Ghana singer Shatta Wale held in US fraud probe over Lamborghini purchaseThu, 21 Aug 2025 14:50:16 GMT

Ghanaian dancehall star Shatta Wale has been taken into custody in Accra as part of a US investigation into his purchase of a Lamborghini, prompting hundreds of fans to protest for his release.Shatta Wale, born Charles Nii Armah Mensah, was interrogated Wednesday in connection with a 2019 Lamborghini Urus that US authorities suspect was purchased …

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Copa Sudamericana: une vingtaine de blessés et plus de 100 arrestations lors d’un match en Argentine

Une vingtaine de personnes ont été blessées et plus d’une centaine interpellées lors de violents incidents mercredi entre les supporters argentins d’Independiente et chiliens d’Universidad de Chile, en huitièmes de finale retour de la Copa Sudamericana, ont indiqué le club argentin et la police.La rencontre a dû être arrêtée à la 48e minute en raison d’affrontements dans les tribunes du stade d’Avellaneda, au sud de Buenos Aires, alors que les deux équipes étaient à égalité 1-1 (victoire de la U 1-0 à l’aller) dans ce match de la deuxième compétition sud-américaine de clubs, derrière la prestigieuse Copa Libertadores.”Les personnes hospitalisées sont au nombre de cinq, et parmi elles, une est dans un état grave” en raison de blessures causées par une arme blanche, a déclaré aux premières heures jeudi l’ambassadeur du Chili en Argentine, José Antonio Viera-Gallo, à la radio chilienne ADN Radio.Une source d’Independiente a confié à l’AFP, sous couvert d’anonymat, que le total des personnes arrêtées s’élevait à “125”. Le sous-secrétaire de l’Intérieur du Chili, Víctor Ramos, a fait état de 19 Chiliens blessés et de 107 personnes arrêtées. Face à la “gravité des faits”, le président du Chili Gabriel Boric a annoncé qu’il enverrait en Argentine son ministre de l’Intérieur, Álvaro Elizalde, pour accompagner les blessés et surveiller la situation des détenus.Les incidents ont commencé lorsque les supporters chiliens ont lancé des projectiles, dont des sièges et une bombe artisanale, vers les tribunes inférieures et latérales où se trouvaient des supporters argentins qui les ont renvoyés aux expéditeurs, a constaté un journaliste de l’AFP.Au milieu du chaos, sans que les forces de sécurité n’interviennent, les supporters argentins ont escaladé la tribune supérieure pour s’en prendre à leurs homologues chiliens. Des images diffusées sur les réseaux sociaux ont montré des personnes se battant à coups de bâtons ou de matraques.Le football sud-américain est régulièrement en proie aux violences et aux débordements.En avril, deux jeunes avaient été tués dans un mouvement de foule au Chili quand des supporters avaient tenté d’entrer de force dans un stade de Santiago où se jouait un match de la Copa Libertadores entre l’équipe chilienne de Colo Colo et les Brésiliens de Fortaleza.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Une requête à Gemini consomme moins d’énergie que regarder 9 secondes de télé, affirme Google

Une requête à Gemini, l’intelligence artificielle (IA) de Google, consomme moins d’énergie que de regarder neuf secondes de télévision, affirme jeudi le géant américain de la tech qui cite une étude menée par ses chercheurs alors que la voracité énergétique de l’IA reste un problème majeur du secteur. En moyenne, une requête (appelée “prompt”) textuelle dans les applications Gemini consomme 0,24 wattheure (Wh) d’énergie, soit moins que le visionnage de neuf secondes de télévision moderne qui correspond à environ 100 Wh, estiment les chercheurs de Google.Une requête émet par ailleurs 0,03 gramme d’équivalent dioxyde de carbone et consomme 0,26 millilitre d’eau, l’équivalent d’environ cinq gouttes, ajoutent-ils. Cette étude porte sur des données de mai 2025 collectées à travers les différentes applications où Gemini est présent. Google ne détaille pas ce qu’il entend par “prompt”, s’il s’agit d’un mot ou d’une suite de mots, et refuse de communiquer le nombre de requêtes formulées sur Gemini chaque jour, ce qui permettrait d’avoir une idée de la consommation d’énergie globale du modèle.Google voit d’ailleurs ses émissions de gaz à effet de serre augmenter. Elles ont atteint 15,2 millions de tonnes de CO2 en 2024, soit plus de 50% de plus qu’en 2019, son année de référence, d’après son dernier rapport environnemental annuel, et ce, en grande partie à cause de ses centres de données, indispensables au développement de l’IA. Pour son étude, le groupe a comptabilisé les phases de calcul actif des modèles d’IA pour générer des réponses aux requêtes des utilisateurs, l’énergie réelle consommée par les puces et celle des processeurs et des centres de données dans leur ensemble.Google explique ainsi avoir pris en compte l’énergie des machines inactives, qui doivent être alimentées en permanence pour être prêtes à gérer à tout moment des pics de trafic, les systèmes de refroidissement des serveurs très énergivores et d’autres charges indirectes de ses centres de données. Ces chiffres n’intègrent cependant pas tout l’entraînement des modèles d’IA, et sont à prendre avec précaution, l’étude n’ayant pas été vérifiée par un tiers indépendant, comme le rappelle Google lui-même dans une note accompagnant l’étude.Calculer l’empreinte environnementale d’un modèle d’IA est une tâche extrêmement complexe car il n’existe aucune norme mondiale de mesure. Les géants de la tech entretiennent pour la plupart une opacité sur le fonctionnement de ces programmes et leurs conditions de fabrication, ce qui complique la tâche des chercheurs indépendants et des institutions internationales qui manquent de données. Le patron d’OpenAI, Sam Altman, a par exemple révélé en juin que chaque requête envoyée à ChatGPT consommait en moyenne 0,34 Wh d’électricité, soit l’énergie nécessaire pour faire fonctionner un four pendant une seconde, et 0,3 ml d’eau. Le dirigeant n’a cependant fourni aucune explication sur la manière dont OpenAI était parvenu à ces chiffres, ce qui rend toute comparaison impossible.La question de la consommation énergétique de l’IA est pourtant cruciale.Les centres de données, socle de cette technologie, devraient peser environ 3% des besoins mondiaux en électricité d’ici 2030, soit le double de la proportion actuelle, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE). 

Une requête à Gemini consomme moins d’énergie que regarder 9 secondes de télé, affirme Google

Une requête à Gemini, l’intelligence artificielle (IA) de Google, consomme moins d’énergie que de regarder neuf secondes de télévision, affirme jeudi le géant américain de la tech qui cite une étude menée par ses chercheurs alors que la voracité énergétique de l’IA reste un problème majeur du secteur. En moyenne, une requête (appelée “prompt”) textuelle dans les applications Gemini consomme 0,24 wattheure (Wh) d’énergie, soit moins que le visionnage de neuf secondes de télévision moderne qui correspond à environ 100 Wh, estiment les chercheurs de Google.Une requête émet par ailleurs 0,03 gramme d’équivalent dioxyde de carbone et consomme 0,26 millilitre d’eau, l’équivalent d’environ cinq gouttes, ajoutent-ils. Cette étude porte sur des données de mai 2025 collectées à travers les différentes applications où Gemini est présent. Google ne détaille pas ce qu’il entend par “prompt”, s’il s’agit d’un mot ou d’une suite de mots, et refuse de communiquer le nombre de requêtes formulées sur Gemini chaque jour, ce qui permettrait d’avoir une idée de la consommation d’énergie globale du modèle.Google voit d’ailleurs ses émissions de gaz à effet de serre augmenter. Elles ont atteint 15,2 millions de tonnes de CO2 en 2024, soit plus de 50% de plus qu’en 2019, son année de référence, d’après son dernier rapport environnemental annuel, et ce, en grande partie à cause de ses centres de données, indispensables au développement de l’IA. Pour son étude, le groupe a comptabilisé les phases de calcul actif des modèles d’IA pour générer des réponses aux requêtes des utilisateurs, l’énergie réelle consommée par les puces et celle des processeurs et des centres de données dans leur ensemble.Google explique ainsi avoir pris en compte l’énergie des machines inactives, qui doivent être alimentées en permanence pour être prêtes à gérer à tout moment des pics de trafic, les systèmes de refroidissement des serveurs très énergivores et d’autres charges indirectes de ses centres de données. Ces chiffres n’intègrent cependant pas tout l’entraînement des modèles d’IA, et sont à prendre avec précaution, l’étude n’ayant pas été vérifiée par un tiers indépendant, comme le rappelle Google lui-même dans une note accompagnant l’étude.Calculer l’empreinte environnementale d’un modèle d’IA est une tâche extrêmement complexe car il n’existe aucune norme mondiale de mesure. Les géants de la tech entretiennent pour la plupart une opacité sur le fonctionnement de ces programmes et leurs conditions de fabrication, ce qui complique la tâche des chercheurs indépendants et des institutions internationales qui manquent de données. Le patron d’OpenAI, Sam Altman, a par exemple révélé en juin que chaque requête envoyée à ChatGPT consommait en moyenne 0,34 Wh d’électricité, soit l’énergie nécessaire pour faire fonctionner un four pendant une seconde, et 0,3 ml d’eau. Le dirigeant n’a cependant fourni aucune explication sur la manière dont OpenAI était parvenu à ces chiffres, ce qui rend toute comparaison impossible.La question de la consommation énergétique de l’IA est pourtant cruciale.Les centres de données, socle de cette technologie, devraient peser environ 3% des besoins mondiaux en électricité d’ici 2030, soit le double de la proportion actuelle, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE). 

Une requête à Gemini consomme moins d’énergie que regarder 9 secondes de télé, affirme Google

Une requête à Gemini, l’intelligence artificielle (IA) de Google, consomme moins d’énergie que de regarder neuf secondes de télévision, affirme jeudi le géant américain de la tech qui cite une étude menée par ses chercheurs alors que la voracité énergétique de l’IA reste un problème majeur du secteur. En moyenne, une requête (appelée “prompt”) textuelle dans les applications Gemini consomme 0,24 wattheure (Wh) d’énergie, soit moins que le visionnage de neuf secondes de télévision moderne qui correspond à environ 100 Wh, estiment les chercheurs de Google.Une requête émet par ailleurs 0,03 gramme d’équivalent dioxyde de carbone et consomme 0,26 millilitre d’eau, l’équivalent d’environ cinq gouttes, ajoutent-ils. Cette étude porte sur des données de mai 2025 collectées à travers les différentes applications où Gemini est présent. Google ne détaille pas ce qu’il entend par “prompt”, s’il s’agit d’un mot ou d’une suite de mots, et refuse de communiquer le nombre de requêtes formulées sur Gemini chaque jour, ce qui permettrait d’avoir une idée de la consommation d’énergie globale du modèle.Google voit d’ailleurs ses émissions de gaz à effet de serre augmenter. Elles ont atteint 15,2 millions de tonnes de CO2 en 2024, soit plus de 50% de plus qu’en 2019, son année de référence, d’après son dernier rapport environnemental annuel, et ce, en grande partie à cause de ses centres de données, indispensables au développement de l’IA. Pour son étude, le groupe a comptabilisé les phases de calcul actif des modèles d’IA pour générer des réponses aux requêtes des utilisateurs, l’énergie réelle consommée par les puces et celle des processeurs et des centres de données dans leur ensemble.Google explique ainsi avoir pris en compte l’énergie des machines inactives, qui doivent être alimentées en permanence pour être prêtes à gérer à tout moment des pics de trafic, les systèmes de refroidissement des serveurs très énergivores et d’autres charges indirectes de ses centres de données. Ces chiffres n’intègrent cependant pas tout l’entraînement des modèles d’IA, et sont à prendre avec précaution, l’étude n’ayant pas été vérifiée par un tiers indépendant, comme le rappelle Google lui-même dans une note accompagnant l’étude.Calculer l’empreinte environnementale d’un modèle d’IA est une tâche extrêmement complexe car il n’existe aucune norme mondiale de mesure. Les géants de la tech entretiennent pour la plupart une opacité sur le fonctionnement de ces programmes et leurs conditions de fabrication, ce qui complique la tâche des chercheurs indépendants et des institutions internationales qui manquent de données. Le patron d’OpenAI, Sam Altman, a par exemple révélé en juin que chaque requête envoyée à ChatGPT consommait en moyenne 0,34 Wh d’électricité, soit l’énergie nécessaire pour faire fonctionner un four pendant une seconde, et 0,3 ml d’eau. Le dirigeant n’a cependant fourni aucune explication sur la manière dont OpenAI était parvenu à ces chiffres, ce qui rend toute comparaison impossible.La question de la consommation énergétique de l’IA est pourtant cruciale.Les centres de données, socle de cette technologie, devraient peser environ 3% des besoins mondiaux en électricité d’ici 2030, soit le double de la proportion actuelle, selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE). 

Wall Street poursuit sa baisse, entre aversion au risque et craintes économiques

La Bourse de New York recule à nouveau jeudi, les investisseurs se détournant des mégacapitalisations dans un mouvement d’aversion au risque, alors que les craintes économiques liées aux droits de douane se multiplient.Vers 14H00 GMT, le Dow Jones reculait de 0,54%, l’indice Nasdaq de 0,61% et l’indice élargi S&P 500 perdait 0,51%.”Aujourd’hui, il ne fait aucun doute que la grande nouvelle concerne les termes de l’accord commercial avec l’Union européenne qui ont été annoncés” avant l’ouverture de Wall Street, estime auprès de l’AFP Christopher Low, de FHN Financial.Les voitures et produits pharmaceutiques européens seront taxés à 15% à leur entrée aux Etats-Unis, selon un communiqué commun publié jeudi par l’UE et l’administration Trump qui ne prévoit aucune exemption pour les vins et spiritueux.Cependant, cette clarification, “n’a pas suffi à inverser la tendance sur les marchés à risque”, souligne M. Low.Vers 14H00 GMT, Amazon lâchait 1,15%, Apple 0,32% et Meta (Facebook, Instagram) 0,85%.Pour Christopher Low, la raison de cette dynamique baissière est qu’il “y a un peu plus de signaux de difficultés économiques” aux Etats-Unis.Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté à 235.000, là où les analystes tablaient sur une stabilisation à 225.000 demandes.Surtout, les renouvellements de demande d’allocation chômage ont elles aussi encore augmenté, à un niveau plus vu depuis fin 2021.En outre, une enquête de l’association professionnelle Conference Board a montré “qu’un nombre croissant d’entreprises prévoient de cesser d’embaucher de nouveaux salariés au cours du second semestre”, relève M. Low.Après une courte percée positive en juillet, l’indice d’activité manufacturière dans la région de Philadelphie est lui revenu dans le négatif pour le mois d’août.Ces multiples données pourraient encourager la Réserve fédérale (Fed) à abaisser ses taux pour redonner de l’air à l’économie américaine.Les investisseurs scruteront ainsi le discours du patron de l’institution monétaire Jerome Powell au colloque des banquiers centraux de Jackson Hole (Wyoming) vendredi.”Si M. Powell est disposé à réduire les taux lors de la prochaine réunion, ou ouvert à cette idée, cela serait extrêmement positif”, pour la place américaine, anticipe Christopher Low.Mais selon l’analyste, “toutes les pressions politiques vont le rendre un peu plus réticent à laisser entendre un assouplissement, car il y a encore des données à venir d’ici la réunion de la Fed (de septembre, ndlr)” alors que l’inflation reste au-dessus de la cible de la banque centrale.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’État américains à dix ans se tendait à 4,33% contre 4,30% à la clôture mercredi.La semaine reste aussi marquée par les résultats trimestriels des acteurs de la grande distribution. Les acteurs du marché digèrent en particulier jeudi ceux du géant Walmart.Celui-ci a relevé une partie de ses prévisions pour son exercice fiscal décalé 2026 après une hausse de près de 5% de son chiffre d’affaires au deuxième trimestre.Mais l’enseigne était sanctionnée pour son bénéfice net par action à données comparables inférieur aux attentes, à 68 cents. Vers 14H00 GMT, le titre reculait de 4,31% à 98,15 dollars.Dans une interview accordée à la chaîne américaine CNBC, le directeur financier du groupe John David Rainey a estimé que “les coûts liés aux droits de douane continuent d’augmenter” et qu’une partie était répercutée sur les prix en magasin.

Stocks slide as investors await key Fed speech

Stock markets mostly fell during cautious trading sessions Thursday, a day before a key speech expected to offer signals about future interest rate cuts in the United States.US Federal Reserve Chairman Jerome Powell, who has resisted President Donald Trump’s public demands to slash rates, is scheduled to deliver remarks Friday at the annual central bankers conference in Wyoming.Major European indices were lower in midday trading, tracking a lacklustre session in Asia, and Wall Street indices opened lower after weakness seen on Wednesday.Investors largely brushed off purchasing managers’ index (PMI) data showing eurozone business activity reached a 15-month high in August, while UK activity grew at its fastest pace in a year.”Eyes are turning to… Powell’s final speech at the Jackson Hole Symposium as Federal Reserve Chair (before his term ends in May 2026),” said Susannah Streeter, head of money and markets at Hargreaves Lansdown.”Although the effect of Trump’s tariffs on monetary policy will be the undercurrent theme, investors will be looking specifically for clues as to the Fed’s inclination to cut interest rates,” she said.Data last week provided a mixed picture of US inflation, leaving it uncertain whether the Fed will lower rates as many investors expect in September — a move that could bolster growth in the world’s largest economy.A recent sell-off in major tech stocks has added to market uncertainty, as investors grow wary of the sustained rally across the sector since April.The tech-heavy Nasdaq fell again on Thursday, though shares in AI chip designer Nvidia were trading flat after heavy selling in previous sessions ahead of its earnings report next week.Despite the building unease, shares in Seoul closed higher Thursday, bolstered by an uptick in Samsung’s share price.Shanghai, Sydney and Taipei also saw moderate gains.Tokyo’s Nikkei index closed lower, along with Hong Kong.Global markets have also fluctuated recently on the prospects of a peace deal in Ukraine, following days of high-stakes diplomacy in the aftermath of Trump’s Friday meeting with Russian counterpart Vladimir Putin.The diplomatic whirlwind has sparked volatility in oil markets as traders speculate over the possible lifting of sanctions on Russia, a major producer.Oil prices rose again Thursday, following a report the previous day showing a sharp decline in US crude stockpiles.- Key figures at around 1340 GMT -New York – Dow: DOWN 0.6 percent at 44,675.02 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.3 percent at 6,374.53New York – Nasdaq: DOWN 0.3 percent at 21,116.06London – FTSE 100: DOWN 0.3 percent at 9,259.45 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,293.03 Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 percent at 24,227.68Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.7 percent at 42,610.17 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 25,104.61 (close)Shanghai – Composite: UP 0.1 percent at 3,770.78 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1639 from $1.1648 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3441 from $1.3452Dollar/yen: UP at 147.64 yen from 147.44 yenEuro/pound: DOWN at 86.56 pence from 86.59 penceWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $63.28 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $66.93 per barrel

EU gets 15% US tariff for cars, fails to secure wine reprieve

Details of a US-EU trade deal published Thursday showed Brussels secured a tariff reduction for cars exported to the United States but failed to win a reprieve for its cherished wine sector.US President Donald Trump and EU Commission President Ursula von der Leyen clinched a framework accord in July for most EU exports to face a 15-percent US levy. But many aspects remained unclear, as the EU sought to win carve-outs for some sectors and Trump threatened higher tariffs on others.A joint statement Thursday brought some clarity, although negotiations are not over as the EU said it would seek more tariff reductions.The “maximum, all-inclusive” 15-percent rate would apply to the vast majority of European exports, including cars, pharmaceuticals, semiconductors and lumber, the EU said.”This is the most favourable trade deal the US has extended to any partner,” EU trade commissioner Maros Sefcovic told a press conference in Brussels, explaining the levy will not come on top of existing tariffs.In recent weeks Trump had raised the possibility of additional tariffs hitting certain sectors such as pharmaceuticals, which account for 20 percent of the EU’s exports to the United States, and semiconductors.- Bison and wine -Sefcovic said he was confident that the rate for cars, which is lower than the current 27.5 percent, will apply retroactively from August 1, having received assurances on the matter from his US counterpart.But this will happen only once the EU introduces legislation to eliminate its own tariffs on US industrial products, something Sefcovic said the commission was “working very hard” on.The 15-percent rate will also apply to wine and spirits despite a push by France, Italy and other wine-making countries to win a zero tariff exemption.”Unfortunately, here we didn’t succeed,” Sefcovic said, adding negotiations would continue. “These doors are not closed forever”.The French wine exporters federation said it was “hugely disappointed”.”We are certain that this will create major difficulties for the wines and spirits sector,” said the head of the wine and spirits federation FEVS Gabriel Picard.Christophe Chateau, a spokesman for a group representing Bordeaux wine producers, described this as “bad news” — but better than the worst case scenario, with Trump that had at one point threatened tariffs as high as 200 percent.”It further hinders the trade and export of Bordeaux wines to the United States,” which is by far their largest market, Chateau told AFP. French trade minister Laurent Saint-Martin said his government would seek “additional exemptions” in the trade deal.Under the agreement, the EU committed to significantly improving market access to a range of US seafood and agricultural goods, including tree nuts, dairy products, fruits, vegetables, pork and bison meat.On the other hand, a special more favourable regime will apply as of September 1 to a number of EU exports to the US including “unavailable natural resources” such as cork, all aircraft and aircraft parts and generic pharmaceuticals.These would effectively face a “zero or close to zero” rate, the commission said.”This is not the end of the process, we continue to engage with the US to agree more tariff reductions, to identify more areas of cooperation, and to create more economic growth potential,” said commission chief Ursula von der Leyen.