UN Security Council votes for Lebanon peacekeepers to leave in 2027

The Security Council voted Thursday for UN peacekeepers to leave Lebanon in 2027, allowing one final extension after pressure from Israel and its US ally to end the nearly 50-year-old force.Israel hailed the termination of the United Nations Interim Force in Lebanon (UNIFIL) and urged the Beirut government to exert its authority after an Israeli military campaign devastated Iranian-backed militia Hezbollah.With the United States dangling a veto threat, the Security Council voted unanimously for a resolution that will extend UNIFIL’s mandate “a final time.”France, which has a long legacy in Lebanon, had initially sought a one-year extension to the force without a firm commitment to end UNIFIL.But faced with the US opposition, France put forward the compromise resolution that authorizes UNIFIL through December 31, 2026 and then an “orderly and safe drawdown and withdrawal” within a year.Some 10,800 peacekeepers have been acting as a buffer between Israel and Lebanon since 1978. The mandate had been due to end on Sunday.Israel, which has been sharply critical of the United Nations over its condemnation of its relentless offensive in Gaza, hailed the UN vote.”For a change, we have some good news coming from the UN,” said Danny Danon, Israel’s envoy to the United Nations.”I want to remind you, 47 years ago, the Security Council decided to send the UNIFIL force to South Lebanon in order to stabilize the region. We all know they failed. Hezbollah took over the region,” he said.”Today, the Lebanese government has the responsibility to take control of the area and to understand that they have to be there — not Hezbollah, not anyone else.”Dorothy Shea, the US envoy at the United Nations, noted that UNIFIL was explicitly meant to be “interim” and said that the security situation in Lebanon was “radically different from just one year ago.” She reiterated that the United States, whose historic support for Israel has only increased under President Donald Trump, would reject any further extensions.Under a truce that ended the recent conflict between Israel and Hezbollah, the long-fledgling Lebanese national army has been deploying in south Lebanon and dismantling the militant group’s infrastructure.As part of the ceasefire, and under pressure from Washington, the plan is for Hezbollah’s withdrawal to be complete by the end of the year.Lebanese President Joseph Aoun last week called for the UN peacekeepers to remain, arguing that any curtailment of UNIFIL’s mandate “will negatively impact the situation in the south, which still suffers from Israeli occupation.”But Lebanese Prime Minister Nawaf Salam on Thursday welcomed the decision of the Security Council, pointing to its extension of the force.

Luxury carmaker Lotus to slash UK jobs amid US tariffs

Chinese-owned luxury carmaker Lotus said Thursday that it planned to cut up to 550 UK jobs, in part over uncertainty caused by US President Donald Trump’s tariffs.The layoffs represent over forty percent of its 1,300 employees in Britain. Lotus said the restructuring was necessary to “secure a sustainable future,” citing the “rapidly evolving automotive environment, which is seeing uncertainty with rapid changes in global policies, including tariffs.”The carmaker, which is majority owned by Chinese auto giant Geely, has several sites in the UK, including its headquarters in Hethel, eastern England.Another Lotus factory is in Wuhan, China.Automakers have been among the companies hit hardest by Trump’s tariff onslaught as he tries to bring auto production back to the United States.Britain and the United States struck a trade deal in May under which a 27.5-percent tariff rate on UK car exports dropped to 10 percent for the first 100,000 vehicles per year.But the levy remains higher than that placed on UK cars before Trump’s tariff blitz in April.UK exports of vehicles to the United States rebounded in July following months of declines as the trade agreement came into force on June 30, industry data showed Thursday.

Automobile: Lotus taille dans ses effectifs, mettant en avant les droits de douane

L’emblématique constructeur de voitures de sport anglaises Lotus a annoncé jeudi un plan de restructuration et pourrait supprimer “jusqu’à 550 postes”, plus de 40% de son effectif au Royaume-Uni, mettant en avant les droits de douane américains.Cette restructuration “est nécessaire pour assurer un avenir durable à l’entreprise dans un environnement automobile en constante évolution, marqué par l’incertitude liée aux changements rapides des politiques mondiales, notamment en matière de droits de douane”, a indiqué Lotus dans une déclaration transmise à l’AFP.Les constructeurs automobiles britanniques ont été très touchés par la vague de droits de douane imposée à partir d’avril par le président américain Donald Trump, qui veut rapatrier la production aux États-Unis.Un accord entre Londres et Washington a finalement été conclu, entré en vigueur fin juin, réduisant les droits de douane pour les automobiles britanniques de 27,5% à 10% (dans la limite de 100.000 véhicules par an), mais ceux-ci restent plus élevés qu’avant.Lotus Cars, filiale du groupe chinois Geely, possède plusieurs sites au Royaume-Uni, dont le principal est son usine de Hethel dans le Norfolk (est de l’Angleterre). Elle emploie dans le pays 1.300 personnes. Une autre usine Lotus à Wuhan, en Chine, est détenue directement par la maison mère.Malgré cette cure d’amaigrissement, la marque assure “rester pleinement engagée au Royaume-Uni, et le Norfolk restera le siège de Lotus pour les voitures de sport, le sport automobile et le conseil en ingénierie”.En juin déjà, Lotus avait assuré n’avoir “aucun projet” de fermer l’usine, après des informations de presse en ce sens. Mais selon le Financial Times, le groupe explore la possibilité de produire des voitures aux États-Unis en réponse à la hausse des droits de douane imposée par M. Trump.Lotus, cotée à New York et qui doit publier vendredi ses résultats semestriels, avait fait état au premier trimestre d’une perte réduite d’un tiers grâce à des charges d’exploitation en baisse.Mais le nombre de véhicules vendus avait fondu de plus de 40% sur la période, en raison notamment de la transition de la marque vers de nouveaux modèles électriques.De manière générale les exportations de voitures britanniques vers les États-Unis, qui avaient connu une chute brutale due aux droits de douane au deuxième trimestre, ont rebondi en juillet avec l’entrée en vigueur de l’accord commercial entre Londres et Washington, selon des chiffres publiés un peu plus tôt jeudi par l’organisme sectoriel SMMT.

La Bourse de Paris, prudente, clôture en légère hausse

La Bourse de Paris a fini en légère hausse jeudi, prudente face à la situation politique et budgétaire en France, dans l’attente du vote de confiance du 8 septembre à l’Assemblée nationale. Le CAC 40 a pris 0,24%, en hausse de 18,67 points, à 7.762,60 points. La veille, l’indice vedette parisien avait pris 34,12 points (+0,44%).”L’incapacité de François Bayrou à faire passer les coupes budgétaires nécessaires inquiète le marché et menace de provoquer une nouvelle crise politique en France”, a souligné Kathleen Brooks, directrice de la recherche économique de XTB.Le Premier ministre a poursuivi jeudi devant le Medef sa campagne pour remporter le vote de confiance du 8 septembre à l’Assemblée, mais sa démarche paraît vouée à l’échec tant les oppositions politiques, invitées à le rencontrer la semaine prochaine, considèrent que “la page est tournée”.Les marchés craignent que “l’incertitude politique bloque les velléités d’investissement et de consommation, ce qui freinera la croissance”, selon Kevin Thozet, membre du comité d’investissement chez Carmignac, interrogé par l’AFP.Dans ce contexte, le taux d’intérêt à échéance dix ans de la dette française a atteint 3,47%, en baisse par rapport à la veille (3,51%). Mais l’écart avec son équivalent allemand, référence en Europe, baptisé le “spread”, a atteint 0,78 points, contre 0,70 point en début de semaine, avant l’annonce du vote de confiance par François Bayrou.Les investisseurs attachent également une attention particulière à la comparaison entre le taux français et celui de l’Italie, longtemps vue comme la lanterne rouge de la zone euro, qui s’établissait à 3,54% jeudi. Autre point d’attention des investisseurs: la croissance aux Etats-Unis, qui a atteint 3,3% en rythme annualisé au deuxième trimestre, selon une estimation officielle actualisée parue jeudi, soit plus que ce qui avait été auparavant calculé et davantage qu’attendu par les marchés.De quoi relativiser les espoirs d’une baisse rapide des taux d’intérêt de la banque centrale américaine (Fed) en septembre. Le rendement américain à deux ans, le plus sensible à la politique monétaire, grimpait à 3,64%, contre 3,61% la veille en clôture.”Pour l’instant, il ne semble pas y avoir péril dans la demeure sur la croissance aux Etats-Unis. Une baisse des taux pourrait donc provoquer surchauffe de l’économie”, a estimé Kevin Thozet.Pernod Ricard grimpeLe géant des spiritueux Pernod Ricard a pris 1,37% à 100,40 euros, après avoir publié des résultats annuels, pour son exercice décalé 2024-2025, légèrement supérieurs aux attentes du marché.Rémy Cointreau a gagné pour sa part 1,02% à 54,65 euros.

G20 chair S.Africa seeks to tackle poverty with inequality panelThu, 28 Aug 2025 16:16:32 GMT

Group of 20 president South Africa announced Thursday it had commissioned a Nobel laureate-led team to tackle global inequality and poverty, a push that could revive calls to tax the rich. The six-member team, led by Nobel laureate economist Joseph Stiglitz, will analyse the impact of wealth and income inequality, and offer practical policy solutions to …

G20 chair S.Africa seeks to tackle poverty with inequality panelThu, 28 Aug 2025 16:16:32 GMT Read More »