Ligue 1: Rome réussit à l’OM, toujours deuxième

L’air romain a fait du bien à l’OM: après une semaine de stage en Italie, Marseille a nettement battu Brest dimanche au Stade Vélodrome (4-1), grâce notamment à un magnifique triplé d’Amine Gouiri, et a ainsi repris et même consolidé sa deuxième place de Ligue 1.Beaucoup de candidats à la Ligue des champions ont gagné ce week-end, de Marseille à Strasbourg en passant par Lille, Lyon et Nice, et personne n’a donc vraiment fait la bonne affaire.Mais Monaco, tenu en échec au Havre, a fait la mauvaise et c’est déjà ça de pris pour l’OM et les autres. A trois journées du but, Marseille est en tous cas toujours deuxième, avec deux longueurs d’avance sur Lille, son prochain adversaire, et trois sur Monaco.Pour autant, le haut du classement est beaucoup trop serré pour dire que Marseille a un pied en Europe. Mais les hommes de Roberto De Zerbi, toujours en quête de sérénité, sont mieux là que quelques crans plus bas.Et après voir corrigé Montpellier 5-1, les quatre buts infligés dimanche à des Brestois d’abord coriaces puis résignés, ont confirmé que l’OM avait retrouvé un peu de brillant offensif.Côté marseillais, après une petite semaine de stage à Rome, c’était la soirée des retours, à commencer par celui du propriétaire Frank McCourt, déjà passé par le Vélodrome il y a quelques semaines lors de la venue de Toulouse. Mais il y a surtout eu celui, espéré mais précoce, du capitaine Leonardo Balerdi et, beaucoup plus inattendu, celui de la défense à quatre, un système abandonné il y a plusieurs mois déjà par De Zerbi.Dans un tout premier temps, ce choix n’a pas paru très convaincant, car l’OM a d’abord souffert, avec un double miracle signé Balerdi et Geronimo Rulli devant Abdallah Sima (2e).- Ovation pour Gouiri -Très vite pourtant, Marseille est passé en tête grâce à Amine Gouiri, déjà, buteur d’une jolie frappe croisée après un long et bon ballon de Luis Henrique (1-0, 8e).Incapables depuis sept matches de ne pas prendre de but, les Marseillais ont ensuite été rejoints, avec un but de Sima sur le deuxième temps d’un corner très mal défendu (1-1, 26e).La suite, qui a permis à l’OM de rentrer aux vestiaires avec deux buts d’avance, a été successivement chanceuse et magnifique. Les Marseillais sont d’abord repassés devant sur un but heureux, avec une frappe de Mason Greenwood déviée par la cuisse du capitaine Brendan Chardonnet (2-1, 37e).Puis il y a eu l’exceptionnel, avec le somptueux doublé de Gouiri qui, sur un centre de Greenwood, a enchaîné amorti poitrine et retourné pied droit pour un but qui a fait trembler le Vélodrome (3-1, 45e).Logiquement, la deuxième période a été moins enlevée. Plus tranquille et sûr de lui que ces dernières semaines, l’OM a facilement contrôlé les débats. Brest, dont la fin de saison semble désormais assez dénuée d’enjeux, n’a d’ailleurs pas insisté plus que cela.Mais les 45 dernières minutes ont tout de même été animées par le triplé de Gouiri, dont l’arrivée cet hiver a vraiment été une réussite de la direction marseillaise. Lancé dans le bon tempo et à la limite du hors-jeu par Rabiot, l’Algérien a facilement trompé Grégoire Coudert (4-1, 63e) et a eu droit à un triomphe (romain) lors de sa sortie quelques minutes plus tard.Après ces deux succès à domicile, l’OM va probablement repartir à Rome mardi. Il aura ensuite deux déplacements consécutifs, à Lille puis au Havre. S’il en ramène quelques points, l’Europe, cette fois, ne sera vraiment plus très loin.

Meurtre dans une mosquée du Gard: le meurtrier toujours en fuite, émoi jusqu’au sommet de l’Etat

Près de trois jours après le meurtre d’un jeune Malien dans la mosquée de la petite commune gardoise de La Grand-Combe, son assassin, un homme d’une vingtaine d’années “extrêmement dangereux” et soupçonné de vouloir récidiver, restait introuvable dimanche soir, alors que les réactions se multiplient jusqu’au sommet de l’Etat.”Le racisme et la haine en raison de la religion n’auront jamais leur place en France”, a ainsi assuré Emmanuel Macron, sur X: “La liberté de culte est intangible”, a insisté le chef de l’Etat, en adressant “le soutien de la Nation” à la famille de la victime et “à nos compatriotes de confession musulmane”.Dans la commune encore traumatisée, une marche blanche en souvenir de la victime, Aboubakar Cissé, un jeune Malien d’une vingtaine d’années, a rassemblée plus d’un millier de personnes dans l’après-midi, entre la mosquée Khadidja, où s’est déroulé le drame, et la mairie de cette petite commune de moins de 5.000 habitants au nord d’Alès.Parmi eux, Abdallah Zekri, recteur de la mosquée de la Paix à Nîmes, ne cachait pas son “sentiment de colère et de haine à l’égard de ceux qui ont commis ce crime” et dénonçant un climat islamophobe.”Du matin au soir, vous allumez la télévision, qu’est-ce que vous entendez, l’islam, les musulmans, les migrants, les OQTF, il n’y a que ça”, a-t-il accusé, regrettant l’absence à leurs côtés du ministre de l’Intérieur et du préfet.Pour son déplacement dans le Gard dimanche, Bruno Retailleau a opté pour la sous-préfecture d’Alès, où il a rencontré des représentants locaux de la communauté musulmane. Après “un message de compassion pour Aboubakar Cissé”, ce jeune homme mort “dans des conditions absolument ignobles”, alors qu'”il priait son Dieu”, Bruno Retailleau a assuré que “la piste d’un acte antimusulman n’est pas du tout négligée, bien au contraire”.Interrogé ensuite sur BFMTV, à Paris, le ministre a annoncé un renforcement des mesures de sécurité autour des mosquées de France, après avoir demandé dès vendredi de protéger les lieux de culte dans le Gard.- Le parquet antiterroriste “en évaluation” -Si la piste d’un acte islamophobe est celle sur laquelle les 70 enquêteurs “travaillent en priorité, (…) ce n’est pas la seule”, avait insisté, aux côtés du ministre, le procureur d’Alès, Abdelkrim Grini, évoquant “certains éléments (qui) pourraient laisser penser que ce mobile n’était peut-être pas le mobile premier (…) ou le seul mobile”.La piste de l’acte islamophobe est celle majoritairement retenue par la classe politique, à l’image du Premier ministre François Bayrou, qui a dénoncé samedi “une ignominie islamophobe”.”L’islamophobie tue. Tous ceux qui y contribuent sont coupables”, avait martelé Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France Insoumise, sur X, dès vendredi, avant de récidiver dimanche soir, place de la République à Paris, lors d’un rassemblement en mémoire d’Aboubakar Cissé, en accusant le ministre de l’Intérieur de cultiver “un climat islamophobe”.”L’islamophobie est normalisée(…) C’est banalisé d’être raciste”, a dénoncé Marianne, une trentenaire parisienne présente parmi les centaines de personnes réunies pour cette minute de silence. Pour la Grande Mosquée de Paris, “il fait peu de doute” que le meurtrier de La Grand-Combe “a été motivé par la haine des musulmans”. Et l’institution religieuse demandait même “aux autorités compétentes de communiquer au public si la piste #terroriste est privilégiée”.Dimanche soir, le parquet national antiterroriste restait “en évaluation à ce stade”. Une réaction qui a provoqué la colère de Mourad Battikh, l’un des avocats de la famille de la victime, selon qui il ne fait “aucun doute” que ce meurtre est “une attaque de nature terroriste”: “Il est évident que le Pnat doit se saisir de cette affaire sans délai”, a-t-il plaidé sur Instagram, estimant que “la communauté musulmane doit bénéficier du même traitement que tout autre citoyen”.Les éléments officiellement communiqués sur le meurtrier restaient peu nombreux dimanche: “Olivier A.”, né à Lyon en 2004, est un homme de nationalité française, issu d’une famille bosnienne, sans emploi et sans aucun antécédent judiciaire.Une certitude pour la justice: il est “potentiellement extrêmement dangereux” et il est “primordial” de l’interpeller avant qu’il fasse de nouvelles victimes. Dans “les propos décousus” que l’homme tient dans la vidéo qu’il a réalisée juste après son meurtre, face à sa victime agonisante, il semble “manifester son intention de recommencer”, avait précisé samedi le procureur à l’AFP.Dans cette vidéo, le meurtrier se félicite de son acte et insulte la religion de sa victime: “Je l’ai fait, (…) ton Allah de merde”, répète-t-il à deux reprises.

Meurtre dans une mosquée du Gard: le meurtrier toujours en fuite, émoi jusqu’au sommet de l’Etat

Près de trois jours après le meurtre d’un jeune Malien dans la mosquée de la petite commune gardoise de La Grand-Combe, son assassin, un homme d’une vingtaine d’années “extrêmement dangereux” et soupçonné de vouloir récidiver, restait introuvable dimanche soir, alors que les réactions se multiplient jusqu’au sommet de l’Etat.”Le racisme et la haine en raison de la religion n’auront jamais leur place en France”, a ainsi assuré Emmanuel Macron, sur X: “La liberté de culte est intangible”, a insisté le chef de l’Etat, en adressant “le soutien de la Nation” à la famille de la victime et “à nos compatriotes de confession musulmane”.Dans la commune encore traumatisée, une marche blanche en souvenir de la victime, Aboubakar Cissé, un jeune Malien d’une vingtaine d’années, a rassemblée plus d’un millier de personnes dans l’après-midi, entre la mosquée Khadidja, où s’est déroulé le drame, et la mairie de cette petite commune de moins de 5.000 habitants au nord d’Alès.Parmi eux, Abdallah Zekri, recteur de la mosquée de la Paix à Nîmes, ne cachait pas son “sentiment de colère et de haine à l’égard de ceux qui ont commis ce crime” et dénonçant un climat islamophobe.”Du matin au soir, vous allumez la télévision, qu’est-ce que vous entendez, l’islam, les musulmans, les migrants, les OQTF, il n’y a que ça”, a-t-il accusé, regrettant l’absence à leurs côtés du ministre de l’Intérieur et du préfet.Pour son déplacement dans le Gard dimanche, Bruno Retailleau a opté pour la sous-préfecture d’Alès, où il a rencontré des représentants locaux de la communauté musulmane. Après “un message de compassion pour Aboubakar Cissé”, ce jeune homme mort “dans des conditions absolument ignobles”, alors qu'”il priait son Dieu”, Bruno Retailleau a assuré que “la piste d’un acte antimusulman n’est pas du tout négligée, bien au contraire”.Interrogé ensuite sur BFMTV, à Paris, le ministre a annoncé un renforcement des mesures de sécurité autour des mosquées de France, après avoir demandé dès vendredi de protéger les lieux de culte dans le Gard.- Le parquet antiterroriste “en évaluation” -Si la piste d’un acte islamophobe est celle sur laquelle les 70 enquêteurs “travaillent en priorité, (…) ce n’est pas la seule”, avait insisté, aux côtés du ministre, le procureur d’Alès, Abdelkrim Grini, évoquant “certains éléments (qui) pourraient laisser penser que ce mobile n’était peut-être pas le mobile premier (…) ou le seul mobile”.La piste de l’acte islamophobe est celle majoritairement retenue par la classe politique, à l’image du Premier ministre François Bayrou, qui a dénoncé samedi “une ignominie islamophobe”.”L’islamophobie tue. Tous ceux qui y contribuent sont coupables”, avait martelé Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France Insoumise, sur X, dès vendredi, avant de récidiver dimanche soir, place de la République à Paris, lors d’un rassemblement en mémoire d’Aboubakar Cissé, en accusant le ministre de l’Intérieur de cultiver “un climat islamophobe”.”L’islamophobie est normalisée(…) C’est banalisé d’être raciste”, a dénoncé Marianne, une trentenaire parisienne présente parmi les centaines de personnes réunies pour cette minute de silence. Pour la Grande Mosquée de Paris, “il fait peu de doute” que le meurtrier de La Grand-Combe “a été motivé par la haine des musulmans”. Et l’institution religieuse demandait même “aux autorités compétentes de communiquer au public si la piste #terroriste est privilégiée”.Dimanche soir, le parquet national antiterroriste restait “en évaluation à ce stade”. Une réaction qui a provoqué la colère de Mourad Battikh, l’un des avocats de la famille de la victime, selon qui il ne fait “aucun doute” que ce meurtre est “une attaque de nature terroriste”: “Il est évident que le Pnat doit se saisir de cette affaire sans délai”, a-t-il plaidé sur Instagram, estimant que “la communauté musulmane doit bénéficier du même traitement que tout autre citoyen”.Les éléments officiellement communiqués sur le meurtrier restaient peu nombreux dimanche: “Olivier A.”, né à Lyon en 2004, est un homme de nationalité française, issu d’une famille bosnienne, sans emploi et sans aucun antécédent judiciaire.Une certitude pour la justice: il est “potentiellement extrêmement dangereux” et il est “primordial” de l’interpeller avant qu’il fasse de nouvelles victimes. Dans “les propos décousus” que l’homme tient dans la vidéo qu’il a réalisée juste après son meurtre, face à sa victime agonisante, il semble “manifester son intention de recommencer”, avait précisé samedi le procureur à l’AFP.Dans cette vidéo, le meurtrier se félicite de son acte et insulte la religion de sa victime: “Je l’ai fait, (…) ton Allah de merde”, répète-t-il à deux reprises.

Foot: Arne Slot, la révolution douce à Liverpool

Le placide Arne Slot a repris le flambeau de l’icône volcanique Jürgen Klopp à Liverpool avec subtilité et conviction, des qualités qu’il a su cultiver très tôt durant sa modeste carrière de joueur aux Pays-Bas.”Je dis toujours: je n’étais pas très rapide, certains me qualifiaient de lent, et cela m’a peut-être un peu aidé à comprendre le jeu” car “je devais beaucoup réfléchir”, a-t-il résumé en octobre.De ces limites, l’ancien milieu de terrain de FC Zwolle, NAC Breda et Sparta Rotterdam a tiré des principes forts, à commencer par l’humilité, le goût du travail et des détails, et le sens du collectif, aussi.Cette trilogie colle à la philosophie de Liverpool, certes, mais il n’était pas certain qu’elle se traduise en actes et en trophées de manière instantanée.Pourtant, le Néerlandais au CV peu épais a balayé le scepticisme ambiant grâce à une première saison fantastique en Premier League, où il a guidé les Reds à un 20e titre historique. “Arne Slot a apporté beaucoup de calme au club. Incroyable au niveau  tactique. Ils ont fait le bon choix”, a apprécié Daniel Sturridge, ex-attaquant de Liverpool, dimanche sur Sky Sports.À 46 ans, Slot accède à la renommée internationale pour sa première expérience à l’étranger, lui qui a commencé à entraîner en deuxième division, à Cambuur, avant d’être promu sur les bancs d’AZ Alkmaar (2019-2020) et du Feyenoord (2021-2024).- Van Basten de victime à adorateur -Le gamin de Bergentheim, une commune proche de l’Allemagne, a appris le métier auprès de son père Arend, directeur d’école et entraîneur de l’équipe locale, à la réputation stricte. Puis il a affiné sa science du jeu crampons au pied.En 2009 avec le Sparta, il a convaincu son entraîneur Foeke Booy, devant les autres joueurs, de renoncer à un pressing haut face à l’Ajax. Son équipe a gagné 4-0 et provoqué le départ de l’entraîneur adverse, un certain Marco van Basten.L’ancien grand attaquant de l’AC Milan n’est pas rancunier: “la façon dont il transmet toutes ses idées et dont il amène ses joueurs à jouer exactement de la manière voulue, c’est vraiment impressionnant. Il respire le calme parce qu’il est extrêmement intelligent”.Slot a réussi à vite sécher les larmes des supporters de Liverpool, orphelins du charismatique Klopp, parti après neuf ans de succès.La révolution s’est faite en douceur avec une équipe quasiment intacte (le seul renfort, Federico Chiesa, n’a quasiment pas joué), des repositionnements tactiques payants pour certains joueurs (Gravenberch, Szoboszlai), un style de jeu moins rock’n roll, certes, mais avec davantage de maîtrise et d’équilibre.”J’ai hérité d’un bon groupe”, a-t-il l’habitude de dire.- Humour et pédagogie -Son système tactique préférentiel (une formation alignée en 4-2-3-1) a aussi offert une grande liberté de mouvement à Mohamed Salah, la star d’attaque, auteur d’une saison supersonique sur l’aile droite.Sur les sujets extra-sportifs, il a esquivé les rares pièges médiatiques qui lui ont été tendus, en premier lieu celui de la délicate gestion des fins de contrat.Dans un anglais quasi-parfait, le Néerlandais a poliment répété que ce sujet concernait les joueurs et la direction sportive, pas lui. Et il a parfois utilisé l’humour pour mettre en sourdine les bruits parasites.Comme quand Salah a dit avoir peut-être disputé son “dernier” match à Anfield contre Manchester City, Slot a répondu en souriant: “peut-être que +Mo+ en sait plus sur les 115 charges (pesant sur City, ndlr), donc il s’attend à ce qu’ils ne soient pas en Premier League la saison prochaine”.A l’aise face aux caméras, direct et pédagogique face aux joueurs, le Néerlandais a déjà gagné l’essentiel: la Premier League et l’amour des supporters.Devant eux, dimanche, il a saisi un micro pour chanter le nom de son prédécesseur, sur l’air de “Life Is Life”. Klopp avait lancé cette reprise sur la pelouse d’Anfield, après son dernier match, en chantant “Arne Slot, la la la lala”. La boucle est bouclée, Slot est adopté.

Macron warns against religious hate after Muslim killed in mosqueSun, 27 Apr 2025 19:12:47 GMT

France’s President Emmanuel Macron lashed out Sunday against “racism and hatred” after the brutal stabbing to death of a Muslim in a mosque in the south of the country.Officials said the attacker, who is on the run, stabbed Aboubakar Cisse, a young Malian in his early 20s, dozens of times and then filmed him with …

Macron warns against religious hate after Muslim killed in mosqueSun, 27 Apr 2025 19:12:47 GMT Read More »

Pénurie de professeurs d’allemand: une députée du Haut-Rhin propose d’assurer les cours

La députée du Haut-Rhin Brigitte Klinkert (Renaissance) a proposé d’assurer cette semaine deux heures de cours d’allemand à des élèves de 4ème bilingue de Colmar, “privés de cours faute de professeur”, a-t-elle annoncé dimanche dans un communiqué.”Depuis des mois, les élèves de 4ème bilingue du collège Molière de Colmar sont privés de cours d’allemand faute de professeur”, explique dans un message également posté sur Facebook la députée, qui a également été ministre déléguée à l’Insertion auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion de 2020 à 2022.”Pour ne pas laisser les élèves en difficulté plus longtemps, j’ai proposé à l’Académie de leur assurer deux heures de cours d’allemand moi-même dès cette semaine!”, ajoute Mme Klinkert, qui est également Conseillère départementale d’Alsace. Celle-ci estime que “le bilinguisme franco-allemand est une chance précieuse: nous avons le devoir de le développer”.”Je dénonce cette pénurie depuis longtemps, et malgré les grandes déclarations la situation ne s’améliore pas sur le terrain”, ajoute-t-elle.

Pénurie de professeurs d’allemand: une députée du Haut-Rhin propose d’assurer les cours

La députée du Haut-Rhin Brigitte Klinkert (Renaissance) a proposé d’assurer cette semaine deux heures de cours d’allemand à des élèves de 4ème bilingue de Colmar, “privés de cours faute de professeur”, a-t-elle annoncé dimanche dans un communiqué.”Depuis des mois, les élèves de 4ème bilingue du collège Molière de Colmar sont privés de cours d’allemand faute de professeur”, explique dans un message également posté sur Facebook la députée, qui a également été ministre déléguée à l’Insertion auprès de la ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion de 2020 à 2022.”Pour ne pas laisser les élèves en difficulté plus longtemps, j’ai proposé à l’Académie de leur assurer deux heures de cours d’allemand moi-même dès cette semaine!”, ajoute Mme Klinkert, qui est également Conseillère départementale d’Alsace. Celle-ci estime que “le bilinguisme franco-allemand est une chance précieuse: nous avons le devoir de le développer”.”Je dénonce cette pénurie depuis longtemps, et malgré les grandes déclarations la situation ne s’améliore pas sur le terrain”, ajoute-t-elle.

Bumrah, Krunal Pandya star as Mumbai and Bengaluru win in IPL

Jasprit Bumrah returned figures of 4-22 to help Mumbai Indians defeat Lucknow Super Giants in the IPL on Sunday, while Krunal Pandya steered Royal Challengers Bengaluru to the top of the table in a victory over Delhi Capitals.India pace bowler Bumrah led five-time champions Mumbai to their fifth successive win with a 54-run hammering of LSG at the Wankhede Stadium.In the second match of the day, Krunal’s unbeaten 73 helped RCB beat Delhi Capitals by six wickets to move above Gujarat Titans at the summit.Chasing 163 for victory, Bengaluru slipped to 26-3 before Virat Kohli and Pandya put together a fourth wicket partnership of 119.Tim David smashed 19 not out off five deliveries to secure the win with nine balls to spare at Delhi’s Feroz Shah Kotla ground.”He (Pandya) can make that impact and we were just waiting for him to come into this tournament with the bat as well,” Kohli said of player of the match Pandya, who also took 1-28 with his left-arm spin.”And today was his day completely and he was absolutely brilliant.”Kohli compiled a measured 51, while Pandya struck five fours and four sixes in an innings which took the game away from Delhi.It was Bengaluru’s sixth successive away win as they and Kohli search for their first IPL title since the league’s inception in 2008.Bhuvneshwar Kumar and fellow pace bowler Josh Hazlewood shared five wickets between them to restrict Delhi to 162-8.In the chase, Delhi skipper Axar Patel opened the bowling with his left-arm spin and struck two early blows to send back England’s IPL debutant Jacob Bethell, out for 12, and Devdutt Padikkal, for a duck, two balls later.Bengaluru skipper Rajat Patidar was run out for six but Kohli and Pandya put Delhi under pressure with occasional boundaries mixed with quick running between the wickets.Once set, Pandya unleashed his power and reached his fifty off 38 balls with a four off Axar.Kohli completed his sixth half-century of the season as he edged past Mumbai Indians batter Suryakumar Yadav (427) as the leading run-scorer with 443.He finally fell to Sri Lanka fast bowler Dushmantha Chameera before Pandya and Australian international David took the team over the line.- Jacks of all trades -In the first match, Mumbai posted 215-7 after South Africa’s Ryan Rickleton hit 58 and Suryakumar Yadav hammered 54.All the bowlers contributed, including England’s Will Jacks who took two wickets in one over, as Mumbai bowled out Lucknow for 161.”I will always be a batter who bowls, my bowling is important,” said player of the match Jacks, who also made 29 with the bat.”I have worked hard on my bowling, doesn’t matter what others say. There are still improvements to be made.”It was Mumbai’s record-extending 150th IPL victory.Bumrah dismissed Aiden Markram to go past former quick Lasith Malinga’s record of 170 IPL wickets to become Mumbai’s all-time leading bowler.Bumrah, who recently returned from a back injury that forced him to miss India’s Champions Trophy title win in Dubai last month, now has 174 IPL wickets.Jacks got Nicholas Pooran out for 27 with his off-spin and struck two balls later to send back Lucknow skipper Rishabh Pant, caught out for four while attempting a reverse sweep.New Zealand left-arm quick Trent Boult took down Australia’s Mitchell Marsh for 34 and later dismissed Ayush Badoni for 35 to derail the chase, returning figures of 3-20.

Iran’s Khamenei orders probe into port blast that killed 40

Iran’s supreme leader Ayatollah Ali Khamenei ordered a thorough investigation Sunday into the causes of a major blast at a key southern port that killed at least 40 people and injured more than 1,000.His instructions came after President Masoud Pezeshkian visited the blast scene in Shahid Rajaee Port near the strategic Strait of Hormuz where a fire still blazed on Sunday more than 24 hours after the explosion.”Security and judicial officials are obliged to thoroughly investigate, uncover any negligence or intent, and follow up in accordance with regulations,” Khamenei said in a message carried by state television.With choking smoke and air pollution spreading throughout the area, all schools and offices in Bandar Abbas, the nearby capital of Hormozgan province, were ordered closed to allow authorities to focus on the emergency effort, state television said.The health ministry urged residents to avoid going outside “until further notice” and to use protective masks.Arriving in Bandar Abbas, the president expressed his appreciation to first responders, adding “we have come to see first-hand if there is anything or any issue that the government can follow up on”.”We will try to take care of the families who lost their loved ones, and we will definitely take care of the dear people who got injured,” he said.A photo released by Pezeshkian’s office later showed him at the bedside of a man hurt in the blast.The Russian embassy said Moscow was sending multiple “aircraft carrying specialists” to help fight the blaze.The New York Times quoted a person with ties to Iran’s Islamic Revolutionary Guard Corps, speaking on condition of anonymity to discuss security matters, as saying that what exploded was sodium perchlorate — a major ingredient in solid fuel for missiles.Defence ministry spokesman Reza Talaei-Nik later told state TV that “there has been no imported or exported cargo for military fuel or military use in the area”.The port’s customs office said in a statement carried by state television that the explosion probably resulted from a fire that broke out at the hazardous and chemical materials storage depot. – Area sealed off -A regional emergency official said several containers had exploded.”For the moment, 40 people have lost their lives as a result of injuries caused by the explosion,” Hormozgan provincial official Mohammad Ashouri told state television.The ISNA news agency, citing the provincial judiciary, gave the number of injured as 1,242.Red Crescent chief Pirhossein Koolivand said some of the injured were airlifted for treatment in the capital Tehran.Aerial photos released by the Iranian presidency showed black smoke rising from the disaster zone on Sunday and drifting towards the sea.”The fire is under control but still not out,” a state TV correspondent reported.Also at the scene on Sunday, Interior Minister Eskandar Momeni said “the situation has stabilised in the main areas” of the facility, Iran’s largest commercial port, and workers had resumed loading containers and customs clearance.Another official on site, Minister of Roads and Urban Development Farzaneh Sadegh, said only one zone of the port was impacted.An image from Iran’s Tasnim news agency on Sunday showed a helicopter dropping water on the disaster zone.Others showed firefighters working among toppled and blackened cargo containers, and carrying out the body of a victim.The authorities have closed off roads leading to the site, and footage from the area has been limited to Iranian media outlets.- Mourning -Beijing’s foreign ministry said in a statement to AFP on Sunday that three injured Chinese nationals were in a “stable” condition.The United Arab Emirates expressed “solidarity with Iran” over the explosion and Saudi Arabia sent condolences, as did Egypt, Pakistan, India, Turkey and the United Nations as well as Russia.The Tehran-backed Lebanese movement Hezbollah also offered condolences, saying Iran, with its “faith and solid will, can overcome this tragic accident”.In the first reaction from a major European country, the German embassy in Tehran said on Instagram: “Bandar Abbas, we grieve with you.”Authorities declared a day of national mourning on Monday, and three days of mourning in Hormozgan province from Sunday.The blast occurred as Iranian and US delegations were meeting in Oman for high-level talks on Tehran’s nuclear programme, with both sides reporting progress.While Iranian authorities so far appear to be treating the blast as an accident, it also comes against the backdrop of years of shadow war with regional foe Israel.According to the Washington Post, Israel launched a cyberattack targeting the Shahid Rajaee Port in 2020.