‘Human shield’: Niger’s ousted president held by juntaThu, 24 Jul 2025 14:37:10 GMT

President Mohamed Bazoum has been languishing for two years along with his wife in Niger’s presidential palace since his ouster by a junta, which is using them as human shields to avert foreign military intervention to free them, according to the couple’s lawyers.  They are only allowed medical visits. Their lawyers say they have exhausted …

‘Human shield’: Niger’s ousted president held by juntaThu, 24 Jul 2025 14:37:10 GMT Read More »

Wall Street digère une volée de résultats mitigés

La Bourse de New York évolue sur une note contrastée jeudi, accueillant avec prudence la publication d’une nouvelle vague de résultats d’entreprises jugés en demi-teinte, dont ceux de certains géants de la tech.Vers 14H10 GMT, le Dow Jones reculait de 0,36% tandis que l’indice Nasdaq grappillait 0,09% et l’indice élargi S&P 500 gagnait 0,16%.”Cette saison des résultats est une saison où la barre des attentes est basse” et au regard de celles-ci, “les entreprises s’en sortent encore bien dans un environnement où elles apprennent à atténuer l’impact des droits de douane”, juge auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.A la publication des performances financières du premier trimestre au printemps, de nombreuses entreprises avaient suspendu leurs prévisions, citant un contexte “incertain” en raison des multiples annonces douanières du président américain Donald Trump.Globalement, pour le deuxième trimestre, les résultats sont “meilleurs que prévu” et il s’agit d’un “point positif”, estime Art Hogan.Parmi les plus grosses capitalisations a avoir déjà partagé ses données financière, Alphabet, la maison mère de Google, était recherchée (+0,85% à 192,82 dollars) après avoir vu son chiffre d’affaires au deuxième trimestre bondir de 14% sur un an à plus de 96 milliards de dollars, dont elle a dégagé 28,2 milliards de dollars de bénéfice net au deuxième trimestre.Cette croissance, largement supérieure aux attentes, est notamment portée par la forte demande en services d’intelligence artificielle (IA).En revanche, d’autres résultats de poids lourds de Wall Street freinent quelque peu la place américaine jeudi, à l’image de Tesla.Le spécialiste des véhicules électriques a vu son bénéfice net baisser de 16% au deuxième trimestre, plombé par le repli des ventes de véhicules dans un contexte de concurrence accrue et de conséquences de l’implication de son patron Elon Musk dans la sphère politique américaine.Tesla pourrait connaître “quelques trimestres difficiles” d’ici fin 2026, du fait de la suppression d’avantages liés à la transition électrique et en attendant le déploiement à grande échelle de la conduite autonome, a aussi prévenu mercredi Elon Musk.Vers 14H15 GMT, l’action Tesla lâchait 8,45% à 304,45 dollars. Depuis le début de l’année, le titre a perdu près de 20%.Cette semaine, les investisseurs sont d’autant plus focalisés sur les résultats d’entreprise que “le calendrier des données économiques est léger”, note Art Hogan.Publiées avant l’ouverture de Wall Street, les inscriptions au chômage se sont établies à 217.000 la semaine passée, en baisse pour la sixième période d’affilée et en deçà des attentes des analystes qui tablaient sur 227.000 demandes.Sur le marché obligataire, le rendement de l’emprunt à dix ans se tendait, à 4,41% contre 4,38% à la clôture mercredi.Ailleurs à la cote, la compagnie American Airlines (-8,36% à 11,62 dollars) souffrait de l’abaissement de ses prévisions pour le troisième trimestre. Désormais, le groupe anticipe une perte nette par action hors éléments exceptionnels comprise entre 10 et 60 cents (contre auparavant un bénéfice de 3 cents).Pour le deuxième trimestre, la société a cependant fait mieux qu’attendu, avec un bénéfice net par action de 95 cents alors que les analystes tablaient sur 78 cents.Le groupe informatique américain IBM (-9,02% à 256,58 dollars) était boudée, malgré des résultats supérieurs aux attentes.L’entreprise a engrangé au deuxième trimestre un chiffre d’affaires de 16,98 milliards de dollars ce qui lui a permis de générer un bénéfice net par action de 2,80 dollars.

Fraude à l’impôt sur les dividendes: Eric Lombard retire une disposition contestée de Bercy

Le ministre de l’Economie Eric Lombard a annoncé jeudi le retrait d’un texte d’application de Bercy contesté par des parlementaires, qui y voient une brèche dans un dispositif de lutte contre le contournement de l’impôt sur les dividendes.C’est l’épilogue de plusieurs semaines de passes d’armes entre Bercy et des sénateurs et députés qui accusaient le gouvernement d’avoir altéré ce dispositif voté dans le budget 2025 et visant à lutter contre la fraude aux dividendes, dite “CumCum”.Ce stratagème d’évasion fiscale consiste, pour des actionnaires étrangers d’entreprises françaises, à confier temporairement leurs actions à un tiers français – généralement une banque, moyennant rétribution – au moment du versement des dividendes. Cela leur permet d’échapper au prélèvement à la source de l’impôt dû en tant que non-résident.Le mécanisme voté dans le budget 2025 permettait de remédier à cette faille en imposant que la retenue à la source s’applique aux “bénéficiaires effectifs”. Mais le texte d’application publié par l’administration fiscale, qui dépend de Bercy, permettait des exceptions, notamment lorsque les banques ne connaissent pas les bénéficiaires des dividendes ou en exonérant les “marchés réglementés” d’appliquer cette disposition. Ce texte avait été pris sur la base d’un avis du Conseil d’Etat, assure Bercy.”J’ai décidé de retirer le texte en question, le paragraphe 4 pour être précis”, car cette disposition “a été considérée par le Sénat comme portant le risque de dénaturer le texte, ce qui n’était évidemment pas l’objet”, a déclaré Eric Lombard, affirmant agir dans “un esprit de compromis”.Il s’exprimait aux côtés du président de la commission des Finances du Sénat, Claude Raynal (PS), et du rapporteur général de cette commission, Jean-François Husson (LR) qu’il avait rencontrés plus tôt alors que la chambre haute était à l’origine de la mise en oeuvre de cette disposition législative, votée dans le cadre du budget 2025. Ces derniers ont salué la décision d’Eric Lombard. Jean-François Husson y a vu notamment un “signal fort” envoyé aux Français et à “celles et ceux qui pratiquaient une fraude organisée”. – 4,5 milliards d’euros -Cette marche arrière intervient après que le ministre de l’Economie, interrogé à plusieurs reprises sur le sujet ces dernières semaines, avait démenti toute faille dans la lutte contre la fraude et défendu la conformité du texte d’application par rapport à la loi. Le dossier avait aussi pris de l’ampleur à l’aune des débats budgétaires dans le cadre du futur projet de budget 2026 pour lequel le gouvernement recherche 43,5 milliards d’euros d’économies. Selon Jean-François Husson, cette “délinquance en col blanc” représenterait un manque à gagner d’environ 1,5 à 2 milliards d’euros sur 2025. Outre d’éventuelles économies, la pratique de la fraude “CumCum” est surtout dans le viseur de la justice. Le parquet national financier (PNF) a ouvert plusieurs enquêtes. Il a perquisitionné cinq établissements financiers à ce propos en mars 2023: BNP Paribas, Exane (gestionnaire de fonds, filiale de BNP Paribas), Société Générale, Natixis (filiale de BPCE, rassemblant les Banques populaires et les Caisses d’épargne) et HSBC.Des “procédures de redressement” visent “cinq établissements de la place pour un montant de 4,5 milliards d’euros” et sont en cours, ce qui signifie que l’argent n’a pas encore été récupéré, a rappelé Eric Lombard, sans les nommer. Le nouveau texte d’application de Bercy grevé des dispositions litigieuses sera republié jeudi, a-t-il précisé, en rappelant que la lutte contre la fraude fiscale a rapporté “plus de 10 milliards d’euros” en 2024.”Nous allons renforcer l’année prochaine les moyens qui seront donnés à cette maison pour lutter contre la fraude, notamment la fraude fiscale”, a-t-il poursuivi.Dans une réaction transmise à l’AFP, la Fédération bancaire française (FBF) a indiqué prendre acte de la décision de Bercy de retirer son texte d’application qui permettait pourtant de réduire des “incertitudes”. Supprimer cette disposition “ne crée pas des conditions favorables à la sauvegarde d’un marché de capitaux efficient et souverain” et constitue “un frein aux activités financières conduites sur la place de Paris, sources d’importantes recettes fiscales”, selon la FBF, qui redoute un “impact négatif sur les comptes publics”.

Fraude à l’impôt sur les dividendes: Eric Lombard retire une disposition contestée de Bercy

Le ministre de l’Economie Eric Lombard a annoncé jeudi le retrait d’un texte d’application de Bercy contesté par des parlementaires, qui y voient une brèche dans un dispositif de lutte contre le contournement de l’impôt sur les dividendes.C’est l’épilogue de plusieurs semaines de passes d’armes entre Bercy et des sénateurs et députés qui accusaient le gouvernement d’avoir altéré ce dispositif voté dans le budget 2025 et visant à lutter contre la fraude aux dividendes, dite “CumCum”.Ce stratagème d’évasion fiscale consiste, pour des actionnaires étrangers d’entreprises françaises, à confier temporairement leurs actions à un tiers français – généralement une banque, moyennant rétribution – au moment du versement des dividendes. Cela leur permet d’échapper au prélèvement à la source de l’impôt dû en tant que non-résident.Le mécanisme voté dans le budget 2025 permettait de remédier à cette faille en imposant que la retenue à la source s’applique aux “bénéficiaires effectifs”. Mais le texte d’application publié par l’administration fiscale, qui dépend de Bercy, permettait des exceptions, notamment lorsque les banques ne connaissent pas les bénéficiaires des dividendes ou en exonérant les “marchés réglementés” d’appliquer cette disposition. Ce texte avait été pris sur la base d’un avis du Conseil d’Etat, assure Bercy.”J’ai décidé de retirer le texte en question, le paragraphe 4 pour être précis”, car cette disposition “a été considérée par le Sénat comme portant le risque de dénaturer le texte, ce qui n’était évidemment pas l’objet”, a déclaré Eric Lombard, affirmant agir dans “un esprit de compromis”.Il s’exprimait aux côtés du président de la commission des Finances du Sénat, Claude Raynal (PS), et du rapporteur général de cette commission, Jean-François Husson (LR) qu’il avait rencontrés plus tôt alors que la chambre haute était à l’origine de la mise en oeuvre de cette disposition législative, votée dans le cadre du budget 2025. Ces derniers ont salué la décision d’Eric Lombard. Jean-François Husson y a vu notamment un “signal fort” envoyé aux Français et à “celles et ceux qui pratiquaient une fraude organisée”. – 4,5 milliards d’euros -Cette marche arrière intervient après que le ministre de l’Economie, interrogé à plusieurs reprises sur le sujet ces dernières semaines, avait démenti toute faille dans la lutte contre la fraude et défendu la conformité du texte d’application par rapport à la loi. Le dossier avait aussi pris de l’ampleur à l’aune des débats budgétaires dans le cadre du futur projet de budget 2026 pour lequel le gouvernement recherche 43,5 milliards d’euros d’économies. Selon Jean-François Husson, cette “délinquance en col blanc” représenterait un manque à gagner d’environ 1,5 à 2 milliards d’euros sur 2025. Outre d’éventuelles économies, la pratique de la fraude “CumCum” est surtout dans le viseur de la justice. Le parquet national financier (PNF) a ouvert plusieurs enquêtes. Il a perquisitionné cinq établissements financiers à ce propos en mars 2023: BNP Paribas, Exane (gestionnaire de fonds, filiale de BNP Paribas), Société Générale, Natixis (filiale de BPCE, rassemblant les Banques populaires et les Caisses d’épargne) et HSBC.Des “procédures de redressement” visent “cinq établissements de la place pour un montant de 4,5 milliards d’euros” et sont en cours, ce qui signifie que l’argent n’a pas encore été récupéré, a rappelé Eric Lombard, sans les nommer. Le nouveau texte d’application de Bercy grevé des dispositions litigieuses sera republié jeudi, a-t-il précisé, en rappelant que la lutte contre la fraude fiscale a rapporté “plus de 10 milliards d’euros” en 2024.”Nous allons renforcer l’année prochaine les moyens qui seront donnés à cette maison pour lutter contre la fraude, notamment la fraude fiscale”, a-t-il poursuivi.Dans une réaction transmise à l’AFP, la Fédération bancaire française (FBF) a indiqué prendre acte de la décision de Bercy de retirer son texte d’application qui permettait pourtant de réduire des “incertitudes”. Supprimer cette disposition “ne crée pas des conditions favorables à la sauvegarde d’un marché de capitaux efficient et souverain” et constitue “un frein aux activités financières conduites sur la place de Paris, sources d’importantes recettes fiscales”, selon la FBF, qui redoute un “impact négatif sur les comptes publics”.

Fraude à l’impôt sur les dividendes: Eric Lombard retire une disposition contestée de Bercy

Le ministre de l’Economie Eric Lombard a annoncé jeudi le retrait d’un texte d’application de Bercy contesté par des parlementaires, qui y voient une brèche dans un dispositif de lutte contre le contournement de l’impôt sur les dividendes.C’est l’épilogue de plusieurs semaines de passes d’armes entre Bercy et des sénateurs et députés qui accusaient le gouvernement d’avoir altéré ce dispositif voté dans le budget 2025 et visant à lutter contre la fraude aux dividendes, dite “CumCum”.Ce stratagème d’évasion fiscale consiste, pour des actionnaires étrangers d’entreprises françaises, à confier temporairement leurs actions à un tiers français – généralement une banque, moyennant rétribution – au moment du versement des dividendes. Cela leur permet d’échapper au prélèvement à la source de l’impôt dû en tant que non-résident.Le mécanisme voté dans le budget 2025 permettait de remédier à cette faille en imposant que la retenue à la source s’applique aux “bénéficiaires effectifs”. Mais le texte d’application publié par l’administration fiscale, qui dépend de Bercy, permettait des exceptions, notamment lorsque les banques ne connaissent pas les bénéficiaires des dividendes ou en exonérant les “marchés réglementés” d’appliquer cette disposition. Ce texte avait été pris sur la base d’un avis du Conseil d’Etat, assure Bercy.”J’ai décidé de retirer le texte en question, le paragraphe 4 pour être précis”, car cette disposition “a été considérée par le Sénat comme portant le risque de dénaturer le texte, ce qui n’était évidemment pas l’objet”, a déclaré Eric Lombard, affirmant agir dans “un esprit de compromis”.Il s’exprimait aux côtés du président de la commission des Finances du Sénat, Claude Raynal (PS), et du rapporteur général de cette commission, Jean-François Husson (LR) qu’il avait rencontrés plus tôt alors que la chambre haute était à l’origine de la mise en oeuvre de cette disposition législative, votée dans le cadre du budget 2025. Ces derniers ont salué la décision d’Eric Lombard. Jean-François Husson y a vu notamment un “signal fort” envoyé aux Français et à “celles et ceux qui pratiquaient une fraude organisée”. – 4,5 milliards d’euros -Cette marche arrière intervient après que le ministre de l’Economie, interrogé à plusieurs reprises sur le sujet ces dernières semaines, avait démenti toute faille dans la lutte contre la fraude et défendu la conformité du texte d’application par rapport à la loi. Le dossier avait aussi pris de l’ampleur à l’aune des débats budgétaires dans le cadre du futur projet de budget 2026 pour lequel le gouvernement recherche 43,5 milliards d’euros d’économies. Selon Jean-François Husson, cette “délinquance en col blanc” représenterait un manque à gagner d’environ 1,5 à 2 milliards d’euros sur 2025. Outre d’éventuelles économies, la pratique de la fraude “CumCum” est surtout dans le viseur de la justice. Le parquet national financier (PNF) a ouvert plusieurs enquêtes. Il a perquisitionné cinq établissements financiers à ce propos en mars 2023: BNP Paribas, Exane (gestionnaire de fonds, filiale de BNP Paribas), Société Générale, Natixis (filiale de BPCE, rassemblant les Banques populaires et les Caisses d’épargne) et HSBC.Des “procédures de redressement” visent “cinq établissements de la place pour un montant de 4,5 milliards d’euros” et sont en cours, ce qui signifie que l’argent n’a pas encore été récupéré, a rappelé Eric Lombard, sans les nommer. Le nouveau texte d’application de Bercy grevé des dispositions litigieuses sera republié jeudi, a-t-il précisé, en rappelant que la lutte contre la fraude fiscale a rapporté “plus de 10 milliards d’euros” en 2024.”Nous allons renforcer l’année prochaine les moyens qui seront donnés à cette maison pour lutter contre la fraude, notamment la fraude fiscale”, a-t-il poursuivi.Dans une réaction transmise à l’AFP, la Fédération bancaire française (FBF) a indiqué prendre acte de la décision de Bercy de retirer son texte d’application qui permettait pourtant de réduire des “incertitudes”. Supprimer cette disposition “ne crée pas des conditions favorables à la sauvegarde d’un marché de capitaux efficient et souverain” et constitue “un frein aux activités financières conduites sur la place de Paris, sources d’importantes recettes fiscales”, selon la FBF, qui redoute un “impact négatif sur les comptes publics”.

Israel recalls Gaza negotiators after Hamas responds to ceasefire plan

Israel said on Thursday it had recalled its negotiators from Gaza ceasefire talks with Hamas, as international pressure mounted for a breakthrough to end nearly two years of devastating war.Mediators have been shuttling between Israeli and Hamas delegations in Qatar for more than two weeks, but the indirect talks have so far failed to yield an elusive truce.International concern is growing over the plight of the more than two million Palestinians in the Gaza Strip, where the fighting has triggered a dire humanitarian crisis and warnings that “mass starvation” was spreading.The office of Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu said that after Hamas had submitted its response to mediators on the latest ceasefire proposal, the Israeli negotiators were being brought back for consultations.”We appreciate the efforts of mediators Qatar and Egypt and the efforts of (US special) envoy (Steve) Witkoff to bring about a breakthrough,” said a statement from Netanyahu’s office.A Palestinian source familiar with the talks told AFP earlier that Hamas’s response included proposed amendments to clauses on the entry of aid, maps of areas from which the Israeli army should withdraw, and guarantees on securing a permanent end to the war.The White House said on Wednesday that US envoy Witkoff was meeting “key leaders” from the region to discuss the ceasefire proposal.Witkoff was reportedly on the Italian island of Sardinia on Thursday, Israeli media said.- Key demands -Gaza’s civil defence agency said Israeli forces had killed at least 40 people since dawn on Thursday, including six waiting for aid.In Khan Yunis, in the south, Umm al-Abd Nassar urged Hamas to secure a truce after her son was killed in an air strike on a camp for the displaced.”They need to do something. Enough with this destruction and people dying,” she told AFP.Israel’s military said Hamas militants targeted a food distribution site in the south of the territory on Wednesday.The militants, though, claimed they had shelled “an enemy command and control site”.Through 21 months of fighting, both sides have clung to long-held positions, preventing two short-lived truces from being converted into a lasting ceasefire.The talks in Doha began on July 6 to try to reach an agreement on a truce that would also see the release of Israeli hostages.Of the 251 hostages taken during Hamas’s October 2023 attack on Israel that triggered the war, 49 are still being held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.But the talks have dragged on without a breakthrough, with each side blaming the other for refusing to budge on their key demands.For Israel, dismantling Hamas’s military and governing capabilities is non-negotiable, while Hamas demands firm guarantees on a lasting truce, a full withdrawal of Israeli troops and the free flow of aid into Gaza.- ‘Blockade’ -Israel has rejected accusations that it is responsible for Gaza’s deepening hunger crisis, which the World Health Organization has called “man-made” and France blamed on an Israeli “blockade”.Instead, it accuses Hamas of preventing supplies from being distributed and looting aid for themselves or to sell at inflated prices as well as shooting at people seeking handouts.International news organisations, including AFP, urged Israel on Thursday to allow journalists in and out of Gaza, with concern that a lack of food is putting their lives at risk.Israel maintains that it is allowing aid into the Palestinian territory but that international relief agencies were failing to pick it up for distribution.COGAT, the Israeli defence ministry body overseeing civil affairs in the Palestinian territories, said on Thursday that around 70 food trucks had been unloaded at aid crossings the previous day.”Over 150 were collected by the UN and international organisations from the Gazan side, but over 800 still await pick up,” it said in a post on X.Aid agencies have said permissions from Israel are still limited, and coordination to safely move trucks to where they are needed is a major challenge in an active war zone.Israel’s military campaign in Gaza has killed 59,587 Palestinians, mostly civilians, according to the health ministry in the Hamas-run territory.Hamas’s October 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, most of them civilians, according to an AFP tally based on official figures.

EU pressured to act against Israel over Gaza

Several EU countries are pushing Brussels to move forward with concrete actions against Israel over the war in Gaza for failing to improve the dire humanitarian situation, diplomats said Thursday.The EU’s top diplomat Kaja Kallas earlier this month announced a deal with Israel to allow more aid into Gaza as warnings mount over mass-starvation in the war-ravaged territory. The bloc’s diplomatic service on Wednesday gave a first briefing to ambassadors from the EU’s 27 nations on Israel’s efforts to improve access to Gaza.”Israel has made some efforts on the basis of the agreed parameters, the number of trucks entering Gaza has increased, additional crossing points and routes have opened, and fuel supplies have increased,” said EU spokesman Anouar El Anouni. “But the situation remains dire, clearly, a lot, a lot still needs to be done.”But several diplomats said that a group of countries had demanded the EU move ahead with a list of options to punish Israel over Gaza to keep up pressure.”A significant number of member states said the situation is intolerable,” an EU diplomat said, speaking on condition of anonymity.An EU source said that, under the aid deal, Israel was supposed to let at least 160 trucks into Gaza daily, a figure far above current levels.- Pushing for tougher line -Kallas this month laid out a raft of steps that could be taken against Israel after it was found to have breached a cooperation agreement with the bloc on human rights grounds.The measures range from suspending the entire accord or curbing trade ties to sanctioning Israeli ministers, imposing an arms embargo and halting visa-free travel.Some of the options could be initiated by the EU’s executive branch, the European Commission, or the bloc’s diplomatic arm.So far, however, neither have been willing to push ahead with any of the moves amid divisions on how to tackle Israel.Diplomats said Brussels had agreed to report back next week on any potential steps that could be taken.The internal push came as dozens of former EU ambassadors also demanded the bloc take firmer action against Israel in an open letter.The 27-nation EU has struggled for a unified line over the war in Gaza as it is split between countries that strongly back Israel and those favouring the Palestinians. International criticism of Israel is growing over the plight of the more than two million Palestinians in Gaza, where more than 100 aid and rights groups have warned that “mass starvation” is spreading.