Frappes américaines sur le Yémen, Israël menace les Houthis de représailles

Les Houthis ont accusé lundi à l’aube les Etats-Unis d’une dizaine de frappes sur la capitale du Yémen et ses environs, quelques heures après un tir de missile revendiqué par les rebelles pro-iraniens contre l’aéroport de Tel-Aviv, auquel Israël a promis de riposter.A l’aube lundi, les Houthis, des rebelles soutenus par Téhéran qui contrôlent de larges pans du Yémen, ont affirmé qu’une dizaine de frappes attribuées à Washington avaient visé Sanaa.”Quatorze citoyens ont été blessés dans l’attaque américaine sur la rue d’Arbaeen dans (le quartier de) Saawan” de Sanaa, a affirmé l’agence de presse des rebelles, Saba, en citant leur ministère de la Santé.Les Houthis avaient auparavant revendiqué une attaque inédite visant l’aéroport Ben-Gourion de Tel-Aviv, dimanche.Ce tir de missile est survenu quelques heures avant que l’armée israélienne ne confirme le rappel de dizaines de milliers de réservistes en vue d’élargir son offensive contre le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.”Nous avons visé l’aéroport Ben-Gourion avec un missile balistique hypersonique qui a atteint sa cible avec succès”, ont annoncé les Houthis, qui tirent régulièrement des missiles sur Israël au nom de la défense des Palestiniens de Gaza.Ils ont assuré qu’ils comptaient à nouveau “cibler les aéroports israéliens”, en particulier Ben-Gourion.”Les attaques des Houthis émanent de l’Iran. Israël répondra à (cette) attaque des Houthis (…) en temps voulu et en un lieu choisi par nous, à leurs maîtres terroristes iraniens”, a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.”Nous avons agi contre (les Houthis) par le passé et nous agirons dans l’avenir (…). Ca ne se passera pas en un seul boum mais il y aura beaucoup de boums”, a-t-il martelé.”C’est la première fois” qu’un missile frappe directement à l’intérieur du périmètre de l’aéroport, a indiqué à l’AFP un porte-parole militaire israélien.- “On l’a échappé belle” -L’armée a confirmé que l’impact ayant causé un cratère à quelques centaines de mètres seulement de l’aérogare principale avait été causé par le missile tiré du Yémen et non par un des missiles intercepteurs tirés sans succès par les systèmes de défense israéliens.Après enquête, l’armée a précisé qu’il n’y avait eu “aucune défaillance de détection et d’interception” mais un “problème technique de l’intercepteur”.Selon un photographe de l’AFP, le missile est tombé dans une zone plantée d’arbres à côté d’une bretelle d’accès aux parkings du terminal 3.Les secours israéliens ont fait état de six blessés légers.Alliés du Hamas, les Houthis ont revendiqué des dizaines d’attaques de missiles et de drones contre Israël, dont des tirs en direction de l’aéroport, depuis le début de la guerre à Gaza. La quasi-totalité de ces tirs ont été interceptés.”Ce qui est arrivé ce matin ne s’était pas produit de longue date. Il y a plusieurs mois, nous avons eu des roquettes (tirées par le Hamas) tombées près de l’aéroport, mais aujourd’hui on l’a échappé belle”, a dit à l’AFP un cadre israélien travaillant pour une compagnie aérienne étrangère.Une forte détonation a été entendue à l’intérieur du Terminal 3, selon un journaliste de l’AFP.Le trafic aérien a repris après une brève interruption. Lufthansa et Air India ont néanmoins suspendu leurs vols vers Tel-Aviv jusqu’au 6 mai et British Airways jusqu’au 7 mai. Air France a annulé ses vols de dimanche.Les Houthis ont appelé dimanche soir “l’ensemble des compagnies aériennes internationales” à prendre au sérieux leurs menaces de nouvelles frappes “en annulant leurs vols vers les aéroports de l’ennemi” israélien.Après une suspension de deux mois, les Houthis ont repris leurs tirs de missiles sur Israël et leurs attaques contre des navires qu’ils estiment liés à Israël au large du Yémen avec la rupture de la trêve dans la bande de Gaza le 18 mars, tandis que les Etats-Unis ont intensifié depuis le retour de Donald Trump au pouvoir la campagne aérienne les visant.- “Vaincre le Hamas” -Les Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du Hamas, ont salué cette attaque “déjouant les systèmes de défense les plus avancés au monde et frappant ses cibles avec précision”.Selon les médias israéliens, la réunion du cabinet de sécurité, dont les décisions ne sont en général pas rendues publiques, doit aussi examiner une expansion de l’offensive à Gaza, où des frappes israéliennes ont tué dimanche 16 Palestiniens selon les secours.L’objectif est “de ramener nos (otages) et de vaincre le Hamas (dont) nous (…) détruirons toutes les infrastructures, à la surface comme sous terre”, a déclaré le lieutenant-général Eyal Zamir, chef d’état-major. L’attaque menée par le Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des chiffres officiels. Sur les 251 personnes enlevées, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes selon l’armée israélienne.L’offensive israélienne menée en représailles a fait au moins 52.535 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des chiffres du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l’ONU.

Trump says ordered rebuild and reopening of defunct US prison Alcatraz

US President Donald Trump said Sunday he had directed officials to rebuild and reopen Alcatraz prison, the notorious federal jail based on a small island in California that shuttered six decades ago.The jail will house “America’s most ruthless and violent Offenders,” Trump wrote on his Truth Social platform, adding that the institution will be “substantially enlarged.”Alcatraz closed in 1963 due to high operating costs after being open for just 29 years, according to the US Bureau of Prisons, and now serves as a tourist attraction.Located two kilometers (1.25 miles) off the coast of San Francisco and with a capacity of just 336 prisoners, it held several well-known criminals, including Prohibition-era mob boss Al Capone, and saw many fantastical escape attempts by inmates.Trump has made cracking down on crimes — particularly those committed by migrants — a key element of his second term in the White House.”When we were a more serious Nation, in times past, we did not hesitate to lock up the most dangerous criminals, and keep them far away from anyone they could harm. That’s the way it’s supposed to be,” Trump wrote Sunday.”No longer will we tolerate these Serial Offenders who spread filth, bloodshed, and mayhem on our streets,” he said.

Roumanie: l’extrême droite domine le premier tour de la présidentielle

Le candidat a changé mais l’extrême droite reste en tête: cinq mois après l’annulation choc du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dans un nouveau vote dimanche son virage nationaliste.George Simion, un eurosceptique fan de Donald Trump qui se rêve en “président MAGA” (Make America Great Again), a recueilli 40,5% des suffrages, selon des résultats quasi finaux.Il affrontera au second tour prévu le 18 mai le maire centriste de Bucarest Nicusor Dan (20,9%), qui a dépassé de peu le candidat unique des partis au pouvoir, Crin Antonescu (20,3%). “Ensemble, nous avons écrit une page d’histoire aujourd’hui”, a réagi M. Simion dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans ravis, chantant “Dehors les voleurs, vive les patriotes”.Il lui reste à transformer l’essai lors du second tour le 18 mai, une tâche compliquée car il dispose sur le papier de moins de réserves de voix que son rival, commente pour l’AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée. Mais d’autres experts pointent les fractures du pôle pro-européen après une campagne marquée par de virulentes accusations et des coups bas. Onze prétendants au total briguaient un poste essentiellement protocolaire mais influent en politique étrangère, dans ce pays membre de l’UE de 19 millions d’habitants devenu un pilier essentiel de l’Otan depuis l’invasion russe de l’Ukraine voisine.- “Président MAGA” -L’arrivée en tête surprise, en novembre, de Calin Georgescu, un ancien haut fonctionnaire accusé par ses détracteurs d’être favorable au Kremlin, avait inquiété dans l’ouest du continent et plongé la Roumanie dans la tourmente.La Cour constitutionnelle a invalidé le scrutin et exclu le sexagénaire de cette nouvelle élection, après une campagne massive sur TikTok entachée de suspicions d’ingérence russe.Il a été remplacé par M. Simion, 38 ans et quatrième à l’automne, et les deux hommes se sont affichés ensemble dimanche dans un bureau de vote de Mogosoaia, près de Bucarest.Nombreux espèrent, comme Robert Teodoroiu, chauffeur de 37 ans, que leur bulletin, infructueux en novembre, aboutisse cette fois. “Je retente ma chance”, explique-t-il à l’AFP dans les rues de la capitale.Pendant la campagne, George Simion a brandi sa jeunesse, sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de la plateforme TikTok pour séduire les électeurs de Calin Georgescu. Si le chef du parti AUR nie toute inclination pour la Russie, il partage la même aversion pour “les bureaucrates bruxellois” et s’oppose à tout soutien militaire à Kiev.Tout au long de la journée, les électeurs ont confié leur désir de “changement” et leur rejet des partis politiques traditionnels, au pouvoir depuis la fin du communisme. L’inflation, très élevée en Roumanie, est aussi sur toutes les lèvres, Silvia Tomescu, infirmière de 52 ans, disant par exemple aspirer à “une vie meilleure et à des salaires plus élevés”. – Un scrutin sous surveillance -Face à cette grogne généralisée, M. Dan a réussi à convaincre par son profil atypique de militant contre la corruption, avec pour slogan “Une Roumanie honnête”.Plus loin derrière (13,2%), l’ancien Premier ministre social-démocrate Victor Ponta, malgré un discours aux accents trumpistes, a manqué son pari. Si George Simion accède au poste suprême, il a promis de “porter Calin Georgescu au pouvoir”, évoquant trois options: “un référendum, des élections législatives anticipées ou la formation d’une coalition au Parlement qui le nommerait Premier ministre”.Après l’annulation du scrutin de novembre, décision rarissime au sein de l’UE, le scrutin était sous haute surveillance. Des milliers de personnes ont manifesté ces derniers mois pour dénoncer “un coup d’Etat”. Les Etats-Unis sont également intervenus, le vice-président JD Vance appelant à écouter la voix d’un peuple qu’on a fait taire “sur la base des faibles soupçons d’une agence de renseignement”.Les autorités, qui ont renforcé les mesures de prévention, assurent avoir “tiré les leçons” du fiasco.Alors que l’extrême droite évoque “de multiples signes de fraude”, le gouvernement a pointé des campagnes de désinformation, y voyant de “nouvelles tentatives de manipulation et d’ingérence menée par des acteurs étatiques”. Sans citer nommément la Russie.

Roumanie: l’extrême droite domine le premier tour de la présidentielle

Le candidat a changé mais l’extrême droite reste en tête: cinq mois après l’annulation choc du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dans un nouveau vote dimanche son virage nationaliste.George Simion, un eurosceptique fan de Donald Trump qui se rêve en “président MAGA” (Make America Great Again), a recueilli 40,5% des suffrages, selon des résultats quasi finaux.Il affrontera au second tour prévu le 18 mai le maire centriste de Bucarest Nicusor Dan (20,9%), qui a dépassé de peu le candidat unique des partis au pouvoir, Crin Antonescu (20,3%). “Ensemble, nous avons écrit une page d’histoire aujourd’hui”, a réagi M. Simion dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans ravis, chantant “Dehors les voleurs, vive les patriotes”.Il lui reste à transformer l’essai lors du second tour le 18 mai, une tâche compliquée car il dispose sur le papier de moins de réserves de voix que son rival, commente pour l’AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée. Mais d’autres experts pointent les fractures du pôle pro-européen après une campagne marquée par de virulentes accusations et des coups bas. Onze prétendants au total briguaient un poste essentiellement protocolaire mais influent en politique étrangère, dans ce pays membre de l’UE de 19 millions d’habitants devenu un pilier essentiel de l’Otan depuis l’invasion russe de l’Ukraine voisine.- “Président MAGA” -L’arrivée en tête surprise, en novembre, de Calin Georgescu, un ancien haut fonctionnaire accusé par ses détracteurs d’être favorable au Kremlin, avait inquiété dans l’ouest du continent et plongé la Roumanie dans la tourmente.La Cour constitutionnelle a invalidé le scrutin et exclu le sexagénaire de cette nouvelle élection, après une campagne massive sur TikTok entachée de suspicions d’ingérence russe.Il a été remplacé par M. Simion, 38 ans et quatrième à l’automne, et les deux hommes se sont affichés ensemble dimanche dans un bureau de vote de Mogosoaia, près de Bucarest.Nombreux espèrent, comme Robert Teodoroiu, chauffeur de 37 ans, que leur bulletin, infructueux en novembre, aboutisse cette fois. “Je retente ma chance”, explique-t-il à l’AFP dans les rues de la capitale.Pendant la campagne, George Simion a brandi sa jeunesse, sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de la plateforme TikTok pour séduire les électeurs de Calin Georgescu. Si le chef du parti AUR nie toute inclination pour la Russie, il partage la même aversion pour “les bureaucrates bruxellois” et s’oppose à tout soutien militaire à Kiev.Tout au long de la journée, les électeurs ont confié leur désir de “changement” et leur rejet des partis politiques traditionnels, au pouvoir depuis la fin du communisme. L’inflation, très élevée en Roumanie, est aussi sur toutes les lèvres, Silvia Tomescu, infirmière de 52 ans, disant par exemple aspirer à “une vie meilleure et à des salaires plus élevés”. – Un scrutin sous surveillance -Face à cette grogne généralisée, M. Dan a réussi à convaincre par son profil atypique de militant contre la corruption, avec pour slogan “Une Roumanie honnête”.Plus loin derrière (13,2%), l’ancien Premier ministre social-démocrate Victor Ponta, malgré un discours aux accents trumpistes, a manqué son pari. Si George Simion accède au poste suprême, il a promis de “porter Calin Georgescu au pouvoir”, évoquant trois options: “un référendum, des élections législatives anticipées ou la formation d’une coalition au Parlement qui le nommerait Premier ministre”.Après l’annulation du scrutin de novembre, décision rarissime au sein de l’UE, le scrutin était sous haute surveillance. Des milliers de personnes ont manifesté ces derniers mois pour dénoncer “un coup d’Etat”. Les Etats-Unis sont également intervenus, le vice-président JD Vance appelant à écouter la voix d’un peuple qu’on a fait taire “sur la base des faibles soupçons d’une agence de renseignement”.Les autorités, qui ont renforcé les mesures de prévention, assurent avoir “tiré les leçons” du fiasco.Alors que l’extrême droite évoque “de multiples signes de fraude”, le gouvernement a pointé des campagnes de désinformation, y voyant de “nouvelles tentatives de manipulation et d’ingérence menée par des acteurs étatiques”. Sans citer nommément la Russie.

UK police arrest seven Iranians in terrorism probes

British police said Sunday that they had arrested eight people, including seven Iranian nationals, on suspicion of “terrorism offences.” Britain’s interior minister Yvette Cooper described the arrests, which come amid heightened concerns about Iranian activities on UK soil, as two major operations.In one operation, five men — four of them Iranian — were arrested on suspicion of “preparation of a terrorist act”, London’s Metropolitan police said in a statement.The arrests were carried out in London, Swindon and the Greater Manchester area on suspicion of “terrorism offences”. “These were two major operations that reflect some of the biggest counter state threat and counter terrorism operations that we have seen in recent years,” Cooper said.The Daily Telegraph newspaper reported that the authorities felt they had been dealing with an imminent attack.Police said the men, aged between 29 and 46, had been detained by counter terrorism officers on Saturday in relation to “a suspected plot to target a specific premises” — not identified in the statement.The four Iranian men were arrested under the Terrorism Act, while the fifth man, whose nationality was still being established, was detained under the Police and Criminal Evidence Act.”This is a fast-moving investigation and we are working closely with those at the affected site to keep them updated,” said Metropolitan Police counter-terrorism chief Dominic Murphy.”The investigation is still in its early stages and we are exploring various lines of enquiry to establish any potential motivation as well as to identify whether there may be any further risk to the public linked to this matter,” he added.- ‘Serious events’ -Three other men, all Iranian nationals, were arrested in London in a separate counter terrorism police operation on Saturday.The men, aged 39, 44 and 55, were arrested under the National Security Act — which gives law enforcement greater powers to disrupt “state threats” including foreign interference and espionage.The Met police confirmed that the three London arrests “are not connected to the arrest of five people yesterday”.Cooper thanked the police in a statement earlier Sunday.”These are serious events that demonstrate the ongoing requirement to adapt our response to national security threats,” Cooper told the PA news agency.”The government continues to work with police and intelligence agencies to support all the action and security assessments that are needed to keep the country safe.”In March, Iran became the first country to be placed on an enhanced tier of the Foreign Influence Registration Scheme, which aims to boost the UK’s national security against covert foreign influences.The measures, due to come into place later this year, will mean that all persons working inside the UK for Iran, its intelligence services or the Revolutionary Guard would have to register or face jail.Last October, the head of Britain’s MI5 domestic intelligence service revealed that since 2022 the UK had uncovered 20 Iran-backed plots posing “potentially lethal threats”.

Parag’s six sixes in a row, Pant flops in IPL

Holders Kolkata Knight Riders survived a batting blitz including six straight sixes from Rajasthan Royals skipper Riyan Parag to win a high-scoring IPL thriller by one run on Sunday.In the day’s second match, Rishabh Pant again struggled to a low score as his Lucknow Super Giants team slumped to a fourth defeat in five IPL games, losing by 37 runs to the Punjab Kings.Parag went on the attack as Rajasthan, chasing 207 for victory, slipped to 71-5. He struck 95 off 45 balls and hit six sixes in six successive legal balls — a first in IPL — across two overs.The 23-year-old’s blitz, which included a wide in between the fourth and fifth six, began with him smacking England spinner Moeen Ali for five sixes in an over. Then, after his partner Shimron Hetmyer took a single, he hit one over the fence off Varun Chakravarthy.Parag joined an elite list of batters to have hit five sixes in an over in the IPL after Chris Gayle (2012), Rahul Tewatia (2020), Ravindra Jadeja (2021) and Rinku Singh (2023).Parag, who is leading the team in the absence of regular skipper Sanju Samson, added 92 with Hetmyer, but after their departures Rajasthan finished on 205-8 after a tense last over.Needing 22 to win in the final over, impact substitute Shubham Dubey, a left-hand batter, hit two sixes and a four off Vaibhav Arora who defended three on the final ball with a run out of Jofra Archer as KKR celebrated.”I was just too sad about myself getting out,” said Parag. “Probably a miscalculation from my side. I should have finished it.”Kolkata remain in the hunt for the play-offs with their fifth victory in 11 matches. Rajasthan are already out of the final-four race.The top four teams from the league phase will move into the play-offs.Andre Russell set up victory for three-time champions Kolkata as he struck form with his unbeaten 57 off 25 balls to steer Kolkata to 206-4.- Lucknow’s IPL ‘dream still alive’ -In the late match, opener Prabhsimran Singh struck 91 off 48 balls to steer Punjab to 236-5, helped by several impressive cameos at the Kings’ second home in Dharamsala.Arshdeep Singh then returned brilliant figures of 3-16 as Lucknow could only make 199-7 in reply. Pant fell for a 17-ball 18 in another failure for the India star.Pant, who was snapped up by LSG for a record price of $3.21 million in the November auction, could not find any fluency despite hitting two fours and one six.The wicketkeeper-batsman has mustered only 128 runs from 10 innings this season.Lucknow sit seventh in the table, four points outside the fourth and final play-off spot with three games remaining.”The dream is still alive,” Pant said of his team’s chances of moving ahead in the T20 tournament. “If we can win the next three matches, we can definitely turn around and do amazing things.”Punjab climbed to second behind leaders Royal Challengers Bengaluru after a seventh win of the campaign.Lucknow were never in their chase after left-arm seamer Arshdeep struck twice in the space of four balls in his second over to send back Mitchell Marsh, for a duck, and then Aiden Markram, for 13.He dismissed the dangerous Nicholas Pooran for six before Pant attempted to rebuild in a scratchy innings that was ended by Afghanistan all-rounder Azmatullah Omarzai.Omarzai soon sent back David Miller for 11 to put Lucknow in further trouble at 73-5.Ayush Badoni, who top-scored with 74, and Abdul Samad, who hit 45, put on a valiant stand of 81 but could only reduce the margin of defeat.