Singapour: une peluche dotée d’IA et retirée pour des propos à caractère sexuel remise en vente

Un ours en peluche doté d’une intelligence artificielle, rappelé par son fabricant singapourien car son chatbot tenait des conversations à caractère sexuel explicite, est de nouveau en vente, a constaté l’AFP.Le groupe FoloToy, basé à Singapour, avait suspendu la vente de son ours Kumma au lendemain de la publication il y a deux semaines par …

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Pérou: l’éphémère président Pedro Castillo condamné à 11 ans de prison pour rébellion

L’ancien président péruvien de gauche Pedro Castillo (2021-2022) a été condamné jeudi à 11 ans, 5 mois et 15 jours de prison pour rébellion, après sa tentative avortée de dissoudre le Parlement en 2022.Il a été en revanche innocenté des délits d’abus de pouvoir et de trouble à l’ordre public. Le parquet avait requis 34 …

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Poutine ne cessera les hostilités que si l’armée ukrainienne se retire

Vladimir Poutine a déclaré jeudi que la Russie ne cesserait les hostilités en Ukraine que si les forces de Kiev acceptent de se retirer des territoires dont elle revendique l’annexion, faute de quoi l’armée russe les prendra “par la force”.La présidence ukrainienne a de son côté formellement exclu tout renoncement à des territoires, affirmant que …

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Frappes israéliennes au Liban le jour de l’anniversaire du cessez-le-feu

L’armée israélienne a annoncé jeudi avoir mené de nouvelles frappes contre le Hezbollah dans le sud du Liban, un an jour pour jour après la signature d’un cessez-le-feu avec le mouvement pro-iranien qu’elle accuse de chercher à se réarmer. “Il y a peu, l’armée israélienne a frappé et démantelé des infrastructures terroristes du Hezbollah dans plusieurs …

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Dans une prison d’Ukraine, un détenu kényan, soldat malgré lui de Moscou

Adossé à une paillasse de prison, Evans Kibet a les traits tirés et les yeux rouges. Ce Kényan qui rêvait de devenir athlète de haut niveau s’est retrouvé soldat de Moscou sur le front ukrainien, bien malgré lui assure-t-il.Il est présenté par Kiev comme le symbole de l’engagement de ressortissants africains aux côtés de la …

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L’Assemblée approuve une loi visant à nationaliser ArcelorMittal

L’Assemblée nationale a adopté jeudi en première lecture une proposition de loi LFI visant à nationaliser ArcelorMittal France, dans un contexte de grande difficulté pour la sidérurgie française. Le gouvernement, défavorable à la mesure, estime que la bataille se mène à l’échelle européenne.A l’issue du scrutin les Insoumis ont salué une “victoire historique” par la voix de leur cheffe de groupe Mathilde Panot. Jean-Luc Mélenchon a lui lu dans le scrutin une “page d’histoire à l’Assemblée nationale”.L’avenir de la proposition de loi est toutefois hautement incertain, car il lui sera difficile d’être adopté au Sénat, dominé par la droite et le centre.En dépit de débats tendus, entre LFI accusant le RN d’obstruction, et le groupe de Marine Le Pen reprochant aux Insoumis de susciter de “faux espoirs” pour les salariés, le texte a été adopté par 127 voix contre 41. Il a reçu le soutien de la gauche (insoumis, socialistes, écologistes et communistes) et le RN s’est abstenu. Le camp gouvernemental, peu mobilisé jeudi, a voté contre.- Nationalisation, Europe, ou “golden-share” -La loi “ne sera pas appliquée”, a prédit a contrario le député Horizons Sylvain Berrios. Le Sénat, dominé par la droite et le centre, “ne votera jamais votre loi et il n’y aura pas de nationalisation avant la présidentielle”, a lancé Jean-Philippe Tanguy (RN).”Je ne vois pas pourquoi nous n’y arriverons pas (…) plus ça ira, plus on verra comme une évidence politique qu’il faut nationaliser ArcelorMittal”, a répliqué la rapporteure Aurélie Trouvé. Son texte dispose que “la société ArcelorMittal France est nationalisée”, et prévoit un mécanisme pour déterminer sa valeur (le coût d’une nationalisation est chiffré à trois milliards d’euros). Les Insoumis y voient “l’unique solution” pour sauver la filière et ses 15.000 emplois directs, a insisté Mme Trouvé. Avec pour objectif de lutter contrer le plan social annoncé en avril et relancer la décarbonation des hauts-fourneaux.Le gouvernement y est au contraire défavorable, le ministre de l’Industrie Sébastien Martin avertissant que la loi “fragiliserait l’emploi au lieu de le protéger”, et estimant que la menace vient plutôt d’un “tsunami” d’acier asiatique.Pour lui, la réponse se trouve “à Bruxelles”, rappelant que la France a obtenu un plan d’urgence européen: au-delà d’un certain volume d’importations, des droits de douane de 50% seront appliqués pour freiner la concurrence chinoise, mesure que Paris veut rendre effective dès 2026.”Arrêtez de faire croire qu’un changement de propriétaire, ça résoudra (le) problème” des salariés d’ArcelorMittal, a abondé Marie Lebec (Renaissance).Les socialistes, défendent davantage une “mise sous tutelle” qu’une nationalisation, mais ont voté pour le texte.Sur le fond, le RN, qui capte une large partie du vote ouvrier, n’est pas favorable à une nationalisation.  Le groupe de Marine Le Pen plaide pour une “golden share”, droit de veto de l’État sur les décisions stratégiques sans gestion directe.- Deux autres textes adoptés -L’examen du texte s’est déroulé sous la surveillance de salariés de l’entreprise, certains ont été salués dans les tribunes des spectateurs par les députés.A l’appel de la CGT, quelque 300 personnes selon un source policière, venus en bus des sites du Nord et de Moselle, ont manifesté dans la matinée sur l’esplanade des Invalides, à proximité de l’Assemblée, pour soutenir le texte. Fumigènes en mains, des militants CGT ont fait détonner des pétards, mais aucun incident n’a été signalé, selon la même source policière.Syndicats comme mouvements de gauche s’accordent à faire monter la pression politique.”Le plan acier est en train de passer au Parlement européen. Il sera voté le 3 décembre. Donc ça veut dire qu’il faut qu’on tienne la pression jusque là-bas”, souligne Gaëtan Lecocq, délégué CGT à Dunkerque.Dans la matinée les Insoumis avaient mis à profit leur journée réservée pour faire adopter deux textes. D’abord une résolution, non contraignante, demandant au gouvernement de s’opposer à l’accord de libre-échange entre l’UE et le Mercosur, avant des votes décisifs en décembre au niveau européen. Puis un second visant à garantir l’égalité d’accès au service postal dans les territoires d’Outre-mer, qui devra encore passer au Sénat.bur-bat-cma-sac/vgu

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

“Vraiment terribles”: des inondations dévastatrices frappent l’Asie du Sud-Est

Les autorités indonésiennes, thaïlandaises et malaisiennes sont mobilisées jeudi pour porter secours aux habitants piégés par les inondations qui ont fait des dizaines de morts en Asie du Sud-Est au cours des derniers jours. A Sumatra, la grande île indonésienne, le bilan des inondations et glissements de terrain est monté à 19 morts et plus de 20 disparus, a indiqué jeudi un responsable des secours. Des pluies torrentielles se sont abattues durant plusieurs jours sur la province de Sumatra du Nord (ouest du pays), notamment sur le district de Tapanuli sud, en proie à des inondations depuis lundi.En raison des intempéries, l’accès routier aux zones touchées a été coupé et les services de télécommunications et d’électricité sont également hors service, a déclaré Emy Freezer, responsable de l’agence nationale de recherche et de sauvetage. Les autorités, selon lui, s’efforcent en priorité d’acheminer le matériel jusqu’aux zones isolées.Dans la province voisine d’Aceh, à l’extrémité occidentale de l’île de Sumatra, les fortes pluies de ces derniers jours ont également provoqué des inondations et des glissements de terrain et ont entraîné l’évacuation de près de 1.500 personnes, selon l’agence locale de gestion des catastrophes.- des inondations “vraiment terribles” -“Ces inondations sont vraiment terribles”, déclare à l’AFP Ibnu Sina, 47 ans, dont la maison à Lhokseumawe, la deuxième ville d’Aceh, a été inondée.La principale autoroute de la région, selon lui, est désormais impraticable, paralysant complètement la région. “Les autorités régionales sont débordées”.Les intempéries ont également provoqué d’importantes inondations dans le sud de la Thaïlande, notamment à Hat Yai, près de la frontière malaisienne. Des quartiers entiers ont été submergés, contraignant des habitants désespérés à se réfugier sur les toits. Les autorités ont annoncé mercredi que 33 personnes avaient péri dans sept provinces du sud.Les eaux ont commencé à se retirer jeudi à Hat Yai, mais pour Kamban Wongpanya, 67 ans, le retour dans sa maison est encore impossible. “L’eau est montée jusqu’au plafond du deuxième étage”, dit-elle à l’AFP, expliquant avoir dû être secourue par bateau.  Depuis le niveau de l’eau dans sa demeure “a baissé de moitié, mais la route qui y mène est encore inondée”. “Je ne peux pas encore rentrer”.De nombreux habitants ont perdu leur maison et leurs moyens de subsistance dans ces inondations, qui ont débuté la semaine dernière en Thaïlande. La région connaît actuellement sa saison de mousson annuelle. Le changement climatique engendre des épisodes de pluie plus intenses, car une atmosphère plus chaude retient davantage d’humidité, selon des scientifiques. Le réchauffement des océans alimente également des systèmes orageux plus intenses et plus pluvieux.- tout recommencer à zéro” -Au début des intempéries, Chayaphol Promkleng, commerçant à Hat Yai, espérait que son magasin serait épargné, l’eau ne lui arrivait alors qu’au niveau des chevilles. Mais dès son retour sur place le lendemain, il a constaté que l’eau dans son magasin lui arrivait jusqu’à la taille. “Je ne pouvais rien faire. J’ai quitté le magasin pour sauver ma vie”, confie-t-il.Le gouvernement thaïlandais a annoncé récemment un plan d’indemnisation d’environ 280 dollars par foyer pour les familles sinistrées. Mais Chayaphol, lui, a tout perdu. “Je dois tout recommencer à zéro”, dit-il.De l’autre côté de la frontière, en Malaisie, les forces de la Protection civile ont utilisé des bateaux pour évacuer les personnes âgées ou fragiles piégées dans leurs maisons à Kangar, dans l’Etat de Perlis. Deux personnes ont déjà perdu la vie dans les inondations qui ont touché ce pays, où les autorités prévoient de fortes pluies dans les prochains jours. Un habitant, Ali Mat Isa, a porté sa femme alitée dans les escaliers mercredi soir, alors que les eaux envahissaient leur maison.”Je ne pouvais pas me rendre au centre d’accueil des sinistrés à cause de l’état de santé de ma femme”, raconte-t-il à l’AFP tandis qu’il est aidé pour monter dans une barque flottant sur des eaux boueuses lui arrivant jusqu’à la taille. “Le niveau de l’eau est monté très vite. Je n’ai pu emporter que du matériel électrique. Tout le reste, je l’ai laissé derrière moi”, dit-il.burs-sah/sco/sba/cel

A Hong Kong, 94 morts et un grand nombre de disparus dans le pire incendie depuis des décennies

Les autorités de Hong Kong ont porté à au moins 94 morts le bilan de l’incendie d’un complexe de gratte-ciels résidentiels à Hong-Kong, où les secours achèvent, vendredi matin, de maîtriser le feu dans les tours calcinées et partent à la recherche de personnes portées disparues en grand nombre.Un précédent bilan faisait état d’au moins 83 morts.Les autorités avaient en outre indiqué jeudi que 279 personnes étaient portées disparues. Si les pompiers ont indiqué plus tard avoir établi un contact avec certaines de ces personnes, ce bilan n’a pas été actualisé plus de 24 heures après le début de l’incendie, qui s’était déclaré mercredi.Au moins 76 personnes ont été blessées, dont 11 pompiers, a indiqué un porte-parole de l’exécutif.Aux premières heures vendredi, un journaliste de l’AFP a constaté que le feu avait faibli considérablement, mais que des gerbes d’étincelles et une épaisse fumée continuaient de jaillir par endroits des gratte-ciels.Les pompiers continuaient d’arroser les immeubles pour en refroidir la structure porteuse et prévenir tout nouveau départ de feu. Jeudi après-midi, les secours ont indiqué que le feu avait été éteint dans quatre des huit immeubles d’habitation et était sous contrôle dans trois autres. Un seul des huit bâtiments a échappé au feu.Des habitants du complexe Wang Fuk Court, situé dans le quartier de Tai Po dans le nord de Hong Kong, ont dit à l’AFP n’avoir entendu aucun signal d’alarme, et avoir dû frapper aux portes pour prévenir leurs voisins.”Le feu s’est propagé si vite…”, a dit un homme nommé Suen. “Sonner et frapper aux portes, leur dire de s’enfuir – c’était comme ça”, a-t-il dit.Parmi les 94 morts figurent un pompier de 37 ans ainsi que deux Indonésiens, des employés de maison, selon leur consulat.A 04H00 locales vendredi, au moins 12 personnes blessées restaient dans un état critique, les autorités hospitalières décrivant l’état de 28 autres personnes comme “grave”.- Identification des corps -Dans un centre communautaire tout proche, des policiers montraient des photos de corps à des personnes cherchant leurs proches, pour les identifier.”Quand le visage n’est plus reconnaissable, il y a des signes personnels qui peuvent permettre l’identification”, dit une femme, Cheung, à la recherche de ses proches.”Je ne peux pas décrire ce que je ressens. Il y avait des enfants”, ajoute-t-elle.Les investigations pour déterminer les causes de cet incendie, le pire sur le territoire chinois depuis près de 80 ans, ont commencé selon les autorités, notamment sur le possible rôle des échafaudages en bambou et des filets synthétiques qui entouraient les immeubles et ont pu propager le feu.Lors d’une conférence de presse, le numéro deux du gouvernement de Hong Kong, Eric Chan, a déclaré qu’il était “impératif d’accélérer la transition complète vers les échafaudages métalliques”.Dès l’aube jeudi, une chaîne de solidarité de centaines de personnes s’est mise en place spontanément autour du site comprenant près de 2.000 logements, inauguré en 1983.”L’esprit de Hong Kong, c’est que quand quelqu’un est en difficulté, tout le monde lui apporte son soutien”, a dit Stone Ngai, 38 ans, l’un des organisateurs d’un poste de secours improvisé.- Enquête anticorruption -“Vu le retentissement immense dans l’opinion, un groupe de travail a été mis place pour lancer une enquête approfondie sur de possibles faits de corruption dans le grand projet de rénovation de Wang Fuk Court à Tai Po”, a déclaré la Commission indépendante contre la corruption de Hong Kong dans un communiqué.La police a annoncé avoir arrêté trois hommes, soupçonnés de “grossière négligence”, après la découverte de matériaux inflammables abandonnés lors de travaux, qui ont permis au feu de “se propager rapidement”.John Lee a aussi annoncé une inspection de tous les grands chantiers de rénovation de la ville, après cet incendie survenu dans le district de Tai Po, dans le nord de Hong Kong. Hong Kong, qui compte 7,5 millions d’habitants, affiche une densité moyenne de plus de 7.100 habitants au kilomètre carré. Un chiffre jusqu’à trois fois supérieur dans les zones les plus urbanisées.En raison de l’exiguïté du territoire, une profusion de tours pouvant compter plus de 50 étages ont été construites.Le président chinois Xi Jinping a présenté ses condoléances aux victimes, aisi que le pape Léon XIV, qui a exprimé “sa solidarité spirituelle envers tous ceux qui souffrent”, “en particulier les blessés et les familles en deuil”.

Trump orders review of immigrant visas after National Guard attack

The Trump administration on Thursday said it was reviewing permanent residency status of immigrants from 19 countries, including Afghanistan, in its latest response to the shooting of two National Guard soldiers near the White House.The FBI meanwhile said it had launched an international terrorism investigation as new details emerged about the alleged gunman, a 29-year-old Afghan national who had served with US troops in Afghanistan.The shooting, which officials described as an “ambush-style” attack, cast a grim shadow over the Thanksgiving holiday and triggered a hard-line, anti-immigrant response from President Donald Trump.In a brief video statement in which he called the shooting an “act of evil,” Trump on Wednesday painted immigrants as an existential threat to national security, while his administration ordered an immediate halt to the processing of immigration applications from Afghanistan.”We must take all necessary measures to ensure the removal of any alien from any country who does not belong here, or add benefit to our country. If they can’t love our country, we don’t want them,” the president said.Joseph Edlow, Trump’s director of US Citizenship and Immigration Services (USCIS), said Thursday that he had ordered a “full scale, rigorous reexamination of every Green Card for every alien from every country of concern.”His agency later pointed to a list of 19 countries — including Afghanistan, Cuba, Haiti, Iran and Myanmar — facing US travel restrictions under a previous order from Trump in June.The incident brings together three politically explosive issues: Trump’s controversial use of the military at home, immigration, and the legacy of the US war in Afghanistan.- Gunned down in ‘brazen’ attack -Both soldiers remained in critical condition on Thursday, while the suspected shooter was in detention in hospital.The US attorney for Washington DC, Jeanine Pirro, said the suspected assailant — identified as Rahmanullah Lakanwal — had been living in the western state of Washington and had driven across the country to the nation’s capital.In what she called a “brazen and targeted” attack, Pirro said the gunman opened fire with a .357 Smith and Wesson revolver on a group of guardsmen on patrol Wednesday just a few blocks shy of the White House.The suspect was charged with three counts of assault with intent to kill — charges that Pirro said would immediately be upgraded to first-degree murder if any of the guardsmen died.Officials said they still had no clear understanding of the motive behind the shooting.CIA director John Ratcliffe said the suspect had been part of a CIA-backed “partner force” fighting the Taliban in Afghanistan, and had been brought to the United States as part of a program to evacuate Afghans who had worked with the agency.Trump has deployed troops to several cities, all run by Democrats, including Washington, Los Angeles and Memphis. The move has prompted multiple lawsuits and allegations of authoritarian overreach by the White House.In the wake of Wednesday’s shooting, Defense Secretary Pete Hegseth announced 500 more troops would deploy to Washington, bringing the total to 2,500. This despite a federal judge last week ordering a temporary suspension of the deployment on the grounds that it was likely illegal.- Afghan legacy -The heads of the FBI, CIA and Homeland Security and other senior Trump appointees all insisted that Lakanwal had been granted unvetted access to the United States because of lax asylum policies in the wake of the chaotic final US withdrawal from Afghanistan under former president Joe Biden.But AfghanEvac, a group that helped resettle Afghans in the United States after the military withdrawal, said they undergo “some of the most extensive security vetting” of any migrants.The group noted Lakanwal had been granted asylum in April 2025, under the Trump administration, and would be eligible to request permanent residency a year later.”This individual’s isolated and violent act should not be used as an excuse to define or diminish an entire community,” said its president, Shawn VanDiver.