US singer Chris Brown denies more charges in UK assault case

American R&B singer Chris Brown on Friday pleaded not guilty in a UK court to further charges stemming from an alleged London nightclub brawl in 2023.Fans of the singer, who is in the middle of an international tour, packed the public gallery at London’s Southwark Crown Court.Brown, who had a troubled relationship with Barbadian singer Rihanna, turned to face his supporters at the end of the hearing, waving and blowing them a kiss.”I love you Chris,” one of them said.He formally entered not guilty pleas to charges of assault occasioning actual bodily harm and having an offensive weapon — a bottle — in a public place.Brown, who is on £5.0 million ($6.7 million) bail, spent nearly a week in jail in May before being released.Police arrested him at a five-star hotel in the northwestern city of Manchester hours after he reportedly flew in by private jet.Judge Tony Baumgartner earlier gave him the green light to continue his scheduled tour, which began on June 8 in Amsterdam.Under the terms of his bail, Brown will forfeit the £5.0 million guarantee if he fails to return for court proceedings.- Not guilty pleas -At a hearing last month, Brown entered a not guilty plea to the more serious charge of attempting to cause grievous bodily harm with intent.The charges all relate to the same alleged incident at Tape, an exclusive private members’ club in Hanover Square in London, on February 19, 2023, while Brown was touring in the UK.The victim was allegedly struck several times with a bottle before being pursued, punched and kicked.Brown appeared in the dock on Friday with co-defendant Omololu Akinlolu, 39, also a US national, with whom he is jointly charged.Akinlolu also entered a not guilty plea to the same actual bodily harm charge.At the earlier hearing he denied the charge of attempting to cause grievous bodily harm.Both men are expected to stand trial in October 2026.

Réforme de l’audiovisuel public: Dati déclenche le “vote bloqué”

Face à l'”obstruction” de la gauche, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a déclenché vendredi au Sénat la procédure du “vote bloqué” sur la proposition de loi réformant l’audiovisuel public, dans l’espoir de faire adopter le texte avant la fin de la session extraordinaire, prévue à minuit.Un peu plus d’une demi-heure après la reprise des débats, Mme Dati a annoncé que le gouvernement demandait au Sénat “de se prononcer par un vote unique sur l’ensemble du texte”, “en application de l’article 44 alinéa 3 de la Constitution”.Cette procédure très rarement utilisée permet d’accélérer les débats en n’organisant qu’un seul vote, sur le texte et les amendements que le gouvernement choisit de conserver.”Après plus de sept heures de débat, nous n’avons pu débattre que de 31 amendements sur ce texte. On a vu encore ce matin (…) de l’obstruction, toujours de l’obstruction et encore de l’obstruction”, a-t-elle justifié. Il reste environ 300 amendements à débattre.”Rachida Dati refuse le débat sur sa réforme de l’audiovisuel public”, a dénoncé le groupe PS sur X. Par ce vote bloqué, elle “annonce son objectif réel : fragiliser notre service public de l’audiovisuel”, a-t-il ajouté, rappelant que le débat n’avait déjà pu avoir lieu à l’Assemblée, en raison d’une motion de rejet votée dès l’entame des discussions.Les débats, suspendus vers 10H15, ont repris près de deux heures plus tard.Le président de séance Didier Mandelli (LR) a pris acte de la demande du gouvernement à la reprise.Les orateurs de la gauche ont successivement protesté contre ce “coup de force”, selon le mot de l’ancienne ministre socialiste Laurence Rossignol. “On parle de liberté de la presse. Mais commençons déjà par respecter les droits du Parlement”, a-t-elle tonné, en rappelant que le Sénat avait d’outres outils à sa disposition pour discipliner les discussions.Interrogée à l’issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas (LR), a relevé la “route chaotique” de cette proposition de loi, dont l’inscription à l’Assemblée a été maintes fois repoussée. “Naturellement, si les travaux s’arrêtent ce soir ou (…) demain et qu’ils ne sont pas terminés, ils se poursuivront à l’automne”, a-t-elle dit.

Réforme de l’audiovisuel public: Dati déclenche le “vote bloqué”

Face à l'”obstruction” de la gauche, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a déclenché vendredi au Sénat la procédure du “vote bloqué” sur la proposition de loi réformant l’audiovisuel public, dans l’espoir de faire adopter le texte avant la fin de la session extraordinaire, prévue à minuit.Un peu plus d’une demi-heure après la reprise des débats, Mme Dati a annoncé que le gouvernement demandait au Sénat “de se prononcer par un vote unique sur l’ensemble du texte”, “en application de l’article 44 alinéa 3 de la Constitution”.Cette procédure très rarement utilisée permet d’accélérer les débats en n’organisant qu’un seul vote, sur le texte et les amendements que le gouvernement choisit de conserver.”Après plus de sept heures de débat, nous n’avons pu débattre que de 31 amendements sur ce texte. On a vu encore ce matin (…) de l’obstruction, toujours de l’obstruction et encore de l’obstruction”, a-t-elle justifié. Il reste environ 300 amendements à débattre.”Rachida Dati refuse le débat sur sa réforme de l’audiovisuel public”, a dénoncé le groupe PS sur X. Par ce vote bloqué, elle “annonce son objectif réel : fragiliser notre service public de l’audiovisuel”, a-t-il ajouté, rappelant que le débat n’avait déjà pu avoir lieu à l’Assemblée, en raison d’une motion de rejet votée dès l’entame des discussions.Les débats, suspendus vers 10H15, ont repris près de deux heures plus tard.Le président de séance Didier Mandelli (LR) a pris acte de la demande du gouvernement à la reprise.Les orateurs de la gauche ont successivement protesté contre ce “coup de force”, selon le mot de l’ancienne ministre socialiste Laurence Rossignol. “On parle de liberté de la presse. Mais commençons déjà par respecter les droits du Parlement”, a-t-elle tonné, en rappelant que le Sénat avait d’outres outils à sa disposition pour discipliner les discussions.Interrogée à l’issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Sophie Primas (LR), a relevé la “route chaotique” de cette proposition de loi, dont l’inscription à l’Assemblée a été maintes fois repoussée. “Naturellement, si les travaux s’arrêtent ce soir ou (…) demain et qu’ils ne sont pas terminés, ils se poursuivront à l’automne”, a-t-elle dit.

3.000 fûts cartographiés dans une décharge nucléaire au milieu de l’Atlantique

Que deviennent les 200.000 fûts de déchets radioactifs immergés dans l’océan Atlantique? Une mission scientifique en a recensé plus de 3.000, dont certains éventrés, mais aucune anomalie majeure de radioactivité n’a été constatée, ont annoncé les chercheurs vendredi.”Il y a des fûts quasiment intacts et d’autres extrêmement dégradés”, a décrit Patrick Chardon, co-chef de la mission et ingénieur en métrologie nucléaire (CNRS, Université de Clermont Auvergne).Menée à bord du navire L’Atalante, de la flotte océanographique française, cette expédition baptisée “Nodssum” a regagné Brest après un mois de campagne en mer. Vendredi matin, grutiers et dockers s’affairaient pour débarquer les milliers d’échantillons scientifiques récoltés dans les abysses. Entre 1946 et 1993, plus de 200.000 fûts remplis de déchets radioactifs ont été abandonnés dans la plaine abyssale de l’océan Atlantique Nord-Est, dans les eaux internationales, à plus de 4.000 mètres de profondeur. L’Allemagne, la Belgique, la France, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse ont participé à ces immersions.”On ne sait pas du tout ce qu’il y avait dedans. Il n’y avait pas de traçabilité à l’époque”, souligne M. Chardon, en ajoutant qu’il s’agirait à priori de déchets à faible activité, comme des déchets de laboratoires, des boues de traitement ou des tuyaux contaminés. L’espace laissé vide dans les fûts était comblé par du ciment ou du bitume. Seuls l’ex-URSS et les États-Unis ont immergé d’autres types de déchets radioactifs, comme des cuves de réacteurs nucléaires contenant, pour certaines, du combustible nucléaire, selon l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).La convention de Londres de 1993 a interdit ces immersions de déchets radioactifs en mer.- 20 fûts par km2 -La mission “Nossdum”, qui réunissait 21 scientifiques venus de France, Allemagne, Canada ou Norvège, s’est concentrée sur une zone précise située à 1.000 km au sud-ouest de Brest et à 650 km au nord-ouest de La Corogne (Espagne). Plus de 150.000 fûts ont été immergés à 4.700 mètres de fond entre 1971 et 1982.Les chercheurs ont pu scruter la zone grâce au sonar à très haute résolution du submersible autonome Ulyx de l’Ifremer, qui a réalisé à cette occasion sa première mission scientifique. En 17 plongées, Ulyx a ainsi pu prendre 50 fûts en photo et cartographier 3.350 fût sur 163 km2, soit une densité de 20 fûts par km2 . Les outils de mesure de radioprotection ont fait état de valeurs du même niveau que le bruit de fond environnemental. “C’est plutôt rassurant”, a reconnu M. Chardon. “Mais on ne s’attendait pas à constater de radioactivité très conséquente, vu les distances auxquelles on a opéré.”Les scientifiques ont prélevé plus de 300 échantillons de sédiments dans la vase à 150 mètres des fûts. Ils ont capturé 17 grenadiers, des poissons vivant dans les abysses, et remonté 5.000 litres d’eau.Tous ces prélèvements vont faire l’objet de mesures très fines en laboratoire dans les prochains mois pour évaluer leur contamination éventuelle par des éléments radioactifs.Une seconde mission doit en outre être organisée d’ici un ou deux ans pour s’approcher au plus près des fûts et y prélever les organismes marins qui les peuplent, notamment des anémones.  A terme, l’objectif n’est pas de remonter ces fûts radioactifs, une solution “technologiquement possible mais au coût absolument monstrueux”, explique M. Chardon.En fonction des résultats, “on va pouvoir estimer s’il faut faire une évaluation plus rapprochée à l’avenir” de ces décharges nucléaires en mer, souligne le chercheur. “L’idée au départ, c’était de faire une évaluation tous les 25 ans. Ça n’a jamais été fait depuis”.La mission “Nossdum” était en effet la première de ce type depuis les campagnes menées dans les années 80 par le CEA et l’Ifremer sur la même zone d’immersion. Grâce à un sous-marin inhabité, six fûts avaient déjà été photographiés et semblaient intacts mais avec des marques de corrosion.

3.000 fûts cartographiés dans une décharge nucléaire au milieu de l’Atlantique

Que deviennent les 200.000 fûts de déchets radioactifs immergés dans l’océan Atlantique? Une mission scientifique en a recensé plus de 3.000, dont certains éventrés, mais aucune anomalie majeure de radioactivité n’a été constatée, ont annoncé les chercheurs vendredi.”Il y a des fûts quasiment intacts et d’autres extrêmement dégradés”, a décrit Patrick Chardon, co-chef de la mission et ingénieur en métrologie nucléaire (CNRS, Université de Clermont Auvergne).Menée à bord du navire L’Atalante, de la flotte océanographique française, cette expédition baptisée “Nodssum” a regagné Brest après un mois de campagne en mer. Vendredi matin, grutiers et dockers s’affairaient pour débarquer les milliers d’échantillons scientifiques récoltés dans les abysses. Entre 1946 et 1993, plus de 200.000 fûts remplis de déchets radioactifs ont été abandonnés dans la plaine abyssale de l’océan Atlantique Nord-Est, dans les eaux internationales, à plus de 4.000 mètres de profondeur. L’Allemagne, la Belgique, la France, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse ont participé à ces immersions.”On ne sait pas du tout ce qu’il y avait dedans. Il n’y avait pas de traçabilité à l’époque”, souligne M. Chardon, en ajoutant qu’il s’agirait à priori de déchets à faible activité, comme des déchets de laboratoires, des boues de traitement ou des tuyaux contaminés. L’espace laissé vide dans les fûts était comblé par du ciment ou du bitume. Seuls l’ex-URSS et les États-Unis ont immergé d’autres types de déchets radioactifs, comme des cuves de réacteurs nucléaires contenant, pour certaines, du combustible nucléaire, selon l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).La convention de Londres de 1993 a interdit ces immersions de déchets radioactifs en mer.- 20 fûts par km2 -La mission “Nossdum”, qui réunissait 21 scientifiques venus de France, Allemagne, Canada ou Norvège, s’est concentrée sur une zone précise située à 1.000 km au sud-ouest de Brest et à 650 km au nord-ouest de La Corogne (Espagne). Plus de 150.000 fûts ont été immergés à 4.700 mètres de fond entre 1971 et 1982.Les chercheurs ont pu scruter la zone grâce au sonar à très haute résolution du submersible autonome Ulyx de l’Ifremer, qui a réalisé à cette occasion sa première mission scientifique. En 17 plongées, Ulyx a ainsi pu prendre 50 fûts en photo et cartographier 3.350 fût sur 163 km2, soit une densité de 20 fûts par km2 . Les outils de mesure de radioprotection ont fait état de valeurs du même niveau que le bruit de fond environnemental. “C’est plutôt rassurant”, a reconnu M. Chardon. “Mais on ne s’attendait pas à constater de radioactivité très conséquente, vu les distances auxquelles on a opéré.”Les scientifiques ont prélevé plus de 300 échantillons de sédiments dans la vase à 150 mètres des fûts. Ils ont capturé 17 grenadiers, des poissons vivant dans les abysses, et remonté 5.000 litres d’eau.Tous ces prélèvements vont faire l’objet de mesures très fines en laboratoire dans les prochains mois pour évaluer leur contamination éventuelle par des éléments radioactifs.Une seconde mission doit en outre être organisée d’ici un ou deux ans pour s’approcher au plus près des fûts et y prélever les organismes marins qui les peuplent, notamment des anémones.  A terme, l’objectif n’est pas de remonter ces fûts radioactifs, une solution “technologiquement possible mais au coût absolument monstrueux”, explique M. Chardon.En fonction des résultats, “on va pouvoir estimer s’il faut faire une évaluation plus rapprochée à l’avenir” de ces décharges nucléaires en mer, souligne le chercheur. “L’idée au départ, c’était de faire une évaluation tous les 25 ans. Ça n’a jamais été fait depuis”.La mission “Nossdum” était en effet la première de ce type depuis les campagnes menées dans les années 80 par le CEA et l’Ifremer sur la même zone d’immersion. Grâce à un sous-marin inhabité, six fûts avaient déjà été photographiés et semblaient intacts mais avec des marques de corrosion.

3.000 fûts cartographiés dans une décharge nucléaire au milieu de l’Atlantique

Que deviennent les 200.000 fûts de déchets radioactifs immergés dans l’océan Atlantique? Une mission scientifique en a recensé plus de 3.000, dont certains éventrés, mais aucune anomalie majeure de radioactivité n’a été constatée, ont annoncé les chercheurs vendredi.”Il y a des fûts quasiment intacts et d’autres extrêmement dégradés”, a décrit Patrick Chardon, co-chef de la mission et ingénieur en métrologie nucléaire (CNRS, Université de Clermont Auvergne).Menée à bord du navire L’Atalante, de la flotte océanographique française, cette expédition baptisée “Nodssum” a regagné Brest après un mois de campagne en mer. Vendredi matin, grutiers et dockers s’affairaient pour débarquer les milliers d’échantillons scientifiques récoltés dans les abysses. Entre 1946 et 1993, plus de 200.000 fûts remplis de déchets radioactifs ont été abandonnés dans la plaine abyssale de l’océan Atlantique Nord-Est, dans les eaux internationales, à plus de 4.000 mètres de profondeur. L’Allemagne, la Belgique, la France, l’Italie, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Suède et la Suisse ont participé à ces immersions.”On ne sait pas du tout ce qu’il y avait dedans. Il n’y avait pas de traçabilité à l’époque”, souligne M. Chardon, en ajoutant qu’il s’agirait à priori de déchets à faible activité, comme des déchets de laboratoires, des boues de traitement ou des tuyaux contaminés. L’espace laissé vide dans les fûts était comblé par du ciment ou du bitume. Seuls l’ex-URSS et les États-Unis ont immergé d’autres types de déchets radioactifs, comme des cuves de réacteurs nucléaires contenant, pour certaines, du combustible nucléaire, selon l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).La convention de Londres de 1993 a interdit ces immersions de déchets radioactifs en mer.- 20 fûts par km2 -La mission “Nossdum”, qui réunissait 21 scientifiques venus de France, Allemagne, Canada ou Norvège, s’est concentrée sur une zone précise située à 1.000 km au sud-ouest de Brest et à 650 km au nord-ouest de La Corogne (Espagne). Plus de 150.000 fûts ont été immergés à 4.700 mètres de fond entre 1971 et 1982.Les chercheurs ont pu scruter la zone grâce au sonar à très haute résolution du submersible autonome Ulyx de l’Ifremer, qui a réalisé à cette occasion sa première mission scientifique. En 17 plongées, Ulyx a ainsi pu prendre 50 fûts en photo et cartographier 3.350 fût sur 163 km2, soit une densité de 20 fûts par km2 . Les outils de mesure de radioprotection ont fait état de valeurs du même niveau que le bruit de fond environnemental. “C’est plutôt rassurant”, a reconnu M. Chardon. “Mais on ne s’attendait pas à constater de radioactivité très conséquente, vu les distances auxquelles on a opéré.”Les scientifiques ont prélevé plus de 300 échantillons de sédiments dans la vase à 150 mètres des fûts. Ils ont capturé 17 grenadiers, des poissons vivant dans les abysses, et remonté 5.000 litres d’eau.Tous ces prélèvements vont faire l’objet de mesures très fines en laboratoire dans les prochains mois pour évaluer leur contamination éventuelle par des éléments radioactifs.Une seconde mission doit en outre être organisée d’ici un ou deux ans pour s’approcher au plus près des fûts et y prélever les organismes marins qui les peuplent, notamment des anémones.  A terme, l’objectif n’est pas de remonter ces fûts radioactifs, une solution “technologiquement possible mais au coût absolument monstrueux”, explique M. Chardon.En fonction des résultats, “on va pouvoir estimer s’il faut faire une évaluation plus rapprochée à l’avenir” de ces décharges nucléaires en mer, souligne le chercheur. “L’idée au départ, c’était de faire une évaluation tous les 25 ans. Ça n’a jamais été fait depuis”.La mission “Nossdum” était en effet la première de ce type depuis les campagnes menées dans les années 80 par le CEA et l’Ifremer sur la même zone d’immersion. Grâce à un sous-marin inhabité, six fûts avaient déjà été photographiés et semblaient intacts mais avec des marques de corrosion.

Greece freezes asylum claims over migrant ‘invasion’ from LibyaFri, 11 Jul 2025 11:34:41 GMT

Greece on Friday enforced a three-month freeze on asylum claims from migrants arriving by boat from North Africa, to stem a surge from Libya that the government has called an “invasion”.The emergency legislation, approved by a majority of 177 out of 293 lawmakers, allows authorities to detain asylum seekers in camps for up to 18 months.Support …

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A Paris, les ailes du Moulin Rouge tournent de nouveau

Quatorze mois après leur chute accidentelle, les ailes du Moulin Rouge, l’un des symboles touristiques de Paris dans le monde entier, ont recommencé à tourner jeudi soir dans le ciel de la capitale française.”Toute la troupe est très heureuse de retrouver nos ailes, qui sont les ailes de Paris”, a confié à l’AFP Cyrielle, l’une des 60 danseuses du cabaret parisien.Peu avant 23h00 (21H00 GMT), ces décorations, d’un diamètre de plus de douze mètres, se sont animées grâce à la mise en marche d’un moteur électrique flambant neuf et réalisé sur mesure.Pour l’occasion, la troupe du Moulin Rouge s’est produite devant l’établissement, dans une profusion de plumes rouges virevoltantes symbolisant le réveil des ailes. Plusieurs centaines de badauds sont venus assister à cette renaissance, interrompant la circulation sur ce boulevard très fréquenté du nord de Paris. Sur le toit de l’établissement, des danseurs ont célébré ce redémarrage avec des feux d’artifice à la main.”J’adore le cabaret, le music-hall. C’est un moment super sympa, presque émouvant”, s’est réjoui Stéphane, 46 ans, qui ne voulait pas manquer l’événement.Le 25 avril 2024, le cabaret immortalisé par le peintre Toulouse-Lautrec au XIXe siècle et par le film de Baz Luhrmann avec Nicole Kidman (2001), s’était réveillé sans ses ailes.Elles étaient tombées dans la nuit sans faire de blessés, en raison d’une défaillance au niveau de l’axe central, créant la stupeur parmi les habitants du quartier et au-delà.Dans leur chute, elles avaient entraîné les trois premières lettres du nom du lieu accrochées sur sa façade dans le 18e arrondissement de Paris, au pied de la Butte Montmartre.- Quatre pales rouge et or -Resté ouvert depuis l’accident, le Moulin Rouge est particulièrement renommé pour son French Cancan, la danse traditionnelle endiablée des opérettes d’Offenbach du milieu du XIXe siècle. Le 5 juillet 2024, une semaine avant le passage de la flamme olympique pour les Jeux de Paris, le Moulin Rouge avait inauguré quatre nouvelles ailes, mélange d’aluminium et d’acier, mais le nouveau moteur nécessaire à leur rotation n’avait pas été prêt à temps.”Les ailes ont toujours tourné au Moulin Rouge, donc il fallait qu’on redonne ce symbole parisien à Paris, à la France et dans l’état dans lequel il était avant”, a déclaré à l’AFP Jean-Victor Clérico, directeur général de l’établissement qui attire chaque année 600.000 visiteurs.Désormais, les ailes du Moulin Rouge tourneront chaque jour de 16H00 à 02H00 du matin.Illuminées par des centaines d’ampoules rouge et or, désormais des LED basse énergie, elles ont tourné pour la première fois le 6 octobre 1889, à l’ouverture du cabaret.Avec ses 90 artistes de 18 nationalités, le cabaret propose deux représentations 365 soirs par an, dans un tourbillon de plumes, de strass et de paillettes, réunissent au total 1.700 spectateurs, dont la moitié d’étrangers.Sur scène, la troupe – dont les emblématiques “Doriss Girls”, du nom de la chorégraphe du Moulin Doris Haug – présente à 21H00 et 23H30 la revue “Féérie”, hommage au cirque et à la Ville Lumière de 1900 à nos jours, avant l’incontournable French Cancan.Dans la même famille depuis quatre générations, le Moulin Rouge a créé l’an dernier dans ses murs une “cité des métiers d’art” regroupant les derniers ateliers français de plumasserie et de broderie, labellisées entreprises du Patrimoine vivant.

Stocks mostly fall as Trump ramps up tariff threats

Stock markets mostly retreated Friday as US President Donald Trump ramped up his trade war, threatening a higher blanket tariff and a 35-percent levy on Canada.Trump dampened earlier optimism by firing off more than 20 letters to governments outlining new tolls if agreements aren’t reached by August 1.Bitcoin meanwhile pushed on with its climb, reaching an all-time high above $118,000. The dollar and oil prices both gained.”The optimism from earlier in the week… is giving way to fears of an impending tariff surprise as the weekend approaches,” said Jochen Stanzl, chief market analyst at CMC Markets.In Europe, Paris and Frankfurt stock markets each dropped around one percent. Investors were awaiting news of Trump’s new tariff level targeting the European Union, with a letter expected by the end of the week. London’s FTSE 100 and the pound retreated also after data showed the UK economy unexpectedly shrank in May — its second consecutive monthly decline.That followed a mixed session in Asia where Hong Kong rose, Tokyo fell and Shanghai flattened by the close.Trump dialled up his trade war rhetoric Thursday, warning that Canada faced a 35 percent tax, while other countries would be handed blanket tariffs of up to 20 percent, from the current 10 percent.That came after he outlined plans to impose 50-percent tariffs on copper imports, while threatening 200 percent levies on pharmaceuticals, and hit Brazil with a new 50 percent charge.The moves are the latest by the White House in a campaign it says is aimed at ending decades of the United States being “ripped off”.Trump’s initial bombshell announcement of tariffs on April 2 sent markets into turmoil until he paused them for three months and the latest measures have had less impact.All three main indices on Wall Street rose Thursday, with the S&P 500 and Nasdaq hitting fresh peaks, hours after the FTSE 100 in London achieved an all-time high.Shares in BP jumped around two percent in London on Friday after the energy giant said it expected to report higher oil and gas production for its second quarter. But the FTSE 100 was down overall nearing midday.- Key figures at around 1040 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.6 percent at 8,923.68 pointsParis – CAC 40: DOWN 1.0 percent at 7,825.22 Frankfurt – DAX: DOWN 1.1 percent at 24,193.54Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.2 percent at 39,569.68 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.5 percent at 24,139.57 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,510.18 (close)New York – Dow: UP 0.4 percent at 44,650.64 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1692 from $1.1698 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3540 from $1.3576Dollar/yen: UP at 146.80 yen from 146.19 yenEuro/pound: UP at 86.36 pence from 86.16 penceBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $69.06 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.7 percent at $67.04 per barrel

Trois députés contraints de démissionner après avoir été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel

Trois députés, les élus des groupes Ensemble pour la République (EPR) Jean Laussucq et Stéphane Vojetta ainsi que celle de l’Union des droites (UDR) Brigitte Barèges, ont été déclarés inéligibles par le Conseil constitutionnel vendredi, en raison d’irrégularités dans leurs comptes de campagne.Jean Laussucq, député de Paris, Brigitte Barèges, députée du Tarn-et-Garonne, et Stéphane Vojetta, député pour les Français établis hors de France, ont été déclarés inéligibles “pour une durée d’un an” et “démissionnaires d’office” de leurs mandats, a annoncé le Conseil constitutionnel.Il est reproché à Jean Laussucq d’avoir réglé “des dépenses de campagne au moyen de son compte bancaire personnel” et d’avoir laissé des tiers régler “directement une part significative des dépenses exposées pour sa campagne électorale” de 2024.Les dépenses irrégulières “représentent 21% du montant des dépenses du compte et 10,2% du plafond des dépenses autorisées dans la circonscription” et s’élèvent à 7.030 euros, a précisé le Conseil constitutionnel.Brigitte Barèges a été épinglée pour avoir facturé la participation à sa campagne de deux collaborateurs de son cabinet à la mairie de Montauban, alors qu’elle en était la maire.Enfin, le Conseil constitutionnel a reproché à Stéphane Vojetta, élu dans une circonscription comprenant notamment l’Espagne et le Portugal, d’avoir réglé “irrégulièrement” une “part substantielle des dépenses engagées”, durant sa campagne, notamment des “frais de transport”.”On ne se débarrassera pas de moi comme cela” a écrit sur X Stéphane Vojetta, dénonçant une “décision absurde”.”Une décision politique” qui n’a “rien du juridique” pour Brigitte Barèges, qui y voit un moyen de l’empêcher de se “représenter aux élections municipales de Montauban de mars 2026”. Après la perte d’un siège, l’UDR ne possède plus que 15 députés à l’Assemblée, soit le pallier minimum pour constituer un groupe.Des élections législatives partielles devront être organisées prochainement pour désigner des nouveaux députés.Deux autres députés élus lors des législatives de juillet 2024 avaient dû remettre leurs sièges en jeu après des décisions du Conseil constitutionnel, dans le Jura et en Saône-et-Loire.