Two-time champions Morocco sink Zambia in CHAN, DRC deny AngolaThu, 14 Aug 2025 20:08:23 GMT

Two-time champions Morocco and DR Congo clawed their way back into quarter-final contention with wins over Zambia and Angola in the African Nations championships (CHAN) on Thursday.Morocco crushed Zambia 3-1, while DR Congo needed two second-half goals to defeat Angola.The Zambian back line sustained high pressure as Morocco dominated the early proceedings at the Nyayo National …

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Dueling interests for Trump and Putin at Alaska summit

US President Donald Trump and Russian President Vladimir Putin — and, from a distance, Ukrainian President Volodymyr Zelensky — have dueling interests going into a high-stakes summit in Alaska on Friday.- What does Trump want? -The Nobel Peace Prize. Trump has openly and repeatedly sought the world’s most prestigious award, however unlikely many observers think it is that the Norwegian committee would bestow the honor on the divisive president.Trump has boasted of his deal-making skills and had vowed to end the Ukraine war within 24 hours, but his calls to Putin went unheeded even after Trump put heavy pressure on Zelensky to compromise, including by cutting US aid.The billionaire has also said that he sees business opportunities in Russia, which remains under Western sanctions over the war.Many European leaders fear that in a one-on-one meeting, Trump could fall under the sway of Putin, for whom he has voiced admiration in the past.At a 2018 summit, Trump stunned viewers by siding with Putin over US intelligence in denying that Russia intervened in the 2016 US election to support Trump.- What does Putin want? -To retain as much Ukrainian territory as possible. Russia failed in its goal of quickly seizing Ukraine in its February 2022 invasion but in recent months has made steady gains on the battlefield, leading Putin to believe he has an upper hand militarily.John Herbst, the former US ambassador to Ukraine, said that Putin already knows what a deal could look like — a ceasefire, plus some form of security guarantees for Ukraine.”That doesn’t give Putin what he wants, which is control over all of Ukraine. But it doesn’t matter what Putin wants. If he can’t get anything more, he may settle for what’s available,” said Herbst, now senior director of the Atlantic Council’s Eurasia Center.Putin suggested the meeting with Trump after the US president threatened new sanctions on Russia unless it moves toward a ceasefire.”The best-case scenario for Russia is… if they are able to put a deal on the table that creates some kind of a ceasefire, but that leaves Russia in control of those escalatory dynamics, [and] does not create any kind of genuine deterrence on the ground or in the skies over Ukraine,” said Sam Greene, director for democratic resilience at the Center for European Policy Analysis (CEPA).- What does Zelensky want? -A seat at the negotiating table, and Russia out of Ukraine.Zelensky will not participate in Trump’s summit with Putin — a sharp shift from previous US president Joe Biden’s insistence on “nothing about Ukraine without Ukraine.”Trump has promised to involve Zelensky, possibly with a three-way summit — if Putin agrees.But Trump has also again insisted that Ukraine needs to make territorial concessions, which Zelensky has refused.For Ukrainians, “It looks like it’s two big powers that are just deciding the fate of Ukraine without any Ukrainians at the table,” said Olga Tokariuk, also at CEPA.For Ukraine, the best-case scenario would be no agreement between Putin and Trump and the imposition of new sanctions on Russia, she said.But Herbst said Zelensky could accept a deal in which Russia controls what it has — without formal recognition of its conquest.Putin in turn would accept “that his notion of taking more of Ukraine and restoring the Russian Empire is kaput,” Herbst said.  – Why Alaska? -Putin will be stepping foot on western soil for the first time since the war began. He faces an arrest warrant from the International Criminal Court in The Hague, to which the United States is not a party. Alaska carries historic significance as the United States bought it from tsarist Russia in 1867.Russia has pointed to Alaska as it makes the case that it is normal to transfer land. Ukraine’s borders date from the breakup of the Soviet Union, although Russia in 2014 seized the Crimean peninsula in an annexation unrecognized by nearly all countries.

Naufrage de migrants à Lampedusa: les recherches continuent, nombreux disparus

Les recherches se poursuivent jeudi pour tenter de retrouver des migrants ou les corps de nombreuses personnes encore portées disparues après un naufrage la veille qui a fait au moins 27 morts au large de Lampedusa.”Au moins 27 personnes se sont noyées lors d’un tragique naufrage près de Lampedusa. Plus de 700 réfugiés et migrants sont morts en 2025 en Méditerranée centrale”, a déploré sur X le chef du Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi. Parmi les corps de 23 des victimes inspectés pour être identifiés, les autorités ont dénombré 13 hommes, 7 femmes et trois mineurs, y compris une nouveau-née.Sur la petite île méditerranéenne, dans le cimetière où sont conservés les corps de certaines victimes, deux femmes sont venues déposer des fleurs. “Le moins qu’on puisse faire, c’est venir dire une prière pour ces gens qui cherchaient une vie meilleure, ils n’ont rien fait et ont trouvé la mort”, dit l’une d’elles, Donata, interrogée par l’AFP, et qui a refusé de donner son nom de famille.Les survivants, eux, sont au nombre de 60, dont 21 mineurs, ont indiqué des responsables de la Croix Rouge et du centre d’accueil des migrants sur la petite île méditerranéenne.Sur une vidéo diffusée jeudi soir par les garde-côte italiens, on voit un bateau des secouristes lancer une bouée à de jeunes migrants dans les vagues et qui s’y agrippent désespérément.Le directeur du centre d’accueil pour migrants de l’île, Imad Dalil, a précisé que 58 des rescapés sont “en bonne santé” tandis que deux autres ont été évacués par hélicoptère en Sicile pour y être soignés. La majorité d’entre eux sont somaliens, et quelques-uns égyptiens.Parmi eux, une Somalienne a perdu son fils et son mari, selon un témoignage recueilli par le journal Il Corriere della Sera. “J’avais mon fils dans les bras et mon mari à mes côtés. Je ne sais pas comment, nous nous sommes retrouvés à l’eau. Les vagues les ont tous deux emportés”, a-t-elle raconté.Les garde-côte ont étendu le périmètre de leurs recherches, qui dureront jusqu’à dimanche matin. Le porte-parole de l’OIM, Flavio di Giacomo, avait fait état mercredi sur X d'”environ 95 personnes parties de Libye sur deux bateaux” mais l’agence italienne Ansa mentionne entre 100 et 110 personnes au total parties de la côte africaine. Le bilan pourrait donc s’alourdir.- Route mortelle -Ces migrants seraient partis des alentours de Tripoli à l’aube, mais après que l’un des deux bateaux “a pris l’eau”, les passagers “ont grimpé sur l’autre, qui a chaviré sous la surcharge”, a expliqué M. di Giacomo.Mercredi vers midi, l’un des petits bateaux, à moitié submergé, a été repéré par les forces de l’ordre. Un hélicoptère et deux avions ont été dépêchés sur place, ainsi que cinq navires, dont un de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes Frontex.Les personnes qui tentent de rejoindre l’Italie par Lampedusa, située à seulement 145 km des côtes nord-africaines, font souvent la traversée à bord de bateaux surchargés ou en mauvais état.La route maritime du centre de la Méditerranée est la plus dangereuse du monde pour les migrants, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).C’est aussi un lieu de villégiature, connu pour ses plages de sable blanc. Jeudi, elles étaient pleines de touristes venus pour le long week-end de “Ferragosto”, un jour férié le 15 août en Italie.Malgré les naufrages meurtriers, les embarcations continuent d’arriver: quatre autres ainsi été interceptées au large de Lampedusa dans la nuit de mercredi à jeudi. Le centre d’accueil abrite actuellement 240 migrants, selon son directeur Imad Dalil.Le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, arrivé au pouvoir en octobre 2022 en promettant d’enrayer les arrivées de migrants, a passé des accords avec des pays d’Afrique du Nord, leur apportant des financements et des formations contre une aide pour lutter contre le départ d’embarcations vers l’Italie.D’après le ministère italien de l’Intérieur, plus de 38.500 personnes sont arrivées en Italie cette année par voie maritime.

Naufrage de migrants à Lampedusa: les recherches continuent, nombreux disparus

Les recherches se poursuivent jeudi pour tenter de retrouver des migrants ou les corps de nombreuses personnes encore portées disparues après un naufrage la veille qui a fait au moins 27 morts au large de Lampedusa.”Au moins 27 personnes se sont noyées lors d’un tragique naufrage près de Lampedusa. Plus de 700 réfugiés et migrants sont morts en 2025 en Méditerranée centrale”, a déploré sur X le chef du Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi. Parmi les corps de 23 des victimes inspectés pour être identifiés, les autorités ont dénombré 13 hommes, 7 femmes et trois mineurs, y compris une nouveau-née.Sur la petite île méditerranéenne, dans le cimetière où sont conservés les corps de certaines victimes, deux femmes sont venues déposer des fleurs. “Le moins qu’on puisse faire, c’est venir dire une prière pour ces gens qui cherchaient une vie meilleure, ils n’ont rien fait et ont trouvé la mort”, dit l’une d’elles, Donata, interrogée par l’AFP, et qui a refusé de donner son nom de famille.Les survivants, eux, sont au nombre de 60, dont 21 mineurs, ont indiqué des responsables de la Croix Rouge et du centre d’accueil des migrants sur la petite île méditerranéenne.Sur une vidéo diffusée jeudi soir par les garde-côte italiens, on voit un bateau des secouristes lancer une bouée à de jeunes migrants dans les vagues et qui s’y agrippent désespérément.Le directeur du centre d’accueil pour migrants de l’île, Imad Dalil, a précisé que 58 des rescapés sont “en bonne santé” tandis que deux autres ont été évacués par hélicoptère en Sicile pour y être soignés. La majorité d’entre eux sont somaliens, et quelques-uns égyptiens.Parmi eux, une Somalienne a perdu son fils et son mari, selon un témoignage recueilli par le journal Il Corriere della Sera. “J’avais mon fils dans les bras et mon mari à mes côtés. Je ne sais pas comment, nous nous sommes retrouvés à l’eau. Les vagues les ont tous deux emportés”, a-t-elle raconté.Les garde-côte ont étendu le périmètre de leurs recherches, qui dureront jusqu’à dimanche matin. Le porte-parole de l’OIM, Flavio di Giacomo, avait fait état mercredi sur X d'”environ 95 personnes parties de Libye sur deux bateaux” mais l’agence italienne Ansa mentionne entre 100 et 110 personnes au total parties de la côte africaine. Le bilan pourrait donc s’alourdir.- Route mortelle -Ces migrants seraient partis des alentours de Tripoli à l’aube, mais après que l’un des deux bateaux “a pris l’eau”, les passagers “ont grimpé sur l’autre, qui a chaviré sous la surcharge”, a expliqué M. di Giacomo.Mercredi vers midi, l’un des petits bateaux, à moitié submergé, a été repéré par les forces de l’ordre. Un hélicoptère et deux avions ont été dépêchés sur place, ainsi que cinq navires, dont un de l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes Frontex.Les personnes qui tentent de rejoindre l’Italie par Lampedusa, située à seulement 145 km des côtes nord-africaines, font souvent la traversée à bord de bateaux surchargés ou en mauvais état.La route maritime du centre de la Méditerranée est la plus dangereuse du monde pour les migrants, selon l’Organisation internationale pour les migrations (OIM).C’est aussi un lieu de villégiature, connu pour ses plages de sable blanc. Jeudi, elles étaient pleines de touristes venus pour le long week-end de “Ferragosto”, un jour férié le 15 août en Italie.Malgré les naufrages meurtriers, les embarcations continuent d’arriver: quatre autres ainsi été interceptées au large de Lampedusa dans la nuit de mercredi à jeudi. Le centre d’accueil abrite actuellement 240 migrants, selon son directeur Imad Dalil.Le gouvernement d’extrême droite de Giorgia Meloni, arrivé au pouvoir en octobre 2022 en promettant d’enrayer les arrivées de migrants, a passé des accords avec des pays d’Afrique du Nord, leur apportant des financements et des formations contre une aide pour lutter contre le départ d’embarcations vers l’Italie.D’après le ministère italien de l’Intérieur, plus de 38.500 personnes sont arrivées en Italie cette année par voie maritime.

Inde: au moins 56 morts dans des inondations au Cachemire

De violentes coulées de boue provoquées par des pluies torrentielles qui se sont abattues jeudi sur un village himalayen du Cachemire sous administration indienne ont fait au moins 56 morts, a annoncé à l’AFP un responsable local.Il s’agit de la deuxième catastrophe majeure causée par des inondations meurtrières en Inde en août.”La nouvelle est tragique”, a déclaré le ministre en chef du Cachemire, Omar Abdullah, dans un communiqué, en évoquant un “nuage de pluie” intense qui a frappé le district de Kishtwar.Une foule s’est rassemblée à l’hôpital de Kishtwar tandis que des personnes transportaient certains blessés sur des civières. “Cinquante-six corps sans vie ont été retrouvés”, a dit à l’AFP Mohammad Irshad, un haut responsable de la gestion des catastrophes.Quelque 80 personnes sont encore portées disparues et 300 ont été secourues parmi lesquelles “50 sont gravement blessées”, toutes transportés vers des hôpitaux à proximité, a-t-il précisé.Des foules se sont rassemblées devant l’hôpital de Kishtwar, tandis que certains blessés étaient transportés sur des civières.-Difficulté des secours-“Des chances existent de retrouver d’autres corps”, a déclaré plus tôt Pankaj Kumar Sharma, commissaire de police du district de Kishtwar.”J’ai vu au moins 15 corps transportés à l’hôpital local”, décrit Souchil Koumar, un habitant du village voisin d’Atholi.Une vidéo postée sur les réseaux sociaux par une personnalité politique locale montrait des sauveteurs alignant les corps sans vie sur un sol boueux et les recouvrant de linceuls blancs près du site de la catastrophe.Le village de Chisoti, où la catastrophe s’est produite, est situé sur la route d’un pèlerinage hindou menant au sanctuaire de Machail Mata.Les autorités ont indiqué qu’une grande cuisine de fortune, où plus d’une centaine de pèlerins se trouvaient lorsque l’inondation a eu lieu, a été complètement emportée.Les équipes de secours risquent d’avoir des difficultés à atteindre la zone. Les routes ont déjà été endommagées par plusieurs jours de violentes tempêtes. La zone se trouve à plus de 200 kilomètres par la route de la principale ville de la région, Srinagar.”Toute l’aide nécessaire sera apportée aux personnes dans le besoin”, a déclaré le Premier ministre indien, Narendra Modi.Le 5 août, des inondations ont balayé la ville himalayenne de Dharali, dans l’Etat indien de l’Uttarakhand, et l’ont recouverte de boue. Le bilan de cette catastrophe s’élève probablement à plus de 70 morts, mais il n’a pas encore été confirmé.Les inondations et les glissements de terrain sont fréquents pendant la saison de la mousson, de juin à septembre, mais des experts affirment que le changement climatique, associé à un développement mal planifié, augmente leur fréquence et leur gravité.L’Organisation météorologique mondiale a déclaré l’année dernière que les inondations et les sécheresses de plus en plus intenses étaient un “signal d’alarme”, car le changement climatique rend le cycle de l’eau sur la planète de plus en plus imprévisible.

Inde: au moins 56 morts dans des inondations au Cachemire

De violentes coulées de boue provoquées par des pluies torrentielles qui se sont abattues jeudi sur un village himalayen du Cachemire sous administration indienne ont fait au moins 56 morts, a annoncé à l’AFP un responsable local.Il s’agit de la deuxième catastrophe majeure causée par des inondations meurtrières en Inde en août.”La nouvelle est tragique”, a déclaré le ministre en chef du Cachemire, Omar Abdullah, dans un communiqué, en évoquant un “nuage de pluie” intense qui a frappé le district de Kishtwar.Une foule s’est rassemblée à l’hôpital de Kishtwar tandis que des personnes transportaient certains blessés sur des civières. “Cinquante-six corps sans vie ont été retrouvés”, a dit à l’AFP Mohammad Irshad, un haut responsable de la gestion des catastrophes.Quelque 80 personnes sont encore portées disparues et 300 ont été secourues parmi lesquelles “50 sont gravement blessées”, toutes transportés vers des hôpitaux à proximité, a-t-il précisé.Des foules se sont rassemblées devant l’hôpital de Kishtwar, tandis que certains blessés étaient transportés sur des civières.-Difficulté des secours-“Des chances existent de retrouver d’autres corps”, a déclaré plus tôt Pankaj Kumar Sharma, commissaire de police du district de Kishtwar.”J’ai vu au moins 15 corps transportés à l’hôpital local”, décrit Souchil Koumar, un habitant du village voisin d’Atholi.Une vidéo postée sur les réseaux sociaux par une personnalité politique locale montrait des sauveteurs alignant les corps sans vie sur un sol boueux et les recouvrant de linceuls blancs près du site de la catastrophe.Le village de Chisoti, où la catastrophe s’est produite, est situé sur la route d’un pèlerinage hindou menant au sanctuaire de Machail Mata.Les autorités ont indiqué qu’une grande cuisine de fortune, où plus d’une centaine de pèlerins se trouvaient lorsque l’inondation a eu lieu, a été complètement emportée.Les équipes de secours risquent d’avoir des difficultés à atteindre la zone. Les routes ont déjà été endommagées par plusieurs jours de violentes tempêtes. La zone se trouve à plus de 200 kilomètres par la route de la principale ville de la région, Srinagar.”Toute l’aide nécessaire sera apportée aux personnes dans le besoin”, a déclaré le Premier ministre indien, Narendra Modi.Le 5 août, des inondations ont balayé la ville himalayenne de Dharali, dans l’Etat indien de l’Uttarakhand, et l’ont recouverte de boue. Le bilan de cette catastrophe s’élève probablement à plus de 70 morts, mais il n’a pas encore été confirmé.Les inondations et les glissements de terrain sont fréquents pendant la saison de la mousson, de juin à septembre, mais des experts affirment que le changement climatique, associé à un développement mal planifié, augmente leur fréquence et leur gravité.L’Organisation météorologique mondiale a déclaré l’année dernière que les inondations et les sécheresses de plus en plus intenses étaient un “signal d’alarme”, car le changement climatique rend le cycle de l’eau sur la planète de plus en plus imprévisible.

Flood kills 56 in Indian Kashmir mountain village, scores missing

At least 56 people have died and dozens more remain missing after torrents of water and mud driven by intense rain crashed through a Himalayan village Thursday in Indian-administered Kashmir, a top disaster management official told AFP.It is the second major deadly flooding disaster in India this month.”The news is grim,” Kashmir Chief Minister Omar Abdullah said in a statement, reporting a “cloudburst” of heavy rain that had hit the Kishtwar district.Crowds gathered at a Kishtwar hospital while people carried some of the injured on stretchers. Mohammad Irshad, a top disaster management official, told AFP “56 dead bodies were recovered” from the site before rescue efforts were halted for the night.Irshad said 80 people were reported missing and 300 people were rescued, “50 of whom are severely injured” and were sent to nearby hospitals.Local officials said the death from the devastating flood that damaged or washed away many homes was likely to rise.Sushil Kumar, a resident of nearby Atholi village, told AFP: “I saw at least 15 dead bodies brought to the local hospital.”Pankaj Kumar Sharma, district commissioner of Kishtwar, said earlier that “there are chances of more dead bodies being found”.- Pilgrims’ kitchen washed away -Chisoti village, where the disaster hit, is on a Hindu pilgrimage route to Machail Mata shrine.Officials said a large makeshift kitchen where there were more than 100 pilgrims — who were not registered with local authorities — was completely washed away.Rescue teams were facing difficulty reaching the area and soldiers also joined the effort.The region’s weather department has issued an alert for more heavy rain and floods, asking residents to remain vigilant.Roads had already been damaged by days of heavy storms. The area lies more than 200 kilometres (125 miles) by road from the region’s main city Srinagar.”Every possible assistance will be provided to those in need,” Prime Minister Narendra Modi said.Floods on August 5 overwhelmed the Himalayan town of Dharali in India’s Uttarakhand state and buried it in mud. The likely death toll from that disaster is more than 70 but has yet to be confirmed.Floods and landslides are common during the monsoon season from June to September, but experts say climate change, coupled with poorly planned development, is increasing their frequency and severity.The UN’s World Meteorological Organization said last year that increasingly intense floods and droughts are a “distress signal” of what is to come as climate change makes the planet’s water cycle ever more unpredictable.