US funding cuts could reverse decades of gains in AIDS fight: UNThu, 10 Jul 2025 09:35:24 GMT
The halt to US foreign aid is a “ticking time bomb” that could reverse decades of hard-fought gains in the fight against AIDS, the United Nations warned Thursday.Around 31.6 million people were on antiretroviral drugs in 2024 and deaths from AIDS-related illnesses had more than halved since 2010 to 630,000 that year, the UNAIDS agency …
Orly: couvre-feu plus strict mais pas de réduction du nombre de vols
Le gouvernement a annoncé jeudi avoir durci les conditions d’exploitation des vols nocturnes à l’aéroport de Paris-Orly pour réduire les nuisances sonores, sans aller jusqu’à abaisser leur nombre, comme le demandaient des écologistes et des riverains.Parmi les nouvelles mesures, “la mise en place d’un couvre-feu partiel, dès 22h00, pour les aéronefs les plus bruyants – seuls les aéronefs les plus vertueux pourront atterrir et décoller après 22h00”, a expliqué le ministère chargé des Transports dans un communiqué.Le gouvernement a également décidé une “limitation stricte des dérogations au couvre-feu, désormais limitées aux cas relevant de la sécurité, de la sûreté ou de l’ordre public”.Il a par ailleurs précisé que le couvre-feu nocturne serait “désormais fondé sur l’heure de départ du poste de stationnement (23h15), et non plus de l’heure de décollage (23h30)”.”Cette mesure, plus contraignante, tient compte du faible écart entre les deux horaires, généralement inférieur à 10 minutes et crée un référentiel plus clair”, selon le ministère.L’aéroport, le deuxième de France par la fréquentation après Charles-de-Gaulle, a accueilli 33,1 millions de passagers en 2024, soit 106,8% de son niveau de 2019, avant la crise sanitaire.Inauguré en 1961 et désormais enclavé dans un tissu urbain très dense, à une dizaine de kilomètres au sud de Paris, il a vu son nombre de décollages et atterrissages plafonné à 250.000 par an depuis 1994.Pour préserver le sommeil des riverains, il est en outre soumis à un strict couvre-feu entre 23h30 et 06h00 du matin.Son gestionnaire, le groupe ADP, prévoit d’ici à 2035 une hausse de 16% du nombre de voyageurs, mais une “stabilisation” du nombre de mouvements, à 229.000, fruit d’avions plus grands et mieux remplis.Selon le ministère, les mesures annoncées jeudi “constitue(nt) un compromis équilibré entre l’amélioration de la qualité de vie des riverains et le maintien des conditions d’activité de l’aéroport, structurant pour le développement économique et l’emploi sur le territoire”.En mars 2024, des centaines de militants écologistes et membres d’associations de riverains, notamment de la commune d’Orly (Val-de-Marne), s’étaient mobilisés dans toute la France contre les nuisances du trafic aérien, appelant à le plafonner.Outre les conséquences du secteur aérien sur le climat, ils avaient fait valoir, études sanitaires à l’appui, que le bruit des aéronefs affectait “directement et gravement la santé des populations survolées”.Jeudi, le gouvernement a promis “un plan national destiné à accroître le recours aux aides à l’insonorisation autour des grands aéroports français, aujourd’hui sous-utilisées”.
Orly: couvre-feu plus strict mais pas de réduction du nombre de vols
Le gouvernement a annoncé jeudi avoir durci les conditions d’exploitation des vols nocturnes à l’aéroport de Paris-Orly pour réduire les nuisances sonores, sans aller jusqu’à abaisser leur nombre, comme le demandaient des écologistes et des riverains.Parmi les nouvelles mesures, “la mise en place d’un couvre-feu partiel, dès 22h00, pour les aéronefs les plus bruyants – seuls les aéronefs les plus vertueux pourront atterrir et décoller après 22h00”, a expliqué le ministère chargé des Transports dans un communiqué.Le gouvernement a également décidé une “limitation stricte des dérogations au couvre-feu, désormais limitées aux cas relevant de la sécurité, de la sûreté ou de l’ordre public”.Il a par ailleurs précisé que le couvre-feu nocturne serait “désormais fondé sur l’heure de départ du poste de stationnement (23h15), et non plus de l’heure de décollage (23h30)”.”Cette mesure, plus contraignante, tient compte du faible écart entre les deux horaires, généralement inférieur à 10 minutes et crée un référentiel plus clair”, selon le ministère.L’aéroport, le deuxième de France par la fréquentation après Charles-de-Gaulle, a accueilli 33,1 millions de passagers en 2024, soit 106,8% de son niveau de 2019, avant la crise sanitaire.Inauguré en 1961 et désormais enclavé dans un tissu urbain très dense, à une dizaine de kilomètres au sud de Paris, il a vu son nombre de décollages et atterrissages plafonné à 250.000 par an depuis 1994.Pour préserver le sommeil des riverains, il est en outre soumis à un strict couvre-feu entre 23h30 et 06h00 du matin.Son gestionnaire, le groupe ADP, prévoit d’ici à 2035 une hausse de 16% du nombre de voyageurs, mais une “stabilisation” du nombre de mouvements, à 229.000, fruit d’avions plus grands et mieux remplis.Selon le ministère, les mesures annoncées jeudi “constitue(nt) un compromis équilibré entre l’amélioration de la qualité de vie des riverains et le maintien des conditions d’activité de l’aéroport, structurant pour le développement économique et l’emploi sur le territoire”.En mars 2024, des centaines de militants écologistes et membres d’associations de riverains, notamment de la commune d’Orly (Val-de-Marne), s’étaient mobilisés dans toute la France contre les nuisances du trafic aérien, appelant à le plafonner.Outre les conséquences du secteur aérien sur le climat, ils avaient fait valoir, études sanitaires à l’appui, que le bruit des aéronefs affectait “directement et gravement la santé des populations survolées”.Jeudi, le gouvernement a promis “un plan national destiné à accroître le recours aux aides à l’insonorisation autour des grands aéroports français, aujourd’hui sous-utilisées”.
Orly: couvre-feu plus strict mais pas de réduction du nombre de vols
Le gouvernement a annoncé jeudi avoir durci les conditions d’exploitation des vols nocturnes à l’aéroport de Paris-Orly pour réduire les nuisances sonores, sans aller jusqu’à abaisser leur nombre, comme le demandaient des écologistes et des riverains.Parmi les nouvelles mesures, “la mise en place d’un couvre-feu partiel, dès 22h00, pour les aéronefs les plus bruyants – seuls les aéronefs les plus vertueux pourront atterrir et décoller après 22h00”, a expliqué le ministère chargé des Transports dans un communiqué.Le gouvernement a également décidé une “limitation stricte des dérogations au couvre-feu, désormais limitées aux cas relevant de la sécurité, de la sûreté ou de l’ordre public”.Il a par ailleurs précisé que le couvre-feu nocturne serait “désormais fondé sur l’heure de départ du poste de stationnement (23h15), et non plus de l’heure de décollage (23h30)”.”Cette mesure, plus contraignante, tient compte du faible écart entre les deux horaires, généralement inférieur à 10 minutes et crée un référentiel plus clair”, selon le ministère.L’aéroport, le deuxième de France par la fréquentation après Charles-de-Gaulle, a accueilli 33,1 millions de passagers en 2024, soit 106,8% de son niveau de 2019, avant la crise sanitaire.Inauguré en 1961 et désormais enclavé dans un tissu urbain très dense, à une dizaine de kilomètres au sud de Paris, il a vu son nombre de décollages et atterrissages plafonné à 250.000 par an depuis 1994.Pour préserver le sommeil des riverains, il est en outre soumis à un strict couvre-feu entre 23h30 et 06h00 du matin.Son gestionnaire, le groupe ADP, prévoit d’ici à 2035 une hausse de 16% du nombre de voyageurs, mais une “stabilisation” du nombre de mouvements, à 229.000, fruit d’avions plus grands et mieux remplis.Selon le ministère, les mesures annoncées jeudi “constitue(nt) un compromis équilibré entre l’amélioration de la qualité de vie des riverains et le maintien des conditions d’activité de l’aéroport, structurant pour le développement économique et l’emploi sur le territoire”.En mars 2024, des centaines de militants écologistes et membres d’associations de riverains, notamment de la commune d’Orly (Val-de-Marne), s’étaient mobilisés dans toute la France contre les nuisances du trafic aérien, appelant à le plafonner.Outre les conséquences du secteur aérien sur le climat, ils avaient fait valoir, études sanitaires à l’appui, que le bruit des aéronefs affectait “directement et gravement la santé des populations survolées”.Jeudi, le gouvernement a promis “un plan national destiné à accroître le recours aux aides à l’insonorisation autour des grands aéroports français, aujourd’hui sous-utilisées”.
Orly: couvre-feu plus strict mais pas de réduction du nombre de vols
Le gouvernement a annoncé jeudi avoir durci les conditions d’exploitation des vols nocturnes à l’aéroport de Paris-Orly pour réduire les nuisances sonores, sans aller jusqu’à abaisser leur nombre, comme le demandaient des écologistes et des riverains.Parmi les nouvelles mesures, “la mise en place d’un couvre-feu partiel, dès 22h00, pour les aéronefs les plus bruyants – seuls les aéronefs les plus vertueux pourront atterrir et décoller après 22h00”, a expliqué le ministère chargé des Transports dans un communiqué.Le gouvernement a également décidé une “limitation stricte des dérogations au couvre-feu, désormais limitées aux cas relevant de la sécurité, de la sûreté ou de l’ordre public”.Il a par ailleurs précisé que le couvre-feu nocturne serait “désormais fondé sur l’heure de départ du poste de stationnement (23h15), et non plus de l’heure de décollage (23h30)”.”Cette mesure, plus contraignante, tient compte du faible écart entre les deux horaires, généralement inférieur à 10 minutes et crée un référentiel plus clair”, selon le ministère.L’aéroport, le deuxième de France par la fréquentation après Charles-de-Gaulle, a accueilli 33,1 millions de passagers en 2024, soit 106,8% de son niveau de 2019, avant la crise sanitaire.Inauguré en 1961 et désormais enclavé dans un tissu urbain très dense, à une dizaine de kilomètres au sud de Paris, il a vu son nombre de décollages et atterrissages plafonné à 250.000 par an depuis 1994.Pour préserver le sommeil des riverains, il est en outre soumis à un strict couvre-feu entre 23h30 et 06h00 du matin.Son gestionnaire, le groupe ADP, prévoit d’ici à 2035 une hausse de 16% du nombre de voyageurs, mais une “stabilisation” du nombre de mouvements, à 229.000, fruit d’avions plus grands et mieux remplis.Selon le ministère, les mesures annoncées jeudi “constitue(nt) un compromis équilibré entre l’amélioration de la qualité de vie des riverains et le maintien des conditions d’activité de l’aéroport, structurant pour le développement économique et l’emploi sur le territoire”.En mars 2024, des centaines de militants écologistes et membres d’associations de riverains, notamment de la commune d’Orly (Val-de-Marne), s’étaient mobilisés dans toute la France contre les nuisances du trafic aérien, appelant à le plafonner.Outre les conséquences du secteur aérien sur le climat, ils avaient fait valoir, études sanitaires à l’appui, que le bruit des aéronefs affectait “directement et gravement la santé des populations survolées”.Jeudi, le gouvernement a promis “un plan national destiné à accroître le recours aux aides à l’insonorisation autour des grands aéroports français, aujourd’hui sous-utilisées”.
Abbé Pierre: l’Église de France dit son “effroi” et sa “détermination” après les 12 nouveaux témoignages
L’Église de France a dit jeudi son “effroi” après la révélation, mercredi, de douze nouveaux témoignages accusant l’abbé Pierre de violences sexuelles, et souligné sa “détermination” à mener un processus de réparation.”La Conférence des évêques de France (CEF) a reçu avec effroi le témoignage de douze nouvelles personnes victimes de l’abbé Pierre, dont sept mineures au moment des faits. Les évêques assurent ces personnes de leur proximité”, déclare l’épiscopat dans un communiqué.Le cabinet spécialisé Egaé a fait état mercredi de ces victimes dans un rapport qui porte à 45 le nombre d’accusations de violences sexuelles visant l’abbé Pierre, décédé en 2007.Emmaüs a de son côté annoncé mercredi la mise en place avec la CEF d’un dispositif de réparation, opérationnel à compter de septembre 2025, et qui sera porté par la Commission reconnaissance et réparation (CRR), une instance mise en place par la CEF après les révélations, en 2021, sur la pédocriminalité dans l’Église depuis les années 1950.”Il s’agit avant tout d’un dispositif d’accueil, d’écoute, de reconnaissance, de réparation financière et d’accompagnement des personnes victimes pour les aider à se reconstruire”, précise la CEF dans son communiqué.La CEF encourage également, “dans un souci de vérité et de clarté” toute personne ayant subi des violences par l’abbé Pierre “à se rapprocher de l’un des dispositifs d’écoute et d’accompagnement de l’Église”, notamment via le numéro d’appel dédié (01.41.83.42.17) ou les cellules d’écoute des diocèses.
Abbé Pierre: l’Église de France dit son “effroi” et sa “détermination” après les 12 nouveaux témoignages
L’Église de France a dit jeudi son “effroi” après la révélation, mercredi, de douze nouveaux témoignages accusant l’abbé Pierre de violences sexuelles, et souligné sa “détermination” à mener un processus de réparation.”La Conférence des évêques de France (CEF) a reçu avec effroi le témoignage de douze nouvelles personnes victimes de l’abbé Pierre, dont sept mineures au moment des faits. Les évêques assurent ces personnes de leur proximité”, déclare l’épiscopat dans un communiqué.Le cabinet spécialisé Egaé a fait état mercredi de ces victimes dans un rapport qui porte à 45 le nombre d’accusations de violences sexuelles visant l’abbé Pierre, décédé en 2007.Emmaüs a de son côté annoncé mercredi la mise en place avec la CEF d’un dispositif de réparation, opérationnel à compter de septembre 2025, et qui sera porté par la Commission reconnaissance et réparation (CRR), une instance mise en place par la CEF après les révélations, en 2021, sur la pédocriminalité dans l’Église depuis les années 1950.”Il s’agit avant tout d’un dispositif d’accueil, d’écoute, de reconnaissance, de réparation financière et d’accompagnement des personnes victimes pour les aider à se reconstruire”, précise la CEF dans son communiqué.La CEF encourage également, “dans un souci de vérité et de clarté” toute personne ayant subi des violences par l’abbé Pierre “à se rapprocher de l’un des dispositifs d’écoute et d’accompagnement de l’Église”, notamment via le numéro d’appel dédié (01.41.83.42.17) ou les cellules d’écoute des diocèses.
Poêles en Téflon “sûres”: Tefal et Seb attaqués en justice par des associations
Le groupe Seb et sa filiale Tefal sont visées par une plainte d’ONG qui les accusent de “pratiques commerciales trompeuses” pour avoir affirmé que leurs poêles en Téflon étaient “sûres”, ont annoncé les associations jeudi.La plainte, qui émane de France nature environnement (FNE), Générations futures et l’Association citoyenne et laïque des consommateurs (ACLC), porte sur une campagne publicitaire datant de 2024 ainsi que sur une communication figurant sur le site internet de la marque Tefal. Elle a été envoyée au parquet de Paris mercredi matin, a indiqué FNE à l’AFP.En “assurant que les revêtements antiadhésifs de ses poêles sont reconnus comme sûrs car contenant du PTFE (polytétrafluoroéthylène, autre nom du Téflon, ndlr) et non des PFOA”, des PFAS (ou polluants éternels) interdits, le groupe “omet de mentionner le risque de rejets dans l’environnement de substances en raison de l’utilisation de PTFE, tout au long du cycle de vie des produits ainsi que les risques sur la santé lors de l’utilisation des poêles de la marque”, font valoir les associations dans un communiqué.”Il est inadmissible de communiquer de cette manière alors que la santé des populations, particulièrement des travailleuses et travailleurs, et de l’environnement est en jeu”, s’insurge Anne Roques, juriste de FNE.Le groupe Seb a déclaré jeudi “prendre acte de cette nouvelle action” et rappelé que “les autorités sanitaires” ainsi que les “agences de santé du Canada et de l’Australie ont depuis des décennies confirmé la sécurité du PTFE”.Selon le site du ministère de la Santé français, “le PTFE fait en théorie partie des PFAS, mais sa stabilité et sa sécurité ont été confirmées, ce qui n’est pas le cas de la vaste majorité des PFAS”. Les associations arguent que le Centre international de recherche contre le cancer (Circ), une agence onusienne, a conclu à “l’insuffisance de données pour classifier le PTFE en tant que cancérogène, mais ne se prononce pas sur l’absence de cancérogénicité ni sur le fait que le PTFE est +sûr+”.Interrogé par l’AFP en avril 2024, le Circ n’avait pas souhaité commenter les affirmations de SEB sur l’innocuité du Téflon, “en raison de l’ancienneté” de ses évaluations.Le même mois, les députés avaient adopté une proposition de loi écologiste visant à restreindre la fabrication et la vente de produits contenant des PFAS, excluant toutefois les ustensiles de cuisine, après une forte mobilisation des fabricants, notamment Tefal. Le texte définitif, promulgué en février 2025, conserve cette exclusion.
Poêles en Téflon “sûres”: Tefal et Seb attaqués en justice par des associations
Le groupe Seb et sa filiale Tefal sont visées par une plainte d’ONG qui les accusent de “pratiques commerciales trompeuses” pour avoir affirmé que leurs poêles en Téflon étaient “sûres”, ont annoncé les associations jeudi.La plainte, qui émane de France nature environnement (FNE), Générations futures et l’Association citoyenne et laïque des consommateurs (ACLC), porte sur une campagne publicitaire datant de 2024 ainsi que sur une communication figurant sur le site internet de la marque Tefal. Elle a été envoyée au parquet de Paris mercredi matin, a indiqué FNE à l’AFP.En “assurant que les revêtements antiadhésifs de ses poêles sont reconnus comme sûrs car contenant du PTFE (polytétrafluoroéthylène, autre nom du Téflon, ndlr) et non des PFOA”, des PFAS (ou polluants éternels) interdits, le groupe “omet de mentionner le risque de rejets dans l’environnement de substances en raison de l’utilisation de PTFE, tout au long du cycle de vie des produits ainsi que les risques sur la santé lors de l’utilisation des poêles de la marque”, font valoir les associations dans un communiqué.”Il est inadmissible de communiquer de cette manière alors que la santé des populations, particulièrement des travailleuses et travailleurs, et de l’environnement est en jeu”, s’insurge Anne Roques, juriste de FNE.Le groupe Seb a déclaré jeudi “prendre acte de cette nouvelle action” et rappelé que “les autorités sanitaires” ainsi que les “agences de santé du Canada et de l’Australie ont depuis des décennies confirmé la sécurité du PTFE”.Selon le site du ministère de la Santé français, “le PTFE fait en théorie partie des PFAS, mais sa stabilité et sa sécurité ont été confirmées, ce qui n’est pas le cas de la vaste majorité des PFAS”. Les associations arguent que le Centre international de recherche contre le cancer (Circ), une agence onusienne, a conclu à “l’insuffisance de données pour classifier le PTFE en tant que cancérogène, mais ne se prononce pas sur l’absence de cancérogénicité ni sur le fait que le PTFE est +sûr+”.Interrogé par l’AFP en avril 2024, le Circ n’avait pas souhaité commenter les affirmations de SEB sur l’innocuité du Téflon, “en raison de l’ancienneté” de ses évaluations.Le même mois, les députés avaient adopté une proposition de loi écologiste visant à restreindre la fabrication et la vente de produits contenant des PFAS, excluant toutefois les ustensiles de cuisine, après une forte mobilisation des fabricants, notamment Tefal. Le texte définitif, promulgué en février 2025, conserve cette exclusion.