Grèce: les pompiers luttent contre des incendies pour le deuxième jour

Les pompiers grecs poursuivent leur lutte contre les flammes dimanche, au deuxième jour de feux de forêt ravageurs dans plusieurs régions, attisés par les vents et une canicule persistante dans toute la Grèce. Parmi les cinq principaux incendies qui faisaient rage dimanche matin, certains étaient toutefois en recul ou en train d’être maitrisés par les pompiers, notamment sur l’île de Crète.Les flammes continuaient dans la péninsule du Péloponnèse (sud-ouest) ainsi que sur les îles d’Eubée et de Cythère, où des avions et des hélicoptères ont repris leurs opérations dès l’aube, selon les pompiers.En début de matinée, le porte-parole des pompiers, Vassilis Vathrakogiannis, avait prévenu que le risque d’incendie restait “très élevé sur presque l’ensemble du territoire”. Les vents forts de jusqu’à 7 Beaufort attendus dans la journée doivent s’atténuer ensuite, selon le site meteo.gr de l’Observatoire national d’Athènes.La vague de chaleur intense, qui sévit dans ce pays méditerranéen coutumier des températures élevées estivales, devrait en outre marquer le pas à partir de lundi avec des maximales attendues à 39°C localement. Dimanche la température maximum a été de 41,8°C à Kranidi, dans le Péloponnèse, dans un pays en proie à une canicule pour le septième jour consécutif.- Bataille titanesque -Samedi, les pompiers grecs ont dû livrer “une bataille titanesque face à des dizaines d’incendies”, a souligné le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, pointant du doigt “l’aggravation de la crise environnementale”.”La lutte continue avec tous les moyens disponibles”, a-t-il ajouté sur les réseaux sociaux.L’île de Cythère, au large du Péloponnèse, fait face à “une énorme catastrophe”, selon la chaîne publique ERT. L’incendie faisait toujours rage dimanche après-midi, mais sur des fronts plus petits, a précisé la chaîne.”Des maisons, des ruches, des oliviers ont été brûlés”, a expliqué à ERT Giorgos Komninos, le maire adjoint de Cythère. “Un monastère est actuellement en danger”, a-t-il ajouté.67 pompiers soutenus par des bénévoles, trois hélicoptères et deux avions combattaient l’incendie sur cette île, qui a entraîné samedi l’évacuation d’une plage touristique.Les autorités locales ont demandé que l’état d’urgence soit déclaré afin que les mécanismes d’aide puissent être déclenchés sur l’île de 3.600 habitants prisée des touristes.Plusieurs régions dont celle d’Athènes, la Crète, une grande partie du Péloponnèse sont maintenues en vigilance orange pour lundi en raison du risque encore “très élevé” d’incendies, selon les pompiers.Ces derniers ont répété qu’en cas de départ de feu, il était “impératif de suivre les instructions pour la sécurité de tous”.Samedi, la température la plus élevée en Grèce, 45,2°C, a été enregistrée dans l’ouest.Depuis lundi dernier, l’ensemble de ce pays est frappé par une canicule qui a fait monter le thermomètre jusqu’à 45,8°C vendredi localement et à 42°C à Athènes.-“Le brasier nous a encerclés” -La Grèce a demandé l’aide de l’Union européenne pour faire face aux flammes avec six avions de lutte contre les incendies, via le programme européen de partage de ressources (RescEU). Deux avions italiens sont attendus dimanche tandis que des unités spécialisées dans ce domaine de la République tchèque sont déjà en action.Samedi, à 30 km au nord d’Athènes, un feu a fait rage, entraînant dommages et destructions avant d’être maîtrisé. “Le vent était trop fort. Le brasier nous a encerclés”, a expliqué à l’AFP Petros Avramopoulos, un comptable.”Qu’est-ce qu’on peut faire ? On ne sait pas (…). J’espère que nous serons sauvés. Des gens ont perdu leurs biens”, a commenté, ému, Giorgos, un habitant du village de Kryoneri.Sur l’île d’Eubée, près de la capitale, des flammes ont réduit en cendres des milliers d’hectares de forêt et des milliers de têtes de bétail ont été perdues quand le feu a atteint des fermes et des élevages dispersés.Cinq pompiers ont été hospitalisés samedi.Dans certaines zones privées de courant depuis samedi, des équipes ont commencé à réparer les graves dommages subis par le réseau d’électricité.En Crète, destination très touristique, alors que l’été bat son plein, les pompiers ont maîtrisé l’incendie à La Canée, selon l’agence de presse grecque ANA.Deux autres fronts étaient actifs dans le Péloponnèse.La Grèce connaît chaque été des feux destructeurs.Les incendies qui se multiplient à travers le globe sont associés à divers phénomènes anticipés par les scientifiques en raison du réchauffement de la planète.

Grèce: les pompiers luttent contre des incendies pour le deuxième jour

Les pompiers grecs poursuivent leur lutte contre les flammes dimanche, au deuxième jour de feux de forêt ravageurs dans plusieurs régions, attisés par les vents et une canicule persistante dans toute la Grèce. Parmi les cinq principaux incendies qui faisaient rage dimanche matin, certains étaient toutefois en recul ou en train d’être maitrisés par les pompiers, notamment sur l’île de Crète.Les flammes continuaient dans la péninsule du Péloponnèse (sud-ouest) ainsi que sur les îles d’Eubée et de Cythère, où des avions et des hélicoptères ont repris leurs opérations dès l’aube, selon les pompiers.En début de matinée, le porte-parole des pompiers, Vassilis Vathrakogiannis, avait prévenu que le risque d’incendie restait “très élevé sur presque l’ensemble du territoire”. Les vents forts de jusqu’à 7 Beaufort attendus dans la journée doivent s’atténuer ensuite, selon le site meteo.gr de l’Observatoire national d’Athènes.La vague de chaleur intense, qui sévit dans ce pays méditerranéen coutumier des températures élevées estivales, devrait en outre marquer le pas à partir de lundi avec des maximales attendues à 39°C localement. Dimanche la température maximum a été de 41,8°C à Kranidi, dans le Péloponnèse, dans un pays en proie à une canicule pour le septième jour consécutif.- Bataille titanesque -Samedi, les pompiers grecs ont dû livrer “une bataille titanesque face à des dizaines d’incendies”, a souligné le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, pointant du doigt “l’aggravation de la crise environnementale”.”La lutte continue avec tous les moyens disponibles”, a-t-il ajouté sur les réseaux sociaux.L’île de Cythère, au large du Péloponnèse, fait face à “une énorme catastrophe”, selon la chaîne publique ERT. L’incendie faisait toujours rage dimanche après-midi, mais sur des fronts plus petits, a précisé la chaîne.”Des maisons, des ruches, des oliviers ont été brûlés”, a expliqué à ERT Giorgos Komninos, le maire adjoint de Cythère. “Un monastère est actuellement en danger”, a-t-il ajouté.67 pompiers soutenus par des bénévoles, trois hélicoptères et deux avions combattaient l’incendie sur cette île, qui a entraîné samedi l’évacuation d’une plage touristique.Les autorités locales ont demandé que l’état d’urgence soit déclaré afin que les mécanismes d’aide puissent être déclenchés sur l’île de 3.600 habitants prisée des touristes.Plusieurs régions dont celle d’Athènes, la Crète, une grande partie du Péloponnèse sont maintenues en vigilance orange pour lundi en raison du risque encore “très élevé” d’incendies, selon les pompiers.Ces derniers ont répété qu’en cas de départ de feu, il était “impératif de suivre les instructions pour la sécurité de tous”.Samedi, la température la plus élevée en Grèce, 45,2°C, a été enregistrée dans l’ouest.Depuis lundi dernier, l’ensemble de ce pays est frappé par une canicule qui a fait monter le thermomètre jusqu’à 45,8°C vendredi localement et à 42°C à Athènes.-“Le brasier nous a encerclés” -La Grèce a demandé l’aide de l’Union européenne pour faire face aux flammes avec six avions de lutte contre les incendies, via le programme européen de partage de ressources (RescEU). Deux avions italiens sont attendus dimanche tandis que des unités spécialisées dans ce domaine de la République tchèque sont déjà en action.Samedi, à 30 km au nord d’Athènes, un feu a fait rage, entraînant dommages et destructions avant d’être maîtrisé. “Le vent était trop fort. Le brasier nous a encerclés”, a expliqué à l’AFP Petros Avramopoulos, un comptable.”Qu’est-ce qu’on peut faire ? On ne sait pas (…). J’espère que nous serons sauvés. Des gens ont perdu leurs biens”, a commenté, ému, Giorgos, un habitant du village de Kryoneri.Sur l’île d’Eubée, près de la capitale, des flammes ont réduit en cendres des milliers d’hectares de forêt et des milliers de têtes de bétail ont été perdues quand le feu a atteint des fermes et des élevages dispersés.Cinq pompiers ont été hospitalisés samedi.Dans certaines zones privées de courant depuis samedi, des équipes ont commencé à réparer les graves dommages subis par le réseau d’électricité.En Crète, destination très touristique, alors que l’été bat son plein, les pompiers ont maîtrisé l’incendie à La Canée, selon l’agence de presse grecque ANA.Deux autres fronts étaient actifs dans le Péloponnèse.La Grèce connaît chaque été des feux destructeurs.Les incendies qui se multiplient à travers le globe sont associés à divers phénomènes anticipés par les scientifiques en raison du réchauffement de la planète.

Grèce: les pompiers luttent contre des incendies pour le deuxième jour

Les pompiers grecs poursuivent leur lutte contre les flammes dimanche, au deuxième jour de feux de forêt ravageurs dans plusieurs régions, attisés par les vents et une canicule persistante dans toute la Grèce. Parmi les cinq principaux incendies qui faisaient rage dimanche matin, certains étaient toutefois en recul ou en train d’être maitrisés par les pompiers, notamment sur l’île de Crète.Les flammes continuaient dans la péninsule du Péloponnèse (sud-ouest) ainsi que sur les îles d’Eubée et de Cythère, où des avions et des hélicoptères ont repris leurs opérations dès l’aube, selon les pompiers.En début de matinée, le porte-parole des pompiers, Vassilis Vathrakogiannis, avait prévenu que le risque d’incendie restait “très élevé sur presque l’ensemble du territoire”. Les vents forts de jusqu’à 7 Beaufort attendus dans la journée doivent s’atténuer ensuite, selon le site meteo.gr de l’Observatoire national d’Athènes.La vague de chaleur intense, qui sévit dans ce pays méditerranéen coutumier des températures élevées estivales, devrait en outre marquer le pas à partir de lundi avec des maximales attendues à 39°C localement. Dimanche la température maximum a été de 41,8°C à Kranidi, dans le Péloponnèse, dans un pays en proie à une canicule pour le septième jour consécutif.- Bataille titanesque -Samedi, les pompiers grecs ont dû livrer “une bataille titanesque face à des dizaines d’incendies”, a souligné le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis, pointant du doigt “l’aggravation de la crise environnementale”.”La lutte continue avec tous les moyens disponibles”, a-t-il ajouté sur les réseaux sociaux.L’île de Cythère, au large du Péloponnèse, fait face à “une énorme catastrophe”, selon la chaîne publique ERT. L’incendie faisait toujours rage dimanche après-midi, mais sur des fronts plus petits, a précisé la chaîne.”Des maisons, des ruches, des oliviers ont été brûlés”, a expliqué à ERT Giorgos Komninos, le maire adjoint de Cythère. “Un monastère est actuellement en danger”, a-t-il ajouté.67 pompiers soutenus par des bénévoles, trois hélicoptères et deux avions combattaient l’incendie sur cette île, qui a entraîné samedi l’évacuation d’une plage touristique.Les autorités locales ont demandé que l’état d’urgence soit déclaré afin que les mécanismes d’aide puissent être déclenchés sur l’île de 3.600 habitants prisée des touristes.Plusieurs régions dont celle d’Athènes, la Crète, une grande partie du Péloponnèse sont maintenues en vigilance orange pour lundi en raison du risque encore “très élevé” d’incendies, selon les pompiers.Ces derniers ont répété qu’en cas de départ de feu, il était “impératif de suivre les instructions pour la sécurité de tous”.Samedi, la température la plus élevée en Grèce, 45,2°C, a été enregistrée dans l’ouest.Depuis lundi dernier, l’ensemble de ce pays est frappé par une canicule qui a fait monter le thermomètre jusqu’à 45,8°C vendredi localement et à 42°C à Athènes.-“Le brasier nous a encerclés” -La Grèce a demandé l’aide de l’Union européenne pour faire face aux flammes avec six avions de lutte contre les incendies, via le programme européen de partage de ressources (RescEU). Deux avions italiens sont attendus dimanche tandis que des unités spécialisées dans ce domaine de la République tchèque sont déjà en action.Samedi, à 30 km au nord d’Athènes, un feu a fait rage, entraînant dommages et destructions avant d’être maîtrisé. “Le vent était trop fort. Le brasier nous a encerclés”, a expliqué à l’AFP Petros Avramopoulos, un comptable.”Qu’est-ce qu’on peut faire ? On ne sait pas (…). J’espère que nous serons sauvés. Des gens ont perdu leurs biens”, a commenté, ému, Giorgos, un habitant du village de Kryoneri.Sur l’île d’Eubée, près de la capitale, des flammes ont réduit en cendres des milliers d’hectares de forêt et des milliers de têtes de bétail ont été perdues quand le feu a atteint des fermes et des élevages dispersés.Cinq pompiers ont été hospitalisés samedi.Dans certaines zones privées de courant depuis samedi, des équipes ont commencé à réparer les graves dommages subis par le réseau d’électricité.En Crète, destination très touristique, alors que l’été bat son plein, les pompiers ont maîtrisé l’incendie à La Canée, selon l’agence de presse grecque ANA.Deux autres fronts étaient actifs dans le Péloponnèse.La Grèce connaît chaque été des feux destructeurs.Les incendies qui se multiplient à travers le globe sont associés à divers phénomènes anticipés par les scientifiques en raison du réchauffement de la planète.

Trump, EU chief seek deal in transatlantic tariffs standoff

US President Donald Trump and EU chief Ursula von der Leyen prepared to meet Sunday in Scotland in a push to resolve a months-long transatlantic trade standoff that is going down to the wire.Trump has said he sees a 50-50 chance of reaching a deal with the European Union, having vowed to hit dozens of countries with punitive tariffs unless they hammer out a pact with Washington by August 1.The EU is currently facing the threat of an across-the-board levy of 30 percent from that date.Von der Leyen’s European Commission, negotiating on behalf of the EU’s member countries, has been pushing hard for a deal to salvage a trading relationship worth an annual $1.9 trillion in goods and services. Any deal with the United States will need approval by all 27 member states. EU ambassadors, on a visit to Greenland, were to meet Sunday morning to discuss the latest negotiations — and again after any accord.Sunday’s sit-down between Trump and the EU chief was to take place at 4:30 pm (1530 GMT) in Turnberry, on Scotland’s southwestern coast, where Trump owns a luxury golf resort.The 79-year-old American leader said Friday he hoped to strike “the biggest deal of them all” with the EU.”I think we have a good 50-50 chance” of a deal, the president said, citing sticking points on “maybe 20 different things”.He praised von der Leyen as “a highly respected woman” — a far cry from his erstwhile hostility in accusing the EU of existing to “screw” the United States.But late-night EU talks with US Commerce Secretary Howard Lutnick on Saturday to hammer out the final details were “combative at times,” The Financial Times reported.As of Saturday evening, there were “still quite a few open questions” — notably on pharmaceutical sector tariffs, said one EU diplomat.Tariff levels on the auto sector were also crucial for the Europeans — notably France and Germany — and the EU has been pushing for a compromise on steel that could allow a certain quota into the United States before tariffs would apply.- Baseline 15 percent -According to European diplomats, the deal on the table involves a baseline levy of around 15 percent on EU exports to the United States — the level secured by Japan — with carve-outs for critical sectors including aircraft, lumber and spirits excluding wine.The EU would commit to ramp up purchases of US liquefied natural gas, along with a series of investment pledges.Hit by multiple waves of tariffs since Trump reclaimed the White House, the EU is currently subject to a 25-percent levy on cars, 50 percent on steel and aluminium, and an across-the-board tariff of 10 percent, which Washington threatens to hike to 30 percent in a no-deal scenario.The EU has focused on getting a deal with Washington to avoid sweeping tariffs that would further harm its sluggish economy, with retaliation as a last resort.While 15 percent would be much higher than pre-existing US tariffs on European goods — at 4.8 percent — it would mirror the status quo, with companies already facing an additional flat rate of 10 percent.Should talks fail, EU states have greenlit counter tariffs on $109 billion (93 billion euros) of US goods including aircraft and cars to take effect in stages from August 7. Brussels is also drawing up a list of US services to potentially target.Beyond that, countries like France say Brussels should not be afraid to deploy a so-called trade “bazooka” — EU legislation designed to counter coercion through trade measures which involves restricting access to its market and public contracts.But such a step would mark a major escalation with Washington.- Ratings dropping -Trump has embarked since returning to power on a campaign to reshape US trade with the world.But polls suggest the American public is unconvinced, with a recent Gallup survey showing his approval rating at 37 percent — down 10 points from January.Having promised “90 deals in 90 days,” Trump’s administration has so far unveiled five, including with Britain, Japan and the Philippines.Early Sunday, ahead of his meeting with Von der Leyen, Trump was out again on the golf course, having spent most of Saturday playing at Turnberry amid tight security.The trip to Scotland has put physical distance between Trump and the scandal around Jeffrey Epstein, the wealthy financier accused of sex trafficking who died in prison in 2019 before facing trial.In his heyday, Epstein was friends with Trump and others in the New York jet-set, but the president is facing backlash from his own MAGA supporters demanding access to the Epstein case files.With the uproar refusing to die down, a headline agreement with the EU — in addition to bolstering Trump’s dealmaker credentials — could bring a welcome distraction. 

Stokes strikes as England finally see off India’s KL Rahul in fourth Test

England captain Ben Stokes made a much-needed breakthrough for his side on Sunday’s final day of the fourth Test against India by dismissing KL Rahul despite appearing to be less than fully fit.The match had already been a personal triumph for the all-rounder after he became just the fourth England cricketer to score a hundred and take five wickets in the same Test.Stokes made 141 — his first Test century in more than two years — in England’s mammoth 669 following a return of 5-72 in India’s first-innings 358.This match has also seen Stokes become just the third cricketer in Test history to score 7,000 runs and take 200 wickets after West Indies Garry Sobers and South Africa’s Jacques Kallis.But Stokes, who suffered from cramp while batting, did not bowl at all during the 63 overs India faced their second innings on Saturday’s fourth day as they recovered from 0-2 to 174-2 at stumps, still a deficit of 137 runs.Rahul was 87 not out at Saturday’s close, with skipper Shubman Gill 78 not out.  Stokes was also seen repeatedly clutching the top of his leg, having had surgery on his left hamstring at the start of this year. But with England pressing for a win that would give them an unassailable 3-1 lead in this five-match series ahead of next week’s finale at the Oval, Stokes brought himself on to bowl at the start of Sunday’s play.Already the leading bowler on either side this series with 16 wickets at 24.75, Stokes almost had Gill caught for 81 by a leaping Ollie Pope at short cover.But the inspirational captain did separate India’s stubborn second-wicket duo when he had Rahul, in sight of his third century of the series, plumb lbw for 90 with a nip-back ball that kept a touch low.Rahul had batted for over five hours, facing 230 balls, but India were now 188-3.Fast-medium bowler Stokes, still grabbing the top of his left leg on occasion as well as his right shoulder, then somehow defied a docile surface when a rising delivery popped off a good length to rap Gill, then on 90, on the thumb before deflecting into the side of the batsman’s helmet.Gill, who has already scored three hundreds in his first series as India captain, needed several minutes’ on-field treatment before resuming his innings.Stokes bowled an unchanged spell of 1-12 in eight overs until the advent of the new ball. Chris Woakes, who had reduced India to 0-2 in the first over of the innings, then came back on with India 198-3 off 80 overs.

La 21e étape du Tour: Montmartre, spectacle et crispation

Un an après la fièvre des JO, l’inclusion inédite sur le Tour de France de la butte Montmartre vient épicer la 21e et dernière étape qui s’annonce spectaculaire dimanche soir à Paris même si la plupart des coureurs se seraient bien privés de ce “stress inutile”.Les pavés de la rue Lepic, le Moulin Rouge, le French Cancan, le Sacré-Coeur… comment ne pas s’enthousiasmer devant le retour à l’affiche de ces lieux emblématiques où le monde avait assisté l’an dernier à l’un des grands temps forts des Jeux Olympiques ?De son propre aveu “jaloux” par le spectacle total offert ce jour-là devant 500.000 spectateurs déchaînés, le directeur du Tour de France, Christian Prudhomme, s’était mis à rêver le soir-même à dupliquer l’événement.Et après bien des péripéties, un premier véto de la Préfecture de police et le coup de pouce décisif du président Emmanuel Macron, “l’impossible est devenu possible”.Le peloton du Tour de France passera donc pour la première fois de son histoire par Montmartre avant de finir comme d’habitude sur les Champs-Élysées, son terminus depuis cinquante ans.A défaut de suspense pour le classement général où Tadej Pogacar, nanti d’une avance de plus de quatre minutes, peut avancer sereinement vers un quatrième victoire dans le Tour, Paris s’apprête à plonger dans la nostalgie avec cette nouvelle Madeleine de Proust sur le parcours mémoriel des JO.- “Mal à mon coeur de sprinteur” -Mais l’affaire change aussi complètement la physionomie sportive de cette dernière étape qui était devenue un aimable défilé où les coureurs trinquaient au champagne avant que les sprinteurs ne s’affolent lors des huit tours des Champs-Élysées.Cette fois, les coureurs ne feront que trois tours classiques avant de parcourir trois fois une boucle de 16,8 km comprenant la butte Montmartre dont l’ascension (1,1 km à 5,9 %) est suffisamment difficile pour potentiellement éliminer tous les sprinteurs.Au troisième passage au sommet de la Butte, il restera six kilomètres jusqu’à l’arrivée, ce qui va forcément favoriser les attaques des puncheurs et sans doute empêcher un sprint massif.Dès que le parcours est sorti, la levée de boucliers a été générale chez les bolides du peloton face au risque d’être privés du final le plus prestigieux de l’année pour eux.”J’ai mal à mon coeur de sprinteur”, compatit l’ancienne sprinteur allemand Marcel Kittel devant cette rupture de la tradition, qui plus est pour le 50e anniversaire de la première arrivée sur les Champs.Les coureurs de classement général aussi sont vent debout. Remco Evenepoel, pourtant champion olympique sur ce parcours, a été le premier à s’en émouvoir, dénonçant, avant son abandon, un “stress supplémentaire inutile”.- “Personne n’aime” -“Montmartre, ça a été très sympa pendant les JO mais il ne restait plus que 50 coureurs dans le peloton. Sur le Tour de France, on sera 150 à lutter pour se positionner sur une montée très étroite”, a embrayé Jonas Vingegaard.Seul Pogacar s’est voulu philosophe, n’y voyant “pas trop de différence pour lui personnellement”.”C’est clair que ça va mettre un peu de stress”, concède l’architecte du parcours Thierry Gouvenou, auprès de l’AFP, avant de relativiser.”Aux JO les coureurs zigzaguaient dans des ruelles en descente alors que là on va prendre des artères beaucoup plus larges. La montée de la rue Lepic est étroite, bien sûr. Mais quand on fait un secteur pavé sur Paris-Roubaix, ce n’est pas plus large.”Matteo Jorgenson, le lieutenant de Vingegaard, regrette aussi que les coureurs, pour la plupart morts de fatigue, n’aient plus le loisir de savourer une dernière étape tranquille et fêter leur arrivée à Paris après trois semaines particulièrement éreintantes, avec en plus des transferts interminables.”On a suffisamment souffert comme ça. Chez les coureurs, personne n’aime cette dernière étape”, assure l’Américain.Départ à Mantes-la-Ville à 16h10 (réel à 16h25), arrivée sur les Champs-Élysées à 19h35 (horaire calculé sur une moyenne de 41 km/h)

Israel says opening routes into Gaza to increase food aid

Israel declared a “tactical pause” in fighting in parts of Gaza on Sunday and said it would allow the UN and aid agencies to open secure land routes to tackle a deepening hunger crisis.The military also said it had begun air-dropping food into the Palestinian territory and dismissed allegations of using starvation as a weapon against civilians.It said it had coordinated with the UN and international agencies to “increase the scale of humanitarian aid entering the Gaza Strip”.UN emergency relief coordinator Tom Fletcher welcomed the pauses, saying on social media he was in “contact with our teams on the ground who will do all we can to reach as many starving people as we can in this window”.The charity Oxfam’s regional policy chief Bushra Khalidi called the move a “welcome first step” but warned it could prove insufficient.”Starvation won’t be solved by a few trucks or airdrops,” she said. “What’s needed is a real humanitarian response: ceasefire, full access, all crossings open, and a steady, large-scale flow of aid into Gaza.”We need a permanent ceasefire, a complete lifting of the siege.”- ‘Life’s wish’ -In Gaza City’s Tel al-Hawa district, 30-year-old Suad Ishtaywi said her “life’s wish” was to simply feed her children.She spoke of her husband returning empty-handed from aid points daily.”We hope the aid comes in today, because hunger is killing us day by day,” said 44-year-old Mohammed al-Daduh, also in Gaza City. “Egypt said it would send aid, but we don’t know if Israel will allow it in.”AFP journalists saw Egyptian trucks crossing from Rafah, with cargo routed through Israel’s Kerem Shalom checkpoint for inspection before entering Gaza.The daily pause — from 10:00 am to 8:00 pm — will be limited to areas where Israel says its troops are not currently operating — Al-Mawasi, Deir el-Balah and Gaza City.Israel said “designated secure routes” would also open across Gaza for aid convoys carrying food and medicine.The military said these operations, alongside its campaign against Palestinian armed groups, should disprove “the false claim of deliberate starvation”.Last November, the International Criminal Court issued arrest warrants for Israeli Prime Minister Netanyahu and former Israeli defence minister Yoav Gallant, citing “reasonable grounds” to suspect war crimes including starvation — charges Israel vehemently denies.Since Israel imposed a total blockade on March 2, the situation inside Gaza has deteriorated sharply. More than 100 NGOs warned this week of “mass starvation”.Though aid has trickled in since late May, UN and humanitarian agencies say Israeli restrictions remain excessive and road access inside Gaza is tightly controlled.Before Israel’s airdrop of seven food pallets, the United Arab Emirates said it would resume aid flights, and Britain said it would partner with Jordan and others to assist.- ‘Immediate’ airdrops -On Saturday alone, the Palestinian civil defence agency said over 50 more Palestinians had been killed in Israeli strikes and shootings, some as they waited near aid distribution centres.In a social media post, the military announced it “carried out an airdrop of humanitarian aid as part of the ongoing efforts to allow and facilitate the entry of aid into the Gaza Strip”.Humanitarian chiefs are deeply sceptical airdrops can deliver enough food safely to tackle the hunger crisis facing Gaza’s more than two million inhabitants.A number of Western and Arab governments carried out airdrops in Gaza in 2024, when aid deliveries by land also faced Israeli restrictions, but many in the humanitarian community consider them ineffective.”Airdrops will not reverse the deepening starvation,” said Philippe Lazzarini, head of the UN agency for Palestinian refugees, UNRWA. “They are expensive, inefficient and can even kill starving civilians.”Separately, the Israeli navy brought an activist boat, the Handala operated by the Freedom Flotilla Coalition, into the part of Ashdod, after intercepting and boarding it late Saturday to prevent it attempting to breach a maritime blockade of Gaza.The legal rights centre Adalah told AFP its lawyers were in Ashdod but had been refused access to the detained crew, 21 activists and journalists from 10 countries.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify tolls and details provided by the civil defence agency and other parties.Israel launched its military campaign in Gaza after Hamas’s October 2023 attack resulted in the deaths of 1,219 people, most of them civilians, according to an AFP tally based on official figures.The Israeli campaign has killed 59,733 Palestinians, mostly civilians, according to the health ministry in the Hamas-run territory.burs-str-dc/dv