Roumanie: le candidat d’extrême droite en tête du premier tour de la présidentielle

Le candidat a changé mais l’extrême droite reste en tête: cinq mois après l’annulation choc du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dans un nouveau vote dimanche son virage nationaliste.Le chef du parti AUR, George Simion, est crédité de 30 à 33% des suffrages, selon deux sondages sortie des urnes. Il est suivi de deux candidats pro-européens, qui se trouvent au coude-à-coude avec un peu plus de 20% des voix.”Ensemble nous avons écrit une page d’histoire aujourd’hui”, a réagi le vainqueur dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans chantant “Dehors les voleurs, vive les patriotes”.Il sera cependant “probablement battu au second tour” le 18 mai car il dispose de peu de réserves de voix, a commenté pour l’AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée.Onze prétendants au total briguaient un poste essentiellement protocolaire mais influent en politique étrangère, dans ce pays membre de l’UE de 19 millions d’habitants devenu un pilier essentiel de l’Otan depuis l’invasion russe de l’Ukraine voisine.- “Président MAGA” -La victoire surprise en novembre de Calin Georgescu, un ancien haut fonctionnaire accusé par ses détracteurs d’être favorable au Kremlin, avait inquiété dans l’ouest du continent et plongé la Roumanie dans la tourmente politique.La Cour constitutionnelle a invalidé le vote et exclu le sexagénaire de cette nouvelle course, après une campagne massive sur TikTok entachée de suspicions d’ingérence russe.Il a été remplacé par M. Simion, 38 ans et quatrième à l’automne, et les deux hommes se sont affichés ensemble dimanche dans un bureau de vote de Mogosoaia, près de Bucarest.Nombreux espèrent, comme Robert Teodoroiu, conducteur de 37 ans, que leur bulletin, infructueux en novembre, aboutisse cette fois. “Je retente ma chance”, explique-t-il à l’AFP dans les rues de la capitale.Pendant la campagne, George Simion a brandi sa jeunesse, sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de la plateforme TikTok pour espérer venger son désormais allié Georgescu. Si le député nie toute inclination pour la Russie, il partage la même aversion pour “les bureaucrates bruxellois” et s’oppose à tout soutien militaire à Kiev.Sur les marchés ou à l’étranger pour convaincre l’importante diaspora, ce fan de Donald Trump se rêve en “président MAGA” (Make America Great Again), slogan parfois affiché sur ses casquettes.Ce discours plaît à Stela Ivan, 67 ans, qui “espère de tout coeur” sa victoire finale. George Simion apporterait “du changement” et ferait revenir ses fils partis vivre en Espagne, estime-t-elle, lasse des partis politiques au pouvoir depuis la fin du communisme. L’inflation, très élevée en Roumanie, est aussi sur toutes les lèvres, Silvia Tomescu, infirmière de 52 ans, disant par exemple aspirer à “une vie meilleure et à des salaires plus élevés”. – Un scrutin sous surveillance -Qui sera l’adversaire de George Simion au second tour?Le suspense est entier tant l’écart est serré entre le candidat de la coalition gouvernemementale pro-européenne, Crin Antonescu, et le maire de Bucarest, Nicusor Dan, qui a promis de lutter contre la “corruption”. Plus loin derrière (autour de 15%), figure l’ancien Premier ministre social-démocrate Victor Ponta, qui avait misé sur un discours aux accents trumpistes teinté de références à Dieu. Si George Simion accède au poste suprême, il a promis dimanche de “porter Calin Georgescu au pouvoir”, évoquant trois options: “un référendum, des élections anticipées ou la formation d’une coalition au Parlement qui le nommerait Premier ministre”.Après l’annulation, décision rarissime au sein de l’UE, le scrutin était sous haute surveillance. Des milliers de personnes ont manifesté ces derniers mois pour dénoncer “un coup d’Etat”. Les Etats-Unis sont également intervenus, le vice-président JD Vance appelant à écouter la voix d’un peuple qu’on a fait taire “sur la base des faibles soupçons d’une agence de renseignement”.Les autorités, qui ont renforcé les mesures de prévention et la collaboration avec le réseau TikTok, assurent avoir “tiré les leçons” du fiasco.Alors que l’extrême droite évoque “de multiples signes de fraude”, le gouvernement a pointé des campagnes de désinformation, y voyant de “nouvelles tentatives de manipulation et d’ingérence menée par des acteurs étatiques”.

Roumanie: le candidat d’extrême droite en tête du premier tour de la présidentielle

Le candidat a changé mais l’extrême droite reste en tête: cinq mois après l’annulation choc du premier tour de la présidentielle, la Roumanie a confirmé dans un nouveau vote dimanche son virage nationaliste.Le chef du parti AUR, George Simion, est crédité de 30 à 33% des suffrages, selon deux sondages sortie des urnes. Il est suivi de deux candidats pro-européens, qui se trouvent au coude-à-coude avec un peu plus de 20% des voix.”Ensemble nous avons écrit une page d’histoire aujourd’hui”, a réagi le vainqueur dans un message vidéo diffusé au siège de son parti devant des partisans chantant “Dehors les voleurs, vive les patriotes”.Il sera cependant “probablement battu au second tour” le 18 mai car il dispose de peu de réserves de voix, a commenté pour l’AFP le professeur de sciences politiques Sergiu Miscoiu, prédisant une course serrée.Onze prétendants au total briguaient un poste essentiellement protocolaire mais influent en politique étrangère, dans ce pays membre de l’UE de 19 millions d’habitants devenu un pilier essentiel de l’Otan depuis l’invasion russe de l’Ukraine voisine.- “Président MAGA” -La victoire surprise en novembre de Calin Georgescu, un ancien haut fonctionnaire accusé par ses détracteurs d’être favorable au Kremlin, avait inquiété dans l’ouest du continent et plongé la Roumanie dans la tourmente politique.La Cour constitutionnelle a invalidé le vote et exclu le sexagénaire de cette nouvelle course, après une campagne massive sur TikTok entachée de suspicions d’ingérence russe.Il a été remplacé par M. Simion, 38 ans et quatrième à l’automne, et les deux hommes se sont affichés ensemble dimanche dans un bureau de vote de Mogosoaia, près de Bucarest.Nombreux espèrent, comme Robert Teodoroiu, conducteur de 37 ans, que leur bulletin, infructueux en novembre, aboutisse cette fois. “Je retente ma chance”, explique-t-il à l’AFP dans les rues de la capitale.Pendant la campagne, George Simion a brandi sa jeunesse, sa rhétorique souverainiste et sa maîtrise de la plateforme TikTok pour espérer venger son désormais allié Georgescu. Si le député nie toute inclination pour la Russie, il partage la même aversion pour “les bureaucrates bruxellois” et s’oppose à tout soutien militaire à Kiev.Sur les marchés ou à l’étranger pour convaincre l’importante diaspora, ce fan de Donald Trump se rêve en “président MAGA” (Make America Great Again), slogan parfois affiché sur ses casquettes.Ce discours plaît à Stela Ivan, 67 ans, qui “espère de tout coeur” sa victoire finale. George Simion apporterait “du changement” et ferait revenir ses fils partis vivre en Espagne, estime-t-elle, lasse des partis politiques au pouvoir depuis la fin du communisme. L’inflation, très élevée en Roumanie, est aussi sur toutes les lèvres, Silvia Tomescu, infirmière de 52 ans, disant par exemple aspirer à “une vie meilleure et à des salaires plus élevés”. – Un scrutin sous surveillance -Qui sera l’adversaire de George Simion au second tour?Le suspense est entier tant l’écart est serré entre le candidat de la coalition gouvernemementale pro-européenne, Crin Antonescu, et le maire de Bucarest, Nicusor Dan, qui a promis de lutter contre la “corruption”. Plus loin derrière (autour de 15%), figure l’ancien Premier ministre social-démocrate Victor Ponta, qui avait misé sur un discours aux accents trumpistes teinté de références à Dieu. Si George Simion accède au poste suprême, il a promis dimanche de “porter Calin Georgescu au pouvoir”, évoquant trois options: “un référendum, des élections anticipées ou la formation d’une coalition au Parlement qui le nommerait Premier ministre”.Après l’annulation, décision rarissime au sein de l’UE, le scrutin était sous haute surveillance. Des milliers de personnes ont manifesté ces derniers mois pour dénoncer “un coup d’Etat”. Les Etats-Unis sont également intervenus, le vice-président JD Vance appelant à écouter la voix d’un peuple qu’on a fait taire “sur la base des faibles soupçons d’une agence de renseignement”.Les autorités, qui ont renforcé les mesures de prévention et la collaboration avec le réseau TikTok, assurent avoir “tiré les leçons” du fiasco.Alors que l’extrême droite évoque “de multiples signes de fraude”, le gouvernement a pointé des campagnes de désinformation, y voyant de “nouvelles tentatives de manipulation et d’ingérence menée par des acteurs étatiques”.

Allemagne: Harry Kane brise enfin la malédiction avec le Bayern

Le capitaine de l’Angleterre Harry Kane a enfin brisé la malédiction dimanche en remportant à 31 ans un premier titre, le championnat d’Allemagne, pour sa deuxième saison avec le Bayern.Quelques jours avant l’officialisation du sacre, le président d’honneur du géant munichois Uli Hoeness, a rendu sur la chaîne Sky un hommage très appuyé à son attaquant: “il n’y a personne d’autre qui l’aura plus mérité que lui. Il se bat, il travaille, il marque un nombre incroyable de buts, mais il travaille aussi pour toute l’équipe.”Quelques minutes après le match nul de Leverkusen sur la pelouse de Fribourg (2-2), suivi dans un restaurant munichois avec quelques coéquipiers, l’intéressé a repris le “We are the champions” de Queen, dans une vidéo publiée sur son compte instagram. Juste avant, il avait posté une story avec un trophée en or sur un fond noir.Recruté pour 100 millions d’euros, une somme record pour la Bundesliga, l’ancienne figure de proue de Tottenham est l’un des attaquants les plus brillants de sa génération, capitaine et meilleur buteur de la sélection anglaise (71), meilleur réalisateur de la Coupe du monde 2018 (6), de la Ligue des champions 2024 (8), du championnat d’Angleterre 2016 (25), 2017 (29), 2021 (23), du championnat d’Allemagne 2024 (36), et Soulier d’or européen (2024).- Jusqu’en 2027 au Bayern -Et pourtant… Passé ses 30 ans à l’été 2023, il n’avait toujours pas remporté le moindre titre collectif, une anomalie désormais corrigée.”Beaucoup de personnes ne parlent que du fait que je n’ai remporté aucun titre dans ma carrière. Ce serait bien de pouvoir les réduire au silence”, avait-il glissé début février après la victoire du Bayern contre Kiel (4-3).Avant le sacre, Harry Kane avait disputé et perdu six finales, dont deux avec l’Angleterre à l’Euro -en 2021 contre l’Italie et en 2024 contre l’Espagne-, et une finale avec Tottenham en Ligue des champions -contre Liverpool en 2019. Il avait également terminé à la 2e place du championnat d’Angleterre avec les Spurs (2017).Pour connaître enfin la joie de soulever un trophée après avoir passé sa carrière en Angleterre, il s’est engagé à l’été 2023 avec le Bayern, mastodonte du foot allemand et qui a remporté au moins un titre chaque année depuis 2012.Le lendemain de sa signature, le 12 août, le Bayern parvient in extremis à le qualifier pour la Supercoupe d’Allemagne dans l’espoir de briser rapidement le sort. Il joue une demi-heure, mais le Bayern est corrigé par le RB Leipzig à l’Allianz Arena (3-0).- Poursuivre la série -Sa première saison munichoise a été à l’image de sa carrière jusque-là. Avec 36 buts en Bundesliga, il a longtemps été sur les temps de passage du record de Robert Lewandowski (41), et a pu décrocher le Soulier d’Or européen. Mais toujours pas de titre collectif, la faute à une saison quasiment parfaite de Leverkusen en Bundesliga, alors que l’aventure en Ligue des champions s’est arrêtée en demi-finale à Madrid contre le Real.Recruté pour remplacer Lewandowski, parti au FC Barcelone en juillet 2022, Kane présente un profil d’attaquant bien différent de celui de l’international polonais, participant beaucoup plus à la construction du jeu.Sous contrat avec le Bayern encore deux saisons, il aura l’occasion d’enrichir son palmarès dès les prochaines semaines, avec à l’horizon le Mondial des clubs aux Etats-Unis (14 juin-13 juillet) et la Supercoupe Franz-Beckenbauer (16 août). Puis viendront les nouveaux rêves d’Europe en Ligue des champions.En sélection, l’Allemand Thomas Tuchel, qu’il a côtoyé avec le Bayern de fin mars 2023 à mi-mai 2024, a été nommé à la tête des Three Lions et l’a confirmé sans hésitation comme capitaine. A court terme, les regards de Kane se portent forcément sur le Mondial-2026 en Amérique du Nord et à moyen terme sur l’Euro-2028 à domicile en Angleterre, lorsqu’il soufflera presque ses 35 bougies.

Trump says ‘I don’t know’ if must uphold US Constitution as president

US President Donald Trump said in remarks airing Sunday that he does not know whether he must uphold the US Constitution, the nation’s founding legal document.In a wide-ranging NBC News interview, the 78-year-old Republican also said he was not seriously considering running for a constitutionally-barred third White House term, and blamed his presidential predecessor Joe Biden for the “bad parts” of the current economy.Trump has drawn widespread criticism for repeatedly brushing up against constitutional guardrails since returning to the White House in January, notably over his policy of mass deportations of undocumented migrants, some without the benefit of a court hearing.He insists such rapid expulsions are necessary in the face of what he has declared to be a “national emergency,” and that giving every migrant a court trial would take “300 years.”When NBC’s “Meet the Press” moderator Kristen Welker asked if people in the United States — citizens and non-citizens alike — deserve the due process of law, as the US Constitution states, Trump said: “I’m not a lawyer. I don’t know.”Pressed more generally on whether he believes he needs to uphold the supreme law of the land, Trump repeated: “I don’t know.”The remarks in the interview — recorded Friday and broadcast Sunday — quickly made waves in Washington, including among some Republicans. “We’re either a free society governed by the Constitution or we’re not,” Republican Senator Rand Paul, a self-described constitutional conservative, posted on X without additional comment.- No third term? -Trump’s suggestion of possibly seeking a third term has been sharply questioned by legal and constitutional scholars.The 22nd Amendment states that “no person shall be elected to the office of the President more than twice.”But Trump said in March he was “not joking” about seeking a third term, adding there are “methods” that would allow it to happen.Changing the Constitution to allow a third term would be difficult, requiring a two-thirds majority in both houses of Congress and ratification by at least 38 of the 50 states.But “this is not something I’m looking to do,” Trump told NBC — even while acknowledging that the Trump Organization’s official store is selling red “Trump 2028” hats.”I’m looking to have four great years and turn it over to somebody, ideally a great Republican, a great Republican to carry it forward.”Asked who that might be, he mentioned Vice President JD Vance and Secretary of State Marco Rubio, adding: “We have a lot of good people in this party.”But Trump appeared to bristle when asked for his reaction to critics who warn he is leading the country toward authoritarianism.”Why don’t you ask it a different way? Many people want to come into our country. Many people love Trump,” he said. “I won the election.”Trump’s first 100 days in office were marked by economic turmoil, primarily over his plans to impose sweeping tariffs on most countries.But despite the world’s largest economy shrinking in the first quarter of 2025, he struck an optimistic if defiant tone in the interview, insisting US economics were sound and that “tariffs are going to make us rich.””I think the good parts are the Trump economy and the bad parts are the Biden economy,” said Trump.- ‘We subsidize Canada’ -The president also exaggerated some of the success he has had in bringing down prices, claiming gas has dropped to $1.98 per gallon in some states.According to the American Automobile Association, the lowest US price per gallon this week was $2.65, with the average at $3.16.With two days before Canada’s new Prime Minister Mark Carney visits the White House, Trump was asked whether he planned to reiterate his call for Canadians to give up their sovereignty and become the 51st US state.”I’ll always talk about that,” Trump said, as he griped about how “we subsidize Canada” through a massive trade deficit.Trump, when pressed, said it was “highly unlikely” that he would use military force against Canada. “I think we’re not going to ever get to that point,” he said.But he did speak glowingly about US power, ruminating on an upcoming military parade in Washington to coincide with his 79th birthday, on June 14.”We’re going to have a big, beautiful parade,” he said, dismissing concern about the event’s high cost as his administration lays off thousands of government workers.”We have the greatest weapons in the world, and we’re going to celebrate it.”

Pant woes continue as Lucknow lose to Punjab in IPL

Rishabh Pant again struggled to a low score  as his Lucknow Super Giants team slumped to a fourth defeat in five IPL games, losing by 37 runs to the Punjab Kings on Sunday.Opener Prabhsimran Singh struck 91 off 48 balls to steer Punjab to 236-5, helped by several impressive cameos at the Kings’ second home in Dharamsala.Arshdeep Singh then returned brilliant figures of 3-16 as Lucknow could only make 199-7 in reply. Pant fell for a 17-ball 18 in another failure for the India star.Pant, who was snapped up by LSG for a record price of $3.21 million in the November auction, could not find any fluency during his stay despite hitting two fours and one six.The wicketkeeper-batsman has mustered only 128 runs from 10 innings this season.Lucknow sit seventh in the table, four points outside the fourth and final play-off spot with three games remaining.Punjab climbed to second behind leaders Royal Challengers Bengaluru after their seventh win of the campaign.Lucknow were never in their chase after left-arm seamer Arshdeep struck twice in the space of four balls in his second over to send back Mitchell Marsh, for a duck, and then Aiden Markram, for 13.He dismissed the dangerous Nicholas Pooran for six before Pant attempted to rebuild in a scratchy innings that was ended by Afghanistan all-rounder Azmatullah Omarzai.Omarzai soon sent back David Miller for 11 to put Lucknow in further trouble at 73-5.Ayush Badoni, who top-scored with 74, and Abdul Samad, who hit 45, put on a valiant stand of 81 but could only reduce the margin of defeat.Earlier, Australia’s Josh Inglis, who hammered a quick 30, and Prabhsimran lay the foundations for Punjab’s imposing total with a second-wicket partnership of 48.Skipper Shreyas Iyer took charge after Inglis’ departure and made 45 in a partnership of 78 with Prabhsimran, who survived a dropped catch by Pooran when on 21.Leg-spinner Digvesh Rathi denied Prabhsimran a century, but Shashank Singh, who struck an unbeaten 33, and Marcus Stoinis, who made 15 not out off five balls, ensured Punjab finished strongly.

Cryptomonnaies: un homme libéré deux jours après son enlèvement contre rançon, sept gardes à vue

Trois mois et demi après le kidnapping contre rançon du cofondateur de Ledger, le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies a été libéré samedi soir lors d’un assaut deux jours après son enlèvement en plein Paris, et sept personnes ont été placées en garde à vue.L’homme avait été enlevé jeudi vers 10H30 dans le 14e arrondissement, a précisé le parquet de Paris. Selon une source policière, l’action avait été menée devant témoins par quatre hommes cagoulés qui l’avaient emmené à bord d’un fourgon de livraison.”La victime s’avérait être le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies, les faits étant accompagnés d’une demande de rançon”, a souligné le parquet, sans en préciser le montant.D’après le journal Le Parisien, “les malfaiteurs auraient réclamé entre 5 à 7 millions d’euros sous forme de virements en échange de sa libération”.Une source proche du dossier a précisé à l’AFP qu’une somme “très élevée” avait été réclamée par les ravisseurs mais n’avait pas été versée. Les “nombreuses investigations” menées ont permis la libération samedi vers 21H00 de “la victime retenue dans un logement situé dans l’Essonne”, a indiqué le parquet.Blessé, l’homme a été pris en charge par les secours, selon la même source, sans préciser la nature de ses blessures.Selon la source proche du dossier, l’homme a eu un doigt sectionné.Lors de cette intervention, quatre suspects nés en 1998, 1999, 2002 et 2005, “ont été interpellés, dans ou à proximité du logement où était séquestrée la victime”, a précisé le parquet.Un cinquième, né en 1999, “a été interpellé au volant de l’un des véhicules vraisemblablement utilisés par les malfaiteurs”, a-t-il complété.Deux autres suspects nés en 1995 et 2007 “ont pu être interpellés dimanche”, a complété le ministère public.”Les sept mesures de garde à vue sont actuellement en cours” et “peuvent durer jusque 96 heures”, a-t-on précisé.L’otage a été libéré lors d’un assaut de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) dans le pavillon où il était séquestré, a relaté la source proche.Le lieu où il était retenu a été localisé grâce à une “enquête hors norme”, “d’anthologie”, a souligné cette source, ajoutant que “d’autres mutilations étaient à craindre” si les policiers n’étaient pas intervenus.”Un immense bravo aux enquêteurs qui ont fait un travail exceptionnel pour libérer cet homme et pour interpeller ses ravisseurs”, a réagi sur X le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, saluant l'”engagement décisif” du préfet de police Laurent Nuñez et de ses effectifs.L’épouse de la victime avait précisé aux policiers que son mari et son fils, qui détiennent une société de marketing gérant de la cryptomonnaie à Malte, avaient fait l’objet de menaces par le passé, selon la source policière.- Mode opératoire similaire -Une enquête a été ouverte pour arrestation, enlèvement, séquestration et détention arbitraire avec torture ou acte de barbarie et pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, extorsion avec arme, le tout en bande organisée, et participation à une association de malfaiteurs criminelle.  La brigade de répression du banditisme (BRB) et la police judiciaire sont chargées des investigations.Selon la source proche, la brigade de lutte contre la cybercriminalité (BL2C) et la BRI ont également été mobilisées dans cette enquête.Cet enlèvement suivi d’une séquestration avec demande de rançon intervient trois mois et demi après le rapt du cofondateur de Ledger, société spécialisée dans les cryptoactifs.Le 21 janvier, au petit matin, David Balland et sa compagne avaient été kidnappés à leur domicile à Méreau (Cher).L’alerte avait été donnée par Eric Larchevêque, cofondateur de Ledger, qui avait reçu une vidéo d’un doigt coupé de David Balland, accompagnée d’une importante demande de rançon en cryptomonnaie. Séquestré à Châteauroux, David Balland a été libéré le 22 janvier. Sa compagne a été retrouvée ligotée dans le coffre d’un véhicule dans l’Essonne le lendemain.Au moins neuf suspects ont été mis en examen dans cette affaire, dont le commanditaire présumé de cet enlèvement.Par ailleurs, début janvier, un homme de 56 ans avait été retrouvé dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain.Selon plusieurs médias, il s’agissait du père d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains, et une rançon avait été réclamée.mlf-sm-sc-mk/bfa/dch   

Cryptomonnaies: un homme libéré deux jours après son enlèvement contre rançon, sept gardes à vue

Trois mois et demi après le kidnapping contre rançon du cofondateur de Ledger, le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies a été libéré samedi soir lors d’un assaut deux jours après son enlèvement en plein Paris, et sept personnes ont été placées en garde à vue.L’homme avait été enlevé jeudi vers 10H30 dans le 14e arrondissement, a précisé le parquet de Paris. Selon une source policière, l’action avait été menée devant témoins par quatre hommes cagoulés qui l’avaient emmené à bord d’un fourgon de livraison.”La victime s’avérait être le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies, les faits étant accompagnés d’une demande de rançon”, a souligné le parquet, sans en préciser le montant.D’après le journal Le Parisien, “les malfaiteurs auraient réclamé entre 5 à 7 millions d’euros sous forme de virements en échange de sa libération”.Une source proche du dossier a précisé à l’AFP qu’une somme “très élevée” avait été réclamée par les ravisseurs mais n’avait pas été versée. Les “nombreuses investigations” menées ont permis la libération samedi vers 21H00 de “la victime retenue dans un logement situé dans l’Essonne”, a indiqué le parquet.Blessé, l’homme a été pris en charge par les secours, selon la même source, sans préciser la nature de ses blessures.Selon la source proche du dossier, l’homme a eu un doigt sectionné.Lors de cette intervention, quatre suspects nés en 1998, 1999, 2002 et 2005, “ont été interpellés, dans ou à proximité du logement où était séquestrée la victime”, a précisé le parquet.Un cinquième, né en 1999, “a été interpellé au volant de l’un des véhicules vraisemblablement utilisés par les malfaiteurs”, a-t-il complété.Deux autres suspects nés en 1995 et 2007 “ont pu être interpellés dimanche”, a complété le ministère public.”Les sept mesures de garde à vue sont actuellement en cours” et “peuvent durer jusque 96 heures”, a-t-on précisé.L’otage a été libéré lors d’un assaut de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) dans le pavillon où il était séquestré, a relaté la source proche.Le lieu où il était retenu a été localisé grâce à une “enquête hors norme”, “d’anthologie”, a souligné cette source, ajoutant que “d’autres mutilations étaient à craindre” si les policiers n’étaient pas intervenus.”Un immense bravo aux enquêteurs qui ont fait un travail exceptionnel pour libérer cet homme et pour interpeller ses ravisseurs”, a réagi sur X le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, saluant l'”engagement décisif” du préfet de police Laurent Nuñez et de ses effectifs.L’épouse de la victime avait précisé aux policiers que son mari et son fils, qui détiennent une société de marketing gérant de la cryptomonnaie à Malte, avaient fait l’objet de menaces par le passé, selon la source policière.- Mode opératoire similaire -Une enquête a été ouverte pour arrestation, enlèvement, séquestration et détention arbitraire avec torture ou acte de barbarie et pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, extorsion avec arme, le tout en bande organisée, et participation à une association de malfaiteurs criminelle.  La brigade de répression du banditisme (BRB) et la police judiciaire sont chargées des investigations.Selon la source proche, la brigade de lutte contre la cybercriminalité (BL2C) et la BRI ont également été mobilisées dans cette enquête.Cet enlèvement suivi d’une séquestration avec demande de rançon intervient trois mois et demi après le rapt du cofondateur de Ledger, société spécialisée dans les cryptoactifs.Le 21 janvier, au petit matin, David Balland et sa compagne avaient été kidnappés à leur domicile à Méreau (Cher).L’alerte avait été donnée par Eric Larchevêque, cofondateur de Ledger, qui avait reçu une vidéo d’un doigt coupé de David Balland, accompagnée d’une importante demande de rançon en cryptomonnaie. Séquestré à Châteauroux, David Balland a été libéré le 22 janvier. Sa compagne a été retrouvée ligotée dans le coffre d’un véhicule dans l’Essonne le lendemain.Au moins neuf suspects ont été mis en examen dans cette affaire, dont le commanditaire présumé de cet enlèvement.Par ailleurs, début janvier, un homme de 56 ans avait été retrouvé dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain.Selon plusieurs médias, il s’agissait du père d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains, et une rançon avait été réclamée.mlf-sm-sc-mk/bfa/dch   

Cryptomonnaies: un homme libéré deux jours après son enlèvement contre rançon, sept gardes à vue

Trois mois et demi après le kidnapping contre rançon du cofondateur de Ledger, le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies a été libéré samedi soir lors d’un assaut deux jours après son enlèvement en plein Paris, et sept personnes ont été placées en garde à vue.L’homme avait été enlevé jeudi vers 10H30 dans le 14e arrondissement, a précisé le parquet de Paris. Selon une source policière, l’action avait été menée devant témoins par quatre hommes cagoulés qui l’avaient emmené à bord d’un fourgon de livraison.”La victime s’avérait être le père d’un homme ayant fait fortune dans les cryptomonnaies, les faits étant accompagnés d’une demande de rançon”, a souligné le parquet, sans en préciser le montant.D’après le journal Le Parisien, “les malfaiteurs auraient réclamé entre 5 à 7 millions d’euros sous forme de virements en échange de sa libération”.Une source proche du dossier a précisé à l’AFP qu’une somme “très élevée” avait été réclamée par les ravisseurs mais n’avait pas été versée. Les “nombreuses investigations” menées ont permis la libération samedi vers 21H00 de “la victime retenue dans un logement situé dans l’Essonne”, a indiqué le parquet.Blessé, l’homme a été pris en charge par les secours, selon la même source, sans préciser la nature de ses blessures.Selon la source proche du dossier, l’homme a eu un doigt sectionné.Lors de cette intervention, quatre suspects nés en 1998, 1999, 2002 et 2005, “ont été interpellés, dans ou à proximité du logement où était séquestrée la victime”, a précisé le parquet.Un cinquième, né en 1999, “a été interpellé au volant de l’un des véhicules vraisemblablement utilisés par les malfaiteurs”, a-t-il complété.Deux autres suspects nés en 1995 et 2007 “ont pu être interpellés dimanche”, a complété le ministère public.”Les sept mesures de garde à vue sont actuellement en cours” et “peuvent durer jusque 96 heures”, a-t-on précisé.L’otage a été libéré lors d’un assaut de la Brigade de recherche et d’intervention (BRI) dans le pavillon où il était séquestré, a relaté la source proche.Le lieu où il était retenu a été localisé grâce à une “enquête hors norme”, “d’anthologie”, a souligné cette source, ajoutant que “d’autres mutilations étaient à craindre” si les policiers n’étaient pas intervenus.”Un immense bravo aux enquêteurs qui ont fait un travail exceptionnel pour libérer cet homme et pour interpeller ses ravisseurs”, a réagi sur X le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, saluant l'”engagement décisif” du préfet de police Laurent Nuñez et de ses effectifs.L’épouse de la victime avait précisé aux policiers que son mari et son fils, qui détiennent une société de marketing gérant de la cryptomonnaie à Malte, avaient fait l’objet de menaces par le passé, selon la source policière.- Mode opératoire similaire -Une enquête a été ouverte pour arrestation, enlèvement, séquestration et détention arbitraire avec torture ou acte de barbarie et pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, extorsion avec arme, le tout en bande organisée, et participation à une association de malfaiteurs criminelle.  La brigade de répression du banditisme (BRB) et la police judiciaire sont chargées des investigations.Selon la source proche, la brigade de lutte contre la cybercriminalité (BL2C) et la BRI ont également été mobilisées dans cette enquête.Cet enlèvement suivi d’une séquestration avec demande de rançon intervient trois mois et demi après le rapt du cofondateur de Ledger, société spécialisée dans les cryptoactifs.Le 21 janvier, au petit matin, David Balland et sa compagne avaient été kidnappés à leur domicile à Méreau (Cher).L’alerte avait été donnée par Eric Larchevêque, cofondateur de Ledger, qui avait reçu une vidéo d’un doigt coupé de David Balland, accompagnée d’une importante demande de rançon en cryptomonnaie. Séquestré à Châteauroux, David Balland a été libéré le 22 janvier. Sa compagne a été retrouvée ligotée dans le coffre d’un véhicule dans l’Essonne le lendemain.Au moins neuf suspects ont été mis en examen dans cette affaire, dont le commanditaire présumé de cet enlèvement.Par ailleurs, début janvier, un homme de 56 ans avait été retrouvé dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain.Selon plusieurs médias, il s’agissait du père d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains, et une rançon avait été réclamée.mlf-sm-sc-mk/bfa/dch  Â