Overcrowding kills infant gorillas in Rwanda habitatSun, 07 Sep 2025 05:27:20 GMT

Celebrities, politicians and conservationists took turns to announce names for 40 infant gorillas in a glamorous ceremony in Rwanda, where the endangered creatures face a deadly threat from overcrowding.Around half of the babies will not make it to adulthood due to vicious inter-family fights that are threatening decades of conservation work, experts say.Efforts over the …

Overcrowding kills infant gorillas in Rwanda habitatSun, 07 Sep 2025 05:27:20 GMT Read More »

Mondial-2026: l’Allemagne de Nagelsmann sous pression avant l’Irlande du Nord

Trois jours après la débâcle à Bratislava contre la Slovaquie (2-0), l’Allemagne de Julian Nagelsmann reçoit l’Irlande du Nord dimanche (20h45), avec la pression de s’imposer pour ne pas hypothéquer ses chances de qualification directe pour le Mondial-2026.”Nous n’avions aucune émotion dans notre jeu. Dans les duels, on a perdu tout ce qui était à perdre. Nous devons apporter la même émotion que l’adversaire sur le terrain. La Slovaquie est moins bien classée, mais elle nous a surpassés de loin dans tous les domaines.” Le constat posé par le sélectionneur Julian Nagelsmann était sans appel jeudi soir, quelques minutes après la première défaite allemande à l’extérieur lors d’une rencontre qualificative pour une Coupe du monde.L’impression laissée sur le terrain à Bratislava est celle d’un retour en arrière de deux ans, quand l’Allemagne coulait contre le Japon (4-1) en septembre 2023, juste avant la mise à l’écart de son sélectionneur Hansi Flick à moins de neuf mois de l’Euro à domicile.Entre-temps, Nagelsmann est arrivé et a redonné du souffle au jeu allemand, avec un quart de finale de l’Euro-2024 perdu en prolongation contre l’Espagne (2-1), puis une première phase de Ligue des nations 2024/25 maîtrisée, avant de décevoir en juin au Final 4 (défaites en demies et lors du match pour la 3e place).Jeudi, les vieux problèmes ont ressurgi, à commencer par une défense aux abois, à l’image du second but slovaque de David Strelec, qui s’est joué d’Antonio Rüdiger. Offensivement, les Allemands ont eu assez peu d’occasions pour se distinguer. “On a eu cinq minutes correctes, c’est trop peu”, insiste Nagelsmann.- Matthäus “surpris, presque choqué” -“Sur le plan de l’effectif, on ne va pas changer les dix joueurs, mais il va se passer des choses. Et on devra faire demain (dimanche) un meilleur match que que celui que l’on a livré jeudi”, a glissé le sélectionneur. “On a mené quelques discussions avec certains joueurs, avec l’ensemble de l’équipe évidemment. On a échangé et on a clarifié certaines choses, ce qui est important aussi”, a-t-il ajouté.”Il nous a manqué de l’agressivité dans le jeu vers l’avant, c’est tout. Je crois qu’on a dû jouer deux balles dans les trente derniers mètres adverses, en seconde période au maximum trois”, a souligné Nagelsmann.”La performance de la Mannschaft m’a complètement surpris, presque choqué. Concentration, hargne, passion, tout cela a fait défaut”, a estimé Lothar Matthäus, capitaine des champions du monde allemands en 1990, dans le tabloïd Bild.Dans son histoire, l’Allemagne n’a jamais bouclé une phase de qualifications sans valider le billet pour la Coupe du monde. Ses deux seules absences au tournoi planétaire remontent à 1930 (pas de qualification pour la première, elle avait renoncé au long voyage vers l’Uruguay) et 1950 (suspendue par la Fifa).En 2001, elle a dû passer par un match de barrage aller-retour contre l’Ukraine (5-2 au cumul). Quadruple championne du monde (1954, 1974, 1990 et 2014), l’Allemagne reste sur des éliminations dès la phase de groupes en 2018 et 2022.Si elle veut éviter le passage par la périlleuse case des barrages en mars 2026 (deux matches couperets à gagner), l’Allemagne doit s’imposer contre l’Irlande du Nord dimanche, en soignant si possible la manière pour se rassurer, mais surtout sa différence de buts générale, premier critère pour départager deux sélections à égalité de points à l’issue de cette phase express de qualifications (six matches entre début septembre et mi-novembre).

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’Australie veut multiplier les zones refuges pour sauver les koalas

L’Etat le plus peuplé d’Australie a annoncé dimanche interdire l’exploitation forestière sur de vastes zones de la côte est pour créer des refuges pour les koalas et tenter d’enrayer le déclin de cette espèce emblématique du pays, désormais menacée d’extinction.Cette mesure du gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud, effective dès lundi, concerne 176.000 hectares au total, soit 15 fois la superficie de Paris intra-muros. Elle affecte directement six scieries qui emploient environ 300 personnes.Ces zones seront comprises dans une nouvelle réserve naturelle, le Great Koala National Park, dont la création avait déjà été révélée il y a deux ans mais de manière bien moins ambitieuse avec une surface protégée 20 fois inférieure.”Les koalas sont en danger d’extinction à l’état sauvage en Nouvelle-Galles du Sud, c’est impensable”, a justifié le Premier ministre de l’Etat, Chris Minns, dans un communiqué.”Le Great Koala National Park vise à inverser la tendance”, a-t-il ajouté, assurant que les professionnels affectés seraient soutenus par les autorités.Symboles dans le monde entier de l’écosystème unique de l’Australie, les koalas, qu’on ne trouve que dans ce pays, voient leur population décimée par les feux de brousse dévastateurs de ces dernières années ainsi que par la déforestation et les maladies.En 2022, le gouvernement a officiellement classé ces marsupiaux comme étant “en danger” – le plus haut niveau de protection – sur une grande partie de la côte orientale de l’Australie.En Nouvelle-Galles du Sud, où se trouve la ville de Sydney, autorités et scientifiques craignent que l’espèce ne s’éteigne en 2050 si rien n’est fait pour enrayer leur déclin.- Refuge climatique -Avec l’annonce de dimanche, le nouveau parc national pourra servir de refuge à plus de 12.000 koalas et 36.000 grands phalangers volants (des marsupiaux qui vivent la nuit et planent d’arbre en arbre), ainsi qu’à des représentants de plus de 100 espèces menacées, selon les autorités.Le programme national de suivi des koalas estime leur nombre actuel entre 95.000 et 238.000 en Nouvelle-Galles du Sud, dans le Territoire de la capitale australienne et dans le Queensland qui constituent la côte orientale australienne.Outre la préservation des marsupiaux, la nouvelle réserve “permettra de sauvegarder des bassins hydrographiques essentiels (…), de protéger les sites sacrés des peuples autochtones et d’ouvrir d’énormes opportunités économiques pour le tourisme vert régional”, a insisté Gary Dunnett, directeur de l’association des parcs nationaux de Nouvelle-Galles du Sud.L’exécutif de l’Etat a annoncé presque doubler, à environ 80 millions d’euros, le financement de ce projet dont la création finale doit être validée par le gouvernement fédéral dans le cadre de ses politiques environnementales.Combinée avec les parc nationaux voisins, cette réserve qui ne sera pas d’un seul tenant formera un ensemble protégé de 476.000 hectares, à environ 350 km au nord de Sydney.L’organisation de défense de la nature WWF s’est félicitée d’un projet susceptible de mettre fin à la “tragédie” que représente le déclin de la population de koalas, divisée par deux entre 2000 et 2020 en Nouvelle-Galles du Sud.Les forêts de la région, a souligné le directeur de sa branche australienne Dermot O’Gorman, sont constituées d’eucalyptus de grande taille qui constituent “un refuge climatique pour les koalas”: “L’Australie a besoin de telles aires protégées connectées entre elles pour se préparer à la possibilité d’un réchauffement de 2,5 à 3 degrés d’ici la fin de ce siècle”.