Record battu pour ZEVENT, marathon caritatif des streamers, qui dépasse les 11 millions d’euros

Plus de 11,5 millions d’euros: à 21H00 dimanche, le plus gros événement caritatif en ligne de France, qui doit se terminer à minuit, avait déjà battu son record pour sa 9e édition, dans une ambiance survoltée au Corum de Montpellier.Dans une salle sans fenêtre à l’arrière du palais des congrès, chacun derrière leur écran, une quarantaine de streamers relèvent des défis pour leur communauté. Cette année, pour la première fois, ils étaient rejoints par plus de 250 streamers en ligne.Des déguisements, un ring de boxe, des recettes de cuisine en direct, des karaokés, et à intervalle très régulier, les streamers hurlent des “merci!!!!” au rythme des dons qui s’affichent sur leur écran. “Merci Julie pour tes 2 euros, merci Anonymous pour tes 500 balles!!!!!!!!”.Parmi les défis de cette année, l’animateur Samuel Etienne (Questions pour un champion) s’est fait tatouer le dos pendant plusieurs heures face camera.La streameuse Marie Lopez, alias EnjoyPhoenix, raconte à l’AFP: “Le rythme est super intense. Le direct sur 2 ou 3 heures, c’est sympa, mais c’est vrai que là, sur 48h, sans dormir beaucoup avec le bruit ambiant, c’est vraiment très spécial”.Vers 20H30, l’organisateur ZeratoR a annoncé avoir franchi la barre des 10 millions tandis que des streameuses se jetaient dans une piscine à balle sous une pluie de confettis.Il faudra ajouter à la somme finale la recette des achats de la boutique du ZEVENT.En 2024, la précédente édition avait permis de récolter plus de 10 millions d’euros pour cinq associations luttant contre la précarité.Interrogé par l’AFP, Frédéric Theret, directeur de développement à la Fondation de France, qui accompagne le ZEVENT depuis trois ans pour gérer en amont la présélection des associations sur la thématique qui est décidée par les streamers, assure: “Notre objectif c’est de garantir à chaque donateur l’impact des dons qui sont faits pendant cette opération”. Ce marathon permettra cette année de lever des fonds au profit d’associations œuvrant pour les patients et les aidants, dont La ligue contre le cancer, l’Association française des aidants ou encore Le rire médecin (clowns hospitaliers), ou Sourire à la vie (soins de supports pour les enfants atteints de cancer).Avec l’association l’Envol, par exemple, “on va réussir à offrir des colonies de vacances à des enfants qui sont hospitalisés en séjour de longs termes. Dès l’année prochaine, c’est 700 enfants qui vont bénéficier de séjours gratuits”, détaille M. Theret.

Russia unleashes biggest air barrage on Ukraine, hits government complex

Russia fired its biggest-ever aerial barrage at Ukraine early on Sunday, killing four people and setting government offices in Kyiv ablaze, an attack President Volodymyr Zelensky warned would prolong the war.Zelensky said he was counting on a strong US response shortly after US President Donald Trump indicated to journalists he might be willing to impose more sanctions on Moscow.Russia has intensified its onslaught against Ukraine since a meeting between Trump and President Vladimir Putin on August 15 failed to make any breakthrough on a ceasefire.After Sunday’s attack on Kyiv, flames could be seen rising from the roof of the sprawling government complex that houses Ukraine’s cabinet of ministers in the heart of the city — the first time it has been hit during the three-and-a-half-year conflict.Drone strikes also damaged several high-rise buildings in the Ukrainian capital, according to emergency services.Russia denies targeting civilians in Ukraine.It said it struck a plant and a logistics hub in Kyiv, with the Russian defence ministry saying “no strikes were carried out on other targets within the boundaries of Kyiv”. “It is important that there is a broad response from partners to this attack today,” said Zelensky in his evening address, adding that Putin was “testing the world”.”We are counting on a strong response from America. That is what is needed.”- ‘Deliberate crime’ -Russia fired at least 810 drones and 13 missiles at Ukraine between late Saturday and early Sunday in a new record, according to the Ukrainian air force.Ukrainian Prime Minister Yulia Svyrydenko posted a video showing a damaged floor in the government building.”We will restore the buildings,” she said. “But we cannot bring back lost lives. The enemy terrorises and kills our people every day throughout the country.”Zelensky discussed the attack in a call with French President Emmanuel Macron and said France would help Ukraine strengthen its defence. Macron was among European leaders who condemned the attack, posting on X that Russia was “locking itself ever deeper into the logic of war and terror”. UK Prime Minister Keir Starmer denounced the attacks as “cowardly” while EU chief Ursula von der Leyen accused the Kremlin of “mocking diplomacy”.Earlier, his US Treasury secretary, Scott Bessent, Washington might slap tariffs on countries that buy Russian oil.”The Russian economy will be in full collapse. And that will bring President (Vladimir) Putin to the table,” Bessent told NBC television.- European troop proposal -At least two people were killed in a strike west of Kyiv, prosecutors said.More than two dozen were wounded in Kyiv, according to the emergency services.Among them was a 24-year-old pregnant woman who delivered a premature baby shortly after the attack, with doctors fighting to save her life and that of her baby, state TV Suspilne reported. Two more died and dozens were wounded in overnight strikes across the east and southeast, authorities said.Ukraine’s foreign ministry highlighted that seven horses had also been killed at an equestrian club.”The world cannot stand aside while a terrorist state takes lives — human or animal — every single day,” it posted on X.The barrage came after more than two dozen European countries pledged to oversee any agreement to end the war, some of whom said they were willing to deploy troops on the ground.Ukraine has insisted on Western-backed security guarantees to prevent future Russian attacks, but Putin has warned that any Western troops in Ukraine would be unacceptable and legitimate targets.Trump has tried to find a way to end the war in recent weeks but has little to show for his efforts.Russia has continued to claim territory in costly grinding battles and now occupies around 20 percent of Ukraine.Tens of thousands have been killed and millions force from their homes in Europe’s bloodiest conflict since World War II.

Ukraine: attaque russe record, le siège du gouvernement frappé pour la première fois

La Russie a lancé dimanche sa plus grande vague de drones et missiles sur l’Ukraine depuis le début de la guerre, faisant au moins cinq morts et frappant pour la première fois le siège du gouvernement, une attaque après laquelle Donald Trump s’est dit prêt à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou.A un journaliste qui lui a demandé à la Maison Blanche s’il était prêt à lancer une nouvelle phase de sanctions contre la Russie, le président américain a répondu “oui, je le suis”.L’Ukraine compte “sur une réponse forte de la part des Etats-Unis”, a de son côté souligné dans la soirée sur les réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky. “De tels meurtres aujourd’hui, quand la diplomatie réelle aurait pu commencer il y a longtemps, sont un crime délibéré et une prolongation de la guerre”, avait-il auparavant déclaré.A Kiev, un journaliste de l’AFP a vu le toit de l’imposant bâtiment abritant le conseil des ministres en feu et des volutes de fumée grise s’en échapper. Des hélicoptères lâchaient de l’eau sur l’édifice, situé en plein coeur de Kiev, proche de la présidence et du Parlement.”Pour la première fois, le toit et les étages supérieurs du siège du gouvernement ont été endommagés par une attaque ennemie”, a indiqué la Première ministre Ioulia Svyrydenko sur Telegram.Selon elle, aucune victime n’est à déplorer dans le bâtiment. Les services de secours ont rapporté en début d’après-midi que l’incendie qui s’était déclenché avait été éteint.Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, le quartier gouvernemental à Kiev avait été relativement épargné par les frappes massives russes qui visent régulièrement la capitale.Dans la nuit, la Russie a tiré 810 drones et 13 missiles sur l’Ukraine, dont respectivement 747 et quatre ont été interceptés, selon l’armée de l’air ukrainienne. Il s’agit de l’attaque aérienne la plus importante depuis le début de la guerre.Plusieurs autres régions ont été touchées. Au total, cinq personnes ont été tuées, dont deux à Kiev, et plus d’une vingtaine de personnes ont été blessées. Au moins deux autres personnes ont trouvé la mort dans des attaques locales séparées, selon les autorités ukrainiennes.- “Faire monter la pression” -Dans la capitale ukrainienne, plusieurs immeubles résidentiels ont également été touchés. Les deux personnes décédées sont une jeune femme et son fils âgé de deux mois, a précisé le maire Vitali Klitschko.L’armée russe, comme elle le fait généralement, a assuré n’avoir visé que “des sites du complexe militaro-industriel ukrainien et des infrastructures de transport”.Elle a affirmé avoir frappé des sites de production de drones et des aérodromes militaires dans l’est, le sud et le centre de l’Ukraine, ainsi que deux entreprises industrielles à la périphérie de Kiev.La Première ministre ukrainienne a souligné que “le monde doit répondre à cette destruction non seulement par des mots, mais par des actions.””Nous devons renforcer la pression des sanctions, principalement contre le pétrole et le gaz russes”, a-t-elle plaidé, réclamant également des “armes”.Lui faisant écho, le ministre américain des Finances Scott Bessent a assuré que les Etats-Unis étaient “prêts à faire monter la pression” sur la Russie, appelant les Européens à faire de même.Le président français Emmanuel Macron a condamné l’attaque et estimé qu’elle illustrait le fait que “la Russie s’enferme toujours un peu plus dans la logique de la guerre et de la terreur”.Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que l’attaque montrait que Vladimir Poutine “ne prend pas la paix au sérieux”. Quant à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, elle a fait le constat que le président russe “bafoue la diplomatie”.L’Ukraine a de son côté affirmé avoir frappé une usine dans la région russe frontalière de Briansk et une raffinerie de pétrole dans la région de Krasnodar, dans le sud de la Russie.- Négociations dans l’impasse -L’armée russe, qui occupe environ 20% du territoire ukrainien, a poursuivi ses avancées dimanche en revendiquant la capture d’une nouvelle localité dans la région de Dnipropetrovsk (centre).Les dernières semaines ont été marquées par une intense activité diplomatique pour tenter de trouver une issue au conflit.Ces efforts semblent néanmoins dans l’impasse. Les positions de Moscou et de Kiev sur la fin de la guerre, les modalités d’un cessez-le-feu ou d’une rencontre entre leurs deux dirigeants sont diamétralement opposées.Vingt-six pays, essentiellement européens, se sont engagés malgré tout jeudi à Paris à contribuer à des garanties de sécurité pour l’Ukraine pour empêcher une potentielle nouvelle attaque de la Russie, après une hypothétique cessation des hostilités.La Russie, qui considère l’expansion de l’Otan à ses frontières comme l’une des causes de la guerre, a indiqué à de multiples reprises qu’elle est catégoriquement opposée à tout déploiement de militaires occidentaux en Ukraine. M. Poutine a averti qu’un tel déploiement ferait de ces soldats des “cibles légitimes” pour l’armée russe.Jeudi, Donald Trump avait annoncé qu’il s’entretiendrait bientôt avec Vladimir Poutine.

Ukraine: attaque russe record, le siège du gouvernement frappé pour la première fois

La Russie a lancé dimanche sa plus grande vague de drones et missiles sur l’Ukraine depuis le début de la guerre, faisant au moins cinq morts et frappant pour la première fois le siège du gouvernement, une attaque après laquelle Donald Trump s’est dit prêt à prendre de nouvelles sanctions contre Moscou.A un journaliste qui lui a demandé à la Maison Blanche s’il était prêt à lancer une nouvelle phase de sanctions contre la Russie, le président américain a répondu “oui, je le suis”.L’Ukraine compte “sur une réponse forte de la part des Etats-Unis”, a de son côté souligné dans la soirée sur les réseaux sociaux le président ukrainien Volodymyr Zelensky. “De tels meurtres aujourd’hui, quand la diplomatie réelle aurait pu commencer il y a longtemps, sont un crime délibéré et une prolongation de la guerre”, avait-il auparavant déclaré.A Kiev, un journaliste de l’AFP a vu le toit de l’imposant bâtiment abritant le conseil des ministres en feu et des volutes de fumée grise s’en échapper. Des hélicoptères lâchaient de l’eau sur l’édifice, situé en plein coeur de Kiev, proche de la présidence et du Parlement.”Pour la première fois, le toit et les étages supérieurs du siège du gouvernement ont été endommagés par une attaque ennemie”, a indiqué la Première ministre Ioulia Svyrydenko sur Telegram.Selon elle, aucune victime n’est à déplorer dans le bâtiment. Les services de secours ont rapporté en début d’après-midi que l’incendie qui s’était déclenché avait été éteint.Depuis le début de l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, le quartier gouvernemental à Kiev avait été relativement épargné par les frappes massives russes qui visent régulièrement la capitale.Dans la nuit, la Russie a tiré 810 drones et 13 missiles sur l’Ukraine, dont respectivement 747 et quatre ont été interceptés, selon l’armée de l’air ukrainienne. Il s’agit de l’attaque aérienne la plus importante depuis le début de la guerre.Plusieurs autres régions ont été touchées. Au total, cinq personnes ont été tuées, dont deux à Kiev, et plus d’une vingtaine de personnes ont été blessées. Au moins deux autres personnes ont trouvé la mort dans des attaques locales séparées, selon les autorités ukrainiennes.- “Faire monter la pression” -Dans la capitale ukrainienne, plusieurs immeubles résidentiels ont également été touchés. Les deux personnes décédées sont une jeune femme et son fils âgé de deux mois, a précisé le maire Vitali Klitschko.L’armée russe, comme elle le fait généralement, a assuré n’avoir visé que “des sites du complexe militaro-industriel ukrainien et des infrastructures de transport”.Elle a affirmé avoir frappé des sites de production de drones et des aérodromes militaires dans l’est, le sud et le centre de l’Ukraine, ainsi que deux entreprises industrielles à la périphérie de Kiev.La Première ministre ukrainienne a souligné que “le monde doit répondre à cette destruction non seulement par des mots, mais par des actions.””Nous devons renforcer la pression des sanctions, principalement contre le pétrole et le gaz russes”, a-t-elle plaidé, réclamant également des “armes”.Lui faisant écho, le ministre américain des Finances Scott Bessent a assuré que les Etats-Unis étaient “prêts à faire monter la pression” sur la Russie, appelant les Européens à faire de même.Le président français Emmanuel Macron a condamné l’attaque et estimé qu’elle illustrait le fait que “la Russie s’enferme toujours un peu plus dans la logique de la guerre et de la terreur”.Le Premier ministre britannique Keir Starmer a estimé que l’attaque montrait que Vladimir Poutine “ne prend pas la paix au sérieux”. Quant à la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, elle a fait le constat que le président russe “bafoue la diplomatie”.L’Ukraine a de son côté affirmé avoir frappé une usine dans la région russe frontalière de Briansk et une raffinerie de pétrole dans la région de Krasnodar, dans le sud de la Russie.- Négociations dans l’impasse -L’armée russe, qui occupe environ 20% du territoire ukrainien, a poursuivi ses avancées dimanche en revendiquant la capture d’une nouvelle localité dans la région de Dnipropetrovsk (centre).Les dernières semaines ont été marquées par une intense activité diplomatique pour tenter de trouver une issue au conflit.Ces efforts semblent néanmoins dans l’impasse. Les positions de Moscou et de Kiev sur la fin de la guerre, les modalités d’un cessez-le-feu ou d’une rencontre entre leurs deux dirigeants sont diamétralement opposées.Vingt-six pays, essentiellement européens, se sont engagés malgré tout jeudi à Paris à contribuer à des garanties de sécurité pour l’Ukraine pour empêcher une potentielle nouvelle attaque de la Russie, après une hypothétique cessation des hostilités.La Russie, qui considère l’expansion de l’Otan à ses frontières comme l’une des causes de la guerre, a indiqué à de multiples reprises qu’elle est catégoriquement opposée à tout déploiement de militaires occidentaux en Ukraine. M. Poutine a averti qu’un tel déploiement ferait de ces soldats des “cibles légitimes” pour l’armée russe.Jeudi, Donald Trump avait annoncé qu’il s’entretiendrait bientôt avec Vladimir Poutine.

Euro de basket: les raisons de l'”échec” assumé des Bleus

De l’absence de joueurs d’expérience à une adresse longue distance en panne, les Bleus ont payé leurs points faibles samedi, éliminés prématurément dès les huitièmes de finale de l’Euro de basket par la Géorgie (80-70).Le sélectionneur des vice-champions olympiques, Frédéric Fauthoux, ne s’en est pas caché après la rencontre, c’est “un échec qu’il faudra assumer”. Tout en tenant compte de certains facteurs ayant particulièrement marqué la compétition.. Le poids des absencesSi la médaille d’argent olympique glanée un an plus tôt à domicile pouvait laisser espérer des lendemains heureux pour l’équipe de France, celle-ci a été touchée plusieurs semaines avant l’Euro par une ribambelles de forfaits, dont plusieurs de cadres.A commencer par sa superstar Victor Wembanyama, dont la saison NBA avec les San Antonio Spurs a été écourtée par une thrombose veineuse de l’épaule. Entre-temps, Rudy Gobert (112 sélections) a fait le choix de ne pas prendre part à l’Euro, quand Evan Fournier (118 sel.), Mathias Lessort ou encore Matthew Strazel et Vincent Poirier ont également été touchés par les blessures.Ajoutez à cela les départs à la retraite de Nando de Colo et de Nicolas Batum, et la non-selection d’Andrew Albicy et Frank Ntilikina, et seuls trois joueurs présents à l’Euro étaient du parcours olympique.Cette malchance est venue rajeunir considérablement un groupe bleu (25,8 ans d’âge moyenne) en manque d’expérience dans les grandes compétitions et dans l’approche des matches couperets. “Ce match (contre la Géorgie), on le perd plus à l’expérience qu’autre chose, c’était une première pour beaucoup de joueurs”, a ainsi estimé Mam Jaiteh.Frédéric Fauthoux a lui pointé “un manque d’expérience dans la gestion émotionnelle de ces matches”, même si “les gars ont mouillé le maillot”.. Un secteur intérieur particulièrement touchéAvec l’absence de Wembanyama (2,21 m), Rudy Gobert (2,15 m), Poirier (2,13 m) ou Mathias Lessort, les Bleus ont vécu une hécatombe dans le secteur intérieur. Ainsi, les Français ne sont partis qu’avec quatre intérieurs pour l’Euro, et le seul Mam Jaiteh (2,08 m) en tant que pivot de métier. De plus, l’autre joueur de grande taille de l’équipe, Alexandre Sarr (2,13 m), a à) son tour dû déclarer forfait pendant la compétition, après avoir été touché à un mollet.”Ce sont surtout les forfaits en cours de route qui nous ont fait mal”, a estimé Frédéric Fauthoux, même si, selon lui, le manque d’intérieurs ne s’est pas spécifiquement fait tant ressentir que cela: “on a encore dominé au rebond, on ne s’est pas fait enfoncer sur des posts-up (contre la Géorgie). Le choix (d’aller à l’Euro avec quatre intérieurs) était posé, mesuré”.. Trop de maladresse en attaqueAvec 28,5% de réussite en six rencontres, les Français se sont souvent cassé les dents dans le domaine de l’adresse extérieure.Problème récurrent depuis le début de l’Euro, il a été d’autant plus mis en exergue lors de la défaite contre Israël (8/32) et contre la Géorgie (6/36), avec énormément de tirs tentés pour trop peu de résultats. Les Géorgiens “fermaient beaucoup la raquette et laissaient beaucoup de tirs ouverts et on ne les a pas punis”, a regretté Sylvain Francisco.Avec un peu plus de réussite, “ils auraient eu un peu plus peur et on aurait eu un peu plus d’espace pour aller dans la raquette”, a-t-il jugé.

Nawaz hat-trick helps Pakistan down Afghanistan in tri-series final

Pakistan laid down a marker ahead of the Asia Cup as Mohammad Nawaz took a hat-trick in a 75-run win over Afghanistan in their tri-series final in Sharjah on Sunday.Nawaz picked up 5-19 in total — his best figures in T20 internationals — as Pakistan skittled Afghanistan out for 66 in 15.5 overs while defending a modest 142-run target on a tricky pitch.Afghan captain Rashid Khan took three wickets to help restrict Pakistan to 141-8, with Fakhar Zaman top-scoring with 27.Nawaz dismissed Darwish Rasooli and Azmatullah Omarzai off successive deliveries for ducks and then removed Ibrahim Zadran for nine off the first ball of his next over to complete a hat-trick.Nawaz became the third Pakistani bowler after Faheem Ashraf and Mohammad Hasnain to achieve the feat in T20Is.Rashid (17) and Sediqullah Atal (13) were the only batters to reach double figures as Afghanistan recorded their second lowest total in T20Is, behind their 56 all out against South Africa in last year’s World Cup semi-finals.”We wanted to prepare in a way that helps us for the Asia Cup and we’ve done that,” said Pakistan skipper Salman Agha.”We’ve been doing really well since the Bangladesh home series. Finally, we’re in very good shape and fully prepared for the Asia Cup.”Earlier, Pakistan, who won the toss and batted, also struggled against spin. Nawaz made a 21-ball 25 with two sixes while Agha laboured to a 27-ball 24.Zaman added 49 for the second wicket with Saim Ayub (17) after opener Sahibzada Farhan fell off the third ball of the match for a duck.Rashid dismissed Zaman in his first over and then accounted for Hasan Nawaz (15) and Agha, but only after his opposite number struck him for two sixes.Afghanistan next open their Asia Cup campaign on Tuesday against Hong Kong in a Group B clash in Abu Dhabi. Sri Lanka and Bangladesh are the other two teams in their group.Pakistan will face arch-rivals India, Oman and the United Arab Emirates in Group A.

Des milliers de partisans de Bolsonaro dans la rue avant le verdict de la Cour suprême

Des milliers de partisans de Jair Bolsonaro ont commencé à manifester dimanche dans les principales villes du Brésil, une démonstration de force avant la décision de la Cour suprême sur le sort de l’ancien président, jugé pour tentative de coup d’Etat. Le procès historique de M. Bolsonaro et de ses sept co-accusés est entré cette semaine dans sa phase finale. Le verdict devrait être connu d’ici le 12 septembre. Accusé d’avoir conspiré pour assurer son “maintien autoritaire au pouvoir” malgré sa défaite aux élections de 2022 face à son rival de gauche Luiz Inácio Lula da Silva, le leader d’extrême droite, un ancien capitaine de l’armée, encourt jusqu’à 43 ans de prison. La manifestation principale a débuté à 15h00 heure locale (18h00 GMT) sur la célèbre avenue Paulista de São Paulo, en présence de plusieurs figures de la droite brésilienne.”Nous sommes ici pour défendre la légalité et les valeurs de ce pays. Le procès de Bolsonaro est une ignominie”, assure Aparecida Paula, une retraitée de 70 ans, vêtue du maillot de l’équipe nationale.Les soutiens politiques de l’ex-président (2019-2022), qui le considèrent pratiquement condamné d’avance, tentent de faire pression au Parlement pour faire voter un projet de loi visant à amnistier des centaines de personnes condamnées pour avoir pris part aux émeutes de Brasilia le 8 janvier 2023. Ce jour-là, des milliers de ses sympathisants avaient saccagé les lieux de pouvoir, réclamant une intervention militaire pour déloger le président Lula , une semaine après son investiture.  Jair Bolsonaro se trouvait alors aux Etats-Unis, mais il est accusé d’avoir incité les émeutiers. Cette affaire a suscité l’ire du président américain Donald Trump, allié de Jair Bolsonaro.   – “Merci Trump” -Vêtus des couleurs verte et jaune du drapeau brésilien, les partisans de Bolsonaro se sont rassemblés sur l’avenue Paulista avec des pancartes en faveur de l’amnistie et contre Lula et les juges de la Cour suprême. “Merci, président Trump”, pouvait-on lire sur certaines pancartes ainsi que sur des banderoles adressées aux dirigeants de la Chambre des députés et du Sénat pour qu’ils activent le vote de l’amnistie.Il y a un mois, le président américain Donald Trump a imposé des droits de douane punitifs au Brésil, arguant qu’il y avait une “chasse aux sorcières” contre son allié Bolsonaro.Le pasteur évangélique ultra-conservateur Silas Malafaia, organisateur de l’événement, et l’épouse de l’ancien président, Michelle Bolsonaro, étaient présents parmi plusieurs figures de la droite brésilienne.Inéligible jusqu’en 2030 et assigné à résidence depuis début août, Jair Bolsonaro, 70 ans, clame son innocence et crie à la “persécution” politique. En ce jour de l’Indépendance, le président Lula mènera lui le traditionnel défilé officiel à Brasilia sous le slogan “Brésil souverain”, à la suite des droits de douane punitifs de 50% imposés par M. Trump.Les autorités ont renforcé la sécurité du défilé avec 2.000 agents déployés et des troupes supplémentaires en alerte, a confirmé la police militaire de Brasilia.Le président Lula, 79 ans, qui envisage de se représenter aux élections de 2026, a mis en garde cette semaine contre les risques d’amnistie si la question est portée devant le Congrès.”Si le vote a lieu au Parlement, l’amnistie est un risque (…) car l’extrême droite est encore très forte”, a-t-il affirmé récemment lors d’une rencontre avec des militants à Belo Horizonte (sud-est). “Cette bataille doit aussi être menée par le peuple”, a ajouté l’ancien syndicaliste, figure historique de la gauche brésilienne.Plus de 600 personnes ont été condamnées pour les émeutes de 2023, qui ont constitué, selon le parquet, l'”ultime espoir” de voir aboutir le plan putschiste imputé à Jair Bolsonaro et ses co-accusés. Le président de la Chambre des députés, Hugo Motta, assure que “rien n’est arrêté” au sujet de l’amnistie, tout en admettant l’intensification des négociations ces derniers jours pour porter la question devant le Congrès.