16 millions d’euros de dons: record battu pour ZEVENT, marathon caritatif en ligne

Plus de 16 millions d’euros: le plus gros événement caritatif en ligne de France, ZEVENT, a explosé son record à la clôture de sa 9e édition vers 01H00 du matin lundi, dans une ambiance survoltée au Corum de Montpellier.Dans une salle sans fenêtre à l’arrière du palais des congrès, chacun derrière leur écran, une quarantaine de streamers ont relevé des défis pour leur communauté. Cette année, pour la première fois, ils étaient rejoints par plus de 250 streamers en ligne.Des déguisements, un ring de boxe, des recettes de cuisine en direct, des karaokés, et à intervalle très régulier, les streamers ont hurlé des “merci!!!!” au rythme des dons qui s’affichaient sur leur écran. “Merci Julie pour tes 2 euros, merci Anonymous pour tes 500 balles!!!!!!!!”.Le montant final s’élève à 16.179.096 euros, récoltés au profit d’associations œuvrant pour les patients et les aidants, dont La ligue contre le cancer, l’Association française des aidants ou encore Le rire médecin (clowns hospitaliers), ou Sourire à la vie (soins de supports pour les enfants atteints de cancer), se sont félicités les organisateurs sur X.Cette année, l’animateur Samuel Etienne (Questions pour un champion) s’était lancé le défi de se faire tatouer le dos pendant plusieurs heures face caméra.La streameuse Marie Lopez, alias EnjoyPhoenix, a raconté à l’AFP: “Le rythme est super intense. Le direct sur 2 ou 3 heures, c’est sympa, mais c’est vrai que là, sur 48h, sans dormir beaucoup avec le bruit ambiant, c’est vraiment très spécial”.L’édition 2024 avait permis de récolter plus de dix millions d’euros pour cinq associations luttant contre la précarité.Interrogé par l’AFP, Frédéric Theret, directeur de développement à la Fondation de France, qui accompagne le ZEVENT depuis trois ans pour gérer en amont la présélection des associations sur la thématique qui est décidée par les streamers, a assuré: “Notre objectif c’est de garantir à chaque donateur l’impact des dons qui sont faits pendant cette opération”. Avec l’association l’Envol, par exemple, “on va réussir à offrir des colonies de vacances à des enfants qui sont hospitalisés en séjour de longs termes. Dès l’année prochaine, c’est 700 enfants qui vont bénéficier de séjours gratuits”, a détaillé M. Theret.Plus confidentielle que ses concurrents, la plateforme Kick sait aussi attirer des figures connues d’internet comme la star de YouTube MrBeast, qui a organisé en août une collecte pour l’accès à l’eau potable ayant permis de rassembler 12 millions de dollars.

India hopes ‘insights’ from Pakistan clash will help woo arms buyers

The skies lit up during the four-day clash between India and Pakistan in May as drones were blasted from the air by missiles that showcased what New Delhi believes is a “new vision” of warfare.India now hopes that the demonstration of its combat capabilities, which included a domestically developed “invisible shield” missile defence system, will fuel international demand.”The operation was a sign of the new art of warfare, a glimpse of a new vision, technological advancements and self-reliance,” Defence Minister Rajnath Singh said in August.Long one of the world’s top arms importers, India is now determined to recast itself as a major producer and exporter of weapons.Defence exports reached a record $2.8 billion in 2024-25, still small compared to established players, but up 12 percent from the year before and 34 times higher than a decade ago.Domestic defence production also surged to a record $18 billion, nearly doubling in five years.India now exports defence equipment to more than 100 countries, with the United States, France and Armenia among the top buyers, according to the defence ministry.Exports range from missiles, boats and artillery to radar systems, rocket launchers, software and electronic components.- ‘Golden insights’ -The May conflict was the worst between the nuclear-armed neighbours since 1999, with more than 70 people killed in missile, drone and artillery exchanges.Both sides claimed victory, each boasting of downing the other’s fighter jets.A senior Indian army officer said the clashes provided a “very good understanding” of how new weapons performed.”These were golden insights for us — and our rapidly expanding industry partners,” he told AFP.Among the weapons tested was Akashteer, or “Sky Arrow”, a vehicle-mounted air defence platform powered by artificial intelligence that intercepted volleys of missiles and armed drones.India also fired several long-range BrahMos cruise missiles at Pakistani airbases.Co-developed with Russia and already exported to the Philippines, the BrahMos drew fresh attention after the conflict.”Because of the stellar performance of these BrahMos missiles, 14 or 15 countries have reached out to supply these missiles,” Singh said at a military factory opening in July.Ashok Malik, of The Asia Group business consultancy, said the conflict acted “like a market demonstrator”.”It is one thing for me to buy something which you’ve made,” Malik said. “It is another to buy something which you’ve made and successfully used in the field.”- Air defence -India’s defence budget has more than doubled in the past decade, reaching $78 billion.At the same time, India has sought to ease its reliance on Russian hardware, signing import and production deals with the United States, France and Israel.The industry push comes as New Delhi balances relations with Washington and Moscow, while also countering China — Pakistan’s chief arms supplier.That tightrope act has grown harder since Washington imposed 50 percent tariffs on many Indian products to punish New Delhi for buying Russian oil.Hence the “Make in India” drive as the country seeks to develop fighter jet engines and pledges to build an Israeli-style Iron Dome system it calls “Sudarshan Chakra” — the spinning discus weapon of the Hindu god Vishnu.India has also highlighted its fast-growing drone sector, which it says could be worth $11 billion by 2030, including several models developed while working closely with Israeli firms.However, challenges remain.Murlidhar Mohol, junior minister for civil aviation, told parliament in April that 39 percent of critical smaller drone components had been “sourced from manufacturers based in China”.

‘All I see is blood’: Kony survivors recall horrors ahead of trialMon, 08 Sep 2025 03:41:08 GMT

Every evening, Everlyn Ayo left her village in northern Uganda, trekking with thousands of other children known as “night commuters” hoping to escape the horrors of Joseph Kony and his Lord’s Resistance Army. The messianic Kony, whose case is finally being heard by the International Crime Court (ICC) from Tuesday, led one of the world’s most …

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ICC to hear war crimes charges against fugitive warlord KonyMon, 08 Sep 2025 03:29:21 GMT

The International Criminal Court will from Tuesday hear war crimes charges against fugitive Ugandan warlord Joseph Kony, accused of spearheading a brutal reign of terror that killed tens of thousands. Judges will hear 39 counts of war crimes and crimes against humanity against Kony, including murder, torture, rape, sexual slavery and pillaging at the ICC’s first-ever …

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Argentine: Milei nettement défait lors d’une importante élection-test, mais résolu à “accélérer”

Le président argentin Javier Milei a subi dimanche un net revers lors d’une élection dans l’importante province de Buenos Aires, à valeur de test en vue des législatives de mi-mandat en octobre, mais a pour autant promis “d’accélérer” le cap de ses réformes ultralibérales.Selon des résultats officiels à 93% des votes décomptés, La Libertad Avanza (LLA), parti libertarien de M. Milei, a obtenu un peu moins de 34% des voix, contre plus de 47% à l’opposition péroniste de Fuerza Patria (centre-gauche) dans la province de Buenos Aires, qui compte plus du tiers de l’électorat argentin.La province étant un fief péroniste, une victoire de LLA au scrutin n’était guère envisagée, mais l’écart a priori important, de l’ordre de 13 points de pourcentage voire plus, a fait mentir la plupart des sondages, qui prévoyaient une course serrée.Il s’agissait du premier grand test électoral pour Javier Milei, depuis le début de sa présidence en décembre 2023, sur un programme de relance d’une économie engluée dans une inflation et un endettement chroniques, en sabrant dans les dépenses publiques.Pour autant, le parti de Milei, qui pour cette élection provinciale avait fait alliance avec le parti PRO de l’ex-président libéral Mauricio Macri (2015-2019) devrait gagner du terrain au sein de l’assemblée de la province de Buenos Aires, que ce scrutin renouvelait. Il devrait y doubler son contingent de 12 sièges (sur 92).Javier Milei a reconnu sans détour dimanche que “sur le plan politique (c’était) une claire défaite”. Mais “le cap pour lequel nous avons été élus en 2023 ne va pas changer (…) nous allons l’approfondir et accélérer”, a-t-il lancé au QG électoral de son parti à La Plata (sud de Buenos Aires). “Il faut qu’on apprenne de ça”, déclarait à l’AFP Diego Valenzuela, un candidat LLA. Estimant que le résultat “tient à la volonté (de Milei) de ne pas faire de populisme en économie, ce qui est nouveau en Argentine”.L’ambiance atone, décalée, au QG de LLA, avec quelques partisans rapidement dispersés après le discours du chef de l’Etat, contrastait avec l’exubérance au QG péroniste, où le gouverneur de la province, Axel Kicillof, a été accueilli aux cris de “Ca se sent, ça se sent, Axel président !”, en référence à l’élection présidentielle de 2027, a constaté l’AFP- “Accélérer” ou “changer” de cap -“Il va devoir changer de cap !” a lancé M. Kicillof en réponse directe au président, “Milei, le peuple vient de te donner un ordre (…) gouverne pour le peuple !”.Axel Kicillof, 53 ans, un des chefs de file de l’opposition, est perçu comme son seul présidentiable possible, a fortiori depuis que l’ex-présidente et icône de la gauche argentine, Cristina Kirchner, 72 ans, purge à domicile depuis depuis juin une peine de prison et d’inéligibilité à vie, après sa condamnation pour administration frauduleuse pendant ses mandats (2007-2015).Le scrutin de dimanche survenait dans une période délicate pour le gouvernement Milei, malgré ses résultats éloquents –bien qu’à un fort coût social– depuis deux ans contre l’inflation, ramenée à 17,3% sur sept mois depuis janvier, contre 87% sur la même période en 2024.L’exécutif a été secoué en août par un scandale de présumés pots-de-vin au sein de l’Agence nationale pour le Handicap, qui implique Karina Milei, sœur du président et secrétaire générale de la présidence. Qui à ce stade n’a toutefois pas été directement mise en cause par la justice.Mais  Javier Milei a aussi subi un important revers législatif jeudi, lorsque le Parlement, pour la première fois de sa présidence, a annulé un veto présidentiel, sur une loi de financement accru des personnes handicapées. Au nom, selon l’exécutif, d’un sacro-saint équilibre budgétaire, qu’il a de nouveau promis dimanche de ne sacrifier en rien.En outre, sur le plan économique, le gouvernement, en un virage notable, a commencé cette semaine à intervenir sur le marché des changes pour enrayer la dépréciation du peso, qui s’était accélérée récemment, sur fond de nervosité pré-électorale des marchés financiers. Leur réaction lundi au revers électoral de M. Milei était une des inconnues post-scrutin.Pour autant, le résultat provincial de dimanche ne préfigure pas nécessairement des élections nationales d’octobre (qui renouvelleront un tiers du Sénat et la moitié des députés). Les sondages suggèrent avec constance un noyau dur d’approbation de Javier Milei autour de 40% voire davantage.

Argentine: Milei nettement défait lors d’une importante élection-test, mais résolu à “accélérer”

Le président argentin Javier Milei a subi dimanche un net revers lors d’une élection dans l’importante province de Buenos Aires, à valeur de test en vue des législatives de mi-mandat en octobre, mais a pour autant promis “d’accélérer” le cap de ses réformes ultralibérales.Selon des résultats officiels à 93% des votes décomptés, La Libertad Avanza (LLA), parti libertarien de M. Milei, a obtenu un peu moins de 34% des voix, contre plus de 47% à l’opposition péroniste de Fuerza Patria (centre-gauche) dans la province de Buenos Aires, qui compte plus du tiers de l’électorat argentin.La province étant un fief péroniste, une victoire de LLA au scrutin n’était guère envisagée, mais l’écart a priori important, de l’ordre de 13 points de pourcentage voire plus, a fait mentir la plupart des sondages, qui prévoyaient une course serrée.Il s’agissait du premier grand test électoral pour Javier Milei, depuis le début de sa présidence en décembre 2023, sur un programme de relance d’une économie engluée dans une inflation et un endettement chroniques, en sabrant dans les dépenses publiques.Pour autant, le parti de Milei, qui pour cette élection provinciale avait fait alliance avec le parti PRO de l’ex-président libéral Mauricio Macri (2015-2019) devrait gagner du terrain au sein de l’assemblée de la province de Buenos Aires, que ce scrutin renouvelait. Il devrait y doubler son contingent de 12 sièges (sur 92).Javier Milei a reconnu sans détour dimanche que “sur le plan politique (c’était) une claire défaite”. Mais “le cap pour lequel nous avons été élus en 2023 ne va pas changer (…) nous allons l’approfondir et accélérer”, a-t-il lancé au QG électoral de son parti à La Plata (sud de Buenos Aires). “Il faut qu’on apprenne de ça”, déclarait à l’AFP Diego Valenzuela, un candidat LLA. Estimant que le résultat “tient à la volonté (de Milei) de ne pas faire de populisme en économie, ce qui est nouveau en Argentine”.L’ambiance atone, décalée, au QG de LLA, avec quelques partisans rapidement dispersés après le discours du chef de l’Etat, contrastait avec l’exubérance au QG péroniste, où le gouverneur de la province, Axel Kicillof, a été accueilli aux cris de “Ca se sent, ça se sent, Axel président !”, en référence à l’élection présidentielle de 2027, a constaté l’AFP- “Accélérer” ou “changer” de cap -“Il va devoir changer de cap !” a lancé M. Kicillof en réponse directe au président, “Milei, le peuple vient de te donner un ordre (…) gouverne pour le peuple !”.Axel Kicillof, 53 ans, un des chefs de file de l’opposition, est perçu comme son seul présidentiable possible, a fortiori depuis que l’ex-présidente et icône de la gauche argentine, Cristina Kirchner, 72 ans, purge à domicile depuis depuis juin une peine de prison et d’inéligibilité à vie, après sa condamnation pour administration frauduleuse pendant ses mandats (2007-2015).Le scrutin de dimanche survenait dans une période délicate pour le gouvernement Milei, malgré ses résultats éloquents –bien qu’à un fort coût social– depuis deux ans contre l’inflation, ramenée à 17,3% sur sept mois depuis janvier, contre 87% sur la même période en 2024.L’exécutif a été secoué en août par un scandale de présumés pots-de-vin au sein de l’Agence nationale pour le Handicap, qui implique Karina Milei, sœur du président et secrétaire générale de la présidence. Qui à ce stade n’a toutefois pas été directement mise en cause par la justice.Mais  Javier Milei a aussi subi un important revers législatif jeudi, lorsque le Parlement, pour la première fois de sa présidence, a annulé un veto présidentiel, sur une loi de financement accru des personnes handicapées. Au nom, selon l’exécutif, d’un sacro-saint équilibre budgétaire, qu’il a de nouveau promis dimanche de ne sacrifier en rien.En outre, sur le plan économique, le gouvernement, en un virage notable, a commencé cette semaine à intervenir sur le marché des changes pour enrayer la dépréciation du peso, qui s’était accélérée récemment, sur fond de nervosité pré-électorale des marchés financiers. Leur réaction lundi au revers électoral de M. Milei était une des inconnues post-scrutin.Pour autant, le résultat provincial de dimanche ne préfigure pas nécessairement des élections nationales d’octobre (qui renouvelleront un tiers du Sénat et la moitié des députés). Les sondages suggèrent avec constance un noyau dur d’approbation de Javier Milei autour de 40% voire davantage.

Argentine: Milei nettement défait lors d’une importante élection-test, mais résolu à “accélérer”

Le président argentin Javier Milei a subi dimanche un net revers lors d’une élection dans l’importante province de Buenos Aires, à valeur de test en vue des législatives de mi-mandat en octobre, mais a pour autant promis “d’accélérer” le cap de ses réformes ultralibérales.Selon des résultats officiels à 93% des votes décomptés, La Libertad Avanza (LLA), parti libertarien de M. Milei, a obtenu un peu moins de 34% des voix, contre plus de 47% à l’opposition péroniste de Fuerza Patria (centre-gauche) dans la province de Buenos Aires, qui compte plus du tiers de l’électorat argentin.La province étant un fief péroniste, une victoire de LLA au scrutin n’était guère envisagée, mais l’écart a priori important, de l’ordre de 13 points de pourcentage voire plus, a fait mentir la plupart des sondages, qui prévoyaient une course serrée.Il s’agissait du premier grand test électoral pour Javier Milei, depuis le début de sa présidence en décembre 2023, sur un programme de relance d’une économie engluée dans une inflation et un endettement chroniques, en sabrant dans les dépenses publiques.Pour autant, le parti de Milei, qui pour cette élection provinciale avait fait alliance avec le parti PRO de l’ex-président libéral Mauricio Macri (2015-2019) devrait gagner du terrain au sein de l’assemblée de la province de Buenos Aires, que ce scrutin renouvelait. Il devrait y doubler son contingent de 12 sièges (sur 92).Javier Milei a reconnu sans détour dimanche que “sur le plan politique (c’était) une claire défaite”. Mais “le cap pour lequel nous avons été élus en 2023 ne va pas changer (…) nous allons l’approfondir et accélérer”, a-t-il lancé au QG électoral de son parti à La Plata (sud de Buenos Aires). “Il faut qu’on apprenne de ça”, déclarait à l’AFP Diego Valenzuela, un candidat LLA. Estimant que le résultat “tient à la volonté (de Milei) de ne pas faire de populisme en économie, ce qui est nouveau en Argentine”.L’ambiance atone, décalée, au QG de LLA, avec quelques partisans rapidement dispersés après le discours du chef de l’Etat, contrastait avec l’exubérance au QG péroniste, où le gouverneur de la province, Axel Kicillof, a été accueilli aux cris de “Ca se sent, ça se sent, Axel président !”, en référence à l’élection présidentielle de 2027, a constaté l’AFP- “Accélérer” ou “changer” de cap -“Il va devoir changer de cap !” a lancé M. Kicillof en réponse directe au président, “Milei, le peuple vient de te donner un ordre (…) gouverne pour le peuple !”.Axel Kicillof, 53 ans, un des chefs de file de l’opposition, est perçu comme son seul présidentiable possible, a fortiori depuis que l’ex-présidente et icône de la gauche argentine, Cristina Kirchner, 72 ans, purge à domicile depuis depuis juin une peine de prison et d’inéligibilité à vie, après sa condamnation pour administration frauduleuse pendant ses mandats (2007-2015).Le scrutin de dimanche survenait dans une période délicate pour le gouvernement Milei, malgré ses résultats éloquents –bien qu’à un fort coût social– depuis deux ans contre l’inflation, ramenée à 17,3% sur sept mois depuis janvier, contre 87% sur la même période en 2024.L’exécutif a été secoué en août par un scandale de présumés pots-de-vin au sein de l’Agence nationale pour le Handicap, qui implique Karina Milei, sœur du président et secrétaire générale de la présidence. Qui à ce stade n’a toutefois pas été directement mise en cause par la justice.Mais  Javier Milei a aussi subi un important revers législatif jeudi, lorsque le Parlement, pour la première fois de sa présidence, a annulé un veto présidentiel, sur une loi de financement accru des personnes handicapées. Au nom, selon l’exécutif, d’un sacro-saint équilibre budgétaire, qu’il a de nouveau promis dimanche de ne sacrifier en rien.En outre, sur le plan économique, le gouvernement, en un virage notable, a commencé cette semaine à intervenir sur le marché des changes pour enrayer la dépréciation du peso, qui s’était accélérée récemment, sur fond de nervosité pré-électorale des marchés financiers. Leur réaction lundi au revers électoral de M. Milei était une des inconnues post-scrutin.Pour autant, le résultat provincial de dimanche ne préfigure pas nécessairement des élections nationales d’octobre (qui renouvelleront un tiers du Sénat et la moitié des députés). Les sondages suggèrent avec constance un noyau dur d’approbation de Javier Milei autour de 40% voire davantage.

Trump warns foreign companies after S.Korean workers detained

President Donald Trump on Sunday warned foreign companies to obey US law after immigration officials arrested some 475 individuals including South Korean workers at a Hyundai-LG battery plant being built in the southern state of Georgia.The arrests were made in a raid by US authorities on Thursday during the largest single-site operation implemented so far under Trump’s nationwide anti-migrant drive.”Please respect our Nation’s Immigration Laws,” the president posted on social media Sunday.”Your Investments are welcome, and we encourage you to LEGALLY bring your very smart people… What we ask in return is that you hire and train American Workers.”Footage of the raid showed detained workers, in handcuffs and with chains around their ankles, being loaded onto a bus.Steven Schrank, special agent in charge of Homeland Security Investigations in Georgia, told reporters that the raid targeted “unlawful employment practices going on at this massive, 100-acre construction site.”LG Energy Solution has said 47 of its employees were arrested — 46 South Koreans and one Indonesian.The company has also said about 250 of those arrested were believed to be employed by its contractor, and most of them were South Koreans.In addition to being a key security ally on the Pacific Rim, South Korea is Asia’s fourth-biggest economy and a key automaker and electronics producer with multiple plants in the United States.Seoul has heeded Trump’s repeated call for global investment in US businesses during his tariff negotiations with countries around the world.Last month, hours after South Korean President Lee Jae-myung met with Trump in Washington, Korean Air announced it would purchase 100 Boeing aircraft, inking the largest deal in South Korea’s aviation history. Seoul also pledged $350 billion in US investment in July.And South Korea secured an agreement for a 15 percent tariff for exports to the United States — significantly below the 25 percent that Trump had earlier threatened to introduce.- Migrant crackdown -Domestically, Trump has promised to revive the US manufacturing sector while also vowing to deport millions of undocumented migrants.While admonishing investors on Sunday to abide by the law, Trump appeared to acknowledge a skill deficiency in the domestic workforce.”ICE was doing right because they were here illegally,” he said of the raid by Immigration and Customs Enforcement that has strained relations with South Korea.”But we do have to work something out where we bring in extras so that our people can be trained so that they can do it themselves.”Seoul said Sunday that negotiations to secure the release of the detained workers had been concluded and they would soon be freed and flown home.”The immediate priority now is the swift release of both our LG Energy Solution employees and those of our partner firms,” company executive Kim Ki-soo told reporters before boarding a plane to Georgia earlier in the day.Hyundai has said none of those arrested are its employees.With hundreds detained, the size of the Georgia raid is a departure from operations elsewhere.In Los Angeles, immigration agents have repeatedly raided small businesses, targeting hardware stores, restaurants, car washes and street vendors.