Trump due to address thousands at memorial for conservative leader Kirk

Tens of thousands of Americans came together in the southwestern US state of Arizona on Sunday to mourn 31-year-old right-wing influencer Charlie Kirk, with US President Donald Trump due to lead the tributes to the youth leader after he was gunned down last week.The service has drawn an extraordinary level of attention and security, with the top brass of Trump’s administration in attendance and some US media likening it to a state funeral.President Trump waited his turn to address the crowd, hearing speeches from Secretary of State Marco Rubio, Defense Secretary Pete Hegseth and others as the memorial got underway.”You thought you could kill Charlie Kirk? You have made him immortal,” top Trump advisor Stephen Miller said. “You have immortalized Charlie Kirk, and now millions will carry on his legacy.”Among other speakers were right-wing media personality Tucker Carlson, Trump’s Chief of Staff Susie Wiles and Director of National Intelligence Tulsi Gabbard.The event was being hosted by Turning Point USA, the hugely influential youth political campaign group founded by Kirk that is now run by his widow, Erica Kirk.As he left the White House to fly out west and pay his respects, Trump said the service aimed “to celebrate the life of a great man.”At the event, Trump was seen sitting beside billionaire backer Elon Musk, whose acrimonious departure from the White House after his brief tenure overseeing the Department of Government Efficiency (DOGE) was not apparent as the two men chatted.Thousands of people had lined up in the pre-dawn dark, hoping to get into the 63,000-seat American football stadium hosting the service and honor the young Republican star — a close ally of the president whose voter outreach is credited with helping Trump get reelected last year.”I look at him as a Christ martyr, definitely,” Monica Mirelez, a 44-year-old Texan who drove 12 hours to get there, said of Kirk.Jeremy Schlotman, a 21-year-old biology student, said Kirk gave him the courage to express his beliefs on campus.”For example, I think that biological men shouldn’t be in women’s sports. But I was too afraid to talk about stuff like that out loud,” Schlotman said as Christian bands played on stage and the stadium steadily filled up.- ‘Hatred’ -Kirk, 31, was shot in the neck on September 10 while speaking at a Utah university as part of his popular public debate series.Authorities arrested a suspect after a 33-hour manhunt and prosecutors said they would seek the death penalty.The killing has inflamed often acrimonious and sometimes violent political divisions in the United States.Authorities say the suspected 22-year-old gunman cited the “hatred” he believed was stoked by Kirk — who was a vitriolic critic of transgender people, Muslims and others.Kirk used his millions of social media followers, the massive audience of his podcast and appearances at universities to bolster Trump with young voters and fight for a nationalist, Christian-centric political ideology.Even before the alleged killer was identified or arrested, Trump called Kirk “a martyr for truth and freedom” and blamed the rhetoric of the “radical left.”- Crackdown on liberal ‘terrorism’ -In response to the killing, the White House last week declared it would crack down on what it terms “domestic terrorism” by the political left. Trump said he would designate “Antifa” — a shorthand term for “anti-fascist” used to describe diffuse far-left groups — as “a major terrorist organization,” a move he threatened in his first term.Prominent late-night talk show host Jimmy Kimmel was yanked off the air Wednesday, hours after the government threatened to cancel broadcasting licenses because of comments he made about Kirk’s killing.The moves have sparked alarm among Trump’s critics who warn of possible steps to silence dissent of his divisive right-wing White House tenure, marked by a rolling back of social justice policies and an immigration crackdown that has seen widespread complaints of rights abuses.

Italie: l’Inter repart de l’avant, le derby pour la Roma

L’Inter Milan a réagi après deux défaites successives en Championnat d’Italie en battant Sassuolo (2-1) dimanche, tandis que la Roma s’est adjugée le derby de Rome face à la Lazio (1-0).Surpris à domicile par l’Udinese (2-1), puis renversés par la Juventus à Turin (4-3), l’Inter et son nouvel entraîneur Cristan Chivu étaient attendus au tournant lors de cette quatrième journée de Serie A.Le technicien roumain a procédé à deux choix forts en laissant sur le banc son capitaine Lautaro Martinez, en méforme, et en remplaçant dans les buts son gardien habituel Yann Sommer par Josep Martinez.Vainqueurs de l’Ajax à Amsterdam (2-0) en Ligue des champions mardi, ses Nerazzurri ont ouvert la marque dès la 14e minute par Federico Dimarco. Il leur a fallu attendre la 81e minute pour doubler la mise, mais Sassuolo a rapidement réduit la marque (84e).”C’est une victoire importante, il fallait réagir et rappeler aux autres équipes que l’Inter est encore là”, a souligné Dimarco.Grâce à ce succès, les vice-champions d’Italie et d’Europe se sont replacés à la 10e place (6 points), à quatre longueurs de la Juventus Turin, tenue en échec par Vérone (1-1) samedi et leader provisoire en attendant que Naples (2e, 9 pts) ne reçoive Pise lundi.L’affiche du week-end, le derby de la capitale entre la Lazio et la Roma a tenu ses promesses en tribunes du Stade olympique avec une ambiance incandescente, moins sur le terrain.Le seul but de la rencontre a été inscrit par Lorenzo Pellegrini, capitaine déchu de la Roma qui n’avait plus été titularisé depuis début mai.- Guendouzi exclu -L’international italien, pris en grippe par les tifosi “romanistes” la saison dernière, a permis à son équipe d’enchaîner une troisième victoire, synonyme de quatrième place (9 pts).La Lazio, réduite à neuf avec les exclusions de Reda Belahyane (85e) et de Mattéo Guendouzi (90e), a bien failli réussir un hold-up: dans le temps additionnel, Danilo Cataldi a frappé le montant gauche de Mile Svilar, battu.L’équipe de Maurizio Sarri, battue pour la troisième fois cette saison, a reculé à la 14e place (3 pts).Alors que le précédent derby, en avril, avait été marqué par de violents affrontements entre ultras et policiers, faisant six blessés, ce duel, avec son coup d’envoi avancé à la mi-journée pour réduire les risques, n’a donné lieu à aucun incident notable. Quatre jours après avoir été corrigé par le Paris SG (4-0), l’Atalanta a passé ses nerfs sur le Torino 3 à 0 et a bondi à la 5e place (8 pts).Ivan Juric en a profité pour donner trois minutes de jeu à l’attaquant nigérian Ademola Lookman, de retour dans le groupe depuis jeudi après en avoir été écarté pour avoir tenté de forcer son transfert vers l’Inter.Côme a renversé la Fiorentina pour s’imposer 2 à 1 et se replacer au 8e rang (7 pts). La “Viola” qui n’a toujours pas gagné sous la conduite de Stefano Pioli, est 17e (2 pts).

Espagne: le FC Barcelone enchaîne, l’Atlético Madrid s’enlise

Porté par un doublé clinique de l’attaquant espagnol Ferran Torres, le FC Barcelone a surclassé Getafe (3-0) dimanche lors de la cinquième journée de Liga, et reste au contact de son éternel rival, le Real Madrid, toujours leader.Le “Tiburon” (requin en espagnol), servi idéalement par une talonnade géniale de son coéquipier en sélection Dani Olmo, a conclu un superbe mouvement collectif pour ouvrir le score (15e, 1-0), avant de faire le break en contre (34e, 2-0), inscrivant ses troisièmes et quatrièmes réalisations en championnat.Olmo, trouvé en retrait par l’Anglais Marcus Rashford, a ensuite creusé l’écart en deuxième période (63e, 3-0).Avec cette quatrième victoire en cinq rencontres, le Barça (2e, 13 points) continue de talonner le Real (1er, 15 points), vainqueur facile (2-0) samedi face à l’Espanyol Barcelone, et seule équipe de Liga à avoir remporté ses cinq premiers matchs.A nouveau contraint de disputer cette rencontre au stade Johan Cruyff, devant seulement 6.000 spectateurs, le club catalan reste dans l’attente des autorisations nécessaires à un retour provisoire au Camp Nou, encore en travaux.Les dirigeants blaugranas espèrent toujours obtenir le feu vert de la mairie de Barcelone pour accueillir leur prochain match à domicile dans leur mythique enceinte face à la Real Sociedad, le 28 septembre prochain, avec une jauge réduite à 27.000 spectateurs.- L’Atlético déjà distancé -Plus tôt dans l’après-midi, l’Atlético Madrid, réduit à dix en deuxième période, a concédé un nul frustrant (1-1) sur la pelouse de Majorque et s’enlise en deuxième partie de tableau, loin de ses ambitions en début de saison.Les Colchoneros (12e, 6 points) pensaient avoir décroché leur deuxième victoire en championnat grâce à l’Anglais Conor Gallagher (79e, 1-0) malgré l’exclusion du Norvégien Alexander Sorloth (73e), mais ils se sont fait reprendre à quelques minutes de la fin du match par l’inévitable Vedat Muriqi (85e, 1-1), auteur de son quatrième but de la saison.L’Atlético, ambitieux cet été sur le marché des transferts avec plus de 170 millions d’euros dépensés pour rivaliser avec les deux géants espagnols, le Real Madrid et le FC Barcelone, se retrouve déjà distancé dans la course au titre avec neuf points de retard sur son rival madrilène (1er, 15 points) et sept sur le Barça (2e, 13 points).Interrogé en conférence de presse au sujet du carton rouge donné à Sorloth, l’entraîneur argentin Diego Simeone a refusé de parler d’arbitrage, estimant que son équipe devait tout simplement “s’améliorer”, en se montrant “plus efficace”.Les club espagnols n’auront pas de répit, malgré une semaine sans compétition européenne, avec une sixième journée qui va se disputer entre mardi et jeudi. Le Real et le Barça se déplaceront tous les deux chez des promus, à Levante, mardi (21H30) et Oviedo, jeudi (21H30), tandis que l’Atlético recevra son voisin du Rayo Vallecano au Metropolitano mercredi (21H30).

Polls close in army-run Guinea’s vote on new constitutionSun, 21 Sep 2025 20:56:24 GMT

Guineans flocked on Sunday to vote on a draft constitution that would pave the way for elections but also allow the junta leader who seized power four years ago to run for president.After a day’s voting watched over by a hefty security presence, the west African nation’s polling stations shut on Sunday evening, drawing a …

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‘I don’t recognise my country,’ says Angelina Jolie

American actress Angelina Jolie said Sunday she no longer recognises her country, voicing concern over threats to free expression while presenting her latest film at Spain’s San Sebastián film festival.Her comments come as worries grow over free speech in the United States, after President Donald Trump’s crackdown on critical media and the recent suspension of late-night host Jimmy Kimmel’s show over comments on the killing of conservative influencer Charlie Kirk.”I love my country, but I don’t at this time recognise my country,” Jolie said when asked if she feared for freedom of speech in the United States.”Anything, anywhere, that divides or, of course, limits personal expressions and freedoms and, from anyone, I think is very dangerous,” she added.”These are very, very heavy times we’re all living in together.”Jolie, 50, was in San Sebastian to promote “Couture”, directed by French filmmaker Alice Winocour, which is competing for the festival’s top prize, the Golden Shell.She plays Maxine Walker, an American film director facing divorce and a serious illness while navigating Paris Fashion Week and embarking on a romance with a colleague, played by French actor Louis Garrel.The Oscar-winning actress — honoured in 1999 for her role in “Girl, Interrupted” —  said she related personally to the struggles of her latest character.Jolie underwent a double mastectomy in 2013 and later had her ovaries and fallopian tubes removed to reduce her high genetic risk of cancer, which claimed the lives of her mother and grandmother.Visibly moved, she said she thought often of her mother while making the film.”I wish she was able to speak more as openly as I have been, and have people respond as graciously as you have, and not feel as alone,” Jolie said.”There’s something very particular to women’s cancers, because obviously it affects us, you know, how we feel as women,” she added.

Drapeaux palestiniens sur les mairies : les politiques s’affrontent, Faure en appelle à Macron

La classe politique française s’est encore fracturée dimanche sur le pavoisement ou non des mairies avec des drapeaux palestiniens, le dirigeant socialiste Olivier Faure appelant Emmanuel Macron à “autoriser” l’initiative.”Il s’agirait non seulement d’un acte fort envers tous ceux qui sont attachés à la résolution du conflit israélo-palestinien, mais cohérent avec la position de la France que vous proclamerez devant la communauté internationale”, a plaidé dans une lettre le patron du PS, à la veille de la reconnaissance attendue de l’Etat palestinien par Emmanuel Macron à l’Onu à New York.Interrogé, l’entourage d’Emmanuel Macron n’a pas souhaité faire de commentaires à ce stade.Dans le viseur d’Olivier Faure: le ministre de l’Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau (LR) qui a enjoint les préfets de saisir la justice administrative si des mairies font flotter les couleurs palestiniennes, à défaut de pouvoir demander aux forces de l’ordre de retirer le drapeau.Il fait valoir que “la justice administrative a ordonné (…) le retrait de drapeaux palestiniens du fronton de mairies, au motif qu’ils portaient gravement atteinte au principe de neutralité des services publics”. Et d’exhorter à “ne pas importer le conflit du Proche-Orient”.”Ce n’est pas le drapeau qu’il conteste (…) c’est la décision prise par le chef de l’État” de reconnaître un Etat palestinien, a estimé dimanche soir sur BFMTV M. Faure.Un maire a “l’interdiction (…) d’afficher un parti pris politique, philosophique ou religieux” sur le fronton de son hôtel de ville, affirme-t-on à Beauvau.Pour le patron des députés PS, Boris Vallaud, Bruno Retailleau “se trompe d’interprétation juridique”. Il rappelle qu’après les attaques meurtrières du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023, “des mairies ont hissé à juste raison le drapeau israélien”, et “qu’il y a aussi des drapeaux ukrainiens” sur certains édifices.”Un drapeau sur le fronton d’une mairie n’a jamais tué personne alors qu’à l’inverse, à Gaza, l’armée israélienne tue tous les jours”, a martelé la patronne des Ecologistes Marine Tondelier dimanche lors d’un rassemblement à Paris, dénonçant des polémiques “indécentes”.A gauche toujours, le député LFI Eric Coquerel a aussi apporté son soutien à ce pavoisement aux couleurs palestiniennes : “On est pour”, a-t-il dit sur France 3.- Les drapeaux sur l’écran de la tour Eiffel -A contrario, le député d’extrême droite de l’Oise Philippe Ballard (RN) a accusé sur France 3 les municipalités ayant prévu d’arborer le drapeau palestinien de “communautarisme de bas étage”. “C’est illégal”, a sobrement commenté son collègue député Jean-Philippe Tanguy sur le plateau de Questions politiques (France inter/francetv/Le Monde).François-Xavier Bellamy, vice-président des Républicains a aussi demandé dimanche sur BFMTV que les maires qui hissent le drapeau palestinien “soient condamnés”.Samedi en région parisienne, la maire communiste de Malakoff (Hauts-de-Seine) Jacqueline Belhomme a fait savoir qu’elle ne comptait ni interjeter appel ni retirer le drapeau avant mardi, malgré une décision de justice contraire.Les mairies devraient agir en ordre dispersé, y compris les socialistes.A Paris, la tour Eiffel a affiché sur son écran au premier étage les drapeaux palestinien et israélien, encadrant un colombe. “Paris soutient” la reconnaissance de l’Etat palestinien et “réaffirme son engagement pour la paix”, a commenté la maire Anne Hidalgo (PS), sur le réseau social Bluesky.A Créteil, le socialiste Laurent Cathala (Val-de-Marne) estime que “la première de ses responsabilités doit être de préserver la cohésion sociale au sein de la commune”, et ne suivra pas l’appel d’Olivier Faure. Son homologue PS Mathieu Hanotin (Saint-Denis) hissera le drapeau pour la journée, arguant qu’il “ne s’agit pas d’un acte militant de longue durée”. Et Olivier Faure se rendra sur place à 9H30.A Nantes, la maire Johanna Roland (PS) “installera le drapeau de la Palestine dans la Cour de l’Hôtel de Ville”, a-t-elle fait savoir dans un communiqué, et à Brest, la mairie illuminera le bâtiment aux couleurs palestiniennes. Quant à Renaud Muselier, président du parti macroniste Renaissance de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, il a prévenu dans le Figaro qu’il déploierait une vingtaine de drapeaux français, en réponse à ce qu’il qualifie de “calculs politiques”.

Ligue 1: le “classique” OM-PSG reporté à lundi pour cause d’intempéries à Marseille

Partie remise pour le “classique”: initialement programmé dimanche à 20h45, le choc OM-PSG a été reporté à lundi soir en raison du mauvais temps à Marseille et se tiendra donc au même moment que la cérémonie du Ballon d’or, où plusieurs Parisiens devraient être récompensés.”En raison des fortes intempéries prévues sur la région marseillaise, la rencontre Olympique de Marseille-Paris Saint-Germain, comptant pour la 5e journée de Ligue 1 et prévue ce soir, a été reportée sur décision du préfet des Bouches-du-Rhône, a écrit la Ligue de football professionnel (LFP) sur son compte X, ajoutant qu’elle avait été reprogrammée à lundi 20h00.Et dimanche, à partir de 19h00, des trombes d’eau se sont effectivement abattues sur Marseille avec de nombreux éclairs, provoquant l’inondation de plusieurs rues du centre-ville et des abords du Vélodrome.Dans le département voisin du Var, où le match de Top 14 Toulon-La Rochelle avait initialement été maintenu, avec un coup d’envoi à 21h05, les intempéries ont finalement abouti au même résultat: si les deux équipes ont pu s’échauffer, foudre et pluies diluviennes ont entraîné le report à une date ultérieure.Quelques heures plus tôt, le préfet des Bouches-du-Rhône avait lui décidé préventivement de reporter OM-PSG, évoquant un certain nombre de risques: que des spectateurs “prennent leurs voitures au mauvais moment”, qu’il y ait “un mouvement de foule avant le match” et que, pendant le match, il y ait “un risque orageux pour les spectateurs et les joueurs”. Traditionnel sommet du championnat de France, le duel entre le PSG, champion de France et d’Europe, et son vieux rival marseillais, se tiendra donc lundi soir, un choix conforme au règlement.- Les Parisiens sont repartis -La question des matches reportés du fait des intempéries est en effet abordée à l’article 548 du règlement des compétitions de la LFP: “Lorsqu’en raison d’intempéries, le match n’a pas pu débuter, il est remis, ou lorsqu’il a été définitivement interrompu, il reprend à compter de la minute à laquelle il a été interrompu, le lendemain (hors conditions extrêmes), à un horaire fixé par les services de la LFP”, est-il écrit.Les prévisions météo pour lundi à Marseille sont bonnes, les orages devant s’arrêter dans la nuit.Mais le “classique” aura donc lieu au même moment que la cérémonie du Ballon d’or, dont le favori est le Parisien Ousmane Dembélé, blessé et qui n’avait pas pris part au voyage à Marseille. D’autres joueurs du club de la capitale pourraient aussi être honorés, tout comme l’entraîneur Luis Enrique, qui lui devrait être sur le banc du Vélodrome et donc absent de la cérémonie, prévue de 21h00 à 23h00.Contacté par l’AFP, le PSG n’a pas répondu sur son organisation pour cette soirée. Les joueurs et le staff parisiens, arrivés à Marseille dimanche en milieu de journée, sont repartis à Paris, avant de revenir lundi.- “Dépité” -La décision de la LFP répond à ce qu’espérait l’OM, qui demandait “simplement l’application du règlement”. Le club marseillais ne souhaitait pas jouer mardi, autre date envisagée, car il doit aller à Strasbourg dès vendredi puis recevoir l’Ajax Amsterdam mardi prochain en Ligue des Champions.L’OM et ses supporters savent en outre que le PSG est actuellement handicapé par de nombreuses absences d’importance avec les blessures de Dembélé, Joao Neves, Bradley Barcola et Désiré Doué, quatre titulaires réguliers.Mais, devant le Stade Vélodrome, et sous la pluie qui commençait à tomber, c’est tout de même la déception qui primait dimanche. “On a fait cinq heures de route à peu près, donc là on est dans un logement, on doit partir demain (lundi), donc ça fait ch…”, a regretté Merwan Alexandrine, 23 ans.Arrivé de Lyon dimanche midi, Vincent Lorival, 37 ans, supporter de l’OM et abonné au Vélodrome, a de son côté “réussi à s’arranger” pour “décaler” ses trains afin d’assister au classique lundi. “J’avais déjà assisté il y a deux ans au Marseille-Lyon qui avait aussi été annulé, donc les aller-retours, je connais”, a-t-il raconté à l’AFP.Le 1er septembre, le préfet des Bouches-du-Rhône avait déjà, en raison d’un fort épisode pluvieux, décalé la rentrée dans le département en la repoussant d’un jour. Par précaution, écoles et crèches étaient restées fermées ce jour-là.svu-we-stt-ali/dar/gk/alh