Russia and Iran to sign ‘partnership’ pact

Russia and Iran will sign a “comprehensive strategic partnership” treaty on Friday during a visit to Moscow by Iranian President Masoud Pezeshkian, cementing ties between two of the world’s most heavily sanctioned countries.The agreement comes just three days before Iran-hawk Donald Trump enters the White House and as Moscow and Tehran seek to formalise their close relationship after years of deepening cooperation.Iran has supplied Russia with self-detonating “Shahed” drones that Moscow fires on Ukraine in nightly barrages, according to Ukrainian and Western officials, while both nations have ramped up trade amid Western sanctions.The new treaty will strengthen Tehran and Moscow’s “military-political and trade-economic” relations, the Kremlin said on Wednesday, without providing further detail.Tehran has given little information about Friday’s pact, but ruled out a mutual defence clause like the one included in Russia’s treaty with North Korea last year, Russian state media reported, citing Tehran’s top diplomat Abbas Araghchi.The two sides had been working on a new treaty for years, with their current relationship governed by a 2001 agreement that they have renewed periodically.- ‘Global hegemony’ -Russia says its upcoming pact with Iran and the already-signed treaty with Pyongyang are “not directed against any country”.”The treaty … is constructive in nature and is aimed at strengthening the capabilities of Russia, Iran, and our friends in various parts of the world,” Russian foreign minister Sergei Lavrov said Tuesday.It is set to be valid for 20 years, Russia’s TASS news agency reported on Tuesday, citing the Iranian ambassador to Russia Kazem Jalali.Russian President Vladimir Putin has made building ties with Iran, China and North Korea a cornerstone of his foreign policy as he seeks to challenge what he calls as US-led “global hegemony”.Both Russia and Iran are under heavy Western sanctions that include restrictions on their vital energy industries.At a summit of the BRICS group in Kazan last year, Putin told Pezeshkian he valued “truly friendly and constructive ties” between Russia and Iran.Pezeshkian’s visit to Russia comes just days before Trump returns to power.The US president-elect, who has made repeated military threats against Iran, is seeking a rapid end to the conflicts in Ukraine and the Middle East.The agreement comes a month after a rebel offensive overthrew Syrian leader Bashar al-Assad — who was heavily supported by both Moscow and Tehran — and as Israel and Iran’s ally Hamas gear up for a ceasefire in Gaza.

Cuba: 127 prisonniers remis en liberté, dont le dissident José Daniel Ferrer

Cent vingt-sept prisonniers ont été remis en liberté à Cuba, dont le dissident José Daniel Ferrer, dans le cadre de l’accord négocié avec l’église catholique après le retrait de l’île de la liste noire américaine des pays soutenant le terrorisme.”Entre mercredi et jeudi, 127 remises en liberté anticipées ont été concédées, dont 121 comme liberté conditionnelle et six comme licence extra-pénale”, a indiqué jeudi soir la vice-présidente du Tribunal suprême populaire, Maricela Sosa, à la télévision d’Etat. Cette dernière a expliqué que la “licence extra-pénale” était une libération anticipée accordée par la justice principalement pour des raisons de santé.Il s’agit du premier décompte officiel diffusé par les autorités depuis l’annonce mardi d’un accord négocié avec l’aide de l’église catholique pour la libération de 553 prisonniers, après que le président Joe Biden a annoncé le retrait de l’île de la liste noire américaine où figurent l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie.Parmi les 127 prisonniers remis en liberté figurent l’opposant historique José Daniel Ferrer, 54 ans, libéré jeudi matin de la prison de Mar Verde, à Santiago de Cuba (est). “Nous venons d’arriver avec lui. Grâce à Dieu, il est à la maison”, a déclaré par téléphone à l’AFP Nelva Ortega, l’épouse du dissident qui se trouvait en détention depuis plus de trois ans.Peu après, José Daniel Ferrer a appelé les Cubains à ne pas avoir “peur d’affronter” le gouvernement communiste qui a “de plus en plus peur” et est “de plus en plus faible”, lors de premières déclarations faites à la radio anticastriste Marti Noticias, basée à Miami.José Daniel Ferrer avait été déclaré “prisonnier d’opinion” par l’organisation de défense des droits humains Amnesty international en août 2021.Il a été emprisonné le 11 juillet 2021, date à laquelle il avait tenté de se joindre aux manifestations antigouvernementales qui secouaient le pays, les plus importantes depuis l’avènement de la révolution castriste en 1959.Un mois plus tard, un tribunal avait révoqué sa liberté conditionnelle et l’avait renvoyé derrière les barreaux pour terminer de purger une peine de quatre ans et demi de prison à laquelle il avait été condamné en 2020, accusé d’avoir frappé un homme, ce qu’il nie.- “Nouveau départ” -Dissident de longue date, José Ferrer a fait partie en 2003 des 75 prisonniers politiques arrêtés lors du “Printemps noir”, une vague de répression contre la dissidence menée par Fidel Castro.Il avait alors été condamné à 25 ans de prison et libéré huit ans plus tard, après une négociation entre le gouvernement et l’église catholique. Il avait refusé de quitter l’île en échange de sa libération.Après la libération d’un premier groupe de prisonniers mercredi, dans leur très grande majorité des manifestants emprisonnés pour avoir participé aux protestations des 11 et 12 juillet 2021, les remises en liberté de prisonniers se sont poursuivies jeudi. Quatre détenus, tous condamnés pour leur participation aux manifestations des 11 et 12 juillet 2021, sont ainsi sortis en début de matinée d’une prison située à San Miguel del Padron, dans la périphérie de La Havane, ont constaté des journalistes de l’AFP. “Merci de m’avoir donné cette opportunité, encore une fois, dans la vie. C’est un nouveau départ”, a déclaré, ému, le jeune Marlon Brando Diaz, condamné à 18 ans de prison pour sa participation aux manifestations, alors que sa famille l’attendait devant le centre pénitentiaire.Egalement attendus par leurs familles, trois autres prisonniers, détenus dans la même prison, ont été remis en liberté, a constaté l’AFP. Selon des chiffres officiels, quelque 500 personnes ont été condamnées à des peines allant jusqu’à 25 ans de prison pour leur participation aux protestations de juillet 2021. Certaines ont été libérées ces derniers mois après avoir purgé leur peine.Des ONG et l’ambassade des Etats-Unis à Cuba comptabilisent au total un millier de “prisonniers politiques” sur l’île. La Havane nie pour sa part l’existence de prisonniers politiques et accuse les opposants d’être des “mercenaires” à la solde de Washington.

Cuba: 127 prisonniers remis en liberté, dont le dissident José Daniel Ferrer

Cent vingt-sept prisonniers ont été remis en liberté à Cuba, dont le dissident José Daniel Ferrer, dans le cadre de l’accord négocié avec l’église catholique après le retrait de l’île de la liste noire américaine des pays soutenant le terrorisme.”Entre mercredi et jeudi, 127 remises en liberté anticipées ont été concédées, dont 121 comme liberté conditionnelle et six comme licence extra-pénale”, a indiqué jeudi soir la vice-présidente du Tribunal suprême populaire, Maricela Sosa, à la télévision d’Etat. Cette dernière a expliqué que la “licence extra-pénale” était une libération anticipée accordée par la justice principalement pour des raisons de santé.Il s’agit du premier décompte officiel diffusé par les autorités depuis l’annonce mardi d’un accord négocié avec l’aide de l’église catholique pour la libération de 553 prisonniers, après que le président Joe Biden a annoncé le retrait de l’île de la liste noire américaine où figurent l’Iran, la Corée du Nord et la Syrie.Parmi les 127 prisonniers remis en liberté figurent l’opposant historique José Daniel Ferrer, 54 ans, libéré jeudi matin de la prison de Mar Verde, à Santiago de Cuba (est). “Nous venons d’arriver avec lui. Grâce à Dieu, il est à la maison”, a déclaré par téléphone à l’AFP Nelva Ortega, l’épouse du dissident qui se trouvait en détention depuis plus de trois ans.Peu après, José Daniel Ferrer a appelé les Cubains à ne pas avoir “peur d’affronter” le gouvernement communiste qui a “de plus en plus peur” et est “de plus en plus faible”, lors de premières déclarations faites à la radio anticastriste Marti Noticias, basée à Miami.José Daniel Ferrer avait été déclaré “prisonnier d’opinion” par l’organisation de défense des droits humains Amnesty international en août 2021.Il a été emprisonné le 11 juillet 2021, date à laquelle il avait tenté de se joindre aux manifestations antigouvernementales qui secouaient le pays, les plus importantes depuis l’avènement de la révolution castriste en 1959.Un mois plus tard, un tribunal avait révoqué sa liberté conditionnelle et l’avait renvoyé derrière les barreaux pour terminer de purger une peine de quatre ans et demi de prison à laquelle il avait été condamné en 2020, accusé d’avoir frappé un homme, ce qu’il nie.- “Nouveau départ” -Dissident de longue date, José Ferrer a fait partie en 2003 des 75 prisonniers politiques arrêtés lors du “Printemps noir”, une vague de répression contre la dissidence menée par Fidel Castro.Il avait alors été condamné à 25 ans de prison et libéré huit ans plus tard, après une négociation entre le gouvernement et l’église catholique. Il avait refusé de quitter l’île en échange de sa libération.Après la libération d’un premier groupe de prisonniers mercredi, dans leur très grande majorité des manifestants emprisonnés pour avoir participé aux protestations des 11 et 12 juillet 2021, les remises en liberté de prisonniers se sont poursuivies jeudi. Quatre détenus, tous condamnés pour leur participation aux manifestations des 11 et 12 juillet 2021, sont ainsi sortis en début de matinée d’une prison située à San Miguel del Padron, dans la périphérie de La Havane, ont constaté des journalistes de l’AFP. “Merci de m’avoir donné cette opportunité, encore une fois, dans la vie. C’est un nouveau départ”, a déclaré, ému, le jeune Marlon Brando Diaz, condamné à 18 ans de prison pour sa participation aux manifestations, alors que sa famille l’attendait devant le centre pénitentiaire.Egalement attendus par leurs familles, trois autres prisonniers, détenus dans la même prison, ont été remis en liberté, a constaté l’AFP. Selon des chiffres officiels, quelque 500 personnes ont été condamnées à des peines allant jusqu’à 25 ans de prison pour leur participation aux protestations de juillet 2021. Certaines ont été libérées ces derniers mois après avoir purgé leur peine.Des ONG et l’ambassade des Etats-Unis à Cuba comptabilisent au total un millier de “prisonniers politiques” sur l’île. La Havane nie pour sa part l’existence de prisonniers politiques et accuse les opposants d’être des “mercenaires” à la solde de Washington.

A Los Angeles, pas de retour avant “au moins une semaine” pour les évacués

Des dizaines de milliers d’habitants évacués à cause des feux qui ont embrasé Los Angeles vont devoir patienter “au moins une semaine de plus” avant de rentrer, préviennent jeudi les autorités, face aux craintes de glissements de terrain ou d’exposition à des substances toxiques.”On a un groupe de discussion où tout le monde se plaint, s’énerve, et se demande pourquoi on continue de nous enfermer hors de nos maisons”, raconte Ronnen Miz à la télévision locale KTLA.Parmi les évacués, la frustration grimpe face aux consignes des autorités locales qui les empêchent de rentrer chez eux, même si leurs maisons ont eu la chance d’échapper aux violents incendies ayant ravagé certains secteurs de la mégapole californienne et détruit plus de 16.000 hectares depuis une dizaine de jours.La raison: la situation est trop dangereuse pour le moment, ont expliqué les autorités locales au cours d’une conférence de presse. Les réseaux électriques, de gaz et d’égouts ont subi des dommages considérables. Des déchets toxiques se trouvent partout. Et le risque de glissements de terrain ou de coulées de boue grandit.”Cela va demander un moment”, prévient le shérif du comté de Los Angeles Robert Luna. “Je dirais au moins une semaine de plus, et c’est une estimation, mais je pense que ça va demander plus longtemps que ça.”- Menace de pluies -Selon un dernier bilan jeudi, au moins 27 personnes sont décédées dans les furieuses flammes qui ont embrasé la ville d’Altadena, au nord de Los Angeles, et le quartier huppé de Pacific Palisades, dans le nord-ouest de la mégapole.Ce nombre de victimes risque encore d’augmenter dans les jours à venir, les équipes de recherche continuant à fouiller les décombres.C’est aussi “parce que nous pensons qu’il peut y avoir d’autres victimes” dans certaines zones sinistrées que les habitants évacués sont empêchés d’y retourner, expliquent encore les autorités locales.Des équipes de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) ont elles entamé des inspections jeudi pour ramasser pesticides, essence et batteries au lithium parmi les montagnes de décombres, avant que les débris puissent commencer à être déblayés.A l’opposé des récentes conditions climatiques ultra sèches, ce sont désormais d’éventuelles pluies qui représentent une menace potentielle.”Les réseaux d’évacuation des deux secteurs (les plus sinistrés) ont été endommagés”, explique le directeur des travaux publics du comté de Los Angeles Mark Pestrella. “En cas de fortes pluies, nous nous attendons à ce que tout le quartier et les rues soient touchés par des coulées d’eau entraînant des débris.”- Prisonniers formés -Les collines de Los Angeles ont été déstabilisées par les incendies qui les ont parcourues et par les énormes volumes d’eau utilisés par les pompiers pour les combattre.Des bâtiments en apparence intacts pourraient aussi être touchés par des glissements de terrain, ajoute Mark Pestrella.Des photos de Pacific Palisades montrent une maison, pas attaquée par le feu, qui semble s’être scindée en deux sous l’effet de l’effondrement d’un flanc de colline, après que les flammes ont été éteintes.Les vents violents qui ont balayé la région de Los Angeles pendant plus d’une semaine et attisé les flammes, se sont calmés jeudi, aidant les pompiers – et plus de 900 détenus venus leur prêter main forte – à progresser dans leurs opérations. “C’est la première chose que je fais dans ma vie dont je suis fier”, affirme à l’AFP Jacob Castro, 29 ans passés en prison et qui se prépare dans un des camps d’entraînement à la lutte contre les incendies gérés par les autorités pénitentiaires californiennes.”C’est une chance de me racheter”, se réjouit-il.

A Los Angeles, pas de retour avant “au moins une semaine” pour les évacués

Des dizaines de milliers d’habitants évacués à cause des feux qui ont embrasé Los Angeles vont devoir patienter “au moins une semaine de plus” avant de rentrer, préviennent jeudi les autorités, face aux craintes de glissements de terrain ou d’exposition à des substances toxiques.”On a un groupe de discussion où tout le monde se plaint, s’énerve, et se demande pourquoi on continue de nous enfermer hors de nos maisons”, raconte Ronnen Miz à la télévision locale KTLA.Parmi les évacués, la frustration grimpe face aux consignes des autorités locales qui les empêchent de rentrer chez eux, même si leurs maisons ont eu la chance d’échapper aux violents incendies ayant ravagé certains secteurs de la mégapole californienne et détruit plus de 16.000 hectares depuis une dizaine de jours.La raison: la situation est trop dangereuse pour le moment, ont expliqué les autorités locales au cours d’une conférence de presse. Les réseaux électriques, de gaz et d’égouts ont subi des dommages considérables. Des déchets toxiques se trouvent partout. Et le risque de glissements de terrain ou de coulées de boue grandit.”Cela va demander un moment”, prévient le shérif du comté de Los Angeles Robert Luna. “Je dirais au moins une semaine de plus, et c’est une estimation, mais je pense que ça va demander plus longtemps que ça.”- Menace de pluies -Selon un dernier bilan jeudi, au moins 27 personnes sont décédées dans les furieuses flammes qui ont embrasé la ville d’Altadena, au nord de Los Angeles, et le quartier huppé de Pacific Palisades, dans le nord-ouest de la mégapole.Ce nombre de victimes risque encore d’augmenter dans les jours à venir, les équipes de recherche continuant à fouiller les décombres.C’est aussi “parce que nous pensons qu’il peut y avoir d’autres victimes” dans certaines zones sinistrées que les habitants évacués sont empêchés d’y retourner, expliquent encore les autorités locales.Des équipes de l’Agence de protection de l’environnement (EPA) ont elles entamé des inspections jeudi pour ramasser pesticides, essence et batteries au lithium parmi les montagnes de décombres, avant que les débris puissent commencer à être déblayés.A l’opposé des récentes conditions climatiques ultra sèches, ce sont désormais d’éventuelles pluies qui représentent une menace potentielle.”Les réseaux d’évacuation des deux secteurs (les plus sinistrés) ont été endommagés”, explique le directeur des travaux publics du comté de Los Angeles Mark Pestrella. “En cas de fortes pluies, nous nous attendons à ce que tout le quartier et les rues soient touchés par des coulées d’eau entraînant des débris.”- Prisonniers formés -Les collines de Los Angeles ont été déstabilisées par les incendies qui les ont parcourues et par les énormes volumes d’eau utilisés par les pompiers pour les combattre.Des bâtiments en apparence intacts pourraient aussi être touchés par des glissements de terrain, ajoute Mark Pestrella.Des photos de Pacific Palisades montrent une maison, pas attaquée par le feu, qui semble s’être scindée en deux sous l’effet de l’effondrement d’un flanc de colline, après que les flammes ont été éteintes.Les vents violents qui ont balayé la région de Los Angeles pendant plus d’une semaine et attisé les flammes, se sont calmés jeudi, aidant les pompiers – et plus de 900 détenus venus leur prêter main forte – à progresser dans leurs opérations. “C’est la première chose que je fais dans ma vie dont je suis fier”, affirme à l’AFP Jacob Castro, 29 ans passés en prison et qui se prépare dans un des camps d’entraînement à la lutte contre les incendies gérés par les autorités pénitentiaires californiennes.”C’est une chance de me racheter”, se réjouit-il.

Los Angeles fire evacuees told no return for at least a week

Tens of thousands of people ordered to flee their homes as wildfires tore through Los Angeles were told Thursday they would not be allowed back for at least a week, with fears over electrocution, landslides and exposure to toxic materials. Frustration is mounting among evacuees, who are angry over rules that prevent them from returning — even to homes that survived the deadly blazes.”There was a group chat where everyone was complaining, getting mad, saying, ‘why do they keep on locking us out of our homes?'” Ronnen Miz told local broadcaster KTLA.But with 40,000 acres (16,000 hectares) burned in two ferocious fires, the situation is just too dangerous, officials said.Electricity, gas and sewage lines are wrecked, there is toxic waste everywhere, and there is a growing threat of hazardous mudslides or landslips, officials said at a news conference.”It’s going to be a while,” said Los Angeles County Sheriff Robert Luna. “I’m going to say at minimum, at least another week, and that’s an estimate, but I believe it’s going to be longer than that.”According to the latest coroner’s tally, at least 27 people have died in wind-driven fires that ripped through the upmarket enclave of Pacific Palisades and the more mixed community of Altadena.Luna said search teams were continuing to comb the rubble looking for victims, with the number of dead expected to rise.Authorities were also holding people back from some areas “because we believe there may be deceased victims” he said. – Destabilized hillsides -Teams from the Environmental Protection Agency (EPA) began inspections Thursday as they work to remove pesticides, fuel and lithium batteries from the wreckage before any debris clean-up can take place.Los Angeles County Director of Public Works Mark Pestrella said apparently unaffected structures could be hit by landslides, and any substantial rain could be dangerous.”In the event that we have major rain, we do expect that all of the street areas and all the communities will be impacted by debris flows that could be hazardous to human health.”Hillsides have been destabilized by the fires, and by the huge volumes of water that firefighters used in a bid to tame them.Photographs from the Pacific Palisades area showed one home — undamaged by the fire — that appeared to have broken in two after the flames were extinguished when part of a hillside collapsed.- Pam Shriver -US tennis great Pam Shriver revealed on Thursday a cache of major trophies from her illustrious career were stolen after she evacuated from the fire.Shriver, 62, packed five US Open trophies, five French Open plates, five Wimbledon trophies and one Australian Open trophy into her car as she fled her Brentwood home and headed to a hotel on Friday.Some time later, she found the car — and its irreplaceable contents — had been stolen.”It’s really sad on so many levels that when people are at their lowest and in their most difficult times, people are doing things like this,” Shriver told ESPN.- Hotspots -Gusting winds that have rattled the region for more than a week, spreading the fire over a wide area, had subsided Thursday, giving firefighters a much-needed boost as they mopped up hotspots.The work of battalions from all over the United States was being bolstered by crews of inmates, who toil alongside regular firefighters to cut containment lines and clear brush.Jacob Castro, who has served 29 years for his crimes, said he was grateful for the chance to help out in the fire effort and repay his debt to society.”It’s the first thing I’ve done in my life that I’m proud of,” he told AFP.”I love doing this, helping the community by making up for the bad decisions I made in life,” said Castro, who has a coveted spot in one of the fire training camps operated by the California Department of Corrections and Rehabilitation.”It’s a chance to redeem myself.”