Chinese fabric exporters anxious for US trade patch-up

Surrounded by samples of silk and glittering tweed in one of China’s largest fabric markets, textiles exporter Cherry said she was anxiously awaiting the result of trade talks with the United States this weekend.Her company, which relies on US customers for around half its client base, is one of many caught in the crosshairs as the standoff between Washington and Beijing has escalated this year. Cherry has already had US orders cancelled, and is desperately hoping the negotiations starting Saturday in Geneva will result in the rolling back of the reciprocal tariffs that make doing business almost impossible.”The situation will be very bad if this continues,” she said, sceptical of claims her industry would be able to weather prolonged levies.”A few months ago I heard people say they’d had many containers (of goods) being cancelled… Some factories have already had to stop production.” Sales to the United States made up 18 percent of China’s total textiles and apparel exports in 2024, according to Moody’s Ratings. A significant proportion of that comes from the eastern manufacturing powerhouse province of Zhejiang, where the labyrinth-like Keqiao China Textile City is based in the city of Shaoxing. With a listed 26,000 shops selling everything from velvet to rayon to fake fur, it is touted as one of the world’s busiest fabric hubs. But customers were few and far between when AFP visited on a day of torrential rain this week, with vendors’ spirits largely dampened too.  “Of course I am afraid,” said one woman surnamed Li, who added that business was already affected by the global turmoil.  “This is my job — I rely on it to support my family… I hope for a good outcome (for the talks).”- ‘Lose-lose scenario’ -The Geneva talks are the first official public engagement between the two sides aimed at resolving the stand-off triggered by US President Donald Trump’s wide-ranging tariffs. The subsequent tit-for-tat means many Chinese goods entering the United States now face duties of 145 percent — with some specific sectors even higher — while Beijing has hit back with 125 percent levies on most US goods.   One seller in Keqiao market described the situation as a “lose-lose scenario”.  Some of her colleagues’ US customers have agreed to pay a 30 percent non-refundable deposit to initiate production, on the understanding that the whole order can be cancelled if the final tariff level after negotiations is still too high. If that happens, everyone will lose money. “We basically don’t dare to take US orders anymore,” said 66-year-old Zhou, standing in front of swaths of khaki in various hues. “The cost price can’t even be covered, especially with such high tariffs added on.”For companies like his daughter’s, which dealt mainly with US clients, “the impact is huge”, he said. “The best outcome would be for everyone to sit down and talk things through — it would be good for everyone, right?” Even the hint of de-escalation has brought some back to the table, with one exporter telling AFP a client who had suspended orders had recently given the go-ahead for production to begin.But at a ski suit workshop in a cross-border e-commerce centre a few kilometres away, 31-year-old Xiao Huilan said a lot of local companies had lost out completing production for orders that had subsequently been reduced or held off. “In the short term, we can manage, but in the long run, businesses can’t sustain it,” she said. “In a trade war, no one really wins. What we hope for is reconciliation, where everyone can coexist and prosper together.”

SNCF: la grève des chefs de bord perturbe peu le trafic TGV

La SNCF a prévu de faire rouler plus de neuf TGV sur dix en France pour le premier jour de la grève des contrôleurs vendredi et a promis de permettre à tous ses clients dont le train a été annulé d’en réserver un autre le jour même, sans frais.Environ 60% des chefs de bord se sont déclarés grévistes sur le TGV vendredi. La SNCF a pourtant assuré “que tous les voyageurs pourront voyager le jour prévu vers leur destination”.Le syndicat SUD-Rail et un collectif de contrôleurs baptisé Collectif national ASCT (CNA) ont appelé à la grève les 9, 10 et 11 mai pour réclamer une augmentation de leur prime de travail et une meilleure anticipation des plannings, trop souvent modifiés à la dernière minute d’après eux.Selon la direction du groupe public, le taux de grévistes devrait dépasser les 60% le samedi, avant un retour au niveau de vendredi le dimanche. Sur l’ensemble du week-end, la direction prévoit un trafic normal à 96% sur les TGV.La plupart des trains pourront rouler grâce au déploiement de volontaires, cadres dans l’entreprise, qui ont reçu des formations spéciales d’une journée pour remplacer les contrôleurs grévistes dans les trains.SNCF Voyageurs a également promis d’offrir à toutes les personnes dont le train a été annulé un bon de réduction de 50% sur leur prochain voyage. Les trains régionaux, qui peuvent circuler sans chef de bord, rouleront eux normalement vendredi et samedi ainsi que les trains Intercités. Le réseau francilien de la SNCF (transilien), qui comprend plusieurs lignes ou portions de RER, doit aussi connaître un trafic normal, a indiqué la SNCF.La CGT-Cheminots, première organisation syndicale à la SNCF, a d’ores et déjà prévu une poursuite de la mobilisation en juin.L’organisation a lancé mercredi un appel à la grève le 4 juin pour les conducteurs, en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont ils bénéficient, le 5 juin pour toutes les catégories de cheminots, avec des revendications portant sur les salaires ou l’amélioration des conditions de travail, et le 11 juin pour les contrôleurs.Au début de cette semaine, une grève des conducteurs à l’appel de la CGT-Cheminots a provoqué des perturbations sur les lignes régionales dans plusieurs régions comme les Hauts-de-France ou l’Ile-de-France.D’après SNCF Voyageurs, “environ neuf TER sur dix auront circulé en France (pendant cette grève), et environ huit Transilien (trains de banlieue parisienne) sur dix, avec des disparités selon les régions ou les lignes”. Mercredi, SUD-Rail revendiquait 40% de conducteurs grévistes dans tout le pays et jusqu’à un train régional sur deux annulé en Ile-de-France.

SNCF: la grève des chefs de bord perturbe peu le trafic TGV

La SNCF a prévu de faire rouler plus de neuf TGV sur dix en France pour le premier jour de la grève des contrôleurs vendredi et a promis de permettre à tous ses clients dont le train a été annulé d’en réserver un autre le jour même, sans frais.Environ 60% des chefs de bord se sont déclarés grévistes sur le TGV vendredi. La SNCF a pourtant assuré “que tous les voyageurs pourront voyager le jour prévu vers leur destination”.Le syndicat SUD-Rail et un collectif de contrôleurs baptisé Collectif national ASCT (CNA) ont appelé à la grève les 9, 10 et 11 mai pour réclamer une augmentation de leur prime de travail et une meilleure anticipation des plannings, trop souvent modifiés à la dernière minute d’après eux.Selon la direction du groupe public, le taux de grévistes devrait dépasser les 60% le samedi, avant un retour au niveau de vendredi le dimanche. Sur l’ensemble du week-end, la direction prévoit un trafic normal à 96% sur les TGV.La plupart des trains pourront rouler grâce au déploiement de volontaires, cadres dans l’entreprise, qui ont reçu des formations spéciales d’une journée pour remplacer les contrôleurs grévistes dans les trains.SNCF Voyageurs a également promis d’offrir à toutes les personnes dont le train a été annulé un bon de réduction de 50% sur leur prochain voyage. Les trains régionaux, qui peuvent circuler sans chef de bord, rouleront eux normalement vendredi et samedi ainsi que les trains Intercités. Le réseau francilien de la SNCF (transilien), qui comprend plusieurs lignes ou portions de RER, doit aussi connaître un trafic normal, a indiqué la SNCF.La CGT-Cheminots, première organisation syndicale à la SNCF, a d’ores et déjà prévu une poursuite de la mobilisation en juin.L’organisation a lancé mercredi un appel à la grève le 4 juin pour les conducteurs, en marge d’une table ronde consacrée à la prime dont ils bénéficient, le 5 juin pour toutes les catégories de cheminots, avec des revendications portant sur les salaires ou l’amélioration des conditions de travail, et le 11 juin pour les contrôleurs.Au début de cette semaine, une grève des conducteurs à l’appel de la CGT-Cheminots a provoqué des perturbations sur les lignes régionales dans plusieurs régions comme les Hauts-de-France ou l’Ile-de-France.D’après SNCF Voyageurs, “environ neuf TER sur dix auront circulé en France (pendant cette grève), et environ huit Transilien (trains de banlieue parisienne) sur dix, avec des disparités selon les régions ou les lignes”. Mercredi, SUD-Rail revendiquait 40% de conducteurs grévistes dans tout le pays et jusqu’à un train régional sur deux annulé en Ile-de-France.

Léon XIV célèbre sa première messe en tant que pape

L’Américain Robert Francis Prevost, devenu jeudi à 69 ans le premier pape américain de l’Histoire sous le nom de Léon XIV, célèbre vendredi une messe dans la chapelle Sixtine avant une série de rendez-vous lors desquels ses paroles et ses gestes seront scrutés.A 11H00 (09H00 GMT), ce pasteur augustinien féru d’histoire chrétienne et de mathématiques célèbrera une messe privée avec les cardinaux, retransmise par les médias du Vatican, au cours de laquelle il prononcera sa première homélie en tant que pape, très attendue.Lors de sa première apparition jeudi soir devant une foule en liesse place Saint-Pierre, Léon XIV s’est adressé aux plus de 1,4 milliard de catholiques: “Que la paix soit avec vous tous!”, ont été ses premiers mots, dans un italien teinté d’accent américain. “Merci au pape François”, décédé le 21 avril à 88 ans, a-t-il aussi lancé, très ému, remerciant ses collègues cardinaux de l’avoir élu.Fidèles et touristes ont salué avec un tonnerre d’applaudissements son apparition sur le balcon de la basilique Saint-Pierre tandis que les cloches sonnaient à toute volée, un peu plus d’une heure après que la fumée blanche fut sortie de la cheminée installée sur le toit de la chapelle Sixtine.Du Liban à l’Espagne en passant par l’Italie, l’UE ou Israël, les réactions internationales se sont multipliées dès l’annonce de son élection.Donald Trump a félicité le nouveau pape, parlant d’un “grand honneur” pour les Etats-Unis tandis que le président français Emmanuel Macron a plaidé pour que le “nouveau pontificat soit porteur de paix et d’espérance”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit espérer que le Vatican continuera à soutenir “moralement et spirituellement” Kiev, et Vladimir Poutine s’est dit certain qu’une coopération constructive se poursuivra entre la Russie et le Vatican.- Consensus -Dans les prochains jours, Léon XIV honorera une série de rendez-vous, dont la prière du Regina Coeli dimanche à 12H00 (10H00 GMT) et rencontrera lundi matin les journalistes au Vatican.Ses premiers faits et gestes seront observés de près: décidera-t-il de vivre à la résidence Sainte-Marthe, comme François, ou reviendra-t-il dans les appartements pontificaux? Quelles seront ses premières décisions?Le natif de Chicago devra rapidement affronter des défis considérables pour une Eglise en perte de vitesse en Europe: finances, lutte contre la pédocriminalité, baisse des vocations… Mais il devra aussi ressouder les différents courants d’une institution où cohabitent des sensibilités culturelles très diverses, entre une Europe sécularisée et des “périphéries” en croissance.Il devra aussi apaiser une institution parfois bousculée par le pontificat de François (2013-2025), ponctué de réformes qui ont fait l’objet de vives critiques internes. Sa connaissance parfaite de l’ensemble de la Curie romaine (appareil administratif du Saint-Siège) devrait l’aider grandement dans sa tâche.Le 267e pape de l’Eglise catholique est le quatrième non italien de suite après le Polonais Jean-Paul II (1978-2005), l’Allemand Benoît XVI (2005-2013) et l’Argentin François.Sous les fresques de Michel-Ange, il a été élu au deuxième jour du conclave, qui s’annonçait très ouvert, du fait notamment des 133 cardinaux présents, un record. Il a réuni une majorité des deux tiers, soit au moins 89 voix.- “Habemus Papam!” -C’est le cardinal “protodiacre”, le Français Dominique Mamberti, qui a prononcé la célèbre formule “Habemus papam” (“nous avons un pape”) et a présenté le successeur de François, près de 24 heures après le début du conclave dans la chapelle Sixtine.Vêtu d’une mozette rouge et d’une étole, des habits liturgiques que François avait abandonnés, Léon XIV a appelé à “construire des ponts par le dialogue, par la rencontre, nous unissant tous pour être un seul peuple, toujours en paix”.Robert Francis Prevost, homme d’écoute et de synthèse, classé parmi les cardinaux modérés, était considéré comme l’un des candidats crédibles pour succéder au pape François, qui l’avait placé à la tête du puissant ministère chargé des nominations de évêques.Les cardinaux ont opté pour la continuité, même si cet Américain, créé cardinal en 2023 par François qui a porté son ascension au Vatican, devrait mettre davantage les formes que son prédécesseur, qui avait bousculé le Saint-Siège avec son exercice du pouvoir personnel, voire cassant.”C’est à la fois une opposition au gouvernement américain et la prise en considération des critères géopolitiques”, a affirmé à l’AFP François Mabille, directeur de l’Observatoire géopolitique du religieux.”Et c’est également, à la fois par le choix de son nom Léon XIV, et par son origine missionnaire, un lien qui est fait avec l’Amérique latine, où il vivait”, a-t-il ajouté.

Léon XIV célèbre sa première messe en tant que pape

L’Américain Robert Francis Prevost, devenu jeudi à 69 ans le premier pape américain de l’Histoire sous le nom de Léon XIV, célèbre vendredi une messe dans la chapelle Sixtine avant une série de rendez-vous lors desquels ses paroles et ses gestes seront scrutés.A 11H00 (09H00 GMT), ce pasteur augustinien féru d’histoire chrétienne et de mathématiques célèbrera une messe privée avec les cardinaux, retransmise par les médias du Vatican, au cours de laquelle il prononcera sa première homélie en tant que pape, très attendue.Lors de sa première apparition jeudi soir devant une foule en liesse place Saint-Pierre, Léon XIV s’est adressé aux plus de 1,4 milliard de catholiques: “Que la paix soit avec vous tous!”, ont été ses premiers mots, dans un italien teinté d’accent américain. “Merci au pape François”, décédé le 21 avril à 88 ans, a-t-il aussi lancé, très ému, remerciant ses collègues cardinaux de l’avoir élu.Fidèles et touristes ont salué avec un tonnerre d’applaudissements son apparition sur le balcon de la basilique Saint-Pierre tandis que les cloches sonnaient à toute volée, un peu plus d’une heure après que la fumée blanche fut sortie de la cheminée installée sur le toit de la chapelle Sixtine.Du Liban à l’Espagne en passant par l’Italie, l’UE ou Israël, les réactions internationales se sont multipliées dès l’annonce de son élection.Donald Trump a félicité le nouveau pape, parlant d’un “grand honneur” pour les Etats-Unis tandis que le président français Emmanuel Macron a plaidé pour que le “nouveau pontificat soit porteur de paix et d’espérance”.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit espérer que le Vatican continuera à soutenir “moralement et spirituellement” Kiev, et Vladimir Poutine s’est dit certain qu’une coopération constructive se poursuivra entre la Russie et le Vatican.- Consensus -Dans les prochains jours, Léon XIV honorera une série de rendez-vous, dont la prière du Regina Coeli dimanche à 12H00 (10H00 GMT) et rencontrera lundi matin les journalistes au Vatican.Ses premiers faits et gestes seront observés de près: décidera-t-il de vivre à la résidence Sainte-Marthe, comme François, ou reviendra-t-il dans les appartements pontificaux? Quelles seront ses premières décisions?Le natif de Chicago devra rapidement affronter des défis considérables pour une Eglise en perte de vitesse en Europe: finances, lutte contre la pédocriminalité, baisse des vocations… Mais il devra aussi ressouder les différents courants d’une institution où cohabitent des sensibilités culturelles très diverses, entre une Europe sécularisée et des “périphéries” en croissance.Il devra aussi apaiser une institution parfois bousculée par le pontificat de François (2013-2025), ponctué de réformes qui ont fait l’objet de vives critiques internes. Sa connaissance parfaite de l’ensemble de la Curie romaine (appareil administratif du Saint-Siège) devrait l’aider grandement dans sa tâche.Le 267e pape de l’Eglise catholique est le quatrième non italien de suite après le Polonais Jean-Paul II (1978-2005), l’Allemand Benoît XVI (2005-2013) et l’Argentin François.Sous les fresques de Michel-Ange, il a été élu au deuxième jour du conclave, qui s’annonçait très ouvert, du fait notamment des 133 cardinaux présents, un record. Il a réuni une majorité des deux tiers, soit au moins 89 voix.- “Habemus Papam!” -C’est le cardinal “protodiacre”, le Français Dominique Mamberti, qui a prononcé la célèbre formule “Habemus papam” (“nous avons un pape”) et a présenté le successeur de François, près de 24 heures après le début du conclave dans la chapelle Sixtine.Vêtu d’une mozette rouge et d’une étole, des habits liturgiques que François avait abandonnés, Léon XIV a appelé à “construire des ponts par le dialogue, par la rencontre, nous unissant tous pour être un seul peuple, toujours en paix”.Robert Francis Prevost, homme d’écoute et de synthèse, classé parmi les cardinaux modérés, était considéré comme l’un des candidats crédibles pour succéder au pape François, qui l’avait placé à la tête du puissant ministère chargé des nominations de évêques.Les cardinaux ont opté pour la continuité, même si cet Américain, créé cardinal en 2023 par François qui a porté son ascension au Vatican, devrait mettre davantage les formes que son prédécesseur, qui avait bousculé le Saint-Siège avec son exercice du pouvoir personnel, voire cassant.”C’est à la fois une opposition au gouvernement américain et la prise en considération des critères géopolitiques”, a affirmé à l’AFP François Mabille, directeur de l’Observatoire géopolitique du religieux.”Et c’est également, à la fois par le choix de son nom Léon XIV, et par son origine missionnaire, un lien qui est fait avec l’Amérique latine, où il vivait”, a-t-il ajouté.

Asian stocks lifted by hopes for US-China talks after UK deal

Most Asian equities rose Friday on growing optimism that the worst of Donald Trump’s trade war is past after he reached a deal with Britain and suggested he could lower tariffs on China as officials prepare for high-stakes talks this weekend.The mood among investors has improved substantially since the US president unveiled his “Liberation Day” blitz last month, sending markets spinning and fuelling global recession fears.Several countries have lined up to hold talks with Washington to avert the worst of the duties that range from 10 percent to as high as 145 percent on China — Trump’s main target.On Thursday Britain became the first to announce a deal that reduces tariffs on British cars and lifts them on steel and aluminium, while in return Britain will open up markets to US beef and other farm products.While there are several areas that still need discussing, Trump and Prime Minister Keir Starmer hailed the “historic” deal, with the US president saying it should be seen as a template for others.But analysts said traders were more excited about the Republican leader’s comments on the upcoming talks with China in which he hinted at an easing of the stiff measures aimed at the world’s number two economy. That could see Beijing dial back some of its own 125 percent tariffs on US goods.Trump told reporters that he thought the negotiations would be “substantive” and when asked if reducing the levies was a possibility, he said “it could be”.”We’re going to see. Right now you can’t get any higher. It’s at 145 percent so we know it’s coming down. I think we’re going to have a very good relationship.” Treasury Secretary Scott Bessent and US Trade Representative Jamieson Greer are set to meet Chinese Vice Premier He Lifeng in Switzerland on Saturday and Sunday, the first talks between the superpowers since Trump unveiled his tariffs.The US president also flagged efforts at home to push through the tax cuts he promised during the election campaign, adding: “This country will hit a point that you better go out and buy stock.”Now, let me tell you this, this country will be like a rocket ship that goes straight up.”Stephen Innes, of SPI Asset Management, said: “As important as the UK deal was, Trump’s tone on China was the real signal for markets — and it handed the risk-on baton straight to Asia in a friendly, optimistic fashion. “The president all but greenlit the idea that the days of punitive standoff might give way to negotiated momentum.”Asian markets extended the week’s rally and tracked gains on Wall Street.Tokyo jumped more than one percent on hopes for Japan’s trade talks. However, Commerce Secretary Howard Lutnick warned agreements with Japan and South Korea could take longer to reach, while adding that there was “a lot of work” in striking a deal with India.Hong Kong, Sydney, Wellington, Taipei, Manila and Jakarta also advanced, though Seoul retreated. Shanghai also dropped ahead of key Chinese trade data that is expected to see a sharp drop off from March owing to the tariffs war.The return of some confidence to the market also helped bitcoin recover, pushing it back above $100,000 for the first time since February. The cryptocurrency struck $104,159 on Thursday, pushing it towards the record above $109,000 seen in January.- Key figures at around 0230 GMT -Tokyo – Nikkei 225: UP 1.5 percent at 37,478.58 (break)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.4 percent at 22,860.47Shanghai – Composite: DOWN 0.3 percent at 3,343.29Euro/dollar: DOWN at $1.1201 from $1.1230 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3219 from $1.3249Dollar/yen: UP at 145.92 yen from 145.82 yenEuro/pound: UP at 84.76 pence from 84.73 penceWest Texas Intermediate: UP 0.3 percent at $60.10 per barrel Brent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $63.05 per barrelNew York – Dow: UP 0.6 percent at 41,368.45 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 8,531.61 (close)

Former head of crypto platform Celsius sentenced 12 years

The founder and former CEO of bankrupt cryptocurrency trading platform Celsius, Alexander Mashinsky, was sentenced Thursday to 12 years in prison on fraud charges.Mashinsky, 50, pleaded guilty last December to securities fraud in a deal that reduced the level of charges he faced.The sentence comes down nearly three years after the startup’s collapse as a cryptocurrency platform, which offered customers the ability to invest in digital currencies, including its own coin, CEL.According to the indictment, Celsius executives took more than $4 billion in customers’ assets to finance the platform’s operations, make unsecured loans and invest in high-risk items.Mashinsky was also accused of manipulating the price of CEL by using customers’ funds to purchase the currency, artificially inflating its price.At its peak in late 2021, Celsius had more than one million clients and held more than $25 billion in assets.But the company hit hard times in the spring of 2022 as the value of cryptocurrencies plummeted.Facing deep customer withdrawals, Celsius on June 12, 2022 froze over $4.7 billion in customer accounts before filing for bankruptcy protection a month later.A progress report published in March found that 93 percent of the frozen assets had been recovered and returned to former Celsius customers.The 2022 cryptocurrency collapse affected a number of other startups in the field, including FTX, the second-largest crypto exchange that filed for bankruptcy in November 2022.

Poutine célèbre le 9-Mai en grande pompe, sans trêve sur le front selon Kiev

Vladimir Poutine doit s’exprimer vendredi devant les troupes russes et les dirigeants d’une vingtaine de pays rassemblés sur la place Rouge à Moscou pour les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, un événement commémoré pour la quatrième année consécutive dans l’ombre du conflit en Ukraine.Cette année, le président russe a ordonné à ses soldats d’observer un cessez-le-feu en Ukraine du 8 au 10 mai, à l’occasion de ces célébrations qui seront couronnées, comme chaque année, par un grand défilé militaire sous les murs du Kremlin.Mais l’Ukraine, qui fait face depuis 2022 à une offensive de grande ampleur, a accusé jeudi l’armée russe d’attaquer sur toute la ligne de front, évoquant des centaines de violations de la trêve.Les forces russes ont assuré, elles, “respecter strictement” le cessez-le-feu, affirmant simplement “répondre” à des violations ukrainiennes.Le président américain Donald Trump a appelé jeudi soir les deux pays à un “cessez-le-feu inconditionnel” de 30 jours.Les dirigeants d’une vingtaine de nations doivent se tenir aux côtés de M. Poutine, dont les présidents chinois Xi Jinping et brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, ainsi que ceux de pays traditionnellement alliés à la Russie tels que le Kazakhstan, le Bélarus, le Vietnam, l’Arménie, Cuba et le Venezuela.Malgré la politique d’isolement prônée par les Occidentaux, le Premier ministre slovaque Robert Fico – défiant les injonctions de Bruxelles – et le chef de l’Etat serbe Aleksandar Vucic sont également annoncés, de même que le président des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, recherché par la justice bosnienne.- Cérémonies d’une ampleur inédite -Depuis mardi, Moscou et Kiev ont continué leurs frappes aériennes croisées, entraînant en Russie le retard ou l’annulation de centaines de vols à cause d’attaques de drones ukrainiens.Le Kremlin a dit prendre “toutes les mesures nécessaires” pour assurer la sécurité des célébrations, y compris en limitant l’accès à internet pour contrecarrer les attaques de drones.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui qualifié la parade militaire prévue à Moscou de défilé “de mensonges”.Les autorités russes ont promis cette année des cérémonies d’une ampleur inédite pour le 9-Mai, la principale grand-messe patriotique en Russie et dans d’autres ex-républiques soviétiques.Depuis plusieurs jours, les rues de la capitale russe sont pavoisées aux couleurs nationales et l’immense majorité des commerces et des restaurants ont placardé des affiches appelant à “se souvenir” de la victoire de 1945 et à se montrer “fiers”.Ces trois dernières années, M. Poutine a souvent renvoyé à la mémoire de la victoire sur l’Allemagne nazie pour défendre l’offensive militaire contre l’Ukraine, la Russie assurant vouloir “dénazifier” ce pays voisin dont elle occupe toujours environ 20% du territoire.La Seconde Guerre mondiale, qui a fait plus de 20 millions de morts en URSS et réclamé des sacrifices inouïs à la population, a causé un traumatisme qui se ressent toujours au sein de la société et qui a nourri un patriotisme exploité par le président russe.Peu après le début de l’assaut contre l’Ukraine, les autorités russes ont interdit toute critique des forces armées, accentuant une répression qui a jeté plusieurs centaines de personnes en prison et poussé des milliers d’autres à s’exiler.- Craintes d’attaques -Hormis les dirigeants, des soldats de 13 pays doivent prendre part à la grande parade sur la place Rouge, dont ceux de la Chine, du Vietnam, de la Birmanie et de l’Egypte.Jeudi, M. Poutine et son homologue chinois ont affiché leur entente face un Occident présenté comme “hégémonique”, lors d’une rencontre au Kremlin précédant les commémorations.La Chine est accusée d’aider la Russie à contourner les sanctions occidentales, voire de lui fournir des armes, comme l’a récemment affirmé Kiev, ce que dément Pékin.Les autorités de plusieurs régions de Russie, dont celle de Krasnodar dans le sud-ouest, ont annulé leurs défilés du 9 mai cette année par crainte de possibles attaques ukrainiennes.Le défilé du 9 mai attire chaque année à Moscou de grandes foules de spectateurs, qui viennent souvent en famille.

Poutine célèbre le 9-Mai en grande pompe, sans trêve sur le front selon Kiev

Vladimir Poutine doit s’exprimer vendredi devant les troupes russes et les dirigeants d’une vingtaine de pays rassemblés sur la place Rouge à Moscou pour les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, un événement commémoré pour la quatrième année consécutive dans l’ombre du conflit en Ukraine.Cette année, le président russe a ordonné à ses soldats d’observer un cessez-le-feu en Ukraine du 8 au 10 mai, à l’occasion de ces célébrations qui seront couronnées, comme chaque année, par un grand défilé militaire sous les murs du Kremlin.Mais l’Ukraine, qui fait face depuis 2022 à une offensive de grande ampleur, a accusé jeudi l’armée russe d’attaquer sur toute la ligne de front, évoquant des centaines de violations de la trêve.Les forces russes ont assuré, elles, “respecter strictement” le cessez-le-feu, affirmant simplement “répondre” à des violations ukrainiennes.Le président américain Donald Trump a appelé jeudi soir les deux pays à un “cessez-le-feu inconditionnel” de 30 jours.Les dirigeants d’une vingtaine de nations doivent se tenir aux côtés de M. Poutine, dont les présidents chinois Xi Jinping et brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, ainsi que ceux de pays traditionnellement alliés à la Russie tels que le Kazakhstan, le Bélarus, le Vietnam, l’Arménie, Cuba et le Venezuela.Malgré la politique d’isolement prônée par les Occidentaux, le Premier ministre slovaque Robert Fico – défiant les injonctions de Bruxelles – et le chef de l’Etat serbe Aleksandar Vucic sont également annoncés, de même que le président des Serbes de Bosnie, Milorad Dodik, recherché par la justice bosnienne.- Cérémonies d’une ampleur inédite -Depuis mardi, Moscou et Kiev ont continué leurs frappes aériennes croisées, entraînant en Russie le retard ou l’annulation de centaines de vols à cause d’attaques de drones ukrainiens.Le Kremlin a dit prendre “toutes les mesures nécessaires” pour assurer la sécurité des célébrations, y compris en limitant l’accès à internet pour contrecarrer les attaques de drones.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a lui qualifié la parade militaire prévue à Moscou de défilé “de mensonges”.Les autorités russes ont promis cette année des cérémonies d’une ampleur inédite pour le 9-Mai, la principale grand-messe patriotique en Russie et dans d’autres ex-républiques soviétiques.Depuis plusieurs jours, les rues de la capitale russe sont pavoisées aux couleurs nationales et l’immense majorité des commerces et des restaurants ont placardé des affiches appelant à “se souvenir” de la victoire de 1945 et à se montrer “fiers”.Ces trois dernières années, M. Poutine a souvent renvoyé à la mémoire de la victoire sur l’Allemagne nazie pour défendre l’offensive militaire contre l’Ukraine, la Russie assurant vouloir “dénazifier” ce pays voisin dont elle occupe toujours environ 20% du territoire.La Seconde Guerre mondiale, qui a fait plus de 20 millions de morts en URSS et réclamé des sacrifices inouïs à la population, a causé un traumatisme qui se ressent toujours au sein de la société et qui a nourri un patriotisme exploité par le président russe.Peu après le début de l’assaut contre l’Ukraine, les autorités russes ont interdit toute critique des forces armées, accentuant une répression qui a jeté plusieurs centaines de personnes en prison et poussé des milliers d’autres à s’exiler.- Craintes d’attaques -Hormis les dirigeants, des soldats de 13 pays doivent prendre part à la grande parade sur la place Rouge, dont ceux de la Chine, du Vietnam, de la Birmanie et de l’Egypte.Jeudi, M. Poutine et son homologue chinois ont affiché leur entente face un Occident présenté comme “hégémonique”, lors d’une rencontre au Kremlin précédant les commémorations.La Chine est accusée d’aider la Russie à contourner les sanctions occidentales, voire de lui fournir des armes, comme l’a récemment affirmé Kiev, ce que dément Pékin.Les autorités de plusieurs régions de Russie, dont celle de Krasnodar dans le sud-ouest, ont annulé leurs défilés du 9 mai cette année par crainte de possibles attaques ukrainiennes.Le défilé du 9 mai attire chaque année à Moscou de grandes foules de spectateurs, qui viennent souvent en famille.