Soudan: la principale base navale visée par une nouvelle attaque de drone

Une attaque de drone a visé la principale base navale du Soudan mercredi, a indiqué une source militaire à l’AFP, après des frappes sur d’autres sites stratégiques de Port-Soudan, siège provisoire du gouvernement soudanais.Depuis avril 2023, ce pays d’Afrique de l’Est est dévasté par une guerre opposant le général Abdel Fattah al-Burhane, dirigeant de facto du pays depuis un coup d’Etat en 2021, et son ancien adjoint, le général Mohamed Hamdane Daglo, à la tête des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR).Longtemps épargnée, la ville de Port-Soudan (est), plaque tournante de l’aide humanitaire qui abrite des agences de l’ONU et des milliers de déplacés, est depuis dimanche la cible de frappes que l’armée attribue aux FSR avec des “armes stratégiques et sophistiquées” fournies par les Emirats Arabes Unis.Mercredi matin, des drones “ont attaqué la base Flamingo et les missiles anti-aériens sont entrés en action”, a indiqué la source militaire sous couvert d’anonymat.A l’aube, un correspondant de l’AFP a entendu une série d’explosions dans la zone du port et vu une colonne de fumée s’élever du secteur de la base.La veille, des frappes également attribuées par l’armée aux FSR avaient endommagé des infrastructures stratégiques, notamment l’aéroport civil, le dernier encore opérationnel dans le pays, une base militaire, une station électrique et des dépôts de carburant à Port-Soudan, principal port du pays.Depuis la fin avril, la ville d’Atbara, capitale de l’État du Nil, souffre d’une panne de courant majeure après une attaque de drone ayant endommagé la centrale électrique, “perturbant gravement l’approvisionnement en oxygène dans les hôpitaux locaux”, selon Médecins Sans Frontières (MSF).”Les attaques contre les infrastructures critiques, telles que les centrales électriques, ont un impact dévastateur sur la santé des communautés locales et limitent gravement la capacité d’un système de santé déjà surchargé”, a déclaré Marta Cazorla, coordinatrice des urgences de MSF au Soudan.- “Lien vital” -A près de 600 kilomètres plus au sud, “trois drones ont tenté de frapper des installations aéroportuaires” à Kassala, ville tenue par l’armée, près de la frontière avec l’Erythrée, a rapporté mercredi une source sécuritaire.Les frappes font craindre une interruption de l’aide humanitaire au Soudan, où la famine a déjà été déclarée dans certaines régions et où près de 25 millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire grave.Tom Fletcher, responsable des secours de l’ONU, s’est déclaré “très préoccupé” par les frappes de drones sur Port-Soudan, “point d’entrée clé pour l’aide” humanitaire.L’ONU redoute de voir s’aggraver “les souffrances humaines dans ce qui est déjà la plus grande crise humanitaire au monde”.La guerre au Soudan a fait des dizaines de milliers de morts et déraciné 13 millions de personnes.- Des drones “disponibles que dans certains pays” -L’attaque de mercredi survient au lendemain de la rupture par le Soudan de ses relations diplomatiques avec les Emirats arabes unis, accusés par Khartoum d’équiper les FSR.Abou Dhabi a toujours nié ces accusations, malgré des rapports d’experts de l’ONU, de responsables politiques américains et d’organisations internationales.Les drones utilisés lors des récentes attaques “ne sont disponibles que dans certains pays” et les autorités “disposent d’informations documentées sur la nature et l’origine de ces armes, qui seront rendues publiques en temps voulu”, a affirmé mercredi le ministère soudanais des Affaires étrangères.Après avoir perdu plusieurs positions dont la capitale Khartoum en mars, les FSR, privées d’aviation, recourent davantage aux drones déployés depuis leurs bases dans la région du Darfour, à quelque 1.500 kilomètres à l’ouest de Port-Soudan. Le but est de couper les approvisionnements de l’armée, selon des experts.L’Egypte voisine, elle aussi dirigée par un pouvoir militaire, reste le principal soutien de l’armée soudanaise et exerce, selon des experts, une influence notable sur le général al-Burhane.Le chef de l’armée s’est également rapproché de la Turquie et de l’Iran, qui lui auraient fourni des drones, contribuant à inverser le cours de la guerre ces derniers mois.La Russie, qui soutenait auparavant les FSR par le biais de son groupe de mercenaires Wagner, a désormais rejoint le camp de l’armée, cherchant à obtenir une base navale sur la mer Rouge près de Port-Soudan.

South Africa launches reform of derelict municipalitiesWed, 07 May 2025 16:08:56 GMT

South African President Cyril Ramaphosa unveiled Wednesday a plan to revive South Africa’s flagging local governments, weeks after publicly criticising the state of the financial capital Johannesburg as it prepares to host the G20 summit in November.Africa’s most industrialised economy is divided into more than 250 municipalities, where basic services such as water and waste …

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Les Bourses européennes terminent en baisse

Les Bourses européennes ont terminé en repli mercredi, attendant des évolutions sur le front des négociations commerciales entre les Etats-Unis et leurs principaux partenaires, à quelques heures d’un rendez-vous avec la banque centrale américaine (Fed).La Bourse de Paris a cédé 0,91%, Londres a reculé de 0,44% et Francfort de 0,58%.

Cinéma: face aux menaces de Trump, la France défend son exception culturelle

Place forte de la production cinématographique en Europe, la France a affirmé mercredi son souhait de défendre son exception culturelle face aux menaces américaines d’imposer des droits de douane sur les films étrangers. Saluant la présence massive de films français au prochain Festival de Cannes (39 sur 107 longs-métrages en sélection officielle), la ministre de la Culture Rachida Dati y a vu “la preuve que notre système (était) redoutablement efficace et qu’il (fallait) le préserver”. “Il faut le défendre coûte que coûte”, a-t-elle ajouté en recevant à son ministère des cinéastes et producteurs représentés au 78e festival cannois, qui ouvre ses portes mardi.Le cinéma mondial est en ébullition depuis que le président Donald Trump a agité dimanche la menace de taxer à 100% les films étrangers afin de sauver une industrie américaine qui serait, selon lui, “en train de mourir à une vitesse fulgurante”.La menace a notamment eu un fort écho en France, dont le modèle unique de financement du cinéma est déjà dans le collimateur de l’administration américaine qui y voit une “pratique commerciale déloyale”. En France, les diffuseurs (chaînes de télévision et plateformes) sont contraints de consacrer une part de leur chiffre d’affaires au financement de productions nationales.Avec 231 films produits en 2024, ce mécanisme a permis à la production française de retrouver son niveau d’avant-Covid, selon les chiffres du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC). L’année dernière, la France a par ailleurs affiché une progression du nombre d’entrées en salle (181,3 millions) par rapport à 2023, alors que tous les grands pays d’Europe et les Etats-Unis sont en baisse.”Le cinéma doit échapper aux pures lois du marché”, a estimé Mme Dati mercredi, consciente toutefois que ce modèle avait ses détracteurs.”De l’autre côté de l’Atlantique, de puissants acteurs de cette industrie sont hostiles à cette exception culturelle française”, a noté la ministre. “On pourrait s’inquiéter de l’alignement de cet agenda avec celui de la nouvelle administration américaine mais je ne suis pas inquiète”. – Fébrilité -Présente à ses côtés, la présidente du Festival de Cannes Iris Knobloch a appelé à “protéger (ce système) plus que jamais”. “Il y a toujours des jalousies et j’espère que ce système va perdurer”, a-t-elle précisé à l’AFP, ajoutant que “le bien-être du cinéma français montre que ce système est très vertueux”.En France comme ailleurs dans le monde, les menaces de Donald Trump provoquent toutefois un accès de fébrilité. Quelles qu’en soient les modalités, encore très floues à ce stade, un frein à l’entrée des films français aux Etats-Unis aurait déjà un impact comptable. Selon les données d’Unifrance, ils ont réalisé 4,6% de leurs entrées à l’étranger aux Etats-Unis et au Canada anglophone en 2024, un des dix premiers marchés.Mais la perspective d’une guerre commerciale dans le 7e art fait surtout craindre une fragilisation d’une industrie cinématographique toujours convalescente après les années Covid et sous la concurrence constante des plateformes de streaming. “Il ne faut pas que l’incertitude paralyse le cinéma mondial”, a déclaré Mme Knobloch à l’AFP. Dans la matinée sur France inter, Rachida Dati s’était montrée rassurante en assurant qu’elle n’était pas inquiète pour le 7e art français.”Je ne suis pas inquiète pour notre cinéma, notre industrie du cinéma, je pense que les Américains le sont beaucoup plus”, a-t-elle ajouté, en référence au fait que des droits de douane sur des films tournés à l’étranger pourraient d’abord augmenter les coûts de production d’Hollywood.”Finalement c’est toute l’industrie américaine qui serait pénalisée et pas la nôtre”, a-t-elle ensuite déclaré.Sous couvert d’anonymat, un acteur de la filière française considère toutefois que les menaces du président Trump sont annonciateurs de turbulences. “C’est le signe que la guerre est déclarée” contre le modèle européen, pronostique cette source. 

Yémen: les attaques contre les navires israéliens vont continuer, selon un responsable houthi

Les Houthis vont poursuivre leurs attaques contre les navires israéliens au large du Yémen, route maritime cruciale pour le commerce mondial, a déclaré mercredi un responsable du groupe yéménite, malgré le cessez-le-feu conclu avec Washington mettant fin à des semaines de violentes frappes américaines.Un jour après avoir accepté de cesser de viser les navires américains, un haut responsable houthi a déclaré à l’AFP qu’Israël était exclu de l’accord de cessez-le-feu.”Les voies maritimes sont sûres pour tous les navires internationaux, sauf les navires israéliens”, a affirmé à l’AFP Abdoulmalik Alejri, ajoutant que les navires israéliens n’avaient pas transité par la mer Rouge depuis un certain temps. “Israël ne fait pas partie de l’accord, il ne concerne que les navires américains et les autres navires”, a-t-il précisé.  Affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, les Houthis ont revendiqué des dizaines d’attaques de missiles et de drones contre Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien à Gaza. Ils ont aussi attaqué des navires qu’ils estiment liés à Israël au large du Yémen, notamment en mer Rouge, par où transite environ 12% du commerce mondial.- “Liberté de navigation” -Les Houthis ont élargi leur campagne en ciblant des navires liés aux Etats-Unis et au Royaume-Uni en riposte aux bombardements lancés depuis janvier 2024 par ces deux pays au Yémen. Sous la présidence de Donald Trump, les Etats-Unis ont intensifié leurs frappes contre les rebelles yéménites depuis le 15 mars. Les Etats-Unis et les Houthis sont parvenus à un accord de cessez-le-feu, a indiqué mardi le médiateur omanais après l’annonce par le président Donald Trump de l’arrêt des frappes américaines contre ces insurgés soutenus par Téhéran. “A l’avenir, aucune des deux parties ne prendra pour cible l’autre, y compris les navires américains, en mer Rouge et dans le détroit de Bab al-Mandeb”, au large du Yémen, a déclaré mardi le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr al-Boussaïdi. Le cessez-le-feu permettra de “garantir la liberté de navigation et la fluidité du commerce maritime international”, a-t-il précisé.Donald Trump avait déclaré plus tôt que les Houthis avaient “capitulé” et promis que les bombardements américains au Yémen allaient cesser avec “effet immédiat”.”Les Houthis ont annoncé (…) qu’ils ne voulaient plus se battre (…) nous arrêterons les bombardements, et ils ont capitulé”, a-t-il déclaré à la Maison Blanche.”Ils disent qu’ils ne feront plus exploser de navires, et c’était notre objectif”, a déclaré le président américain.- Contacts indirects -Le cessez-le-feu est intervenu après plusieurs semaines de violents bombardements américains visant à dissuader les attaques des Houthis contre la navigation. Ces frappes américaines ont fait 300 morts, selon un décompte de l’AFP basé sur les chiffres fournis par les Houthis.Le Pentagone a indiqué fin avril avoir frappé plus de 1.000 cibles au Yémen depuis le 15 mars, “tuant des combattants et des dirigeants houthis”.Oman joue également le rôle de médiateur entre Washington et Téhéran dans les discussions en cours sur le dossier du nucléaire iranien, ce qui a “offert une opportunité en facilitant la transmission de messages”, a déclaré M. Alejri.Il a précisé toutefois que les deux dossiers ne sont pas liés et que les discussions avec les Etats-Unis ont été indirectes, avec Oman jouant le rôle de médiateur.L’Iran a salué mercredi “l’arrêt de l’agression américaine”, après l’annonce du cessez-le-feu entre Washington et les Houthis. L’Arabie saoudite, autre poids lourd de la région et voisin du Yémen, s’est félicitée d’un accord visant à “protéger la navigation et le commerce internationaux.”L’annonce de l’accord est intervenue quelques heures après des bombardements aériens israéliens qui ont détruit l’aéroport international de la capitale yéménite Sanaa et fait trois morts, selon les rebelles.”L’agression israélienne contre l’aéroport de Sanaa a causé des pertes d’environ 500 millions de dollars”, a déclaré son directeur général, Khaled al-Shayef, à la chaîne de télévision des rebelles, al-Massirah, ajoutant que “l’ennemi avait détruit les terminaux de l’aéroport”.Les Houthis appartiennent, aux côtés du Hamas palestinien et du Hezbollah libanais, à ce que l’Iran désigne comme “l’axe de la résistance” contre Israël. Téhéran dément néanmoins fournir une aide militaire aux Houthis.

Yémen: les attaques contre les navires israéliens vont continuer, selon un responsable houthi

Les Houthis vont poursuivre leurs attaques contre les navires israéliens au large du Yémen, route maritime cruciale pour le commerce mondial, a déclaré mercredi un responsable du groupe yéménite, malgré le cessez-le-feu conclu avec Washington mettant fin à des semaines de violentes frappes américaines.Un jour après avoir accepté de cesser de viser les navires américains, un haut responsable houthi a déclaré à l’AFP qu’Israël était exclu de l’accord de cessez-le-feu.”Les voies maritimes sont sûres pour tous les navires internationaux, sauf les navires israéliens”, a affirmé à l’AFP Abdoulmalik Alejri, ajoutant que les navires israéliens n’avaient pas transité par la mer Rouge depuis un certain temps. “Israël ne fait pas partie de l’accord, il ne concerne que les navires américains et les autres navires”, a-t-il précisé.  Affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens, les Houthis ont revendiqué des dizaines d’attaques de missiles et de drones contre Israël depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas palestinien à Gaza. Ils ont aussi attaqué des navires qu’ils estiment liés à Israël au large du Yémen, notamment en mer Rouge, par où transite environ 12% du commerce mondial.- “Liberté de navigation” -Les Houthis ont élargi leur campagne en ciblant des navires liés aux Etats-Unis et au Royaume-Uni en riposte aux bombardements lancés depuis janvier 2024 par ces deux pays au Yémen. Sous la présidence de Donald Trump, les Etats-Unis ont intensifié leurs frappes contre les rebelles yéménites depuis le 15 mars. Les Etats-Unis et les Houthis sont parvenus à un accord de cessez-le-feu, a indiqué mardi le médiateur omanais après l’annonce par le président Donald Trump de l’arrêt des frappes américaines contre ces insurgés soutenus par Téhéran. “A l’avenir, aucune des deux parties ne prendra pour cible l’autre, y compris les navires américains, en mer Rouge et dans le détroit de Bab al-Mandeb”, au large du Yémen, a déclaré mardi le ministre omanais des Affaires étrangères, Badr al-Boussaïdi. Le cessez-le-feu permettra de “garantir la liberté de navigation et la fluidité du commerce maritime international”, a-t-il précisé.Donald Trump avait déclaré plus tôt que les Houthis avaient “capitulé” et promis que les bombardements américains au Yémen allaient cesser avec “effet immédiat”.”Les Houthis ont annoncé (…) qu’ils ne voulaient plus se battre (…) nous arrêterons les bombardements, et ils ont capitulé”, a-t-il déclaré à la Maison Blanche.”Ils disent qu’ils ne feront plus exploser de navires, et c’était notre objectif”, a déclaré le président américain.- Contacts indirects -Le cessez-le-feu est intervenu après plusieurs semaines de violents bombardements américains visant à dissuader les attaques des Houthis contre la navigation. Ces frappes américaines ont fait 300 morts, selon un décompte de l’AFP basé sur les chiffres fournis par les Houthis.Le Pentagone a indiqué fin avril avoir frappé plus de 1.000 cibles au Yémen depuis le 15 mars, “tuant des combattants et des dirigeants houthis”.Oman joue également le rôle de médiateur entre Washington et Téhéran dans les discussions en cours sur le dossier du nucléaire iranien, ce qui a “offert une opportunité en facilitant la transmission de messages”, a déclaré M. Alejri.Il a précisé toutefois que les deux dossiers ne sont pas liés et que les discussions avec les Etats-Unis ont été indirectes, avec Oman jouant le rôle de médiateur.L’Iran a salué mercredi “l’arrêt de l’agression américaine”, après l’annonce du cessez-le-feu entre Washington et les Houthis. L’Arabie saoudite, autre poids lourd de la région et voisin du Yémen, s’est félicitée d’un accord visant à “protéger la navigation et le commerce internationaux.”L’annonce de l’accord est intervenue quelques heures après des bombardements aériens israéliens qui ont détruit l’aéroport international de la capitale yéménite Sanaa et fait trois morts, selon les rebelles.”L’agression israélienne contre l’aéroport de Sanaa a causé des pertes d’environ 500 millions de dollars”, a déclaré son directeur général, Khaled al-Shayef, à la chaîne de télévision des rebelles, al-Massirah, ajoutant que “l’ennemi avait détruit les terminaux de l’aéroport”.Les Houthis appartiennent, aux côtés du Hamas palestinien et du Hezbollah libanais, à ce que l’Iran désigne comme “l’axe de la résistance” contre Israël. Téhéran dément néanmoins fournir une aide militaire aux Houthis.

India captain Rohit Sharma announces retirement from Test cricket

India captain Rohit Sharma on Wednesday announced his retirement from Test cricket ahead of the team’s tour of England starting next month, but will continue to play the shorter 50-over format.In 67 Tests, Rohit scored 4,301 runs including 12 centuries with a best of 212 against South Africa in 2019 and an average of over 40. He captained India in 24 Tests with 12 wins, nine defeats and three draws.”Hello everyone I would just like to share that I am retiring from Test cricket,” the 38-year-old Rohit wrote on Instagram.”It’s been an absolute honour to represent my country in whites. Thank you for all the love and support over the years. I will continue to represent India in the ODI format.”Rohit, who quit T20 internationals alongwith Virat Kohli after India’s World Cup triumph in Barbados last year, recently led the team to an ODI Champions Trophy title in Dubai.India will begin a five-Test series in England in June-July and the team now needs a new Test skipper.India’s cricket board said, “Rohit Sharma has informed us of his decision to retire from Test cricket. A legend of the red-ball game.””We will soon announce a new Test captain — it’s time for the next generation to rise.”Rohit’s last Test was in Melbourne last year when India lost to Australia by 184 runs.He stood down as captain in the fifth Test in Sydney due to poor batting form but India went on to lose the match and the five-match series 2-1.Jasprit Bumrah was Rohit’s deputy in Australia and led the team in the first Test, which Rohit missed due to the birth of his second child, and the final Test.- ‘Priceless’ -Rohit managed just 31 runs in five innings of his three outings Down Under and the Indian media speculated that he could retire from Test cricket after the series.The captain, nicknamed ‘Hitman’ for getting to big scores quickly — especially in white-ball, also had a poor home series against Bangladesh and New Zealand late last year.Rohit’s India won both the Tests against Bangladesh, but New Zealand handed a rare 3-0 whitewash to the hosts.Rohit began his Test career in 2013, but it was five years later that he came into his own in the five-day format as a swashbuckling opener and later took over as captain from Kohli.”As player and as captain, you were a joy and India will say a big thank you to you,” veteran commentator Harsha Bhogle posted on social media.”That century in Chennai, that one at the Oval, both priceless. You walked out against South Africa to open as if you had done it all your life. Will look forward to watching and, hopefully calling, some more great moments in your ODI career.”After India’s defeat in Australia, the Board of Control for Cricket in India (BCCI) mandated national players to participate in the domestic Ranji Trophy, forcing Rohit and Kohli to take field.Rohit’s batting woes continued as he made three and 28 against Jammu and Kashmir, but he was retained as captain of the ODI team.Rohit is currently playing the Indian Premier League T20 tournament with Mumbai Indians and has endured a patchy season so far, scoring 300 runs in 11 matches.

Mali junta suspends political parties’ activities ‘until further notice’Wed, 07 May 2025 15:56:08 GMT

Mali’s junta on Wednesday suspended political parties’ activities “until further notice for reasons of public order”, as the opposition protests against the military government’s ramped-up crackdown on dissent.Read out on national television and radio, the decree comes ahead of a rally called for Friday by parties critical of the junta against their dissolution, as well …

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Macron accueille le président syrien pour lui demander de protéger “tous les civils”

Emmanuel Macron a accueilli mercredi à Paris le président syrien Ahmad al-Chareh pour une première visite controversée en Occident, et doit lui demander de châtier les responsables d'”exactions” qui ternissent l’image de la coalition islamiste au pouvoir depuis la chute de Bachar al-Assad en décembre.Le dirigeant de transition de Syrie est arrivé à l’Elysée où le président français l’a salué d’une poignée de mains dans la cour d’honneur, en présence de la garde républicaine, avant une rare conférence de presse conjointe.Auparavant, il a rencontré l’homme qui avait été à l’origine de milliers de photos de corps suppliciés dans des centres de détention syriens sous le règne de Bachar al-Assad. Aujourd’hui installé en France, Farid al-Mazhan, alias César, avait témoigné devant une commission du Congrès américain, et ses photos ont inspiré une loi américaine adoptée en 2020 -la loi César-, instaurant des sanctions économiques contre le régime syrien.Emmanuel Macron est vivement critiqué par la droite et l’extrême droite françaises pour l’invitation faite à cet homme au passé jihadiste.”Stupeur et consternation”, a réagi la leader du Rassemblement national Marine Le Pen. “On ne reçoit pas des dirigeants qui sont d’anciens terroristes membres d’organisations qui veulent attaquer la France”, a également affirmé le chef des députés Les Républicains Laurent Wauquiez.- “Pas de complaisance” -Des massacres qui ont fait 1.700 morts, majoritairement alaouites, dans l’ouest du pays en mars, de récents combats avec des druzes, et des sévices documentés par des ONG ont soulevé des doutes sur la capacité des nouvelles autorités à contrôler certains combattants extrémistes qui leur sont affiliés.Plusieurs dizaines de membres des minorités religieuses syriennes ont d’ailleurs manifesté mercredi la place de la République, à Paris, sous le drapeau syrien.”Jolani dégage! Dégage de France, dégage de Syrie!”, ont crié les manifestants issus des communautés alaouites, druzes, chrétiennes ou encore sunnites, en utilisant l’ex-nom de guerre d’Ahmad al-Chareh.”Ce n’est pas parce qu’on a changé de tenue qu’on est devenu quelqu’un de fréquentable”, a jugé Issa Ali, président du Collectif franco-alaouite à l’origine de la manifestation.Mais, en recevant le dirigeant syrien, Emmanuel Macron espère contribuer à accompagner dans la bonne voie la transition vers “une Syrie libre, stable, souveraine et respectueuse de toutes les composantes de la société syrienne”, a dit l’Elysée.La présidence française a balayé toute “naïveté”, assurant connaître “le passé” de certains dirigeants syriens et exiger qu’il n’y ait “pas de complaisance” avec les “mouvements terroristes”.Le chef de l’Etat demandera donc à son invité “de faire en sorte que la lutte contre l’impunité soit une réalité” et que “les responsables d’exactions contre les civils” soient “jugés”, a ajouté son entourage.”Notre demande, c’est celle d’une protection de tous les civils, quelle que soit leur origine et quelle que soit leur religion”, a-t-on insisté.- Levée des sanctions -“Ne pas engager le dialogue avec ces autorités de transition”, “ce serait irresponsable vis-à-vis des Français et surtout ce serait tapis rouge pour Daech”, a aussi estimé mardi le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.Selon lui, “la lutte contre le terrorisme, la maîtrise des flux migratoires, la maîtrise des trafics de drogue”, ainsi que “l’avenir du Liban” voisin, “tout cela se joue en Syrie”.Depuis qu’elle a pris le pouvoir en décembre, la coalition islamiste tente de présenter un visage rassurant à la communauté internationale qui l’exhorte à respecter les libertés et protéger les minorités.En jeu, la levée des sanctions imposées au pouvoir de Bachar al-Assad, qui pèsent lourdement sur l’économie du pays, exsangue après 14 années de guerre civile, avec, selon l’ONU, 90% des Syriens vivant sous le seuil de pauvreté.Le président al-Chareh, longtemps chef rebelle du groupe Hayat Tahrir al-Sham issu de l’ex-branche d’Al-Qaïda en Syrie, est lui-même toujours visé par une interdiction de voyager de l’ONU. Paris a dû demander une dérogation auprès des Nations unies pour permettre sa venue.Mais si elle a soutenu la levée de certaines sanctions sectorielles de l’Union européenne, et juge que les mesures punitives américaines “pèsent sur la capacité des autorités de transition à se lancer dans une logique de reconstruction et à attirer des investissements étrangers”, la France estime que le moment n’est pas encore venu de retirer le dirigeant syrien de la liste des sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU.fff-gbh-lum-far/jmt/as