G7 finance leaders gather with Ukraine, tariff concerns at fore

Top finance leaders from the G7 nations gather in Canada starting Tuesday, with concerns including war in Ukraine at the fore while the advanced economies grapple with fallout from US President Donald Trump’s sweeping tariffs.In talks running through Thursday, leaders are set to discuss global economic conditions, with participants seeking a common position on Ukraine, while issues like non-market practices are also on the agenda.The talks come amid an uncertain approach among the G7 democracies towards the war in Ukraine — after Russia’s invasion in 2022 — since Trump returned to the presidency this year.Ukrainian Finance Minister Sergii Marchenko will be present as well at the meeting of Group of Seven finance ministers and central bank governors in Canada’s western province of Alberta. He is due to take media questions Tuesday.Once broadly unified, the G7 — Britain, Canada, France, Germany, Italy, Japan and the United States — has been rattled by Trump, who has reached out to Russia and slapped tariffs on both allies and competitors.Economists have warned that tariffs could fuel inflation and weigh on growth. The effects of US trade policy on economic stability will loom over Treasury Secretary Scott Bessent’s talks with counterparts.A US Treasury spokesperson said Bessent seeks to get the grouping “back to basics and focused on addressing imbalances and non-market practices,” including in non-G7 countries.A source briefed on US participation expects China’s excess industrial capacity to be discussed, with G7 members generally sharing concerns on the issue.A Japanese official told AFP the delegation is arranging for a meeting with Bessent this week, seeking to speak on topics like foreign exchange.While the grouping discusses policies and solutions to issues like trade, security and climate change, analysts warn of unpredictability as leaders deal with internal tensions.- ‘A test’ -The Banff, Alberta gathering will be “a test or signal of the G7’s ability or inability to agree on a final statement,” a French finance ministry official told reporters Tuesday ahead of talks.While Canada’s presidency hopes to issue a communique, such an outcome must reflect “a shared understanding of the global economic situation and common goals in addressing the challenges outlined in the statement, the official said.”We will not be able to accept language that is completely watered down.”The source briefed on US participation said Washington is not inclined to “do a communique just for the sake of doing a communique,” adding that a consensus will have to align with Trump administration priorities too.Carl Weinberg, chief economist at research group High Frequency Economics, called the talks a “litmus test” on how a leaders’ summit in June will go.For now, German Finance Minister Lars Klingbeil warned Tuesday that trade disputes with the United States should be resolved as soon as possible.In comments before meeting his counterparts, Klingbeil said tariffs and uncertainties are a burden on the economy and job security.Trump has slapped a blanket 10 percent tariff on most US trading partners, threatening higher rates on economies including the European Union.He also imposed tariffs on imports of steel, aluminum and other goods, raising the temperature with G7 countries.”A possible metric for success is that the US wants to engage and negotiate a trade deal with these countries,” said Ananya Kumar, a deputy director at the Atlantic Council, a Washington-based think tank.Officials told AFP they are not expecting trade agreements to be unveiled this week, but maintain the gathering is another chance to find common ground.- Russia sanctions -Trying to move forward on trade will help with progress on other issues, said Kumar, who expects members to also seek “commitment towards the status quo with Ukraine.”The issue of sanctions on Russia remains uncertain.Trump said Russia and Ukraine would start peace talks after he spoke Monday with Russian President Vladimir Putin, while the EU on Tuesday formally adopted a new round of sanctions on Russia, targeting its “shadow fleet” of oil tankers.A source briefed on US participation in this week’s summit maintained that all options remain regarding sanctions.But they stressed sanctions are aimed at achieving foreign policy results such as ending the war — a Trump administration priority.

Lors de son ultime interrogatoire, Le Scouarnec se dit “responsable” de la mort de deux victimes

Interrogé pour la dernière fois avant les plaidoiries des avocats des parties civiles, l’ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec a estimé mardi devant la cour criminelle du Morbihan être “responsable” de la mort de deux de ses 299 victimes et assuré ne pas s’imaginer en homme libre à l’issue de son procès.Pull noir surmonté d’un col de chemise couleur moutarde, debout dans son box, l’accusé de 74 ans répond aux questions de la cour avec son habituel ton calme, au phrasé monotone.Il affirme avoir conservé le souvenir de deux jeunes hommes dont les photos ont été projetées à l’audience: Mathis Vinet, mort d’une overdose en 2021 et dont les proches estiment qu’il s’est suicidé, et un autre homme qui a mis fin à ses jours en 2020.”(Ils) sont morts: j’en suis responsable”, lâche celui qui avait agressé sexuellement les deux garçons à l’hôpital de Quimperlé (Finistère) alors qu’ils n’avaient que 10 et 12 ans respectivement.- “À jamais un pédophile” -Joël Le Scouarnec affirme s’être “remis en question” au cours du procès débuté le 24 février. “Je ne peux plus me regarder de la même façon parce que j’ai devant moi un pédocriminel et un violeur d’enfants.”S’il assure ne plus être sous l’emprise de ses “penchants” pédophiles, il n’écarte pas non plus le risque de replonger et dit ne pas se projeter dans une vie d’homme libre. Il encourt à Vannes 20 ans de réclusion.”La prison a été pour moi une libération”, a répété celui qui purge déjà une peine de 15 ans de réclusion pour des viols sur mineurs après une condamnation à Saintes (Charente-Maritime) en 2020.”Tu es et tu resteras à jamais un pédophile”, lui a ensuite lancé Me Francesca Satta, avocate de victimes. Dans sa plaidoirie, elle incarnait la petite voisine qui avait dénoncé Joël Le Scouarnec après avoir été violée en 2017 en Charente-Maritime et permis de révéler l’étendue de ses crimes durant plus de trente ans.”Vous avez à juger celui qui a inventé le crime sexuel de masse commis par un seul homme, celui dont on ne connaîtra d’ailleurs jamais le nombre exact de victimes”, a insisté Me Céline Astolfe auprès de la cour.Une trentaine d’avocats représentant quelque 130 parties civiles se sont organisés pour plaider “à l’unisson”, a indiqué en préambule Me Astolfe, estimant en leurs noms que “le défi d’un procès utile mais aussi en considération des victimes a été relevé.”Ces avocats veulent évoquer toutes les zones d’ombre qui planent encore après trois mois de procès sur le “parcours criminel de 35 ans sans obstacle” de Joël Le Scouarnec, “ces questions qui nous hantent et ces silences”, a dit Me Astolfe.- “Pas une machine” -La colère a parfois affleuré mardi matin sous le masque lisse de Joël Le Scouarnec, quand une avocate a insisté sur le peu de souvenirs qu’il a de son enfance ou qu’une autre lui a rappelé les expertises mettant en lumière sa personnalité perverse. “Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase”, a-t-il dit. “C’était tellement à charge (…) c’était insupportable. (…) Une dissection, c’est très désagréable”.Tout au long du procès, la sincérité de Joël Le Scouarnec a été remise en cause par les parties civiles à qui il adressait des excuses uniformes, répétées parfois au mot près.Mais, a-t-il assuré, “ce n’est pas une machine qui s’exprime, c’est moi, l’être humain.”Il a de nouveau affirmé “être le seul responsable”, exonérant ses proches et ses collègues. “C’est moi qui ai manipulé, caché (…) c’est moi qui ai agressé ces enfants.”Qu’est-ce qui aurait pu vous empêcher d’agir? demande la cour. L’accusé se tait un instant. “Rien”, finit-il par dire.Le 20 mars, Joël Le Scouarnec a reconnu en bloc l’ensemble des faits pour lesquels il est jugé à Vannes, et même d’autres, prescrits ou qui font l’objet d’une nouvelle procédure, comme des violences sexuelles sur sa petite-fille, révélées en pleine audience.Mardi après-midi, en réponse à un “appel” lancé la veille par des victimes dénonçant le silence des responsables politiques depuis le début du procès, la députée écologiste Sandrine Rousseau est venue à Vannes rencontrer certaines d’entre elles pour marquer son “soutien”.Verdict attendu le 28 mai.

Lors de son ultime interrogatoire, Le Scouarnec se dit “responsable” de la mort de deux victimes

Interrogé pour la dernière fois avant les plaidoiries des avocats des parties civiles, l’ex-chirurgien pédocriminel Joël Le Scouarnec a estimé mardi devant la cour criminelle du Morbihan être “responsable” de la mort de deux de ses 299 victimes et assuré ne pas s’imaginer en homme libre à l’issue de son procès.Pull noir surmonté d’un col de chemise couleur moutarde, debout dans son box, l’accusé de 74 ans répond aux questions de la cour avec son habituel ton calme, au phrasé monotone.Il affirme avoir conservé le souvenir de deux jeunes hommes dont les photos ont été projetées à l’audience: Mathis Vinet, mort d’une overdose en 2021 et dont les proches estiment qu’il s’est suicidé, et un autre homme qui a mis fin à ses jours en 2020.”(Ils) sont morts: j’en suis responsable”, lâche celui qui avait agressé sexuellement les deux garçons à l’hôpital de Quimperlé (Finistère) alors qu’ils n’avaient que 10 et 12 ans respectivement.- “À jamais un pédophile” -Joël Le Scouarnec affirme s’être “remis en question” au cours du procès débuté le 24 février. “Je ne peux plus me regarder de la même façon parce que j’ai devant moi un pédocriminel et un violeur d’enfants.”S’il assure ne plus être sous l’emprise de ses “penchants” pédophiles, il n’écarte pas non plus le risque de replonger et dit ne pas se projeter dans une vie d’homme libre. Il encourt à Vannes 20 ans de réclusion.”La prison a été pour moi une libération”, a répété celui qui purge déjà une peine de 15 ans de réclusion pour des viols sur mineurs après une condamnation à Saintes (Charente-Maritime) en 2020.”Tu es et tu resteras à jamais un pédophile”, lui a ensuite lancé Me Francesca Satta, avocate de victimes. Dans sa plaidoirie, elle incarnait la petite voisine qui avait dénoncé Joël Le Scouarnec après avoir été violée en 2017 en Charente-Maritime et permis de révéler l’étendue de ses crimes durant plus de trente ans.”Vous avez à juger celui qui a inventé le crime sexuel de masse commis par un seul homme, celui dont on ne connaîtra d’ailleurs jamais le nombre exact de victimes”, a insisté Me Céline Astolfe auprès de la cour.Une trentaine d’avocats représentant quelque 130 parties civiles se sont organisés pour plaider “à l’unisson”, a indiqué en préambule Me Astolfe, estimant en leurs noms que “le défi d’un procès utile mais aussi en considération des victimes a été relevé.”Ces avocats veulent évoquer toutes les zones d’ombre qui planent encore après trois mois de procès sur le “parcours criminel de 35 ans sans obstacle” de Joël Le Scouarnec, “ces questions qui nous hantent et ces silences”, a dit Me Astolfe.- “Pas une machine” -La colère a parfois affleuré mardi matin sous le masque lisse de Joël Le Scouarnec, quand une avocate a insisté sur le peu de souvenirs qu’il a de son enfance ou qu’une autre lui a rappelé les expertises mettant en lumière sa personnalité perverse. “Ça a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase”, a-t-il dit. “C’était tellement à charge (…) c’était insupportable. (…) Une dissection, c’est très désagréable”.Tout au long du procès, la sincérité de Joël Le Scouarnec a été remise en cause par les parties civiles à qui il adressait des excuses uniformes, répétées parfois au mot près.Mais, a-t-il assuré, “ce n’est pas une machine qui s’exprime, c’est moi, l’être humain.”Il a de nouveau affirmé “être le seul responsable”, exonérant ses proches et ses collègues. “C’est moi qui ai manipulé, caché (…) c’est moi qui ai agressé ces enfants.”Qu’est-ce qui aurait pu vous empêcher d’agir? demande la cour. L’accusé se tait un instant. “Rien”, finit-il par dire.Le 20 mars, Joël Le Scouarnec a reconnu en bloc l’ensemble des faits pour lesquels il est jugé à Vannes, et même d’autres, prescrits ou qui font l’objet d’une nouvelle procédure, comme des violences sexuelles sur sa petite-fille, révélées en pleine audience.Mardi après-midi, en réponse à un “appel” lancé la veille par des victimes dénonçant le silence des responsables politiques depuis le début du procès, la députée écologiste Sandrine Rousseau est venue à Vannes rencontrer certaines d’entre elles pour marquer son “soutien”.Verdict attendu le 28 mai.

Entretien Trump-Ramaphosa: l’Afrique du Sud appelle Washington à cesser sa “désinformation” sur la “persécution” des blancs

Il va être difficile aux Etats-Unis de continuer à prétendre que les blancs sont perspécutés en Afrique du Sud, a souligné mardi Pretoria, en appelant Washington à cesser cette “désinformation”, à la veille d’un entretien entre le président Cyril Ramaphosa et Donald Trump à Washington.Les relations bilatérales entre les deux pays sont au plus bas, Washington continuant, sans preuves tangibles, à affirmer que les blancs sont victimes d’un “génocide” en Afrique du Sud sous le gouvernement de Ramaphosa.”Nous devons réinitialiser les relations… mais plus important encore, aplanir les problèmes qui peuvent exister, même si certains d’entre eux sont fondés sur la désinformation”, a déclaré le porte-parole de la présidence sud-africaine, Vincent Magwenya, à la radio 702.Les Etats-Unis ont accueilli le 12 mai un premier groupe d’environ 50 membres de la minorité afrikaner, descendants des colons européens, après que Donald Trump les a appelés à quitter leur pays et à trouver refuge aux Etats-Unis.Si ce programme de réinstallation se poursuit, l’Afrique du Sud “s’en offusquera”, a prévenu M. Magwenya. “En tant que gouvernement, nous ne pouvons pas empêcher les gens de partir, mais nous exprimerons notre mécontentement à l’égard de ceux qui partent sous de faux prétextes et […] sous le couvert de choses qui ne se passent pas dans notre pays”, a-t-il déclaré.”Il va être difficile pour l’administration Trump de soutenir qu’il y a un soi-disant +génocide+ en Afrique du Sud”, car ils vont devoir “étayer ces affirmations”, a-t-il déclaré, en estimant au passage “absolument impossible que l’administration Trump ne sache pas que ce qu’elle propage est faux”.Arrivé lundi à Washington, Cyril Ramaphosa espère y “raviver” sa relation avec les Etats-Unis. Outre un prétendu “génocide” visant les afrikaners, Washington reproche à Pretoria la plainte sud-africaine pour génocide visant Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ).Face aux groupes de pression afrikaners de droite qui ont affirmé que des agriculteurs afrikaners étaient victimes d’assassinats ciblés, le gouvernement répond que rien ne vient étayer ces accusations.Selon la police locale, la plupart des victimes du taux d’homicide élevé en Afrique du Sud sont de jeunes hommes noirs vivant dans les zones urbaines.Lors de cette visite, Pretoria cherchera en priorité à maintenir ses relations commerciales avec les États-Unis, notamment ses exportations, a rapppelé M. Magwenya. Les États-Unis sont le deuxième partenaire commercial de Pretoria derrière la Chine.L’Afrique du Sud ne retirera toutefois pas sa plainte contre Israël devant la Cour internationale de justice (CIJ) et n’annulera pas les lois destinées à donner plus de pouvoir aux Sud-Africains noirs pour corriger les inégalités héritées de l’apartheid, a souligné M. Magwenya.

Musk says will spend ‘a lot less’ on political campaigns

Billionaire Elon Musk on Tuesday said he was pulling away from spending his fortune on politics, asserting that his Tesla electric car company was doing well despite blowback due to his support of US President Donald Trump.”In terms of political spending, I’m going to do a lot less in the future,” Musk told Bloomberg’s Qatar Economic Forum in Doha, speaking by video link from Austin, Texas.Musk, the richest person on Earth, spent hundreds of millions of dollars on Trump’s political campaign, and questions were rife in Washington whether his largesse would continue.”If I see a reason to do political spending in the future, I will do it. I don’t currently see a reason,” he said in the often tense interview.The comments will trigger speculation that the close relationship between Trump and Musk may be shifting as the Tesla tycoon steps away from his full-time role as cost-cutting chief for the US administration.Musk confirmed that he has reduced his role as the unofficial head of the administration’s “Department of Government Efficiency,” working there now just two days a week.Tesla, which is the major source of Musk’s wealth, has suffered significant brand damage due to his political work, particularly with Trump. He has also expressed support for the far-right anti-immigration AfD party in Germany. Since Trump took office, Tesla dealerships have become scenes of protest and vandalism in the United States and beyond.When asked if he was worried about the effects of his political positions on sales at the electric carmaker, Musk hit back to say the company was doing fine.Aside from a sales decline in Europe, “we’re strong everywhere else,” Musk said.He pointed to the performance of Tesla’s shares on Wall Street as a sign that the company was on good footing.”We’re now back over a trillion dollars in market cap, so clearly, the market is aware of the situation, so (Tesla) is already turned around,” he said.

Wall Street dips but European stocks rise

Wall Street stocks fell Tuesday, taking a breather from a recent market rally and digesting a US credit rating downgrade, while European and Asian shares rose as China cut interest rates to historic lows.The dollar strengthened a little against major currencies, just ahead of a meeting of G7 finance ministers in Canada that will discuss global economic conditions, as well as seeking a common position on Ukraine.The Chinese central bank move, which had been expected, comes as officials battle to kickstart the economy amid trade tensions with the United States and a persistent domestic spending slump.In New York, the S&P 500, Dow Jones and Nasdaq indices all shed less than half a percentage point at the start of trading. Analysts said investors did not seem overly alarmed by Moody’s downgrading the US credit rating last Friday, though it was weighing on the dollar and US bonds.”The downgrade news could have easily triggered more of a serious downside correction,” noted David Morrison, senior market analyst at Trade Nation. But “it looks as if sentiment is sufficiently resilient to take this punch on the nose in its stride,” he said.He added, that more generally, “it appears that there’s a general expectation that the US will sort out all its trade issues with its trading partners by early June, or by August in the case of China”.The US market focus on Tuesday was more on the fate of US President Donald Trump’s giant tax cut proposal, which he was discuss in a closed-door meeting with House Republicans. The legislation is expected to face a close vote later this week.In Europe, major stock markets were in positive territory in mid-afternoon trading, with the FTSE 100 up nearly 0.9 percent up. The Frankfurt DAX index topped 24,000 points for the first time, while Paris was also in the green. Asian markets closed higher, with Hong Kong rising more than one percent and Shanghai and Tokyo both up. Elsewhere, the Australian central bank cut its key interest to its lowest level in two years, citing steady progress in bringing inflation under control.In company news, Chinese battery giant CATL ended its first day on the Hong Kong stock exchange over 16 percent higher, having raised US$4.6 billion in the world’s biggest initial public offering this year.A global leader in the sector, CATL produces more than a third of all electric vehicle batteries sold worldwide.- Key figures at around 1335 GMT -New York – Dow: DOWN 0.1 percent at 42,742.92 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.3 percent at 5,944.86New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.5 percent at 19,128.80 London – FTSE 100: UP 0.6 percent at 8,775.23Paris – CAC 40: UP 0.8 percent at 7,943.25Frankfurt – DAX: UP 0.6 percent at 24,071.32Tokyo – Nikkei 225: UP 0.1 percent at 37,529.49 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.5 percent at 23,681.48 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,380.48 (close)Euro/dollar: UP at $1.1264 from $1.1244 on MondayPound/dollar: UP at $1.3371 from $1.3360Dollar/yen: DOWN at 144.60 yen from 144.87 yenEuro/pound: UP at 84.22 pence from 84.14 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.6 percent at $61.78 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.6 percent at $65.16 per barrel

Wall Street ouvre en baisse dans l’attente de son prochain catalyseur

La Bourse de New York a ouvert en baisse mardi, reprenant son souffle en l’absence de nouveau catalyseur, les investisseurs digérant par ailleurs les derniers résultats de la chaîne de magasins de bricolage Home Depot.Vers 14H00 GMT, le Dow Jones lâchait 0,18%, l’indice Nasdaq reculait de 0,51% et l’indice élargi S&P 500 perdait 0,33%.”L’ouverture est calme aujourd’hui, les investisseurs attendent avec impatience le prochain grand catalyseur”, résume auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments.”L’ambiance est (…) modérée ce matin après une nuit plutôt calme sur le plan des données économiques et de l’actualité”, abondent dans une note les analystes de Briefing.com.Selon M. Sarhan, le marché “a connu une très forte hausse au cours des dernières semaines, il est donc normal et sain qu’il se consolide.”Mardi, les investisseurs surveillent de près les développements concernant la proposition de loi budgétaire examinée au Congrès américain. Ce mégaprojet, cher à Donald Trump, doit notamment concrétiser la prolongation des crédits d’impôt accordés durant son premier mandat avant leur expiration.Selon une commission indépendante du Congrès, une telle extension accompagnée d’autres mesures fiscales entraînerait une hausse de plus de 4.800 milliards de dollars du déficit de l’État fédéral au cours de la prochaine décennie.Sur le marché obligataire, le taux d’intérêt des emprunts d’Etat américains à dix ans se tendait, à 4,51%, contre 4,45% lundi en clôture.Côté entreprises, les acteurs du marché attendent de voir “ce qu’il va se produire au niveau des résultats trimestriels”, note Adam Sarhan.Plus précisément, les investisseurs vont scruter les risques liés à la salve de droits de douane imposée par le président américain Donald Trump sur les partenaires commerciaux des Etats-Unis.Au tableau des valeurs, la chaîne américaine de magasins de bricolage Home Depot était recherchée (+1,76% à 386,07 dollars) malgré un bénéfice en baisse et inférieur aux attentes au premier trimestre, les investisseurs se concentrant plutôt sur la confirmation de ses prévisions annuelles, sur la base d’une demande toujours soutenue.Le bénéfice net ressort à 3,43 milliards de dollars (-4,6% sur un an) en brut, et à 3,56 dollars rapporté par action et hors éléments exceptionnels, donnée de référence du marché, alors que les analystes tablaient sur 3,59 dollars.”Home Depot est un bon indicateur de la consommation américaine, mais aussi du marché de l’immobilier”, souligne M. Sarhan. Le constructeur automobile Tesla gagnait du terrain (+0,64% à 344,14 dollars). Le patron du groupe, Elon Musk, a affirmé que la situation commerciale du groupe a “déjà été rétablie” après une séquence de ralentissement des ventes. “Les ventes sont bonnes en ce moment”, a déclaré le dirigeant en marge du Forum économique du Qatar, et “le marché (financier) le reconnaît car nous sommes repassés au-dessus des mille milliards de capitalisation. Donc la situation est déjà rétablie.”Le secteur des semiconducteurs évoluait dans le rouge, à l’image de Nvidia (-1,39%), Broadcom (-0,59%), Micron (-1,01%) ou AMD (1,62%).Une partie des géants de la “tech” américaine était également boudée, à l’instar d’Apple (-0,85%), Microsoft (-0,90%) ou Meta (-0,66%).Selon M. Sarhan, les investisseurs ont d’ores et déjà le regard tourné vers les résultats trimestriels du secteur de l’intelligence artificielle (IA) qui seront publiés pour la plupart à la fin du mois de mai.

S.Africans joke about Trump’s claims ahead of White House visitTue, 20 May 2025 14:07:51 GMT

At a raucous comedy night in Johannesburg, no comedian could avoid cracking a joke about the chartered flight that, exactly a week earlier, took about 50 white South Africans to the United States for “refugee” resettlement.Spotting a middle-aged white couple seated in the diverse audience, 31-year-old comedian Tsitsi Chiumya pulled a theatrically shocked face.”White people! …

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L’UE propose d’assouplir ses règles pour renvoyer les demandeurs d’asile

La Commission européenne a proposé mardi d’assouplir ses règles pour renvoyer les demandeurs d’asile, répondant à une demande répétée des Etats membres de durcir sa politique migratoire.Cette proposition inquiète les ONG de protection de migrants et certains élus.Actuellement, la loi européenne prévoit que des demandeurs d’asile puissent être renvoyés vers des pays dont ils ne sont pas originaires mais que les Etats membres considèrent comme “sûrs”.Il faut cependant qu’il y ait un “lien” suffisant entre la personne concernée et ce pays tiers: qu’un membre de sa famille y réside, que le demandeur d’asile ait déjà travaillé dans ce pays etc.Ce que l’UE propose, c’est de pouvoir éliminer cette obligation de “lien”, permettant de fait d’accélérer les renvois.- “Cruel et inutile” -“Cela signifie qu’un migrant pourrait être envoyé dans un pays tiers avec lequel il n’a aucun lien et pourrait se retrouver en situation de vulnérabilité, voire de maltraitance”, alerte l’eurodéputée centriste Fabienne Keller dans un communiqué, qualifiant la proposition de “problématique”.Elle pourrait aussi très bien être “illégale”, selon Meron Knikman du International Rescue Committee. “Il serait cruel et inutile d’envoyer des personnes dans un pays qu’elles connaissent à peine ou dans lequel elles n’ont jamais mis les pieds”, déplore-t-elle auprès de l’AFP.Les ONG estiment que les gouvernements européens seront aussi exposés à un chantage par ces pays tiers, qui pourraient exiger une ribambelle de contreparties politiques et financières pour accueillir ces demandeurs d’asile.La Commission réfute toutes ces critiques, assurant que les pays dans lesquels ils seront renvoyés devront avant tout respecter les droits fondamentaux. Et que cette proposition a pour principal objectif d’accélérer le traitement des demandes d’asile. “Il s’agit vraiment de donner davantage de flexibilité aux Etats membres” de l’Union européenne, a affirmé un porte-parole de la Commission, Markus Lammert.Pour entrer en vigueur, cette proposition devra être approuvée par le Parlement européen et les Etats membres.- Pression des Etats membres -Or Bruxelles est justement sous pression des Etats membres pour durcir sa politique migratoire, face à la poussée de la droite et de l’extrême droite à travers le continent.La Commission avance méthodiquement sur ce dossier. Mi-mars, elle avait déjà dévoilé de premières mesures pour accélérer les expulsions d’étrangers en situation irrégulière.L’exécutif européen avait notamment proposé un cadre légal à la création de centres pour migrants en dehors de ses frontières, les fameux “hubs de retour”.Avant d’établir en avril une liste de pays qu’elle juge “sûrs” (dont la Tunisie, le Maroc ou l’Inde) limitant de fait les possibilités d’asile pour leurs ressortissants.Les appels à un durcissement de la politique migratoire européenne interviennent alors même que le nombre de passages clandestins aux frontières de l’Union a considérablement diminué.En 2024, il a atteint le niveau le plus bas depuis 2021, lorsque les flux migratoires étaient encore perturbés par le Covid, selon les données de l’agence européenne Frontex.

Trump pushes Republicans to back ‘big, beautiful’ US budget bill

US President Donald Trump rallied Republicans on Capitol Hill Tuesday to back a so-called “big, beautiful bill” that is likely to increase the yawning budget deficit and cut health care for millions of Americans.Sharp divisions in the party have slowed the progress through Congress of Trump’s budget bill, which pairs an extension of the billionaire’s signature tax cuts from his first term with a series of savings.But conservatives are angling for much deeper spending cuts to tackle the ballooning deficit, while moderates say the savings would mean millions of the poorest Americans lose health coverage under the Medicaid program.Trump said as he was greeted by Republican House Speaker Mike Johnson that there were “one or two grandstanders” blocking the bill but that he was confident of a deal.He warned that without the bill the United States would face huge tax increases.”I think we’re going to have a very good discussion. There are one or two points that some people feel strongly about, but maybe not so strong,” Trump told reporters as he went in to meet lawmakers.Trump has been eager to present the bill as a significant legislative accomplishment early in his second term, after a frenzied first few months where he has governed largely through presidential orders.- Health care fears -Fiscal hawks oppose the bill on the grounds that it would pile on to the already huge US budget deficit. Independent congressional analysts calculate that the mega-bill’s tax provisions would add more than $4.8 trillion over the coming decade.Trump insisted that he was “not touching” Medicaid but just cutting “waste, fraud and abuse” — the slogan of the administration’s cost-slashing drive led by tech tycoon Elon Musk.The bill would, however, add new restrictions on the Medicaid program that helps provide health insurance for more than 70 million lower-income Americans.They would include toughening work requirements for those receiving assistance and cutting it for undocumented migrants.The policy change would result in more than 10 million people losing coverage under the program, according to estimates by the independent Congressional Budget Office.Moderate Republicans fear overly large cuts in the popular program could upset the party’s prospects in the November 2026 midterm elections.The bill — which is formally known as the “One Big Beautiful Bill” — cleared a key hurdle on Sunday when it finally progressed out of the House Budget Committee.Several rebels who had blocked it on Friday dropped their earlier opposition after speaker Johnson spent the weekend persuading them.But Trump will need everyone onside for it to get past Congress.Republicans have a very slim majority in the House, meaning the legislation needs almost unanimous support to pass, with Democrats united against the bill.Even if the bill passes in the House, it will face challenges in the Senate, where Republicans are demanding major changes.