnats étrangers: quelque 2 milliards pour l’Angleterre, 1 md pour l’Espagne et l’Allemagne et 900 M EUR pour l’Italie (droits nationaux). La période allant jusqu’au début de la saison prochaine (mi-août) devrait en outre relancer les spéculations sur la solution alternative d’une chaîne 100% détenue et produite par la LFP, poussée par certains clubs (Lens, Lyon). Cette option ne rapporterait que très peu d’argent au moins dans un premier temps, selon une source proche du dossier.

Foot/Droits TV: la Ligue rompt avec DAZN, ouvrant un abîme d’incertitudes

Les dirigeants de la Ligue de football professionnel (LFP) ont opté mardi pour une rupture avec le diffuseur de la Ligue 1 DAZN dès la fin de cette saison, refusée dans la foulée par le diffuseur, ouvrant un abîme d’incertitudes pour l’avenir.La médiation entre les deux parties initiée début mars n’a donc pas abouti à une solution à l’amiable, plongeant de nouveau le football français dans une crise qui pourrait se régler devant les tribunaux.A la suite du refus de rupture par DAZN, le contrat, entré en vigueur en début de saison, “se poursuit avec les poursuites contentieuses à la clé”, selon une source proche de la Ligue.Les deux parties sont liées par un contrat portant sur 400 millions d’euros annuels pour la diffusion de 8 matches par journée de Ligue 1 jusqu’en 2029 depuis le début de la saison, mais en l’état, le contrat initial permettait à l’une ou l’autre des parties d’en sortir à la fin de la saison 2025-26.  La chaîne qatarie BeIn verse de son côté quelque 100 M EUR pour la diffusion d’un match de chaque journée.La Ligue “prend acte de l’échec de la médiation initiée début mars 2025”, a indiqué dans un communiqué la LFP, qui “attend de son partenaire qu’il exécute pleinement l’ensemble de ses obligations à ce titre”.- “Manque de coopération” -“La médiation n’a malheureusement pas permis de suffisamment rapprocher les points de vue. Il a donc été impossible de trouver – à ce stade – un accord pour une résolution amiable de la situation”, a déclaré de son côté DAZN.Le Conseil d’administration de la LFP a accéléré le divorce avec la plateforme de streaming britannique, commencé avec un retard de paiement (35 millions d’euros) en début d’année, finalement honoré.DAZN doit encore payer deux échéances les 30 avril et 30 juin prochains pour un total de 140 millions d’euros. La fin mardi de la médiation du tribunal de commerce de Paris appelait une décision. Sur proposition du médiateur, le CA de la LFP a voté pour rompre le contrat dès la fin de saison en envoyant une proposition financière à DAZN, selon des sources concordantes.Il s’agit d’un paiement de 140 millions d’euros pour la fin de saison et une indemnité comprise entre 110 et 125 millions d’euros pour la suivante, demandés au diffuseur de la L1, selon une des sources.Mais cette proposition financière a été refusée dans la foulée par le diffuseur, qui réclamait en justice pas moins de 573 millions d’euros “pour manquement observé” et “tromperie sur la marchandise”.DAZN, longtemps bloqué autour de 500.000 abonnés, avant une légère hausse ces dernières semaines grâce à de très nombreuses promotions, se plaignait notamment des conditions d’exploitation difficiles liées au piratage et du manque de coopération de certains clubs pour mettre en valeur le “produit Ligue 1”.- Vertigineuse déflation -L’incertitude est aussi énorme pour les clubs, dont la santé financière dépend directement du montant des droits TV versés par le diffuseur. Ils vont devoir naviguer à vue sur leurs recettes en cas de long conflit juridique.Mais la plus grande des inquiétudes concerne la diffusion du championnat: où le fan de foot français va-t-il pouvoir regarder la Ligue 1 la saison prochaine? Quel montant la LFP va-t-elle pouvoir négocier auprès d’un futur diffuseur ? Les difficiles négociations pour conclure le contrat actuel, l’énorme couac de la collaboration avec DAZN, le déjà gigantesque échec avec Mediapro en pleine pandémie, les mauvaises relations avec l’ancien diffuseur historique Canal+: tout semble indiquer que trouver un acquéreur à un prix correct relèvera du miracle.Le foot français risque une vertigineuse déflation, avec ce que cela suppose de départs de bons joueurs pour renflouer les caisses des clubs et des acquisitions beaucoup moins onéreuses et régulières.Le montant des droits TV perçus par les clubs français est largement inférieur aux Championnats étrangers: quelque 2 milliards pour l’Angleterre, 1 md pour l’Espagne et l’Allemagne et 900 M EUR pour l’Italie (droits nationaux). La période allant jusqu’au début de la saison prochaine (mi-août) devrait en outre relancer les spéculations sur la solution alternative d’une chaîne 100% détenue et produite par la LFP, poussée par certains clubs (Lens, Lyon). Cette option ne rapporterait que très peu d’argent au moins dans un premier temps, selon une source proche du dossier.

Nvidia expects $5.5 bn hit as US targets chips sent to China

Nvidia on Tuesday notified regulators that it expects a $5.5 billion hit this quarter due to a new US licensing requirement on the primary chip it can legally sell in China.US officials last week told Nvidia it must obtain licenses to export its H20 chips to China because of concerns they may be used in supercomputers there, the Silicon Valley company said in a Securities and Exchange Commission (SEC) filing.Shares of Nvidia, which have already seen high volatility since Trump’s April 2 tariffs announcement, were down over six percent in after-market trades.The new licensing rule applies to Nvidia GPUs (graphics processing units) with bandwidth similar to that of the H20.The United States had already barred exports to China of Nvidia’s most sophisticated GPUs, tailored for powering top-end artificial intelligence models.Nvidia was told the licensing requirement on H20 chips will last indefinitely, it said in the filing.Nvidia’s current fiscal quarter ends on April 27.”First quarter results are expected to include up to approximately $5.5 billion of charges associated with H20 products for inventory, purchase commitments, and related reserves,” Nvidia said in the filing.

Paris: une personne tuée et une grièvement blessée après une fuite d’azote dans une salle de sport

Une employée d’une salle de sport du 11e arrondissement de Paris est morte et une cliente a été hospitalisée dans un état grave après une fuite d’azote, selon les premiers éléments de l’enquête, lors d’une séance de cryothérapie lundi.Les faits se sont déroulés vers 18H20, selon une source policière. Une employée de la salle de sport, née en 1996, est morte. Une autre personne, cliente de l’établissement, née en 1991, a été hospitalisée et son pronostic vital est engagé.Selon les premiers éléments de l’enquête, une fuite d’azote de la cabine de cryothérapie serait à l’origine de l’intoxication, selon une source proche de l’enquête.”Une enquête en recherche des causes de la mort est ouverte et confiée au commissariat de police du 11e arrondissement de Paris, en co-saisine avec l’inspection du travail”, a indiqué le parquet de Paris, sollicité par l’AFP.”Une autopsie et des analyses toxicologiques ont été ordonnées pour déterminer avec précision la cause de la mort, laquelle serait survenue au cours d’une séance de cryothérapie”, a-t-il précisé.Trois autres personnes qui ont prodigué des soins aux deux victimes ont été prises en charge en urgence relative, a précisé la source policière.L’azote est un gaz inodore qui provoque une diminution de l’oxygène dans l’air et peut entrainer une intoxication.Des journalistes de l’AFP présentes sur les lieux ont vu des agents sortir de la salle de sports un corps sur un brancard recouvert d’un drap blanc et le placer dans un véhicule des services funéraires vers 21H45. Au même moment, une femme en tenue de sport est ressorti de l’établissement, en larmes.- “Thérapie par le froid” -“J’allais m’entraîner comme tous les soirs, j’ai vu deux collègues de la salle qui m’ont dit que la salle était fermée et (…)  qu’il y avait un décès” à cause d’une fuite d’azote de la salle de cryothérapie, rapporte Diego Brisset, 26 ans.Lui ne pratique pas cette technique par le froid: “on m’a toujours dit que c’était dangereux”, dit-il.La cabine de cryothérapie aurait fait l’objet d’une réparation lundi, a indiqué la source proche.La salle de sport, où se trouvaient 150 personnes, a été évacuée peu après les faits, selon la source policière.Des jeunes attablés en terrasse à proximité, boulevard Voltaire, racontent avoir vu vers 19H30 trois camions de pompiers arriver. Des paravents ont été installés pour dissimuler ce qu’il se passait devant la porte de la salle et le long du trottoir.La cryothérapie est une “thérapie par le froid” qui consiste à placer une personne pendant 2 à 3 minutes dans des chambres ou des cabines dont la température peut descendre sous -110°C.La personne est immergée dans des baignoires d’eau glacée ou des chambres à azote.Initialement destinée aux sportifs de haut niveau afin de prévenir ou traiter les douleurs musculaires après l’exercice, cette pratique est proposée pour soulager des maladies inflammatoires ou neurologiques, et même utilisée en dehors de tout contexte pathologique.

US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for torture

A US jury on Tuesday convicted a Gambian man for torturing opponents of the African country’s former president by burning and beating them, including with molten plastic.Michael Sang Correa, 46, served in an armed unit known as the “Junglers,” which answered to The Gambia’s then-president, Yahya Jammeh. A trial in Denver, Colorado, found that Correa and other members of the death squad had tortured five people because of suspicions they had plotted against Jammeh. “Michael Sang Correa tried to evade responsibility for his crimes in The Gambia by coming to the United States and hiding his past,” Matthew Galeotti, head of the US Justice Department’s Criminal Division said after the trial. “But we found him, we investigated him, and we prosecuted him.”Jurors in Colorado heard how in March 2006, shortly after a failed coup attempt, the Junglers took their victims to The Gambia’s main prison.Over the next two months, they beat, stabbed, burned, and electroshocked their victims, including some on their genitals.One man testified he had his thigh burned by molten plastic; another told of how he was suffocated, while others spoke of being pistol whipped, burned with cigarettes and hit in the face with a hammer.Correa was convicted of five counts of torture and one of conspiracy to commit torture.He faces up to 120 years in prison when he is sentenced at a later date.Correa entered the United States in 2016 to work as a bodyguard for The Gambia’s vice president, who was visiting the United Nations.He stayed in the country and moved to Denver at some point after Jammeh, who ruled the country with an iron fist from 1994 to 2017, was voted out of office.Correa was arrested by US authorities in September 2019, initially for overstaying his visa.According to the indictment, Correa joined the Junglers in 2004.The paramilitary unit operated outside the Gambian army’s chain of command, taking orders directly from Jammeh, and has been accused by watchdog groups of carrying out widespread human rights violations.Another member of the Junglers, Bai Lowe, was sentenced to life in prison in Germany in November 2023 after being convicted of crimes against humanity, murder and attempted murder.A Swiss court in May sentenced Gambian ex-interior minister Ousman Sonko to 20 years in prison for crimes against humanity committed under the Jammeh regime.Victims of the Junglers included an AFP correspondent, Deyda Hydara, who was gunned down in his car on the outskirts of Gambia’s capital Banjul on December 16, 2004.

US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for tortureTue, 15 Apr 2025 22:11:59 GMT

A US jury on Tuesday convicted a Gambian man for torturing opponents of the African country’s former president by burning and beating them, including with molten plastic.Michael Sang Correa, 46, served in an armed unit known as the “Junglers,” which answered to The Gambia’s then-president, Yahya Jammeh. A trial in Denver, Colorado, found that Correa and …

US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for tortureTue, 15 Apr 2025 22:11:59 GMT Read More »