Lebanon slams foreign interference as Iran security chief visits

Lebanese leaders firmly rejected any efforts at foreign interference during a visit by Iran’s security chief Wednesday, with the prime minister saying Beirut would “tolerate neither tutelage nor diktat” after Tehran voiced opposition to plans to disarm Hezbollah.The uncharacteristically blunt remarks hinted at a changed balance of power in a country where Iran has long wielded substantial influence by funding and arming Hezbollah.The visit by Supreme National Security Council chief Ali Larijani comes after the Lebanese government ordered the army to devise plans to disarm the Tehran-backed militant group by the end of the year.Last week, an adviser to Iran’s supreme leader had said the Islamic republic was “certainly opposed” to the disarmament plan.”We reject any interference in our internal affairs,” Lebanese President Joseph Aoun said Wednesday, adding that “it is forbidden for anyone… to bear arms and to use foreign backing as leverage”, according to a statement from his office.Prime Minister Nawaf Salam was equally firm, saying in a statement: “Lebanon will not accept, in any form, any interference in its internal affairs, and expects from the Iranian side a clear and explicit commitment to respect these principles.”Hezbollah has been a key part of Tehran’s so-called axis of resistance against Israel, but Iran and its allies have suffered a series of blows.Hezbollah experienced devastating losses, including the death of its leader Hassan Nasrallah, over more than a year of hostilities with Israel that ended with a November 2024 ceasefire. A month later, longtime Syrian ruler and Tehran ally Bashar al-Assad was ousted, depriving Hezbollah of its main conduit for weapons and supplies from Iran.And finally, Israel went to war with Iran itself in June, with the United States stepping in briefly to bomb Iranian nuclear facilities.Ever since last year’s war, Hezbollah’s firm grip on Lebanese politics has been slipping.- ‘Grave sin’ -Hezbollah has slammed the government’s new disarmament push as a “grave sin”, while Tehran has also declared its opposition.But in Beirut, Larijani said that no foreign power should give orders to Lebanon, adding that it was not Iran but the United States that was intervening.Lebanon’s cabinet recently considered a US proposal that included a timetable for Hezbollah’s disarmament, with Washington pressing Beirut to take action.”Any decision that the Lebanese government makes in consultation with the resistance is respected by us,” Larijani said.”The one who interferes in Lebanese affairs is the one who plans for you, gives you a timetable from thousands of kilometres away. We did not give you any plan.” Salam, however, appeared to make clear the changed nature of the relationship, declaring that “Lebanon’s decisions are made by the Lebanese themselves, who tolerate neither tutelage nor diktat”.”Lebanon, which was the first defender of the Palestinian cause and paid a heavy price in its confrontation with Israel, has no lessons to receive from anyone,” he continued.Iran’s government has long portrayed itself as a defender of the Palestinians, with militant group Hamas in Gaza another member of its axis.- ‘Stand by’ Lebanon -Before the latest war with Israel, Hezbollah was believed to be better armed than the Lebanese military. It long maintained it had to keep its arsenal in order to defend Lebanon from attack, but critics accused it of using its weapons for political leverage.In Beirut, Larijani vowed continued Iranian support.”If… the Lebanese people are suffering, we in Iran will also feel this pain and we will stand by the dear people of Lebanon in all circumstances,” Larijani told reporters.In addition to meeting President Aoun and Prime Minister Salam, Larijani was due to sit down with parliament speaker Nabih Berri, who is close to Hezbollah.He was also expected to visit the grave of Nasrallah, who was killed in a massive Israeli bombing in south Beirut last year.

Ukraine: Trump veut réunir Poutine et Zelensky après l’Alaska

Donald Trump a affirmé mercredi vouloir organiser une rencontre à trois entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et lui-même “presque immédiatement” après le sommet en Alaska avec son homologue russe, afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.Le président américain s’est exprimé devant la presse à Washington à la suite de ce qu’il a qualifié de “très bon appel” avec des dirigeants européens, sur fond de progression rapide des forces russes en Ukraine.”Nous aurons rapidement une seconde rencontre entre le président Poutine, le président Zelensky et moi-même, s’ils veulent que je sois là”, a-t-il déclaré.Le président américain a cependant déclaré qu’il pourrait renoncer à organiser cette rencontre, en fonction de la teneur de son tête-à-tête avec Vladimir Poutine vendredi sur une base militaire américaine en Alaska.”Si je sens que ce n’est pas approprié de l’organiser car nous n’avons pas obtenu les réponses que nous devons obtenir, alors il n’y aura pas de seconde rencontre”, a-t-il affirmé.”Nous espérons que le thème central de la réunion” entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska sera “un cessez-le-feu immédiat”, a de son côté déclaré Volodymyr Zelensky.Le président ukrainien s’exprimait de Berlin, où il a été reçu par le chancelier allemand, Friedrich Merz, pour une visioconférence avec Donald Trump et les principaux dirigeants européens, ceux de l’UE et de l’Otan.Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a évoqué une chance “réelle” de cessez-le-feu, et ce “grâce au travail du président” américain.- Evacuations -Ces échanges ont eu lieu au lendemain de la plus grande progression en 24 heures des forces russes en territoire ukrainien depuis plus d’un an, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW).Les troupes russes, dont l’avancée s’accélère, ont dit avoir conquis plus de 110 km2 supplémentaires au 12 août par rapport à la veille, ce qui n’était plus arrivé depuis fin mai 2024.Signe de la dégradation de la situation, l’Ukraine a ordonné mercredi l’évacuation de familles dans une dizaine de localités dans l’est, où les soldats russes ont rapidement gagné du terrain ces derniers jours.Au moins trois personnes ont été tuées dans des tirs d’artillerie et des raids de drones russes dans la région de Kherson (sud) tôt mercredi, d’après les autorités régionales.Pendant ce temps, l’activité diplomatique bat son plein depuis l’annonce du sommet à Anchorage, en Alaska, dont les Européens redoutent que l’issue ne soit défavorable à l’Ukraine, après trois ans et demi de conflit.L’Ukraine “doit être à la table” au cours des prochaines réunions, a réclamé Friedrich Merz, rappelant la position des Européens selon laquelle la “ligne de contact” (ligne de front) devait “être le point de départ” d’éventuelles négociations territoriales.La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.- “Conséquences très graves” -Donald Trump a prédit “des échanges de territoires”, à un moment où les soldats russes occupent environ 20% de l’Ukraine.Mais il est aussi resté vague sur ses attentes vis-à-vis de Vladimir Poutine, disant vouloir “tâter le terrain” vendredi.Volodymyr Zelensky a lui exclu tout retrait de zones de l’est de l’Ukraine dans le cadre d’un accord de paix.Pour Friedrich Merz, l’Ukraine “est prête à discuter de questions territoriales” mais pas d'”une reconnaissance légale” de l’occupation par la Russie de certaines parties de son territoire.”Les questions territoriales (…) ne seront négociées que par le président ukrainien”, a de son côté martelé Emmanuel Macron, pour qui “il n’y a pas aujourd’hui, de manière sérieuse, des schémas d’échanges territoriaux qui sont sur la table”.Selon le chef de l’Otan, Mark Rutte, “la balle est désormais dans le camp de Poutine”.Moscou de son côté a jugé “insignifiantes” ces consultations entre Américains et Européens.Devant la presse mercredi, Donald Trump a averti que la Russie ferait face à des “conséquences très graves” si elle n’acceptait pas de mettre fin à la guerre, sans pour autant rentrer dans les détails.Pour Volodymyr Zelensly, “des sanctions doivent être mises en place et renforcées si la Russie” refuse une trêve.A Kramatorsk, une ville de l’est de l’Ukraine située à environ 20 km du front, des militaires ukrainiens semblaient résignés face à l’émulation diplomatique.”Il y a déjà eu tellement de négociations entre les chefs d’Etat, mais rien ne change,” a déclaré à l’AFP Dmytro, 21 ans.

Ukraine: Trump veut réunir Poutine et Zelensky après l’Alaska

Donald Trump a affirmé mercredi vouloir organiser une rencontre à trois entre Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et lui-même “presque immédiatement” après le sommet en Alaska avec son homologue russe, afin de mettre un terme à la guerre en Ukraine.Le président américain s’est exprimé devant la presse à Washington à la suite de ce qu’il a qualifié de “très bon appel” avec des dirigeants européens, sur fond de progression rapide des forces russes en Ukraine.”Nous aurons rapidement une seconde rencontre entre le président Poutine, le président Zelensky et moi-même, s’ils veulent que je sois là”, a-t-il déclaré.Le président américain a cependant déclaré qu’il pourrait renoncer à organiser cette rencontre, en fonction de la teneur de son tête-à-tête avec Vladimir Poutine vendredi sur une base militaire américaine en Alaska.”Si je sens que ce n’est pas approprié de l’organiser car nous n’avons pas obtenu les réponses que nous devons obtenir, alors il n’y aura pas de seconde rencontre”, a-t-il affirmé.”Nous espérons que le thème central de la réunion” entre Donald Trump et Vladimir Poutine en Alaska sera “un cessez-le-feu immédiat”, a de son côté déclaré Volodymyr Zelensky.Le président ukrainien s’exprimait de Berlin, où il a été reçu par le chancelier allemand, Friedrich Merz, pour une visioconférence avec Donald Trump et les principaux dirigeants européens, ceux de l’UE et de l’Otan.Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a évoqué une chance “réelle” de cessez-le-feu, et ce “grâce au travail du président” américain.- Evacuations -Ces échanges ont eu lieu au lendemain de la plus grande progression en 24 heures des forces russes en territoire ukrainien depuis plus d’un an, selon l’analyse par l’AFP des données fournies par l’Institut américain pour l’étude de la guerre (ISW).Les troupes russes, dont l’avancée s’accélère, ont dit avoir conquis plus de 110 km2 supplémentaires au 12 août par rapport à la veille, ce qui n’était plus arrivé depuis fin mai 2024.Signe de la dégradation de la situation, l’Ukraine a ordonné mercredi l’évacuation de familles dans une dizaine de localités dans l’est, où les soldats russes ont rapidement gagné du terrain ces derniers jours.Au moins trois personnes ont été tuées dans des tirs d’artillerie et des raids de drones russes dans la région de Kherson (sud) tôt mercredi, d’après les autorités régionales.Pendant ce temps, l’activité diplomatique bat son plein depuis l’annonce du sommet à Anchorage, en Alaska, dont les Européens redoutent que l’issue ne soit défavorable à l’Ukraine, après trois ans et demi de conflit.L’Ukraine “doit être à la table” au cours des prochaines réunions, a réclamé Friedrich Merz, rappelant la position des Européens selon laquelle la “ligne de contact” (ligne de front) devait “être le point de départ” d’éventuelles négociations territoriales.La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan.- “Conséquences très graves” -Donald Trump a prédit “des échanges de territoires”, à un moment où les soldats russes occupent environ 20% de l’Ukraine.Mais il est aussi resté vague sur ses attentes vis-à-vis de Vladimir Poutine, disant vouloir “tâter le terrain” vendredi.Volodymyr Zelensky a lui exclu tout retrait de zones de l’est de l’Ukraine dans le cadre d’un accord de paix.Pour Friedrich Merz, l’Ukraine “est prête à discuter de questions territoriales” mais pas d'”une reconnaissance légale” de l’occupation par la Russie de certaines parties de son territoire.”Les questions territoriales (…) ne seront négociées que par le président ukrainien”, a de son côté martelé Emmanuel Macron, pour qui “il n’y a pas aujourd’hui, de manière sérieuse, des schémas d’échanges territoriaux qui sont sur la table”.Selon le chef de l’Otan, Mark Rutte, “la balle est désormais dans le camp de Poutine”.Moscou de son côté a jugé “insignifiantes” ces consultations entre Américains et Européens.Devant la presse mercredi, Donald Trump a averti que la Russie ferait face à des “conséquences très graves” si elle n’acceptait pas de mettre fin à la guerre, sans pour autant rentrer dans les détails.Pour Volodymyr Zelensly, “des sanctions doivent être mises en place et renforcées si la Russie” refuse une trêve.A Kramatorsk, une ville de l’est de l’Ukraine située à environ 20 km du front, des militaires ukrainiens semblaient résignés face à l’émulation diplomatique.”Il y a déjà eu tellement de négociations entre les chefs d’Etat, mais rien ne change,” a déclaré à l’AFP Dmytro, 21 ans.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Canicule: chaleur intense sur le Centre-Est, des orages attendus sur le Sud-Ouest

La vigilance maximale reste de mise mercredi pour l’Aude et quatre départements de la vallée du Rhône accablés par une vague de chaleur, s’accompagnant d’orages dans l’après-midi de Midi-Pyrénées à l’ouest de la Bourgogne, en passant par le centre du pays.Comme les jours précédents, de nouvelles températures record ont été enregistrées: 41,7 °C à Châteaumeillant (Cher); 39,8 °C à Nevers (Nièvre) ou encore 39,7 °C à St Michel de Maurienne (Savoie), à 698 m d’altitude, selon Météo France.De fortes rafales de vent de 80 à 100 km/h, localement 110 km/h, chutes de grêle “petite à localement moyenne”, pluies brèves et intenses, et une activité électrique importante, sont attendues en fin de journée. De fortes pluies ont ainsi commencé à s’abattre sur la Haute-Garonne peu avant 19H00.Des orages sont aussi prévus sur le relief des Alpes du Sud, avant de se diriger vers les plaines, “associés à de fortes intensités pluvieuses, localement entre 50 et 70 mm en peu de temps, et de la grêle pouvant être d’un diamètre assez gros”. Au total, 12 départements sont en vigilance orange pour les orages jusqu’à mercredi soir.Ces pluies et vents pourraient aider à faire reculer un peu les températures, qui s’emballent à nouveau dans les départements en rouge et alentours avec 40°C atteints en Bourgogne et Auvergne. Et la nuit s’annonce encore “chaude sur tout l’est du pays et le pourtour méditerranéen, avec des valeurs souvent supérieures à 20°C”, selon Météo France.- “Plus meurtrier que le froid” -La Rhône, Drôme, Ardèche, Isère et Aude resteront en vigilance rouge jusqu’à jeudi 06H00, avant de redescendre en orange, répit relatif dans l’Hexagone qui restera soumis à un temps très chaud, avec une vigilance orange pour les trois-quarts du pays.À Lyon, le parc Blandan restera ouvert pour une deuxième nuit consécutive, offrant un dispositif sécurisé à ceux qui espèrent un peu plus de fraîcheur à la belle étoile que dans un logement en surchauffe.Pour ceux qui n’ont d’autre choix que celui de la rue, la chaleur est aussi difficile à supporter. “On a rencontré des personnes très chaudement vêtues, ou avec des duvets, alors qu’il fait 35 degrés. Eux, ils ne ressentent pas cette chaleur, donc il y a un gros risque de déshydratation”, explique Céline Levesque à l’occasion d’une maraude sociale à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne). La directrice-adjointe de la filière de lutte contre les exclusions de la Croix-Rouge, et responsable SIAO 94 – Samu Social 94, souligne: “l’été peut être plus meurtrier que le froid”. Une panne électrique due à un problème technique non lié à la chaleur sur un train Trenitalia a par ailleurs provoqué une interruption totale du trafic en gare de Lyon Part-Dieu mercredi en fin d’après-midi, affectant de nombreux passagers. Une “reprise progressive” du trafic est actuellement en cours mais des “perturbations” demeurent autour de Lyon, a indiqué la SNCF TER AURA sur X.- “Plus chaud” qu’avant -Des alertes rouge canicule ont aussi été déclenchées en Italie, Portugal, en Grèce dans les Balkans ou encore en Espagne, où plusieurs dizaines d’incendies sont actifs. “Ces températures très élevées résultent de la masse d’air très chaude, mais également de l’influence du changement climatique”, explique Lauriane Batté, climatologue à Météo-France, ce qui donne un air “plus chaud” en moyenne qu’il y a “quelques décennies”.Des températures égales ou supérieures à 40°C ont été enregistrées plus de 1.800 fois au cours des dix dernières années en France contre moins de 40 fois dans les années 1990, selon les données des stations météo analysées par l’AFP.Plusieurs épisodes de pollution à l’ozone sont signalés, notamment en Ile-de-France, accentuant les risques sanitaires. Des restrictions liées à la sécheresse ont également été prises dans certains départements comme le Puy-de-Dôme.La France subit depuis vendredi sa 51e vague de chaleur depuis 1947 et sa deuxième de l’été 2025. Selon Météo-France, elle devrait se poursuivre en fin de semaine avec “un nouveau pic caniculaire attendu pour le weekend du 15 août”.

Canicule: chaleur intense sur le Centre-Est, des orages attendus sur le Sud-Ouest

La vigilance maximale reste de mise mercredi pour l’Aude et quatre départements de la vallée du Rhône accablés par une vague de chaleur, s’accompagnant d’orages dans l’après-midi de Midi-Pyrénées à l’ouest de la Bourgogne, en passant par le centre du pays.Comme les jours précédents, de nouvelles températures record ont été enregistrées: 41,7 °C à Châteaumeillant (Cher); 39,8 °C à Nevers (Nièvre) ou encore 39,7 °C à St Michel de Maurienne (Savoie), à 698 m d’altitude, selon Météo France.De fortes rafales de vent de 80 à 100 km/h, localement 110 km/h, chutes de grêle “petite à localement moyenne”, pluies brèves et intenses, et une activité électrique importante, sont attendues en fin de journée. De fortes pluies ont ainsi commencé à s’abattre sur la Haute-Garonne peu avant 19H00.Des orages sont aussi prévus sur le relief des Alpes du Sud, avant de se diriger vers les plaines, “associés à de fortes intensités pluvieuses, localement entre 50 et 70 mm en peu de temps, et de la grêle pouvant être d’un diamètre assez gros”. Au total, 12 départements sont en vigilance orange pour les orages jusqu’à mercredi soir.Ces pluies et vents pourraient aider à faire reculer un peu les températures, qui s’emballent à nouveau dans les départements en rouge et alentours avec 40°C atteints en Bourgogne et Auvergne. Et la nuit s’annonce encore “chaude sur tout l’est du pays et le pourtour méditerranéen, avec des valeurs souvent supérieures à 20°C”, selon Météo France.- “Plus meurtrier que le froid” -La Rhône, Drôme, Ardèche, Isère et Aude resteront en vigilance rouge jusqu’à jeudi 06H00, avant de redescendre en orange, répit relatif dans l’Hexagone qui restera soumis à un temps très chaud, avec une vigilance orange pour les trois-quarts du pays.À Lyon, le parc Blandan restera ouvert pour une deuxième nuit consécutive, offrant un dispositif sécurisé à ceux qui espèrent un peu plus de fraîcheur à la belle étoile que dans un logement en surchauffe.Pour ceux qui n’ont d’autre choix que celui de la rue, la chaleur est aussi difficile à supporter. “On a rencontré des personnes très chaudement vêtues, ou avec des duvets, alors qu’il fait 35 degrés. Eux, ils ne ressentent pas cette chaleur, donc il y a un gros risque de déshydratation”, explique Céline Levesque à l’occasion d’une maraude sociale à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne). La directrice-adjointe de la filière de lutte contre les exclusions de la Croix-Rouge, et responsable SIAO 94 – Samu Social 94, souligne: “l’été peut être plus meurtrier que le froid”. Une panne électrique due à un problème technique non lié à la chaleur sur un train Trenitalia a par ailleurs provoqué une interruption totale du trafic en gare de Lyon Part-Dieu mercredi en fin d’après-midi, affectant de nombreux passagers. Une “reprise progressive” du trafic est actuellement en cours mais des “perturbations” demeurent autour de Lyon, a indiqué la SNCF TER AURA sur X.- “Plus chaud” qu’avant -Des alertes rouge canicule ont aussi été déclenchées en Italie, Portugal, en Grèce dans les Balkans ou encore en Espagne, où plusieurs dizaines d’incendies sont actifs. “Ces températures très élevées résultent de la masse d’air très chaude, mais également de l’influence du changement climatique”, explique Lauriane Batté, climatologue à Météo-France, ce qui donne un air “plus chaud” en moyenne qu’il y a “quelques décennies”.Des températures égales ou supérieures à 40°C ont été enregistrées plus de 1.800 fois au cours des dix dernières années en France contre moins de 40 fois dans les années 1990, selon les données des stations météo analysées par l’AFP.Plusieurs épisodes de pollution à l’ozone sont signalés, notamment en Ile-de-France, accentuant les risques sanitaires. Des restrictions liées à la sécheresse ont également été prises dans certains départements comme le Puy-de-Dôme.La France subit depuis vendredi sa 51e vague de chaleur depuis 1947 et sa deuxième de l’été 2025. Selon Météo-France, elle devrait se poursuivre en fin de semaine avec “un nouveau pic caniculaire attendu pour le weekend du 15 août”.

Canicule: chaleur intense sur le Centre-Est, des orages attendus sur le Sud-Ouest

La vigilance maximale reste de mise mercredi pour l’Aude et quatre départements de la vallée du Rhône accablés par une vague de chaleur, s’accompagnant d’orages dans l’après-midi de Midi-Pyrénées à l’ouest de la Bourgogne, en passant par le centre du pays.Comme les jours précédents, de nouvelles températures record ont été enregistrées: 41,7 °C à Châteaumeillant (Cher); 39,8 °C à Nevers (Nièvre) ou encore 39,7 °C à St Michel de Maurienne (Savoie), à 698 m d’altitude, selon Météo France.De fortes rafales de vent de 80 à 100 km/h, localement 110 km/h, chutes de grêle “petite à localement moyenne”, pluies brèves et intenses, et une activité électrique importante, sont attendues en fin de journée. De fortes pluies ont ainsi commencé à s’abattre sur la Haute-Garonne peu avant 19H00.Des orages sont aussi prévus sur le relief des Alpes du Sud, avant de se diriger vers les plaines, “associés à de fortes intensités pluvieuses, localement entre 50 et 70 mm en peu de temps, et de la grêle pouvant être d’un diamètre assez gros”. Au total, 12 départements sont en vigilance orange pour les orages jusqu’à mercredi soir.Ces pluies et vents pourraient aider à faire reculer un peu les températures, qui s’emballent à nouveau dans les départements en rouge et alentours avec 40°C atteints en Bourgogne et Auvergne. Et la nuit s’annonce encore “chaude sur tout l’est du pays et le pourtour méditerranéen, avec des valeurs souvent supérieures à 20°C”, selon Météo France.- “Plus meurtrier que le froid” -La Rhône, Drôme, Ardèche, Isère et Aude resteront en vigilance rouge jusqu’à jeudi 06H00, avant de redescendre en orange, répit relatif dans l’Hexagone qui restera soumis à un temps très chaud, avec une vigilance orange pour les trois-quarts du pays.À Lyon, le parc Blandan restera ouvert pour une deuxième nuit consécutive, offrant un dispositif sécurisé à ceux qui espèrent un peu plus de fraîcheur à la belle étoile que dans un logement en surchauffe.Pour ceux qui n’ont d’autre choix que celui de la rue, la chaleur est aussi difficile à supporter. “On a rencontré des personnes très chaudement vêtues, ou avec des duvets, alors qu’il fait 35 degrés. Eux, ils ne ressentent pas cette chaleur, donc il y a un gros risque de déshydratation”, explique Céline Levesque à l’occasion d’une maraude sociale à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne). La directrice-adjointe de la filière de lutte contre les exclusions de la Croix-Rouge, et responsable SIAO 94 – Samu Social 94, souligne: “l’été peut être plus meurtrier que le froid”. Une panne électrique due à un problème technique non lié à la chaleur sur un train Trenitalia a par ailleurs provoqué une interruption totale du trafic en gare de Lyon Part-Dieu mercredi en fin d’après-midi, affectant de nombreux passagers. Une “reprise progressive” du trafic est actuellement en cours mais des “perturbations” demeurent autour de Lyon, a indiqué la SNCF TER AURA sur X.- “Plus chaud” qu’avant -Des alertes rouge canicule ont aussi été déclenchées en Italie, Portugal, en Grèce dans les Balkans ou encore en Espagne, où plusieurs dizaines d’incendies sont actifs. “Ces températures très élevées résultent de la masse d’air très chaude, mais également de l’influence du changement climatique”, explique Lauriane Batté, climatologue à Météo-France, ce qui donne un air “plus chaud” en moyenne qu’il y a “quelques décennies”.Des températures égales ou supérieures à 40°C ont été enregistrées plus de 1.800 fois au cours des dix dernières années en France contre moins de 40 fois dans les années 1990, selon les données des stations météo analysées par l’AFP.Plusieurs épisodes de pollution à l’ozone sont signalés, notamment en Ile-de-France, accentuant les risques sanitaires. Des restrictions liées à la sécheresse ont également été prises dans certains départements comme le Puy-de-Dôme.La France subit depuis vendredi sa 51e vague de chaleur depuis 1947 et sa deuxième de l’été 2025. Selon Météo-France, elle devrait se poursuivre en fin de semaine avec “un nouveau pic caniculaire attendu pour le weekend du 15 août”.

Vance visits US troops during UK trip

US Vice President JD Vance on Wednesday took another detour from his high-profile holiday in the UK to visit American forces stationed in the country and praise their “courage”.Speaking after taking part in calls with European leaders and US President Donald Trump about the war in Ukraine, Vance said the US troops’ presence was essential to helping to end the fighting.Trump is to meet with Russian President Vladimir Putin on Friday in Alaska “to try to achieve an end to this terrible war in Russia and Ukraine”, Vance told US troops stationed at the UK’s air force base in Fairford, Gloucestershire in southwest England.”You guys make that possible. You guys are the reason why we can go into a negotiation with strength,” Vance said.”Nothing that we do as an administration is possible without the hard work, the courage and the skill that you guys bring to the job,” he added.He addressed the troops after calls with Trump and European leaders ahead of the Alaska summit, aimed at convincing the US leader to respect Kyiv’s interests in the talks.British Prime Minister Keir Starmer said Wednesday that there was now a “viable” chance for a ceasefire after over three years since Russia’s February 2023 invasion of Ukraine.Vance arrived in the UK on August 8 with his wife and three children, only to be met by protests from residents in the Cotswolds countryside.He has spent much of his time in meetings with UK officials, including Foreign Secretary David Lammy, who hosted Vance at his country retreat in Chevening in Kent, southeast of London over the weekend.On Wednesday, Vance reportedly had breakfast with Nigel Farage, leader of the anti-immigrant Reform UK party, which is topping the current electoral polls.He met late Tuesday with Conservative Party justice spokesman Robert Jenrick, but has not managed to schedule face-to-face talks with the Tory leader Kemi Badenoch, The Times newspaper reported.Vance is reportedly heading next to Scotland with his family for several days.