L1: l’OM dit “merci Aubameyang !”, De Zerbi espère Rabiot
Fébrile et empêtré dans l’affaire Rabiot, à qui Roberto De Zerbi a tendu la main, l’OM a peiné pour se défaire du Paris FC (5-2) samedi, mais a pu compter sur ses jeunes et sur son “ancien”, Pierre-Emerick Aubameyang, auteur d’un doublé, pour se donner un peu d’air.La crise est arrivée à Marseille avant même l’automne. Le championnat a repris depuis huit jours et l’OM est en plein dedans, après plusieurs jours à parler de bagarre plus que de football et à se demander s’il y a un avenir sans Adrien Rabiot.L’entraîneur marseillais Roberto De Zerbi semble lui-même avoir du mal à répondre à cette question. Car après avoir assuré vendredi qu’il n’y avait “pas d’autre issue” que la mise à l’écart définitive de Rabiot et Jonathan Rowe après leur “bagarre de bar” de la semaine dernière à Rennes, il a ouvert la porte samedi à une possible réconciliation.”Je n’en ai encore parlé ni avec Pablo Longoria, ni avec Medhi Benatia. Mais même s’il a fait une erreur, j’espère, et pas seulement pour la valeur du joueur, mais aussi pour celle de la personne, qu’il y a les conditions pour réparer les choses”, a ainsi déclaré De Zerbi en conférence de presse.”La volonté de réparer doit être celle de tous. Il faut évaluer beaucoup de choses au plan humain. Mais je suis une bonne personne, et Adrien aussi. Il faut parfois faire un pas en arrière avec intelligence et humilité”, a également expliqué l’entraîneur de l’OM.- porte ouverte ? -Le retour de Rabiot dans l’effectif marseillais serait un spectaculaire rebondissement dans un dossier qui n’en a déjà pas manqué. Contactés par l’AFP samedi soir, la mère et agent du joueur, Véronique Rabiot, et leur avocat, n’avaient toutefois pas réagi dans l’immédiat, pas plus que l’état-major de l’OM.En zone mixte, les joueurs ont également laissé la porte ouverte. “+Adri+, c’est une personne que j’aime énormément et c’est vrai qu’il nous a beaucoup aidés la saison dernière. On ne sait pas de quoi est fait l’avenir. Ce sera une décision du coach et des dirigeants”, a ainsi déclaré le jeune Bilal Nadir, l’un des principaux protagonistes de la victoire marseillaise samedi.Car il y a bien eu un match. Et l’OM, sûr de rien et surtout pas de son inquiétant secteur défensif, peut dire merci à Aubameyang. Dès la 13e minute, le Gabonais avait ainsi trouvé le poteau après une superbe ouverture de CJ Egan-Riley. Et cinq minutes plus tard, il a obtenu un penalty, transformé par Mason Greenwood (1-0, 18e).A la 25e minute, c’est encore Aubameyang qui a doublé la mise, en marquant d’une belle volée en déséquilibre sur un corner frappé par Greenwood (2-0): premier but et premier salto de cette deuxième séquence marseillaise pour le toujours jeune “Aubam” et ses 36 ans. La dernière fois, il en avait mis 30.L’OM menait, certes, mais le Paris FC avait été dangereux, avec notamment une tête de Willem Geubbels sur l’extérieur du poteau (5e) ou une belle frappe de Vincent Marchetti, de très peu à côté (19e).- place aux jeunes -Même devant, l’OM était donc sur un fil et c’est un autre vrai Marseillais qui l’a prouvé, le talentueux Ilan Kebbal, auteur d’une frappe superbe pour ramener le promu parisien à 2-1 (28e).Ensuite, peu après la reprise, Moses Simon a glacé le Vélodrome en profitant d’une belle passe du même Kebbal et d’un alignement encore déficient de Leonardo Balerdi (58e, 2-2).Il y a alors eu quelques frissons, quelques sifflets, puis de plus en plus, jusqu’à ce qu’Aubameyang sauve l’affaire: sur une mauvaise relance parisienne, l’attaquant marseillais a profité d’un bon pressing de l’entrant Nadir pour marquer (3-2, 73e).Les jeunes sont alors entrés en scène et une nouvelle bonne action de Nadir a permis à Pierre-Emile Hojbjerg, qui avait beaucoup raté jusque-là, de marquer le but du 4-2 d’une frappe parfaite (81e). Trois minutes plus tard, Greenwood a manqué un penalty obtenu par Robinio Vaz, qui s’est consolé avec le but du 5-2 (90+6), fêté avec ses jeunes copains.Avant Lyon, rien n’est parfait, rien n’est réglé. Mais l’OM a trois points et, au moins, une attaque au point. C’est déjà ça.
“Trop tard”: des Palestiniens désespérés après la déclaration de la famine à Gaza par l’ONU
Pour récupérer quelques poignées de riz, des Palestiniens hagards, armés de casseroles et de seaux en plastique, se ruent vers une soupe populaire de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et frappée officiellement par la famine selon l’ONU.Des images de l’AFP tournées samedi dans cette ville qu’Israël menace de destruction totale si le mouvement islamiste Hamas n’accepte pas la paix à ses conditions, montrent des jeunes tendant désespérément leurs gamelles pour qu’elles soient remplies.On y voit un garçon grattant à mains nues les derniers grains de riz collés au fond d’une marmite. Un peu plus loin, assise par terre à l’ombre, une fillette mange à la cuillère dans un sac en plastique.”Nous n’avons plus de maison, plus de nourriture, plus de revenus (…) nous sommes donc obligés de nous tourner vers les cuisines caritatives, mais elles ne suffisent pas à apaiser notre faim”, témoigne Youssef Hamad, 58 ans, déplacé de la ville de Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza.Certaines de ces soupes populaires sont alimentées en nourriture par des mosquées ou des organisations caritatives islamiques locales. D’autres par des ONG internationales ou des agences onusiennes.Début mars, le gouvernement israélien avait imposé à la bande de Gaza un blocus humanitaire total, entraînant des pénuries de nourriture, les plus graves depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Il l’a assoupli à partir de fin mai, mais la quantité d’aide internationale autorisée à entrer depuis est jugée largement insuffisante par l’ONU et les humanitaires, ce que conteste Israël.- “Devoir moral” -Après des mois de mise en garde, l’ONU a officiellement déclaré vendredi la famine à Gaza, en en attribuant la responsabilité à Israël, qui a aussitôt rejeté cette accusation. Un “mensonge éhonté” selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.Mais cette déclaration onusienne intervient “beaucoup trop tard”, déplore Oum Mohammad, 34 ans, près d’une autre soupe populaire à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.”Faute de nourriture et d’eau, les enfants (…) sont parfois incapables de se lever, pris de vertige”, dit-elle.Samedi, le chef de l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens (Unrwa) a estimé qu’il était “temps que le gouvernement israélien cesse de nier la famine qu’il a provoquée à Gaza”. “Tous ceux qui ont de l’influence doivent l’utiliser avec détermination et un sens du devoir moral”, a écrit Philippe Lazzarini sur X.M. Netanyahu a imputé les pénuries, selon lui “temporaires”, aux “vols systématiques de l’aide” par le Hamas.L’Unrwa a indiqué samedi que ses entrepôts en Jordanie et en Egypte étaient pleins et qu’il y avait “suffisamment de nourriture, de médicaments et de produits d’hygiène pour remplir 6.000 camions”. – “La fin est proche” -Dans le même temps, Israël poursuit ses bombardements sur la bande de Gaza. Des images de l’AFP montrent une épaisse fumée s’élevant au-dessus du quartier de Zeitoun, dans la ville de Gaza, tandis que des Palestiniens fouillent les décombres de bâtiments éventrés.Le porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal, a qualifié la situation dans les quartiers de Sabra et de Zeitoun d'”absolument catastrophique”, évoquant “la destruction totale de blocs résidentiels entiers”.”Nous sommes piégés ici, nous vivons dans la peur, nous n’avons nulle part où aller. Il n’y a aucun endroit sûr à Gaza. Se déplacer maintenant, c’est courir à la mort”, témoigne Ahmad Jundiyeh, 35 ans, déplacé dans la périphérie nord de Zeitoun.”Nous entendons sans répit les bombardements (…) les avions de combat, les tirs d’artillerie et même les explosions des drones”, confie-t-il à l’AFP par téléphone.”Nous sommes terrifiés, avec l’impression que la fin est proche.”M. Bassal a indiqué que les secouristes de la Défense civile avaient recensé 51 personnes tuées samedi par des frappes ou des tirs israéliens.Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a menacé vendredi de détruire la ville de Gaza si le Hamas refusait de se désarmer, de libérer les otages enlevés le 7-Octobre et de mettre fin à la guerre aux conditions fixées par Israël.
“Trop tard”: des Palestiniens désespérés après la déclaration de la famine à Gaza par l’ONU
Pour récupérer quelques poignées de riz, des Palestiniens hagards, armés de casseroles et de seaux en plastique, se ruent vers une soupe populaire de la ville de Gaza, ravagée par la guerre et frappée officiellement par la famine selon l’ONU.Des images de l’AFP tournées samedi dans cette ville qu’Israël menace de destruction totale si le mouvement islamiste Hamas n’accepte pas la paix à ses conditions, montrent des jeunes tendant désespérément leurs gamelles pour qu’elles soient remplies.On y voit un garçon grattant à mains nues les derniers grains de riz collés au fond d’une marmite. Un peu plus loin, assise par terre à l’ombre, une fillette mange à la cuillère dans un sac en plastique.”Nous n’avons plus de maison, plus de nourriture, plus de revenus (…) nous sommes donc obligés de nous tourner vers les cuisines caritatives, mais elles ne suffisent pas à apaiser notre faim”, témoigne Youssef Hamad, 58 ans, déplacé de la ville de Beit Hanoun, dans le nord de la bande de Gaza.Certaines de ces soupes populaires sont alimentées en nourriture par des mosquées ou des organisations caritatives islamiques locales. D’autres par des ONG internationales ou des agences onusiennes.Début mars, le gouvernement israélien avait imposé à la bande de Gaza un blocus humanitaire total, entraînant des pénuries de nourriture, les plus graves depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, déclenchée par l’attaque sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.Il l’a assoupli à partir de fin mai, mais la quantité d’aide internationale autorisée à entrer depuis est jugée largement insuffisante par l’ONU et les humanitaires, ce que conteste Israël.- “Devoir moral” -Après des mois de mise en garde, l’ONU a officiellement déclaré vendredi la famine à Gaza, en en attribuant la responsabilité à Israël, qui a aussitôt rejeté cette accusation. Un “mensonge éhonté” selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.Mais cette déclaration onusienne intervient “beaucoup trop tard”, déplore Oum Mohammad, 34 ans, près d’une autre soupe populaire à Deir el-Balah, dans le centre de la bande de Gaza.”Faute de nourriture et d’eau, les enfants (…) sont parfois incapables de se lever, pris de vertige”, dit-elle.Samedi, le chef de l’agence de l’ONU chargée des réfugiés palestiniens (Unrwa) a estimé qu’il était “temps que le gouvernement israélien cesse de nier la famine qu’il a provoquée à Gaza”. “Tous ceux qui ont de l’influence doivent l’utiliser avec détermination et un sens du devoir moral”, a écrit Philippe Lazzarini sur X.M. Netanyahu a imputé les pénuries, selon lui “temporaires”, aux “vols systématiques de l’aide” par le Hamas.L’Unrwa a indiqué samedi que ses entrepôts en Jordanie et en Egypte étaient pleins et qu’il y avait “suffisamment de nourriture, de médicaments et de produits d’hygiène pour remplir 6.000 camions”. – “La fin est proche” -Dans le même temps, Israël poursuit ses bombardements sur la bande de Gaza. Des images de l’AFP montrent une épaisse fumée s’élevant au-dessus du quartier de Zeitoun, dans la ville de Gaza, tandis que des Palestiniens fouillent les décombres de bâtiments éventrés.Le porte-parole de la Défense civile à Gaza, Mahmoud Bassal, a qualifié la situation dans les quartiers de Sabra et de Zeitoun d'”absolument catastrophique”, évoquant “la destruction totale de blocs résidentiels entiers”.”Nous sommes piégés ici, nous vivons dans la peur, nous n’avons nulle part où aller. Il n’y a aucun endroit sûr à Gaza. Se déplacer maintenant, c’est courir à la mort”, témoigne Ahmad Jundiyeh, 35 ans, déplacé dans la périphérie nord de Zeitoun.”Nous entendons sans répit les bombardements (…) les avions de combat, les tirs d’artillerie et même les explosions des drones”, confie-t-il à l’AFP par téléphone.”Nous sommes terrifiés, avec l’impression que la fin est proche.”M. Bassal a indiqué que les secouristes de la Défense civile avaient recensé 51 personnes tuées samedi par des frappes ou des tirs israéliens.Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a menacé vendredi de détruire la ville de Gaza si le Hamas refusait de se désarmer, de libérer les otages enlevés le 7-Octobre et de mettre fin à la guerre aux conditions fixées par Israël.
‘Far too late’: Palestinians despair after UN declares famine in Gaza
Desperate Palestinians clutching pots and plastic buckets scrambled for rice at a charity kitchen in Gaza City on Saturday, a day after the United Nations declared a famine in the war-battered territory.AFP footage from Gaza’s largest city, which Israel plans to seize as part of an expanded military offensive, showed women and young children among the chaotic jostle of dozens clamouring and shouting for food.One young boy used his hands to scrape a few leftover grains from the inside of a cooking vat. Another young girl sat on the edge of a tent and scooped rice from a plastic bag on the ground. “We have no home left, no food, no income… so we are forced to turn to charity kitchens, but they do not satisfy our hunger,” said Yousef Hamad, 58, who was displaced from the northern city of Beit Hanoun.Further south at a charity kitchen in Deir el-Balah, 34-year-old Umm Mohammad said the UN’s declaration of a famine had come “far too late”.The children are “staggering from dizziness, unable to wake up because of the lack of food and water,” she said.The UN officially declared a famine in Gaza on Friday, blaming the “systematic obstruction” of aid by Israel during more than 22 months of war.The Rome-based Integrated Food Security Phase Classification Initiative (IPC) said famine was affecting 500,000 people in Gaza governorate, which covers about a fifth of the Palestinian territory including Gaza City.- ‘Moral duty’ -Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu rejected the report as “an outright lie”.On Saturday, the head of the UN agency for Palestinian refugees said it was “time for the government of Israel to stop denying the famine it has created in Gaza”.”All of those who have influence must use it with determination & a sense of moral duty,” UNRWA chief Philippe Lazzarini posted on X.The IPC projected that the famine would expand to Deir el-Balah and Khan Yunis governorates by the end of September, covering around two-thirds of Gaza.Israel, meanwhile, kept up its bombardment of the Palestinian territory, with AFP footage showing heavy smoke billowing above the Zeitun district of Gaza City as Palestinians picked through the wreckage of buildings.- ‘Feel like end is near’ -The spokesman for Gaza’s civil defence agency, Mahmud Bassal, called the situation in the Sabra and Zeitun neighbourhoods “absolutely catastrophic”, describing the “complete levelling of entire residential blocks”.”We are trapped here, living in fear, with nowhere to go. There’s no safety anywhere in Gaza. Movement now leads to death,” said Ahmad Jundiyeh, 35, who was displaced to the northern outskirts of Zeitun.”We constantly hear the sound of bombing… we hear fighter jets, artillery shelling and even drone explosions,” he told AFP by telephone.”We’re extremely afraid — it feels like the end is near.”Defence Minister Israel Katz vowed on Friday that Israel would destroy Gaza City as it has other parts of the territory if Hamas did not agree to disarm, release all remaining hostages in the territory and end the war on Israel’s terms.Residents of Gaza City said the Israeli strikes targeting the area had been relentless for days. “Let them come and see what’s happening to us here on the ground in Zeitun district. We have been ruined,” said Aymen Daloul, a 53-year-old from Gaza City whose home had been destroyed. “We shall sleep on the streets as if we were cattle. Have mercy on us.”Mahmud Abu Saqer, 24, said there had been a quickening exodus of residents ever since Israel announced its plans to seize Gaza City.”Just this morning, more than 500 to 600 families left, and yesterday thousands left,” he said. “The sounds of explosions since morning are forcing everyone to leave.”Hamas’s October 2023 attack that sparked the war resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.Israel’s offensive has killed at least 62,622 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza that the United Nations considers reliable.The civil defence’s spokesman Bassal said Israeli strikes and gunfire across Gaza on Saturday killed at least 51 people.Media restrictions in Gaza and difficulties accessing swaths of the Palestinian territory mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency or the Israeli military.
US govt wants migrant targeted in crackdown deported to Uganda: lawyers
The US government intends to deport a Salvadoran man at ground zero of President Donald Trump’s war on illegal immigration to Uganda next week, his lawyers said Saturday.In a filing, the lawyers asked courts to dismiss the case against Kilmar Abrego Garcia on grounds that it is a vindictive attempt to punish him for challenging his initial deportation to El Salvador.The attempt to deport Garcia to far-flung Uganda in East Africa adds a dramatic new twist to a saga that become a test case for Trump’s harsh crackdown on illegal immigration — and, critics say, his trampling of the law.His lawyers’ filing was an addition to an earlier one asking judges to dismiss the case.Word of the new press to deport him came a day after he was freed and allowed to go home to Maryland pending trial on human smuggling charges.This followed a tortuous saga in which he was mistakenly deported to a notoriously rough prison in El Salvador, then returned to US soil only to be detained again.A judge ordered his release Friday but the latest news means he might again be expelled, this time to Uganda under a new, harsh Trump administration scheme of sending undocumented migrants to distant, even war-torn countries where they know no one.Abrego Garcia denies any wrongdoing, while the administration says he is a violent MS-13 gang member who smuggled other immigrants.On Thursday when it became clear Abrego Garcia would be released the following day, government officials made him a plea offer: remain in custody, plead guilty to human smuggling charges and be deported to Costa Rica, his lawyers said in the filing. He declined the offer.”The government immediately responded to Mr. Abrego’s release with outrage,” the filing states.”Despite… assurances from the government of Costa Rica that Mr. Abrego would be accepted there, within minutes of his release from pretrial custody, an (Immigration and Customs Enforcement) representative informed Mr. Abrego’s counsel that the government intended to deport Mr. Abrego to Uganda and ordered him to report to ICE’s Baltimore Field Office Monday morning,” it added.The case has been a messy tug of war.The government admitted it had mistakenly sent him to El Salvador’s notorious maximum security prison in March.The US Supreme Court later ordered the Trump administration to “facilitate” the return of Abrego Garcia.He was returned in June, and then quickly arrested and charged with trafficking undocumented migrants. On Friday, he was released from prison in Tennessee on a judge’s order.At that point he had not seen his family in more than 160 days.The case has become emblematic of Trump’s rough crackdown on illegal migration.Right-wing supporters praise the Republican president’s toughness, but legal scholars and human rights advocates have blasted what they say is a haphazard rush to deport people without even a court hearing, in violation of basic US law.
Sri Lanka ex-president rushed to intensive care after jailing
Sri Lanka’s jailed former president was rushed to intensive care at a state hospital on Saturday, a day after being charged with misusing government funds for foreign travel.Ranil Wickremesinghe, who was remanded in custody on Friday night, was severely dehydrated and required close monitoring, the deputy director-general of Colombo National Hospital told AFP.”He has to be closely observed and treated for acute dehydration to prevent serious complications,” Rukshan Bellana said.”He was a severe diabetic with high blood pressure when he was brought in.”Bellana said, however, that Wickremesinghe’s condition was “stable”.He was taken to Sri Lanka’s main state-run hospital as his condition deteriorated and the prison medical facility was not equipped to treat him, a prison spokesperson said.Opposition legislators who visited 76-year-old Wickremesinghe in prison earlier in the day reported that he had been in good spirits.Opposition parties have accused the government of jailing him over fears he could return to power.- Anti-corruption drive -Wickremesinghe lost the last presidential election in September to Anura Kumara Dissanayake, but has remained politically active despite holding no elected position.He was arrested on Friday as part of Dissanayake’s campaign against endemic corruption in the island nation, which is emerging from its worst economic meltdown in 2022.Nalin Bandara, a member of parliament for the main opposition Samagi Jana Balawegaya (SJB) party, who visited Wickremesinghe at Colombo’s New Magazine Prison, said the former leader had called for unity to challenge Dissanayake’s leftist government.”What the former president says is that we should get onto a common stage to fight the oppression of the new government,” Bandara told reporters outside the prison.Wickremesinghe’s own United National Party (UNP), which has two seats in the 225-member parliament, said the government felt threatened by the former president.”They fear he might return to power, and that is why this action,” UNP General Secretary Thalatha Athukorala told reporters in Colombo.Wickremesinghe stands accused of using state funds to finance a private visit to Britain in September 2023, while returning from attending the G77 summit in Havana and the UN General Assembly in New York.The offences carry a maximum punishment of 20 years in jail and a fine not exceeding three times the value of the misappropriated funds estimated at 16.6 million rupees ($55,000).His two-day UK visit was to participate in the conferring of an honorary professorship on his wife, Maithree, by the University of Wolverhampton.Wickremesinghe has maintained that his wife’s travel expenses were met by her and that no state funds were used.Wickremesinghe became president in July 2022 after then-leader Gotabaya Rajapaksa stepped down following months of street protests fuelled by the economic crisis.
Ligue 1: Nice réagit contre Auxerre et lance enfin sa saison
Dans un match enlevé mais techniquement très imparfait, Nice s’est offert une première victoire cette saison (3-1), après avoir disputé la deuxième période en supériorité numérique suite à l’exclusion du gardien auxerrois Donovan Léon.Après avoir raté ses débuts européens, logiquement éliminé par Benfica (deux fois 2-0) en tour préliminaire de Ligue des champions, et manqué ses retrouvailles avec la L1 contre Toulouse (0-1) la semaine passée, Nice a enfin marqué des buts cette saison et inscrit ses premiers points. Pourtant Auxerre, vainqueur de Lorient (1-0) la semaine dernière, aurait pu, avec plus de réussite et de maîtrise, prétendre à mieux. Mais un but contre son camp de Clément Akpa (2-1, 25e) et l’exclusion de Léon, pour un vilain tacle hors de sa surface juste avant la pause (45e+1), ont scellé la rencontre.Avec les premières titularisations des recrues Salis Abdul Samed au milieu et Kevin Carlos devant, ainsi que celle de Jérémie Boga, auteur d’un but (1-0, 3e) et d’un bon match, Franck Haise avait décidé de secouer Badredine Bouanani et Terem Moffi, relégués sur le banc. Et cela a fonctionné puisque les deux hommes ont été impliqués sur le troisième but niçois, celui de la tête du Nigérian (3-1, 76e).Après un bon début dans les intentions offensives, les Niçois ont très vite ouvert la marque. Antoine Mendy a remporté son duel sur le côté droit et Tom Louchet a parfaitement centré sur Boga, qui s’est parfaitement démarqué pour planter du gauche (1-0, 3e).-Diouf sauve les siens-Les Aiglons semblaient s’être facilité le match, mais Auxerre a réagi et Yehvann Diouf a dû sauver les siens trois fois: devant Josué Casimir (13e), Kevin Danois (13e) et Lassine Sinayoko (20e).Et Nice, en souffrance, a rompu une minute plus tard. Sur le côté gauche, Ibrahim Osman s’est joué de Louchet -successeur de Jonathan Clauss, non convoqué et en partance pour le Bayer Leverkusen- puis il a centré pour Sinayoko, surgissant pour inscrire son deuxième but en deux journées (1-1, 21e).Même abasourdis, les hommes de Haise sont parvenus à reprendre l’avantage rapidement, avec de la réussite. Servi par Boga, Kevin Carlos a raté son contrôle plein axe, mais dans sa précipitation pour défendre, Akpa a dégagé dans ses propres filets (2-1, 25e).Comme il était écrit que rien n’allait tourner en faveur des Auxerrois, Diouf a dévié la tête de Casimir sur son poteau, avant que Kojo Preprah Oppong ne dégage sur sa ligne (36e). Pire, juste avant la mi-temps, Donovan Léon, mis en difficulté par un nouveau raté d’Akpa, a été logiquement exclu pour une faute grossière sur Isak Jansson (45e+1).Pourtant à dix contre onze, Sinayoko et ses partenaires ont lancé de régulières offensives en deuxième période. L’attaquant malien, sollicité par Nice et Lens lors de ce mercato estival, a encore obligé Diouf à une parade (56e), avant de rater de peu le cadre (59e), puis les Rouge et Noir ont repris le contrôle pour l’emporter.







