Ferrero va croquer les céréales WK Kellogg pour grossir aux Etats-Unis

Le géant italien de l’agroalimentaire Ferrero (Kinder, Nutella, Crunch, etc.) va engloutir le groupe américain WK Kellogg, spécialiste des céréales pour petit-déjeuner (Corn Flakes, Froot Loops, Rice Krispies, All-Bran, etc.) pour accélérer sa croissance en Amérique du Nord.Les deux groupes ont annoncé jeudi matin, dans un communiqué commun, cette opération à 3,1 milliards de dollars (dette comprise), qui sera entièrement financée en liquide.En vertu de leur accord définitif, Ferrero va payer 23 dollars par action de WK Kellogg, ce qui représente une prime de 31% par rapport au cours de clôture du groupe américain mercredi à Wall Street, et de 40% sur le cours moyen des trente derniers jours.”Cette acquisition soutient l’expansion du portefeuille de Ferrero et sa croissance en Amérique du Nord en y ajoutant les marques de céréales emblématiques et hautement complémentaires de WK Kellogg”, relève le communiqué.La transaction inclut l’appareil de production ainsi que les activités de marketing et de distribution aux Etats-Unis, au Canada et dans les Caraïbes, afin de permettre à Ferrero “de servir les consommateurs pour davantage d’occasions tout au long de la journée”.L’opération, approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration des deux entreprises, devrait être finalisée au second semestre. Elle nécessite l’approbation des actionnaires de WK Kellogg et des autorités réglementaires.Le groupe américain deviendra alors une filiale à part entière de Ferrero, qui détient plusieurs marques de confiserie, dont la célèbre Tic Tac, ainsi que les rochers sphériques en chocolat appréciés des soirées de l’ambassadeur, si on en croit les incontournables spots publicitaires depuis la fin des années 1980.La ville de Battle Creek (Michigan), siège de WK Kellogg, deviendra celui de Ferrero North America.Des actionnaires représentant 21,7% du capital de WK Kellogg se sont déjà engagés à voter en faveur du rachat.- Gourmandise américaine -Le Wall Street Journal avait défloré l’annonce mercredi en fin d’après-midi en affirmant que Ferrero était “proche de la finalisation d’une transaction d’environ trois milliards de dollars” pour racheter WK Kellogg.”L’objectif de Ferrero est de grossir aux Etats-Unis par le biais d’acquisitions, après avoir déjà acheté les activités de confiserie américaines (du groupe suisse) Nestlé” pour 2,8 milliards de dollars en 2018, avait relevé le journal.L’action de WK Kellogg, dont les origines remontent à près de 120 ans, s’était envolée de près de 50% dans les échanges électroniques après la fermeture mercredi de la Bourse de New York.Ferrero, créé en 1946 dans la ville piémontaise d’Alba (nord de l’Italie) et entré sur le marché américain en 1969, emploie actuellement plus de 14.000 personnes dans vingt-deux usines et onze bureaux en Amérique du Nord.Le groupe, dont le chiffre d’affaires a atteint 18,4 milliards d’euros pour son exercice fiscal décalé 2024 (+8,9% sur un an), compte plus de 61.000 employés dans le monde.En accompagnement de cette transaction, WK Kellogg a donné quelques éléments préliminaires sur ses résultats du deuxième trimestre, qui doivent être publiés à une date non précisée à ce stade. Son chiffre d’affaires devrait se situer entre 610 et 615 millions de dollars, contre 672 millions un an plus tôt, et son bénéfice d’exploitation proforma entre 43 et 48 millions (78 millions un an plus tôt).En juin 2021, le géant du petit-déjeuner Kellogg avait dévoilé son intention de se diviser en trois sociétés distinctes et indépendantes, mais il avait opté, au final, pour deux sociétés seulement: WK Kellogg (céréales) et Kellanova (snacks), qui sont nés en octobre 2023.Cette scission prenait acte du ralentissement du marché des céréales, en décroissance depuis une dizaine d’années.Selon les spécialistes, les consommateurs se tournent davantage vers les snacks prêts à emporter. Par ailleurs, souvent accusées d’être trop sucrées et riches en additifs, les céréales ont vu leur image se détériorer.Kellanova – chips Pringles, snacks de marque Kellogg’s (Eggo, Nutrigain, Rice Krispies Treats…), Cheez-It, Carr’s – fait actuellement l’objet d’une tentative de rachat par son compatriote Mars pour 36 milliards de dollars, annoncée en août 2024.Mars comptait finaliser l’acquisition au premier semestre 2025, mais la Commission européenne, craignant des hausses de prix pour les consommateurs dans un contexte de forte inflation alimentaire, a ouvert une enquête le 25 juin.Le groupe Mars (Twix, Snickers, M&M’s mais aussi les aliments pour animaux Whiskas et Royal Canin) ambitionne de se diversifier dans les snacks salés.

Ferrero va croquer les céréales WK Kellogg pour grossir aux Etats-Unis

Le géant italien de l’agroalimentaire Ferrero (Kinder, Nutella, Crunch, etc.) va engloutir le groupe américain WK Kellogg, spécialiste des céréales pour petit-déjeuner (Corn Flakes, Froot Loops, Rice Krispies, All-Bran, etc.) pour accélérer sa croissance en Amérique du Nord.Les deux groupes ont annoncé jeudi matin, dans un communiqué commun, cette opération à 3,1 milliards de dollars (dette comprise), qui sera entièrement financée en liquide.En vertu de leur accord définitif, Ferrero va payer 23 dollars par action de WK Kellogg, ce qui représente une prime de 31% par rapport au cours de clôture du groupe américain mercredi à Wall Street, et de 40% sur le cours moyen des trente derniers jours.”Cette acquisition soutient l’expansion du portefeuille de Ferrero et sa croissance en Amérique du Nord en y ajoutant les marques de céréales emblématiques et hautement complémentaires de WK Kellogg”, relève le communiqué.La transaction inclut l’appareil de production ainsi que les activités de marketing et de distribution aux Etats-Unis, au Canada et dans les Caraïbes, afin de permettre à Ferrero “de servir les consommateurs pour davantage d’occasions tout au long de la journée”.L’opération, approuvée à l’unanimité par les conseils d’administration des deux entreprises, devrait être finalisée au second semestre. Elle nécessite l’approbation des actionnaires de WK Kellogg et des autorités réglementaires.Le groupe américain deviendra alors une filiale à part entière de Ferrero, qui détient plusieurs marques de confiserie, dont la célèbre Tic Tac, ainsi que les rochers sphériques en chocolat appréciés des soirées de l’ambassadeur, si on en croit les incontournables spots publicitaires depuis la fin des années 1980.La ville de Battle Creek (Michigan), siège de WK Kellogg, deviendra celui de Ferrero North America.Des actionnaires représentant 21,7% du capital de WK Kellogg se sont déjà engagés à voter en faveur du rachat.- Gourmandise américaine -Le Wall Street Journal avait défloré l’annonce mercredi en fin d’après-midi en affirmant que Ferrero était “proche de la finalisation d’une transaction d’environ trois milliards de dollars” pour racheter WK Kellogg.”L’objectif de Ferrero est de grossir aux Etats-Unis par le biais d’acquisitions, après avoir déjà acheté les activités de confiserie américaines (du groupe suisse) Nestlé” pour 2,8 milliards de dollars en 2018, avait relevé le journal.L’action de WK Kellogg, dont les origines remontent à près de 120 ans, s’était envolée de près de 50% dans les échanges électroniques après la fermeture mercredi de la Bourse de New York.Ferrero, créé en 1946 dans la ville piémontaise d’Alba (nord de l’Italie) et entré sur le marché américain en 1969, emploie actuellement plus de 14.000 personnes dans vingt-deux usines et onze bureaux en Amérique du Nord.Le groupe, dont le chiffre d’affaires a atteint 18,4 milliards d’euros pour son exercice fiscal décalé 2024 (+8,9% sur un an), compte plus de 61.000 employés dans le monde.En accompagnement de cette transaction, WK Kellogg a donné quelques éléments préliminaires sur ses résultats du deuxième trimestre, qui doivent être publiés à une date non précisée à ce stade. Son chiffre d’affaires devrait se situer entre 610 et 615 millions de dollars, contre 672 millions un an plus tôt, et son bénéfice d’exploitation proforma entre 43 et 48 millions (78 millions un an plus tôt).En juin 2021, le géant du petit-déjeuner Kellogg avait dévoilé son intention de se diviser en trois sociétés distinctes et indépendantes, mais il avait opté, au final, pour deux sociétés seulement: WK Kellogg (céréales) et Kellanova (snacks), qui sont nés en octobre 2023.Cette scission prenait acte du ralentissement du marché des céréales, en décroissance depuis une dizaine d’années.Selon les spécialistes, les consommateurs se tournent davantage vers les snacks prêts à emporter. Par ailleurs, souvent accusées d’être trop sucrées et riches en additifs, les céréales ont vu leur image se détériorer.Kellanova – chips Pringles, snacks de marque Kellogg’s (Eggo, Nutrigain, Rice Krispies Treats…), Cheez-It, Carr’s – fait actuellement l’objet d’une tentative de rachat par son compatriote Mars pour 36 milliards de dollars, annoncée en août 2024.Mars comptait finaliser l’acquisition au premier semestre 2025, mais la Commission européenne, craignant des hausses de prix pour les consommateurs dans un contexte de forte inflation alimentaire, a ouvert une enquête le 25 juin.Le groupe Mars (Twix, Snickers, M&M’s mais aussi les aliments pour animaux Whiskas et Royal Canin) ambitionne de se diversifier dans les snacks salés.

Athlètes hyperandrogènes: “résultat positif” mais le “combat n’est pas terminé”

La Sud-africaine Caster Semenya a salué jeudi “un résultat positif” dans la décision de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), qui a reconnu qu’elle n’avait pas eu droit à un procès équitable sans toutefois trancher la question centrale du traitement hormonal imposé à cette athlète hyperandrogène.Si elle a condamné la Suisse pour violation du droit à un procès équitable, la Cour a en revanche déclaré irrecevables les griefs de Caster Semenya qui s’estimait victime de discrimination.La Grande chambre, sorte d’instance d’appel de la CEDH, estime en effet que l’athlète de 34 ans ne relevait pas de la juridiction de la Suisse en ce qui concerne ce grief.La Sud-Africaine a néanmoins salué un “résultat positif”, qui rappelle qu’il faut “protéger les athlètes”.- “Combat pas terminé”-“Le combat n’est pas terminé”, “tant qu’il y a de l’injustice, nous nous battrons”, a prévenu l’athlète intersexe, présente à Strasbourg aux côtés de ses avocats qui vont maintenant examiner les suites éventuelles.De son côté, le ministère de la Justice helvète souligne que “la condamnation de la Suisse se limite à un seul point: le Tribunal fédéral aurait dû examiner plus en détail l’arrêt rendu par le Tribunal arbitral du sport”. L’Office fédéral de la justice (OFJ), qui représente le Gouvernement suisse devant la Cour, “va maintenant analyser en détail les motifs de l’arrêt et discuter des prochaines étapes avec les entités concernées”.Dans son arrêt de Grande chambre, la CEDH a rappelé que le respect du droit à un procès équitable, protégé par la Convention européenne des droits de l’homme, “exigeait un examen particulièrement rigoureux de sa cause”.Or la cour a estimé que cela n’a pas été le cas de l’examen opéré par le tribunal fédéral suisse saisi par Caster Semenya pour contester la sentence du TAS, qui est basé à Lausanne.La Suisse doit verser à Caster Semenya 80.000 euros pour frais et dépens.”La Grande Chambre n’est pas allée assez loin pour reconnaître toutes les violations dans cette affaire”, estime Seema Patel, experte en droit du sport et en discrimination liée au genre à la Nottingham Law School, “mais il y a au moins eu un avertissement pour le monde sportif que les droits de la Convention doivent être respectés”.- “Grand jour” -“Le jugement rendu aujourd’hui par la Cour confirme qu’à l’avenir, les athlètes et les sportifs ont droit à un examen rigoureux des affaires qui mettent en jeu leurs droits fondamentaux. Leur protection est essentielle. C’est un grand jour pour le sport et pour les athlètes du monde entier”, a commenté Schona Jolly, avocate de Caster Semenya.Double championne olympique (2012, 2016) et triple championne du monde (2009, 2011, 2017), la Sud-Africaine produit naturellement beaucoup d’hormones mâles (androgènes), susceptibles d’accroître la masse musculaire et d’améliorer les performances.Depuis 2018, World Athletics, la fédération internationale d’athlétisme, impose aux athlètes hyperandrogènes de faire baisser leur taux de testostérone par un traitement hormonal pour participer aux compétitions internationales dans la catégorie féminine. Ce que refuse Caster Semenya, privée ainsi de s’aligner en compétition sur sa distance fétiche.Le ministère sud-africain des Sports “continuera à travailler (…) pour obtenir justice par tous les moyens disponibles, y compris au sein des structures de World Athletics”, “tant que la lutte pour (tes) droits corporels se poursuit”, a-t-il indiqué dans un communiqué.Pour Antoine Duval, chercheur en droit international du sport à la Haye, l’arrêt constitue “un encouragement aux athlètes intersexes qui sont affectés par ces règles à porter l’affaire devant le TAS et à relancer le débat”.Révélée au grand public aux Mondiaux de 2009 à Berlin, Caster Semenya y avait remporté la médaille d’or du 800 m mais son apparence physique et sa voix grave avaient suscité débats et spéculations. L’athlète avait été interdite de compétition pendant onze mois et contrainte de subir des tests médicaux aux résultats restés secrets, avant d’être autorisée de nouveau à courir en juillet 2010.Mais en 2018, le règlement de World Athletics a changé la donne.Ce règlement a été validé l’année suivante par le Tribunal arbitral du sport, basé en Suisse, puis confirmé par le Tribunal fédéral de Lausanne.Les recours de l’athlète sud-africaine contre ces deux décisions ont été rejetés mais elle a obtenu gain de cause devant la CEDH le 11 juillet 2023. La cour avait estimé qu’elle avait été victime de discrimination et d’une violation de sa vie privée.Cependant, les autorités helvètes, appuyées par World Athletics, avaient saisi la Grande chambre de la CEDH, qui s’est prononcée jeudi et dont les décisions sont définitives.

Scrutiny over Texas flood response mounts as death toll hits 120

Texas authorities faced mounting scrutiny Thursday over the response to flash flooding that has left at least 120 people dead, as details surfaced about reported delays of early alerts that could have saved lives.The confirmed death toll from Fourth of July holiday floods that ravaged the central Texas Hill Country — including a river bank cluttered with children’s summer camps — stood at 120, after police lowered it by one from a day earlier.And the urgent search for more than 170 people still missing entered a seventh day.Hundreds of workers in Kerr County and other central Texas communities continue to comb through piles of muddy debris, but with no live rescues reported this week, worries have swelled that the death toll could still rise.With US President Donald Trump preparing to visit the disaster zone Friday with First Lady Melania Trump, new questions have emerged about when the first emergency alerts reached the hundreds of people in the path of nature’s fury.At a news conference Thursday Kerrville police Sergeant Jonathan Lamb deflected a question about police radios being unable to communicate with county and emergency officials, perhaps hampering rescue efforts as the flood raged.”I don’t have any information to that point,” he responded.Lamb said people from all over Texas were volunteering to help with the search effort, offering their own equipment such as boats and earth moving vehicles, and suggested there was a glut of good will.”I don’t want to say it’s been a problem, because we’re so grateful for the amount of people who want to come to this community to help,” Lamb said.”But it’s important that we have certified professional search teams out there right now.”- 90-minute alert delay? -Several local and state officials in recent days have deflected questions that sought to clarify Kerr County’s specific actions as the disaster rapidly unfolded.ABC News reported early Thursday that at 4:22 am on July 4, a firefighter in Ingram, upstream of Kerrville, had asked the Kerr County Sheriff’s Office to alert residents of nearby Hunt of the coming flood.The network said its affiliate KSAT obtained audio of the call, and that the first alert did not reach Kerr County’s CodeRED system for a full 90 minutes.In some cases, it said, the warning messages did not arrive until after 10:00 am, when hundreds of people had already been swept away by raging waters.”The Guadalupe Schumacher sign is underwater on State Highway 39,” the firefighter said in the dispatch audio published by ABC. “Is there any way we can send a CodeRED out to our Hunt residents, asking them to find higher ground or stay home?””Stand by, we have to get that approved with our supervisor,” a sheriff’s office dispatcher replied in the audio.Kerr County, the tragedy’s epicenter and part of an area nicknamed “Flash Flood Alley,” has confirmed 96 deaths including 36 children, with 161 people still missing.Kendall County, which has confirmed eight fatalities, reported no change to its toll Thursday.Reporters pressed area officials this week about whether the Trump government’s sweeping funding cuts had weakened warning systems, and why so many people did not receive timely flood alerts. “There’s going to be an after-action” review, Kerr County Sheriff Larry Leitha said Wednesday, adding “those questions need to be answered.”Leitha said “it was between 4:00 or 5:00 (am) when I got notified” of incoming emergency calls — but he declined to address specifics of the warning system and any possible delays.The flooding of the Guadalupe River was particularly devastating for summer camps on its banks, including Camp Mystic, where 27 girls and counselors died. Five other Mystic campers and a counselor remain missing.Governor Gregg Abbott has scheduled a special session of the Texas Legislature, beginning July 21. Sergeant Lamb said the session will be “a starting point” for reviewing ways to improve warning systems for weather events.

Rami Al Ali becomes first Syrian in Paris fashion programme

Syrian couturier Rami Al Ali made history Thursday as the first fashion designer from his country to feature in the official Paris Haute Couture Week calendar in a new landmark for Arab representation in the luxury business. After years of showing his tailored evening dresses on the sidelines of Couture Week, he was invited this year by France’s Federation de la Haute Couture et de la Mode to join the programme.He sent out models in long pleated dresses in pastel colours, making elaborate use of silk, rolled crepe fabric, embroidery and beading in a collection that reflected his optimism about the future of his war-ravaged country. “We called the collection the ‘Guardian of Light’, and it came at a time that is very hopeful, very promising,” the 53-year-old told AFP beforehand. The fall of former Syrian president Bashar al-Assad in December led to the rise of rebel-turned-transitional leader Ahmed al-Sharaa, which has brought a fragile end to nearly 14 years of civil war. Al Ali, who grew up in the eastern Syrian city of Deir ez-Zor before moving to Dubai, where he founded his brand more than 20 years ago, was holding back tears as he spoke to reporters afterwards.He told AFP he had been feeling “nervous, excited, tired, happy” about his breakthrough moment, which follows years of dressing A-listers and royalty including Beyonce and Oscar winner Helen Mirren. – ‘Bolder, braver’ -After decades of Syria being a byword for violence and political oppression, Al Ali hopes that artists will now help highlight the country’s rich history and design culture. “I think now we have much more freedom in expressing ourselves in all different aspects, political, humanitarian, creative. We have a lot to say, and definitely we are bolder, braver in the way we express it,” he said.Haute Couture Week is separate from the ready-to-wear Paris Fashion Week and is dedicated to handcrafted, one-of-a-kind creations made for red carpet events, galas, and other high-profile social occasions.The programme this week included two designers from Lebanon — Elie Saab and Zuhair Murad – as well as Cameroon’s Imane Ayissi, the sole sub-Saharan African label included in the calendar.Saudi Arabian designer Mohammed Ashi’s brand Ashi Studio was also in the programme.Ayissi, who joined the Couture calendar in 2020 at the same time as much-hyped Indian designer Rahul Mishra, paid tribute to the increasing diversity on the Paris fashion circuit. “It shows that things are changing, that things are moving forward,” former model Ayissi told AFP this week after his show, which made elaborate use of traditional African textiles.

Transferts: Théo Hernandez tente le pari saoudien à Al-Hilal

L’arrière-gauche de l’équipe de France Théo Hernandez a signé jeudi pour trois saisons à Al-Hilal, cédant à son tour aux sirènes et aux pétrodollars du championnat saoudien, un pari osé à un an de la Coupe du monde pour ce cadre des Bleus.Après six saisons à l’AC Milan, il rejoint les quarts de finalistes du Mondial des clubs, qui ont notamment battu Manchester City (4-3 a.p.) en 8e de finale, pour un transfert estimé à 25 millions d’euros par la presse italienne.A 27 ans, l’international français (38 sélections, 2 buts) court le risque de s’éloigner un peu des radars de Didier Deschamps à un an de la prochaine Coupe du monde. Mais le fait que N’Golo Kanté ait été rappelé pour l’Euro-2024 alors qu’il jouait lui aussi dans la Saudi Pro League, à Al-Ittihad, montre que le cadet des frères Hernandez prend un risque mesuré.D’autant que la concurrence en bleu est assez limitée à son poste où seul Lucas Digne (Aston Villa), qui possède des qualités plus défensives, représente pour le moment une menace sérieuse.”On sait que moi j’aime bien attaquer, j’aime bien la phase offensive”, disait-il pendant le dernier Euro.”Théo est un joueur extrêmement décisif dans la phase offensive par cette capacité à se projeter, confirme le sélectionneur Didier Deschamps. Il a beaucoup de puissance et a cette qualité de pied remarquable. Il confirme le niveau de compétition qu’il a depuis quelques années”.Chez les Bleus de Ryad, le club le plus populaire d’Arabie Saoudite, Théo Hernandez va notamment retrouver le gardien marocain Yassine Bounou, alias Bono, à qui il avait marqué un but en demi-finale du Mondial-2022 (France-Maroc 2-0).- Critiques -Il devrait animer le couloir gauche de la défense de l’équipe entraînée depuis un mois par Simone Inzaghi, l’ex-coach de l’Inter Milan, avec le Portugais Joao Cancelo à droite.Ce choix d’un championnat de second rang reste une surprise pour un joueur en pleine maturité, qui était un pilier de l’AC Milan où il a été champion d’Italie en 2022 et dont il était l’un des vice-capitaines.Mais le dernier exercice a été moins bon sur le plan collectif, les Rossoneri, seulement huitièmes de Serie A, n’ayant pas réussi à se qualifier pour une coupe d’Europe. Ils ne se sont consolés qu’avec la Supercoupe d’Italie, remportée face au grand rival intériste (3-2), avec justement un but du défenseur français. Ironie du sort, ce titre a été glané à Ryad, mais au KSU Stadium, l’enceinte d’Al-Nassr, l’autre grand club de la capitale saoudienne.D’un point de vue individuel, Hernandez avait aussi essuyé des critiques pour ses prestations moins abouties, notamment pour son exclusion pour un second jaune récolté pour simulation lors du barrage de Ligue des champions fatal à l’AC Milan contre le Feyenoord Rotterdam (1-0/1-1).Vainqueur du Scudetto 2022, l’ancien joueur de l’Atlético Madrid s’était auparavant affirmé en Lombardie, où il est devenu international tricolore.”Je pense que j’ai progressé dans de nombreux domaines, surtout l’aspect défensif. Quand je suis arrivé à Milan, je n’étais pas très concentré”, admettait-il l’été dernier. Il y est devenu père et un membre à part entière du groupe France. “Théo c’est un joueur dont on parle un peu moins dans cette équipe, mais qui a un rôle important”, selon le milieu de terrain de l’OM et des Bleus Adrien Rabiot.

Bourses européennes: Londres termine sur un record, Francfort et Paris sans élan

La Bourse de Londres a terminé jeudi sur un nouveau record, Paris a légèrement monté et Francfort a cédé du terrain, après avoir touché un record en séance, tandis que les investisseurs restaient attentifs aux droits de douane américains.L’indice vedette de la Bourse de Londres, le FTSE 100 (+1,23%), a terminé sur un record en clôture à plus de 8.975 points, après avoir également touché un sommet historique en séance. Le DAX de Francfort (-0,38%) a également touché un nouveau plus haut jeudi, avant de perdre de l’élan, et Paris a terminé en légère hausse (+0,30%).

London stocks hit record high on tariff optimism

Stocks largely rose on Thursday, with London striking a record high, as investors remained optimistic that governments will reach deals to avoid US tariffs.The dollar climbed versus main rivals while oil prices slid.Bitcoin steadied after topping $112,000 for the first time on Wednesday.Wall Street’s main indices wobbled in morning trading, a day after the S&P 500 and Nasdaq Composite set fresh highs thanks to a surge in US chip titan Nvidia that pushed the firm to a record $4 trillion valuation at one point.But as European market’s closed, both the Dow and S&P 500 were in the green.In Europe, London’s FTSE 100 index rose more than one percent to set a new all-time high, lifted also by a surge in mining stocks after US President Donald Trump said he would enact a 50-percent copper tariff on August 1.Paris stocks advanced, tracking gains in Asia, but Frankfurt ended the day lower. “European markets in general continue to shrug off Donald Trump’s daily tariff updates, perhaps seeing them as noise and not facts,” said Dan Coatsworth, investment analyst at AJ Bell.”Trump is throwing out numbers left, right and centre, and investors have begun to dismiss anything that isn’t set in stone,” he added.Negotiators from around the world have been trying to reach agreements with Washington since Trump in April unveiled his “Liberation Day” tariff bombshell, with a July 9 deadline pushed back to August 1.”Indications that the EU is edging closer to a deal with the US, with an agreement thought to be possible in a few days, has added to the positive vibes,” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.The EU expects Trump to keep a 10-percent baseline tariff on EU goods with exemptions for critical sectors such as airplanes, spirits and cosmetics.Letters have been sent in recent days to more than 20 trading partners — including Japan and South Korea — setting out new tolls, with some higher and some lower than the initial levels.There was little global reaction to news that Trump had hit Brazil with a 50-percent tariff as he blasted the trial of the country’s ex-president Jair Bolsonaro.Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva said he would impose reciprocal levies on the United States.Brazil had not been among those threatened with higher duties, with the United States running a goods trade surplus with the South American giant.Traders were given few guides on the US Federal Reserve’s interest rate plans after minutes published on Wednesday from its June policy meeting showed officials divided on the best way forward.While the board sees the president’s tariffs as inflationary, the minutes said there remained “considerable uncertainty” on the timing, size and duration of the effects.”There is an understanding that the tariffs could invite higher prices and worsening inflation, but the stock market and the Treasury market continue to operate with an attitude of ‘seeing is believing’,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.”They haven’t seen enough in the hard data to be convinced that the inflation threat is coming to fruition,” he added.- Key figures at around 1530 GMT -New York – Dow: UP 0.6 percent at 44,732.82 pointsNew York – S&P 500: UP 0.2 percent at 6,278.04New York – Nasdaq Composite: DOWN less than 0.1 percent at 20,596.43London – FTSE 100: UP 1.2 percent at 8,975.96 (close)Paris – CAC 40: UP 0.3 percent at 7,902.25 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 24,456.81 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.4 percent at 39,646.36 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.6 percent at 24,028.37 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,509.68 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1679 from $1.1719 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3558 from $1.3590Dollar/yen: UP at 146.49 yen from 146.30 yenEuro/pound: DOWN at 86.14 pence from 86.21 penceBrent North Sea Crude: DOWN 1.6 percent at $69.07 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 1.8 percent at $67.12 per barrelburs-rl/jj