Part of central New York City locked down for ‘active shooter’
Police swarmed Midtown Manhattan on Monday as the mayor of New York City said there was “an active shooter investigation” amid reports a police officer had been struck.”New Yorkers: there is an active shooter investigation taking place in Midtown right now. Please take proper safety precautions if you are in vicinity and do not go outside if you are near Park Avenue and East 51st Street,” Mayor Eric Adams wrote on X.Police officers deployed a drone near Park Avenue at the height of the evening rush-hour as dozens of officers gathered in the area, some carrying long guns and others wearing ballistic vests.A number of ambulances had gathered in the vicinity.Officers at the scene confirmed to an AFP correspondent that there was a shooter but gave no other details.CNN reported that a police officer and at least one civilian had been shot, but AFP was unable to immediately confirm that.Police repeatedly pushed back journalists and members of the public who gathered to see what was happening in the normally calm but busy area of Midtown Manhattan.The area is home to several five-star business hotels, as well as a number of corporate headquarters, including Colgate Palmolive and KPMG, the auditor.
Colombie: l’ex-président Alvaro Uribe déclaré coupable de subornation de témoin
L’ancien président colombien Alvaro Uribe a été reconnu coupable lundi d’avoir tenté de faire pression sur un témoin pour éviter d’être associé aux milices d’extrême droite ayant mené une guerre sanglante contre les guérillas, dans le premier procès visant un ex-chef de l’Etat colombien.L’homme politique de 73 ans, président de 2002 à 2010, était accusé d’avoir cherché à faire changer de version des témoins dans une enquête le concernant. Son procès était très suivi à moins d’un an de la prochaine présidentielle.La juge en charge de l’affaire a déclaré M. Uribe coupable de subornation de témoin, lors d’une audience lundi à Bogota suivie à distance par l’ancien dirigeant.Egalement poursuivi pour fraude procédurale, il encourt jusqu’à 12 ans de prison.Cette décision en première instance peut faire l’objet d’un appel.- Témoignage compromettant -En 2012, Alvaro Uribe a accusé devant la Cour suprême le sénateur de gauche Ivan Cepeda d’avoir ourdi un complot pour le lier à tort à des groupes paramilitaires impliqués dans le long conflit armé colombien.La cour a décidé de ne pas poursuivre M. Cepeda et s’est plutôt penchée sur les accusations portant sur M. Uribe, soupçonné d’avoir contacté d’anciens combattants emprisonnés pour qu’ils mentent en sa faveur. L’ancien dirigeant affirme qu’il voulait seulement les convaincre de dire la vérité.L’enquête contre Alvaro Uribe a commencé en 2018 et a connu de nombreux rebondissements, plusieurs procureurs généraux ayant cherché à classer l’affaire.Son procès, ouvert en mai 2024 et diffusé en direct par les médias locaux, a vu défiler plus de 90 témoins.Selon le témoignage d’un paramilitaire condamné, Alvaro Uribe et son frère Santiago Uribe ont participé à la création d’un groupe paramilitaire connu sous le nom de Bloc Metro dans le département d’Antioquia dans les années 90. Ce témoin affirme que Diego Cadena, l’un des avocats de M. Uribe, a fait pression lors de visites en prison pour qu’il change ses déclarations et a tenté de le soudoyer. L’avocat fait l’objet d’un procès distinct.- Figure clé -Les groupes paramilitaires sont apparus dans les années 1980 en Colombie pour combattre les guérillas marxistes qui avaient pris les armes contre l’Etat deux décennies plus tôt avec l’objectif déclaré de lutter contre la pauvreté et la marginalisation politique, notamment dans les zones rurales.Ces dernières décennies, une pléthore de groupes armés ont adopté la cocaïne comme principale source de revenus, alimentant une rivalité sanglante qui perdure en Colombie.La décision de justice concernant l’ex-président, apprécié d’une partie de la population pour sa fermeté à l’égard des guérillas mais également critiqué pour des soupçons de violations des droits de l’Homme pendant sa présidence, porte un coup dur à la droite colombienne en vue de l’élection présidentielle de mai 2026.Washington a dénoncé lundi une “instrumentalisation du pouvoir judiciaire” par des “juges radicaux”, estimant que “le seul crime de l’ancien président colombien Uribe est d’avoir défendu et s’être battu sans relâche pour son pays”.Alvaro Uribe, à la tête du parti Centro Democratico, demeure une figure clé de la scène politique de son pays et exerce une grande influence sur la droite colombienne, dans l’opposition depuis l’arrivée au pouvoir en 2022 du premier président de gauche du pays, Gustavo Petro.L’ex-dirigeant clame son innocence et estime qu’il s’agit d’un procès politique motivé par un désir de “vengeance” de la gauche, de l’ancienne guérilla des Farc et de l’ancien président Juan Manuel Santos, signataire de l’accord qui a désarmé les Farc en 2017.Il fait l’objet d’enquêtes dans d’autres affaires. Ainsi, il a témoigné devant les procureurs dans une enquête préliminaire sur un massacre paramilitaire de petits agriculteurs en 1997, quand il était gouverneur du département occidental d’Antioquia.Une plainte a également été déposée contre lui en Argentine, où la juridiction universelle permet de poursuivre des crimes commis n’importe où dans le monde, pour son implication présumée dans plus de 6.000 exécutions et disparitions forcées de civils par l’armée quand il était président.
Plaidoyers à l’ONU pour la solution à deux Etats, israélien et palestinien
La solution à deux Etats, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux Etats membres de l’ONU lors d’une conférence internationale fustigée par Israël et les Etats-Unis.”La solution à deux Etats est en danger de mort”, a alerté le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui copréside avec l’Arabie saoudite cette réunion aux Nations unies jusqu’à mercredi. Mais “il n’existe pas d’alternative” à cette voie qui “permet de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens”. “Après 22 mois de tentatives infructueuses, il est illusoire d’espérer un cessez-le-feu pérenne sans dessiner une vision commune de l’après-guerre à Gaza, sans tracer un horizon politique et une alternative à l’état de guerre permanent”, a-t-il ajouté.Cette conférence a toutefois été critiquée avec virulence par les Etats-Unis. Le Département d’Etat a dénoncé une initiative “improductive et inopportune”, qui s’apparente à un “coup de publicité” au milieu “d’efforts diplomatiques délicats visant à mettre fin au conflit”. De son côté, Israël a accusé l’initiative de “renforcer une illusion”.- “Point de rupture” -Après l’annonce jeudi du président français, Emmanuel Macron, qu’il reconnaîtrait l’Etat palestinien formellement en septembre, la conférence convoquée par l’Assemblée générale de l’ONU espère enclencher une dynamique en la matière.Selon le décompte et les vérifications de l’AFP, au moins 142 des 193 Etats membres de l’ONU — en comptant la France — reconnaissent désormais l’Etat palestinien proclamé par la direction palestinienne en exil en 1988.D’autres “pays occidentaux” vont exprimer leur intention de reconnaître l’Etat palestinien cette semaine, a assuré M. Barrot, sans les identifier.A l’issue de la première journée, seul le Luxembourg a laissé entendre qu’il pourrait emboîter le pas à la France en septembre.En 1947, une résolution de l’Assemblée générale de l’ONU avait décidé le partage de la Palestine alors sous mandat britannique, en deux Etats indépendants, l’un juif et l’autre arabe. L’année suivante, l’Etat d’Israël était proclamé.Depuis plusieurs décennies, la grande majorité de la communauté internationale soutient le principe d’une solution à deux Etats vivant côte à côte en paix et sécurité.Mais après plus de 21 mois de guerre à Gaza, l’extension de la colonisation israélienne en Cisjordanie et les velléités de responsables israéliens d’annexer ce territoire occupé, la crainte que la création d’un Etat palestinien ne soit physiquement impossible gagne du terrain.”Nous sommes à un point de rupture. La solution à deux Etats est plus éloignée que jamais”, a ainsi insisté le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. “Soyons clairs, l’annexion insidieuse de la Cisjordanie est illégale, ça doit s’arrêter. La destruction à grande échelle de Gaza est intolérable, ça doit s’arrêter”, a-t-il martelé.- “Platitudes” -La conférence se concentre aussi sur trois autres axes: la réforme de la gouvernance de l’Autorité palestinienne, le désarmement du Hamas et son exclusion de la gouvernance palestinienne, et la normalisation des relations avec Israël par les Etats arabes qui ne l’ont pas encore fait. Le Premier ministre palestinien, Mohammad Mustafa, a affirmé à la tribune de l’Assemblée générale que l’Autorité Palestinienne était prête à assumer la responsabilité sur Gaza. “Le Hamas doit rendre son contrôle sur la bande de Gaza et remettre ses armes à l’Autorité palestinienne”, a-t-il plaidé.Aucune annonce de normalisation avec Israël n’est en revanche attendue cette semaine, selon une source diplomatique française.Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, a répété que “la normalisation avec Israël ne peut passer que par l’établissement d’un Etat palestinien”. La pression internationale ne cesse de s’intensifier sur Israël pour mettre fin à la guerre à Gaza, déclenchée par les attaques du Hamas du 7 octobre 2023.La catastrophe humanitaire dans le petit territoire ravagé était ainsi au coeur des discours des représentants qui se sont succédé à tribune lundi, même si Israël a déclaré dimanche une pause quotidienne des combats à des fins humanitaires dans certains secteurs.Dans ce contexte, “plus de platitudes sur la solution à deux Etats et le processus de paix n’aideront pas à atteindre les objectifs de la conférence ni à arrêter l’extermination des Palestiniens à Gaza”, a lancé Bruno Stagno, de Human Rights Watch, réclamant des sanctions contre Israël.
Plaidoyers à l’ONU pour la solution à deux Etats, israélien et palestinien
La solution à deux Etats, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux Etats membres de l’ONU lors d’une conférence internationale fustigée par Israël et les Etats-Unis.”La solution à deux Etats est en danger de mort”, a alerté le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui copréside avec l’Arabie saoudite cette réunion aux Nations unies jusqu’à mercredi. Mais “il n’existe pas d’alternative” à cette voie qui “permet de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens”. “Après 22 mois de tentatives infructueuses, il est illusoire d’espérer un cessez-le-feu pérenne sans dessiner une vision commune de l’après-guerre à Gaza, sans tracer un horizon politique et une alternative à l’état de guerre permanent”, a-t-il ajouté.Cette conférence a toutefois été critiquée avec virulence par les Etats-Unis. Le Département d’Etat a dénoncé une initiative “improductive et inopportune”, qui s’apparente à un “coup de publicité” au milieu “d’efforts diplomatiques délicats visant à mettre fin au conflit”. De son côté, Israël a accusé l’initiative de “renforcer une illusion”.- “Point de rupture” -Après l’annonce jeudi du président français, Emmanuel Macron, qu’il reconnaîtrait l’Etat palestinien formellement en septembre, la conférence convoquée par l’Assemblée générale de l’ONU espère enclencher une dynamique en la matière.Selon le décompte et les vérifications de l’AFP, au moins 142 des 193 Etats membres de l’ONU — en comptant la France — reconnaissent désormais l’Etat palestinien proclamé par la direction palestinienne en exil en 1988.D’autres “pays occidentaux” vont exprimer leur intention de reconnaître l’Etat palestinien cette semaine, a assuré M. Barrot, sans les identifier.A l’issue de la première journée, seul le Luxembourg a laissé entendre qu’il pourrait emboîter le pas à la France en septembre.En 1947, une résolution de l’Assemblée générale de l’ONU avait décidé le partage de la Palestine alors sous mandat britannique, en deux Etats indépendants, l’un juif et l’autre arabe. L’année suivante, l’Etat d’Israël était proclamé.Depuis plusieurs décennies, la grande majorité de la communauté internationale soutient le principe d’une solution à deux Etats vivant côte à côte en paix et sécurité.Mais après plus de 21 mois de guerre à Gaza, l’extension de la colonisation israélienne en Cisjordanie et les velléités de responsables israéliens d’annexer ce territoire occupé, la crainte que la création d’un Etat palestinien ne soit physiquement impossible gagne du terrain.”Nous sommes à un point de rupture. La solution à deux Etats est plus éloignée que jamais”, a ainsi insisté le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. “Soyons clairs, l’annexion insidieuse de la Cisjordanie est illégale, ça doit s’arrêter. La destruction à grande échelle de Gaza est intolérable, ça doit s’arrêter”, a-t-il martelé.- “Platitudes” -La conférence se concentre aussi sur trois autres axes: la réforme de la gouvernance de l’Autorité palestinienne, le désarmement du Hamas et son exclusion de la gouvernance palestinienne, et la normalisation des relations avec Israël par les Etats arabes qui ne l’ont pas encore fait. Le Premier ministre palestinien, Mohammad Mustafa, a affirmé à la tribune de l’Assemblée générale que l’Autorité Palestinienne était prête à assumer la responsabilité sur Gaza. “Le Hamas doit rendre son contrôle sur la bande de Gaza et remettre ses armes à l’Autorité palestinienne”, a-t-il plaidé.Aucune annonce de normalisation avec Israël n’est en revanche attendue cette semaine, selon une source diplomatique française.Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, a répété que “la normalisation avec Israël ne peut passer que par l’établissement d’un Etat palestinien”. La pression internationale ne cesse de s’intensifier sur Israël pour mettre fin à la guerre à Gaza, déclenchée par les attaques du Hamas du 7 octobre 2023.La catastrophe humanitaire dans le petit territoire ravagé était ainsi au coeur des discours des représentants qui se sont succédé à tribune lundi, même si Israël a déclaré dimanche une pause quotidienne des combats à des fins humanitaires dans certains secteurs.Dans ce contexte, “plus de platitudes sur la solution à deux Etats et le processus de paix n’aideront pas à atteindre les objectifs de la conférence ni à arrêter l’extermination des Palestiniens à Gaza”, a lancé Bruno Stagno, de Human Rights Watch, réclamant des sanctions contre Israël.
Plaidoyers à l’ONU pour la solution à deux Etats, israélien et palestinien
La solution à deux Etats, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux Etats membres de l’ONU lors d’une conférence internationale fustigée par Israël et les Etats-Unis.”La solution à deux Etats est en danger de mort”, a alerté le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, qui copréside avec l’Arabie saoudite cette réunion aux Nations unies jusqu’à mercredi. Mais “il n’existe pas d’alternative” à cette voie qui “permet de répondre aux aspirations légitimes des Israéliens et des Palestiniens”. “Après 22 mois de tentatives infructueuses, il est illusoire d’espérer un cessez-le-feu pérenne sans dessiner une vision commune de l’après-guerre à Gaza, sans tracer un horizon politique et une alternative à l’état de guerre permanent”, a-t-il ajouté.Cette conférence a toutefois été critiquée avec virulence par les Etats-Unis. Le Département d’Etat a dénoncé une initiative “improductive et inopportune”, qui s’apparente à un “coup de publicité” au milieu “d’efforts diplomatiques délicats visant à mettre fin au conflit”. De son côté, Israël a accusé l’initiative de “renforcer une illusion”.- “Point de rupture” -Après l’annonce jeudi du président français, Emmanuel Macron, qu’il reconnaîtrait l’Etat palestinien formellement en septembre, la conférence convoquée par l’Assemblée générale de l’ONU espère enclencher une dynamique en la matière.Selon le décompte et les vérifications de l’AFP, au moins 142 des 193 Etats membres de l’ONU — en comptant la France — reconnaissent désormais l’Etat palestinien proclamé par la direction palestinienne en exil en 1988.D’autres “pays occidentaux” vont exprimer leur intention de reconnaître l’Etat palestinien cette semaine, a assuré M. Barrot, sans les identifier.A l’issue de la première journée, seul le Luxembourg a laissé entendre qu’il pourrait emboîter le pas à la France en septembre.En 1947, une résolution de l’Assemblée générale de l’ONU avait décidé le partage de la Palestine alors sous mandat britannique, en deux Etats indépendants, l’un juif et l’autre arabe. L’année suivante, l’Etat d’Israël était proclamé.Depuis plusieurs décennies, la grande majorité de la communauté internationale soutient le principe d’une solution à deux Etats vivant côte à côte en paix et sécurité.Mais après plus de 21 mois de guerre à Gaza, l’extension de la colonisation israélienne en Cisjordanie et les velléités de responsables israéliens d’annexer ce territoire occupé, la crainte que la création d’un Etat palestinien ne soit physiquement impossible gagne du terrain.”Nous sommes à un point de rupture. La solution à deux Etats est plus éloignée que jamais”, a ainsi insisté le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. “Soyons clairs, l’annexion insidieuse de la Cisjordanie est illégale, ça doit s’arrêter. La destruction à grande échelle de Gaza est intolérable, ça doit s’arrêter”, a-t-il martelé.- “Platitudes” -La conférence se concentre aussi sur trois autres axes: la réforme de la gouvernance de l’Autorité palestinienne, le désarmement du Hamas et son exclusion de la gouvernance palestinienne, et la normalisation des relations avec Israël par les Etats arabes qui ne l’ont pas encore fait. Le Premier ministre palestinien, Mohammad Mustafa, a affirmé à la tribune de l’Assemblée générale que l’Autorité Palestinienne était prête à assumer la responsabilité sur Gaza. “Le Hamas doit rendre son contrôle sur la bande de Gaza et remettre ses armes à l’Autorité palestinienne”, a-t-il plaidé.Aucune annonce de normalisation avec Israël n’est en revanche attendue cette semaine, selon une source diplomatique française.Le ministre saoudien des Affaires étrangères, le prince Fayçal ben Farhane, a répété que “la normalisation avec Israël ne peut passer que par l’établissement d’un Etat palestinien”. La pression internationale ne cesse de s’intensifier sur Israël pour mettre fin à la guerre à Gaza, déclenchée par les attaques du Hamas du 7 octobre 2023.La catastrophe humanitaire dans le petit territoire ravagé était ainsi au coeur des discours des représentants qui se sont succédé à tribune lundi, même si Israël a déclaré dimanche une pause quotidienne des combats à des fins humanitaires dans certains secteurs.Dans ce contexte, “plus de platitudes sur la solution à deux Etats et le processus de paix n’aideront pas à atteindre les objectifs de la conférence ni à arrêter l’extermination des Palestiniens à Gaza”, a lancé Bruno Stagno, de Human Rights Watch, réclamant des sanctions contre Israël.
Forceful pleas at UN for two-state solution for Israel, Palestinians
There is no alternative to a two-state solution between Israelis and the Palestinians, France told a UN conference co-chaired with Saudi Arabia Monday that was boycotted by Israel and branded a stunt by Washington.”Only a political, two-state solution will help respond to the legitimate aspirations of Israelis and Palestinians to live in peace and security. There is no alternative,” French Foreign Minister Jean-Noel Barrot said at the start of the three-day meeting.Days before the conference, French President Emmanuel Macron announced he would formally recognize Palestinian statehood in September, provoking strong opposition from Israel and the United States.Luxembourg hinted Monday that it could follow France and recognize a Palestinian state in September, with the possibility that other countries could announce similar plans when the conference resumes Tuesday.”All states have a responsibility to act now,” said Palestinian prime minister Mohammad Mustafa at the start of the meeting, calling for an international force to help underwrite Palestinian statehood.He called for the world to recognize Palestinian statehood, while later demanding that Hamas surrender control of the Gaza Strip and its arms as part of a deal to end fighting in the territory.France is hoping Britain will follow its lead. More than 200 British members of parliament on Friday voiced support for the idea, but Prime Minister Keir Starmer said that recognition of a Palestinian state “must be part of a wider plan.”United Nations Secretary-General Antonio Guterres said at the meeting “the two-state solution is farther than ever before.”According to an AFP database, at least 142 of the 193 UN member states now recognize the Palestinian state proclaimed by the Palestinian leadership in exile in 1988.In 1947, in a resolution approved by the General Assembly, the United Nations decided to partition Palestine, then under a British mandate, into Jewish and Arab states. Israel was proclaimed in 1948.For decades, most UN members have supported a two-state solution with Israel and a Palestinian state existing side-by-side.But after more than 21 months of war in Gaza, the ongoing expansion of Israeli settlements in the West Bank, and Israeli officials declaring designs to annex occupied territory, it is feared a Palestinian state could become geographically impossible.The current war in Gaza started following a deadly attack by Hamas on Israel, which responded with a large-scale military response that has claimed tens of thousands of Palestinian lives and destroyed most infrastructure in the enclave.Barrot said it would be an “illusion to think that you can get to a lasting ceasefire without having an outline of what’s going to happen in Gaza after the end of the war and having a political horizon.” – ‘Israeli unilateral actions’ -Beyond facilitating conditions for recognizing Palestine, the meeting will focus on three other issues: reform of the Palestinian Authority, disarmament of Hamas and its exclusion from Palestinian public life, and normalization of relations with Israel by Arab states.However, no new normalization deals are expected to be announced at the meeting, according to a French diplomatic source.Saudi Arabia’s Foreign Minister Faisal bin Farhan Al-Saud said US President Donald Trump could be a “catalyst” to ending the war in Gaza and jump-starting the two-state solution, stressing Riyadh had no plans to normalize relations with Israel.Following his plea to Trump, the US State Department labeled the three-day event “unproductive and ill-timed,” as well as a “publicity stunt” that would make finding peace harder.Jordan’s Foreign Minister Ayman Safadi said action was needed to counter Israeli “settlements, land confiscation (and) encroachments on the holy sites.”Israel and the United States were not taking part in the meeting, amid growing international pressure on Israel to end nearly two years of war in Gaza.Despite “tactical pauses” announced by Israel, the humanitarian catastrophe in Gaza will dominate speeches.Israeli Ambassador to the UN Danny Danon said “this conference does not promote a solution.”
DR Congo church massacre survivors recount night of terrorMon, 28 Jul 2025 21:35:04 GMT
Gunshots thundered and attackers burst into the church hall, picked out victims, tied them up and shot them dead, survivors of the massacre in northeastern Democratic Republic of Congo said Monday.Witnesses of the attack overnight Saturday to Sunday in Komanda, Ituri province, described to AFP how Allied Democratic Forces (ADF) fighters massacred dozens of worshippers …
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