D’un petit salon à une marque internationale : la marque Franck Provost fête ses cinquante ans

D’un salon de coiffure à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines au numéro un mondial de la coiffure, Franck Provost fête les 50 ans de sa marque cette année alors que la troisième génération fait son entrée dans le groupe.Franck Provost, 79 ans, est fondateur et président du conseil de surveillance de Provalliance (Franck Provost, Jean Louis David, Saint Algue…) qui compte aujourd’hui plus de 3.300 salons et boutiques répartis dans près de 30 pays, 17 marques, 18.000 collaborateurs et accueille chaque année plus de 50 millions de clients à travers le monde.Provalliance a réalisé en 2024 un chiffre d’affaires de 541 millions d’euros en hausse de 6% sur un an et vise une progression de 7,6% en 2025.L’histoire a commencé le 15 avril 1975, lorsque Franck Provost — Yvon de son vrai prénom — natif de la Sarthe, ouvre son premier salon de coiffure à Saint-Germain-en-Laye. La même année, naît son fils Fabien, aujourd’hui directeur général et artistique de la marque Franck Provost.”Quoi faire à Saint-Germain en Laye pour me différencier des autres?”, se souvient Franck Provost, “j’étais champion de France et champion du monde [de coiffure], mais ça ne suffisait pas. Donc j’ai instauré deux choses qui ont été une base de la réussite” : le sans rendez-vous et la journée continue.Quatre ans plus tard, il ouvre un salon à Paris, avenue Franklin-Roosevelt, dans le très chic 8e arrondissement. S’ensuivent des séances de coiffure pour des grands couturiers, le cinéma et la télévision. Il devient “le coiffeur des stars”.Pour fidéliser ses coiffeurs, Franck Provost, propriétaire des salons, leur propose d’en acheter des parts tous les ans jusqu’à 49%. “De 1975 à 1995, on a monté une vingtaine de salons comme ça, avec des collaborateurs”, explique-t-il. “En 1995, je me dis, c’est bien, mais ça va pas assez vite donc on va ouvrir à la franchise”, raconte-t-il. – “Les deux Franck” -Mais ça ne va pas encore “assez vite” pour l’entrepreneur qui décide alors de racheter des “petits groupes” de salons de coiffure. Il commence par “La coifferie”, un groupe de salons “vieillissants”, situés dans des galeries marchandes.”Je me suis toujours dit que je pouvais prendre des risques et si je me plante, je repars avec mon peigne et mes ciseaux n’importe où dans le monde”, s’amuse-t-il. De fil en aiguille, “on a racheté d’autres groupes”, ajoute le coiffeur. En 2008 est créé Provalliance, né de la fusion entre le groupe Franck Provost et les activités en Europe continentale du groupe américain Regis Corporation, qui avait racheté Jean-Louis David et Coiff&Co. En mars 2021, Core Equity prend le contrôle de Provalliance et en devient actionnaire majoritaire, aux côtés des familles Provost pour la coiffure et Wincker pour la distribution.En 2021, Franck Provost a été mis en examen pour “abus de biens sociaux” et “blanchiment en bande organisée de fraude fiscale aggravée” dans une affaire de logiciel de caisse frauduleux. “La justice fera son travail et verra que je n’y suis absolument pour rien dans cette histoire”, a déclaré Franck Provost au journal Maine Libre.Depuis un an, la troisième génération a fait son entrée discrète dans le groupe avec son petit-fils, Thomas, 23 ans, en apprentissage dans un salon. La fille de Franck Provost, Olivia, 51 ans, après avoir travaillé une trentaine d’années dans le groupe, a choisi de lancer sa propre marque, Niwel Beauty.Fabien, dont le bureau communique avec celui de son père au siège de Provalliance, prend peu à peu le relais, à tel point que Sharon Stone, fidèle cliente, dans une vidéo enregistrée pour les 50 ans de la marque félicite “les deux Franck”.Dans un marché de la coiffure qui représente 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France, Provalliance prévoit d’ouvrir 50 nouveaux salons franchisés en 2025 et 70 en 2026.  

D’un petit salon à une marque internationale : la marque Franck Provost fête ses cinquante ans

D’un salon de coiffure à Saint-Germain-en-Laye dans les Yvelines au numéro un mondial de la coiffure, Franck Provost fête les 50 ans de sa marque cette année alors que la troisième génération fait son entrée dans le groupe.Franck Provost, 79 ans, est fondateur et président du conseil de surveillance de Provalliance (Franck Provost, Jean Louis David, Saint Algue…) qui compte aujourd’hui plus de 3.300 salons et boutiques répartis dans près de 30 pays, 17 marques, 18.000 collaborateurs et accueille chaque année plus de 50 millions de clients à travers le monde.Provalliance a réalisé en 2024 un chiffre d’affaires de 541 millions d’euros en hausse de 6% sur un an et vise une progression de 7,6% en 2025.L’histoire a commencé le 15 avril 1975, lorsque Franck Provost — Yvon de son vrai prénom — natif de la Sarthe, ouvre son premier salon de coiffure à Saint-Germain-en-Laye. La même année, naît son fils Fabien, aujourd’hui directeur général et artistique de la marque Franck Provost.”Quoi faire à Saint-Germain en Laye pour me différencier des autres?”, se souvient Franck Provost, “j’étais champion de France et champion du monde [de coiffure], mais ça ne suffisait pas. Donc j’ai instauré deux choses qui ont été une base de la réussite” : le sans rendez-vous et la journée continue.Quatre ans plus tard, il ouvre un salon à Paris, avenue Franklin-Roosevelt, dans le très chic 8e arrondissement. S’ensuivent des séances de coiffure pour des grands couturiers, le cinéma et la télévision. Il devient “le coiffeur des stars”.Pour fidéliser ses coiffeurs, Franck Provost, propriétaire des salons, leur propose d’en acheter des parts tous les ans jusqu’à 49%. “De 1975 à 1995, on a monté une vingtaine de salons comme ça, avec des collaborateurs”, explique-t-il. “En 1995, je me dis, c’est bien, mais ça va pas assez vite donc on va ouvrir à la franchise”, raconte-t-il. – “Les deux Franck” -Mais ça ne va pas encore “assez vite” pour l’entrepreneur qui décide alors de racheter des “petits groupes” de salons de coiffure. Il commence par “La coifferie”, un groupe de salons “vieillissants”, situés dans des galeries marchandes.”Je me suis toujours dit que je pouvais prendre des risques et si je me plante, je repars avec mon peigne et mes ciseaux n’importe où dans le monde”, s’amuse-t-il. De fil en aiguille, “on a racheté d’autres groupes”, ajoute le coiffeur. En 2008 est créé Provalliance, né de la fusion entre le groupe Franck Provost et les activités en Europe continentale du groupe américain Regis Corporation, qui avait racheté Jean-Louis David et Coiff&Co. En mars 2021, Core Equity prend le contrôle de Provalliance et en devient actionnaire majoritaire, aux côtés des familles Provost pour la coiffure et Wincker pour la distribution.En 2021, Franck Provost a été mis en examen pour “abus de biens sociaux” et “blanchiment en bande organisée de fraude fiscale aggravée” dans une affaire de logiciel de caisse frauduleux. “La justice fera son travail et verra que je n’y suis absolument pour rien dans cette histoire”, a déclaré Franck Provost au journal Maine Libre.Depuis un an, la troisième génération a fait son entrée discrète dans le groupe avec son petit-fils, Thomas, 23 ans, en apprentissage dans un salon. La fille de Franck Provost, Olivia, 51 ans, après avoir travaillé une trentaine d’années dans le groupe, a choisi de lancer sa propre marque, Niwel Beauty.Fabien, dont le bureau communique avec celui de son père au siège de Provalliance, prend peu à peu le relais, à tel point que Sharon Stone, fidèle cliente, dans une vidéo enregistrée pour les 50 ans de la marque félicite “les deux Franck”.Dans un marché de la coiffure qui représente 6 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France, Provalliance prévoit d’ouvrir 50 nouveaux salons franchisés en 2025 et 70 en 2026.  

Matildas captain Kerr welcomes first child

Australia women’s football captain Sam Kerr and her partner Kristie Mewis announced Thursday the birth of their first child. The footballing couple, who are due to be married later this December, announced that they were expecting a baby back in November. “Our little man is here. Jagger Mewis-Kerr,” the pair said in an Instagram post on Thursday. Matildas star Kerr is a striker for English Women’s Super League champions Chelsea, while United States international Mewis plays for London rivals West Ham.  In February, Kerr was found not guilty of causing racially aggravated harassment after calling a British police officer “stupid and white” following a drunken night out.However, the judge at the court in London said the 31-year-old’s “behaviour contributed significantly to the bringing of this allegation”.

Israel forces close UN schools in annexed east Jerusalem

The UN agency for Palestinian refugees said Thursday that Israel closed three of its schools in annexed east Jerusalem, months after an Israeli ban on its activities took effect.An AFP photographer at the scene reported that a closure notice in Hebrew was left at the entrance of at least one of the schools, and UNRWA said at least one of its staff members was detained.”From May 8, 2025, it will be prohibited to operate educational institutions, or employ teachers, teaching staff or any other staff, and it will be forbidden to accommodate students or allow the entry of students into this institution,” the closure order read. UNRWA’s director in the West Bank, Roland Friedrich, told AFP that “heavily armed” forces surrounded three UNRWA schools in east Jerusalem’s Shuafat camp at 9:00 am on Thursday.Friedrich added that 550 pupils aged six to 15 were present when the closure was enforced, calling the event “a traumatising experience for young children who are at immediate risk of losing their access to education.”Friedrich said that police were being deployed at three separate schools in other parts of east Jerusalem, which has been annexed by Israel since 1967.An AFP photographer reported that Israeli forces removed children from two schools, many of whom left in tears, and posted a closure notice stating that the schools were operating illegally without “authorisation”.Several young pupils, some visibly moved and others shocked, hugged in front of the school before leaving the premises.The Palestinian Authority condemned the move in a statement to AFP, calling it a “violation of children’s right to education”.In a statement, its ministry of education called the closures a “crime” and urged international institutions to “to assume their responsibilities and defend the right of refugee children to a free and safe education”.UNRWA has provided support for Palestinian refugees around the Middle East for more than 70 years, but has long clashed with Israeli officials, who have repeatedly accused it of undermining the country’s security.- ‘Wholly inadequate’ -At the end of January, Israeli legislation came into force severing ties with the agency, which is banned from operating on Israeli soil.Contact between it and Israeli officials is also forbidden.Israel has accused UNRWA of providing cover for Hamas militants, claiming that some of the agency’s employees took part in Hamas’s October 7, 2023 assault on Israel which sparked the war in Gaza.A series of investigations, including one led by former French foreign minister Catherine Colonna, found some “neutrality-related issues” at UNRWA, but stressed Israel had not provided evidence for its headline allegation.Palestinian human rights group Adalah reported that Israeli police were raiding six UNRWA-run schools in east Jerusalem.The organisation filed a petition with Israel’s Supreme Court in mid-January arguing the new legislation against UNRWA violated “fundamental human rights and Israel’s obligations under international law”.The Supreme Court rejected its request for the legislation to be suspended.In April, Adalah demanded a halt to the closure orders on UNRWA-run schools at the Supreme Court. The state responded that the Jerusalem municipality was offering alternative schooling and the court rejected the NGO’s motion.Adalah called the proposed alternatives “wholly inadequate”.Israel claims all of Jerusalem as its capital, though the United Nations considers its annexation of the city’s eastern sector illegal.The Palestinians see east Jerusalem as the capital of a future independent state.

Lebanon reports one dead in strikes that Israeli says targeted Hezbollah

Lebanon said heavy Israeli strikes on the country’s south on Thursday killed one person as the Israeli army said it struck Hezbollah “infrastructure”, the latest raids despite a fragile ceasefire.Israel has continued to launch regular strikes on its neighbour despite the November truce which sought to halt more than a year of hostilities with the Iran-backed Hezbollah militant group including two months of full-blown war.Lebanon’s state-run National News Agency (NNA) said “Israeli warplanes carried out a wide-scale aerial aggression on the Nabatiyeh region, launching a series of heavy raids in two waves” targeting hills and valleys in the area, located around 12 kilometres (seven miles) from the border.The health ministry said the strikes killed one person and wounded eight others, adding that the toll was provisional.The Israeli military said it struck “a terrorist infrastructure site” used by Hezbollah “to manage its fire and defence array”.It said it struck Hezbollah operatives, “weapons, and tunnel shafts”, adding that “this infrastructure is part of a significant underground project that… has been rendered inoperable” by Israeli military raids.It called the site and activities there “a blatant violation of the understanding between Israel and Lebanon”.The NNA said “huge explosions… echoed in most areas of Nabatiyeh and the south”, causing “terror and panic” among residents, who rushed to pick up their children from school, as ambulances headed to the targeted areas.An AFP photographer saw smoke rising from hills in the region.- ‘Children were scared’ -“We heard a loud strike, about 10 consecutive blows,” said Jamal Sabbagh, a 29-year-old doctor who was giving schoolchildren health checks near the city of Nabatiyeh.”Some of the children were scared and there was panic, the teachers were also frightened,” he told AFP.The raids come a day after an Israeli strike killed a commander from Palestinian militant group Hamas in the southern city of Sidon.Under the ceasefire agreement, Hezbollah was to pull back its fighters north of Lebanon’s Litani River, some 30 kilometres (20 miles) from the Israeli border.Israel was to pull all its forces from Lebanon, but it has kept troops in five areas that it deems “strategic”.The Lebanese army has been deploying in the area as the Israeli army has withdrawn and has been dismantling Hezbollah infrastructure there.President Joseph Aoun said late last month that the Lebanese army is now deployed in more than 85 percent of the south and that the sole obstacle to full control across the frontier area was “Israel’s occupation of five border positions”.Lebanon has called on the international community to pressure Israel to end its attacks and withdraw all its troops.Hezbollah, long a dominant force in Lebanon, was heavily weakened in its latest war with Israel.Lebanese authorities have vowed to implement a state monopoly on bearing arms, though Aoun has said disarming Hezbollah is a “delicate” matter that requires dialogue.The November truce was based on a UN Security Council resolution that says Lebanese troops and United Nations peacekeepers should be the only forces in south Lebanon, and calls for the disarmament of all non-state groups.