Nigerian garrison town offers haven for people fleeing jihadistsWed, 16 Jul 2025 06:08:18 GMT
From the air, Monguno looks like a fortress, with deep trenches slashing into the sand around this garrison town in northeast Nigeria’s volatile Borno State.These defences have kept the Monguno largely secure despite the region witnessing a recent surge in attacks on military bases by jihadists fighting a grinding 16-year war.Fighting in Borno may have …
L’Institut Montaigne alerte sur le “marasme démographique” et la “stagnation de la productivité”
“Marasme démographique”, “stagnation de la productivité”, et “creusement de la dette publique”: l’Institut Montaigne, cercle de réflexion libéral, dresse mercredi un bilan pessimiste de l’avenir de la France dans les quinze prochaines années, dans son rapport “France 2040: projections pour l’action politique”.La dégradation anticipée de ces trois indicateurs, en prolongeant l’évolution actuelle des courbes, vient à “obérer sérieusement les marges de manœuvre nationales”, selon la synthèse du rapport.Fruit de 18 mois de travail, l’étude vise à “mettre les politiques devant leurs responsabilités” et à “souligner le coût de l’inaction”, selon Bruno Tertrais, coordinateur du rapport.Les “tendances négatives” mises en évidence “se renforcent l’une l’autre”, dit-il. Par exemple, “le vieillissement de la population et la baisse très forte de la natalité ne va pas arranger notre problème de productivité d’ici dix à quinze ans”.Selon le rapport, d’ici à 2040, “les 65 ans ou plus représenteront 26 à 28% de la population en 2040, portant le ratio de dépendance entre actifs et inactifs à environ 50%”.Or, “si on n’a pas un renversement de tendance à la baisse du nombre d’heures travaillées […], nous risquerons d’entrer pour une très longue durée dans une économie qui sera structurellement atone du point de vue de la croissance”, pour Bruno Tertrais.L’Institut Montaigne estime que l’étude “en silo” des différentes problématiques – climat, éducation, santé, sécurité intérieure, aménagement du territoire, etc. – ne “fonctionne plus”, et pointe “une accélération des dynamiques” et “une imbrication croissante” des thématiques.Il faut ajouter à ce contexte de “double contrainte” des évolutions démographique et climatique dans les quinze prochaines années les difficultés habituelles de l’Etat “dans l’aménagement du territoire, la santé et l’école publique”, et “un environnement international de plus en plus conflictuel”, selon Bruno Tertrais.”C’est là que (ces) travers traditionnels de la France posent encore plus problème qu’il y a 30 ans”, insiste le coordinateur du rapport.
L’Institut Montaigne alerte sur le “marasme démographique” et la “stagnation de la productivité”
“Marasme démographique”, “stagnation de la productivité”, et “creusement de la dette publique”: l’Institut Montaigne, cercle de réflexion libéral, dresse mercredi un bilan pessimiste de l’avenir de la France dans les quinze prochaines années, dans son rapport “France 2040: projections pour l’action politique”.La dégradation anticipée de ces trois indicateurs, en prolongeant l’évolution actuelle des courbes, vient à “obérer sérieusement les marges de manœuvre nationales”, selon la synthèse du rapport.Fruit de 18 mois de travail, l’étude vise à “mettre les politiques devant leurs responsabilités” et à “souligner le coût de l’inaction”, selon Bruno Tertrais, coordinateur du rapport.Les “tendances négatives” mises en évidence “se renforcent l’une l’autre”, dit-il. Par exemple, “le vieillissement de la population et la baisse très forte de la natalité ne va pas arranger notre problème de productivité d’ici dix à quinze ans”.Selon le rapport, d’ici à 2040, “les 65 ans ou plus représenteront 26 à 28% de la population en 2040, portant le ratio de dépendance entre actifs et inactifs à environ 50%”.Or, “si on n’a pas un renversement de tendance à la baisse du nombre d’heures travaillées […], nous risquerons d’entrer pour une très longue durée dans une économie qui sera structurellement atone du point de vue de la croissance”, pour Bruno Tertrais.L’Institut Montaigne estime que l’étude “en silo” des différentes problématiques – climat, éducation, santé, sécurité intérieure, aménagement du territoire, etc. – ne “fonctionne plus”, et pointe “une accélération des dynamiques” et “une imbrication croissante” des thématiques.Il faut ajouter à ce contexte de “double contrainte” des évolutions démographique et climatique dans les quinze prochaines années les difficultés habituelles de l’Etat “dans l’aménagement du territoire, la santé et l’école publique”, et “un environnement international de plus en plus conflictuel”, selon Bruno Tertrais.”C’est là que (ces) travers traditionnels de la France posent encore plus problème qu’il y a 30 ans”, insiste le coordinateur du rapport.
Trump says Indonesia to face 19% tariff under trade deal
US President Donald Trump said Tuesday that he had struck a trade pact with Indonesia resulting in significant purchase commitments from the Southeast Asian country, following negotiations to avoid steeper tariffs.Indonesian goods entering the United States would face a 19 percent tariff, Trump said in a post on his Truth Social platform. This is significantly below the 32 percent level the president earlier threatened.”As part of the Agreement, Indonesia has committed to purchasing $15 Billion Dollars in US Energy, $4.5 Billion Dollars in American Agricultural Products, and 50 Boeing Jets, many of them 777’s,” Trump wrote.Boeing shares closed down 0.2 percent after the announcement.The Trump administration has been under pressure to wrap up trade pacts after promising a flurry of deals recently, as countries sought talks with Washington to avoid the US president’s tariff plans.But Trump has so far only unveiled other deals with Britain and Vietnam, alongside an agreement to temporarily lower tit-for-tat levies with China.Last week, Trump renewed his threat of a 32 percent levy on Indonesian goods, saying in a letter to the country’s leadership that this would take effect August 1.It remains unclear when the lower tariff level announced Tuesday will take effect for Indonesia. The period over which its various purchases will take place was also not specified.Trump said on social media that under the deal, which was finalized after he spoke with Indonesian President Prabowo Subianto, goods that have been transshipped to avoid higher duties would face steeper levies.He separately told reporters that other deals were in the works, including with India, while talks with the European Union are continuing.Indonesian presidential spokesman Hasan Nasbi said Wednesday the deal was “progress that cannot be called small”.”It is an extraordinary negotiation conducted directly by our President with President Donald Trump,” he said, confirming the new 19 percent rate.He told AFP Prabowo would deliver a statement about the deal on Wednesday afternoon after landing from a visit to Europe.Indonesia’s former vice minister for foreign affairs, Dino Patti Djalal, told a Foreign Policy event Tuesday that government insiders had indicated they were happy with the new deal.- Tariffs drive -Trump in April imposed a 10 percent tariff on almost all trading partners, while announcing plans to eventually hike this level for dozens of economies, including the EU and Indonesia.But days before the steeper duties, customized to each economy, were due to take effect, he pushed the deadline back from July 9 to August 1. This marked his second postponement of the elevated levies.Instead, since early last week, Trump has been sending letters to partners, setting out the tariff levels they would face come August.So far, he has sent more than 20 such letters including to the EU, Japan, South Korea and Malaysia.Canada and Mexico, both countries that were not originally targeted in Trump’s “reciprocal” tariff push in April, also received similar documents outlining updated tariffs for their products.But existing exemptions covering goods entering the United States under a North American trade pact are expected to remain in place, a US official said earlier.Trump has unveiled blanket tariffs on trading partners in part to address what his administration deems as unfair practices that hurt US businesses.Analysts have warned that without trade agreements, Americans could conclude that Trump’s strategy to reshape US trading ties with the world has not worked.”In the public’s mind, the tariffs are the pain, and the agreements will be the gain. If there are no agreements, people will conclude his strategy was flawed,” William Reinsch, senior adviser at the Center for Strategic and International Studies, previously told AFP.
Cuba: une ministre démissionne après avoir nié l’existence de “mendiants” sur l’île
La ministre du Travail de Cuba a démissionné mardi après avoir affirmé qu’il n’y avait pas de “mendiants” sur l’île, seulement des gens “déguisés en mendiants”, au moment où le pays traverse une profonde crise économique.Marta Elena Feito, également ministre de la Sécurité sociale, “a reconnu ses erreurs et a présenté sa démission”, a annoncé la presse officielle mardi soir.La demande de démission de la ministre a été analysée par les plus hautes autorités du Parti communiste et du gouvernement qui ont “accepté de la libérer” de son poste en raison de “son manque d’objectivité et de sensibilité”, ont ajouté les médias officiels.Lundi, lors d’une présentation devant une commission parlementaire, Marta Elena Feito avait nié que les personnes fouillant les poubelles dans la rue le faisaient pour chercher de la nourriture. Elle avait aussi critiqué les laveurs de pare-brise de rue, les accusant de chercher une “vie facile”.”Nous voyons des personnes qui semblent être des mendiants, mais quand on regarde leurs mains, quand on regarde leurs vêtements, on se rend compte qu’elles sont déguisées en mendiants, ce ne sont pas des mendiants. Il n’y a pas de mendiants à Cuba”, a déclaré la ministre.Ces propos, tenus pendant une session parlementaire retransmise à la télévision nationale, ont provoqué un tollé, notamment sur les réseaux sociaux, au moment où la population cubaine est confrontée à une inflation galopante et où les personnes faisant la mendicité ou fouillant les poubelles sont de plus en plus visibles, en particulier dans la capitale.”Rappelez-vous: ces gens ne sont pas des mendiants à Cuba, ce sont des personnes déguisées”, a ironisé un internaute sur Facebook, en postant des photos montrant des indigents fouillant les poubelles.Le président de Cuba, Miguel Diaz-Canel, a tenté mardi d’éteindre le scandale. Il a d’abord réagi sur son compte X: “Le manque de sensibilité dans l’approche de la vulnérabilité est très discutable”, a-t-il critiqué.Miguel Diaz-Canel est revenu à la charge un peu plus tard, pendant une vingtaine de minutes, lors d’une session parlementaire. “Aucun d’entre nous ne peut agir avec arrogance, avec suffisance, déconnecté des réalités que nous vivons”, a-t-il insisté.Le président a reconnu que “ces personnes, que nous décrivons parfois comme des mendiants ou liées à la mendicité, sont en réalité les expressions concrètes des inégalités sociales et des problèmes” auxquels Cuba est confronté.Le niveau de pauvreté a augmenté ces dernières années sur l’île en proie à une profonde crise économique, alimentée par une faible production locale et le renforcement de l’embargo américain par Donald Trump.Le chef de l’Etat n’a pas utilisé le mot “pauvre”, lui préférant les termes de personnes vulnérables ou vagabondes, utilisés habituellement par les autorités pour évoquer le sujet.En 2024, 189.000 familles et 350.000 personnes considérées comme vulnérables bénéficiaient de programmes d’aide sociale sur l’île de 9,7 millions d’habitants, selon le gouvernement.
Au Tadjikistan, la capitale centrasiatique de l’abricot face à la crise climatique
“Certaines terres, faute d’eau, se sont transformées en quasi-désert, le sol s’est fissuré l’année dernière”, se souvient Ouktam Kouziev, cultivateur d’abricots au Tadjikistan. Ce fruit, crucial à l’économie nationale et renommé dans toute l’Asie centrale, est désormais menacé par le changement climatique.”Les abricotiers n’ont pas été arrosés et ont séché”, raconte le septuagénaire. M. Kouziev est l’un des quelque 100.000 Tadjiks impliqués dans la filière de l’abricot.Ce fruit est “particulièrement exposé” au changement climatique, souligne la Banque mondiale, avec une “hausse des températures, une modification des régimes de précipitations et une fréquence accrue des phénomènes météorologiques extrêmes”.Sa culture est mise en péril par la multiplication des “hivers doux” et des “gelées tardives” dans la région d’Isfara, mais aussi par “le risque accru de pénurie d’eau”, notait l’institution dans un rapport de 2024.Dans son verger à Ravot, aux confins septentrionaux du Tadjikistan où s’entrelacent les frontières avec l’Ouzbékistan et le Kirghizstan, M. Kouziev puise l’eau dans la rivière Isfara, utilisée intensément par les trois pays.Si le fermier de 72 ans juge l’approvisionnement hydrique suffisant cette saison, mais “comme toujours” limité, il a par le passé sacrifié des plants de blé pour “sauver l’essentiel, les abricotiers”.Au Tadjikistan, où poussent 10% des vergers mondiaux d’abricots, ce fruit est un produit “stratégique” et une “ressource économique vitale”, estime la FAO, organisation onusienne pour l’alimentation et l’agriculture.”La culture de l’abricot dans le nord du Tadjikistan est très importante économiquement et socialement: elle crée des emplois et améliore le niveau de vie de la population”, résume pour l’AFP Moumindjon Makhmadjonov, directeur-adjoint d’Isfara Food, important producteur de fruits secs.- Monument à l’abricot -Dans ce pays à 93% montagneux, la majorité des abricotiers sont dans des oasis entourées de terres semi-désertiques vers Isfara, la capitale informelle de l’abricot en Asie centrale.Symbole de cette renommée régionale, au centre d’Isfara trône un abricot géant, monument tanné par le soleil ressemblant plutôt à une pêche blanche.Cette culture est cruciale pour le Tadjikistan, parmi les principaux exportateurs mondiaux d’abricots secs, marché écrasé par la Turquie, dont la récolte 2025 a été décimée par le froid.Une catastrophe crainte par les producteurs tadjiks. “Quand la température augmente ou baisse brutalement, même un jour ou deux, vous n’obtiendrez pas la récolte souhaitée”, explique Moumindjon Makhmadjonov.M. Makhmadjonov se fournit sur les marchés autour d’Isfara, où les petits exploitants vendent quelques sacs d’abricots pour vivre.”Les pluies affectent la récolte, nos abricots ont des poils ou des tâches, cela fait fortement baisser leur valeur”, raconte Mouborak Issoeva, vendeuse.Ces pluies précoces ne servent même pas à affronter l’été, faute d’infrastructures de stockage, et s’infiltrent difficilement dans les sols tadjiks extrêmement dégradés, phénomène détruisant la couche absorbante.Et ce chamboulement des saisons s’accélère.Avant, “les gens ne connaissaient pas les gelées. Mais ces vingt dernières années, les arbres ont gelé cinq, six fois, pendant ou juste après la floraison”, explique Bakhtior Djalilov, spécialiste agricole à la mairie d’Isfara.- “Améliorer la productivité” -Ce dérèglement climatique pousse les producteurs à s’adapter.La mairie d’Isfara a ainsi “renouvelé en cinq ans 1.500 hectares de vergers à faibles rendements”, pour “améliorer la productivité”, dit M. Djalilov et “des vergers intensifs avec des abricots consommables frais et secs ont été plantés”.L’entreprise Isfara Food a trouvé une alternative à l’abricot: le pruneau.”Contrairement aux abricots, le pruneau fleurit un peu plus tard et supporte mieux la chaleur et le froid. Quand la récolte d’abricots est mauvaise, nous pouvons quand même exporter du pruneau”, explique M. Makhmadjonov.”Face au changement climatique, nous avons décidé d’utiliser des terres en friche asséchées, en creusant des forages”, dit M. Makhmadjonov, qui a installé un système de goutte-à-goutte, économe en eau. Mais pour les petits producteurs comme Mme Issoeva et M. Kouziev, qui testent des variétés plus résistantes, la plupart des solutions (goutte-à-goutte, fumée pour réchauffer l’air, irrigation hivernale) sont compliquées à introduire, d’après la Banque mondiale.Dans le pays le plus pauvre de l’ex-URSS au salaire mensuel moyen avoisinant les 220 euros, ces options sont inaccessibles financièrement ou techniquement. Et la hausse en 2024 de 150% du prix de l’eau a été durement ressentie.”L’eau de la rivière Isfara est devenue excessivement chère”, note le fermier Kouziev.Une mesure nécessaire pour moderniser les infrastructures et rationaliser l’utilisation des ressources hydriques, garante du fragile équilibre local, entre agriculteurs, mais aussi régional, entre pays centrasiatiques.
Euro-2025 féminin: ces Azzurre qui redonnent des couleurs au foot italien
Pour la première fois depuis 2013, l’Italie participe mercredi face à la Norvège aux quarts de finale d’un Euro féminin et fait oublier les déboires de sa Nazionale, absente de deux dernières Coupes du monde.Les tifosi des Azzurri broient du noir: quadruple championne du monde, l’Italie n’a plus participé à un Mondial depuis 2014 et a compromis ses chances de participer à la Coupe du monde 2026 avec une déroute en Norvège qui a coûté son poste à Luciano Spalletti.Les Espoirs n’ont pas relevé le niveau et ont chuté le mois dernier dès les quarts de finale de leur Euro.Mais grâce à ses Azzurre, ses Bleues, le calcio reprend des couleurs.Les Italiennes ont certes achevé leur phase de groupes par une nette défaite face à l’Espagne (3-1), mais avec une victoire face à la Belgique (1-0) et un nul face au Portugal (1-1), elles ont terminé à la 2e place du groupe B.Les Azzurre, 13e au classement Fifa, n’ont jamais encore remporté de titre majeur (2e de l’Euro en 1993 et 1997 pour meilleurs résultats dans un grand tournoi), mais à l’image de leur sélectionneur, Andrea Soncin, elle ne veulent pas s’arrêter là.”Nous participons à ce tournoi pour réécrire l’histoire et c’est ce qu’on est en train de faire, tout le mérite en revient à ce super groupe de filles”, a insisté l’ancien joueur de l’Atalanta qui a pris les commandes de la sélection féminine en septembre 2023.- Fronde des joueuses -Lorsque Soncin, dont la carrière d’entraîneur s’est alors exclusivement passée à Venise, entre en fonction, l’Italie est au plus bas.Son Mondial-2023 a viré au cauchemar entre élimination dès la phase de poules (deux défaites, une victoire) et fronde des joueuses contre leur sélectionneuse Milena Bertolini, en poste depuis 2017, dont les méthodes sont dénoncées dans une lettre ouverte.Soncin, 46 ans, va d’abord s’attacher à reconstruire un groupe et lui redonner confiance, avec quelques résultats encourageants comme deux courtes défaites contre les championnes du monde espagnoles (1-0 à chaque fois) en Ligue des nations, et une qualification pour l’Euro-2025 en terminant à la première de son groupe devant les Pays-Bas et la Norvège.”Il n’y a pas un football féminin ou un football masculin, il n’y a qu’un football. Dans le football féminin, il y a cet enthousiasme tellement fort”, a-t-il rappelé récemment.Et Soncin semble avoir réussi à mettre tout cela en musique: ses séances d’entraînement débutent ou finissent toujours en musique, crachée par l’enceinte qu’il a offerte à ses joueuses après leur victoire contre le Danemark (3-0) en avril.La méthode porte ses fruits. “Nous sommes un groupe de filles qui gardent les pieds sur terre, unies par un rêve commun”, a résumé la nouvelle attaquante de la Juventus Michela Cambiaghi.”Nous nous nourrissons mutuellement de l’énergie de l’autre. Même lorsqu’il y a de la tension, nous savons comment l’évacuer avec un sourire et le cœur léger”, a-t-elle assuré.Et ce n’est peut-être que le début pour les Azzurre: leur championnat est en plein boom avec 49 joueuses sélectionnées pour cet Euro qui y évoluent et des audiences TV sans précédent (1,36 M et 9,7% de parts de marché pour le match contre l’Espagne).





