Mumbai eliminate Rajasthan from IPL playoff race with bruising win

Rohit Sharma shined with the bat and Karn Sharma spearheaded a fine collective bowling effort as Mumbai Indians cruised to a massive 100-run win over Rajasthan Royals on Thursday, officially ending their opponents’ chances of reaching the playoffs. Rohit smacked 53 runs of 36 balls as Mumbai posted 217-2 after being invited to bat first at the Sawai Mansingh Stadium in Jaipur. Indian pace bowler Jasprit Bumrah and spinner Karn then picked up a combined total of five wickets to help bowl out Rajasthan for 117 in 16.1 overs after teenage sensation Vaibhav Suryavanshi fell to a two-ball duck. The match extends Mumbai Indians winning streak to six games and pushes them to the top of the points table. Mumbai skipper Hardik Pandya said the team were going back to “simple” cricket with clinical batting and bowling performances. “As a group, the way we batted was proper batsmanship…,” said Hardik. “Everyone is really clear. We’re going back to simple cricket, and it’s working for that. We want to take game by game, and be humble and disciplined.” Mumbai openers Rohit and Ryan Rickelton kicked off the first innings on a dominant note, producing a 116-run partnership before Rickelton, who hit 61 runs off 38 balls, departed in the 12th over. Rohit fell shortly after, leaving the team at 123-2. But the rest of the batting burden was shouldered ably by aggressive knocks from Suryakumar Yadav and Hardik. Both players smacked an unbeaten 48 runs each, giving no quarter to Rajasthan’s bowlers, with Yadav hitting a six off the very last ball to set Rajasthan a chase of 218. In reply, Rajasthan started the on a wobbly note. Suryavanshi (0) was dismissed cheaply in the first over while Yashasvi Jaiswal (13) fell soon after, leaving the team at 20-2 at the end of the second over. Unfortunately for the hosts, sharp spells from Mumbai’s bowlers triggered a batting collapse. Nitish Rana (9), skipper Riyan Parag (16), Shimron Hetmyer (0), Shubham Dubey (15) and Dhruv Jurel (11) fell like flies, leaving the team teetering at 76-7 at the end of the ninth over. England’s Jofra Archer offered a glimmer of hope, hitting 30 runs off 27 balls, but ultimately fell, leaving the Rajasthan Royals far short of their target. Parag said that Mumbai Indians deserved credit “for the way they batted”. “Yeah, 190-200 would have been ideal. We’ve been getting good starts,” he said. “But it’s up to the middle order… to step up. I think we’ve done a lot of things right. And a lot of things wrong.” 

Syrie: le plus influent chef druze s’en prend au pouvoir, dénonce des “massacres”

Le plus influent chef religieux druze en Syrie s’en est pris au pouvoir d’Ahmad al-Chareh jeudi, dénonçant une “campagne génocidaire” contre sa communauté, après que des affrontements confessionnels ont fait plus de 100 morts en début de semaine selon une ONG.Prenant fait et cause pour les druzes, Israël, pays voisin de la Syrie et techniquement en guerre avec, a menacé de répondre “avec force” si le gouvernement syrien ne protégeait pas cette minorité.Ces heurts près et au sud de Damas entre combattants druzes et groupes armés liés au pouvoir sunnite illustrent l’instabilité persistante en Syrie, près de cinq mois après le renversement du président Bachar al-Assad, issu de la minorité alaouite.Dans un communiqué, cheikh Hikmat al-Hajri a dénoncé une “campagne génocidaire injustifiée” visant des “civils à leur domicile” et réclamé “une intervention immédiate de forces internationales”.”Nous ne faisons plus confiance à une entité qui prétend être un gouvernement (…) Un gouvernement ne tue pas son peuple en recourant à ses propres milices extrémistes, puis, après les massacres, prétend que ce sont des éléments incontrôlés”. Assaad al-Chaibani, chef de la diplomatie du nouveau pouvoir à Damas, a rétorqué sur X que “tout appel à une intervention étrangère, sous quelque prétexte ou slogan que ce soit, mènera à une détérioration de la situation et à davantage de divisions”.Jeudi, l’ONU a exhorté “toutes les parties à faire preuve d’un maximum de retenue”.- “Protéger les minorités” -Les combats à Jaramana et Sahnaya, où vivent des chrétiens et des druzes, ainsi qu’à Soueïda à majorité druze, ont réveillé le spectre des massacres qui ont fait début mars plus de 1.700 morts, en grande majorité des membres de la minorité alaouite. Les violences avaient été déclenchées par des attaques des pro-Assad contre les forces de sécurité. Cette fois-ci, c’est un message non authentifié insultant l’islam et imputé à un druze qui a mis le feu aux poudres.Israël a appelé à la communauté internationale pour “protéger les minorités en Syrie – en particulier les druzes – du régime et de ses bandes terroristes”, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Gideon Saar. Mercredi, l’armée israélienne avait mené des frappes près de Damas, “une action d’avertissement” contre un “groupe extrémiste qui se préparait à attaquer la population druze de la ville de Sahnaya” selon le Premier ministre Benjamin Netanyahu.Les druzes sont une minorité issue de l’islam chiite. Ses membres sont répartis notamment entre le Liban, la Syrie et Israël. Les alaouites sont une autre branche minoritaire de l’islam, tandis que le sunnisme et le chiisme en sont les deux principaux courants.Les combats en Syrie ont été déclenchés lundi soir par une attaque de groupes armés affiliés au pouvoir contre Jaramana, après la diffusion sur les réseaux sociaux d’un message audio attribué à un druze et jugé blasphématoire à l’égard du prophète Mahomet. L’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité du message.Les autorités syriennes ont accusé des éléments incontrôlés d’avoir provoqué les violences.Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 30 membres des forces de sécurité et combattants affiliés ont été tués, ainsi que 21 combattants druzes et 10 civil mardi et mercredi à Jaramana et Sahnaya. Dans la province de Soueïda (sud), 40 combattants druzes ont péri, dont 35 dans une embuscade, d’après l’ONG.A Jaramana, des accords entre représentants des druzes et du pouvoir ont permis de rétablir le calme mardi soir, et de même mercredi soir à Sahnaya à 15 km au sud-ouest de Damas, où des forces de sécurité ont été déployées.- “Engagement ferme” -A cette occasion, le pouvoir syrien a réaffirmé son “engagement ferme à protéger toutes les composantes du peuple syrien, y compris la communauté druze”. Dès la chute de Bachar al-Assad le 8 décembre, renversé par une coalition de factions rebelles islamistes dirigée par M. Chareh après plus de 13 ans de guerre civile, Israël a multiplié les gestes d’ouverture envers les druzes.Les dignitaires druzes ont de leur côté réaffirmé leur attachement à l’unité de la Syrie.”En se plaçant en protecteur de la communauté druze, Israël espère à la fois se trouver des alliés locaux, particulièrement dans le sud syrien, mais aussi peser dans la balance à un moment où le futur de la Syrie reste incertain (…)”, estime Michael Horowitz, un analyste indépendant.

Syrie: le plus influent chef druze s’en prend au pouvoir, dénonce des “massacres”

Le plus influent chef religieux druze en Syrie s’en est pris au pouvoir d’Ahmad al-Chareh jeudi, dénonçant une “campagne génocidaire” contre sa communauté, après que des affrontements confessionnels ont fait plus de 100 morts en début de semaine selon une ONG.Prenant fait et cause pour les druzes, Israël, pays voisin de la Syrie et techniquement en guerre avec, a menacé de répondre “avec force” si le gouvernement syrien ne protégeait pas cette minorité.Ces heurts près et au sud de Damas entre combattants druzes et groupes armés liés au pouvoir sunnite illustrent l’instabilité persistante en Syrie, près de cinq mois après le renversement du président Bachar al-Assad, issu de la minorité alaouite.Dans un communiqué, cheikh Hikmat al-Hajri a dénoncé une “campagne génocidaire injustifiée” visant des “civils à leur domicile” et réclamé “une intervention immédiate de forces internationales”.”Nous ne faisons plus confiance à une entité qui prétend être un gouvernement (…) Un gouvernement ne tue pas son peuple en recourant à ses propres milices extrémistes, puis, après les massacres, prétend que ce sont des éléments incontrôlés”. Assaad al-Chaibani, chef de la diplomatie du nouveau pouvoir à Damas, a rétorqué sur X que “tout appel à une intervention étrangère, sous quelque prétexte ou slogan que ce soit, mènera à une détérioration de la situation et à davantage de divisions”.Jeudi, l’ONU a exhorté “toutes les parties à faire preuve d’un maximum de retenue”.- “Protéger les minorités” -Les combats à Jaramana et Sahnaya, où vivent des chrétiens et des druzes, ainsi qu’à Soueïda à majorité druze, ont réveillé le spectre des massacres qui ont fait début mars plus de 1.700 morts, en grande majorité des membres de la minorité alaouite. Les violences avaient été déclenchées par des attaques des pro-Assad contre les forces de sécurité. Cette fois-ci, c’est un message non authentifié insultant l’islam et imputé à un druze qui a mis le feu aux poudres.Israël a appelé à la communauté internationale pour “protéger les minorités en Syrie – en particulier les druzes – du régime et de ses bandes terroristes”, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Gideon Saar. Mercredi, l’armée israélienne avait mené des frappes près de Damas, “une action d’avertissement” contre un “groupe extrémiste qui se préparait à attaquer la population druze de la ville de Sahnaya” selon le Premier ministre Benjamin Netanyahu.Les druzes sont une minorité issue de l’islam chiite. Ses membres sont répartis notamment entre le Liban, la Syrie et Israël. Les alaouites sont une autre branche minoritaire de l’islam, tandis que le sunnisme et le chiisme en sont les deux principaux courants.Les combats en Syrie ont été déclenchés lundi soir par une attaque de groupes armés affiliés au pouvoir contre Jaramana, après la diffusion sur les réseaux sociaux d’un message audio attribué à un druze et jugé blasphématoire à l’égard du prophète Mahomet. L’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité du message.Les autorités syriennes ont accusé des éléments incontrôlés d’avoir provoqué les violences.Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), 30 membres des forces de sécurité et combattants affiliés ont été tués, ainsi que 21 combattants druzes et 10 civil mardi et mercredi à Jaramana et Sahnaya. Dans la province de Soueïda (sud), 40 combattants druzes ont péri, dont 35 dans une embuscade, d’après l’ONG.A Jaramana, des accords entre représentants des druzes et du pouvoir ont permis de rétablir le calme mardi soir, et de même mercredi soir à Sahnaya à 15 km au sud-ouest de Damas, où des forces de sécurité ont été déployées.- “Engagement ferme” -A cette occasion, le pouvoir syrien a réaffirmé son “engagement ferme à protéger toutes les composantes du peuple syrien, y compris la communauté druze”. Dès la chute de Bachar al-Assad le 8 décembre, renversé par une coalition de factions rebelles islamistes dirigée par M. Chareh après plus de 13 ans de guerre civile, Israël a multiplié les gestes d’ouverture envers les druzes.Les dignitaires druzes ont de leur côté réaffirmé leur attachement à l’unité de la Syrie.”En se plaçant en protecteur de la communauté druze, Israël espère à la fois se trouver des alliés locaux, particulièrement dans le sud syrien, mais aussi peser dans la balance à un moment où le futur de la Syrie reste incertain (…)”, estime Michael Horowitz, un analyste indépendant.

Tunisia protesters demand freedom for jailed oppositionThu, 01 May 2025 18:19:54 GMT

Hundreds of Tunisians took to the streets of the capital Thursday to mark Labour Day, to protest against President Kais Saied and to demand the release of jailed political figures.The rally, attended by members of different political factions, was called by Tunisia’s powerful UGTT trade union confederation and relatives of detained opposition figures.”We’re not happy …

Tunisia protesters demand freedom for jailed oppositionThu, 01 May 2025 18:19:54 GMT Read More »

Tunisia protesters demand freedom for jailed opposition

Hundreds of Tunisians took to the streets of the capital Thursday to mark Labour Day, to protest against President Kais Saied and to demand the release of jailed political figures.The rally, attended by members of different political factions, was called by Tunisia’s powerful UGTT trade union confederation and relatives of detained opposition figures.”We’re not happy with what’s happening,” activist Souhaieb Ferchichi said. “People keep advocating for their rights despite an atmosphere of fear and repression.””This regime is failing,” he added. “It sells us slogans while not respecting the constitution and the law.”Demonstrators on Habib Bourguiba Avenue, Tunis’s main thoroughfare and a popular protest spot, carried a banner reading: “Injustice is the beginning of the end.””The revolution will come,” they chanted, with some carrying signs calling the president a “tyrant”.”The country is in a state of shutdown, a state of silencing voices and jailing young people over a social media post,” UGTT chief Noureddine Taboubi said in a statement that denounced a “clampdown on freedoms”.Since Saied’s power grab in July 2021, in which he dissolved parliament and began ruling by decree, rights groups have warned of a sharp decline in civil liberties in Tunisia.Thursday’s protest comes days after lawyer Ahmed Souab was detained on terrorism-related charges after claiming that judges were under political pressure to hand opposition figures hefty sentences in a recent mass trial.Last month’s trial saw around 40 public figures, some of them staunch critics of Saied, sentenced to long jail terms on charges including plotting against the state.Souab had been a member of the defence team.”As his family, we consider his arrest to be politically motivated,” said the lawyer’s 67-year-old brother Mongi Souab.”Ahmed was not detained just for his words, but for his political positions regarding the state’s policies,” he told AFP.The trial drew international criticism, with objections from France, Germany and the United Nations.This week Saied dismissed “comments and statements by foreign parties” as “blatant interference in Tunisia’s internal affairs”.Thursday’s demonstration in Tunis was also marked by a counter protest.”The president said what he said: no to foreign interference,” said Ridha Soula, a retired 70-year-old among a smaller group of Saied supporters near the main rally.”We have elections here, and the people gave their voice,” he said. “If you won we’re with you. If you lost, you stay quiet.”

New research reveals where N. American bird populations are crashing

Birds are facing a population crisis, but a lack of high-quality localized data has made it difficult to understand the drivers behind specific declines and to craft effective conservation responses.Now, a team of researchers has developed an innovative solution, combining vast amounts of data from a popular birding app with machine learning and advanced statistical methods to overcome the challenges posed by large-scale citizen science projects.Their study, published Thursday in Science, reveals that North American bird populations are being hit hardest in their traditional strongholds, as rapid environmental shifts — including climate change — disrupt these once-reliable refuges.”We have known for a long time that bird populations are declining,” lead author Alison Johnston, an ornithologist and ecological statistician at the University of St Andrews, told AFP. “What we aimed to do here was to look at better population trends in much more detail,” she said — data that is “a lot more tailored for conservation decisions and understanding what we can actually do on the ground.”A landmark 2019 paper also in Science found that North America had lost 2.9 billion breeding adult birds between 1970 and 2017 — a net loss of nearly a third. The 2025 US State of the Birds report found continued declines in nearly every ecological biome.Birds play vital roles in ecosystems, from pollinating plants and dispersing seeds to controlling pests. Their loss disrupts food chains, undermines forest health, reduces crop yields — and deprives people of the joy of watching species that have long been part of human culture.But the threats are diverse: from prairie loss impacting Baird’s Sparrows in the Midwest to Hawaiian birds threatened by rising seas and invasive predators, including cats.Johnston and colleagues turned to eBird, an open-source project, analyzing 36 million observations spanning 2007 to 2021 across North America, Central America, and the Caribbean.A major challenge with citizen science data is separating changes in bird populations from changes in how people watch birds. The team overcame this with several innovations: using only checklists where observers recorded all species seen; accounting for variables like observation time and distance traveled; and applying a machine learning model that controlled for shifting birding behavior.They validated the approach through thousands of simulations, ultimately focusing on 495 species for which the results proved reliable.Unlike previous monitoring that tracked trends at the state or regional level, their analysis looked at plots 27 kilometers by 27 kilometers (17 miles by 17 miles) — roughly the size of New York City.Key findings included that 97 percent of species had both areas of increasing population and areas of decline, revealing hidden complexity.Wood ducks for instance are declining in the Southeast US but thriving farther north, suggesting a climate-related shift.The study also found that 83 percent of species are shrinking fastest in areas where they were most abundant, particularly grassland and aridland breeders.The reasons aren’t fully known, but one theory is that birds adapted to rich environments may be less resilient to rapid change than those evolved for harsher conditions.Conversely, some aridland, forest, and generalist species are rebounding in parts of their range where they were once scarce — pointing to pockets of opportunity.The findings are already being used by wildlife agencies, for example in permitting wind energy projects to minimize impacts on species such as Bald Eagles.

Minerais: Zelensky salue l’accord “véritablement équitable” signé avec Washington

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué jeudi l’accord selon lui “véritablement équitable” signé avec les Etats-Unis et portant sur l’exploitation des ressources minières de l’Ukraine, un document qui faisait l’objet d’âpres négociations depuis des semaines.Ce texte prévoit de donner un accès aux entreprises américaines à l’extraction de minerais, de pétrole et de gaz en Ukraine et la création d’un fonds d’investissement commun entre les deux pays. Ses conditions sont plus favorables pour Kiev que celles d’une précédente mouture qui avait suscité des tensions avec Washington.”L’accord a changé de manière significative au cours du processus de préparation. Il s’agit désormais d’un accord véritablement équitable qui crée des opportunités d’investissements significatifs en Ukraine”, s’est félicité jeudi M. Zelensky dans son adresse quotidienne.Il a souligné que le document ne prévoyait pas de comptabiliser comme dette de l’Ukraine envers les Etats-Unis l’aide américaine déjà founie, comme le voulait initialement le président américain Donald Trump.”Un fonds de reconstruction sera créé pour investir en Ukraine et y gagner de l’argent. Il s’agit d’un travail conjoint avec l’Amérique et dans des conditions équitables”, a poursuivi M. Zelensky.Cet accord, signé dans la nuit de mercredi à jeudi à Washington par la ministre ukrainienne de l’Economie, Ioulia Svyrydenko, ne prévoit en revanche pas de garantie de sécurité pour Kiev, un point sur lequel avait pourtant insisté Volodymyr Zelensky.Les négociations en vue de cet accord ont été pendant des semaines source de tensions entre Kiev et Washington, dont le soutien est crucial face à l’invasion russe lancée en février 2022.Ces tensions avaient culminé dans une joute verbale entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale, fin février. Une première mouture du texte avait été rejetée par Kiev car jugée trop défavorable.Selon diverses estimations, l’Ukraine concentre environ 5% des ressources minières mondiales, mais toutes ne sont pas exploitées ou facilement exploitables. D’autres sont en territoires occupés par Moscou ou menacés par l’avancée des forces russes.- Bombardements meurtriers -Cet accord intervient en parallèle à de multiples tractations diplomatiques en cours pour trouver une issue au conflit en Ukraine plus de trois ans après son déclenchement par la Russie, qui buttent toutefois sur les positions irréconciliables des deux belligérants.Sur le terrain, les bombardements se sont poursuivis des deux côtés du front jeudi.Côté ukrainien, deux personnes ont été tuées et 15 ont été blessées dans une attaque russe d’envergure sur la ville portuaire d’Odessa, dans le Sud du pays, selon les autorités locales.En réaction, M. Zelensky a appelé à mettre “une pression supplémentaire sur la Russie” pour la “contraindre (…) à négocier”.Dans les territoires occupés par Moscou, sept personnes ont été tuées et une vingtaine d’autres ont été blessées dans une frappe massive de drones ukrainiens qui a touché un marché d’Olechky, dans la région méridionale de Kherson, a indiqué Vladimir Saldo, le dirigeant local nommé par Moscou.Il a accusé l’armée ukrainienne d’avoir procédé à une “double frappe”, une tactique, à laquelle Kiev a accusé à plusieurs reprises l’armée russe de recourir, consistant à lancer une deuxième attaque au même endroit peu après le premier impact dans le but de frapper les personnes venues aider les premières victimes.”Il est clair que l’attaque a été délibérément menée un jour férié, alors que les habitants de la ville étaient en train de faire leurs courses, afin de maximiser le nombre de victimes civiles et de blessés”, a dénoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.Alors que les négociations séparées initiées par les Américains avec Russes et Ukrainiens et destinées à mettre fin au conflit semblent dans l’impasse, Vladimir Poutine a décrété un cessez-le-feu unilatéral du 8 au 10 mai.La Russie organise le 9 mai un grand défilé militaire à Moscou pour commémorer les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, en présence d’une vingtaine de dirigeants dont le Chinois Xi Jinping.Un premier cessez-le-feu de 30 heures avait été décrété en avril par M. Poutine pour Pâques. Les deux camps se sont accusés mutuellement de l’avoir violé, mais une baisse de l’intensité des combats et des bombardements avait été constatée.

Minerais: Zelensky salue l’accord “véritablement équitable” signé avec Washington

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué jeudi l’accord selon lui “véritablement équitable” signé avec les Etats-Unis et portant sur l’exploitation des ressources minières de l’Ukraine, un document qui faisait l’objet d’âpres négociations depuis des semaines.Ce texte prévoit de donner un accès aux entreprises américaines à l’extraction de minerais, de pétrole et de gaz en Ukraine et la création d’un fonds d’investissement commun entre les deux pays. Ses conditions sont plus favorables pour Kiev que celles d’une précédente mouture qui avait suscité des tensions avec Washington.”L’accord a changé de manière significative au cours du processus de préparation. Il s’agit désormais d’un accord véritablement équitable qui crée des opportunités d’investissements significatifs en Ukraine”, s’est félicité jeudi M. Zelensky dans son adresse quotidienne.Il a souligné que le document ne prévoyait pas de comptabiliser comme dette de l’Ukraine envers les Etats-Unis l’aide américaine déjà founie, comme le voulait initialement le président américain Donald Trump.”Un fonds de reconstruction sera créé pour investir en Ukraine et y gagner de l’argent. Il s’agit d’un travail conjoint avec l’Amérique et dans des conditions équitables”, a poursuivi M. Zelensky.Cet accord, signé dans la nuit de mercredi à jeudi à Washington par la ministre ukrainienne de l’Economie, Ioulia Svyrydenko, ne prévoit en revanche pas de garantie de sécurité pour Kiev, un point sur lequel avait pourtant insisté Volodymyr Zelensky.Les négociations en vue de cet accord ont été pendant des semaines source de tensions entre Kiev et Washington, dont le soutien est crucial face à l’invasion russe lancée en février 2022.Ces tensions avaient culminé dans une joute verbale entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale, fin février. Une première mouture du texte avait été rejetée par Kiev car jugée trop défavorable.Selon diverses estimations, l’Ukraine concentre environ 5% des ressources minières mondiales, mais toutes ne sont pas exploitées ou facilement exploitables. D’autres sont en territoires occupés par Moscou ou menacés par l’avancée des forces russes.- Bombardements meurtriers -Cet accord intervient en parallèle à de multiples tractations diplomatiques en cours pour trouver une issue au conflit en Ukraine plus de trois ans après son déclenchement par la Russie, qui buttent toutefois sur les positions irréconciliables des deux belligérants.Sur le terrain, les bombardements se sont poursuivis des deux côtés du front jeudi.Côté ukrainien, deux personnes ont été tuées et 15 ont été blessées dans une attaque russe d’envergure sur la ville portuaire d’Odessa, dans le Sud du pays, selon les autorités locales.En réaction, M. Zelensky a appelé à mettre “une pression supplémentaire sur la Russie” pour la “contraindre (…) à négocier”.Dans les territoires occupés par Moscou, sept personnes ont été tuées et une vingtaine d’autres ont été blessées dans une frappe massive de drones ukrainiens qui a touché un marché d’Olechky, dans la région méridionale de Kherson, a indiqué Vladimir Saldo, le dirigeant local nommé par Moscou.Il a accusé l’armée ukrainienne d’avoir procédé à une “double frappe”, une tactique, à laquelle Kiev a accusé à plusieurs reprises l’armée russe de recourir, consistant à lancer une deuxième attaque au même endroit peu après le premier impact dans le but de frapper les personnes venues aider les premières victimes.”Il est clair que l’attaque a été délibérément menée un jour férié, alors que les habitants de la ville étaient en train de faire leurs courses, afin de maximiser le nombre de victimes civiles et de blessés”, a dénoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.Alors que les négociations séparées initiées par les Américains avec Russes et Ukrainiens et destinées à mettre fin au conflit semblent dans l’impasse, Vladimir Poutine a décrété un cessez-le-feu unilatéral du 8 au 10 mai.La Russie organise le 9 mai un grand défilé militaire à Moscou pour commémorer les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, en présence d’une vingtaine de dirigeants dont le Chinois Xi Jinping.Un premier cessez-le-feu de 30 heures avait été décrété en avril par M. Poutine pour Pâques. Les deux camps se sont accusés mutuellement de l’avoir violé, mais une baisse de l’intensité des combats et des bombardements avait été constatée.

Minerais: Zelensky salue l’accord “véritablement équitable” signé avec Washington

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué jeudi l’accord selon lui “véritablement équitable” signé avec les Etats-Unis et portant sur l’exploitation des ressources minières de l’Ukraine, un document qui faisait l’objet d’âpres négociations depuis des semaines.Ce texte prévoit de donner un accès aux entreprises américaines à l’extraction de minerais, de pétrole et de gaz en Ukraine et la création d’un fonds d’investissement commun entre les deux pays. Ses conditions sont plus favorables pour Kiev que celles d’une précédente mouture qui avait suscité des tensions avec Washington.”L’accord a changé de manière significative au cours du processus de préparation. Il s’agit désormais d’un accord véritablement équitable qui crée des opportunités d’investissements significatifs en Ukraine”, s’est félicité jeudi M. Zelensky dans son adresse quotidienne.Il a souligné que le document ne prévoyait pas de comptabiliser comme dette de l’Ukraine envers les Etats-Unis l’aide américaine déjà founie, comme le voulait initialement le président américain Donald Trump.”Un fonds de reconstruction sera créé pour investir en Ukraine et y gagner de l’argent. Il s’agit d’un travail conjoint avec l’Amérique et dans des conditions équitables”, a poursuivi M. Zelensky.Cet accord, signé dans la nuit de mercredi à jeudi à Washington par la ministre ukrainienne de l’Economie, Ioulia Svyrydenko, ne prévoit en revanche pas de garantie de sécurité pour Kiev, un point sur lequel avait pourtant insisté Volodymyr Zelensky.Les négociations en vue de cet accord ont été pendant des semaines source de tensions entre Kiev et Washington, dont le soutien est crucial face à l’invasion russe lancée en février 2022.Ces tensions avaient culminé dans une joute verbale entre Donald Trump et Volodymyr Zelensky dans le Bureau ovale, fin février. Une première mouture du texte avait été rejetée par Kiev car jugée trop défavorable.Selon diverses estimations, l’Ukraine concentre environ 5% des ressources minières mondiales, mais toutes ne sont pas exploitées ou facilement exploitables. D’autres sont en territoires occupés par Moscou ou menacés par l’avancée des forces russes.- Bombardements meurtriers -Cet accord intervient en parallèle à de multiples tractations diplomatiques en cours pour trouver une issue au conflit en Ukraine plus de trois ans après son déclenchement par la Russie, qui buttent toutefois sur les positions irréconciliables des deux belligérants.Sur le terrain, les bombardements se sont poursuivis des deux côtés du front jeudi.Côté ukrainien, deux personnes ont été tuées et 15 ont été blessées dans une attaque russe d’envergure sur la ville portuaire d’Odessa, dans le Sud du pays, selon les autorités locales.En réaction, M. Zelensky a appelé à mettre “une pression supplémentaire sur la Russie” pour la “contraindre (…) à négocier”.Dans les territoires occupés par Moscou, sept personnes ont été tuées et une vingtaine d’autres ont été blessées dans une frappe massive de drones ukrainiens qui a touché un marché d’Olechky, dans la région méridionale de Kherson, a indiqué Vladimir Saldo, le dirigeant local nommé par Moscou.Il a accusé l’armée ukrainienne d’avoir procédé à une “double frappe”, une tactique, à laquelle Kiev a accusé à plusieurs reprises l’armée russe de recourir, consistant à lancer une deuxième attaque au même endroit peu après le premier impact dans le but de frapper les personnes venues aider les premières victimes.”Il est clair que l’attaque a été délibérément menée un jour férié, alors que les habitants de la ville étaient en train de faire leurs courses, afin de maximiser le nombre de victimes civiles et de blessés”, a dénoncé le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.Alors que les négociations séparées initiées par les Américains avec Russes et Ukrainiens et destinées à mettre fin au conflit semblent dans l’impasse, Vladimir Poutine a décrété un cessez-le-feu unilatéral du 8 au 10 mai.La Russie organise le 9 mai un grand défilé militaire à Moscou pour commémorer les 80 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, en présence d’une vingtaine de dirigeants dont le Chinois Xi Jinping.Un premier cessez-le-feu de 30 heures avait été décrété en avril par M. Poutine pour Pâques. Les deux camps se sont accusés mutuellement de l’avoir violé, mais une baisse de l’intensité des combats et des bombardements avait été constatée.

Allemagne: le Bayern féminin gagne la Coupe et réussit son premier doublé

Le Bayern Munich féminin a gagné la Coupe d’Allemagne en battant le Werder Brême 4 à 2 en finale, jeudi à Cologne, et réussi le premier doublé de son histoire après son titre en Championnat.Les Bavaroises avaient été sacrées championnes de la Bundesliga pour la troisième fois consécutive dimanche grâce à leur victoire (3-1) à domicile contre Fribourg.Dans cette finale de Coupe disputée devant 45.146 spectateurs (guichets fermés), l’attaquante allemande Lea Schueller a inscrit un triplé.”Après le titre en Championnat, on ne s’est pas laissé aller, mais là ça va être différent!”, a affirmé la buteuse pour lancer les célébrations.Le Bayern va perdre son entraîneur norvégien Alexander Straus qui va rejoindre Angel City FC, la franchise de la Ligue américaine installée à Los Angeles, après trois saisons en Bavière.La finale de jeudi était la première depuis 2014 dans laquelle ne figurait pas le grand club historique du football allemand chez les femmes, Wolfsbourg, vainqueur des onze éditions précédentes.