Prières et recueillement pour le pape François à Notre-Dame à Paris et à la “Bonne Mère” à Marseille

De nombreux fidèles se sont à nouveau déplacés vendredi pour le pape François, lors d’une messe à Notre-Dame à Paris puis d’une veillée de prières à Notre-Dame de la Garde à Marseille, à la veille de ses funérailles au Vatican.A Paris, le Premier ministre François Bayrou a assisté à la messe dans la cathédrale, chef d’Å“uvre de l’art gothique édifié entre les XIIe et XIVe siècles.”J’ai vu les foules de la place Saint-Pierre et du parvis (de Notre-Dame) depuis lundi. Je me réjouis beaucoup de l’attachement des catholiques, du peuple d’une façon générale, à cette personnalité qui nous a marqués et a fait bouger les lignes dans l’Eglise et dans la société”, a salué Mgr Laurent Ulrich, archevêque de Paris, auprès des journalistes. “La transformation des coeurs humains a pu s’opérer sous son aura”, a poursuivi le prélat, qui a présidé la messe solennelle “d’action de grâce et pour le repos de l’âme du Saint-Père” décédé lundi à Rome. Une heure avant l’office, une queue de plusieurs centaines de mètres composée de fidèles attendait déjà de pouvoir entrer dans l’édifice.”Les institutions françaises ont le devoir d’être présentes chaque fois qu’une partie importante du peuple français est bouleversée, touchée, est en deuil”, a estimé M. Bayrou, à l’issue de cette cérémonie, estimant que le pape François “était une figure que beaucoup de Français ressentaient comme de bonté, de générosité et du côté des plus faibles et des plus fragiles”.A Marseille, une centaine de personnes ont participé à une veillée de prière à la basilique Notre-Dame de la Garde, la “Bonne mère”, symbole de la deuxième ville de France, juchée sur une colline face au soleil couchant.Le pape François s’était rendu dans cette basilique néo-byzantine aux murs recouverts d’ex-votos lors d’un déplacement à Marseille en septembre 2023, au cours duquel il avait dénoncé le sort des migrants en Méditerranée, martelant son message de secours et d’accueil.- “Valeurs d’humanité” – A Marseille, la veillée a débuté par une procession sur l’esplanade de la basilique, jusqu’au mémorial aux marins et migrants disparus en mer. Ce même monument devant lequel le jésuite argentin avait souhaité “prier pour les morts en mer, particulièrement les migrants”, a rappelé à l’AFP le recteur de la basilique, le père Olivier Spinosa.”Nous ne pouvons plus assister aux tragédies des naufrages provoqués par des trafics odieux et le fanatisme de l’indifférence”, avait lancé le pape à cet endroit, assurant que “les personnes qui risquent de se noyer, lorsqu’elles sont abandonnées sur les flots, doivent être secourues”. “C’est un devoir d’humanité, c’est un devoir de civilisation”, avait-il insisté.”Marseille est cosmopolite, le pape aimait cela, et il avait demandé à ce que la Méditerranée ne soit pas un cimetière”, s’est remémoré Robert Olivieri, 73 ans, qui avait assisté à la messe du pape dans le stade Vélodrome, lors de ce déplacement orchestré par l’archevêque de Marseille, le cardinal Jean-Marc Aveline.”J’aurais aimé pouvoir aller à Rome mais ce n’est pas possible. Je me sens proche des écrits de François, sa proximité avec les pauvres et les migrants. Ça me touche beaucoup plus que Benoît XVI qui était plus un théologien”, a témoigné Sandrine Gougeon, 46 ans, auprès de l’AFP, selon qui “le décès de François rajoute de l’incertitude, une forme d’insécurité au monde”.Les funérailles du pape François, décédé lundi à 88 ans, se déroulent samedi. Après la messe en plusieurs langues, place Saint-Pierre, son cercueil sera transporté à la basilique Sainte-Marie Majeure, dans le centre de Rome, où le Saint-Père sera inhumé.

La place Saint-Pierre sous cloche avant les funérailles du pape

Le Vatican a mis la dernière main vendredi aux préparatifs des funérailles du pape François, qui auront lieu samedi matin sur la place Saint-Pierre, désormais fermée au public après trois jours durant lesquels des fidèles du monde entier se sont recueillis devant la dépouille du souverain pontife.Quelque 250.000 personnes se sont rendues à la basilique Saint-Pierre de Rome depuis mercredi, premier jour d’exposition de la dépouille du jésuite argentin au public, selon le Vatican. Son prédécesseur Benoît XVI, décédé le 31 décembre 2022, avait lui reçu 195.000 visites, et Jean-Paul II plus de 2 millions en 2005.Mercredi et jeudi, la basilique est restée ouverte quasiment toute la nuit pour faire face à l’affluence.”Quel grand homme! Il aimait tout le monde, toutes les religions”, a témoigné Igho Felici, un Italien de 53 ans, après avoir rendu hommage au jésuite argentin exposé dans son cercueil. “Il fallait que je vienne.”L’accès à la place Saint-Pierre a été fermé à 17H00 (15H00 GMT) en vue des préparatifs pour les funérailles, qui débuteront samedi à 10H00 (08H00 GMT), tandis que les hommages des fidèles au cercueil du pape se sont achevés à 19H00 (17H00 GMT). Vers 20H00 (18H00 GMT), le cercueil de bois et de zinc a été fermé lors d’une cérémonie à huis clos d’une heure environ, au cours de laquelle un voile de soie blanche a été placé sur le visage de François. Ce rite était présidé par le cardinal Kevin Farrell, le “camerlingue” qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu’à l’élection d’un nouveau souverain pontife.Son corps a été aspergé d’eau bénite et une bourse avec des pièces et des médailles frappées sous son pontificat a été placée à l’intérieur du cercueil, sur le couvercle duquel figurent sa croix et ses armes. “Durant la nuit (…) une veillée de prières accompagnera le corps du pontife”, a précisé le Vatican.Dès 05H30 (03H30 GMT) samedi, l’accès à la place Saint-Pierre, placée sous haute sécurité, sera à nouveau rouvert pour accueillir des centaines de milliers de fidèles souhaitant assister aux funérailles.Plus de 50 chefs d’Etat et 10 monarques sont attendus pour la cérémonie, ainsi que le chef de l’ONU Antonio Guterres.- Présence incertaine de Zelensky -Des dizaines de délégations étrangères ont commencé à arriver à Rome vendredi. Tous les yeux sont tournés vers Donald Trump, qui effectue le premier déplacement à l’étranger de son second mandat. “Nous allons rencontrer de nombreux dirigeants étrangers” en marge des obsèques, a-t-il indiqué peu avant de décoller depuis Washington, sans préciser lesquels. Il a atterri à l’aéroport de Rome vendredi soir.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a en revanche annoncé vendredi qu’il n’était pas certain d'”avoir le temps” pour se rendre aux funérailles du pape François.Le président français Emmanuel Macron, qui s’est brièvement recueilli, avec son épouse, devant le cercueil du pape vendredi en début de soirée, n’effectuera en revanche “aucune rencontre diplomatique en marge des obsèques du pape”, a fait savoir l’Elysée.Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de membres des forces de l’ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d’élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.Ce dispositif de sécurité exceptionnel sera encore renforcé ces prochaines heures.Le premier pape sud-américain de l’Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l’âge de 88 ans, moins d’un mois après la fin de son hospitalisation pour une grave pneumonie.Les condoléances ont afflué du monde entier pour ce réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses douze années à la tête des 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.- Cortège dans les rues de Rome -Dans son cercueil capitonné de rouge, François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.Après les obsèques, qui devraient s’achever vers 11H30 (09H30 GMT), le cercueil sera transporté sur un véhicule à travers les rues de Rome pour être inhumé, selon la volonté de François, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, dédiée au culte de la Vierge, lors d’une cérémonie privée.Durant le transfert, le cercueil sera visible au public massé le long du trajet derrière des barrières métalliques. Il ne sera pas possible de suivre le cortège funèbre mais des écrans géants seront placés le long du parcours.Un groupe de “pauvres et de nécessiteux” sera présent sur les marches de la basilique Sainte Marie Majeure pour accueillir le cercueil du pontife vers 13H00 (11H00 GMT), qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription “Franciscus”, François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin. A 16H00 (14H00 GMT), les cardinaux lui rendront hommage.Ses obsèques célébrées, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs – soit ceux âgés de moins de 80 ans – convoqués au conclave pour choisir son successeur. La date du début du conclave n’est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s’ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.Les cardinaux ont commencé à converger vers Rome et se sont réunis une quatrième fois vendredi matin. Lors du conclave, ils procèderont, dans la chapelle Sixtine au Vatican, à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l’après-midi.bur-cmk-jra-apo/glr/liu

La place Saint-Pierre sous cloche avant les funérailles du pape

Le Vatican a mis la dernière main vendredi aux préparatifs des funérailles du pape François, qui auront lieu samedi matin sur la place Saint-Pierre, désormais fermée au public après trois jours durant lesquels des fidèles du monde entier se sont recueillis devant la dépouille du souverain pontife.Quelque 250.000 personnes se sont rendues à la basilique Saint-Pierre de Rome depuis mercredi, premier jour d’exposition de la dépouille du jésuite argentin au public, selon le Vatican. Son prédécesseur Benoît XVI, décédé le 31 décembre 2022, avait lui reçu 195.000 visites, et Jean-Paul II plus de 2 millions en 2005.Mercredi et jeudi, la basilique est restée ouverte quasiment toute la nuit pour faire face à l’affluence.”Quel grand homme! Il aimait tout le monde, toutes les religions”, a témoigné Igho Felici, un Italien de 53 ans, après avoir rendu hommage au jésuite argentin exposé dans son cercueil. “Il fallait que je vienne.”L’accès à la place Saint-Pierre a été fermé à 17H00 (15H00 GMT) en vue des préparatifs pour les funérailles, qui débuteront samedi à 10H00 (08H00 GMT), tandis que les hommages des fidèles au cercueil du pape se sont achevés à 19H00 (17H00 GMT). Vers 20H00 (18H00 GMT), le cercueil de bois et de zinc a été fermé lors d’une cérémonie à huis clos d’une heure environ, au cours de laquelle un voile de soie blanche a été placé sur le visage de François. Ce rite était présidé par le cardinal Kevin Farrell, le “camerlingue” qui gère les affaires courantes du Vatican jusqu’à l’élection d’un nouveau souverain pontife.Son corps a été aspergé d’eau bénite et une bourse avec des pièces et des médailles frappées sous son pontificat a été placée à l’intérieur du cercueil, sur le couvercle duquel figurent sa croix et ses armes. “Durant la nuit (…) une veillée de prières accompagnera le corps du pontife”, a précisé le Vatican.Dès 05H30 (03H30 GMT) samedi, l’accès à la place Saint-Pierre, placée sous haute sécurité, sera à nouveau rouvert pour accueillir des centaines de milliers de fidèles souhaitant assister aux funérailles.Plus de 50 chefs d’Etat et 10 monarques sont attendus pour la cérémonie, ainsi que le chef de l’ONU Antonio Guterres.- Présence incertaine de Zelensky -Des dizaines de délégations étrangères ont commencé à arriver à Rome vendredi. Tous les yeux sont tournés vers Donald Trump, qui effectue le premier déplacement à l’étranger de son second mandat. “Nous allons rencontrer de nombreux dirigeants étrangers” en marge des obsèques, a-t-il indiqué peu avant de décoller depuis Washington, sans préciser lesquels. Il a atterri à l’aéroport de Rome vendredi soir.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a en revanche annoncé vendredi qu’il n’était pas certain d'”avoir le temps” pour se rendre aux funérailles du pape François.Le président français Emmanuel Macron, qui s’est brièvement recueilli, avec son épouse, devant le cercueil du pape vendredi en début de soirée, n’effectuera en revanche “aucune rencontre diplomatique en marge des obsèques du pape”, a fait savoir l’Elysée.Les autorités italiennes et vaticanes ont placé les alentours de Saint-Pierre sous haute protection, avec des milliers de bénévoles et de membres des forces de l’ordre mobilisés, un système anti-drones, des tireurs d’élite sur les toits et des avions de chasse prêts à décoller.Ce dispositif de sécurité exceptionnel sera encore renforcé ces prochaines heures.Le premier pape sud-américain de l’Eglise catholique est décédé le lundi de Pâques à l’âge de 88 ans, moins d’un mois après la fin de son hospitalisation pour une grave pneumonie.Les condoléances ont afflué du monde entier pour ce réformateur énergique qui a défendu les plus vulnérables et les plus marginalisés de la société au cours de ses douze années à la tête des 1,4 milliard de catholiques que compte la planète.- Cortège dans les rues de Rome -Dans son cercueil capitonné de rouge, François, dont les mains enserrent un chapelet, porte ses habits pontificaux: une chasuble rouge, une mitre blanche et des chaussures noires.Après les obsèques, qui devraient s’achever vers 11H30 (09H30 GMT), le cercueil sera transporté sur un véhicule à travers les rues de Rome pour être inhumé, selon la volonté de François, dans la basilique papale Sainte-Marie-Majeure, dédiée au culte de la Vierge, lors d’une cérémonie privée.Durant le transfert, le cercueil sera visible au public massé le long du trajet derrière des barrières métalliques. Il ne sera pas possible de suivre le cortège funèbre mais des écrans géants seront placés le long du parcours.Un groupe de “pauvres et de nécessiteux” sera présent sur les marches de la basilique Sainte Marie Majeure pour accueillir le cercueil du pontife vers 13H00 (11H00 GMT), qui était un ardent défenseur des laissés-pour-compte.Sa tombe en marbre, avec pour seule inscription “Franciscus”, François en latin, sera accessible au public à partir de dimanche matin. A 16H00 (14H00 GMT), les cardinaux lui rendront hommage.Ses obsèques célébrées, tous les regards se tourneront vers les 135 cardinaux-électeurs – soit ceux âgés de moins de 80 ans – convoqués au conclave pour choisir son successeur. La date du début du conclave n’est pas encore connue, mais en vertu des règles vaticanes, il devrait s’ouvrir entre le 15e et le 20e jour après son décès, soit entre le 5 et le 10 mai.Les cardinaux ont commencé à converger vers Rome et se sont réunis une quatrième fois vendredi matin. Lors du conclave, ils procèderont, dans la chapelle Sixtine au Vatican, à quatre scrutins par jour, deux le matin et deux l’après-midi.bur-cmk-jra-apo/glr/liu

Ligue 1: avant Arsenal, Paris perd son invincibilité face à Nice

Paris ne restera pas invaincu en championnat en 2024-2025. A quatre jours de sa demi-finale aller de Ligue des champions face à Arsenal, le PSG a lourdement chuté à domicile 3-1 face à Nice vendredi en ouverture de la 31e journée de Ligue 1.Le PSG, déjà sacré champion de France, et son entraineur Luis Enrique avaient certainement imaginé une tout autre répétition générale à quatre jours d’affronter Arsenal en demi-finale aller de Ligue des champions à Londres, mardi.Pour sa première titularisation de la saison, le milieu niçois, Morgan Sanson, absent sept mois à cause d’une fracture à la cheville, revenu à la compétition en mars, a inscrit un doublé au Parc des Princes (34e et 46e) et, bien aidé par les multiples arrêts de Marcin Bulka, son gardien, homme du match, a empêché le Paris SG de battre le record d’invincibilité de Nantes de 32 rencontres sans défaites établi lors de la saison 1995.Celui de Paris restera bloqué à 30. Face à Nice, Luis Enrique a pourtant aligné son équipe-type, remisant la tentation de faire tourner son effectif, en baisse de régime depuis un mois, juste avant l’échéance cruciale de mardi en C1.  Ni le capitaine Marquinhos, ni son trio d’attaque Kvaratskhelia-Dembélé-Doué, ni personne n’a néanmoins empêché le PSG de sombrer. En première période, Paris a eu 73% de possession de balle, campé dans la surface niçoise, obtenu 10 occasions, mais, déjà, Paris a faillé rentrer au vestiaire, mené d’un but.Acculés dans leur camp, incapables de se défaire du contre-pressing parisien, remis uniquement aux cinq arrêts de leur gardien de but polonais pour rester en vie, les Aiglons ont profité de leur seule occasion du premier acte pour ouvrir le score.A la 34e minute, sorti de nulle part, Badredine Bouanani a glissé un ballon à ras de terre au point de penalty et entre les deux défenseurs centraux parisiens pour Sanson, parti dans le trou et qui a trompé Gianluigi Donnarumma en plaçant son tir sous le portier italien.Et si Fabian Ruiz, grâce à une passe majestueuse d’Ousmane Dembélé, encore muet face aux buts, a permis à Paris de refaire son retard avant la mi-temps (1-1, 41e), l’embellie parisienne n’aura finalement duré que 20 minutes, mi-temps comprise. – Paris au ralenti -Dès la reprise du jeu, Sanson le trentenaire s’est glissé entre Marquinhos et Achraf Hakimi pour reprendre de volée un centre de Jonathan Clauss (2-1, 46e) et a donné un avantage définitif à Nice. Beaucoup moins incisif qu’en première période, Paris a toutefois repris le monopole du ballon, en ralentissant son rythme au fur et à mesure que le match avançait.Nice en a profité pour se mettre définitivement à l’abri grâce à un coup franc de Hicham Boudaoui repris de la tête par Youssouf Ndayishimiye, élevé plus haut que tout le monde (3-1, 70e).Mené de deux buts, Paris a baissé pavillon, dégouté par Marcin Bulka en feu et auteur de deux nouveaux sublimes arrêts au tout début du temps additionnel et d’un troisième face à Bradley Barcola (90e+4). “Si quelqu’un me promettait une qualification pour la finale de C1 contre une défaite contre Nice, je signerais immédiatement” a affirmé Luis Enrique en conférence de presse jeudi avant Nice. Paris espère désormais que promesse lui a été faite.

Ligue 1: avant Arsenal, Paris perd son invincibilité face à Nice

Paris ne restera pas invaincu en championnat en 2024-2025. A quatre jours de sa demi-finale aller de Ligue des champions face à Arsenal, le PSG a lourdement chuté à domicile 3-1 face à Nice vendredi en ouverture de la 31e journée de Ligue 1.Le PSG, déjà sacré champion de France, et son entraineur Luis Enrique avaient certainement imaginé une tout autre répétition générale à quatre jours d’affronter Arsenal en demi-finale aller de Ligue des champions à Londres, mardi.Pour sa première titularisation de la saison, le milieu niçois, Morgan Sanson, absent sept mois à cause d’une fracture à la cheville, revenu à la compétition en mars, a inscrit un doublé au Parc des Princes (34e et 46e) et, bien aidé par les multiples arrêts de Marcin Bulka, son gardien, homme du match, a empêché le Paris SG de battre le record d’invincibilité de Nantes de 32 rencontres sans défaites établi lors de la saison 1995.Celui de Paris restera bloqué à 30. Face à Nice, Luis Enrique a pourtant aligné son équipe-type, remisant la tentation de faire tourner son effectif, en baisse de régime depuis un mois, juste avant l’échéance cruciale de mardi en C1.  Ni le capitaine Marquinhos, ni son trio d’attaque Kvaratskhelia-Dembélé-Doué, ni personne n’a néanmoins empêché le PSG de sombrer. En première période, Paris a eu 73% de possession de balle, campé dans la surface niçoise, obtenu 10 occasions, mais, déjà, Paris a faillé rentrer au vestiaire, mené d’un but.Acculés dans leur camp, incapables de se défaire du contre-pressing parisien, remis uniquement aux cinq arrêts de leur gardien de but polonais pour rester en vie, les Aiglons ont profité de leur seule occasion du premier acte pour ouvrir le score.A la 34e minute, sorti de nulle part, Badredine Bouanani a glissé un ballon à ras de terre au point de penalty et entre les deux défenseurs centraux parisiens pour Sanson, parti dans le trou et qui a trompé Gianluigi Donnarumma en plaçant son tir sous le portier italien.Et si Fabian Ruiz, grâce à une passe majestueuse d’Ousmane Dembélé, encore muet face aux buts, a permis à Paris de refaire son retard avant la mi-temps (1-1, 41e), l’embellie parisienne n’aura finalement duré que 20 minutes, mi-temps comprise. – Paris au ralenti -Dès la reprise du jeu, Sanson le trentenaire s’est glissé entre Marquinhos et Achraf Hakimi pour reprendre de volée un centre de Jonathan Clauss (2-1, 46e) et a donné un avantage définitif à Nice. Beaucoup moins incisif qu’en première période, Paris a toutefois repris le monopole du ballon, en ralentissant son rythme au fur et à mesure que le match avançait.Nice en a profité pour se mettre définitivement à l’abri grâce à un coup franc de Hicham Boudaoui repris de la tête par Youssouf Ndayishimiye, élevé plus haut que tout le monde (3-1, 70e).Mené de deux buts, Paris a baissé pavillon, dégouté par Marcin Bulka en feu et auteur de deux nouveaux sublimes arrêts au tout début du temps additionnel et d’un troisième face à Bradley Barcola (90e+4). “Si quelqu’un me promettait une qualification pour la finale de C1 contre une défaite contre Nice, je signerais immédiatement” a affirmé Luis Enrique en conférence de presse jeudi avant Nice. Paris espère désormais que promesse lui a été faite.

Huge crowds pack Vatican for last day of Pope’s lying in stateFri, 25 Apr 2025 21:06:15 GMT

Some 250,000 people paid respects to Pope Francis during the three days his coffin led in St Peter’s Basilica, the Vatican said Friday, as public viewing ended and world leaders began gathering for his funeral.French President Emmanuel Macron was among the last to bow before the coffin, with the overall crowds exceeding the estimated 195,000 …

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Les Bourses mondiales terminent dans le vert à l’issue d’une semaine agitée

Les Bourses mondiales ont évolué en hausse vendredi, gardant un oeil sur l’évolution du conflit commercial entre Washington et Pékin, tandis que la saison des résultats d’entreprises bat son plein.En Europe, les marchés ont fermé dans le vert. Paris a pris 0,45%, Francfort 0,81% et Milan 1,47%. Londres est restée stable (+0,09%).A Wall Street, le Dow Jones a terminé proche de l’équilibre (+0,05%), l’indice Nasdaq a progressé de 1,26% et l’indice élargi S&P 500 de 0,74%.”Pour l’instant il n’y a aucune nouvelle tangible sur la guerre commerciale, les marchés profitent de l’accalmie”, explique à l’AFP Lionel Melka, gérant de Swann Capital. “La volatilité a été telle cette semaine qu’aujourd’hui, les (investisseurs) se contentent d’équilibrer les choses”, observe auprès de l’AFP Victoria Fernandez, de Crossmark Global Investments.Les marchés ont apprécié ces derniers jours le ton plus conciliant de Donald Trump sur la guerre commerciale qu’il a lancée contre la Chine au début du mois.Dernier épisode en date: Donald Trump a affirmé, dans un entretien au Time Magazine publié vendredi, qu’il s’était entretenu avec son homologue chinois Xi Jinping au téléphone au sujet des droits de douane. Mais Donald Trump ne donne dans cette interview aucun détail sur l’appel, ne précisant ni sa date, ni son contenu. Et Pékin réfute mener toute négociation avec Washington.Les investisseurs attendent donc “de savoir si les négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine reprendront”, note Kathleen Brooks, directrice de la recherche chez XTB.”Un réel progrès pourrait encore mettre du temps à se concrétiser”, insiste Fawad Razaqzada, de City Index.Alphabet salué, Intel dévisse”Alphabet a délivré de bons résultats (jeudi après la clôture de Wall Street, ndlr), et cela a donné un petit coup de pouce au marché”, fait valoir Victoria Fernandez.La maison mère de Google a gagné 1,28% après avoir très largement dépassé les attentes au premier trimestre, soutenue par son activité d’informatique à distance, dont la croissance témoigne d’un appétit toujours soutenu pour l’intelligence artificielle.En revanche, le spécialiste des semi-conducteurs Intel a franchement reculé (-6,70%) après avoir annoncé qu’il anticipait un chiffre d’affaires compris entre 11,2 et 12,4 milliards de dollars pour le deuxième trimestre, soit nettement moins que les 12,8 milliards prévus par Wall Street.Bons résultats pour Safran, Accor et Saint GobainA Paris, la séance a aussi été dominée par les résultats d’entreprises, majoritairement bien accueillis.Le groupe français Safran a grimpé de 4,16% en Bourse après avoir publié un chiffre d’affaires de 7,3 milliards d’euros au premier trimestre, supérieur aux attentes des analystes financiers et en hausse de 16,7% sur un an.Le titre du géant de l’hôtellerie Accor s’est lui envolé de 6,3%, les investisseurs ont salué ses résultats publiés la veille. Le groupe a annoncé jeudi un chiffre d’affaires en hausse de 9,2% à 1,34 milliard d’euros au premier trimestre.Le groupe industriel Saint-Gobain a aussi bondi (+4,65%), après avoir annoncé des indicateurs “encourageants” pour la reprise du secteur du bâtiment en France, son marché historique, et enregistré une hausse de 3,2% de ses ventes au premier trimestre 2025.Le dollar progresseLe dollar gagnait un peu de terrain vendredi: vers 20H40 GMT, le billet vert prenait 0,26% face à la monnaie unique, à 1.1360 dollar pour un euro.La monnaie américaine a fortement été pénalisée ces dernières semaines par une crise de confiance des investisseurs, fragilisés par la politique commerciale erratique de Donald Trump.Pour Stephen Innes, analyste chez SPI AM, “ce rebond reste fragile” et les investisseurs sont prêts à “lâcher le dollar à la moindre déclaration agressive de Trump”.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à dix ans s’est détendu à 4,25% contre 4,30% jeudi en clôture.Le pétrole stableLes cours du pétrole ont progressé, après avoir évolué dans le rouge pendant une partie de la séance, les opérateurs surveillant attentivement les derniers développements dans la guerre commerciale initiée par Washington, ainsi que les discussions avec l’Iran.Le prix du baril de Brent a gagné 0,48% à 66,87 dollars.Le baril de West Texas Intermediate a avancé de 0,37% à 63,02 dollars.

US stocks extend rally as market eyes busy calendar next week

Wall Street stocks overcame early weakness Friday to push higher for a fourth straight positive session, following gains in most overseas equity markets.The upbeat session reflected a continuation of the market’s constructive trend after President Donald Trump said Tuesday he has no intention of firing Federal Reserve Chair Jerome Powell.The administration has also adopted a more conciliatory tone on trade talks with China, although the state of play between Washington and Beijing remains murky.Beijing has said there are no active negotiations with the United States, while Trump claimed to have spoken with Chinese leader Xi Jinping.TIME Magazine wrote Friday that Trump said in an interview he was still convinced tariffs were necessary and that he would “consider it a ‘total victory’ if the US still has tariffs as high as 50 percent on foreign imports a year from now.”City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada called the comments “an aggressive reminder that underscores his protectionist trade agenda, even if he has promised to reduce tariffs on Beijing significantly.”He added that the comments “probably caused the mild selling” trend.But US stocks recovered from early losses and two of the three major indices posted solid gains, with the S&P 500 finishing up 0.7 percent.Europe’s main markets ended higher as did most Asian markets.Sentiment was boosted by reports on Friday that China may exempt some US goods from its hefty retaliatory tariffs. “While tariffs are unlikely to go away completely, any easing of the trade war will be lapped up by financial markets,” said Russ Mould, investment director at AJ Bell.Equity markets “are also benefitting from strong earnings reports,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.”Google reported earnings that smashed expectations last night,” she added.Google-parent Alphabet posted earnings that exceeded expectations for the recently ended quarter, driven by its cloud computing and artificial intelligence operations.In Asia, Tokyo jumped almost two percent by the close following Japanese media reports that a second round of trade talks in Washington was set for May 1.The discussions will be closely watched as a barometer for efforts by other countries seeking tariff relief.Chinese stock indices ended the week fairly steady, as China’s top leaders urged more support for the economy and opposed “unilateral bullying” in global trade, according to a readout of a meeting published by state media Friday.Seoul jumped one percent after US Treasury Secretary Scott Bessent said a trade “understanding” between South Korea and the United States could be reached by next week.Analysts are beginning to look ahead to next week’s heavy calendar of earnings and US economic data.The “soft data has been showing very negative signs for the economy, but it hasn’t really gone through to the hard data,” said Victoria Fernandez of Crossmark Global Investments.Reports next week on the labor market and other key indicators will show if “we are truly weakening or not,” Fernandez said.- Key figures at 2030 GMT -New York – Dow: UP 0.1 percent at 40,113.50 (close)New York – S&P 500: UP 0.7 percent at 5,525.21 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 1.3 percent at 17,382.94 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 8,415.25 (close)Paris – CAC 40: UP 0.5 percent at 7,536.26 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.8 percent at 22,242.45 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 1.9 percent at 35,705.74 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.3 percent at 21,980.74 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,295.06 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1359 from $1.1390 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3314 from $1.3342 Dollar/yen: UP at 143.69 yen from 142.63 yenEuro/pound: DOWN at 85.31 pence from 85.37 penceWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $63.02 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.5 percent at $66.87 per barrelburs-jmb/des