Face aux menaces d’ingérences russes, l’UE veut muscler ses aides aux médias

Mieux financer les médias, protéger l’organisation des élections… La Commission européenne va dévoiler mercredi son “bouclier démocratique”, un ensemble de mesures destinées à contrer la “guerre d’influence” menée par la Russie en Europe.Dans ce document, consulté lundi par l’AFP, l’exécutif européen accuse Moscou de “chercher à éroder la confiance dans les systèmes démocratiques” en diffusant des “informations …

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Philipines: au moins 5 morts après le passage du “super typhon” Fung-wong, en route vers Taïwan

Des villages submergés et des dizaines de villes sans électricité : les Philippines commencent à évaluer lundi les dégâts après le passage du “super typhon” Fung-wong qui a fait au moins cinq morts et déplacé plus d’un million de personnes dans l’archipel, avant de prendre la direction de Taïwan.”De nombreuses maisons ont été endommagées et …

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Stocks rally on hopes for end to US government shutdown

Stock markets posted strong gains Monday as investors cheered prospects that the US government shutdown could be nearing an end, after reports said lawmakers had reached a deal to break the record 40-day impasse.The possibility of resuming operations in the world’s biggest economy helped temper lingering worries about extended tech valuations amid talk of an AI bubble.A group of Democrats in the Senate sided with Republicans in a procedural vote on the deal Sunday evening — clearing the way for a formal debate — after reaching a bipartisan agreement to fund operations through January.”The more risk-on mood means it’s pretty much a sea of green on the boards,” said Neil Wilson, UK Investor Strategist at Saxo.A government re-opening could also provide clarity on US inflation and on the soft labour market, which will determine whether the Federal Reserve cuts interest rates again as widely expected next month.”If all goes well, some federal agencies could reopen as soon as Friday,” said David Morrison, senior analyst at Trade Nation. He noted that both investors and the Fed have been “flying blind since the beginning of October, with a near-complete absence of data”.”Fed Chair Jerome Powell has played down the prospect of another rate cut in December, as it is far from obvious that inflation has peaked,” Morrison added. But investors on Monday focused on the US government reopening, after growing increasingly concerned about the impact of severe disruptions of food benefits to low-income households, and of air travel heading into the Thanksgiving holiday.”Shutdowns haven’t typically had a big bearing on the economy or on financial markets. But, this one… looked as though it might start to cause some trouble,” said analysts at Capital Economics.Reports that drugmaker Pfizer won a bidding war for the biotech obesity specialist Metsera over the weekend with a $10 billion offer also bolstered investor optimism.Wall Street opened higher across the board following turbulent losses last week on fears the AI investment boom might have pushed tech stocks to unsustainable highs. European indices also rose sharply, following similar gains across Asia, with investors also taking heart from a further easing of China-US tensions.Beijing on Monday said it would suspend for one year “special port fees” on US vessels, “simultaneously” with Washington’s pause on levies targeting Chinese ships.The dollar, which steadied versus the euro and the pound, rose against the yen, while oil prices gained slightly after losses last week over concerns of hefty supply amid uncertainty over global demand.- Key figures at 1435 GMT -New York – Dow: UP 0.5 percent at 47,218.72 pointsNew York – S&P 500: up 1.0 percent at 6,797.57New York – Nasdaq: up 1.6 percent at 23,376.56London – FTSE 100: UP 1.0 percent at 9,781.55Paris – CAC 40: UP 1.4 percent at 8,063.78Frankfurt – DAX: UP 1.8 percent at 23,983.70Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 50,911.76 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.6 percent at 26,649.06 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 4,018.60 (close)Euro/dollar: FLAT at $1.1563 from $1.1563 on FridayPound/dollar: FLAT at $1.3162 from $1.3160Dollar/yen: UP at 154.10 yen from 153.46 yenEuro/pound: FLAT at 87.87 pence from 87.86 penceBrent North Sea Crude: UP 0.6 percent at $63.99 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.6 percent at $60.11 per barrel

Après vingt jours en détention, Nicolas Sarkozy est sorti de prison

Vingt jours derrière les barreaux puis l’air libre: l’ex-président Nicolas Sarkozy est sorti lundi après-midi de prison dans la foulée de sa libération sous contrôle judiciaire par la cour d’appel de Paris, qui lui a interdit d’entrer en contact avec de hauts responsables judiciaires comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin.Dans l’attente de son procès en appel, qui devrait se tenir à partir de mars devant la même juridiction, la cour d’appel de Paris a autorisé vers 13H45 la sortie de l’ancien chef de l’État, 70 ans, de la prison de la Santé à Paris où il était incarcéré depuis le 21 octobre.Celle-ci a été mise en œuvre presque immédiatement. Peu avant 15H00, Nicolas Sarkozy a quitté la prison à bord d’une voiture aux vitres teintées, escortée par des motards de la police, pour regagner son domicile dans le XVIe arrondissement, ont constaté des journalistes de l’AFP.La prison, “c’est dur, c’est très dur, ça l’est certainement pour tout détenu, je dirais même que c’est éreintant”, a témoigné lundi matin en visio-conférence Nicolas Sarkozy à l’audience d’examen de sa requête, offrant la première image de l’histoire d’un ancien président de la République en prison.Dans le cadre d’un contrôle judiciaire, les juges ont toutefois imposé deux interdictions au champion déchu de la droite, embourbé dans ses affaires judiciaires. La cour a estimé que “le risque de pression, de concertation ne (peut) pas être totalement écarté” sur ses co-prévenus mais surtout sur “un certain nombre de témoins-clés”, comme les ex-dignitaires du régime Kadhafi disséminés à travers le monde, et lui a interdit tout voyage à l’étranger.De manière plus inattendue, la justice a aussi imposé une “interdiction de contact” élargie avec de hauts responsables de la justice française, notamment le garde des Sceaux Gérald Darmanin, constatant sa “capacité à actionner différents services de l’Etat” en tant qu’ex-président.Le 29 octobre, Nicolas Sarkozy avait reçu la visite à la prison de la Santé du ministre, une entrevue qui a suscité des critiques, notamment de magistrats. Dans une rare prise de position, le plus haut procureur de France, Rémy Heitz, y avait vu un “risque d’obstacle à la sérénité” et donc “d’atteinte à l’indépendance des magistrats” avant le procès en appel.Contacté par l’AFP, l’entourage de M. Darmanin a assuré que “le garde des Sceaux respecte toujours les décisions de justice”.- “Un cauchemar” -Lors de l’examen de sa requête dans la matinée, le parquet général avait requis la sortie de prison sous contrôle judiciaire de l’ex-chef de l’Etat, jugeant que les “garanties de représentation en justice sont rarement réunies à un tel niveau”.Sur les trois personnes détenues à l’issue du jugement de première instance dans le procès libyen, la justice a donc libéré Nicolas Sarkozy et l’ex-banquier Wahib Nacer, mais a maintenu en détention l’intermédiaire Alexandre Djouhri, arguant un risque de fuite et de pressions sur des protagonistes de l’affaire.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu Nicolas Sarkozy coupable d’avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.Le tribunal l’a condamné à cinq ans de prison ferme avec un mandat de dépôt assorti d’une exécution provisoire, entraînant son incarcération malgré son appel.Nicolas Sarkozy a été incarcéré un peu moins d’un mois après sa condamnation. Cette détention inédite pour un ex-président de la République a suscité de vifs débats. Il s’agit aussi d’une première dans l’Union européenne, où aucun ancien chef d’Etat n’a connu l’emprisonnement.”Je veux rendre hommage au personnel pénitentiaire qui a été d’une humanité exceptionnelle et qui a rendu ce cauchemar, parce que c’est un cauchemar, supportable”, a déclaré à l’audience Nicolas Sarkozy, vêtu d’une veste bleu foncé, pull et chemise, apparaissant à l’écran dans une salle aux murs blancs avec deux de ses avocats.”Je me bats pour que la vérité triomphe”, a encore dit l’ancien président, fustigeant “l’idée folle” qu’il soit allé solliciter un financement de campagne auprès du dictateur libyen.La libération de Nicolas Sarkozy “met un terme au feuilleton judiciaire et à la mécanique de victimisation pour désormais permettre de se concentrer sur le fond. Elle prévient aussi des risques d’ingérence vis-à-vis du restant des protagonistes mais aussi du pouvoir en place”, a réagi Me Vincent Brengarth, avocat de l’organisation Sherpa, partie civile dans le dossier libyen.Les dates précises du procès en appel, qui n’ont pas encore été officiellement annoncées, devraient être communiquées aux avocats jeudi, ont indiqué à l’AFP des sources proches du dossier.

Après vingt jours en détention, Nicolas Sarkozy est sorti de prison

Vingt jours derrière les barreaux puis l’air libre: l’ex-président Nicolas Sarkozy est sorti lundi après-midi de prison dans la foulée de sa libération sous contrôle judiciaire par la cour d’appel de Paris, qui lui a interdit d’entrer en contact avec de hauts responsables judiciaires comme le garde des Sceaux Gérald Darmanin.Dans l’attente de son procès en appel, qui devrait se tenir à partir de mars devant la même juridiction, la cour d’appel de Paris a autorisé vers 13H45 la sortie de l’ancien chef de l’État, 70 ans, de la prison de la Santé à Paris où il était incarcéré depuis le 21 octobre.Celle-ci a été mise en œuvre presque immédiatement. Peu avant 15H00, Nicolas Sarkozy a quitté la prison à bord d’une voiture aux vitres teintées, escortée par des motards de la police, pour regagner son domicile dans le XVIe arrondissement, ont constaté des journalistes de l’AFP.La prison, “c’est dur, c’est très dur, ça l’est certainement pour tout détenu, je dirais même que c’est éreintant”, a témoigné lundi matin en visio-conférence Nicolas Sarkozy à l’audience d’examen de sa requête, offrant la première image de l’histoire d’un ancien président de la République en prison.Dans le cadre d’un contrôle judiciaire, les juges ont toutefois imposé deux interdictions au champion déchu de la droite, embourbé dans ses affaires judiciaires. La cour a estimé que “le risque de pression, de concertation ne (peut) pas être totalement écarté” sur ses co-prévenus mais surtout sur “un certain nombre de témoins-clés”, comme les ex-dignitaires du régime Kadhafi disséminés à travers le monde, et lui a interdit tout voyage à l’étranger.De manière plus inattendue, la justice a aussi imposé une “interdiction de contact” élargie avec de hauts responsables de la justice française, notamment le garde des Sceaux Gérald Darmanin, constatant sa “capacité à actionner différents services de l’Etat” en tant qu’ex-président.Le 29 octobre, Nicolas Sarkozy avait reçu la visite à la prison de la Santé du ministre, une entrevue qui a suscité des critiques, notamment de magistrats. Dans une rare prise de position, le plus haut procureur de France, Rémy Heitz, y avait vu un “risque d’obstacle à la sérénité” et donc “d’atteinte à l’indépendance des magistrats” avant le procès en appel.Contacté par l’AFP, l’entourage de M. Darmanin a assuré que “le garde des Sceaux respecte toujours les décisions de justice”.- “Un cauchemar” -Lors de l’examen de sa requête dans la matinée, le parquet général avait requis la sortie de prison sous contrôle judiciaire de l’ex-chef de l’Etat, jugeant que les “garanties de représentation en justice sont rarement réunies à un tel niveau”.Sur les trois personnes détenues à l’issue du jugement de première instance dans le procès libyen, la justice a donc libéré Nicolas Sarkozy et l’ex-banquier Wahib Nacer, mais a maintenu en détention l’intermédiaire Alexandre Djouhri, arguant un risque de fuite et de pressions sur des protagonistes de l’affaire.Le 25 septembre, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu Nicolas Sarkozy coupable d’avoir sciemment laissé ses collaborateurs démarcher la Libye de Mouammar Kadhafi pour solliciter un financement occulte de sa campagne présidentielle victorieuse de 2007.Le tribunal l’a condamné à cinq ans de prison ferme avec un mandat de dépôt assorti d’une exécution provisoire, entraînant son incarcération malgré son appel.Nicolas Sarkozy a été incarcéré un peu moins d’un mois après sa condamnation. Cette détention inédite pour un ex-président de la République a suscité de vifs débats. Il s’agit aussi d’une première dans l’Union européenne, où aucun ancien chef d’Etat n’a connu l’emprisonnement.”Je veux rendre hommage au personnel pénitentiaire qui a été d’une humanité exceptionnelle et qui a rendu ce cauchemar, parce que c’est un cauchemar, supportable”, a déclaré à l’audience Nicolas Sarkozy, vêtu d’une veste bleu foncé, pull et chemise, apparaissant à l’écran dans une salle aux murs blancs avec deux de ses avocats.”Je me bats pour que la vérité triomphe”, a encore dit l’ancien président, fustigeant “l’idée folle” qu’il soit allé solliciter un financement de campagne auprès du dictateur libyen.La libération de Nicolas Sarkozy “met un terme au feuilleton judiciaire et à la mécanique de victimisation pour désormais permettre de se concentrer sur le fond. Elle prévient aussi des risques d’ingérence vis-à-vis du restant des protagonistes mais aussi du pouvoir en place”, a réagi Me Vincent Brengarth, avocat de l’organisation Sherpa, partie civile dans le dossier libyen.Les dates précises du procès en appel, qui n’ont pas encore été officiellement annoncées, devraient être communiquées aux avocats jeudi, ont indiqué à l’AFP des sources proches du dossier.

The Sudanese who told the world what happened in El-FasherMon, 10 Nov 2025 14:14:46 GMT

“Sixteen killed.” “Seven killed.” “Thirty-one killed.” “People are eating cowhide to survive.” “The bombs are getting closer.” “They’re shooting people trying to run away.”These were the grim updates shared with AFP’s veteran Sudan correspondent Abdelmoneim Abu Idris Ali by people trapped in the 18-month-long siege of El-Fasher, a city overrun by the paramilitary Rapid Support …

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The Sudanese who told the world what happened in El-Fasher

“Sixteen killed.” “Seven killed.” “Thirty-one killed.” “People are eating cowhide to survive.” “The bombs are getting closer.” “They’re shooting people trying to run away.”These were the grim updates shared with AFP’s veteran Sudan correspondent Abdelmoneim Abu Idris Ali by people trapped in the 18-month-long siege of El-Fasher, a city overrun by the paramilitary Rapid Support Forces (RSF) two weeks ago.Throughout the siege and ensuing battle, it was thanks to ordinary civilians that AFP and other news organisations were able to form a picture of what was happening there.They were Dr Omar Selik, Dr Adam Ibrahim Ismail, Sheikh Moussa and activist Mohamed Issa — men who relayed vital information from a city mostly cut off from communications.They have all since been killed.Until their deaths they played a crucial but, for security reasons, anonymous role in documenting Sudan’s two-year war between the army and the RSF.Ismail, a young physician, was detained by RSF fighters on October 26 as he tried to flee the city.He was shot dead the following day.Until his last moments, Ismail had been treating “the wounded and the sick” at the Saudi Hospital, El-Fasher’s last functioning medical facility, according to the Sudanese Doctors’ Union.AFP’s Abu Idris Ali learned of Ismail’s death through that statement, having spoken to him only days earlier.”His voice was weary,” Abu Idris Ali recalled from Port Sudan.”Every time we ended a call, he said goodbye as if it might be the last time.”- ‘War machine’ -In September, Abu Idris Ali had already lost three other local sources — people who answered his calls and questions whenever communications allowed.They were killed in a drone strike on a mosque in El-Fasher on September 16, which killed at least 75 people. “Their voices painted a picture of El-Fasher,” he said.”Through them, I heard the groans of the wounded, the sorrow of the bereaved, the pain of those crushed under the war machine.”Before the war broke out in April 2023, AFP journalists criss-crossed the vast country, regularly visiting far-flung areas of Darfur.It was there that Abu Idris Ali first met Sheikh Moussa, who opened the door to his modest hut in 2006, beginning a two-decade-long friendship.Though he never met the tireless Dr Selik or the fiery 28-year-old Mohamed Issa, Abu Idris Ali said, “their voices ring in my ear every day.” Dr Selik, a kind-hearted medic who acted as a key source for journalists worldwide, witnessed the collapse of El-Fasher’s health system before his own demise.Hospitals were shelled, shuttered, or emptied of supplies, yet he continued to work tirelessly. “He always tried to hide the tinge of sadness in his voice when he gave me toll figures,” Abu Idris Ali recalled. “He spoke like he was talking to a patient’s family, breaking the news of the death of a loved one.” Fearful for his own family, he sent them to safety while staying behind to save lives. Since his death, other doctors have taken up the mantle, but bombs fell daily, striking hospitals and killing medical staff.- ‘Another kind of grief’ -Only days before his death, activist Issa told AFP he had fled the famine-hit Abu Shouk displacement camp, overrun by the RSF. At 28, after months of crossing frontlines to deliver food, water and medicine to trapped families, he was killed. “Every time I asked him what was happening in the city, his voice would ring out boisterous: ‘nothing bad inshallah, I’m a little far away but I’ll go find out for you!'” Abu Idris Ali said. “You couldn’t stop him — and off he went.”Sheikh Moussa had been uprooted from his South Darfur village 22 years ago by the Janjaweed militia, from which the RSF would end up descending.He spent the rest of his life in refugee camps. “Violence broke out over and over outside his door, yet his laugh never faded,” Abu Idris Ali recalled. When bombs rained down on El-Fasher, Sheikh Moussa “would speak endlessly of the pain his people were facing, but if you ever asked him how he was, he would only ever say: al-hamdulillah, thank God”.”Every phone call, I could see him, always sitting cross-legged in the shade outside his door, always in a blindingly white jalabiya robe and matching prayer cap, always smiling despite the horrors around him.”Sheikh Moussa never made it home to his village, between El-Fasher and Nyala, the South Darfur state capital. “Many of those 75 people gathered in that mosque had run for their lives just days before, but an RSF drone showed them there was no fleeing death,” Abu Idris said.”Every death is a tragedy, one we are accustomed to reporting. Yet it is another kind of grief when it is someone you have broken bread with, someone whose voice you heard every day.”

S.Africa ex-president Zuma’s daughter pleads not guilty to inciting riotsMon, 10 Nov 2025 14:12:04 GMT

A daughter of former South Africa president Jacob Zuma pleaded not guilty at the start of her trial Monday to charges of inciting 2021 riots that left more than 350 people dead.Duduzile Zuma-Sambudla, 43, is accused of inciting terrorism and public violence via social media after her father was sent to prison in July 2021 …

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