A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Le plus grand lac du Royaume-Uni suffoque à cause des algues toxiques

Pour la troisième année d’affilée, des algues bleu-vert toxiques ont proliféré sur le Lough Neagh, en Irlande du Nord, au point de donner une couleur de soupe de pois à ce lac, le plus grand du Royaume-Uni, duquel se dégage une odeur d’oeufs pourris. Cet été, l’épaisse couche verte – si étendue qu’elle est visible depuis l’espace – a atteint des records, selon les locaux très préoccupés par l’ampleur de la pollution due à ces algues, dont le nom scientifique est “cyanobactéries”.”Le lac est en train de mourir”, dit Mary O’Hagan à l’AFP, depuis Ballyronan, sur la rive ouest, pendant que des canards se débattent sur des pierres recouvertes d’une couche verte glissante.La prolifération des algues – alimentée, selon les experts, par la pollution industrielle, agricole, les eaux usées et le changement climatique – dévaste la pêche et nuit fortement aux activités nautiques. Les rejets d’engrais provenant de fermes approvisionnant l’industrie agroalimentaire sont considérés comme un des principaux responsables de la pollution. Le déversement d’eaux usées non traitées est également mis en cause.Cette surabondance suscite aussi des inquiétudes sanitaires: environ 40% de l’eau potable d’Irlande du Nord provient du Lough Neagh.Des panneaux interdisant la baignade jalonnent les 125 kilomètres de rives, notamment à Ballyronan, situé à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Belfast, la capitale d’Irlande du Nord. – “Déchirant” -Pendant les années Covid, Mary O’Hagan, 48 ans, nageait dans le Lough Neagh, mais ce n’est plus une option. “Nager ici, face à des levers de soleil spectaculaires, m’a aidée pendant des périodes difficiles de ma vie. C’est déchirant de voir le lac dans cet état aujourd’hui”, dit-elle.Mary O’Hagan fait partie du groupe “Sauvez Lough Neagh”, qui a récemment manifesté pour demander au gouvernement régional d’agir.”Il faut sanctionner les pollueurs !”, dit-elle, réclamant la création d’une agence environnementale indépendante capable de punir les responsables. Régulièrement accusé, le transformateur de volaille Moy Park affirme que le secteur avicole est “fortement réglementé, avec des limites strictes fixées pour la qualité des eaux usées”. La prolifération des algues est un “problème complexe qui ne peut pas être attribué à un seul secteur”, selon un porte-parole.Le changement climatique a également favorisé localement la propagation des moules zébrées, une espèce invasive, dont la capacité à filtrer l’eau peut faciliter la formation des cyanobactéries.- Aucune compensation -Les algues ont décimé les mouches de Lough Neagh, un maillon essentiel de la chaîne alimentaire pour les poissons et les oiseaux, explique Mick Hagan, en lançant sa ligne dans une rivière voisine.”Avant la rivière était pleine de truites, mais c’est fini”, dit cet homme de 38 ans, revenu bredouille.La plus grande pêcherie d’anguilles d’Europe, située sur Lough Neagh, a suspendu ses activités cette année en raison de préoccupations sur la qualité.Mick Hagan appartient à la première génération de sa famille qui ne pêche pas l’anguille dans le Lough Neagh.Il tient un camion à pizzas sur un site de camping-cars près de Ballyronan, mais l’odeur nauséabonde provenant du lac a repoussé les touristes cet été.Selon Gavin Knox, dont la petite entreprise de paddle lancée en 2022 a elle aussi été victime des algues, la puanteur peut se faire sentir à plusieurs kilomètres.”Faire tourner l’entreprise est devenu impossible”, dit-il. “Même s’il reste des endroits sûrs pour pagayer, personne n’en a envie alors que les poissons meurent et que les oiseaux sont couverts de boue verte”. Cet homme de 48 ans, qui s’est endetté pour lancer son entreprise, se dit révolté qu’aucune compensation n’ait jamais été proposée par les autorités. En juillet 2024, le gouvernement régional a lancé un plan d’action, mais moins de la moitié des mesures prévues ont été mises en œuvre. Les autres devraient devraient être réalisées “en 2026 et au-delà”, a indiqué le gouvernement à l’AFP, sans plus de précisions.

Les Français pas satisfaits de la nomination de Sébastien Lecornu, selon deux sondages

Les Français ont majoritairement une opinion défavorable du nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu, selon deux sondages publiés dimanche, même si les chiffres varient sensiblement entre l’institut Ifop dans le JDD et Ipsos/BVA dans la Tribune Dimanche.Avec seulement 16% d’opinions favorables (contre 40% d’opinions défavorables), le chef du gouvernement fait moins bien que son prédécesseur François Bayrou (20%) lors de sa nomination et il est nettement distancé par Gabriel Attal (37%), Michel Barnier (34%) et Elisabeth Borne (27%), indique le baromètre mensuel Ipsos/BVA publié par la Tribune Dimanche.L’institut de sondage note que 44% des personnes interrogées disent ne pas connaître suffisamment Sébastien Lecornu pour se prononcer. Le nouveau chef du gouvernement a été nommé mardi par le président Emmanuel Macron. Selon cette enquête, 60% des Français pensent en outre qu’il ne parviendra pas à un compromis avec des partis d’opposition pour faire adopter le budget 2026.Pour l’Ifop dans le Journal du dimanche (JDD), le total des satisfaits concernant Sébastien Lecornu s’établit à 38%, soit quatre points de plus que François Bayrou lors de sa prise de fonctions. L’institut mesure le total des mécontents à 62%.Les deux sondages montrent également une chute de la popularité d’Emmanuel Macron.Pour Ipsos/BVA, il atteint dans ce baromètre son plus bas historique depuis son arrivée à l’Elysée en 2017, avec seulement 17% d’opinions favorables et une chute vertigineuse de 18 points dans son propre électorat.L’Ifop de son côté mesure la part des mécontents du chef de l’Etat à 81% (+ 5 points), contre 19% de satisfaits.Parmi les personnalités dont les Français seraient satisfaits qu’elles arrivent à la présidence du pays, le président du RN Jordan Bardella arrive en tête (35%), devant la leader du parti Marine Le Pen (32%), puis le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau (27%), qui devance l’ancien Premier ministre Edouard Philippe (25%), d’après l’enquête Ipsos/BVA. Raphaël Glucksmann, la première personnalité de gauche dans ce classement, arrive en huitième position (18%).L’enquête Ipsos/BVA a été réalisée du 11 au 12 septembre par internet auprès d’un échantillon représentatif de 1.000 personnes selon la méthode des quotas.L’enquête Ifop a été réalisée du 10 au 11 septembre en ligne, sur un échantillon représentatif de 1.000 personnes selon la méthode des quotas.

‘So Long a Letter’: Angele Diabang’s Hollywood-defying Senegalese hitSun, 14 Sep 2025 05:35:31 GMT

A crowd streamed out of a major Dakar cinema on a recent Tuesday night after watching Senegal’s movie of the summer: a book adaptation with no special effects or Hollywood stars that nonetheless has taken box offices by storm.Director Angele Diabang’s film “So Long a Letter”, a film based on one of Senegal’s best-known novels, …

‘So Long a Letter’: Angele Diabang’s Hollywood-defying Senegalese hitSun, 14 Sep 2025 05:35:31 GMT Read More »

Kenya’s only breastmilk bank, life-line for premature babiesSun, 14 Sep 2025 05:23:14 GMT

Surrounded by incubators, a red tube snaking into her tiny nose, four-day-old Grace-Ella is being fed donated breastmilk at the only facility in Kenya that offers the life-giving service.The breastmilk bank at Pumwani Maternity Hospital is one of very few across sub-Saharan Africa, and is especially helpful for premature babies, of which roughly 134,000 are …

Kenya’s only breastmilk bank, life-line for premature babiesSun, 14 Sep 2025 05:23:14 GMT Read More »

Supporters of slain US activist Charlie Kirk shut down critics

For some Americans on the far right, Charlie Kirk died a “martyr” and any criticism of the hugely popular conservative activist must be punished.Online vitriol and grassroots persecution have exploded in the wake of the assassination of the 31-year-old who had been an electrifying presence on the US right, with the killing further deepening fraught political divisions in the country.Laura Sosh-Lightsy, assistant dean of students at a university in the southern state of Tennessee, found herself in hot water after posting on social media about Kirk’s death.”Hate begets hate. ZERO sympathy,” she said on Facebook after the killing, which happened Wednesday in front of a large crowd at a university in Utah.Republican US Senator Marsha Blackburn quickly called out the comment — and Sosh-Lightsy.”This person should be ashamed of her post. She should be removed from her position,” the Tennessee lawmaker said. Middle Tennessee State University’s president announced that same night an employee’s firing for a “callous” comment about Kirk.Kirk, who rallied his millions of followers to help President Donald Trump win a second White House term, was both revered and reviled for his pro-gun, anti-abortion and anti-immigrant rhetoric.Shooting suspect Tyler Robinson, who was arrested Thursday, is said to have engraved anti-fascist messages on his bullet casings. This has led to a large part of the American right labeling him a “far-left” killer.Some Kirk supporters have turned into online sleuths, searching out accounts that praised or celebrated Kirk’s murder.”If they have their picture on their profile, even without a name, download the picture and reverse image search it,” conservative influencer Joey Mannarino said.”Cross-reference it with their LinkedIn profile and find their place of employment. Call the place of employment, leave Google reviews.”These efforts have targeted teachers, firefighters and even military personnel, some of whom have lost their jobs.Kirk’s murder has been condemned by both sides of the political aisle. But Trump quickly blamed the country’s “radical left,” even as authorities were only just launching a manhunt for the killer.Online trackers have targeted an Oklahoma teacher, who posted on social media: “Charlie Kirk died the same way he lived: bringing out the worst in people.”That teacher has since been investigated by the state’s Department of Education, which described his comments as “abhorrent.”- Stadium memorial service -Trump, who praised Kirk as a “giant of his generation,” has led the US government in memorializing the activist, with high-ranking US officials working to weed out critics of Kirk and his legacy.Trump ordered flags lowered to half-staff in honor of his ally, and Kirk’s body was flown from Utah to his home in Phoenix, Arizona aboard Air Force Two, escorted by Vice President JD Vance.Meanwhile, Defense Secretary Pete Hegseth ordered members of the military to identify colleagues who mocked or celebrated Kirk’s death.US Under Secretary of State Christopher Landau declared that “foreigners who glorify violence and hatred are not welcome visitors to our country.””I have been disgusted to see some on social media praising, rationalizing, or making light of the event, and have directed our consular officials to undertake appropriate action,” he said in a post on X.”Please feel free to bring such comments by foreigners to my attention so the @statedept can protect the American people.”Laura Loomer, a far-right conspiracy theorist who has Trump’s ear, has been one of the most high-profile attackers of Kirk’s critics.She denounced an employee of the Federal Emergency Management Agency (FEMA), who had expressed disgust on Instagram that flags would be lowered for “the literal racist homophobe misogynist.”Loomer shared the staffer’s LinkedIn profile and said: “These people hate us. They don’t belong near the levers of our National Power.”Following Loomer’s post, FEMA said the employee was placed on leave for making “revolting and unconscionable” comments.On Saturday, Kirk’s organization Turning Point USA announced a memorial service for its founder will be held on September 21 in a suburb of Phoenix.The chosen venue hints at the expected turnout: a stadium normally home to a professional football team, with a seating capacity of more than 63,000.

La Fête du sport étrennée dans un contexte budgétaire tendu pour le secteur

Laure et Florent Manaudou dans la Seine, un parterre d’athlètes et plus de 5.000 événements dans toute la France: la première Fête du sport dimanche veut instaurer un rendez-vous joyeux et populaire, malgré un contexte plombé par la crainte de coupes budgétaires supplémentaires.A la suite de la grande parade des athlètes des JO de Paris 2024 qui s’était déroulée le 14 septembre 2024 sur les Champs-Elysées, Emmanuel Macron avait proposé d’instaurer tous les ans, à cette date, une Fête du sport à l’image de la Fête de la musique (21 juin).Dimanche, dans tout l’Hexagone, plus de 5.000 animations, démonstrations, rencontres avec des athlètes et autres initiations gratuites sont proposées par 73 fédérations sportives.A Paris, la rue de Rivoli sera transformée entre 11H00 et 18H00 en “Boulevard du sport” sur plus de deux kilomètres, avec des espaces de démonstrations et de pratique pour petits et grands, en présence d’athlètes de renom comme Marie-José Pérec (athlétisme), Martin Fourcade (biathlon), Nikola Karabatic (handball) ou encore Sofiane Oumiha (boxe).Toujours dans la capitale, mais dans la Seine cette fois, “une course de légende” opposera en fin de journée dans le bassin Grenelle – l’un des trois sites de baignade dans le fleuve ouverts cet été au grand public – les nageurs Alain Bernard, Charlotte Bonnet, Jordan Coelho, Maxime Grousset, Camille Lacourt, Laure Manaudou, Florent Manaudou, Malia Metella et Yohann N’Doye-Brouard.Dans leur sillage, Maxime Grousset tentera ensuite de battre son record sur 100 mètres nage libre face à… Tony Estanguet en canoë.En début de soirée, cette première Fête du sport se conclura par l’ultime envol de l’année pour la vasque olympique.S’ils se disent “pleinement engagés pour la réussite” de cette Fête du sport, les Comités olympique et paralympique ont aussi dénoncé le fait que le sport, depuis les JO-2024, a “été fragilisé par les coupes budgétaires”, dans une tribune publiée vendredi et signée par leurs présidentes respectives Amélie Oudéa-Castéra et Marie-Amélie Le Fur.- “Pas le cœur à la fête” -Dans le plan de rigueur annoncé par l’ex-Premier ministre François Bayrou, les missions jeunesse et sport se voyaient rabotées de 17,6% pour l’année 2026, une annonce qui avait sidéré le monde du sport, dont le précédent budget avait déjà été bien rogné.”On n’a pas le cœur à la fête”, résumait vendredi auprès de l’AFP Mme Oudéa-Castéra, également ancienne ministre des Sports et des JO.Elle disait “espérer que dans le cadre de la nouvelle donne politique, on reviendra à plus de raison sur ce que doit être la contribution du sport” dans les coupes budgétaires pour 2026, ajoutant qu’elle “n’accepte pas qu’il y ait une trahison de l’héritage des Jeux” de Paris.Un appel au boycott de l’événement a d’ailleurs été lancé par le président PS du département de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, pour protester contre “le choix incompréhensible” du gouvernement “de réduire le budget du sport” et notamment l’exclusion des enfants de 6 à 14 ans du “pass Sport”, réservé désormais aux ados.La ministre démissionnaire des Sports Marie Barsacq a dit “comprendre la raison pour laquelle M. Troussel lance ce boycott puisque c’est un appel à prendre conscience que le sport compte dans le pays”, mais estime que “dans le contexte actuel, on a plutôt intérêt à installer ce rendez-vous annuel pour que le sport prenne sa place”. “Le soutien au sport ne passe pas que par le budget du ministère des Sports”, déclarait il y a quelques jours Mme Barsacq à l’AFP.

La Fête du sport étrennée dans un contexte budgétaire tendu pour le secteur

Laure et Florent Manaudou dans la Seine, un parterre d’athlètes et plus de 5.000 événements dans toute la France: la première Fête du sport dimanche veut instaurer un rendez-vous joyeux et populaire, malgré un contexte plombé par la crainte de coupes budgétaires supplémentaires.A la suite de la grande parade des athlètes des JO de Paris 2024 qui s’était déroulée le 14 septembre 2024 sur les Champs-Elysées, Emmanuel Macron avait proposé d’instaurer tous les ans, à cette date, une Fête du sport à l’image de la Fête de la musique (21 juin).Dimanche, dans tout l’Hexagone, plus de 5.000 animations, démonstrations, rencontres avec des athlètes et autres initiations gratuites sont proposées par 73 fédérations sportives.A Paris, la rue de Rivoli sera transformée entre 11H00 et 18H00 en “Boulevard du sport” sur plus de deux kilomètres, avec des espaces de démonstrations et de pratique pour petits et grands, en présence d’athlètes de renom comme Marie-José Pérec (athlétisme), Martin Fourcade (biathlon), Nikola Karabatic (handball) ou encore Sofiane Oumiha (boxe).Toujours dans la capitale, mais dans la Seine cette fois, “une course de légende” opposera en fin de journée dans le bassin Grenelle – l’un des trois sites de baignade dans le fleuve ouverts cet été au grand public – les nageurs Alain Bernard, Charlotte Bonnet, Jordan Coelho, Maxime Grousset, Camille Lacourt, Laure Manaudou, Florent Manaudou, Malia Metella et Yohann N’Doye-Brouard.Dans leur sillage, Maxime Grousset tentera ensuite de battre son record sur 100 mètres nage libre face à… Tony Estanguet en canoë.En début de soirée, cette première Fête du sport se conclura par l’ultime envol de l’année pour la vasque olympique.S’ils se disent “pleinement engagés pour la réussite” de cette Fête du sport, les Comités olympique et paralympique ont aussi dénoncé le fait que le sport, depuis les JO-2024, a “été fragilisé par les coupes budgétaires”, dans une tribune publiée vendredi et signée par leurs présidentes respectives Amélie Oudéa-Castéra et Marie-Amélie Le Fur.- “Pas le cœur à la fête” -Dans le plan de rigueur annoncé par l’ex-Premier ministre François Bayrou, les missions jeunesse et sport se voyaient rabotées de 17,6% pour l’année 2026, une annonce qui avait sidéré le monde du sport, dont le précédent budget avait déjà été bien rogné.”On n’a pas le cœur à la fête”, résumait vendredi auprès de l’AFP Mme Oudéa-Castéra, également ancienne ministre des Sports et des JO.Elle disait “espérer que dans le cadre de la nouvelle donne politique, on reviendra à plus de raison sur ce que doit être la contribution du sport” dans les coupes budgétaires pour 2026, ajoutant qu’elle “n’accepte pas qu’il y ait une trahison de l’héritage des Jeux” de Paris.Un appel au boycott de l’événement a d’ailleurs été lancé par le président PS du département de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, pour protester contre “le choix incompréhensible” du gouvernement “de réduire le budget du sport” et notamment l’exclusion des enfants de 6 à 14 ans du “pass Sport”, réservé désormais aux ados.La ministre démissionnaire des Sports Marie Barsacq a dit “comprendre la raison pour laquelle M. Troussel lance ce boycott puisque c’est un appel à prendre conscience que le sport compte dans le pays”, mais estime que “dans le contexte actuel, on a plutôt intérêt à installer ce rendez-vous annuel pour que le sport prenne sa place”. “Le soutien au sport ne passe pas que par le budget du ministère des Sports”, déclarait il y a quelques jours Mme Barsacq à l’AFP.

Kenya’s Jepchirchir outsprints Assefa for world marathon goldSun, 14 Sep 2025 01:48:40 GMT

Kenya’s Peres Jepchirchir produced a dramatic, lung-busting final 100m sprint to outpace Ethiopa’s Tigst Assefa for gold in the women’s marathon at the world championships in Tokyo on Sunday.The pair were neck-and-neck coming into the National Stadium after 41km run around the streets of Tokyo, the pace acclerating all the time.Jepchirchir, grimacing, tried to pull away, but …

Kenya’s Jepchirchir outsprints Assefa for world marathon goldSun, 14 Sep 2025 01:48:40 GMT Read More »

US Fed poised for first rate cut of 2025 as political tension mounts

The US Federal Reserve is widely expected to make its first interest rate cut of the year at its policy meeting this week, spurred by a weakening jobs market — but political tension looms over the gathering.The Fed’s likely move would follow a monthslong push from President Donald Trump to slash rates, and comes amid growing concern about political pressure on the independent central bank.Since the bank’s last reduction in December, it has held interest rates at a range between 4.25 percent and 4.50 percent as policymakers monitor the effects of Trump’s sweeping tariffs on inflation.Analysts now broadly expect a 25 basis points rate cut at the end of its two-day meeting on Wednesday, as hiring slows.”What’s interesting is that it’s very clear what the Fed is going to do when they meet,” said Josh Lipsky, chair of international economics at the Atlantic Council.”Yet, despite that, there’s high drama around this meeting,” he added, referring to personnel issues on the rate-setting Federal Open Market Committee (FOMC).While Trump has dropped threats of ousting Fed Chair Jerome Powell over renovation costs at the central bank’s Washington headquarters, the president moved to fire Fed Governor Lisa Cook in August over mortgage fraud allegations.Cook, who was appointed under former president Joe Biden and is the first Black woman to serve on the Fed’s board of governors, swiftly mounted a legal challenge against her removal.She has managed to remain in place while the lawsuit, which could have implications for similar moves against other Fed officials, plays out.Meanwhile, the early resignation in August of another Fed governor, Adriana Kugler, created a vacancy that Trump has rushed to fill with his chief economic adviser Stephen Miran.Miran chairs the White House Council of Economic Advisers but has drawn criticism from Democratic lawmakers over his plans to take a leave of absence — rather than resign — from the Trump administration if confirmed.A panel has nonetheless advanced his nomination and if confirmed quickly by the Republican-majority Senate, he could join the Fed in its next rate meeting.- Recession risks -Come Wednesday, markets will be focused on signals surrounding the Fed’s future pace — and size — of rate cuts, Lipsky said.KPMG chief economist Diane Swonk expects this to mark the “start of an easing cycle that the Fed won’t want to commit to.”Traders will also monitor Powell’s remarks on whether he sees inflation risks abating, particularly as worries over price pressures previously held back rate reductions.”The inflation genie has not quite been put back into the bottle,” said Wells Fargo analysts in a recent note.Data released Thursday showed that the consumer price index, a key inflation gauge, ticked up to 2.9 percent in August — its highest pace since the start of the year.”The labor market is in a precarious position, with nearly stagnant job growth, deteriorating worker sentiment and an unemployment rate that has inched above many estimates of full employment,” Wells Fargo noted.”With so little positive momentum in the labor market, recession risks have ticked higher,” the report said.- Independence worries -With Miran’s potential arrival, markets will be monitoring how much division there is within the FOMC on whether it should make a 25 basis points rate cut, a 50 basis points reduction, or keep rates unchanged.”That’s not something we’re used to seeing from the Fed,” Lipsky said. “This is a group that votes almost in unison over decades.”Analysts also warn that broader changes to the Fed’s make-up could happen more swiftly than markets expect.Presidents of the 12 regional Fed banks come up for reappointment every five years, meaning the Fed board of governors could replace them — although this has not happened before.”The markets, I think, are underpricing some of the risks to central bank independence and what it would mean for monetary policy going forward,” Lipsky said.