Chinese cluster now world’s top innovation hotspot: UN

Shenzhen-Hong Kong-Guangzhou has overtaken Tokyo-Yokohama to become the world’s top cluster for innovation, the United Nations said Monday.The UN’s World Intellectual Property Organization (WIPO) said the Chinese cluster had leapfrogged its Japanese rival in its 2025 Global Innovation Index.The change at the top of the world’s 100 leading innovation clusters was down to WIPO broadening the criteria to include venture capital investments to formulate the annual rankings.The UN agency dealing with patenting and innovation previously only used patent filing and scientific publishing data to identify local concentrations of world-leading innovation activity.”Venture capital investment activity helps capture how scientific and technological knowledge translates into start-up creation and, ultimately, new goods and services in the marketplace,” WIPO said.The agency said Shenzhen-Hong Kong-Guangzhou and Tokyo-Yokohama “make a massive contribution to global scientific publications and patenting outputs”, together accounting for nearly one in five patent applications filed globally.- Indian cities surge -The new ranking showed that San Jose-San Francisco has now overtaken Beijing, Seoul and Shanghai-Suzhou to grab the third place.London has shot up from 21st to eighth place, while Bengaluru has likewise jumped from 56th place to 21st on the back of venture capital deals.”Innovation clusters form the backbone of strong national innovation ecosystems, helping to anchor and strengthen the journey from ideas to market,” said WIPO chief Daren Tang.The recalibrated rankings “highlight which clusters are turning scientific research into economic results”.Overall, the change in methodology has seen East Asian clusters drop while US clusters have made gains.The change boosted Indian clusters, while those in the European Union — where the venture capital markets are sometimes less vigorous than in the United States — have tended to see a decline.- Most innovation clusters in China -The top 100 innovation clusters are spread across 33 economies, uniting “top universities, researchers, inventors, venture capitalists and research and development firms in driving forward breakthrough ideas”, WIPO said.By country, China for the third consecutive year led the ranking with the most clusters in the top 100, at 24, followed by the United States with 22 clusters.WIPO said the clusters with the most innovation-intensive activity in proportion to population size were San Jose-San Francisco in the United States, followed by Britain’s Cambridge.- Top 15 -The top 15 innovation clusters in 2025:1: Shenzhen-Hong Kong-Guangzhou (China)2: Tokyo-Yokohama (Japan)3: San Jose-San Francisco (United States)4: Beijing (China)5: Seoul (South Korea)6: Shanghai-Suzhou (China)7: New York City (United States)8: London (Britain)9: Boston-Cambridge (United States)10: Los Angeles (United States)11: Osaka-Kobe-Kyoto (Japan)12: Paris (France)13: Hangzhou (China)14: San Diego (United States)15: Nanjing (China)

Morocco set to be first African qualifiers for 2026 World CupMon, 01 Sep 2025 06:52:02 GMT

Morocco, captained by Ballon d’Or nominee Achraf Hakimi, could this week become the first African qualifiers for the 2026 World Cup. A matchday 7 win over Niger in Rabat will give the Atlas Lions an unassailable lead in Group E unless second-placed Tanzania triumph in Congo Brazzaville earlier that day.   But a Tanzanian triumph will most …

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Stressés ou impatients, les 12 millions d’élèves français font leur rentrée

Retour aux cartables, cahiers et cours de récré: 12 millions d’écoliers, collégiens et lycéens font leur rentrée lundi, marquée par quelques nouveautés, dont une réforme annoncée pour le contrôle continu au bac, mais des inconnues sur la situation budgétaire et gouvernementale.Pour certains, la rentrée attendra un peu: dans une décision rarissime, elle a été reportée à mardi dans les Bouches-du-Rhône et le Var par les préfets “en liaison avec les autorités académiques” en raison d’un épisode méditerranéen qui a déclenché une vigilance orange sur plusieurs départements.”C’est important qu’on ne mette pas en risque les familles qui peuvent conduire les élèves à l’école”, a justifié sur RTL la ministre de l’Education Elisabeth Borne.A Paris, dans une école élémentaire du 15e, Armel, 10 ans, affiche lui sa confiance avant de découvrir le CM2. “Je me sens bien. Je sens que je vais au moins réussir l’année, pour passer en 6e!”, lance-t-il. Son école a reçu lundi matin la visite de la ministre de l’Education, pour sa première et potentiellement dernière rentrée à ce poste. Mais si elle s’affiche sur le terrain, son sort reste incertain avant le vote de confiance à l’Assemblée le 8 septembre, qui risque d’entraîner la chute du gouvernement.- 2.500 profs manquants -La rentrée se déroule aussi dans un contexte de pression budgétaire, alors que le Premier ministre François Bayrou a exhorté à la rigueur.”On n’est pas très sereins”, résume Caroline Brisedoux, secrétaire nationale de la CFDT Education. “La perspective de ne pas avoir de ministre et d’envisager des restrictions budgétaires est un peu inquiétante”.”Il n’y a pas de boussole”, souligne Agnès Andersen, secrétaire générale du syndicat de chefs d’établissements ID-FO. “Les collègues reprennent, mais ils sont déjà épuisés”.Parmi les enjeux, la pénurie d’enseignants inquiète à nouveau cette année, même si la ministre s’est voulue rassurante sur le fait qu’il y aurait bien des professeurs devant la quasi-totalité des classes. “On a 99,9% des postes qui sont bien pourvus dans le premier degré, quasiment pas de postes non pourvus dans le second degré”, a-t-elle dit, tout en reconnaissant qu’il y aurait “comme chaque année, des heures d’enseignement qui ne sont pas totalement couvertes”.Il y a en cette rentrée “l’équivalent de 2.500 professeurs” manquants, a-t-elle précisé. “C’est moins que l’an dernier”.Pour le Snes-FSU, principal syndicat du second degré, au contraire, “on a une certitude, c’est qu’il n’y aura pas un professeur devant chaque classe lundi”, a souligné sa secrétaire générale Sophie Vénétitay. “On est extrêmement inquiets qu’il n’y ait pas assez de profs”, alors que la crise de recrutement des enseignants perdure, avec plus de 2.600 postes non pourvus aux concours enseignants du public et du privé, renchérit Grégoire Ensel, vice-président de la fédération de parents d’élèves FCPE.- Déconnexion -Cette rentrée verra par ailleurs la mise en oeuvre de plusieurs réformes, notamment concernant le “bac Blanquer”, plusieurs fois remanié depuis son lancement en 2019 par l’ex-ministre Jean-Michel Blanquer. Une nouvelle épreuve de mathématiques au bac en première sera ainsi lancée. Elisabeth Borne a par ailleurs annoncé des modifications pour le contrôle continu au bac. Désormais, les notes de première et terminale ne compteront plus toutes dans la note de contrôle continu. Une annonce de dernière minute qui a irrité les syndicats. “L’objectif, c’est de baisser la pression sur les élèves et sur les professeurs”, a-t-elle expliqué.La ministre a aussi indiqué que les élèves ayant obtenu moins de 8 sur 20 ne pourraient plus aller au rattrapage du bac. Pour les 3e, le brevet change aussi: l’examen passera de 50 à 60% de la note finale.Autre nouveauté en cette rentrée, pour lutter contre l’abus d’écrans, le dispositif “portable en pause”, qui vise à mieux faire appliquer l’interdiction des téléphones portables au collège, sera quant à lui développé, avec comme objectif une généralisation progressive d’ici la fin de l’année. Dans certains établissements, les élèves pourront ainsi être contraints à laisser leur portable dans des casiers ou pochettes pendant les cours. 

Stressés ou impatients, les 12 millions d’élèves français font leur rentrée

Retour aux cartables, cahiers et cours de récré: 12 millions d’écoliers, collégiens et lycéens font leur rentrée lundi, marquée par quelques nouveautés, dont une réforme annoncée pour le contrôle continu au bac, mais des inconnues sur la situation budgétaire et gouvernementale.Pour certains, la rentrée attendra un peu: dans une décision rarissime, elle a été reportée à mardi dans les Bouches-du-Rhône et le Var par les préfets “en liaison avec les autorités académiques” en raison d’un épisode méditerranéen qui a déclenché une vigilance orange sur plusieurs départements.”C’est important qu’on ne mette pas en risque les familles qui peuvent conduire les élèves à l’école”, a justifié sur RTL la ministre de l’Education Elisabeth Borne.A Paris, dans une école élémentaire du 15e, Armel, 10 ans, affiche lui sa confiance avant de découvrir le CM2. “Je me sens bien. Je sens que je vais au moins réussir l’année, pour passer en 6e!”, lance-t-il. Son école a reçu lundi matin la visite de la ministre de l’Education, pour sa première et potentiellement dernière rentrée à ce poste. Mais si elle s’affiche sur le terrain, son sort reste incertain avant le vote de confiance à l’Assemblée le 8 septembre, qui risque d’entraîner la chute du gouvernement.- 2.500 profs manquants -La rentrée se déroule aussi dans un contexte de pression budgétaire, alors que le Premier ministre François Bayrou a exhorté à la rigueur.”On n’est pas très sereins”, résume Caroline Brisedoux, secrétaire nationale de la CFDT Education. “La perspective de ne pas avoir de ministre et d’envisager des restrictions budgétaires est un peu inquiétante”.”Il n’y a pas de boussole”, souligne Agnès Andersen, secrétaire générale du syndicat de chefs d’établissements ID-FO. “Les collègues reprennent, mais ils sont déjà épuisés”.Parmi les enjeux, la pénurie d’enseignants inquiète à nouveau cette année, même si la ministre s’est voulue rassurante sur le fait qu’il y aurait bien des professeurs devant la quasi-totalité des classes. “On a 99,9% des postes qui sont bien pourvus dans le premier degré, quasiment pas de postes non pourvus dans le second degré”, a-t-elle dit, tout en reconnaissant qu’il y aurait “comme chaque année, des heures d’enseignement qui ne sont pas totalement couvertes”.Il y a en cette rentrée “l’équivalent de 2.500 professeurs” manquants, a-t-elle précisé. “C’est moins que l’an dernier”.Pour le Snes-FSU, principal syndicat du second degré, au contraire, “on a une certitude, c’est qu’il n’y aura pas un professeur devant chaque classe lundi”, a souligné sa secrétaire générale Sophie Vénétitay. “On est extrêmement inquiets qu’il n’y ait pas assez de profs”, alors que la crise de recrutement des enseignants perdure, avec plus de 2.600 postes non pourvus aux concours enseignants du public et du privé, renchérit Grégoire Ensel, vice-président de la fédération de parents d’élèves FCPE.- Déconnexion -Cette rentrée verra par ailleurs la mise en oeuvre de plusieurs réformes, notamment concernant le “bac Blanquer”, plusieurs fois remanié depuis son lancement en 2019 par l’ex-ministre Jean-Michel Blanquer. Une nouvelle épreuve de mathématiques au bac en première sera ainsi lancée. Elisabeth Borne a par ailleurs annoncé des modifications pour le contrôle continu au bac. Désormais, les notes de première et terminale ne compteront plus toutes dans la note de contrôle continu. Une annonce de dernière minute qui a irrité les syndicats. “L’objectif, c’est de baisser la pression sur les élèves et sur les professeurs”, a-t-elle expliqué.La ministre a aussi indiqué que les élèves ayant obtenu moins de 8 sur 20 ne pourraient plus aller au rattrapage du bac. Pour les 3e, le brevet change aussi: l’examen passera de 50 à 60% de la note finale.Autre nouveauté en cette rentrée, pour lutter contre l’abus d’écrans, le dispositif “portable en pause”, qui vise à mieux faire appliquer l’interdiction des téléphones portables au collège, sera quant à lui développé, avec comme objectif une généralisation progressive d’ici la fin de l’année. Dans certains établissements, les élèves pourront ainsi être contraints à laisser leur portable dans des casiers ou pochettes pendant les cours. 

Afghanistan earthquake kills more than 600

A massive rescue operation was underway in Afghanistan Monday after a strong earthquake and multiple aftershocks flattened homes in the impoverished nation, killing more than 600 people, the interior ministry said.The earthquake struck just before midnight, shaking buildings from Kabul to neighbouring Pakistan’s capital Islamabad. Near the epicentre in the east of the country, “610 people were killed and 1,300 were injured in Kunar province, with numerous houses destroyed”, spokesman Abdul Mateen Qani told AFP, adding that in neighbouring Nangarhar province 12 people were killed and another 255 injured.The Taliban authorities and the United Nations mobilised rescue efforts to hard-hit areas. “The UN in Afghanistan is deeply saddened by the devastating earthquake that struck the eastern region & claimed hundreds of lives,” the UN said on X, saying teams were on the ground “delivering emergency assistance & lifesaving support”.The epicentre of the quake, which struck at a relatively shallow depth of eight kilometres, was 27 kilometres from the city of Jalalabad in Nangarhar province, according to the US Geological Survey.Shallow quakes tend to cause more damage than deep tremors.- Frequent quakes -A series of aftershocks followed throughout the night, including a powerful and shallow 5.2-magnitude quake just after 4:00 am (2330 GMT Sunday).Afghanistan is frequently hit by earthquakes, especially in the Hindu Kush mountain range, near the junction of the Eurasian and Indian tectonic plates. Nangarhar province was also hit by flooding overnight Friday to Saturday, which killed five people and destroyed crops and property, provincial authorities said.In June 2022, a 5.9-magnitude quake struck the impoverished eastern border province of Paktika, killing more than 1,000 people and leaving tens of thousands homeless.Ravaged by four decades of war, Afghanistan is already contending with a humanitarian disaster.With the return of the Taliban, foreign aid to Afghanistan has shrunk dramatically, undermining the already impoverished nation’s ability to respond to disasters.In 2015, more than 380 people were killed in Pakistan and Afghanistan when a powerful 7.5-magnitude earthquake ripped across the two countries, with the bulk of the deaths in Pakistan. In that disaster, 12 young Afghan girls were crushed to death in a stampede as they tried to flee their shaking school building.burs/lb/mtp

Venise: manifestation pour Gaza avec plusieurs milliers de personnes en marge de la Mostra

Plusieurs milliers de manifestants ont fait entendre leur voix samedi à Venise pour dénoncer les agissements d’Israël à Gaza, en marge d’une très politique 82e édition du festival de cinéma.Le cortège très familial, réuni à l’appel d’organisations de gauche de la région vénitienne, s’est arrêté à l’entrée du festival, protégé par un cordon de police. Des pancartes y appelaient au boycott d’Israël et à “mettre fin au génocide”, au milieu de nombreux drapeaux palestiniens.Plusieurs participants reprenaient le slogan “Free Palestine” popularisé dans les rassemblements à travers le monde.”L’industrie du divertissement a l’avantage d’être très suivie, donc ils devraient prendre position pour Gaza”, a soutenu Marco Ciotola, un ingénieur informatique de 31 ans présent dans le cortège sur le Lido.”Je ne dis pas que tout le monde doit parle de +génocide+ mais, au moins, tout le monde doit prendre position parce que ce n’est pas une question politique, c’est une question d’humanité”, a-t-il poursuivi.”Nous savons tous ce qu’il se passe et ça ne peut pas continuer ainsi”, s’est indignée Claudia Poggi, une professeure munie d’un drapeau palestinien.- Soutien d’artistes -Plusieurs artistes ont manifesté leur soutien aux Palestiniens ces derniers jours à la Mostra, comme la réalisatrice marocaine Maryam Touzani et son mari, le cinéaste Nabil Ayouche, qui ont brandi une pancarte noire “Stop the genocide in Gaza” vendredi soir sur le tapis rouge.”Je pense qu’il est essentiel qu’on puisse faire entendre nos voix. Tout le monde. Je veux que chaque personne puisse se prononcer là-dessus. Et élever sa voix”, a déclaré Mme Touzani samedi à l’AFP.Jeudi, le réalisateur grec Yorgos Lanthimos a porté un pin’s aux couleurs de la Palestine lors de la conférence de presse de présentation de son long-métrage “Bugonia”.La Mostra avait démarré par l’appel d’un collectif fondé par dix cinéastes italiens indépendants, baptisé Venice4Palestine (V4P), à condamner la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée après l’attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.”L’objectif de la lettre était de mettre Gaza et la Palestine au centre de l’attention publique à Venise et c’est ce qu’il s’est passé”, a déclaré à l’AFP Fabiomassimo Lozzi, l’un des fondateurs du collectif.”Nous sommes très surpris du nombre de réactions”, a-t-il ajouté, assurant que 2.000 personnes avaient signé l’appel, dont des grands noms du cinéma international comme Guillermo del Toro, Todd Fields, Michael Moore ou Ken Loach.- Film sur Hind Rajab -Le directeur de la Mostra, Alberto Barbera, avait répondu le jour de l’ouverture du festival en affirmant que “la Biennale ne prend pas de positions politiques directes”, tout en assurant être sensible à la situation dramatique à Gaza.Il avait en revanche refusé de ne pas inviter certains artistes au prétexte qu’ils seraient des soutiens actifs d’Israël. V4P avait par exemple nommé Gal Gadot et Gerard Butler, au casting de “In the hand of Dante” (hors compétition), dont la venue n’est pas confirmée à ce stade.La Mostra projettera mercredi “The Voice of Hind Rajab”, réalisé par la Franco-Tunisienne Kaouther Ben Hania. Il s’agit de l’histoire d’une petite fille tuée le 29 janvier 2024 à Gaza avec plusieurs membres de sa famille, alors qu’elle tentait de fuir les bombardements israéliens.Les enregistrements de l’appel de Hind Rajab avec les secours, utilisés dans le film, avaient ému la planète lors de leur révélation.Le film est très attendu sur le Lido.

Malawi’s fuel crisis hangs over upcoming electionsMon, 01 Sep 2025 06:00:54 GMT

In early morning gloom, a long line of vehicles winds around the lone fuel station in Dedza district in central Malawi, one of many overnight queues for petrol across the country.It is a scene of frustration over chronic petrol shortages and a sputtering economy that has become a black mark against President Lazarus Chakwera as …

Malawi’s fuel crisis hangs over upcoming electionsMon, 01 Sep 2025 06:00:54 GMT Read More »