C1: l’Inter fait perdre la boule au Barça et décroche sa finale
Au bout d’une irrespirable demi-finale retour au scénario improbable, l’Inter Milan est venu à bout du FC Barcelone (4-3 a.p., 3-3 à l’aller) et disputera le 31 mai sa deuxième finale de Ligue des champions en trois ans.Six jours après une première manche incandescente et spectaculaire, considérée alors comme l’un des plus beaux matches de l’année, l’Inter et le Barça ont fait encore plus fort. Encore plus fou aussi, et de loin.Leur second duel n’a peut-être jamais atteint les sommets techniques de l’aller, illuminé par les coups de génie du phénomène Lamine Yamal.Mais ils ont sans doute écrit l’une des pages les plus mémorables de l’histoire de la compétition après 120 minutes d’une intensité rare et de rebondissements à rendre fous les supporters des deux équipes.L’histoire retiendra que l’international italien Davide Frattesi est celui qui a scellé cette double confrontation gloutonne en buts (13 !) et en suspense à la 99e minute.Avant qu’il n’offre la victoire à l’Inter, le Barça a cru avoir décroché son billet pour la finale de Munich avec un but inscrit à la 87e minute.- Yamal éteint -Mais ce sont bien les Nerazzurri qui tenteront de s’offrir contre le Paris SG ou Arsenal une quatrième Ligue des champions et d’effacer la désillusion de la finale 2023 perdue de peu contre Manchester City (1-0).En première période, le dispositif mis en place par Simone Inzaghi a parfaitement fonctionné et l’Inter a éteint Yamal avec un double marquage intransigeant.Sur sa première accélération, à la 4e minute, le prodige de 17 ans a compris qu’il allait passer une soirée difficile: Federico Dimarco qu’il avait essoré et écoeuré à l’aller, s’est chargé de l’en informer avec un tacle rugueux.Quelques secondes après, une première occasion de Nicolo Barella avec une reprise en demi-volée, après un sombrero, repoussée, en deux temps, par Wojciech Szczesny (20), l’Inter a ouvert la marque.Dimarco a intercepté une relance catalane et a aussitôt lancé dans la profondeur Denzel Dumfries. Le milieu néerlandais, intenable depuis son retour de blessure et auteur de deux des trois buts milanais à l’aller, a servi impeccablement Lautaro Martinez, seul dans la surface, pour son neuvième but de la saison dans la compétition-reine (21).Le capitaine argentin de l’Inter était pourtant incertain jusqu’à lundi à cause d’une blessure à une cuisse qui avait écourté sa demi-finale aller.- L’Inter déchante -Mais retapé en quatrième vitesse par le staff médical de l’Inter, il a aussi été à l’origine du deuxième but de son équipe à la 42e minute lorsqu’il a filé vers le but avant d’être taclé par derrière par Pau Cubarsi.Après consultation du VAR, l’arbitre a accordé un penalty à l’Inter qui a été transformé par le grand spécialiste de l’exercice, Hakan Çalhanoglu, en prenant à contrepied Szczesny.Après la pause, les joueurs de l’Inter ont vite déchanté.C’est d’abord Eric Garcia, oublié dans la surface de réparation qui a réduit la marque d’une superbe reprise de volée du pied droit (54).Six minutes plus tard, sur un coup franc de Gerard Martin, Dani Olmo a égalisé de la tête.L’Inter, aux abois, est sauvé par son gardien Yann Sommer, déjà décisif à la 54e minute: la gardien suisse a dévié une frappe enroulée du pied gauche de Yamal qui filait dans sa lucarne (77).A la 87e minute, il s’est bien interposé une première fois face à Raphinha, mais le ballon est revenu dans les pieds du Brésilien qui l’a trompé à bout portant, en pensant avoir inscrit le but de la qualification.Mais au bout du temps additionnel, l’Inter Milan a arraché l’égalisation en profitant d’une erreur de Gerard Martin: l’inévitable Dumfries a récupéré le ballon pour servir parfaitement le vétéran Francesco Acerbi, qui, tel un avant-centre, a fait exploser San Siro, avec sa frappe du pied droit.Et en prolongation, sous la pluie, Frattesi, servi par Mehdi Taremi, est entré dans l’histoire d’une frappe d’une gauche et mis San Siro en transe. Pour l’éternité.
Commerce et souveraineté: rencontre tendue mais courtoise entre Carney et Trump
Le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney et Donald Trump se sont jaugés mardi lors d’une rencontre tendue mais qui n’a pas viré à l’esclandre, avec en arrière-plan les menaces de guerre commerciale et d’annexion à nouveau répétées par le président américain.Pour leur premier face-à -face, derrière les sourires affichés dans le Bureau ovale, les deux dirigeants ont campé sur leurs positions: Carney a assuré que son pays ne serait “jamais à vendre”, Trump a rétorqué qu’il ne fallait “jamais dire jamais”.Le chef du gouvernement canadien a ensuite affirmé avoir demandé au président américain de cesser de parler du Canada comme du 51e Etat des Etats-Unis, ce qu’il fait depuis des mois. Mardi, Donald Trump a estimé que ce serait pourtant un “merveilleux mariage”.”J’ai dit (à Trump): +C’est pas utile de répéter cette idée+”, a assuré Carney en français lors d’une conférence de presse à l’ambassade du Canada après la rencontre à la Maison Blanche.- “Progrès” -Elu il y a une semaine sur la promesse de faire face au président américain, dont les menaces angoissent les Canadiens, il devait éviter de braquer son impulsif interlocuteur pour ne pas compromettre un éventuel accord commercial.Donald Trump a toutefois répété qu’il ne reviendrait pas sur ses décisions concernant les droits de douane, estimant que rien ne pourrait l’amener, même après discussion avec le Premier ministre canadien, à revenir en arrière. “C’est comme ça”, a-t-il affirmé.Le président républicain a déjà imposé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens, notamment, et menace son voisin du Nord de taxes douanières généralisées de 25%.”Le Canada devra être capable de se débrouiller seul sur le plan économique, a-t-il estimé. Il n’y aucune raison pour que nous subventionnions le Canada.”Néanmoins Donald Trump “adorerait” trouver un nouvel accord commercial avec Ottawa, les deux pays étant actuellement liés par un accord de libre-échange (ACEUM) conclu pendant son premier mandat.”Ce sont des négociations très complexes mais on a fait des progrès”, a considéré Mark Carney à l’issue de leur rencontre, en répétant qu’il ne s’attendait pas à de la “fumée blanche” immédiatement, une métaphore d’actualité en ces temps de conclave.Le Premier ministre canadien a qualifié ses échanges avec Donald Trump de “très constructifs” et dit que les deux dirigeants les poursuivront “dans les semaines à venir”, en particulier au sommet du G7 en juin, organisé au Canada.”La question est de savoir comment nous allons coopérer à l’avenir”, a-t-il toutefois assuré, soulignant que son pays était le “plus gros client” pour les marchandises américaines.- “Aucune tension” -La rencontre avait débuté sur un ton affable, Donald Trump qualifiant son invité d’homme “très talentueux” et “très bien”, critiquant au passage l’ancien Premier ministre Justin Trudeau, pour lequel le milliardaire new-yorkais a une féroce antipathie.Le nouveau Premier ministre, au tempérament mesuré et à l’expression prudente, a une personnalité fort différente de celle de l’éruptif président américain, mais aussi de celle, très extravertie, de son prédécesseur.Mais l’atmosphère s’est alourdie dans le Bureau ovale à mesure que Donald Trump insistait sur une possible annexion du Canada. Les mains nerveusement nouées, Mark Carney a semblé plusieurs fois se retenir de l’interrompre.Le président américain a cependant assuré peu après qu’il n’y avait eu “aucune tension” lors de cette “très bonne” réunion. Il s’est d’ailleurs félicité que la conversation n’ait “pas tourné comme cette petite crise avec une autre personne”, en référence à l’incroyable altercation verbale qu’il avait eue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky au même endroit.Novice en politique, Mark Carney est sorti victorieux des récentes élections législatives alors que sa formation, le parti libéral (centre-gauche), était il y a encore quelques mois promise à une cuisante défaite.”Je suis la meilleure chose qui lui soit arrivée”, a plaisanté Donald Trump mardi en évoquant cette victoire électorale à laquelle ses attaques commerciales et ses menaces d’annexion ont contribué.
Commerce et souveraineté: rencontre tendue mais courtoise entre Carney et Trump
Le nouveau Premier ministre canadien Mark Carney et Donald Trump se sont jaugés mardi lors d’une rencontre tendue mais qui n’a pas viré à l’esclandre, avec en arrière-plan les menaces de guerre commerciale et d’annexion à nouveau répétées par le président américain.Pour leur premier face-à -face, derrière les sourires affichés dans le Bureau ovale, les deux dirigeants ont campé sur leurs positions: Carney a assuré que son pays ne serait “jamais à vendre”, Trump a rétorqué qu’il ne fallait “jamais dire jamais”.Le chef du gouvernement canadien a ensuite affirmé avoir demandé au président américain de cesser de parler du Canada comme du 51e Etat des Etats-Unis, ce qu’il fait depuis des mois. Mardi, Donald Trump a estimé que ce serait pourtant un “merveilleux mariage”.”J’ai dit (à Trump): +C’est pas utile de répéter cette idée+”, a assuré Carney en français lors d’une conférence de presse à l’ambassade du Canada après la rencontre à la Maison Blanche.- “Progrès” -Elu il y a une semaine sur la promesse de faire face au président américain, dont les menaces angoissent les Canadiens, il devait éviter de braquer son impulsif interlocuteur pour ne pas compromettre un éventuel accord commercial.Donald Trump a toutefois répété qu’il ne reviendrait pas sur ses décisions concernant les droits de douane, estimant que rien ne pourrait l’amener, même après discussion avec le Premier ministre canadien, à revenir en arrière. “C’est comme ça”, a-t-il affirmé.Le président républicain a déjà imposé des droits de douane sur l’acier et l’aluminium canadiens, notamment, et menace son voisin du Nord de taxes douanières généralisées de 25%.”Le Canada devra être capable de se débrouiller seul sur le plan économique, a-t-il estimé. Il n’y aucune raison pour que nous subventionnions le Canada.”Néanmoins Donald Trump “adorerait” trouver un nouvel accord commercial avec Ottawa, les deux pays étant actuellement liés par un accord de libre-échange (ACEUM) conclu pendant son premier mandat.”Ce sont des négociations très complexes mais on a fait des progrès”, a considéré Mark Carney à l’issue de leur rencontre, en répétant qu’il ne s’attendait pas à de la “fumée blanche” immédiatement, une métaphore d’actualité en ces temps de conclave.Le Premier ministre canadien a qualifié ses échanges avec Donald Trump de “très constructifs” et dit que les deux dirigeants les poursuivront “dans les semaines à venir”, en particulier au sommet du G7 en juin, organisé au Canada.”La question est de savoir comment nous allons coopérer à l’avenir”, a-t-il toutefois assuré, soulignant que son pays était le “plus gros client” pour les marchandises américaines.- “Aucune tension” -La rencontre avait débuté sur un ton affable, Donald Trump qualifiant son invité d’homme “très talentueux” et “très bien”, critiquant au passage l’ancien Premier ministre Justin Trudeau, pour lequel le milliardaire new-yorkais a une féroce antipathie.Le nouveau Premier ministre, au tempérament mesuré et à l’expression prudente, a une personnalité fort différente de celle de l’éruptif président américain, mais aussi de celle, très extravertie, de son prédécesseur.Mais l’atmosphère s’est alourdie dans le Bureau ovale à mesure que Donald Trump insistait sur une possible annexion du Canada. Les mains nerveusement nouées, Mark Carney a semblé plusieurs fois se retenir de l’interrompre.Le président américain a cependant assuré peu après qu’il n’y avait eu “aucune tension” lors de cette “très bonne” réunion. Il s’est d’ailleurs félicité que la conversation n’ait “pas tourné comme cette petite crise avec une autre personne”, en référence à l’incroyable altercation verbale qu’il avait eue avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky au même endroit.Novice en politique, Mark Carney est sorti victorieux des récentes élections législatives alors que sa formation, le parti libéral (centre-gauche), était il y a encore quelques mois promise à une cuisante défaite.”Je suis la meilleure chose qui lui soit arrivée”, a plaisanté Donald Trump mardi en évoquant cette victoire électorale à laquelle ses attaques commerciales et ses menaces d’annexion ont contribué.
Stocks retreat as traders cautious before Fed rates call
Stock markets mostly dropped on Tuesday as investors awaited a Federal Reserve interest-rate decision while anticipating US trade deal breakthroughs that have yet to materialize.Stocks had risen most of the last two weeks in anticipation of progress on the trade front as US President Donald Trump and top appointees play up the negotiations. But major US indices spent the entire Tuesday session in the red, with the Dow Jones Industrial Average finishing down one percent.The market “seems to be disappointed over the fact that we’re not hearing any trade deal news,” said Art Hogan of B. Riley Wealth Management.Investors are also monitoring the Fed, which is expected to hold interest rates steady on Wednesday, even as Trump pushes for more cuts. “Traders appear to be taking profits and moving to the sidelines ahead of the Federal Reserve’s FOMC meeting, which kicks off today,” said David Morrison, senior market analyst Trade Nation, referring to the monetary policy branch of the reserve, the Federal Open Market Committee.While data last week showed the US economy contracted in the first quarter, strong jobs and services sector figures suggest there is still some resilience.”It’s a big week for central bank interest rate decisions,” noted AJ Bell investment director Russ Mould.”The key focus will be on forward-looking commentary and whether the Fed is getting worried about Trump’s tariffs,” Mould added.On Thursday, the Bank of England is expected to cut its key rate by a quarter point to 4.25 percent amid concerns of weak growth in Britain.In Europe, Frankfurt’s stock market shed 0.4 percent after German conservative leader Friedrich Merz was confirmed as chancellor following an initial setback.Paris also ended the day down 0.4 percent while London finished flat.The US dollar was lower against major rival currencies, while oil prices shot higher in what analysts called a technical rebound following Monday’s selloff.US pharmaceutical and biotech stocks took a beating due to the appointment of oncologist Vinay Prasad to a top post at the US Food and Drug Administration. Prasad has been an outspoken critic of the agency’s prior approach to Covid-19 vaccines and other key decisions.Merck and Pfizer both fell more than four percent while Moderna sank more than 12 percent. In company news, US food delivery service DoorDash agreed to buy Deliveroo in a £2.9-billion ($3.9-billion) deal that values the UK group at less than half of its initial public offering price. Shares in Deliveroo rose 2.1 percent on London’s second-tier FTSE 250 index, while DoorDash shares dropped 7.4 percent in New York.Danish wind turbine maker Vestas jumped nine percent in Copenhagen after it stuck to its annual earnings forecasts despite geopolitical uncertainty and US tariffs.- Key figures at around 2050 GMT -New York – Dow: DOWN 1.0 percent at 40,829.00 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.8 percent at 5,606.91 (close)New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.9 percent at 17,689.66 (close)London – FTSE 100: FLAT at 8,597.42 (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.4 percent at 7,696.92 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 23,249.65 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 22,662.71 (close)Shanghai – Composite: UP 1.1 percent at 3,316.11 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for holidayEuro/dollar: UP at $1.1373 from $1.1315 on MondayPound/dollar: UP at $1.3370 from $1.3296Dollar/yen: DOWN at 142.44 yen from 143.70 Euro/pound: DOWN at 85.04 pence from 85.09Brent North Sea Crude: UP 3.2 percent at $62.15 per barrelWest Texas Intermediate: UP 3.4 percent at $59.09 per barrel burs-jmb/sla
Top US court allows Trump’s ban on trans troops to take effect
A divided US Supreme Court on Tuesday allowed President Donald Trump’s ban on transgender military personnel to take effect while litigation plays out, putting thousands of troops at risk of dismissal.The ruling — which the court’s three liberal justices opposed — is a significant victory for Trump, who has made rolling back transgender rights a major part of his second term in office, and has railed against judges who blocked parts of his agenda.Lambda Legal and the Human Rights Campaign Foundation — which filed the lawsuit that had resulted in a lower court temporarily blocking the implementation of the ban — slammed the Supreme Court’s decision.The ruling “is a devastating blow to transgender servicemembers who have demonstrated their capabilities and commitment to our nation’s defense,” the organizations said in a statement .”Transgender individuals meet the same standards and demonstrate the same values as all who serve. We remain steadfast in our belief that this ban violates constitutional guarantees of equal protection and will ultimately be struck down,” they said.White House Press Secretary Karoline Leavitt hailed the ruling as “another MASSIVE victory in the Supreme Court,” saying in a post on X that Trump and Pentagon chief Pete Hegseth “are restoring a military that is focused on readiness and lethality — not DEI or woke gender ideology.”Hegseth meanwhile responded to the news with a post on his personal X account that said: “No More Trans @ DoD.”In a January 27 executive order, Trump stated that “expressing a false ‘gender identity’ divergent from an individual’s sex cannot satisfy the rigorous standards necessary for military service.”- Shifting policies -The Pentagon followed that up with a memo issued in late February stating that it would remove transgender troops from the military unless they obtain a waiver on a case-by-case basis, as well as prevent transgender people from joining.The Supreme Court’s decision to allow the ban to take effect means thousands of currently serving troops could be removed from the ranks.The restrictions in the Pentagon memo are aimed at those who have been diagnosed with gender dysphoria — of whom there were 4,240 serving in the military as of late last year, according to a senior defense official — as well as those who have a history of the condition or exhibit symptoms of it.Transgender Americans have faced a roller coaster of changing policies on military service in recent years, with Democratic administrations seeking to permit them to serve openly, while Trump has sought to keep them out of the ranks.The US military lifted a ban on transgender troops in 2016, during Democrat Barack Obama’s second term as president.Under that policy, trans troops already serving were permitted to do so openly, and transgender recruits were set to start being accepted by July 1, 2017.But the first Trump administration postponed that date to 2018 before deciding to reverse the policy entirely.Trump’s restrictions on transgender military service — which underwent changes in response to various legal challenges — eventually came into force in April 2019 following a protracted legal battle that went all the way to the nation’s top court.His Democratic successor Joe Biden moved to reverse the restrictions just days after he took office in 2021, but Trump was reelected last year after making clear he would again seek to target transgender rights.Transgender issues have roiled US politics in recent years, as states controlled by Democrats and Republicans have moved in opposite directions on policies ranging from medical treatment to what books on the topic are allowed in public or school libraries.
Oman annonce un accord de cessez-le-feu entre les Etats-Unis et les Houthis du Yémen
Les Etats-Unis et les rebelles houthis du Yémen sont parvenus à un accord de cessez-le-feu, a indiqué mardi le médiateur omanais après que le président Donald Trump a annoncé l’arrêt des frappes américaines contre ces insurgés.L’annonce de l’accord qui doit permettre une liberté de navigation en mer Rouge, est intervenue quelques heures après des bombardements aériens israéliens qui ont détruit l’aéroport international de la capitale yéménite Sanaa et fait trois morts selon les rebelles, soutenus par Téhéran.Le chef politique des Houthis, Mahdi al-Mashat, n’a pas commenté l’annonce de M. Trump mais a promis dans un communiqué une riposte “foudroyante” contre Israël, allié des Etats-Unis.Intervenant à la télévision des rebelles, Al-Massirah, Mohammed Abdelsalam, porte-parole des Houthis, a déclaré: “Nous continuons à évaluer la position américaine pour qu’elle ne se limite pas à de simples déclarations. Si l’ennemi américain reprend ses attaques, nous reprendrons nos frappes.”  “Les véritables garanties de l’accord sont l’expérience noire que les Etats-Unis ont vécue au Yémen”, a-t-il ajouté. Auparavant, le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr al-Boussaïdi, avait déclaré: “A la suite de discussions et contacts menés par le sultanat d’Oman avec les Etats-Unis et les autorités concernées à Sanaa (…), les efforts ont abouti à un accord de cessez-le-feu entre les deux parties.” “A l’avenir, aucune des deux parties ne prendra pour cible l’autre, y compris les navires américains, en mer Rouge et dans le détroit de Bab al-Mandeb”, au large du Yémen. Le cessez-le-feu permettra de “garantir la liberté de navigation et la fluidité du commerce maritime international”.Affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, les Houthis ont revendiqué des dizaines d’attaques de missiles et de drones contre Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza. Ils ont aussi attaqué des navires qu’ils estiment liés à Israël au large du Yémen, sur une voie maritime essentielle pour le commerce mondial.  En représailles, les Etats-Unis, sous la présidence de Joe Biden, ont lancé à partir de janvier 2024 des raids contre des positions des rebelles au Yémen. Ces frappes se sont intensifiées depuis le 15 mars, sous l’administration de Donald Trump.”Les Houthis ont annoncé (…) qu’ils ne voulaient plus se battre. Ils ne veulent tout simplement plus se battre. Et nous allons honorer cela. Nous arrêterons les bombardements, et ils ont capitulé”, a déclaré plus tôt M. Trump.- “Aéroport complètement détruit” -“Ils disent qu’ils ne feront plus exploser de navires, et c’était notre objectif”, a ajouté M. Trump, en promettant une “très, très grande annonce” avant son voyage au Moyen-Orient la semaine prochaine, sans en préciser la nature.En riposte à un tir de missile des Houthis dimanche sur le principal aéroport international d’Israël, Israël a mené des frappes contre l’aéroport de Sanaa, des stations électriques de la région et une cimenterie à Amrane (nord), a indiqué la chaîne des rebelles Al-Massirah en faisant état de trois morts.”Trois des sept avions appartenant à la compagnie nationale Yemenia ont été détruits à l’aéroport de Sanaa, et l’aéroport international a été complètement détruit”, a indiqué un responsable aéroportuaire.Depuis 2022, seule la compagnie nationale yéménite Yemenia assure une liaison commerciale limitée à partir de l’aéroport de Sanaa, avec Amman comme principale destination. L’aéroport accueille aussi des vols humanitaires opérés par l’ONU.Soutenus par l’Iran, ennemi juré d’Israël, les Houthis sont en guerre contre le pouvoir au Yémen depuis 2014 et contrôlent une large partie de ce pays pauvre de la péninsule arabique situé à plus de 1.800 km d’Israël.  Lundi, Israël a indiqué avoir ciblé des infrastructures des Houthis dans l’ouest du Yémen, pour la cinquième fois depuis juillet 2024, “en réponse aux attaques répétées du régime terroriste houthi contre l’Etat d’Israël”. Les Houthis font partie, avec le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais notamment, de ce que l’Iran présente comme “l’axe de la résistance” face à Israël. Téhéran dément néanmoins leur fournir une aide militaire.- “Directement responsable” -Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a accusé l’Iran d’être “directement responsable” des attaques des rebelles houthis contre Israël et averti qu’il en subirait “toutes les conséquences”.Alors que la quasi-totalité des tirs des Houthis ont été interceptés depuis plus d’un an par les défenses aériennes israéliennes, dimanche un missile a frappé directement pour la première fois à l’intérieur du périmètre de l’aéroport Ben-Gourion près de Tel-Aviv. Les rebelles yéménites ont revendiqué “un tir de missile balistique hypersonique sur Ben-Gourion”, qui a provoqué une brève interruption du trafic aérien et une suspension provisoire de vols internationaux.L’Iran a nié avoir aidé les Houthis dans l’attaque et son chef de la diplomatie, Abbas Araghchi, a accusé Israël de vouloir entraîner les Etats-Unis dans une “catastrophe” au Moyen-Orient.Â
Oman annonce un accord de cessez-le-feu entre les Etats-Unis et les Houthis du Yémen
Les Etats-Unis et les rebelles houthis du Yémen sont parvenus à un accord de cessez-le-feu, a indiqué mardi le médiateur omanais après que le président Donald Trump a annoncé l’arrêt des frappes américaines contre ces insurgés.L’annonce de l’accord qui doit permettre une liberté de navigation en mer Rouge, est intervenue quelques heures après des bombardements aériens israéliens qui ont détruit l’aéroport international de la capitale yéménite Sanaa et fait trois morts selon les rebelles, soutenus par Téhéran.Le chef politique des Houthis, Mahdi al-Mashat, n’a pas commenté l’annonce de M. Trump mais a promis dans un communiqué une riposte “foudroyante” contre Israël, allié des Etats-Unis.Intervenant à la télévision des rebelles, Al-Massirah, Mohammed Abdelsalam, porte-parole des Houthis, a déclaré: “Nous continuons à évaluer la position américaine pour qu’elle ne se limite pas à de simples déclarations. Si l’ennemi américain reprend ses attaques, nous reprendrons nos frappes.”  “Les véritables garanties de l’accord sont l’expérience noire que les Etats-Unis ont vécue au Yémen”, a-t-il ajouté. Auparavant, le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr al-Boussaïdi, avait déclaré: “A la suite de discussions et contacts menés par le sultanat d’Oman avec les Etats-Unis et les autorités concernées à Sanaa (…), les efforts ont abouti à un accord de cessez-le-feu entre les deux parties.” “A l’avenir, aucune des deux parties ne prendra pour cible l’autre, y compris les navires américains, en mer Rouge et dans le détroit de Bab al-Mandeb”, au large du Yémen. Le cessez-le-feu permettra de “garantir la liberté de navigation et la fluidité du commerce maritime international”.Affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, les Houthis ont revendiqué des dizaines d’attaques de missiles et de drones contre Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas à Gaza. Ils ont aussi attaqué des navires qu’ils estiment liés à Israël au large du Yémen, sur une voie maritime essentielle pour le commerce mondial.  En représailles, les Etats-Unis, sous la présidence de Joe Biden, ont lancé à partir de janvier 2024 des raids contre des positions des rebelles au Yémen. Ces frappes se sont intensifiées depuis le 15 mars, sous l’administration de Donald Trump.”Les Houthis ont annoncé (…) qu’ils ne voulaient plus se battre. Ils ne veulent tout simplement plus se battre. Et nous allons honorer cela. Nous arrêterons les bombardements, et ils ont capitulé”, a déclaré plus tôt M. Trump.- “Aéroport complètement détruit” -“Ils disent qu’ils ne feront plus exploser de navires, et c’était notre objectif”, a ajouté M. Trump, en promettant une “très, très grande annonce” avant son voyage au Moyen-Orient la semaine prochaine, sans en préciser la nature.En riposte à un tir de missile des Houthis dimanche sur le principal aéroport international d’Israël, Israël a mené des frappes contre l’aéroport de Sanaa, des stations électriques de la région et une cimenterie à Amrane (nord), a indiqué la chaîne des rebelles Al-Massirah en faisant état de trois morts.”Trois des sept avions appartenant à la compagnie nationale Yemenia ont été détruits à l’aéroport de Sanaa, et l’aéroport international a été complètement détruit”, a indiqué un responsable aéroportuaire.Depuis 2022, seule la compagnie nationale yéménite Yemenia assure une liaison commerciale limitée à partir de l’aéroport de Sanaa, avec Amman comme principale destination. L’aéroport accueille aussi des vols humanitaires opérés par l’ONU.Soutenus par l’Iran, ennemi juré d’Israël, les Houthis sont en guerre contre le pouvoir au Yémen depuis 2014 et contrôlent une large partie de ce pays pauvre de la péninsule arabique situé à plus de 1.800 km d’Israël.  Lundi, Israël a indiqué avoir ciblé des infrastructures des Houthis dans l’ouest du Yémen, pour la cinquième fois depuis juillet 2024, “en réponse aux attaques répétées du régime terroriste houthi contre l’Etat d’Israël”. Les Houthis font partie, avec le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais notamment, de ce que l’Iran présente comme “l’axe de la résistance” face à Israël. Téhéran dément néanmoins leur fournir une aide militaire.- “Directement responsable” -Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a accusé l’Iran d’être “directement responsable” des attaques des rebelles houthis contre Israël et averti qu’il en subirait “toutes les conséquences”.Alors que la quasi-totalité des tirs des Houthis ont été interceptés depuis plus d’un an par les défenses aériennes israéliennes, dimanche un missile a frappé directement pour la première fois à l’intérieur du périmètre de l’aéroport Ben-Gourion près de Tel-Aviv. Les rebelles yéménites ont revendiqué “un tir de missile balistique hypersonique sur Ben-Gourion”, qui a provoqué une brève interruption du trafic aérien et une suspension provisoire de vols internationaux.L’Iran a nié avoir aidé les Houthis dans l’attaque et son chef de la diplomatie, Abbas Araghchi, a accusé Israël de vouloir entraîner les Etats-Unis dans une “catastrophe” au Moyen-Orient.Â
Canada ‘never for sale’, Carney tells Trump
Canadian Prime Minister Mark Carney told US President Donald Trump on Tuesday that his country would be “never for sale” as they met at the White House amid tensions on tariffs and sovereignty.In their first Oval Office meeting, Trump insisted to the recently elected Carney that it would be a “wonderful marriage” if Canada agreed to his repeated calls to become the 51st US state.But afterward both leaders hailed the talks as having made progress — even if Carney said he had asked Trump in private to stop calling for Canada to join the United States.”As you know from real estate, there are some places that are never for sale,” Carney told property tycoon Trump, comparing Canada to the Oval Office itself and to Britain’s Buckingham Palace.”Having met with the owners of Canada over the course of the campaign in the last several months, it’s not for sale. It won’t be for sale, ever.”Trump then replied: “Never say never.”Liberal leader Carney, 60, won Canada’s April 28 election on a pledge to stand up to Republican Trump, 78, warning that ties between the North American neighbors could never be the same.Trump has sparked a major trade war with Canada with his tariffs while repeatedly making extraordinary calls for the key NATO ally and major trading partner to become part of the United States.- ‘Very constructive’ -Carney at points gripped his hands tightly together and his knee jiggled up and down while Trump spoke.Trump, when asked if there was anything Carney could say in the meeting that would persuade him to drop tariffs, replied bluntly: “No. It’s just the way it is.”The US president even referenced his blazing Oval Office row with Ukraine’s Volodymyr Zelensky in February — if only to insist that there would be no repeat.”We had another little blow-up with somebody else, that was much different — this is a very friendly conversation,” Trump said. Yet after the two-hour meeting both leaders struck a positive tone.Carney told a press conference that the trade talks were “complex” but that his two-hour discussions with Trump were “very constructive.””He’s willing to have that negotiation,” Carney said when asked if Trump would be ready to drop tariffs as part of a deal.But he added that he had called on Trump to stop urging Canada to become its 51st state.”I told him that it wasn’t useful to repeat this idea, but the president will say what he wants,” said Carney, speaking in French.For his part, Trump said there was “no tension” during the “very great” meeting with Carney.”We want to do what’s right for our respective peoples,” he said at an event on the 2026 World Cup, which the United States will co-host with Canada and Mexico.- ‘Cherished’ -The meeting was highly anticipated after a Canadian election during which Carney vowed that the United States — Canada’s biggest trading partner — would never “own us.”Carney has since vowed to remake NATO member Canada’s ties with the United States in perhaps its biggest political and economic shift since World War II.Trump has slapped general tariffs of 25 percent on Canada and Mexico and sector-specific levies on autos, some of which have been suspended pending negotiations. He has imposed similar duties on steel and aluminum.He has also more broadly accused Canada of “ripping off” the United States and treating it unfairly on trade, while also calling on both Canada and Mexico to stop the cross-border flow of the deadly drug fentanyl.The US president inserted himself into Canada’s election early on by calling on Canada to avoid tariffs by becoming the “cherished 51st state.”Pierre Poilievre’s Conservative Party had been on track to win the vote but Trump’s attacks, combined with the departure of unpopular premier Justin Trudeau, transformed the race.Carney, who replaced Trudeau as prime minister in March, convinced voters that his experience managing economic crises made him the ideal candidate to defy Trump.The political newcomer previously served as governor of the Bank of Canada and the Bank of England.
Friedrich Merz devient chancelier allemand dans la douleur
Le conservateur Friedrich Merz est devenu mardi aux forceps nouveau chancelier allemand en étant obligé de s’y prendre à deux fois pour être élu par les députés, signe des difficultés qui l’attendent au pouvoir.”Je prends cette responsabilité avec humilité mais (…) également avec détermination et optimisme”, a-t-il déclaré, en cherchant à minimiser le revers. Il a parlé d’une “petite tâche en début de mandat”, sur la chaîne ZDF.Dans une interview à la chaîne NTV, il a aussi promis d’être un “chancelier très européen”.Scénario sans précédent, le président du parti démocrate-chrétien (CDU) a dû en passer par un deuxième tour de scrutin des députés du Bundestag pour être finalement consacré de justesse au poste de chef du gouvernement.A 69 ans, Friedrich Merz avait déjà difficilement remporté fin février des élections législatives anticipées, provoquées par l’implosion du gouvernement Scholz. La séance au Parlement mardi a de nouveau tourné à l’épreuve. Dans le système parlementaire allemand, ce sont les députés qui élisent le chef du gouvernement.Friedrich Merz a finalement rallié sur son nom 325 voix sur 630 députés lors d’un second vote au Bundestag, rendu nécessaire par un échec lors du premier tour, qui a suscité la stupéfaction et fait craindre une nouvelle crise politique majeure.Sa désignation à bulletins secrets se présentait pourtant comme une simple formalité après la conclusion d’un accord de coalition avec les sociaux-démocrates, lui assurant une majorité. Mais plusieurs élus lui ont fait défection.Jamais dans l’histoire de l’Allemagne de l’après-guerre un candidat chancelier n’avait connu pareille humiliation en étant obligé d’en passer par deux votes pour se faire élire.Ce revers illustre d’emblée la fragilité du dirigeant démocrate-chrétien et de la coalition avec laquelle il entend gouverner pour quatre ans la première économie européenne, pris en étau entre la pression de l’administration Trump à l’extérieur et, sur le plan intérieur, une extrême droite en plein essor.- Frondeurs -Après la crise politique ouverte par la chute du gouvernement Scholz en novembre, Friedrich Merz a alimenté les attentes en promettant de relancer son pays, en crise économique, et l’Europe avec lui.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a espéré mardi voir “davantage le leadership allemand” sur le Vieux Continent et dans les relations avec les Etats-Unis, “alors que l’avenir de l’Europe est en jeu”.Même impatience à Paris, où Emmanuel Macron le recevra mercredi pour rendre le moteur franco-allemand “plus fort que jamais”. Mais le nouveau dirigeant allemand part affaibli. Déjà peu populaire dans l’opinion, il est contesté dans ses propres rangs conservateurs pour être revenu sur un engagement majeur de campagne: il a récemment assoupli les règles nationales très strictes de dépenses budgétaires.Un revirement justifié par les besoins de financement du vaste programme de réarmement du pays, face à la menace russe et celle d’un désengagement militaire américain du continent européen, et de modernisation du pays.Son élection dans la douleur est “un camouflet” et “aura forcément un impact sur ses débuts en tant que chancelier et ensuite sur la période gouvernementale à venir”, a indiqué à l’AFP Claire Demesmay, professeure à Sciences Po Paris et chercheuse associée au Centre Marc Bloch de Berlin.”Et au niveau international aussi, ce n’est vraiment pas bon signe”, ajoute-t-elle, alors que Friedrich Merz se rendra aussi à Varsovie dès mercredi.- L’extrême droite en embuscade -Dans le chaos ambiant, le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), qui a obtenu 20% des voix aux législatives et dépasse désormais les conservateurs dans certains sondages, a immédiatement réclamé de nouvelles élections.”Nous sommes prêts à assumer la responsabilité gouvernementale”, a déclaré Alice Weidel.Friedrich Merz a dit sur la chaîne ARD vouloir “tout faire” pour “regagner la confiance” des électeurs séduits par l’AfD.L’essor de ce parti survient à un moment de bascule géopolitique pour l’Allemagne, contrainte de s’affranchir de la tutelle militaire d’un allié américain devenu imprévisible et de réinventer son modèle économique.Frierich Merz a exhorté mardi soir l’administration du président Donald Trump, avec lequel il aura un entretien téléphonique jeudi, à se tenir “à l’écart” de la politique intérieure allemande.En cause, les soutiens appuyés et répétés de plusieurs proches de Donald Trump à l’AfD, suite à la décision du Renseignement intérieur allemand de le classer comme parti “extrémiste” menaçant “l’ordre démocratique”.Le vice-président américain JD Vance a accusé l’Allemagne de reconstruire un “mur de Berlin”, tandis que le secrétaire d’Etat Marco Rubio a qualifié la décision de “tyrannie déguisée”. Des “considérations absurdes”, selon M. Merz.Ce dernier a aussi réaffirmé que l’Ukraine et son président pouvaient “compter” sur lui face à la guerre d’agression russe.