12 US states sue over Trump’s tariffs

A coalition of 12 American states filed a lawsuit Wednesday to challenge the Trump administration’s tariffs, saying the president cannot institute the levies without the approval of Congress.”President Trump’s insane tariff scheme is not only economically reckless — it is illegal,” Arizona Attorney General Kris Mayes said in a statement. The southwestern state is joined by Democratic-led Minnesota, New York, Oregon and others in the filing. Separately, California filed a similar suit a week ago.President Donald Trump has sent markets into tumult in his second term, turning decades of free trade policy on its head with his “Liberation Day” announcements of new tariffs against numerous countries.Trump has imposed an additional 145 percent import duties on China, and Beijing responded with its own 125 percent tariffs on US goods. On Wednesday, Trump told reporters he’s working on a “fair deal with China.”Meanwhile he has imposed 10 percent tariffs on other trade partners — and he is threatening more punishing levies.In the lawsuit filed Wednesday, the states argue that the 1977 law invoked by Trump does not allow him to use emergency measures to impose tariffs, a power constitutionally reserved for Congress.”By claiming the authority to impose immense and ever-changing tariffs on whatever goods entering the United States he chooses, for whatever reason he finds convenient to declare an emergency, the President has upended the constitutional order and brought chaos to the American economy,” the lawsuit alleges.Trump has said his protectionist policy will return manufacturing jobs to the United States. “No matter what the White House claims, tariffs are a tax that will be passed on to Arizona consumers,” Mayes said.On Wednesday, The New York Times reported that Trump’s approval rating has fallen steadily during his first three months in office, hitting a low of 44 percent this week. Democrats are seizing the opportunity to illustrate how his policies are hurting pocketbooks.Last week, California Governor Gavin Newsom called Trump’s tariff policy “the worst own-goal in the history of this country.”

Concurrence: l’UE inflige des amendes à Apple et Meta, au risque d’irriter Trump

La Commission européenne a annoncé mercredi des sanctions financières contre les géants américains des technologies Apple et Meta (Facebook, Instagram) pour des infractions à la concurrence, malgré les tensions avec le président Donald Trump sur les droits de douane.Apple se voit infliger une amende de 500 millions d’euros pour des clauses abusives dans sa boutique d’application App Store, au détriment des fournisseurs d’applications et de leurs clients.Meta, géant des réseaux sociaux, devra payer 200 millions d’euros pour avoir enfreint une règle encadrant l’usage des données personnelles.Ces sanctions sont les premières prononcées dans le cadre du nouveau règlement européen sur les marchés numériques (DMA), entré en vigueur l’an dernier pour mettre fin aux abus de position dominante des géants de la tech.Elles interviennent un an après l’ouverture de procédures contre les deux groupes californiens, mais surtout à un moment délicat pour les relations transatlantiques.L’Union européenne est en effet en pleines négociations avec l’administration américaine pour obtenir la levée de droits de douane imposés par Donald Trump.Le locataire de la Maison Blanche dénonce régulièrement les taxes, amendes et contraintes réglementaires imposées par l’Europe aux services numériques américains.Ces sanctions ne s’inscrivent pas dans le bras de fer commercial entamé entre les Etats-Unis et l’Europe, a assuré la Commissaire européenne à la Concurrence, Teresa Ribera, en marge d’une visite à Mexico.”Les décisions sont simplement une application de la loi, je pense que ça n’a rien à voir”, a-t-elle dit devant la presse mexicaine. “Nous espérons que l’application des lois soit traitée avec respect. Nous avons adopté des lois dont la juridiction est claire, et il n’y a pas d’exceptions selon qu’on s’entende bien ou mal”.Le montant des amendes ne devrait pas effrayer Apple et Meta qui ont respectivement affiché l’an dernier un bénéfice net annuel de 93,7 et 62,4 milliards de dollars (soit environ 82 et 55 milliards d’euros).La Commission affirme rechercher la mise en conformité des entreprises par le dialogue, la punition étant un moyen de dissuasion mais pas un objectif du règlement.La facture pourrait toutefois rapidement s’envoler si Apple et Meta ne faisaient pas preuve de bonne volonté. Les deux entreprises “sont tenues de se conformer aux décisions de la Commission dans un délai de 60 jours, faute de quoi elles s’exposent à des astreintes périodiques”, avertit la Commission.- “Injustement ciblé” et “bâtons dans les roues” -Contrairement à l’usage, les annonces ont été faites par simple communiqué, sans conférence de presse de l’exécutif européen. Apple s’est dit “injustement ciblé” et a annoncé aussitôt que le groupe ferait appel tout en poursuivant le dialogue avec les régulateurs.Meta a été encore plus virulent. “La Commission européenne tente de mettre des bâtons dans les roues d’entreprises américaines prospères tout en permettant aux entreprises chinoises et européennes d’opérer selon des normes différentes”, a affirmé Joel Kaplan, directeur des affaires internationales du groupe, ancien membre du Parti républicain et allié de Donald Trump.Apple est sanctionné pour des restrictions dans son magasin d’applications App Store. Selon la Commission, la marque à la pomme entrave la capacité des fournisseurs d’applications distribuées dans sa boutique en ligne à communiquer directement avec les utilisateurs finaux pour proposer éventuellement des tarifs inférieurs sur d’autres canaux.Meta est lui visé pour manquement à la règle qui le contraint à demander le consentement des utilisateurs afin de pouvoir combiner des données personnelles issues de ses différents services, comme Facebook et Instagram, à des fins de profilage publicitaire.Le groupe de Mark Zuckerberg a cependant proposé une modification de son offre pour se mettre en conformité, d’où une sanction financière inférieure à celle imposée à Apple. Cette proposition, actuellement étudiée par les services de la Commission, pourrait mettre fin à la procédure si elle est jugée satisfaisante.Apple et Meta, tout comme l’autre géant du secteur Alphabet (Google), font l’objet de multiples procédures pour abus de position dominante, tant en Europe qu’aux Etats-Unis.Plus de 200 médias français, dont TF1, France Télévisions, Radio France ou Le Figaro, ont ainsi annoncé mercredi qu’ils attaquaient en justice Meta pour des “pratiques illégales” dans la publicité en ligne.Dans un autre dossier, la Commission a par ailleurs ouvert la porte jeudi à une nouvelle sanction contre Apple, estimant, à titre préliminaire, qu’il ne respectait pas l’obligation d’offrir sur ses Iphone des alternatives à l’App Store.

Trump, à bout de “patience”, accuse Zelensky de saboter un potentiel accord avec la Russie

Donald Trump s’en est pris violemment au président ukrainien Volodymyr Zelensky mercredi, en l’accusant de tenir des propos “incendiaires” sur la Crimée annexée, au moment où un accord avec la Russie serait “très proche”, selon lui.Sur place, les autorités militaires de Kiev ont lancé dans la nuit de mercredi à jeudi une alerte anti-aérienne pour une “attaque” de “missiles ennemis”. Des journalistes de l’AFP ont entendu des explosions dans la capitale ukrainienne.A Washington, Donald Trump a fait porter à son homologue ukrainien la responsabilité du blocage des tractations visant à mettre fin à la guerre déclenchée par la Russie en février 2022.Si un accord est “très proche” et même conclu avec Moscou, la discussion s’avère “plus difficile” avec le chef de l’Etat ukrainien, a-t-il dit. Le refus de Kiev d’accepter les termes des Etats-Unis pour mettre fin à “ne fera que prolonger les tueries”, a averti le milliardaire républicain. “Je pense avoir un accord avec la Russie”, a lancé Donald Trump devant des journalistes dans le Bureau ovale. “Nous devons parvenir à un accord avec Zelensky (…) mais cela a été jusqu’à présent plus difficile”.Au coeur de ce regain de tension: la question de la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en 2014.Le territoire est, selon Donald Trump, “perdu” pour l’Ukraine, a-t-il écrit dans un long message sur son réseau Truth Social, dont le ton menaçant rappelle sa très difficile entrevue avec le président ukrainien fin février, dans le Bureau ovale.- “Perdre tout le pays” -“Il peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays”, a déclaré le président américain à propos de son homologue ukrainien. “Nous sommes très proches d’un accord mais cet homme qui n’a pas les cartes en main doit maintenant conclure”.Le républicain reproche en particulier à Volodymyr Zelensky d’avoir déclaré mardi, à propos de la Crimée:  “Il n’y a rien à discuter. (…) C’est notre territoire”. Selon Donald Trump, qui n’a jamais reconnu la responsabilité russe dans le déclenchement du conflit, ces propos “incendiaires” ont pour effet de “prolonger les tueries.””Le président est très mécontent. Sa patience atteint ses limites”, a ensuite insisté sa porte-parole Karoline Leavitt, laissant entendre à nouveau que les Etats-Unis, premier soutien militaire de Kiev jusqu’au retour de Donald Trump au pouvoir, étaient tentés d’abandonner l’Ukraine à son sort.C’est donc bien sur l’Ukraine que Washington a décidé d’imposer le maximum de pression alors que des discussions viennent de s’achever à Londres entre responsables américains, ukrainiens et européens.S’il a montré récemment quelques signes d’impatience face au président russe Vladimir Poutine, Donald Trump ne l’a jamais critiqué avec la même virulence que le président ukrainien. Alors qu’il a prévu de se rendre en mai en Arabie Saoudite, Donald Trump a jugé “possible” d’y rencontrer son homologue russe, comme il l’avait déjà évoqué en février, bien que cette perspective soit “peu probable”.Plus tôt mercredi, son vice-président JD Vance avait suggéré de “geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu’elles sont aujourd’hui”, et de procéder à des “échanges territoriaux” entre l’Ukraine et la Russie.- “Intégrité territoriale” -“Les Etats-Unis poursuivent leurs efforts de médiation, et nous nous (en) félicitons”, a réagi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.Volodymyr Zelensky réclame lui un cessez-le-feu “immédiat, complet et inconditionnel” en amont de négociations de paix.Londres a redit qu’il appartenait “à l’Ukraine de décider de son avenir”. La présidence française a elle affirmé que l'”intégrité territoriale” de l’Ukraine était une “exigence très forte” des Européens.Sur le terrain, les attaques aériennes russes ont repris à la suite d’une brève trêve de Pâques. Avant les bombardements de la nuit sur Kiev, neuf personnes ont été tuées et 32 blessées dans une attaque de drone russe contre un bus à Marganets, dans le sud-est de l’Ukraine. A Londres, les discussions se sont tenues au niveau de conseillers, et non des ministres des Affaires étrangères, comme c’était initialement prévu.L’émissaire spécial Steve Witkoff, considéré comme le négociateur de confiance de Donald Trump, doit lui faire pour la quatrième fois le voyage jusqu’à Moscou cette semaine.Selon le Financial Times, Vladimir Poutine avait proposé début avril à cet ancien homme d’affaires d’arrêter son invasion et de geler la ligne de front actuelle si les Etats-Unis accédaient à ses revendications majeures, comme la reconnaissance de la souveraineté de la Russie sur la Crimée et la non-adhésion de l’Ukraine à l’Otan.”De nombreuses fausses informations sont publiées en ce moment”, a réagi le Kremlin.burs-aue/bar/ube

Trump, à bout de “patience”, accuse Zelensky de saboter un potentiel accord avec la Russie

Donald Trump s’en est pris violemment au président ukrainien Volodymyr Zelensky mercredi, en l’accusant de tenir des propos “incendiaires” sur la Crimée annexée, au moment où un accord avec la Russie serait “très proche”, selon lui.Sur place, les autorités militaires de Kiev ont lancé dans la nuit de mercredi à jeudi une alerte anti-aérienne pour une “attaque” de “missiles ennemis”. Des journalistes de l’AFP ont entendu des explosions dans la capitale ukrainienne.A Washington, Donald Trump a fait porter à son homologue ukrainien la responsabilité du blocage des tractations visant à mettre fin à la guerre déclenchée par la Russie en février 2022.Si un accord est “très proche” et même conclu avec Moscou, la discussion s’avère “plus difficile” avec le chef de l’Etat ukrainien, a-t-il dit. Le refus de Kiev d’accepter les termes des Etats-Unis pour mettre fin à “ne fera que prolonger les tueries”, a averti le milliardaire républicain. “Je pense avoir un accord avec la Russie”, a lancé Donald Trump devant des journalistes dans le Bureau ovale. “Nous devons parvenir à un accord avec Zelensky (…) mais cela a été jusqu’à présent plus difficile”.Au coeur de ce regain de tension: la question de la péninsule de Crimée, annexée par la Russie en 2014.Le territoire est, selon Donald Trump, “perdu” pour l’Ukraine, a-t-il écrit dans un long message sur son réseau Truth Social, dont le ton menaçant rappelle sa très difficile entrevue avec le président ukrainien fin février, dans le Bureau ovale.- “Perdre tout le pays” -“Il peut avoir la paix ou il peut se battre encore trois ans avant de perdre tout le pays”, a déclaré le président américain à propos de son homologue ukrainien. “Nous sommes très proches d’un accord mais cet homme qui n’a pas les cartes en main doit maintenant conclure”.Le républicain reproche en particulier à Volodymyr Zelensky d’avoir déclaré mardi, à propos de la Crimée:  “Il n’y a rien à discuter. (…) C’est notre territoire”. Selon Donald Trump, qui n’a jamais reconnu la responsabilité russe dans le déclenchement du conflit, ces propos “incendiaires” ont pour effet de “prolonger les tueries.””Le président est très mécontent. Sa patience atteint ses limites”, a ensuite insisté sa porte-parole Karoline Leavitt, laissant entendre à nouveau que les Etats-Unis, premier soutien militaire de Kiev jusqu’au retour de Donald Trump au pouvoir, étaient tentés d’abandonner l’Ukraine à son sort.C’est donc bien sur l’Ukraine que Washington a décidé d’imposer le maximum de pression alors que des discussions viennent de s’achever à Londres entre responsables américains, ukrainiens et européens.S’il a montré récemment quelques signes d’impatience face au président russe Vladimir Poutine, Donald Trump ne l’a jamais critiqué avec la même virulence que le président ukrainien. Alors qu’il a prévu de se rendre en mai en Arabie Saoudite, Donald Trump a jugé “possible” d’y rencontrer son homologue russe, comme il l’avait déjà évoqué en février, bien que cette perspective soit “peu probable”.Plus tôt mercredi, son vice-président JD Vance avait suggéré de “geler les lignes territoriales à un niveau proche de ce qu’elles sont aujourd’hui”, et de procéder à des “échanges territoriaux” entre l’Ukraine et la Russie.- “Intégrité territoriale” -“Les Etats-Unis poursuivent leurs efforts de médiation, et nous nous (en) félicitons”, a réagi le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov.Volodymyr Zelensky réclame lui un cessez-le-feu “immédiat, complet et inconditionnel” en amont de négociations de paix.Londres a redit qu’il appartenait “à l’Ukraine de décider de son avenir”. La présidence française a elle affirmé que l'”intégrité territoriale” de l’Ukraine était une “exigence très forte” des Européens.Sur le terrain, les attaques aériennes russes ont repris à la suite d’une brève trêve de Pâques. Avant les bombardements de la nuit sur Kiev, neuf personnes ont été tuées et 32 blessées dans une attaque de drone russe contre un bus à Marganets, dans le sud-est de l’Ukraine. A Londres, les discussions se sont tenues au niveau de conseillers, et non des ministres des Affaires étrangères, comme c’était initialement prévu.L’émissaire spécial Steve Witkoff, considéré comme le négociateur de confiance de Donald Trump, doit lui faire pour la quatrième fois le voyage jusqu’à Moscou cette semaine.Selon le Financial Times, Vladimir Poutine avait proposé début avril à cet ancien homme d’affaires d’arrêter son invasion et de geler la ligne de front actuelle si les Etats-Unis accédaient à ses revendications majeures, comme la reconnaissance de la souveraineté de la Russie sur la Crimée et la non-adhésion de l’Ukraine à l’Otan.”De nombreuses fausses informations sont publiées en ce moment”, a réagi le Kremlin.burs-aue/bar/ube

Musk’s most memorable moments as Trump’s adviser

Elon Musk says he will step back from his controversial White House role as the unofficial head of the cost-cutting “Department of Government Efficiency” to focus more on his troubled Tesla car company.While classified as a mere “special government employee” and “senior advisor to the president,” the South African-born tycoon has left indelible marks on American politics as President Donald Trump’s most visible billionaire backer.- The ‘Nazi’ salute -Being Trump’s right-hand man took on a new meaning when the world’s richest person made headlines by dramatically throwing out his arm — twice — at a rally celebrating Trump’s January 20 inauguration.Standing at a podium bearing the presidential seal, Musk’s right arm was straight, his hand open, his palm facing down. Historians agreed with Democratic politicians that the sharp gesture looked exactly like a Nazi salute.The Tesla boss — whose electric vehicles were soon dubbed “swasticars” by critics — dismissed the claims, posting on his X social media platform: “The ‘everyone is Hitler’ attack is sooo tired.”Whatever the display meant, Nazi-related jokes and memes dominated public reactions to the day meant to mark Trump’s triumphant return to office.- Endorsing Germany’s extreme-right -Hot off his salute shock, Musk participated virtually at a January rally for Germany’s anti-immigration, ultra-nationalist AfD party.Musktold the crowd “you really are the best hope” for Germany and urged them to be “proud of German culture and German values.”His endorsement of the AfD shook mainstream German parties, which said they viewed it as foreign interference by Trump’s advisor. Vandals burned four Teslas in the streets of Berlin afterward.Despite record gains at the polls, AfD ultimately took second place in the election behind Germany’s conservatives. – Brings kid to work -Dressed down in MAGA hats andt-shirts, Musk became a near constant presence in the White House. For a while, so did his four-year-old son named X.During Musk’s first appearance before press since his arrival in Washington to run DOGE, the child was trotted out and Trump said, “This is X and he’s a great guy.”The boy was filmed picking his nose while his father boasted about his cost-cutting exploits standing next to the Oval Office’s Resolute Desk.- Brings chainsaw to budget -Unelected and unconfirmed by Senate, Musk has repeatedly bashed the “unelected, fourth unconstitutional branch of government, which is the bureaucracy” and immediately made brutal cuts to the federal workforce and budget.To illustrate his management style, Musk donned sunglasses and brandished a chainsaw on stage at a conservative get-together in Washington.It was handed to him — not turned on — by right-wing Argentine President Javier Milei, who made the machine a symbol of slashing bureaucracy and state spending in his own country.- Overshadowing Trump’s cabinet -At Trump’s first cabinet meeting on February 26, Musk had a starring role even though he is not part of the cabinet. He stood looming near a doorway, wearing a t-shirt with words “Tech Support” across the chest as the cabinet met.Even without a literal seat at the table, the country’s most powerful officials were overshadowed by Musk, who helped bankroll Trump’s 2024 presidential campaign.Trump downplayed this tension shortly before the meeting, posting on his social media platform: “ALL CABINET MEMBERS ARE EXTREMELY HAPPY WITH ELON.”- Trump the Tesla salesman -With Musk’s Tesla car company taking a battering on the stock market and sales dropping sharply, and with vandals targeting his brand, the White House hosted a highly publicized test drive to boost Tesla’s rep. With a Tesla Cybertruck and a Model S parked on the South Portico, Trump and Musk mounted a sale’s pitch.Trump even said he had purchased one.The stunt didn’t ultimately turn around Tesla’s plummeting sales, with the electric vehicle maker reporting a 71 percent drop in first-quarter profits.- Fails to sway court election -Money can’t buy you everything, Musk discovered, after pouring $25 million into the most expensive court race in US history to try to get a pro-Trump Republican judge elected to Wisconsin’s Supreme Court.Musk paid voters $100 to sign a petition opposing “activist judges” and even handed out $1 million checks to voters, beseeching the public to select the conservative judge. The court’s docket was packed with precedent-setting cases over abortion and reproductive rights, the strength of  public sector unions, voting rules and congressional district boundaries. The US state in April instead chose a liberal judge by a wide margin, dismaying the billionaire — who had spent roughly $277 million in 2024 in the national race to help get Trump elected.- Tariff dissenter -After Trump announced his sweeping US tariffs, deeply affecting major trading partners China and the European Union, Musk made the case for a free-trade zone between the US and Europe.This clashes with Trump trade policy.Shortly after, he called Trump’s economic adviser Peter Navarro, a longtime advocate for trade barriers, “dumber than a sack of bricks.”Navarro had taken aim at Tesla, saying the carmaker mostly sourced assembled major components from factories in Asia.Musk retorted with studies he said showed “Tesla has the most American-made cars.”White House spokeswoman Karoline Leavitt later tried to play down the public feud, saying that “boys will be boys.”

Au procès Weinstein, “il avait tout le pouvoir, elles n’avaient rien”, martèle la procureure

“Il avait tout le pouvoir, elles n’avaient rien”, a martelé mercredi l’accusation lors d’un nouveau procès à New York pour viol et agressions sexuelles du roi déchu du cinéma Harvey Weinstein, rejugé après l’annulation retentissante de sa condamnation l’année dernière.”Quand il voulait quelque chose, il le prenait”, “il n’acceptait pas un refus”, a asséné la procureure Shannon Lucey à l’ouverture des débats, devant des jurés qui l’écoutaient attentivement, et en présence de l’accusé, assis sur une chaise roulante.Souffrant de multiples problèmes de santé, l’ancien co-fondateur des studios Miramax, qui a régné sur le cinéma indépendant pendant des décennies, fait pâle figure dans la salle d’audience de la cour pénale de Manhattan, où il comparaît à 73 ans.Mais à l’époque des crimes dont il est accusé, il était un producteur tout-puissant face à des femmes sans appuis ni relations, a décrit la procureure.Harvey Weinstein, dont la chute a entraîné en 2017 le début de la vague mondiale #MeToo, est rejugé pour l’agression sexuelle avec pénétration de l’ancienne assistante de production Mimi Haleyi, en 2006, et le viol de l’aspirante actrice Jessica Mann, en 2013. Il avait été reconnu coupable de ces faits en 2020 et condamné à 23 ans de prison.- “Honte” et “douleur” -Mais en avril 2024, la cour d’appel de New York a annulé toute la procédure, au motif que le tribunal avait laissé témoigner d’autres victimes présumées sur des faits pour lesquels l’accusé n’était pas inculpé. Une annulation vécue comme une gifle pour le mouvement de lutte contre les violences sexuelles et un retour en arrière pour la prise en compte de la parole des victimes.L’ancien producteur est resté depuis détenu car il a également été condamné en Californie à 16 ans de prison en 2023 dans un autre dossier de crimes sexuels.Le procès à New York porte aussi sur une nouvelle inculpation pour une agression sexuelle avec pénétration — qualification pénale qui diffère du viol en droit américain — en 2006, dans un hôtel de Manhattan, de Kaja Sokola, mannequin polonaise âgée à l’époque de 19 ans.Kaja Sokola avait déjà accusé en 2019 Harvey Weinstein de l’avoir agressée sexuellement quand elle avait 16 ans, mais “elle n’avait jamais parlé publiquement de cet (autre) épisode jusqu’à aujourd’hui. Il y a plusieurs raisons (…) et vous les entendrez quand elle témoignera à l’audience”, a déclaré son avocate, Lindsay Goldbrum, aux journalistes. La procureure a insisté sur le fait que les victimes présumées avaient supplié Harvey Weinstein d’arrêter.Après l’agression, “toutes ces victimes ont vécu la honte, la douleur”, mais elles comptent témoigner, a ajouté Shannon Lucey.”Non coupable, non coupable, non coupable”, lui a rétorqué l’avocat de l’accusé, Arthur Aidala, qui a fait sourire certains jurés en leur demandant de regarder “le film jusqu’à la fin”, pas seulement “la bande annonce” de l’accusation. – “Promotion canapé” -Pour lui, le dossier se résume à des “promotions canapé”. Les accusatrices étaient de jeunes femmes qui voulaient réussir et savaient que Harvey Weinstein avait “la clé” d’un monde où l’on fréquente “Brad Pitt, Leonardo di Caprio, Meryl Streep”.Il a assuré que les relations étaient consensuelles, insistant sur le fait que les jeunes femmes avaient continué de fréquenter l’accusé après les crimes allégués.”Vous verrez ses e-mails” où les accusatrices écrivent “+je veux te revoir+”, a poursuivi l’avocat.Harvey Weinstein espère que l’affaire sera “regardée avec un Å“il neuf”, plus de sept ans après les enquêtes du New York Times et du New Yorker à l’origine de sa chute.L’onde de choc avait libéré la parole des victimes et contraint la société à de profondes remises en question sur la place des femmes. Son avocat a souhaité que le procès se concentre sur les faits et ne soit pas, encore une fois, un symbole de #Metoo.Harvey Weinstein n’a jamais reconnu aucune agression, parlant toujours de relations consenties.Depuis les premières révélations, il a été accusé par plus de 80 femmes de harcèlement, agression sexuelle ou viol, dont les actrices Angelina Jolie, Gwyneth Paltrow ou Ashley Judd.Le procès, qui doit durer jusqu’à fin mai, se poursuit jeudi.

UN watchdog asks Iran to clarify tunnels but upbeat on deal

The head of the UN nuclear watchdog agency called Wednesday on Iran to explain tunnels built around a nuclear site but voiced optimism that US-Iran talks would land a deal.The Institute for Science and International Security, a Washington think tank, released satellite imagery on Wednesday that it said showed a new, deeply buried tunnel alongside an older one around the Natanz site, as well as a new security perimeter.”I’ve been raising this issue repeatedly, and I will continue to do so,” Rafael Grossi, director general of the International Atomic Energy Agency (IAEA), told reporters on a visit to Washington.Grossi, who visited Tehran last week, said that all countries need to inform the IAEA of intentions for facilities around nuclear sites but that Iran has a stance “unique in the world” that it does not need to inform the agency ahead of time.”We’re asking them, what is this for? They are telling us, it’s none of your business,” Grossi said.Grossi said it “cannot be excluded” that the tunnels would store undeclared material but said he did not want to speculate on intentions.But Grossi also said that Iranian and IAEA experts would meet to follow up on his visit, including on reinstalling cameras on nuclear sites.”It was agreed that I am sending a technical team to continue our discussions on this very specific kind of things,” he said.”They are going to be meeting in the next few days in Tehran.”- Expectation of new deal -Iran and the United States have held two rounds of talks since President Donald Trump called for a diplomatic solution to avoid conflict. A new round of technical talks is expected this weekend.”I think there’s a general expectation that this goes well and that the agreement is verified by the IAEA,” Grossi said.He said that was “more or less the sense of what I’m getting when I’m talking to leaders,” mentioning specifically Chinese Foreign Minister Wang Yi as hopeful for a US-Iran deal.Trump in 2018 ripped up an earlier nuclear agreement negotiated under Barack Obama and reimposed sweeping sanctions.But Trump has voiced hope in his second term for a new accord that would resolve the issue diplomatically, and has discouraged Israel from a military strike on Iran.Asked about a military option, Grossi said: “I should simply remind that attacks on nuclear facilities is something that could have potentially very, very serious consequences.”- US talks tough -The Obama deal, known as the JCPOA, allowed Iran to maintain uranium enrichment at 3.67 percent — far below the level needed for nuclear weapons — for civilian nuclear usage.US Secretary of State Marco Rubio stood firm in an interview released Wednesday that there should be no enrichment.”If Iran wants a civil nuclear program, they can have one just like many other countries in the world have one, and that is they import enriched material,” he told the Honestly podcast.Rubio said the Trump team would not repeat the Obama deal which “gave Iran immediate and full sanctions relief in exchange for enrichment capabilities that at any point could be weaponized in the future.”Obama administration officials counter that the JCPOA worked in constraining Iran’s program until Trump walked away and that it is unrealistic to expect Iran to surrender its whole program.The Trump administration has kept up sanctions despite the diplomacy. On Tuesday, the Treasury Department imposed sanctions on an Iranian shipping network and its purported owner.Iranian foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei responded that the move was in “clear contradiction with the United States’ demand for dialogue and negotiation and indicates America’s lack of goodwill and seriousness in this regard.”burs-sct/mlm

UN watchdog asks Iran to clarify tunnels but upbeat on deal

The head of the UN nuclear watchdog agency called Wednesday on Iran to explain tunnels built around a nuclear site but voiced optimism that US-Iran talks would land a deal.The Institute for Science and International Security, a Washington think tank, released satellite imagery on Wednesday that it said showed a new, deeply buried tunnel alongside an older one around the Natanz site, as well as a new security perimeter.”I’ve been raising this issue repeatedly, and I will continue to do so,” Rafael Grossi, director general of the International Atomic Energy Agency (IAEA), told reporters on a visit to Washington.Grossi, who visited Tehran last week, said that all countries need to inform the IAEA of intentions for facilities around nuclear sites but that Iran has a stance “unique in the world” that it does not need to inform the agency ahead of time.”We’re asking them, what is this for? They are telling us, it’s none of your business,” Grossi said.Grossi said it “cannot be excluded” that the tunnels would store undeclared material but said he did not want to speculate on intentions.But Grossi also said that Iranian and IAEA experts would meet to follow up on his visit, including on reinstalling cameras on nuclear sites.”It was agreed that I am sending a technical team to continue our discussions on this very specific kind of things,” he said.”They are going to be meeting in the next few days in Tehran.”- Expectation of new deal -Iran and the United States have held two rounds of talks since President Donald Trump called for a diplomatic solution to avoid conflict. A new round of technical talks is expected this weekend.”I think there’s a general expectation that this goes well and that the agreement is verified by the IAEA,” Grossi said.He said that was “more or less the sense of what I’m getting when I’m talking to leaders,” mentioning specifically Chinese Foreign Minister Wang Yi as hopeful for a US-Iran deal.Trump in 2018 ripped up an earlier nuclear agreement negotiated under Barack Obama and reimposed sweeping sanctions.But Trump has voiced hope in his second term for a new accord that would resolve the issue diplomatically, and has discouraged Israel from a military strike on Iran.Asked about a military option, Grossi said: “I should simply remind that attacks on nuclear facilities is something that could have potentially very, very serious consequences.”- US talks tough -The Obama deal, known as the JCPOA, allowed Iran to maintain uranium enrichment at 3.67 percent — far below the level needed for nuclear weapons — for civilian nuclear usage.US Secretary of State Marco Rubio stood firm in an interview released Wednesday that there should be no enrichment.”If Iran wants a civil nuclear program, they can have one just like many other countries in the world have one, and that is they import enriched material,” he told the Honestly podcast.Rubio said the Trump team would not repeat the Obama deal which “gave Iran immediate and full sanctions relief in exchange for enrichment capabilities that at any point could be weaponized in the future.”Obama administration officials counter that the JCPOA worked in constraining Iran’s program until Trump walked away and that it is unrealistic to expect Iran to surrender its whole program.The Trump administration has kept up sanctions despite the diplomacy. On Tuesday, the Treasury Department imposed sanctions on an Iranian shipping network and its purported owner.Iranian foreign ministry spokesman Esmaeil Baqaei responded that the move was in “clear contradiction with the United States’ demand for dialogue and negotiation and indicates America’s lack of goodwill and seriousness in this regard.”burs-sct/mlm