US jury convicts Gambian ‘death squad’ member for tortureTue, 15 Apr 2025 22:11:59 GMT

A US jury on Tuesday convicted a Gambian man for torturing opponents of the African country’s former president by burning and beating them, including with molten plastic.Michael Sang Correa, 46, served in an armed unit known as the “Junglers,” which answered to The Gambia’s then-president, Yahya Jammeh. A trial in Denver, Colorado, found that Correa and …

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Trump ressuscite le fantôme de bases militaires américaines au Panama

L’insistance de Donald Trump à vouloir “reprendre” le contrôle du canal de Panama a ravivé dans ce pays la crainte d’un rétablissement de bases militaires américaines et mis en porte-à-faux son président centriste José Raul Mulino, un allié naturel des Etats-Unis.Le président américain clame depuis qu’il a pris ses fonctions en janvier vouloir contrer l'”influence chinoise” sur cette voie commerciale interocéanique. Après une visite au Panama et un coup de pression de son secrétaire d’Etat Marco Rubio, le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a obtenu la semaine dernière la signature d’un accord avec le gouvernement Mulino autorisant les États-Unis à déployer des soldats dans les zones adjacentes au canal.Un sujet sensible au Panama, où les forces armées américaines sont intervenues en décembre 1989 pour faire chuter l’ancien dictateur Manuel Antonio Noriega, accusé de trafic de drogue.Les Etats-Unis avaient ensuite entamé en 1994 un processus de retrait de leurs bases militaires, installées pour protéger ce canal datant de 1914, avant de remettre la gestion de ce dernier au Panama le 31 décembre 1999.- Réel retour des bases américaines ? -Bien que l’accord ne mentionne pas explicitement des “bases militaires”, Washington pourra disposer au Panama de forces militaires de rotation, comme celles qu’il a en Australie et ailleurs, pour “formation”, “exercices” et autres manÅ“uvres.Par périodes de trois ans renouvelables, des troupes seront déployées sur trois bases (aérienne, aéronavale et navale) construites lorsque les Américains disposaient d’une enclave dans la zone autour du canal.”Il y a une violation flagrante” de la Constitution qui interdit les bases étrangères et des traités de 1977 qui établissent la “neutralité” du canal et stipulent que seul le Panama disposera de forces militaires sur son territoire national, a déclaré à l’AFP Euclides Tapia, professeur panaméen de relations internationales.Cependant, ces traités ont laissé une ouverture : “Ils permettent aux États-Unis de défendre le canal lorsque celui-ci est considéré comme menacé”, rappelle à l’AFP l’analyste Will Freeman, du Conseil des Relations internationales, à New York.Benjamin Gedan, un ancien directeur pour l’Amérique du Sud du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, affirme que le Panama a toujours pleinement coopéré avec les États-Unis dans cette “coresponsabilité” quant à la sécurisation du canal.L’avocat Arturo Hoyos ne voit quant à lui aucune violation des lois ou des traités, car l’accord récemment signé n’implique pas de présence militaire étrangère “exclusive” mais des opérations “communes”.- Le gouvernement panaméen se défend d’avoir cédé -Le président Mulino soutient n’avoir pas cédé le moindre centimètre carré de souveraineté, malgré les pressions de Pete Hegseth qui réclame des “bases militaires”.Le gouvernement panaméen défend qu’il ne s’agit nullement de bases américaines, que les installations et les terrains appartiennent au Panama et seront utilisés “en commun” par les forces de sécurité des deux pays.Mais les critiques ont fusé. L’ex-candidat à la présidentielle, Ricardo Lombana, a accusé M. Mulino de déguiser la “reddition” en “coopération”.”Les États-Unis nous recolonisent et nous réoccupent”, a affirmé Julio Yao, qui a conseillé le gouvernement panaméen pendant les négociations de 1977.La politologue Natasha Lindstaedt, de l’Université britannique d’Essex, a estimé auprès de l’AFP que la pression de l’administration Trump sur des pays comme le Panama pouvait “provoquer des divisions” au sein des gouvernements sur la manière de “gérer” Washington.- Que cherche réellement Trump ? -Les États-Unis considèrent que l’entreprise hongkongaise Hutchinson, qui exploite deux ports aux extrémités du canal, constitue une “menace” pour leur sécurité.”Trump veut minimiser le risque que Pékin bloque le canal pour empêcher le passage de navires militaires dans le cas d’un éventuel conflit”, avance Benjamin Gedan, professeur à l’université Johns Hopkins, aux Etats-Unis.Natasha Lindstaedt partage cet avis, mais estime que “cela fait partie d’un conflit plus vaste : les États-Unis tentent de freiner l’influence chinoise au Panama et dans la région”.Selon Will Freeman, Donald Trump “cherche probablement à démontrer que, s’il le voulait, il pourrait fermer le canal au commerce chinois” pour, par exemple, empêcher la Chine d'”envahir Taïwan”, qu’elle considère comme faisant partie de son territoire. “Nous voyons au Panama la doctrine Trump de la paix par la force”, a-t-il commenté.D’autres, comme Euclides Tapia, ne croient pas à une quelconque menace chinoise sur le canal de Panama. “Ils l’inventent”, dit-il. Selon lui, les déclarations du président Trump sur le Canada, le canal de Panama et le Groenland sont “une mise en scène destinée à l’opinion publique américaine”.

Trump ressuscite le fantôme de bases militaires américaines au Panama

L’insistance de Donald Trump à vouloir “reprendre” le contrôle du canal de Panama a ravivé dans ce pays la crainte d’un rétablissement de bases militaires américaines et mis en porte-à-faux son président centriste José Raul Mulino, un allié naturel des Etats-Unis.Le président américain clame depuis qu’il a pris ses fonctions en janvier vouloir contrer l'”influence chinoise” sur cette voie commerciale interocéanique. Après une visite au Panama et un coup de pression de son secrétaire d’Etat Marco Rubio, le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, a obtenu la semaine dernière la signature d’un accord avec le gouvernement Mulino autorisant les États-Unis à déployer des soldats dans les zones adjacentes au canal.Un sujet sensible au Panama, où les forces armées américaines sont intervenues en décembre 1989 pour faire chuter l’ancien dictateur Manuel Antonio Noriega, accusé de trafic de drogue.Les Etats-Unis avaient ensuite entamé en 1994 un processus de retrait de leurs bases militaires, installées pour protéger ce canal datant de 1914, avant de remettre la gestion de ce dernier au Panama le 31 décembre 1999.- Réel retour des bases américaines ? -Bien que l’accord ne mentionne pas explicitement des “bases militaires”, Washington pourra disposer au Panama de forces militaires de rotation, comme celles qu’il a en Australie et ailleurs, pour “formation”, “exercices” et autres manÅ“uvres.Par périodes de trois ans renouvelables, des troupes seront déployées sur trois bases (aérienne, aéronavale et navale) construites lorsque les Américains disposaient d’une enclave dans la zone autour du canal.”Il y a une violation flagrante” de la Constitution qui interdit les bases étrangères et des traités de 1977 qui établissent la “neutralité” du canal et stipulent que seul le Panama disposera de forces militaires sur son territoire national, a déclaré à l’AFP Euclides Tapia, professeur panaméen de relations internationales.Cependant, ces traités ont laissé une ouverture : “Ils permettent aux États-Unis de défendre le canal lorsque celui-ci est considéré comme menacé”, rappelle à l’AFP l’analyste Will Freeman, du Conseil des Relations internationales, à New York.Benjamin Gedan, un ancien directeur pour l’Amérique du Sud du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, affirme que le Panama a toujours pleinement coopéré avec les États-Unis dans cette “coresponsabilité” quant à la sécurisation du canal.L’avocat Arturo Hoyos ne voit quant à lui aucune violation des lois ou des traités, car l’accord récemment signé n’implique pas de présence militaire étrangère “exclusive” mais des opérations “communes”.- Le gouvernement panaméen se défend d’avoir cédé -Le président Mulino soutient n’avoir pas cédé le moindre centimètre carré de souveraineté, malgré les pressions de Pete Hegseth qui réclame des “bases militaires”.Le gouvernement panaméen défend qu’il ne s’agit nullement de bases américaines, que les installations et les terrains appartiennent au Panama et seront utilisés “en commun” par les forces de sécurité des deux pays.Mais les critiques ont fusé. L’ex-candidat à la présidentielle, Ricardo Lombana, a accusé M. Mulino de déguiser la “reddition” en “coopération”.”Les États-Unis nous recolonisent et nous réoccupent”, a affirmé Julio Yao, qui a conseillé le gouvernement panaméen pendant les négociations de 1977.La politologue Natasha Lindstaedt, de l’Université britannique d’Essex, a estimé auprès de l’AFP que la pression de l’administration Trump sur des pays comme le Panama pouvait “provoquer des divisions” au sein des gouvernements sur la manière de “gérer” Washington.- Que cherche réellement Trump ? -Les États-Unis considèrent que l’entreprise hongkongaise Hutchinson, qui exploite deux ports aux extrémités du canal, constitue une “menace” pour leur sécurité.”Trump veut minimiser le risque que Pékin bloque le canal pour empêcher le passage de navires militaires dans le cas d’un éventuel conflit”, avance Benjamin Gedan, professeur à l’université Johns Hopkins, aux Etats-Unis.Natasha Lindstaedt partage cet avis, mais estime que “cela fait partie d’un conflit plus vaste : les États-Unis tentent de freiner l’influence chinoise au Panama et dans la région”.Selon Will Freeman, Donald Trump “cherche probablement à démontrer que, s’il le voulait, il pourrait fermer le canal au commerce chinois” pour, par exemple, empêcher la Chine d'”envahir Taïwan”, qu’elle considère comme faisant partie de son territoire. “Nous voyons au Panama la doctrine Trump de la paix par la force”, a-t-il commenté.D’autres, comme Euclides Tapia, ne croient pas à une quelconque menace chinoise sur le canal de Panama. “Ils l’inventent”, dit-il. Selon lui, les déclarations du président Trump sur le Canada, le canal de Panama et le Groenland sont “une mise en scène destinée à l’opinion publique américaine”.

C1: Willian Pacho, fébrilité surprise d’un pilier de la saison parisienne

Coupable de plusieurs erreurs, malchanceux dans ses déviations et mangé dans les duels, le défenseur Willian Pacho, jusque-là solide pour sa première saison parisienne, a été le symbole d’un Paris SG paniqué par le réveil d’Aston Villa déchaîné (défaite 3-2).Jusque-là, le scénario était idéal pour le PSG, qui avait semblé prouver une fois de plus sa nouvelle efficacité clinique et sa force mentale. Achraf Hakimi et Nuno Mendes, les deux latéraux supersoniques, davantage ailiers que défenseurs, avaient marqué deux buts pour mettre à l’abri leur équipe.Du moins c’est ce qu’ils pensaient. Mais à la 34e minute, une déviation dans son but par Willian Pacho d’un tir de Youri Tielemans, a inauguré le manque de réussite et l’insuffisance qui allaient hanter l’arrière-garde parisienne pour le restant de la partie (2-1).D’autant plus symbolique que Pacho, recruté l’été dernier auprès de Francfort, était jusque-là la grande nouveauté satisfaisante en défense, titulaire sur tous les gros matches au côté du capitaine Marquinhos. Quelques relances imprécises avaient déjà donné une idée de ses doutes, dans un Villa Park déchaîné.Le Brésilien, lui, n’est pas connu pour sa sérénité à toute épreuve, lui qui avait vécu la remontada contre Barcelone en mars 2017 (4-0, 1-6), où il avait sombré comme ses partenaires, et peut-être un peu plus. Mardi soir, il a plusieurs fois harangué son jeune coéquipier (23 ans). Mais cela a été largement inefficace et lui-même a paru fébrile sur plusieurs relances, mou sur quelques duels.Sur le but de McGinn à la 55e minute, l’Equatorien n’est pas le seul à oublier de faire pressing sur la percée du numéro 7, mais c’est bien Willian Pacho qui dévie le tir et permet qu’il lobe Donnarumma, désarçonné (2-2).- Ressaisissement -Deux minutes, plus tard, encore sonné, le flanc gauche de la défense (Nuno Mendes et… Pacho) est enrhumé par Marcus Rashford à la suite d’un corner. Le joueur prêté par Manchester United centre pour Konsa qui expédie son tir à ras de terre dans le petit filet de Donnarumma (3-2).Lors du dernier quart de la partie, la défense a pu profiter d’un ressaisissement général de l’équipe, notamment d’un milieu qui a davantage gardé le ballon. Lors des moments chauds qui ont continué de se présenter, Willian Pacho a été plus sûr. A la 74e minute, il est bien revenu sur Marcus Rashford parti pour s’offrir un duel face à Donnarumma.Puis il a coupé un centre sur une passe très dangereuse; il a alors bien surgi (80e).Une franche discussion a ensuite eu lieu avec Marquinhos, dans le rond central, sur l’un des seuls moments de répit de la deuxième mi-temps, quand Doué obtient un coup franc aux abords de la surface adverse.Le numéro 51 a finalement réussi à garder sa contenance, et fait parler son physique, son coup d’œil et son intelligence au duel en fin du match, sauvant même son équipe sur une frappe de Ian Maatsen dans le temps additionnel. C’est à Pacho, encore jeune, de faire de ce mauvais souvenir, sans conséquence sur la qualification du PSG, une expérience utile pour son développement futur.

C1: le Barça résiste à Dortmund et retrouve le dernier carré

Facile vainqueur à l’aller (4-0), Barcelone s’est fait une grosse frayeur en s’inclinant 3 à 1 à Dortmund, auteur d’une remontada inachevée avec un triplé de Serhou Guirassy (5-3 pour le Barça au cumul), en quarts de finale de la Ligue des champions.Après six années d’absence, Barcelone retrouve donc le dernier carré de la compétition reine du foot européen. Pour une place en finale à l’Allianz Arena de Munich le 31 mai, dix ans après la dernière en 2015 (un sacre à Berlin contre la Juventus), les hommes d’Hansi Flick affronteront l’Inter Milan ou le Bayern Munich, qui s’affrontent mercredi soir à San Siro, dans un quart de finale indécis (2-1 pour les Nerazzurri à l’aller en Bavière).La manche aller se déroulera en Espagne, au stade olympique de Montjuic sur les hauteurs de Barcelone les 29 et 30 avril, alors que le retour se disputera à San Siro ou à l’Allianz Arena les 6 ou 7 mai.Heureusement que les coéquipiers de Ronald Araujo, capitaine du soir pour le Barça, ont eu la bonne idée de s’imposer largement il y a une semaine dans leur stade, car comme lors du duel au Westfalenstadion entre les deux équipes au moment de la phase de groupes en décembre (victoire barcelonaise 3-2 au bout du suspense), Dortmund a fait douté les Blaugrana, jusqu’à refaire la moitié de son retard au début de la seconde période, puis à l’entame du dernier quart d’heure.Contraint à un exploit – remonter un écart de quatre buts après le match aller – que seul le FC Barcelone est parvenu à réaliser en 2017 contre le Paris SG, le Borussia a lancé son opération de la meilleure des façons avec un pressing très haut sur le but de Barcelone, récompensé après moins de dix minutes de jeu.- Guirassy meilleur buteur -Lancé dans la surface de réparation et couvert par le latéral droit français Jules Koundé, Pascal Gross a été fauché dans la surface de réparation par le gardien de but polonais du Barça Wojciech Szczesny. L’arbitre n’a pas hésité pour désigner le penalty, que Serhou Guirassy a transformé sous barre transversale, dans un tir à mi-chemin entre le plat du pied et la Panenka.Étouffé pendant près d’une demi-heure, le Barça a repris timidement le contrôle du jeu, grâce à son trident offensif Lamine Yamal, Robert Lewandowski et Raphinha, peinant toutefois à se créer des occasions franches pendant 90 minutes. En défense, ils ont joué à se faire peur, avec un placement haut qui a souvent mis les joueurs de Dortmund en position de hors-jeu, même si cela a été parfois très limite.En début de seconde période, Szczesny a réalisé une double parade devant Karim Adeyemi et Pascal Gross, mais n’a rien pu sur le corner suivant. Rami Bensebaini a repris de la tête au second poteau et remisé sur Guirassy qui y est allé de son doublé à la 49e minute.Si Bensebaini, jusque-là impeccable, a trompé son propre gardien cinq minutes plus tard, Guirassy a inscrit son premier triplé en Ligue des champions à la 76e minute, après un superbe travail de Julien Duranville sur le côté droit. Il a alors repris la tête du classement des buteurs avec 13 réalisations, devant Raphinha (12) et Lewandowski (11), et a redonné espoir aux 81.365 spectateurs du Westfalenstadion, au pied du Mur Jaune, immense tribune debout de 25.000 places. En vain.Le Barça n’est plus invaincu en 2025, une piqûre de rappel avant les semaines décisives de la saison, et un quintuplé encore possible.

Global stocks mixed amid lingering unease over trade war

Global stocks were mixed Tuesday as investors digested strong bank earnings and monitored ongoing developments in the US-China trade war amid lingering unease over last week’s market gyrations.Some stability has returned to markets after last week’s roller-coaster ride over Trump’s stop-start tariff announcements, but uncertainty remains over speculation of new levies on high-end technology and pharmaceuticals.”While financial markets have steadied, with many looking as if they are consolidating at current levels, this feels as if it is the calm before the storm,” said David Morrison, senior analyst at financial services firm Trade Nation.”Markets remain skittish, and investors feel safer sitting on their hands for now, hoping that last week’s worrying dislocations revert back to normal,” he said.Wall Street stocks finished lower after two positive sessions.A White House spokeswoman described the ball as being “in China’s court” in the trade war between Washington and Beijing.”Will we have relief or progress with the trade tariff situation or is the situation going to get worse?” said Adam Sarhan of 50 Park Investments. “We don’t know. That question mark is leading investors to hold off from taking any big positions.”Shares in Bank of America and Citigroup climbed after the financial giants posted solid earnings reports.Boeing slumped as Trump said China “reneged” on a major deal with the US aviation giant, after Bloomberg reported that Beijing ordered airlines not to take further deliveries from the company amid an escalating trade war. Shares in European rival Airbus rose.European indices closed higher, with London and Frankfurt gaining 1.4 percent each.Paris made more modest gains, weighed down by shares in Louis Vuitton owner LVMH falling almost eight percent over weak sales. The group was overtaken by rival Hermes as France’s most valuable company by market capitalization.Shares in European and Asian automakers rallied following Trump’s comments on Monday that he was “very flexible” and “looking at something to help some of the car companies” hit by his 25 percent tariff on all imports.”This serves to double down on the weekend narrative that Trump will reverse some of his tariffs once company execs approach him to highlight the huge negative implications of his action,” said Joshua Mahony, chief market analyst at Scope Markets.  In Asia, Toyota jumped 3.7 percent and Hyundai more than four percent.But in the United States, General Motors and Ford slumped.- Key figures around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 0.4 percent at 40,368.96 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.2 percent at 5,396.63 (close)New York – Nasdaq: DOWN 0.1 percent at 16,823.17 (close)London – FTSE 100: UP 1.4 percent at 8,249.12 (close)Paris – CAC 40: UP 0.9 percent at 7,335.40 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.4 percent at 21,253.70(close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 34,267.54 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 21,466.27 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,267.66 (close)Dollar/yen: UP at 143.18 yen from 143.09 yen on MondayEuro/dollar: DOWN at $1.1291 from $1.1351Pound/dollar: UP at $1.3232 from $1.3190Euro/pound: DOWN at 85.30 pence from 86.05 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.3 percent at $61.33 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.3 percent at $64.67 per barrel

Trump resurrects ghost of US military bases in Panama

US President Donald Trump’s bid to take back control of the Panama Canal has put his counterpart Jose Raul Mulino in a difficult position and revived fears in the Central American country that US military bases will return.After Trump vowed to reclaim the interoceanic waterway from Chinese influence, US Defense Secretary Pete Hegseth signed an agreement with the Mulino administration last week for the United States to deploy troops in areas adjacent to the canal.For more than two decades, after handing over control of the strategically vital waterway to Panama in 1999 and dismantling the bases that protected it, Washington has regularly conducted maneuvers in the country.So what is changing and why is the new agreement causing controversy?- Will US military bases return? -Although the agreement does not allow the United States to build its own permanent bases, Washington will be able to maintain a long-term rotational force in Panama, similar to the one it has in Australia and other countries, for training, exercises and “other activities.”The United States will be able to deploy an unspecified number of personnel to three bases that Washington built when it previously had an enclave in the canal zone.That is a “flagrant violation” of the constitution, which prohibits foreign bases, and the 1977 handover treaties that establish the “neutrality” of the canal and permit only Panama to have military forces on national territory, Euclides Tapia, a Panamanian professor of international relations, told AFP.But there is a loophole: one of the treaties “allows the US to defend the canal when it feels the neutrality is jeopardized,” said Will Freeman, an expert at the Council on Foreign Relations, a US-based think tank.Benjamin Gedan, former director for South America on the US National Security Council, argues that Panama has cooperated with the United States in securing the canal. Panamanian lawyer Arturo Hoyos sees no violation of laws or treaties, as the new agreement allows “joint” operations.- Is Mulino in trouble? -Mulino’s government says that the facilities and land belong to Panama and will be for “joint use” by US and Panamanian security forces.He maintains that he has not ceded an inch of sovereignty to Trump, a natural right-wing allyThe agreement is a “trade-off” because it “limits the Trump administration’s pressure tactics and hostility and maybe the scope of the concessions” by Panama, Freeman said.”The risk that nobody’s pricing in, at least on the US side, is that they make Mulino a lame duck” by humiliating him, leaving the Panamanian leader “unable to govern,” he added.Former presidential candidate Ricardo Lombana accused Mulino of “camouflaging” military bases and disguising “surrender” as “cooperation.””The United States is recolonizing and reoccupying us,” said Julio Yao, who advised the Panamanian government in the 1977 negotiations.Gedan, a professor at Johns Hopkins University, believes Panamanians “are not willing” to allow the return of US bases due to the trauma of the past occupation of the canal zone and the 1989 US invasion to overthrow dictator Manuel Antonio Noriega.- What does Trump really want? -The United States considers a Hong Kong company’s operation of ports at both ends of the canal to be a threat to its national security.”Trump wants to minimize the risk of Beijing blocking the canal to prevent the passage of military vessels in a potential conflict,” Gedan said.Natasha Lindstaedt, an expert at Britain’s University of Essex, sees the US moves as “part of a larger conflict with China as the US is trying to curb China’s influence in Panama and the region more generally.”Freeman said that the Trump administration “most likely is trying to show that if it wanted to, it could close the canal to Chinese commerce as a way of exerting pressure on China, either not to invade Taiwan or in the event of a conflict over Taiwan.””What we’re seeing in Panama is also about Trump’s doctrine of peace through strength,” he said.But Tapia was skeptical that China really poses a threat, suggesting the threats were aimed at boosting Trump’s domestic support.”Canada becoming part of the United States or saying that they will take over the canal and Greenland is just a gimmick aimed at the American public,” he said.

“L’amour avec vous”: Polnareff à la barre pour l’ouverture du Printemps de Bourges

Le Printemps de Bourges a ouvert mardi sa 49e édition en même temps que le bal des festivals musicaux, avec une pluie de stars, dont le retour de Michel Polnareff, et des nuages sur le plan budgétaire.Le chanteur à tubes, dont “Goodbye Marylou”, rempile à 80 ans pour une nouvelle – et peut-être dernière – tournée, dont Bourges est la première date française, après un démarrage à Londres.Assis à son piano, coiffé d’un chapeau de cowboy et lunettes blanches sur le nez, Polnareff a entamé son show avec un “Bal des Laze” poussif, devant une salle comble.”Avant de monter sur scène, je suis toujours dans un état absolument épouvantable. Et ça prend 2-3 titres pour se dire: bon, je suis content d’être là”, confiait “Polna” à l’AFP, fin mars.Mais le rythme s’est ensuite accéléré, avec une voix toujours présente pour chanter ses succès des années 1960 à 1980: “Tam Tam”, “La poupée qui fait non” et “L’Amour avec toi” dont il a remplacé les paroles par “l’amour avec vous”.Il a aussi invité le public à lui souffler le prochain morceau, façon “chanson à la demande”.- “Amiral” et moussaillons -“L’Amiral” montre qu’il n’est pas encore prêt à lâcher la barre, après avoir essuyé des critiques sur la qualité de prestations en 2023.Il revient avec “Un temps pour elles”, un album attendu le 25 avril.Avant lui, Emma Peters a lancé la soirée: la chanteuse, qui a explosé avec un remix de sa reprise de “Clandestina”, a été bercée par les tubes de Michel Polnareff. “J’avais un double CD à la maison que j’écoutais sur mon walkman, donc c’est vraiment un plaisir d’être programmée avec lui ce soir”, a-t-elle confié à l’AFP, avant son concert.L’affiche du Printemps se décline aussi sous différents styles: la “grenade” pop Clara Luciani, l’indébranchable Jean-Louis Aubert, l’artiste électro The Avener ou encore Lucky Love et Styleto, tous deux nommés aux dernières Victoires de la musique.La fin de semaine se fera plus rap, avec la nouvelle référence Tiakola, la star algérienne Soolking, l’ancien youtubeur Théodort (“Wayeh”) ou encore Vald, de retour avec son remarqué “Pandémonium”.La découverte continue également d’être l’ADN du festival du centre de la France: depuis 40 ans, son dispositif national d’accompagnement, les Inouïs, a pris sous son aile 1.600 artistes. Feu! Chatterton, Fishbach et Eddy de Pretto – président du jury 2025 -, y sont passés.Le Printemps de Bourges dévoile en parallèle six créations, dont une célébration du répertoire d’Oum Kalthoum, disparue il y a 50 ans.”C’est un peu magique: il y a des têtes d’affiche et tout un tas d’artistes pour les +djeuns+ (“les jeunes”) ou moins connus”, s’enthousiasme Erika Maurice, 54 ans, venue avec sa fille. Même si “ça a changé, j’ai connu l’époque Daniel Colling (co-fondateur du festival décédé en janvier), c’étaient des javas non-stop !”.Un hommage lui sera rendu mercredi, en présence de la ministre de la Culture Rachida Dati.- Coup de rabot -Les concerts se tiennent jusqu’à samedi mais le festival bat jusqu’à dimanche avec “le Printemps dans la ville”, sa déclinaison gratuite.Tous espaces confondus, Bourges a accueilli environ 250.000 festivaliers l’année dernière.A l’approche de la cinquantaine, le Printemps ne peut pas se reposer sur ses lauriers: entre baisse des crédits et inflation des coûts de production et des cachets, l’effet ciseau plombe ses finances.Pour la première fois en dix ans, le budget – 7,5 millions d’euros en 2024 – a été revu à la baisse, amputé de 400.000 euros de financement, dont 250.000 euros d’aides publiques. Une situation qui reflète de récents arbitrages politiques défavorables au milieu culturel.”C’est une décroissance contrainte”, observe son directeur Boris Vedel, estimant qu’il n’y a pas d’autre choix que de “se renforcer sur l’émergence”, plutôt que lorgner sur de gros noms.Ce constat est similaire à celui d’autres festivals, qui font également face à une offre multiple, un changement de consommation des jeunes fans et sont à la merci des caprices météorologiques. Selon le Centre national de la musique, 44% des festivals affichant des taux de remplissage supérieurs à 90% ont bouclé une édition déficitaire en 2024. 

Sudan paramilitary chief declares rival government two years into warTue, 15 Apr 2025 20:38:05 GMT

Sudan’s paramilitary declared on Tuesday the establishment of government rivalling the army-backed administration, two years into a war that has triggered the world’s worst humanitarian crisis.The war that erupted on April 15, 2023 has killed tens of thousands of people and displaced 13 million, with no sign of peace on the horizon.The fighting has pitted …

Sudan paramilitary chief declares rival government two years into warTue, 15 Apr 2025 20:38:05 GMT Read More »