Pakistan says India planning strike as tensions soar over Kashmir

Pakistan said on Wednesday it had “credible intelligence” that India was planning an imminent military strike and vowed to retaliate, as worries of spiralling conflict grew over a deadly attack in Kashmir.Relations between the nuclear-armed neighbours have plummeted since New Delhi blamed its arch-rival Pakistan for last week’s assault on tourists in Pahalgam in Indian-administered Kashmir, the deadliest attack on civilians there in a quarter of a century.Indian Prime Minister Narendra Modi gave the military “complete operational freedom” to respond to the attack during a closed-door meeting on Tuesday, a senior government source told AFP.Pakistan’s government has denied any involvement in the shooting, and information minister Attaullah Tarar said overnight that “any act of aggression will be met with a decisive response”.”Pakistan has credible intelligence that India intends to launch a military strike within the next 24 to 36 hours using the Pahalgam incident as a false pretext,” Tarar said in a statement early on Wednesday.However, Foreign Minister Ishaq Dar also said Pakistan would not strike first.Leaders around the world have expressed deep concerns and urged restraint by the uneasy neighbours who have fought several wars.Muslim-majority Kashmir, a region of around 15 million people, is divided between Pakistan and India but claimed in full by both nations. About 1.5 million people live near the ceasefire line on the Pakistani side of the border, where residents were preparing for violence by readying simple, mud-walled underground bunkers reinforced with concrete if they can afford it. “We are cleaning the bunker to ensure that if the enemy attacks at any time, we are not caught off guard and we can bring our children to safety,” 42-year-old Muhammad Javed told AFP in the village of Chakothi.- De-escalation calls -India’s army said on Wednesday it had repeatedly traded gunfire with Pakistani troops for a sixth straight night across the Line of Control (LoC), a heavily fortified zone of high-altitude Himalayan outposts that represents the de facto Kashmir border.A Pakistani security source told AFP that two drones were shot down on Tuesday near the LoC “after violating our airspace”. Tensions have been rapidly mounting in the week since the Pahalgam attack, with tit-for-tat diplomatic barbs, expulsion of citizens and border crossings shut.Modi vowed last week to pursue those who carried out the attack and those who had supported it.”I say to the whole world: India will identify, track and punish every terrorist and their backer,” he said on Thursday.”We will pursue them to the ends of the Earth”.The bellicose statements have prompted worries of a spiral into military action, with calls for restraint from several nations.The US State Department said top diplomat Marco Rubio would call his Pakistani and Indian counterparts soon to urge them “to not escalate the situation”.UN chief Antonio Guterres held calls on Tuesday with Pakistan’s Prime Minister Shehbaz Sharif and Indian Foreign Minister Subrahmanyam Jaishankar in which he “offered his Good Offices to support de-escalation”, his spokesman said in a statement.Sharif’s office said later he had urged Guterres to “counsel India” to exercise restraint, while pledging to defend Pakistan’s “sovereignty and territorial integrity with full force in case of any misadventure by India”.- Wanted posters -India and Pakistan have fought over the former princely state since their independence from British rule in 1947, with the border splitting generations of families.Rebels in the Indian-run area have waged an insurgency since 1989, seeking independence or a merger with Pakistan.Indian police have issued wanted posters for three men accused of carrying out the Kashmir attack — two Pakistanis and an Indian — who they say are members of the Pakistan-based Lashkar-e-Taiba group, a UN-designated terrorist organisation.They have announced a two million rupee ($23,500) bounty for information leading to each man’s arrest and carried out sweeping detentions seeking anyone suspected of links to the alleged killers.The worst attack in recent years in Indian-run Kashmir was at Pulwama in 2019, when a suicide bomber rammed a car packed with explosives into a security forces convoy, killing 40 and wounding 35.Indian fighter jets carried out air strikes on Pakistani territory 12 days later.burs-pjm/ecl/pbt

A Chamonix, résidences secondaires et meublés touristiques dans le viseur

Des chalets au pied du Mont-Blanc jusqu’à 12 millions d’euros s’affichent dans la vitrine de l’agence immobilière Sotheby’s, dans le centre huppé de Chamonix où déambulent, entre restaurants et boutiques de luxe, des centaines de touristes dans un brouhaha multilingue.A 3 km de là, relégué à la sortie sud de la célèbre bourgade de Haute-Savoie, le très sobre mais cosy Foyer des jeunes travailleurs (FJT) ploie sous 60 demandes de logements insatisfaites de salariés, saisonniers ou non, qui n’ont pas les moyens de louer ailleurs.Ils sont pourtant “la force économique de Chamonix”, s’émeut Pierre Slemett, membre fondateur du FJT: des travailleurs sans lesquels le tourisme ne pourrait fournir ses 70% du PIB chamoniard, et qui s’exilent à une demi-heure de route ou s’entassent dans des colocations parfois “insalubres”.- Manne touristique -Pour éviter “une véritable déstructuration du tissu social” sans mettre en péril cette “manne touristique”, explique le maire Eric Fournier (UDI) à l’AFP, il a fait voter en mars un plan local d’urbanisme (PLU) interdisant la construction de nouvelles résidences secondaires, lesquelles représentent déjà 70% des logements. “Une première en France”, vante la mairie de Chamonix, 9.000 habitants et 5e station de sports de montagne à l’immobilier le plus cher de France, avec 9.504 euros le m2 en moyenne — plus qu’à Paris –, derrière Val-d’Isère (14.986 euros), Courchevel, Megève et Méribel en 2025, selon le site meilleursagents.com.En outre, un arrêté municipal n’autorise désormais la location en meublé touristique que pour “un bien par personne”, alors que leur offre “explose” via des plateformes du type Airbnb ou Booking.com, assure Eric Fournier.Enfin, l’édile promet d’imposer la “mixité sociale” — 40% à 100% de logement sociaux — sur “12 secteurs” constructibles.Car de Courchevel, comme à Saint-Tropez, la pression immobilière du tourisme et du secondaire haut de gamme exclut une frange croissante des populations permanentes. “Airbnb, c’est une catastrophe”, lâche Robin Charrier, 30 ans, salarié d’une salle d’escalade. Au FJT depuis un an, dans son studio de 20 m2 pour 495 euros mensuels, il s’estime “chanceux”. Mais, après trois ans de bail maximum, et malgré un CDI à 1.900 euros net par mois, “j’envisagerai de négocier avec mes grands-parents pour qu’ils me prêtent leur camping-car”, soupire-t-il. Il irait alors rejoindre ceux qui dorment dès le printemps dans leur camionnette ou leur voiture le long d’une départementale à la sortie de Chamonix, pour garder leur emploi.- 15°C, matelas moisi -A 30 ans, Marion — un prénom d’emprunt –, contractuelle d’une collectivité recrutée pourtant à “3.300 euros brut par mois”, n’a trouvé au début qu’un studio “à un quart d’heure de +Cham+”. Mais très mal isolé. Pour “650 euros par mois mais avec des factures d’électricité de 200 à 300 euros l’hiver pour maintenir une pièce à 15 degrés”.Clotilde — également un prénom d’emprunt –, jeune vendeuse de matériel de montagne, après avoir fui une colocation à trois dans un deux-pièces “au-dessus d’une boîte de nuit”, a loué un studio à “575 euros mensuels avec 400 euros d’électricité l’hiver et un matelas qui moisissait à cause de l’humidité”, soupire-t-elle. “Et 18 km à vélo pour venir bosser…”Pierre Slemett regrette chaque jour de ne pas pouvoir loger les quelque 60 célibataires et couples avec enfants en attente chaque année d’un des 70 appartements du FJT. “Les mesures du maire sont très courageuses car cela ne va pas faire que des heureux chez les propriétaires”, et donc les électeurs à un an des municipales, “mais je demande à voir les résultats, le prix des terrains encore constructibles est lunaire”, s’inquiète l’ancien conseiller municipal: “comment un bailleur social pourrait les acquérir, construire et proposer des loyers modérés ?””Beaucoup, ici, appellent” le nouveau PLU du maire “un coup de bluff électoral”, tranche Louise Sebah, gérante de Alpes & Chalets, l’une des innombrables agences immobilières de Chamonix. Celle-là appartient à François-Xavier Laffin, principal opposant et candidat déclaré contre Eric Fournier pour les élections municipales de 2026. “Les mesures annoncées par la mairie ne vont pas donner d’un coup l’argent nécessaire à ceux qui ont besoin d’un logement permanent”, assène Louise Sebah. Pour elle, la demande de résidences secondaires, “toujours élevée”, va pousser notamment “une clientèle étrangère très aisée” vers “le déjà construit”, et faire monter encore le prix du mètre carré. 

A Chamonix, résidences secondaires et meublés touristiques dans le viseur

Des chalets au pied du Mont-Blanc jusqu’à 12 millions d’euros s’affichent dans la vitrine de l’agence immobilière Sotheby’s, dans le centre huppé de Chamonix où déambulent, entre restaurants et boutiques de luxe, des centaines de touristes dans un brouhaha multilingue.A 3 km de là, relégué à la sortie sud de la célèbre bourgade de Haute-Savoie, le très sobre mais cosy Foyer des jeunes travailleurs (FJT) ploie sous 60 demandes de logements insatisfaites de salariés, saisonniers ou non, qui n’ont pas les moyens de louer ailleurs.Ils sont pourtant “la force économique de Chamonix”, s’émeut Pierre Slemett, membre fondateur du FJT: des travailleurs sans lesquels le tourisme ne pourrait fournir ses 70% du PIB chamoniard, et qui s’exilent à une demi-heure de route ou s’entassent dans des colocations parfois “insalubres”.- Manne touristique -Pour éviter “une véritable déstructuration du tissu social” sans mettre en péril cette “manne touristique”, explique le maire Eric Fournier (UDI) à l’AFP, il a fait voter en mars un plan local d’urbanisme (PLU) interdisant la construction de nouvelles résidences secondaires, lesquelles représentent déjà 70% des logements. “Une première en France”, vante la mairie de Chamonix, 9.000 habitants et 5e station de sports de montagne à l’immobilier le plus cher de France, avec 9.504 euros le m2 en moyenne — plus qu’à Paris –, derrière Val-d’Isère (14.986 euros), Courchevel, Megève et Méribel en 2025, selon le site meilleursagents.com.En outre, un arrêté municipal n’autorise désormais la location en meublé touristique que pour “un bien par personne”, alors que leur offre “explose” via des plateformes du type Airbnb ou Booking.com, assure Eric Fournier.Enfin, l’édile promet d’imposer la “mixité sociale” — 40% à 100% de logement sociaux — sur “12 secteurs” constructibles.Car de Courchevel, comme à Saint-Tropez, la pression immobilière du tourisme et du secondaire haut de gamme exclut une frange croissante des populations permanentes. “Airbnb, c’est une catastrophe”, lâche Robin Charrier, 30 ans, salarié d’une salle d’escalade. Au FJT depuis un an, dans son studio de 20 m2 pour 495 euros mensuels, il s’estime “chanceux”. Mais, après trois ans de bail maximum, et malgré un CDI à 1.900 euros net par mois, “j’envisagerai de négocier avec mes grands-parents pour qu’ils me prêtent leur camping-car”, soupire-t-il. Il irait alors rejoindre ceux qui dorment dès le printemps dans leur camionnette ou leur voiture le long d’une départementale à la sortie de Chamonix, pour garder leur emploi.- 15°C, matelas moisi -A 30 ans, Marion — un prénom d’emprunt –, contractuelle d’une collectivité recrutée pourtant à “3.300 euros brut par mois”, n’a trouvé au début qu’un studio “à un quart d’heure de +Cham+”. Mais très mal isolé. Pour “650 euros par mois mais avec des factures d’électricité de 200 à 300 euros l’hiver pour maintenir une pièce à 15 degrés”.Clotilde — également un prénom d’emprunt –, jeune vendeuse de matériel de montagne, après avoir fui une colocation à trois dans un deux-pièces “au-dessus d’une boîte de nuit”, a loué un studio à “575 euros mensuels avec 400 euros d’électricité l’hiver et un matelas qui moisissait à cause de l’humidité”, soupire-t-elle. “Et 18 km à vélo pour venir bosser…”Pierre Slemett regrette chaque jour de ne pas pouvoir loger les quelque 60 célibataires et couples avec enfants en attente chaque année d’un des 70 appartements du FJT. “Les mesures du maire sont très courageuses car cela ne va pas faire que des heureux chez les propriétaires”, et donc les électeurs à un an des municipales, “mais je demande à voir les résultats, le prix des terrains encore constructibles est lunaire”, s’inquiète l’ancien conseiller municipal: “comment un bailleur social pourrait les acquérir, construire et proposer des loyers modérés ?””Beaucoup, ici, appellent” le nouveau PLU du maire “un coup de bluff électoral”, tranche Louise Sebah, gérante de Alpes & Chalets, l’une des innombrables agences immobilières de Chamonix. Celle-là appartient à François-Xavier Laffin, principal opposant et candidat déclaré contre Eric Fournier pour les élections municipales de 2026. “Les mesures annoncées par la mairie ne vont pas donner d’un coup l’argent nécessaire à ceux qui ont besoin d’un logement permanent”, assène Louise Sebah. Pour elle, la demande de résidences secondaires, “toujours élevée”, va pousser notamment “une clientèle étrangère très aisée” vers “le déjà construit”, et faire monter encore le prix du mètre carré. 

Tunics & turbans: Afghan students don Taliban-imposed uniforms

Since the start of the school year in March, Afghan boys have been required to wear new uniforms of turbans and long tunics, following an order to adopt outfits reflecting Taliban rule.The Taliban government’s education ministry cites strengthening discipline, masking social inequalities and promoting what the authorities see as true Islamic attire as reasons for the dress code change — a move that has sparked division.”Islam has preserved and strengthened the standards of modesty and dignity by paying attention to clothing. Sharia clothing defines the identity of a Muslim male and female,” the ministry said in its directive.”Sharia clothing is a means to preserve the dignity of the individual and protect the society against moral degradation.”Before the Taliban authorities swept back to power in 2021, the shalwar kameez and turban — traditional wear in the region — were uncommon in academic or professional settings. Since their return, the streets of Kabul and other areas have become more uniform, with many men opting for the monochrome loose trousers and long tunic.Once mostly limited to religious schools, the shalwar kameez with a turban or hat are now mandatory for all students, whether in public or private schools.Girls are already from a young age required to wear uniforms, often a long black dress over matching trousers with a white headscarf, but can no longer study past primary school in non-religious institutions.- ‘Turned away’ -Male students must wear a light blue shalwar kameez along with a cap up to the age of around 15, afterwards donning white and wearing a turban.The rule — ordered by the Taliban Supreme Leader Hibatullah Akhundzada — took time to be enforced and is still implemented unevenly across the country.In western Herat, student Nassir Ahmad said few pupils wore the new uniform at the start of the school year, but now they have no choice.”Our teachers told us not to come without it. If we don’t have the uniform and the cap, we can’t enter the classroom,” the 13-year-old told AFP.”I saw several of my friends turned away because they didn’t have a turban on,” said 17-year-old Qassim.He said morality police from the department for the Promotion of Virtue and Prevention of Vice came to the schools to ensure the rules are being followed.In the Taliban heartland of southern Kandahar, several students told AFP they were pleased with their new clothing.Mohammad Wali, a student at the Mahmoud Tarzi school, said he was “very happy” to wear the “Prophet’s clothing”.”It distinguishes students from other people in the street,” said the 17-year-old.In the capital Kabul, some students wear the turban while at school, only to stuff it into their bags as soon as they leave. – Too expensive -Among teachers and school principals — also told to swap their suits and ties or casual clothes for shalwar kameez and a black turban — some disapproved of the measure.”Today, everyone looks the same. A doctor no longer looks like a doctor and a cook no longer looks like a cook,” said the principal of a Kabul school, speaking to AFP on condition of anonymity.”The uniform does create discipline,” the principal conceded, having swapped out his suit and tie nearly four years ago to avoid trouble.But for some families, he said, paying the average 1,000 Afghanis ($14) per uniform is a burden in a country where 85 percent of the population lives on less than a dollar a day, according the UN.”If a family has five or six children, how are they supposed to manage?” he asked.Students now wear their new uniforms in often dilapidated schools with meager resources.In remote areas, lessons are sometimes held outdoors under the shade of a tree. The Kabul principal said at first he didn’t sanction students out of uniform, but now education ministry officials show up at his school two to three times a week to check whether students are complying.”People in Afghanistan have no choice,” he said. “They obey and cannot complain.”strs-cgo/sw/dhc

Transport scolaire: les contrôles de chauffeurs vont être “multipliés” estime Tabarot

Le ministre des Transports Philippe Tabarot a annoncé mercredi que les contrôles de chauffeurs de cars scolaires, notamment pour déceler une éventuelle prise de stupéfiants, allaient être “multipliés, de manière inopinée”, trois mois après un accident ayant provoqué la mort d’une lycéenne.Le gouvernement présente mercredi matin un plan pour le renforcement de la sécurité routière du transport scolaire, en présence des opérateurs, des autorités organisatrices des transports et des fédérations professionnelles.Chaque jour, pour rejoindre leur établissement, 1,9 million d’élèves empruntent les transports scolaires. Le ministère des Transports dénombre plus de 30.000 conducteurs de cars et bus scolaires.”L’accident survenu à Châteaudun, le jeudi 30 janvier, ayant coûté la vie à une lycéenne et les contrôles qui s’en sont suivis, ont notamment mis en évidence des cas préoccupants de conduite après usage de stupéfiants parmi les conducteurs de transports scolaires”, indiquait mardi le ministère dans un communiqué.Mercredi sur TF1, Philippe Tabarot a annoncé qu’une “quinzaine de mesures allaient être présentées” dans le cadre de ce plan transports scolaires.Alors que “plus de 10.000 contrôles” de chauffeurs ont été réalisés depuis l’accident mortel de Chateaudun, “nous avons souhaité avec les opérateurs multiplier les contrôles au sein même” des entreprises, “de manière inopinée, concernant les stupéfiants. Ce seront des tests qui seront opérés par entreprises de transport plusieurs fois dans l’année de manière aléatoire”, a annoncé le ministre.Par ailleurs, “et là c’est dans une échéance de plusieurs mois, mais je souhaite (…) que la filière avance sur quelque chose qui puisse permettre de controler les chauffeurs dès qu’ils montent dans le bus”, avec l’objectif de “stopper le démarrage” du car en cas de contrôle positif. “Mais cela demande quelques mois pour que la technologie puisse être avancée, pour pouvoir notamment contrôler tout type de drogue que ce soit le cannabis mais malheureusement quelque fois la cocaïne ou des dérivés comme la kétamine”.Parmi les autres mesures, M. Tabarot a annoncé que le plan prévoyait de “renforcer les contrôles de police très régulièrement; avoir une meilleure formation des conducteurs sur les risques de prise de produits stupéfiants; sécuriser les bus pour les enfants, avec le port de la ceinture”.Il a aussi évoqué “l’utilisation de caméras pour prévenir le conducteur sur une perte d’attention” ou encore “la possibilité pour les enfants, à travers un numéro de téléphone, de contacter des personnes référentes pour dire que quelque chose se passe dans le bus qui n’est pas conforme”.