Mouvement de grève: pas de version papier du journal La Provence depuis dimanche

Pour la deuxième journée consécutive, le quotidien régional La Provence n’a pas été imprimé lundi en raison d’une grève reconductible votée samedi à l’appel de la Filpac-CGT, après l’annonce d’un plan de sauvegarde de l’emploi qui “menace directement des dizaines d’emplois”, majoritairement parmi les imprimeurs, selon le syndicat.Dimanche et lundi, seule la version numérique du titre, vendu à quelque 65.000 exemplaires par jour en moyenne dans les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes, était disponible en ligne.La Tribune Dimanche, hebdomadaire dominical qui appartient, comme le groupe La Provence (comprenant les quotidiens régionaux La Provence et Corse-Matin), à l’armateur CMA CGM, propriété de Rodolphe Saadé, n’est pas non plus paru en version papier dans les zones sud-est, sud-ouest et Rhône-Alpes.Le mouvement social a été décidé après “l’annonce, le 29 avril, d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) brutal et unilatéral, qui menace directement des dizaines d’emplois”, indiquait la Filpac-CGT dans un communiqué, demandant “l’annulation pure et simple de ce PSE”.D’après un délégué syndical interrogé par l’AFP, le plan concernerait 75 postes, dont 51 à l’imprimerie, un “massacre social” selon cette source. Une nouvelle assemblée générale devait décider tard dans la soirée lundi d’une éventuelle prolongation du mouvement.”La Provence est un bien commun. Elle ne se résume pas à des lignes comptables. Nous défendons nos emplois, mais aussi une certaine idée de la presse, libre, locale et de qualité. La lutte (…) se poursuivra jusqu’au retrait du plan”, ajoute le communiqué de la Filpac-CGT. Evoquant un PSE concernant 72 salariés, dont 51 de l’actuelle imprimerie de La Provence, Jean-Christophe Tortora, directeur général de CMA Media, la holding médias de CMA CGM, qui possède également BFMTV et la radio RMC, a assuré à l’AFP lundi soir qu'”une proposition de reclassement sera faite pour chacun des salariés” concernés.25 propositions de reclassement seront notamment au sein de la nouvelle imprimerie que va acquérir CMA Médias à Vitrolles, à une trentaine de kilomètres de Marseille, a précisé M. Tortora, rappelant que l’imprimerie actuelle du groupe La Provence à Marseille sera contrainte à la fermeture en septembre.”Cela n’est pas notre décision, la cession de Salengro (le site marseillais, ndlr) avait été décidée avant la prise de contrôle de La Provence par CMA CGM en octobre 2022″, a insisté le DG de CMA Media, estimant qu’avec l’acquisition de l’imprimerie de Vitrolles La Provence aura “son propre outil industriel, ce qu’elle mérite”.Parmi les autres salariés visés par le PSE, certains se verront proposer des départs en pré-retraite, d’autres des reclassements au sein de CMA CGM.Selon M. Tortora, la décision de CMA Media d’opter pour le site de Vitrolles, où est déjà imprimé le quotidien La Marseillaise, est également la conséquence des difficultés rencontrées par le groupe à trouver un site pour une nouvelle imprimerie, en raison des “enjeux d’acceptabilité” par les communes de ces installations industrielles, “avec leurs nuisances”.CMA Media avait envisagé une nouvelle imprimerie au Cannet-des-Maures ou au Muy, deux commune du Var, sans succès selon M. Tortora.Il a également évoqué le nouveau refus “clair” lundi de la part de l’Etat de tout soutien à de nouvelles imprimeries de presse, celui-ci préférant favoriser “la mutualisation d’imprimeries existantes”.

Mouvement de grève: pas de version papier du journal La Provence depuis dimanche

Pour la deuxième journée consécutive, le quotidien régional La Provence n’a pas été imprimé lundi en raison d’une grève reconductible votée samedi à l’appel de la Filpac-CGT, après l’annonce d’un plan de sauvegarde de l’emploi qui “menace directement des dizaines d’emplois”, majoritairement parmi les imprimeurs, selon le syndicat.Dimanche et lundi, seule la version numérique du titre, vendu à quelque 65.000 exemplaires par jour en moyenne dans les Bouches-du-Rhône, le Vaucluse, les Alpes-de-Haute-Provence et les Hautes-Alpes, était disponible en ligne.La Tribune Dimanche, hebdomadaire dominical qui appartient, comme le groupe La Provence (comprenant les quotidiens régionaux La Provence et Corse-Matin), à l’armateur CMA CGM, propriété de Rodolphe Saadé, n’est pas non plus paru en version papier dans les zones sud-est, sud-ouest et Rhône-Alpes.Le mouvement social a été décidé après “l’annonce, le 29 avril, d’un Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) brutal et unilatéral, qui menace directement des dizaines d’emplois”, indiquait la Filpac-CGT dans un communiqué, demandant “l’annulation pure et simple de ce PSE”.D’après un délégué syndical interrogé par l’AFP, le plan concernerait 75 postes, dont 51 à l’imprimerie, un “massacre social” selon cette source. Une nouvelle assemblée générale devait décider tard dans la soirée lundi d’une éventuelle prolongation du mouvement.”La Provence est un bien commun. Elle ne se résume pas à des lignes comptables. Nous défendons nos emplois, mais aussi une certaine idée de la presse, libre, locale et de qualité. La lutte (…) se poursuivra jusqu’au retrait du plan”, ajoute le communiqué de la Filpac-CGT. Evoquant un PSE concernant 72 salariés, dont 51 de l’actuelle imprimerie de La Provence, Jean-Christophe Tortora, directeur général de CMA Media, la holding médias de CMA CGM, qui possède également BFMTV et la radio RMC, a assuré à l’AFP lundi soir qu'”une proposition de reclassement sera faite pour chacun des salariés” concernés.25 propositions de reclassement seront notamment au sein de la nouvelle imprimerie que va acquérir CMA Médias à Vitrolles, à une trentaine de kilomètres de Marseille, a précisé M. Tortora, rappelant que l’imprimerie actuelle du groupe La Provence à Marseille sera contrainte à la fermeture en septembre.”Cela n’est pas notre décision, la cession de Salengro (le site marseillais, ndlr) avait été décidée avant la prise de contrôle de La Provence par CMA CGM en octobre 2022″, a insisté le DG de CMA Media, estimant qu’avec l’acquisition de l’imprimerie de Vitrolles La Provence aura “son propre outil industriel, ce qu’elle mérite”.Parmi les autres salariés visés par le PSE, certains se verront proposer des départs en pré-retraite, d’autres des reclassements au sein de CMA CGM.Selon M. Tortora, la décision de CMA Media d’opter pour le site de Vitrolles, où est déjà imprimé le quotidien La Marseillaise, est également la conséquence des difficultés rencontrées par le groupe à trouver un site pour une nouvelle imprimerie, en raison des “enjeux d’acceptabilité” par les communes de ces installations industrielles, “avec leurs nuisances”.CMA Media avait envisagé une nouvelle imprimerie au Cannet-des-Maures ou au Muy, deux commune du Var, sans succès selon M. Tortora.Il a également évoqué le nouveau refus “clair” lundi de la part de l’Etat de tout soutien à de nouvelles imprimeries de presse, celui-ci préférant favoriser “la mutualisation d’imprimeries existantes”.

Israël approuve un plan prévoyant la “conquête” de la bande de Gaza

Israël a annoncé lundi une nouvelle campagne militaire sur la bande de Gaza, qui prévoit la “conquête” du territoire palestinien et nécessitera, selon l’armée, le déplacement interne de “la plupart” de ses habitants.Cette extension des opérations militaires, approuvée par le cabinet de guerre israélien après 19 mois de guerre contre le Hamas, prévoit “la conquête de la bande de Gaza et le contrôle des territoires” saisis, selon une source officielle.Dimanche soir, l’armée avait confirmé le rappel de “dizaines de milliers de réservistes”.”L’opération inclut une attaque de grande envergure” et “le déplacement de la plupart de la population de la bande de Gaza” hors des zones de combat, a déclaré le général de brigade Effi Defrin, porte-parole de l’armée israélienne.La bande de Gaza, dont la quasi totalité des habitants ont déjà été déplacés à plusieurs reprises depuis le début de la guerre, est soumise à un blocus hermétique par Israël depuis le 2 mars et en proie à une grave crise humanitaire.Pour Aouni Aouad, qui vit sous une tente dans le sud du territoire, l’annonce du plan israélien ne devrait guère changer le quotidien de centaines de milliers de déplacés qui luttent pour survivre.”Israël n’a cessé ni la guerre, ni les tueries, ni les bombardements, ni la destruction, ni le siège ou la famine qui se poursuivent chaque jour”, souligne cet homme d’une quarantaine d’années. “Alors comment peut-il parler d’intensification des opérations militaires?” – “Danger de mort” -Les Nations unies ne cessent d’alerter sur la catastrophe humanitaire et le risque de famine auxquels sont exposés les quelque 2,4 millions d’habitants de Gaza.Lundi, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit “alarmé” par le plan israélien.Mais le cabinet estime qu’il y a “actuellement suffisamment de nourriture” à Gaza et a consenti à la “possibilité d’une distribution humanitaire” si cela venait à être “nécessaire”, a indiqué la source officielle.L’objectif affiché par le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël, est toujours de “vaincre” le mouvement islamiste Hamas, qui a déclenché la guerre avec son attaque sans précédent du 7 octobre 2023, et de “ramener les otages” enlevés ce jour-là.Selon un haut responsable sécuritaire, le temps des préparatifs militaires autorise une fenêtre pour la négociation d’un accord de libération des otages, d’ici “à la fin de la visite du président américain” Donald Trump au Moyen-Orient, prévue du 13 au 16 mai.”Contrairement aux souhaits de plus de 70% de la population”, le gouvernement a décidé de mettre “tous les otages en danger de mort”, a commenté le Forum des familles, la plus grande association de proches d’otages en Israël, dénonçant un plan qui “menace également la vie de nos soldats”.Les combats à Gaza ont entraîné la mort de plus de 850 soldats israéliens.Pendant la réunion du cabinet, M. Netanyahu a dit vouloir “promouvoir le plan Trump visant au départ volontaire des habitants de Gaza”, selon la source officielle.Début février, M. Trump avait lancé l’idée d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les Etats-Unis pour la reconstruire et en faire la “Riviera du Moyen-Orient”, après en avoir expulsé la population.Ce projet avait suscité un tollé international, mais les autorités israéliennes s’y réfèrent régulièrement et ont créé une agence spéciale pour permettre aux Palestiniens de quitter la bande de Gaza.”La seule aide qui doit entrer dans Gaza est celle destinée à favoriser l’émigration volontaire”, a déclaré Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité intérieure et figure de l’extrême droite.- “Chantage” -Israël accuse le Hamas de détourner l’aide humanitaire et justifie son blocus par la nécessité de faire pression sur le mouvement pour qu’il libère les otages.”Le plan qui nous est présenté signifie que de vastes zones de Gaza (…) resteront privées d’approvisionnement”, a noté le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), rejetant un projet qui “contrevient aux principes humanitaires fondamentaux”.Lundi, le Hamas a accusé Israël de “chantage” à l’aide humanitaire.L’armée israélienne a repris son offensive sur la bande de Gaza le 18 mars, mettant fin à deux mois de trêve.L’attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, pour la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée israélienne. Le Hamas retient également la dépouille d’un soldat israélien tué lors d’une précédente guerre à Gaza, en 2014.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 52.567 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l’ONU.

Israël approuve un plan prévoyant la “conquête” de la bande de Gaza

Israël a annoncé lundi une nouvelle campagne militaire sur la bande de Gaza, qui prévoit la “conquête” du territoire palestinien et nécessitera, selon l’armée, le déplacement interne de “la plupart” de ses habitants.Cette extension des opérations militaires, approuvée par le cabinet de guerre israélien après 19 mois de guerre contre le Hamas, prévoit “la conquête de la bande de Gaza et le contrôle des territoires” saisis, selon une source officielle.Dimanche soir, l’armée avait confirmé le rappel de “dizaines de milliers de réservistes”.”L’opération inclut une attaque de grande envergure” et “le déplacement de la plupart de la population de la bande de Gaza” hors des zones de combat, a déclaré le général de brigade Effi Defrin, porte-parole de l’armée israélienne.La bande de Gaza, dont la quasi totalité des habitants ont déjà été déplacés à plusieurs reprises depuis le début de la guerre, est soumise à un blocus hermétique par Israël depuis le 2 mars et en proie à une grave crise humanitaire.Pour Aouni Aouad, qui vit sous une tente dans le sud du territoire, l’annonce du plan israélien ne devrait guère changer le quotidien de centaines de milliers de déplacés qui luttent pour survivre.”Israël n’a cessé ni la guerre, ni les tueries, ni les bombardements, ni la destruction, ni le siège ou la famine qui se poursuivent chaque jour”, souligne cet homme d’une quarantaine d’années. “Alors comment peut-il parler d’intensification des opérations militaires?” – “Danger de mort” -Les Nations unies ne cessent d’alerter sur la catastrophe humanitaire et le risque de famine auxquels sont exposés les quelque 2,4 millions d’habitants de Gaza.Lundi, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres s’est dit “alarmé” par le plan israélien.Mais le cabinet estime qu’il y a “actuellement suffisamment de nourriture” à Gaza et a consenti à la “possibilité d’une distribution humanitaire” si cela venait à être “nécessaire”, a indiqué la source officielle.L’objectif affiché par le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’un des plus à droite de l’histoire d’Israël, est toujours de “vaincre” le mouvement islamiste Hamas, qui a déclenché la guerre avec son attaque sans précédent du 7 octobre 2023, et de “ramener les otages” enlevés ce jour-là.Selon un haut responsable sécuritaire, le temps des préparatifs militaires autorise une fenêtre pour la négociation d’un accord de libération des otages, d’ici “à la fin de la visite du président américain” Donald Trump au Moyen-Orient, prévue du 13 au 16 mai.”Contrairement aux souhaits de plus de 70% de la population”, le gouvernement a décidé de mettre “tous les otages en danger de mort”, a commenté le Forum des familles, la plus grande association de proches d’otages en Israël, dénonçant un plan qui “menace également la vie de nos soldats”.Les combats à Gaza ont entraîné la mort de plus de 850 soldats israéliens.Pendant la réunion du cabinet, M. Netanyahu a dit vouloir “promouvoir le plan Trump visant au départ volontaire des habitants de Gaza”, selon la source officielle.Début février, M. Trump avait lancé l’idée d’une prise de contrôle de la bande de Gaza par les Etats-Unis pour la reconstruire et en faire la “Riviera du Moyen-Orient”, après en avoir expulsé la population.Ce projet avait suscité un tollé international, mais les autorités israéliennes s’y réfèrent régulièrement et ont créé une agence spéciale pour permettre aux Palestiniens de quitter la bande de Gaza.”La seule aide qui doit entrer dans Gaza est celle destinée à favoriser l’émigration volontaire”, a déclaré Itamar Ben-Gvir, ministre de la Sécurité intérieure et figure de l’extrême droite.- “Chantage” -Israël accuse le Hamas de détourner l’aide humanitaire et justifie son blocus par la nécessité de faire pression sur le mouvement pour qu’il libère les otages.”Le plan qui nous est présenté signifie que de vastes zones de Gaza (…) resteront privées d’approvisionnement”, a noté le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), rejetant un projet qui “contrevient aux principes humanitaires fondamentaux”.Lundi, le Hamas a accusé Israël de “chantage” à l’aide humanitaire.L’armée israélienne a repris son offensive sur la bande de Gaza le 18 mars, mettant fin à deux mois de trêve.L’attaque du 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, pour la plupart des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 déclarées mortes par l’armée israélienne. Le Hamas retient également la dépouille d’un soldat israélien tué lors d’une précédente guerre à Gaza, en 2014.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 52.567 morts à Gaza, en majorité des civils, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugés fiables par l’ONU.

Après l’arrêt de C8, l’émission “Animaux à adopter” rebondit sur TMC

Interrompue en même temps que C8 fin février, l’émission à succès “Animaux à adopter, nouvelle famille pour une nouvelle vie” sera rediffusée à partir du 25 mai sur TMC, avant une saison inédite attendue “prochainement”, a annoncé le groupe TF1 lundi.Les téléspectateurs retrouveront ainsi Sandrine Arcizet et Elodie Ageron, aux manettes de ce programme depuis 2018 en plus des “Animaux de la 8″, l’une des émissions phare de C8 qu’elles ont présentée pendant 20 ans.”Animaux à adopter” plonge dans les coulisses de la SPA aux côtés de ses salariés et bénévoles, suivant chats et chiens de leur arrivée dans un refuge à leur adoption.L’émission sera rediffusée le dimanche sur TMC, avec quatre épisodes déjà annoncés pour le 25 mai à 13H10.Une saison inédite, actuellement en tournage, sera proposée prochainement, potentiellement à la rentrée, a précisé TF1 à l’AFP, vantant un programme “familial”.Sandrine Arcizet et Elodie Ageron avaient fondu en larmes lors de la dernière des “Animaux de la 8”, diffusée quelques jours avant la fin de C8 le 28 février. La chaîne du groupe Canal+ a cessé d’émettre après le non-renouvellement de sa fréquence par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel.Son éviction de la TNT (télévision numérique terrestre) a été largement motivée par les “manquements réitérés” de la chaîne, qui a cumulé 7,6 millions d’euros d’amende à cause des dérapages de sa vedette Cyril Hanouna, l’animateur de “Touche pas à mon poste”.Ce dernier rejoindra le groupe M6 en septembre, pour deux émissions sur Fun Radio et sur la chaîne W9.

Gazans struggling to survive as Israel plans for ‘conquest’

Israel’s plan for the “conquest” of Gaza has sparked renewed fears, but for many of the territory’s residents, the most immediate threat to their lives remains the spectre of famine amid a months-long Israeli blockade.The plan to expand military operations, approved by Israel’s security cabinet overnight, includes holding territories in the besieged Gaza Strip and moving the population south “for their protection”, an Israeli official said.But Gaza residents told AFP that they did not expect the new offensive would make any significant changes to the already dire humanitarian situation in the small coastal territory.”Israel has not stopped the war, the killing, the bombing, the destruction, the siege, and the starvation — every day — so how can they talk about expanding military operations?” Awni Awad, 39, told AFP.Awad, who lives in a tent in the southern Gaza city of Khan Yunis after being displaced by Israeli evacuation orders, said that his situation was already “catastrophic and tragic”.”I call on the world to witness the famine that grows and spreads every day,” he said.The UN’s World Food Programme (WFP) in late April said it had depleted all its foods stocks in Gaza due to Israel’s blockade on all supplies since March 2.Aya al-Skafy, a resident of Gaza City, told AFP her baby died because of malnutrition and medicine shortages last week.”She was four months old and weighed 2.8 kilograms (6.2 pounds), which is very little. Medicine was not available,” she said.”Due to severe malnutrition, she suffered from blood acidity, liver and kidney failure, and many other complications. Her hair and nails also fell out due to malnutrition.”Umm Hashem al-Saqqa, another Gaza City resident, fears her five-year-old son might face a similar fate, but is powerless to do anything about it.”Hashem suffers from iron deficiency anaemia. He is constantly pale and lacks balance, and is unable to walk due to malnutrition,” she told AFP.”There is no food, no medicine, and no nutritional supplements. The markets are empty of food, and the government clinics and pharmacies have nothing.”- ‘Distract the world’ -Gaza City resident Mohammed al-Shawa, 65, said that Israel’s new military roadmap changes little as it already controls most of Gaza.”The Israeli announcement about expanding military operations in Gaza is just talk for the media, because the entire Gaza Strip is occupied, and there is no safe area in Gaza,” he said.The UN’s Office for the Coordination of Humanitarian Affairs (OCHA) estimates that 69 percent of Gaza has now been either incorporated into one of Israel’s buffer zones, or is subject to evacuation orders.That number rises to 100 percent in the southern governorate of Rafah, where over 230,000 people lived before the war but which has now been entirely declared a no-go zone. “There is no food, no medicine, and the announcement of an aid distribution plan is just to distract the world and mislead global public opinion,” Shawa said, referring to reports of a new Israeli plan for humanitarian aid delivery that has yet to be implemented.”The reality is that Israel is killing Palestinians in Gaza by bombing, shooting, or through starvation and denial of medical treatment,” he said.Israel says that its renewed bombardments and the blockade of Gaza are aimed at forcing Hamas to release hostages held in the territory.Israeli Finance Minister Bezalel Smotrich praised the new plan for Gaza on Monday and evoked a proposal previously floated by US President Donald Trump to displace the territory’s residents elsewhere.The far-right firebrand said he would push for the plan’s completion, until “Hamas is defeated, Gaza is fully occupied, and Trump’s historical plan is implemented, with Gaza refugees resettled in other countries”.

Cummins heroics in vain as rain forces Hyderabad out of IPL playoff race

Pat Cummins’ figures of 3-19 went in vain after rain ended his and Sunrisers Hyderabad’s chances of reaching the playoffs as their clash against Delhi Capitals was called off on Monday.Hyderabad restricted Delhi to 133-7 in 20 overs, but rain fell ahead of the chase and after about one hour and 45 minutes the officials decided to share one point each between the two teams.Rain stopped after more than 70 minutes but the ground remained covered with puddles of water and Cummins and Delhi skipper Axar Patel shook hands.Last year’s runners-up Hyderabad with seven defeats, three wins and one no result fell out of the playoffs contention along with Chennai Super Kings and Rajasthan Royals.Delhi in fifth place keep their dream alive of winning their first-ever IPL title.The top four teams at the end of the league stage will move into the playoffs.Australia’s Cummins struck on the first ball of the match and had the opposition reeling at 62-6, before Ashutosh Sharma and Tristan Stubbs put on 66 runs for the seventh wicket.Cummins elected to field first and took a wicket in each of his first three overs to send back Karun Nair for a first-ball duck, Faf du Plessis (three) and Abishek Porel (eight).Harshal Patel dismissed Axar, and KL Rahul fell to Jaydev Unadkat in a dominant bowling performance by Hyderabad.Stubbs and impact substitute Ashutosh both scored 41 each to check Delhi’s slide.Ashutosh took on the attack in his 26-ball knock, laced with two fours and three sixes, before falling to Sri Lankan Eshan Malinga in the final over.South Africa’s Stubbs finished off the innings with his fourth boundary but rain had the final say.It was the second match of the current IPL season to be called off due to rain.

Fin de vie: Macron évoque le choix du “moindre mal”

Emmanuel Macron a estimé lundi, une semaine avant l’arrivée devant l’hémicycle de l’Assemblée nationale du texte créant un “droit à l’aide à mourir”, que le débat ne pouvait “être réduit” à pour ou contre la vie, mais devait poser la question du “moindre mal”.Les députés ont approuvé en commission vendredi la proposition de loi, après des débats respectueux mais sans concession sur ce sujet sensible, issue d’un projet de loi voulu par le chef de l’Etat mais qui n’avait pu être mené à son terme en raison de la dissolution, en juin, de l’Assemblée.Interrogé par le Journal du Dimanche ce week-end, le Premier ministre François Bayrou a dit être “spontanément du côté du soin et de la défense de la vie”. “Mais je ne suis pas aveugle. Il existe des situations extrêmes, des cas de souffrance et de désespoir que nul ne peut ignorer”, a-t-il ajouté.”C’est un vertige qui touche chacune et chacun d’entre nous”, a dit lundi le chef de l’Etat lors d’un discours devant les francs-maçons de la Grande Loge de France. “Mais le débat, résolument, ne peut être réduit à la question de savoir si on est pour la vie ou contre la vie, ou si d’un côté, il y aurait un humanisme qui vaudrait le traitement et de l’autre l’abandon à la mort simplement, non”, a-t-il affirmé. “J’ai peur que parfois, dans nos débats, des choses se précipitent qui oublient l’épaisseur et la grande difficulté parfois, aussi, de simplement penser le moindre mal. Car face à certaines situations, il n’y a plus le bien d’un côté, le mal de l’autre, mais simplement à choisir dans des situations concrètes, dans la solitude de celui qui a à mourir, de sa famille, de son médecin, le chemin singulier qui respecte à chaque instant la dignité de chacun”, a-t-il ajouté.Il a félicité les francs-maçons de porter “cette ambition de faire de l’homme la mesure du monde, le libre acteur de sa vie, de la naissance à la mort”.

Fin de vie: Macron évoque le choix du “moindre mal”

Emmanuel Macron a estimé lundi, une semaine avant l’arrivée devant l’hémicycle de l’Assemblée nationale du texte créant un “droit à l’aide à mourir”, que le débat ne pouvait “être réduit” à pour ou contre la vie, mais devait poser la question du “moindre mal”.Les députés ont approuvé en commission vendredi la proposition de loi, après des débats respectueux mais sans concession sur ce sujet sensible, issue d’un projet de loi voulu par le chef de l’Etat mais qui n’avait pu être mené à son terme en raison de la dissolution, en juin, de l’Assemblée.Interrogé par le Journal du Dimanche ce week-end, le Premier ministre François Bayrou a dit être “spontanément du côté du soin et de la défense de la vie”. “Mais je ne suis pas aveugle. Il existe des situations extrêmes, des cas de souffrance et de désespoir que nul ne peut ignorer”, a-t-il ajouté.”C’est un vertige qui touche chacune et chacun d’entre nous”, a dit lundi le chef de l’Etat lors d’un discours devant les francs-maçons de la Grande Loge de France. “Mais le débat, résolument, ne peut être réduit à la question de savoir si on est pour la vie ou contre la vie, ou si d’un côté, il y aurait un humanisme qui vaudrait le traitement et de l’autre l’abandon à la mort simplement, non”, a-t-il affirmé. “J’ai peur que parfois, dans nos débats, des choses se précipitent qui oublient l’épaisseur et la grande difficulté parfois, aussi, de simplement penser le moindre mal. Car face à certaines situations, il n’y a plus le bien d’un côté, le mal de l’autre, mais simplement à choisir dans des situations concrètes, dans la solitude de celui qui a à mourir, de sa famille, de son médecin, le chemin singulier qui respecte à chaque instant la dignité de chacun”, a-t-il ajouté.Il a félicité les francs-maçons de porter “cette ambition de faire de l’homme la mesure du monde, le libre acteur de sa vie, de la naissance à la mort”.